basketball La NBA revient à Montréal

[GDS]

5 hours ago, fmfranck said:

Thats not true. The Impact have very decent rating. 200-300k avg for our market is pretty good. The habs are at 592k this year. (tvasport)

http://3downnation.com/2017/08/09/blue-jays-tv-ratings-even-cfl/

2017 ratings

Canada’s two other teams are also doing well: the Vancouver Whitecaps’ season average is 86,000, compared to 69,000 in 2016 while the Montreal Impact are averaging 80,000, compared to 73,000 last season. Montreal (7-8-6) stands ninth in the East while Vancouver (9-8-4) is seventh in the West.

[Philippe]

That's for TSN only.  Add TVA and you are probably not far.

[GDS]

That's not for TSN only.

[fmfranck]

God, ill find the numbers. 

Et voilà (hint : les parties ne sont diffusées que sur TVA sports maintenant): 

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/790282/impact-soccer-popularite-montreal

Modifié 3 avril 2018 par fmfranck

[MtlMan]

Citation

Un groupe de gens d'affaires veut amener la NBA à Montréal

MONTRÉAL, le 10 octobre 2018 – Un groupe de gens d’affaires québécois, appuyé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), a amorcé des démarches pour implanter à Montréal une équipe de basketball professionnelle. L’honorable Michael Fortier et M. Kevin Gilmore font partie de ce groupe. M. Stéphan Crétier, président-fondateur et chef de la direction de GardaWorld, investisseur-clé dans le projet, a accepté d’investir jusqu’à 10 % de la valeur de la nouvelle équipe.

En conférence de presse, M. Michel Leblanc, président et chef de la direction de la CCMM, a annoncé que son organisation épaulera le groupe dans ses efforts d’attirer des investisseurs et d’intéresser les responsables de la National Basketball Association (NBA). L’annonce est survenue quelques heures avant la tenue du match hors-concours, entre les Raptors de Toronto et les Nets de Brooklyn, au Centre Bell de Montréal, où une foule approximative de 20 000 personnes est attendue.

Le groupe a déjà exprimé son intérêt à la NBA, mais il reste plusieurs étapes à franchir d’avant d’obtenir une équipe à Montréal. Ainsi, le groupe québécois travaille présentement à préparer un montage financier et organise des rencontres avec d’éventuels investisseurs canadiens et étrangers. Les partenaires de ce projet ont réalisé des analyses détaillées démontrant le haut potentiel de la métropole et préparé un argumentaire sur le pouvoir d’attractivité de Montréal pour exploiter une nouvelle équipe de la NBA.

« Pour le moment, la NBA n’envisage pas d’ajouter à court terme une équipe aux 30 existantes. Notre démarche vise plutôt à être prêts le jour où une telle éventualité se présenterait », a pour sa part précisé M. Fortier.

« Montréal est une ville qui dispose de tous les atouts requis pour accueillir une équipe de basketball professionnelle, a déclaré M. Leblanc. Nous avons une économie robuste, le taux de chômage est faible et les indices de confiance sont élevés. C’est une bonne nouvelle que des leaders du milieu proposent des projets emballants, dignes d’une métropole dynamique et en croissance. Le rôle de la Chambre est de mobiliser les divers acteurs du milieu des affaires qui souhaitent s’engager et investir dans de tels projets et de les accompagner dans la démarche. »

Bien que les sommes à recueillir pour ce projet soient très importantes, aucun financement public ne sera requis pour sa réalisation.
 

Stéphan Crétier, investisseur-clé du projet, dit : « Un projet sportif d’une telle envergure ne pourra que contribuer au dynamisme de Montréal. Le sport est extrêmement populaire auprès des Québécois, et le basketball ne fait pas exception. J’ai à cœur le rayonnement de Montréal et je sais qu’elle saura accueillir avec enthousiasme la venue d’un autre sport professionnel avec une équipe de la NBA. » Reconnu en tant que citoyen du monde, M. Crétier ajoute : « J’ai pu apprécier la popularité croissante du basketball à l’échelle internationale et je serais ravi de m’associer à la venue de la NBA dans ma ville natale. »

Les avantages de Montréal

« Selon une étude menée, qui compare les 49 villes en Amérique du Nord ayant au moins une équipe de la LNH, NBA, NFL ou MLB – selon des indicateurs notamment, démographiques, économiques et culturels – Montréal se place 7^e pour son attractivité, a pour sa part indiqué M. Gilmore. Parmi le top 10, qui inclut Montréal, ces villes ont en moyenne plus de 4 équipes membres de ces ligues majeures. Montréal n’en a qu’une, Cela nous donne confiance que notre analyse est juste, voire conservatrice, en ce qui concerne le rendement économique d’une équipe de la NBA à Montréal. »

Le groupe de gens d’affaires a bon espoir d’intéresser la haute direction de la NBA, les propriétaires des équipes de la NBA et des investisseurs pour les raisons suivantes :

·         Montréal obtient un indice d’attractivité plus élevé que 22 autres villes possédant déjà une équipe de la NBA, selon une étude menée par le groupe (Indice des marchés attrayants – traduit de Market Attractiveness Index, MAI) ;

·         Si l’on se fie aux rapports de Forbes de la saison 2016-2017, portant sur les revenus et la rentabilité des clubs de la NBA, Montréal présente des caractéristiques similaires à celles que l’on retrouve sur le marché de 8 des 10 équipes affichant les revenus les plus élevés dans la ligue. Cette corrélation démontre que le classement de l'attractivité comme outil d’évaluation du potentiel du marché parle de lui-même et que Montréal paraît fort bien à cet égard ;

·         En terme démographique, Montréal possède tous les attributs pour accueillir une franchise de la NBA, notamment une population multiculturelle, jeune et urbaine similaire à la démographie des amateurs de la NBA ;

·         La saine compétition qui s’installerait sans aucun doute entre Toronto et Montréal est un facteur qui contribuerait à la popularité d’une équipe dans la métropole et du basketball au Canada, sans oublier la rivalité qui pourrait également s’installer avec les autres villes de basketball à proximité de Montréal comme New York et Boston ;

·         Mondialement connue pour ses pôles en technologie, en jeux vidéo et en intelligence artificielle, Montréal est également reconnue comme ville de sports, et le basketball est le 2^e sport le plus populaire au monde ;

·         Approximativement 15 % des sièges sociaux canadiens sont situés à Montréal, ce qui démontre que la ville a le pouvoir économique d’accueillir une équipe.  

 

https://www.rds.ca/basketball/nba/nba-a-montreal-un-groupe-y-travaille-1.6413349

[Ousb]

il y a 11 minutes, MtlMan a dit :

https://www.rds.ca/basketball/nba/nba-a-montreal-un-groupe-y-travaille-1.6413349

Ce serait super. Je m’achèterais un passeport saison c’est SUUUUR!

[mk.ndrsn]

Je n'ai jamais imaginé Montréal comme ville de basket, mais j'avoue que je serai largement plus enthousiaste à une telle aventure que celle de ramener le baseball à Montréal.

Par contre, si Montréal n'est plus très baseball mais davantage basketball aujourd'hui, est ce que c'est le cas de ses banlieues et des autres régions du Québec? On ne doit pas juste prendre en compte la ville centre lorsqu'on évalue le potentiel d'un marché.

[fmfranck]

Autant pour les régions que pour Montréal, il est clair que sans le produit, on ne peut pas mesurer l'engouement. Je prendrai, encore une fois, la MLS/soccer en guise d'exemple. Avant l'arrivée en MLS de l'Impact on entendait jamais parler de soccer en région ou à Québec. Pourtant, maintenant sur Twitter (par exemple) il y a un nombre croissant de supporteur des régions (de l'Abitibi à l'Acadie). Je parle de personnes qui se déplacent même souvent pour des matchs. Quand j'habitais à Québec, on louait souvent un bus pour venir assister aux rencontres de l'Impact. 

Certains sports ont une culture historique qui font foi de leur popularité, mais l'adage "built it and they will come" s'appliquerait davantage dans le cas présent à mon avis. 

[Le Roach]

il y a 17 minutes, fmfranck a dit :

Autant pour les régions que pour Montréal, il est clair que sans le produit, on ne peut pas mesurer l'engouement. Je prendrai, encore une fois, la MLS/soccer en guise d'exemple. Avant l'arrivée en MLS de l'Impact on entendait jamais parler de soccer en région ou à Québec. Pourtant, maintenant sur Twitter (par exemple) il y a un nombre croissant de supporteur des régions (de l'Abitibi à l'Acadie). Je parle de personnes qui se déplacent même souvent pour des matchs. Quand j'habitais à Québec, on louait souvent un bus pour venir assister aux rencontres de l'Impact. 

Certains sports ont une culture historique qui font foi de leur popularité, mais l'adage "built it and they will come" s'appliquerait davantage dans le cas présent à mon avis. 

Construisez-le et je viendrai très certainement! Joueur de bball et fan depuis 40 ans, j'ai assisté à de nombreux de la NBA et matchs universitaires aux États-Unis. Je suis aussi un partisan de l’Impact, je conduis deux heures et je dépense de l’argent pour rester et manger en ville 6 à 7 fois par an, sans parler des matchs des Canadiens et de mon souhait du retour de mes chers Expos. Cependant, combien de personnes pourraient le faire. Dans mon cas, j'ai eu la chance de pouvoir m'offrir ces luxes. À quel moment saturez-vous un marché qui compte un nombre relativement modeste de sièges sociaux, et gens fortunés? Quels sont les revenus des fans ciblés? Not to mention the fair weather fan syndrome which exists for Mtl. sports teams other than the Habs.

 

[fmfranck]

Montréal n'a qu'une équipe sportive du Big 4 (NFL, MLB, NHL, NBA). Il y a des villes plus "pauvres" aux USA qui ont plus d'équipes sportives dans les ligues "Top 4" que nous. On peut "au moins" avoir une autre équipe professionnelle selon moi. (On pourra pas dire que je suis biaisé : fait intéressant cependant, aucune des villes suivantes n'a une équipe de la MLS). 

Tampa Bay (3), Pittsburg (3), Cleveland (3), Indianapolis (2),Cincinnati (2), Kansas City (2), Milwaukee (2), Buffalo (2), New Orleans (2).