Aller au contenu

Messages recommendés

http://www.cnn.com/2012/07/19/world/canada-montreal-olympic-legacy/index.html?hpt=hp_c2

 

Montreal, Canada (CNN) -- Montreal's Olympic Stadium is known as the "Big O," but for many of the city's taxpayers it is really the "Big Owe."

 

"It took us 30 years to pay it off and as a taxpayer I'm not too happy about it," said one Montreal resident, echoing the anger that many here still feel about the way the games were funded in 1976.

 

"It was not very well managed as a financial project. And we have a fabulous stadium, but I think it cost more than all the covered stadia in North America put together, " said Dick Pound, former International Olympic Committee vice-president and a prominent resident of the Canadian city.

 

However, Pound said calling the Montreal games of 1976 "the bankrupt Olympics" is a bad rap, and pointed out that the games actually made money. He said they paved the way for a new financial structure and the introduction of lucrative new television rights deals.

 

People still come up to him and remember how well the Montreal games were staged and, in the end, how exciting they were, he added.

"They were pretty magic. All Olympics are magic but we had Comaneci with her first '10' and we had the Spinks brothers and we had Sugar Ray Leonard," he said.

Olympic games transformed Barcelona Olympic athletes arriving in London From Tunisia uprising to London Olympics

"I mean we had some magnificent heroes of the modern Olympics."

 

But there is weariness in Montreal about being known for staging the Olympic games that almost bankrupted a city. The city's mayor at the time, Jean Drapeau, famously remarked that if the games end up having a deficit, men will have babies.

And it was in large part due to the Olympic Stadium construction that the statement seems so ridiculous now. The Olympic debt was nearly US$1.48 billion, and the stadium itself has been an engineering nightmare -- the retractable roof has struggled to worked properly over the years and almost forced the closure of the entire arena last year amid safety concerns.

 

But the city's current government insists Montreal has put that legacy behind it and the Olympic stadium is now a key attraction.

"Now it is paid, and it's profitable for Montreal to keep it," said Manon Barbe, the councillor in charge of sports and leisure for the city.

Barbe pointed out that the legacy of the games has created a sporting city that nurtures hundreds of elite athletes.

 

"Today Montreal has more than 1,000 elite athletics and more than 100 coaches. And if it's that high, it's not a coincidence. It is because we decided to keep most of our sporting facilities," said Barbe.

One of those facilities is the Claude Robillard Sporting Center, an impressive training facility for more than a dozen sports that nurtures athletes of all ages. During the 76' games, the center hosted handball and water polo and was a training center for athletics, swimming and field hockey.

 

Today, hundreds of aspiring athletes receive access to coaching and equipment, much of it subsidized by the city of Montreal.

On most days you will find former Canadian Olympian Hank Palmer here on the track, either indoors or outdoors, or training in the pool or weights room.

"If I didn't have this center, I probably wouldn't be at the peak I am, I would not have the career I've been able to have," said the sprinter, who competed at the Beijing Olympics in 2008.

"This center really helped me develop myself, not only as a track athlete but an athlete in general because I have so many other sports around me.

"I can cross-train, do basketball, soccer, weight training, anything."

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Rappelons-nous qu'à l'époque des Jeux de Montréal, on donnait ces Jeux à une ville, et non a une compétence gouvernementale capable de légiférer en matière de lois du travail. Ni la Ville, ni Drapeau n'avaient le pouvoir de contrôler une entreprise aussi complexe et avec des délais aussi courts. S'en est suivi une situation chaotique d'abus et de corruption qui a failli nous couter la présentation de l'événement lui-même. Bourrassa a été lent à réagir et prendre le contrôle de l'opération. Résultat: des couts astronomiques qui n'ont rien à voir avec les prévisions pourtant plus réalistes du début.

 

C'est la principale leçon qui a été retenue des Jeux de 76 et le CIO en a pris bonne note pour les olympiades suivantes.

 

Quant à Montréal, nous avons payé cher notre laxisme et avons appris (bien que...) à mieux gérer les projets. Nous avons heureusement gagné en notoriété internationale et nous nous sommes enrichis de précieux contacts qui nous servent encore aujourd'hui. Pour ce qui est des installations, elles sont grandioses et ont favorisé l'émergence d'une élite dans plusieurs disciplines. Elles desservent aussi une population qui en profite vraiment depuis plusieurs décennies, installations qui feraient probablement défaut encore aujourd'hui si ce n'avait été de ces Jeux.

 

Bilan de l'histoire: une dépense faramineuse due au dérapage et la confusion dans la construction de certaines installations, dont le stade lui-même. Cependant l'opération a mis au monde d'importantes compagnies qui sont encore prospères aujourd'hui et a permis de développer une expertise de classe mondiale.

 

la ville est bien pourvu en installations sportives et peut tenir facilement d'autres événements internationaux, sportifs et culturels notamment.

 

le stade et le parc olympique sont devenus des attractions touristiques importantes et ont favorisé la consolidation de plusieurs autres installations dans l'environnement immédiat, en créant un pôle touristique majeur et un lieu de diffusion sportif, culturel et scientifique de premier choix. Les montréalais en sont d'ailleurs les premiers bénéficiaires.

 

Conclusion: ce ne sont pas les jeux qui ont couté cher, mais la construction des installations, pour les raisons que l'on connait. Autrement, l'opération continue de rapporter des bénéfices sociaux de tous genres, et pourra même éventuellement procurer de réels profits, en maximisant l'usage et le potentiel des magnifiques constructions qu'ils ont légués.

 

En terminant, on pourrait dire qu'à cause de la situation mondiale et le phénomène du terrorisme, les Jeux deviennent de moins en moins abordables pour la majorité des pays. Car ici ce n'est plus la corruption ou la complexité de la construction qui fait problème, mais le cout de la sécurité (qui risque de dépasser le cout des installations) qui menace les Jeux à venir.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a un autre facteur que personne ne parle, c'est que les jeux Olympique APRES Montréal, ont eu le droit de faire du commerce, soit en vendant des redevances ou même de la publicités, ce qui était interdit a Montréal, même si on enlever le facteur de corruption et chantage des ouvriers syndiquer, il y a quand même une grande différence entre avoir a recevoir tout ce beau monde gratuitement pour eux et leur charger des frais astronomique a chaque délégation et avoir des revenus publicitaire pour combler une parties des frais.

 

Malgré tout, les jeux de Montréal, ne sont pas seulement connues pour les dépassements de frais, mais aussi pour le retour a l'harmonie, après les attentats de Munich. J'était adolescent et on a eu le plaisir de rencontrer des athlètes au village et même d'organiser une soirée a la maison avec certains d'entre eux. de très bons souvenirs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.

Countup


×
×
  • Créer...