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L'Économie du Québec


Habsfan

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Il y a 12 heures, steve_36 a dit :

Wow, c'est la première fois que je vois un article aussi élogieux de Montréal (du Québec) dans un journal de Toronto. Et en première page semble-t-il.......et dans le secteur économique en plus !

Donc si le National Post fait ce genre d'article à propos de Montréal et du Québec, c'est probablement parce que la situation est extrêmement favorable. C'est que Toronto et le Canada anglais n'ont plus le choix de reconnaitre le succès de Montréal et que c'est tellement évident qu'ils se doivent d'en parler.

Reste maintenant au reste de la province à le reconnaître..ça va etre encore plus difficile...

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Il y a 2 heures, bruno44 a dit :

Reste maintenant au reste de la province à le reconnaître..ça va etre encore plus difficile...

Pas si le PLQ s'en mêle, il a tellement d'effet! selon certains :rotfl::rotfl::rotfl:

Bien sûr si l'économie va mal, c'est pas la faute du gouvernement en place, mais alors si ça va bien, alors là on leur donne tout le crédit, en oubliant opportunément que ce parti à été au pouvoir la majorité du temps depuis plus d'une décennie. Morale de cette histoire plus on croit à ce jugement simpliste, plus notre crédibilité décroit :thumbsdown:

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Daccord avec toi que le PLQ est là dépuis longtemps mais to oublie un léger détail.....Carlos leitao.....lui était pas là et Martin coûteux non plus..

 

leitao est extraordinaire..en fait le meilleur ministre des finances depuis des lunes.  C'est toujours le PLQ oui mais pas la meme équipe au postes clef.   Les penguins de Pittsburgh étaient pourris au début des annes 2000.... mais là 2 coupes de suite...c'est toujours les penguins mais pas la même équipe.....il y a maintenant un certain Crosby et malkin à des postes clef.

 

leitao est à ce point excellent pour le PLQ et c'est pourquoi je voterai pour eux pour la première fois de ma vie. Ce qu'ils ont accompli pour Montreal et le quebec au niveau de l'économie en 3 ans seulement est pratiquement historique

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51 minutes ago, crosbyshow said:

leitao est à ce point excellent pour le PLQ et c'est pourquoi je voterai pour eux pour la première fois de ma vie. Ce qu'ils ont accompli pour Montreal et le quebec au niveau de l'économie en 3 ans seulement est pratiquement historique

Pauline Marois a deja été ministre des finances du gros n'importe quoi.

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10 hours ago, acpnc said:

Pas si le PLQ s'en mêle, il a tellement d'effet! selon certains :rotfl::rotfl::rotfl:

Bien sûr si l'économie va mal, c'est pas la faute du gouvernement en place, mais alors si ça va bien, alors là on leur donne tout le crédit, en oubliant opportunément que ce parti à été au pouvoir la majorité du temps depuis plus d'une décennie. Morale de cette histoire plus on croit à ce jugement simpliste, plus notre crédibilité décroit :thumbsdown:

 

I understand what you are saying. But to be fair it was the Charest government 10 years ago and now it is the Couillard gouvernment. I think it is unfair to Couillard to lump the two together. While the Couillard government isn't perfect (no government is), I think they do deserve a lot of credit for making some tough, unpopular decisions that are now paying off and turning our economy around.

Modifié par digitalfunkster
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Il y a plusieurs façons d'évaluer l'état de santé d'une économie.  C'est vrai du Québec commme de n'importe quelle autre «entité géographique»  -- que ce soit un pays, une province, une région ou une ville.  Dans un premier temps, considérons les généralités, et dans un deuxième, jetons un coup d'oeil sur le Québec.

1)  On s'attarde généralement à des indicateurs comme la croissance du produit intérieur brut (PIB), le taux de chômage, le taux d'inflation, l'équilibre budgétaire, l'endettement et le solde du compte courant.  Et souvent, on complète le tableau en  faisant des comparaisons avec «les autres».  Chacun de ces indicateurs est significatif, mais j'estime que même en les considérant tous ensemble, on n'obtient pas encore un tableau complet (ie. nous permettant d'énoncer des conclusions incontestables).  Il n'est pas possible ici d'aller dans le détail (et ce ne serait pas le bon endroit); prenons acte toutefois de quelques déficiences évidentes:

a) La croissance du PIB ne dit rien sur sa composition (consommation, investissement, dépenses gouvernementales, exportations moins importations), ni sur sa répartition (eg. par catégories de revenus);

b) L'évolution du taux de chômage ne tient pas compte de la variation du taux de participation au marché du travail; heureusement,  les données requises pour faire les ajustements sont faciles à obtenir;  les données sur la création nette d'emplois s'avèrent aussi une façon objective d'évaluer la situation;  néanmoins, pour compléter ce tableau, il faut aussi considérer l'évolution de la rémunération globale (est-ce qu'on crée des bonnes jobs ou des mcjobs...);

c) Je passe outre à la question de l'inflation; notons que les données sur le PIB «réel» font l'ajustement; toutefois, la composition du «panier» servant à mesurer l'inflation peut être contestable;

d)  L'état des finances publiques, oû on considère un stock (la dette accumulée) et un flux (surplus ou déficit) est attentivement surveillé par les marchés financiers  --avec des implications sur le coût des emprunts.  Par contre, la qualité des services publics est rarement prise en compte dans ces «analyses»;

e)  Le solde du compte courant (exportations moins importations de biens et de services)  est également souvent  l'objet d'analyses (et de comparaisons!); l'opinion générale (conventional wisdom) est qu'un surplus est «bon», et un déficit «mauvais» ce qui est erronné; non pas que  que le contraire soit vrai (comme dans: surplus mauvais, déficit bon!!!), mais la question n'est pas là (je pourrais continuer sur ce thème, mais on s'éloigne un peu trop de notre propos d'aujourd'hui).

2) Alors le Québec?

- La croissance du PIB est très bien, et les facteurs qui l'expliquent sont raisonablement diversifiés, ce qui procure un certain gage de solidité pour (au moins) le futur proche;

- La performance budgétaire est incontestablement remarquable; bien qu'il soit possible qu'elle ne se maintienne pas à ce niveau trop longtemps, on ne voit guère non plus la possibilité d'un renversement radical (comme il est arrivé en Alberta); par ailleurs, le tableau de la qualité des services publics est mitigé: il y a de bons côtés (eg. garderies) et d'autres qui sont problématiques (eg. soins de santé, surtout au vu du vieillissement inévitable de la population); quant aux programmes de soutien au revenu (y compris les programmes fédéraux), ils sont, sans être excellents, bien supérieurs à ce qu'on observe aux USA et dans au moins un grand pays européen réputé «prospère»;

- Le marché du travail semble se porter assez bien, avec une intégration des «jeunes» à un niveau assez positif  (encore une fois, on pourrait faire une comparaison avec certains pays européens  --pas les mêmes auxquels je fais implicitement référence au paragraphe précédent);  de plus, compte tenu des perspectives démographiques (par groupes d'âge), on ne risque guère de tomber dans une situation de surplus de main-d'oeuvre;  cependant, un défi demeure, lié à  des exigences de qualifications de plus en plus élevées, avec en parallèle la disparition prochaine  de nombreux emplois demandant peu de qualifications;  toutefois, ceci est défi auquel font face tous les pays développés, et rien (?) n'indique que le Québec soit moins bien préparé pour y faire face.

Ma conclusion: l'économie du Québec se porte raisonablement bien.  Dernièrement, cette performance positive a été mise en évidence, par des comparaisons flatteuses avec d'autres provinces (notamment l'Alberta et l'Ontario) qui, pour des causes différentes, vivent des moments inquiétants (Alberta: baisse drastique du prix du pétrole; Ontario: déficit budgétaire important, prix élevés de l'immobilier à Toronto, tarifs d'électricité, etc.).  Je pense que, pour une bonne part, la bonne performance économique du Québec est le fruit (plus mature) des efforts de modernisation consentis depuis la Révolution Tranquille.  La performance budgétaire, également remarquable, est le résultat de la conjonction de deux facteurs: des restrictions dans les dépenses, et des revenus en hausse grâce à la croissance de l'économie.  Concernant les restrictions budgétaires, je voudrais noter que ce n'est pas la première fois que des efforts sérieux sont faits: il y eut bien l'objectif de «Déficit Zéro» sous le gouvernement de Lucien Bouchard (PQ).  Mais un virage du déficit au surplus ne se fait pas en un jour;  on a commencé par réduire sa croissance, puis sa part dans le PIB, jusqu'à ce qu'il s'éteigne...Finalement, il y aurait ce fameux «Effet PLQ»: dans le passé, on a eu Jean Lesage, Robert Bourassa I, Robert Bourassa II, et plus récemment Jean Charest; sous le premier (1960-66), la «menace séparatiste» n'existait pas; sous le deuxième (1970-76) apparemment pas; le troisième, très certainement, et le quatrième plutôt moins: quoi de différent cette fois?

 

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@Né entre les rapidesj'aime ton analyse et ton ton objectif qui y ajoute beaucoup de crédibilité. Tu ratisses large avec un point de vue ouvert et sans préjugé, une grande qualité pour quelqu'un qui préfère informer plutôt que convaincre, puisque la conviction suit naturellement quand on a bien compris le propos. J'ajouterais que ta précieuse contribution enrichit considérablement nos débats et discussions, elle a aussi une portée académique non négligeable puisqu'on apprend toujours plein de choses pertinentes si on se donne la peine de s'y arrêter.

Je ne peux alors que te féliciter pour la qualité de ta participation, que je juge exceptionnelle, et le plaisir que me procure chacune de tes interventions indépendamment de mon accord  :thumbsup::thumbsup::thumbsup:

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Je profite de l'occasion pour publier cet article que je juge pertinent à ce fil et dans lequel je partage une bonne part des idées. On est ici à la frontière de la politique et de l'économie, frontière que l'on franchit si souvent dans ce fil dans un sens comme dans l'autre, tellement les deux peuvent être inter-reliés. 

Je crois qu'Alexandre Taillefer fait partie d'une génération montante qui excelle dans les affaires comme dans les idées. Mais à mon avis sa plus grande qualité est un préjugé favorable et sincère pour le bien commun qui n'est certainement pas contradictoire à la pensée économique du point de vue humaniste.

__________________

Alexandre Taillefer: «Se lancer en politique pour changer le monde»

Par Romain Schué Métro
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alexandre-taillefer-2639.jpg?w=618&h=408 Mario Beauregard Alexandre Taillefer

Alexandre Taillefer, futur maire de Montréal? C’est non, affirme l’homme d’affaires. Déjà sollicité, l’intéressé a fermé la porte à une candidature aux élections municipales de novembre. Le fondateur de Téo Taxi, qui ne cache pas son envie de se lancer en politique dans les prochaines années, vise plutôt un poste à Québec et ne s’interdit pas de penser à fonder son propre parti politique.

Votre nom a beaucoup circulé ces derniers mois du côté de l’Hôtel de Ville de Montréal. Vous a-t-on contacté pour vous présenter aux élections municipales?
J’ai été très clair, ce n’est pas quelque chose qui m’intéresse. Je continue de participer de manière non partisane à ce débat, mais je pense que les plus grands leviers, sur lesquels on est en mesure d’avoir un plus grand impact sur notre société, se trouvent davantage à Québec qu’à Montréal.

La porte est définitivement fermée?
Aujourd’hui, M. Coderre joue un rôle de leader important. Il a ramené une ambiance, un dynamisme, la volonté de faire des choses. Je pense qu’il faut continuer dans cette voie-là.

Montréal est-elle repartie de lavant après une dizaine dannées troubles?
On parle peut-être même d’une vingtaine d’années. Il y avait un aspect maussade qui n’était pas relié qu’à un individu. La société n’est pas qu’un maire, c’est un paquet de facteurs, comme l’économie, le taux de chômage. Aujourd’hui, on est dans un marché incroyable et une période très intéressante, avec une bonne activité économique.

Vous avez dit, en novembre 2016, être un «queer politique» ouvert à plusieurs partis…
Le positionnement politique actuel, malheureusement, cantonne des gens dans des positions opposées, alors qu’il y a des choses beaucoup plus importantes. Par exemple, Québec solidaire et le PQ, on dirait aujourd’hui deux enfants d’école qui sont en train de se chicaner. Ils passent à côté, selon moi, d’enjeux plus importants pour le Québec.

Lesquels?
Il faut mettre en place des solutions innovatrices en termes progressistes, arriver avec des nouvelles idées, mettre l’accent sur la chose la plus importante pour notre société: avoir une égalité pour les enfants de 0 à 12 ans. Il faut permettre aux jeunes, qui n’ont pas choisi de naître à Westmount ou à Hochelaga-Maisonneuve, d’avoir des occasions équivalentes.

«On peine à imaginer à quel point il y a un tiers-monde au Québec. Il y a des gens sont extrêmement défavorisés en termes d’éducation, de logement, de conditions salariales. Manon Massé m’a aidé à mieux comprendre cette réalité.»

On dirait le discours dun futur homme politique
La réflexion continue. Je m’intéresse, en tant que citoyen, à de nombreux sujets, notamment l’éducation. Mais il y a plusieurs sujets que je ne maîtrise pas, comme la santé. Dans les années à venir, c’est quelque chose que je vais considérer [aller en politique]. Mais pour 2018 [élections provinciales], c’est hors de question. Je suis engagé dans de nombreux projets qui ont, selon moi, des répercussions importantes sur notre société.

Et dici 2022?
C’est certainement un horizon envisageable. J’aurai 50 ans, ce sera une belle année. Mais 54 ans aussi! Il ne faut pas être pressé. (Rires)

Sur les réseaux sociaux, vous avez félicité Roland Lescure, ex-vice-président de la Caisse de dépôt et placement du Québec et nouveau député français, qui sest lancé en politique, en lui disant: «Jespère avoir un jour ton courage.» Le courage est nécessaire?
Lorsqu’on voit à quel point la population est globalement cynique envers le monde politique, ça prend énormément de courage, de résilience, une coquille et une carapace hors du commun. Les gens ne se rendent pas compte des sacrifices que font ceux qui se lancent en politique. On ne se lance pas en politique pour toucher des pots-de-vin, mais pour changer le monde.

Et vous voulez changer le monde?
La majorité des entrepreneurs veulent changer le monde. L’innovation passe souvent par l’indignation et une situation qu’on ne trouve pas fonctionnelle. Mon objectif est d’identifier des endroits pour améliorer la façon de faire, puis de trouver des solutions créatives. On peut faire beaucoup plus avec autant. On pense souvent, à tort, qu’il faut augmenter les impôts et les taxes pour adopter des solutions progressistes. L’État doit donner des directives, mais il faut compter davantage sur les entrepreneurs.

Navez-vous pas peur dêtre traité de doux rêveur?
J’ai rencontré plusieurs fois Jean-Paul L’Allier qui m’a dit: «Les gens vont te traiter de pelleteur de nuages, mais si tu veux voir un petit bout de ciel, il faut bien commencer par pelleter.» Doux rêveur, c’est un beau qualificatif. Ça ne m’empêche pas d’être un homme d’action et de prendre beaucoup de risques. On ne fera pas un récurage en superficie, il faut s’assurer de revoir la façon de faire de nombreuses choses dans notre société. Mais pour trouver des solutions à des problèmes, il faut rallier les gens de tous les milieux.

Vous considérez-vous comme de gauche?
Si on considère que le bien commun, plutôt que le bien individuel, c’est la gauche, oui. Mais je me considère davantage comme un centriste, même si ce n’est pas très original. Le progressisme que je défends nécessite une croissance et une activité économiques importantes. Il faut créer les grandes entreprises de demain qui vont être capables de financer un environnement plus juste et plus équitable.

«Depuis un an, je vois un changement d’attitude important de Philippe Couillard et des réflexions sur la situation des gens moins favorisés. Je suis agréablement surpris.»

Vous considérez-vous comme indépendantiste ou comme fédéraliste?
Le peuple québécois a voté deux fois contre l’indépendance par référendum. Un projet de pays ne peut se faire sans l’adhésion de tous les segments d’une population sous risque de clivage majeur. Si le Québec parvient à convaincre les anglophones et les allophones de la pertinence de l’indépendance, il sera adéquat  de refaire un référendum. Entre-temps, le Québec a bien d’autres priorités. Je suis un progressiste bien avant d’être un indépendantiste.

Pourriez-vous fonder votre parti?
Lorsqu’on regarde ce que [Emmanuel] Macron a réussi à faire, c’est envisageable. Mais aujourd’hui, les lois sur le financement des partis politiques rendent ça compliqué, puisque les collectes de fonds sont limitées à 100$ par personne. Il faudrait un énorme mouvement social pour arriver à réunir les 2, 3 ou 4M$ requis pour mener à terme une élection.

Alexandre Taillefer, premier ministre du Québec en 2026, est-ce un possibilité?
La politique change à vitesse grand V. Ce serait extrêmement présomptueux de dire ça. Il va y avoir d’autres Gabriel Nadeau-Dubois, d’autres gens qui vont s’inscrire en politique. Ma position n’est pas narcissique. Si quelqu’un arrive avec une position, un charisme et la capacité de rallier des gens, ça va me faire grand plaisir de le soutenir.

Ses chantiers pour Montréal

  • S’il avoue de pas vouloir s’impliquer dans cette campagne municipale, tout en reconnaissant «de bonnes choses qui viennent de Projet Montréal», Alexandre Taillefer milite pour le rapprochement de l’éducation au niveau municipal, à travers le projet de loi sur le statut de métropole: «J’aimerais que les élus, les maires d’arrondissement puissent représenter les écoles et les citoyens à la place des commissaires scolaires.»
  • L’homme d’affaires souhaite également «une position assez ferme» pour accélérer l’électrification et «la mobilité intelligente» dans le domaine des transports en commun. Ouvert à «des taxes kilométriques» et à «un péage au centre-ville», il espère qu’un transport collectif «digne de ce nom» pourra représenter une alternative. «Mais il faut aussi penser au covoiturage, à la priorisation du vélo et de la marche», assure-t-il.
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Le 2017-07-30 à 22:04, andre md a dit :

Pauline Marois a deja été ministre des finances du gros n'importe quoi.

Le pire. Lors d'un face à face avec Legault et Pierre bruneau comme modérateur il y a quelques années...il y avait une longue discussion sur l'économie......pas mêlant...Legault lui a passé le knock out...elle faisait pitié...et je me disais...elle a été ministre de l'économie....ouf j'ai rien contre la dame au contraire...mais..

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