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Parc du Mont-Royal - Discussion générale


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  • 2 semaines plus tard...

Reçu dans un courriel de l'OCPM :

Le mont Royal en trois dimensions!
Vous pouvez maintenant visualiser une maquette 3D de la montagne sur notre site web. La maquette préparée par la Division de la géomatique de la Ville de Montréal permet de survoler la montagne de manière virtuelle sous tous ses angles.

http://montreal.maps.arcgis.com/apps/webappviewer3d/index.html?id=a86cc6e44fbd41ad879618452a2c52e3

 

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il y a 15 minutes, ScarletCoral a dit :

Reçu dans un courriel de l'OCPM :

Le mont Royal en trois dimensions!
Vous pouvez maintenant visualiser une maquette 3D de la montagne sur notre site web. La maquette préparée par la Division de la géomatique de la Ville de Montréal permet de survoler la montagne de manière virtuelle sous tous ses angles.

http://montreal.maps.arcgis.com/apps/webappviewer3d/index.html?id=a86cc6e44fbd41ad879618452a2c52e3

 

Après qu'un feu a fait disparaître tous les arbres... ?

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http://journalmetro.com/actualites/montreal/1609285/boise-du-mont-royal-asphyxie-bisbille-sur-la-gestion-des-neiges-usees-a-ludem/

13/06/2018 Mise à jour    : 13 juin 2018 | 6:34 

Boisé endommagé: Bisbille sur la gestion des neiges usées à l’UdeM

 Par Mathias Marchal

depot-neige-universite-de-montreal04.jpg

L’Université de Montréal (UdeM) asphyxierait certains arbres du mont Royal en disposant ses neiges usées dans l’un de ses boisés. L’institution assure respecter la loi.

Dans le boisé Édouard-Montpetit, en contrebas du stationnement du pavillon Lassonde, Métro a constaté que la survie d’une cinquantaine d’arbres est compromise. Lors de notre passage la semaine dernière, un amas de neige, de graviers et de détritus était encore bien présent dans la pente, même en ce début de mois de juin. Tout autour, les arbres étaient déjà bien verts, mais dans le sillage du déversement de neiges usées, l’atmosphère était plutôt lunaire.

Selon la Loi sur la qualité de l’environnement (LQE), «la neige qui fait l’objet d’un enlèvement et d’un transport en vue de son élimination ne peut être déposée définitivement que dans un lieu d’élimination autorisé par le ministre en vertu de l’article 22 de la Loi sur la qualité de l’environnement».

La neige gorgée de sel de voirie de graviers est en effet considérée comme un contaminant, d’autant plus qu’elle contient aussi souvent des métaux lourds et des hydrocarbures, stipule une étude de l’Université de Sherbrooke.

boisecc81-udem1.png

À la vue des photos prises par Métro, Emmanuel Rondia, du Conseil régional de l’environnement de Montréal, s’étonne que cette pratique soit autorisée en plein cœur du site patrimonial du mont Royal et se «questionne à propos de son impact sur la pérennité des arbres, mais aussi sur les sols qui se retrouvent pollués par la neige usée et l’eau polluée».

M. Rondia ajoute que plus généralement «les neiges usées sont un frein majeur au verdissement en milieu urbain, notamment en ce qui concerne les stationnements où l’on préfère garder d’importantes zones vierges de végétation pour y accumuler la neige l’hiver».

Dans le cas de l’UdeM, cette gestion des neiges usées pourrait nuire à une partie du projet de renaturalisation du boisé Édouard-Montpetit, qui héberge notamment la salamandre cendrée et qui a bénéficié d’une subvention de 60 000$.

Malgré ce constat, les avis divergent sur la question de savoir si la pratique de l’UdeM est légale. M. Rondia croit que non. Toutefois, le porte-parole du ministère de l’Environnement, Frédéric Fournier, mentionne qu’une inspection a été réalisée en février. «Le fait de souffler de la neige dans un boisé n’est pas un manquement à la LQE et à ses règlements», précise-t-il.

En bref, cette pratique est autorisée, et aucun permis de dépôt n’est nécessaire, s’il s’agit de pousser dans un boisé la neige tombée à proximité. Or, un étudiant préférant rester anonyme affirme, vidéo à l’appui, que des camions viennent l’hiver déverser de la neige dans le stationnement qui est ensuite soufflée dans le boisé, une pratique qui s’apparente plus à la gestion d’un dépôt à neige pour lequel il faudrait un permis.

L’Université affirme ne pas avoir de dépôt à neige et parle plutôt «d’accumulations» de neige soufflée  ou poussée à certains endroit du campus, «de façon à ne pas nuire à la sécurité de notre communauté ou à la circulation». Le tout conformément à la réglementation applicable en la matière», assure-t-elle.

En effet, une exception à la Loi permet en effet de charger de la neige, de la transporter à l’aide de camions et de la déposer définitivement à un autre endroit, si les camions ne passent pas par la voie publique. Or plusieurs des des rues et chemin qui sillonnent le campus sont sous la juridiction de l’université qui peut alors transporter de la neige jusqu’au boisé sans être en contravention.

Luc Nadeau, l’ingénieur forestier qui conseille l’UdeM juge en outre que les déglaçants ne sont vraisemblablement pas en cause dans le dépérissement du boisé Édouard-Montpetit. «On observe l’absence de feuilles ou une forme de nanisme des feuilles qui n’est pas une réaction typique à la présence de sels de déglaçage, Dans un autre endroits sur le campus où la neige est poussée, les arbres ne réagissent pas ainsi», dit-il, en indiquant que des études approfondies permettront d’en clarifier la cause. L’institution affirme être ouverte à l’idée de modifier certaines pratiques, le cas échéant.

Même s’il n’est pas arboriculteur, Emmanuel Rondia maintient que c’est une mauvaise pratique et qu’il aimerait bien lire le rapport de l’ingénieur forestier.

Comme site patrimonial, le mont Royal est sous la houlette du ministère de la Culture et des Communications. Néanmoins, «la Loi sur le patrimoine culturel ne permet pas au ministère d’intervenir dans une telle situation», souligne la  porte-parole du ministère, Annie LeGruiec. «Cependant, des discussions sont en cours entre le ministère et la Ville de Montréal à cet effet, dans l’objectif notamment de sensibiliser le propriétaire aux répercussions liées à cette problématique et de trouver une solution», souligne-t-elle.

Ce n’est pas la première fois qu’un dépôt à neige de l’UdeM attire l’attention des médias. Il y a une quinzaine d’années, c’est un site situé à l’ouest de l’ancienne piste de ski qui avait été dénoncé.

L’arrondissement de Côte-des-Neige-Notre-Dame-de-Grâce, qui veille au respect des règlements municipaux sur le campus, avance n’avoir reçu aucune plainte, mais ajoute que s’il en recevait une, il enverrait un inspecteur «vérifier la situation et agir en conséquence».

900

L’Université de Montréal utilise environ 900 tonnes de déglaçant par hiver. Selon une étude de 2011 répandre une tonne de sel sur la voie publique coûte 75$, mais occasionnerait des dommages totalisant 1117$.  Cela représente des dégâts totalisant 1,6G$ par an au Québec.

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  • 2 semaines plus tard...

http://journalmetro.com/actualites/montreal/1631472/projet-pilote-sur-le-mont-royal-plus-de-200-constats-dinfractions-donnes/

21/06/2018 Mise à jour    : 21 juin 2018 | 3:00 

Projet pilote sur le mont Royal : plus de 200 constats d’infractions donnés

Par François Carabin
Métro

automobiliste-contrevenant-a-la-signalis
Photo : Josie Desmarais

L’interdiction de la circulation de transit sur le mont Royal, instaurée dans le cadre d’un projet pilote mis en place le 2 juin dernier, est régulièrement transgressée. À ce jour, près de 200 constats ont déjà été remis à des automobilistes récalcitrants par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).

Lors du passage de Métro, mercredi matin, aux abords du chemin interdit d’une longueur de 550 mètres, plus de 15 voitures ont illégalement roulé sur la portion défendue de la chaussée en moins d’une heure.

Pourtant, quatre bacs à fleurs en béton limitent le passage des véhicules aux deux extrémités du tronçon. Des pancartes d’interdiction de passage permettent l’entrée des cyclistes, des autobus — municipaux et privés — et des «véhicules autorisés», dont les véhicules d’urgence et d’entretien de la Ville. La limite de vitesse est fixée à 40km/h.

Malgré que de larges bandes rouges soient tracées au sol devant l’entrée de la section interdite, les passages sont fréquents. Mercredi, vers 10h30, un autobus touristique a franchi ces lignes, comme la signalisation l’autorise. En file indienne, trois véhicules de particuliers ont suivi l’autobus à l’intérieur des limites. Une autre voiture, s’amenant en sens inverse, a porté le total d’automobilistes non-autorisés à quatre en l’espace d’une vingtaine de mètres.

L’une des entrées du cimetière Notre-Dame-des-Neiges donne sur le tronçon interdit. Pendant la période d’observation de Métro, quelques voitures s’y sont engagées, ce qu’elles pouvaient techniquement faire, comme elles n’étaient pas en voyage trans-montagne. Une pancarte de la ville conseille toutefois aux véhicules voulant accéder au sanctuaire de 9h à 16h d’emprunter l’autre branche de Remembrance, au sud.

Le projet pilote mis en place par l’administration de Valérie Plante prendra fin le 31 octobre. Il vise évaluer l’impact de l’interdiction de la circulation de transit sur «la circulation, la sécurité, le transport et le transport collectif», avait indiqué la Ville lors de son lancement. Les automobilistes qui veulent accéder au parc doivent passer par le chemin Remembrance ou par la voie Camillien-Houde pour ensuite garer leur véhicule près de la Maison Smith ou du chalet du Mont-Royal.

Le SPVM a dû intervenir à de nombreuses reprises sur le territoire depuis le lancement du projet, selon sa porte-parole, Andrée-Anne Picard. «Il y a eu de la surveillance policière, mais malheureusement nous ne sommes pas constamment là-bas, a-t-elle affirmé. Nous assurons une présence, particulièrement aux heures de pointe, mais il y a encore des gens qui ne respectent pas la signalisation.»

La plupart des contraventions données dans le secteur s’élèvent à des valeurs globales de 149$ ou de 169$, a indiqué le SPVM.

Lorsqu’averti de ces chiffres, l’attaché de presse du cabinet exécutif de la Ville, Youssef Amane, a rappelé que le projet n’en était qu’à ses balbutiements. «Nous avons toujours dit que nous serions en mesure d’apporter des modifications au projet pilote, a-t-il précisé. Il n’est pas coulé dans le béton. S’il y a des modifications à apporter, nous ne sommes pas fermés à l’idée.»

Certains utilisateurs de la route passent par le tronçon pour rejoindre la cavalerie du SPVM, qui est située au sein de la zone. Pour M. Amane, ces passages ne constituent pas des infractions, malgré le fait que ces véhicules de particuliers ne possèdent pas d’autorisation exclusive.

«Ils ne vont pas de l’entrée ouest à l’entrée est, ou l’inverse, a-t-il expliqué. Je ne pense pas qu’ils aient besoin d’une autorisation spéciale. C’est quand même leur lieu de travail. [En plus], même si ce sont des voitures privées, c’est pour des forces policières. On ne coupera pas les cheveux en quatre.»

1000
La consultation en ligne sur les voies d’accès au Mont-Royal, mise en place par l’Office de consultation publique de Montréal, a déjà attiré presque 1000 participants individuels. Les citoyens de Montréal ont également répondu à plus de 3000 questionnaires sur le sujet.

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  • 2 semaines plus tard...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1111119/montreal-bloc-granit-375e-cimetiere-notre-dame-des-neiges-stationnement

Un legs artistique du 375e de Montréal entreposé dans un stationnement

Publié le jeudi 5 juillet 2018 à 20 h 29
 
Une « halte », genre de petit belvédère tourné vers l'intérieur de la montagne, a été installé près du pavillon du lac aux Castors. Neuf autres ont été aménagées sur la montagne, dont quatre dans le parc du Mont-Royal.Le projet, appelé Escales découvertes, consiste en des bancs aux allures de souche d’arbres et de petits belvédères orientés vers la montagne. Photo : Radio-Canada/Jérôme Labbé
 

Les blocs de granit installés l'année dernière sur le mont Royal à l'occasion du 375e anniversaire de Montréal, et dont le coût a suscité une controverse, refont surface.

Le projet, appelé Escales découvertes, consiste en des bancs aux allures de souche d’arbres et de petits belvédères orientés vers la montagne, le tout dispersé dans le parc. Il a coûté plus de 8 millions de dollars, et près de la moitié de cette somme a servi à l’embellissement du parc du Mont-Royal.

Le tout devait être complété grâce à un dernier volet de cinq haltes au cimetière Notre-Dame-des-Neiges. Ces pierres, taillées et prêtes à être installées, demeurent toutefois entassées dans un stationnement.

Un projet dénoncé dès le départ

Les responsables du cimetière affirment que le retard dans ces délais n'est pas imputable à l’administration de la mairesse Valérie Plante.

Dès le départ, le coût du projet, réalisé sous l’administration du maire Denis Coderre, avait été critiqué par l’opposition.

M. Coderre avait alors défendu bec et ongles cette initiative, présentée comme un investissement dans le patrimoine et les espaces publics. « On est en train de se donner une signature, à Montréal », avait-il dit.

 
Des bancs de granit sur le gazonDes bancs de granit ont été répartis aux quatre coins du parc du Mont-Royal. Photo : Radio-Canada/Louise Gravel

À l'époque, Projet Montréal, le parti de Valérie Plante désormais au pouvoir, y était farouchement opposé. Elle avait même qualifié personnellement le projet de « honteux ».

Le budget d’Escales découvertes a déjà été entièrement approuvé et octroyé, mais les blocs de granit sont toujours entreposés dans un stationnement en attendant une réponse de la Ville, qui se contente d’évoquer des « défis administratifs » pour expliquer le retard accusé pour leur installation.

La Ville entend « évaluer la situation dans son ensemble » et dit maintenir un contact continu avec le cimetière Notre-Dame-des-Neiges

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1111119/montreal-bloc-granit-375e-cimetiere-notre-dame-des-neiges-stationnement

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  • 1 mois plus tard...

Article in today's Gazette: https://montrealgazette.com/news/local-news/mount-royal-pilot-project-having-an-impact-on-safety-group-says

Mount Royal pilot project 'having an impact on safety,' group says

"Accessibility is reduced (and) communications are somewhat confused," says Les amis de la montagne's director.

Updated: August 10, 2018
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A project to ban through traffic on Camillien-Houde Way "did not provide for road safety enhancement by any other means than by removing cars," says Helene Panaioti of Les amis de la montagne. ALLEN MCINNIS / MONTREAL GAZETTE

Inadequate communication, bad planning and a lack of public transit have resulted in an overall loss of accessibility to Mount Royal, says a group charged with promoting and protecting the mountain.

“Accessibility is reduced, communications are somewhat confused and the pilot project is having an impact on safety,” said Helene Panaioti, the director of communications, advocacy and community engagement for Les amis de la montagne.

Since June, cars can drive up Camillien-Houde Way or Remembrance Rd. and park either at Beaver Lake or Smith House. They are not permitted to drive between the two parking lots, except when guided by security guards when one of those lots is full.

Buses, pedestrians and cyclists can travel between the two sites. The ban is part of a pilot projectthe city has embarked on from June to October in an effort to improve safety at the site.

Panaioti said Les amis de la montagne believes the pilot project may not have improved safety on the mountain, and has even created some new problems.

 

“The presumption that eliminating cars will make the place safer — I don’t think you can draw that conclusion, because it takes one bad driver or cyclist who doesn’t observe safety rules, (and) that makes it one accident too many,” Panaioti said. “This pilot project did not provide for road safety enhancement by any other means than by removing cars.”

She said motorists disregard the signs that ban transiting traffic, even though police presence on the site has been beefed up. When the Montreal Gazette visited Mount Royal last Friday, 14 cars drove through the no-enter signs in the span of an hour, some driving by a police car with lights flashing to do so.

Having cars driving through an area where they are not expected is dangerous, Panaioti said.

She said there are more conflicts caused by Belvédère Soleil, a new wooden structure built near Smith House with hammocks and a western view to admire sunsets. Even though there is a protected pedestrian walkway with plastic poles to get there from Smith House, the signage isn’t clear, and some cyclists have been using that path, thinking it is a protected bike lane.

The new lookout point also encourages people to walk to the traditional lookout on Camillien-Houde, which is a problem, Panaioti said.

“It’s 100 metres away, and yet it’s one of the most unsafe parts of the street for cyclists and pedestrians sharing the road with cars and buses. It’s not clear that it is essentially dangerous, so a lot of people are walking there. Buses and cars go through there, and it’s very narrow.

“The Belvédère Soleil also looks like a wonderful place to stop, so cars have been stopping on the side of the road in order to go and enjoy the view. They’re not allowed to do that, and it causes safety issues.”

Panaioti added that her group has heard from dozens of people who were not able to access the mountain by bus, because the No. 11 bus is often full and drives by potential passengers waiting at a stop. Although the city added service to the 711 bus that also stops at the mountain, that service is still inadequate.

Cyclists are also causing problems. There are many more of them now on the mountain, and they often disregard the road safety rules, Panaioti said. She fears that cyclists descending the mountain at high speeds could come into conflict with pedestrians or cars.

She added the rules that have been set up for the pilot project are not clear, nor are the city’s objectives, and there is not enough enforcement to ensure people are following those rules.

“When you set rules that are difficult to follow, and then there is no one there to make sure they are followed, it creates a culture of confusion,” she said. “Especially in a situation where cohabitation is more challenging.”

She said Les amis de la montagne is in favour of coming up with a global plan for the mountain and its access routes for all modes of transportation.

“We need to be able to reflect upon where we want to take our city more globally than just, you know, cutting transit for six months,” she said. “Montrealers deserve more, and we need a higher-level process than the one a pilot project can afford us in this situation.”

The pilot project is being studied by the city’s public consultation office. Another public session is planned for Nov. 8, after the road is reopened to all traffic. Panaioti said Les amis de la montagne has been passing on its observations to the city during the project and will present its findings during the information session.

When asked for comment, executive committee spokesperson Youssef Amane said Valérie Plante’s administration has made its views about the pilot project clear and had no other comments to make. He said the project is being improved thanks to comments made by groups like Les amis de la montagne.

 

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il y a une heure, budgebandit a dit :

Cyclists are also causing problems. There are many more of them now on the mountain, and they often disregard the road safety rules, Panaioti said. She fears that cyclists descending the mountain at high speeds could come into conflict with pedestrians or cars.

D’accord donc maintenant ce sont les cyclistes qui posent des soucis de sécurité ? So what’s next ?

Si on applique la meme logique qu’avec les voitures : Piétonnisation totale sans accès au vélo car ils se croient sur une piste d’entrainement pour le tour de France.

Non mais plus sérieusement il faut arreter avec cette logique des « mechants automobilistes » face aux autres. La vérité c’est que dès que le facteur humain entre en compte on a des mauvais comportements que ce soient de la part des cyclistes, des piétons ou des automobilistes. Plusieurs sur le forum ont exprimé leur volonté de voir le chemin Camilien mieux aménagé pour plus de sécurité et un meilleur partage de la voie. Tellement de moyens sont à notre disposition pour y parvenir. On a préféré viser une catégorie des usagers croyant qu’elle était la seule responsable de tous les maux, la facilité en gros. Fausse bonne solution. Mission failed.

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Projet pilote sur Camillien-Houde: près de 7 infractions par jour

Journal Métro
Dominique Cambron-Goulet
 
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Pas moins de 469 constats d’infraction ont été remis à des automobilistes qui ont utilisé le mont Royal pour transiter depuis le début du projet pilote qui l’interdit, le 1er juin.

Ce sont les données fournies à Métro par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) en date de jeudi dernier. Ces 469 constats en 69 jours représentent près de 7 contraventions par jour.

Depuis le 1er juin, il est impossible de passer d’un côté à l’autre de la montagne, puisque traverser du chemin Remembrance à la voie Camillien-Houde est interdit, sauf aux autobus.

L’opposition officielle à l’Hôtel de Ville, qui critique la fin du transit sur le mont Royal depuis son annonce, croit que le nombre élevé de contraventions «montre les failles du projet-pilote». «Les policiers ne sont pas là jour et nuit, donc ce n’est qu’un aperçu des infractions. Ça démontre qu’il y a une mauvaise signalisation et que le projet est un échec», a déploré le chef d’Ensemble Mont­réal, Lionel Perez.

Du côté du cabinet de la mairesse, Valérie Plante, on affirme que des mesures ont été prises depuis juin, dont des activités de sensibilisation du SPVM, pour limiter le nombre de contrevenants. «Des bonifications ont été apportées à la signalisation pour améliorer la cohabitation entre les différents usagers et assurer leur sécurité», a souligné l’attachée de presse de Mme Plante, Geneviève Jutras.

Le SPVM n’a pas pu préciser s’il y avait eu une amélioration du respect des mesures depuis début juin, car il s’agit d’une «nouvelle mesure». «Il est difficile de comparer», a soutenu le corps policier.

0 : Point positif, il n’y a eu ni accident ni accrochage de véhicules rapporté au SPVM depuis le début du projet pilote.

C’est à la suite d’une manœuvre illégale, soit un virage à 180 degrés, que le cycliste Clément Ouimet a été fauché par une voiture en octobre 2017. Son décès a suscité un débat autour de la sécurité sur le mont Royal, qui a éventuellement débouché sur le projet pilote actuel.

«La même manœuvre est toujours possible sur Camillien-Houde, a soutenu M. Perez. Bien qu’il y ait eu une réduction de l’achalandage, beaucoup d’enjeux de sécurité restent.» Il croit même que la fin du transit automobile peut donner «un faux sentiment de sécurité» aux cyclistes, qui rouleraient plus vite qu’à leur habitude.

L’administration n’a pas voulu s’avancer à savoir si un aménagement différent devrait être fait pour limiter les manœuvres illégales, dans le cas où le projet pilote deviendrait permanent. «Nous ne spéculerons pas pour le moment. Nous attendrons la fin du projet pilote et le rapport de l’Office de consultation publique de Montréal», a ajouté Mme Jutras.

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