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  • Administrateur

Si je comprends bien, le projet est au sud du canal, sur les terrains de l'ateliers du CN, donc ce n'est pas le Village Griffintown OU lui, mais il y a la possibilité de voir les deux?

 

En passant, 40% de HLM!!! heu... je sais pas là...

 

Et ils ont consulté un seul architecte... j'ai hâte de voir le résultat.

Village griffintown en a 25 venant de Londres, Montréal et toronto.

 

J'attend plus de détails.

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  • 7 mois plus tard...

Source: Corus

125 pompiers de Montréal combattent actuellement un violent incendie dans un bâtiment de la rue Lebert, dans le secteur Pointe St-Charles.

L'édifice, situé à l'intersection des rues Wellington et des Congrégations, sera visiblement une perte totale. Il s'agit d'un entrepôt de grande superficie servant à l'entreposage de ballot de papier.

 

Source: Canoe

n incendie majeur monopolise un grand nombre de pompiers à Montréal.

 

Les flammes se sont déclarées peu avant deux heures dans un entrepôt situé sur la rue Le Ber, dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Le bâtiment de 450 000 pieds carrés entreposait des ballots de papier. Au moins 125 pompiers ont été dépêchés sur les lieux.

 

Étant donné l'ampleur de l'incendie, il leur est impossible d'entrer à l'intérieur de l'entrepôt. Une partie de la structure s'est effondrée. Les pompiers tentent d'éviter la propagation des flammes aux bâtiments voisins.

 

On ignore pour le moment ce qui a provoqué l'incendie.

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Source: Cyberpresse

 

Un immeuble appartenant à Vincent Chiara s'embrase.

 

Un bâtiment industriel de la rue Le Ber, à Pointe-Saint-Charles, où étaient entreposés illégalement des centaines de ballots de papier destinés au recyclage, s'est embrasé vers 2h dans la nuit de vendredi à hier. L'incendie, qui a tenu les pompiers en haleine toute la journée, couvait toujours au moment de mettre sous presse, hier soir.

 

Le propriétaire de cet immeuble, situé sur d'anciens terrains du CN, est le promoteur immobilier et avocat Vincent Chiara. L'été dernier, la Ville de Montréal lui avait donné jusqu'au 31 octobre pour vider l'édifice.À l'arrondissement du Sud-Ouest, on reconnaît qu'aucune mesure n'avait été prise pour contraindre M. Chiara à enlever ce papier. «Nous n'en étions pas là. Nous l'avons averti en juillet, puis en septembre, puis en octobre», a indiqué la mairesse Jacqueline Montpetit.

 

«Tout le monde savait que la présence de ce papier dans un édifice de la sorte était très dangereuse. Nous étions inquiets et il fallait que les ballots sortent. Je vais attendre impatiemment le rapport de police», a ajouté Mme Montpetit.

 

En entrevue à La Presse, M. Chiara a affirmé que l'un de ses agents de sécurité avait vu un homme tout près du bâtiment, peu avant que celui-ci prenne feu. «Qui avait avantage à voir le bâtiment brûler? Personne. Nous n'avions pas d'assurances», a dit M. Chiara. La police de Montréal n'a pas été en mesure de confirmer cette information. «Nous avons des éléments qui nous permettent de croire que l'incendie n'était pas accidentel», a toutefois indiqué le chef des opérations du Service de prévention des incendies de Montréal, Benoît Fleury.

 

Acquis au prix de 1$

 

Les ateliers ferroviaires où se trouvait l'immeuble détruit par l'incendie ont été construits au milieu du XIXe siècle. Dans les années 80, le CN a loué le terrain et les ateliers au groupe Alstom, avant de les vendre en 2006 à la Fiducie Mach, l'entreprise de M. Chiara, pour la somme de 1$. Cette transaction avait suscité l'étonnement et l'indignation tant des citoyens du quartier que de la firme Canderel et Associés, dont l'offre de 20 millions avait été rejetée par le CN.

 

En mai 2007, le magnat immobilier avait indiqué sa volonté d'utiliser le quart des 325 000 mètres carrés du site à des fins résidentielles.

 

M. Chiara s'est porté acquéreur de plusieurs propriétés dans la région de Montréal au cours des dernières années. Fiducie Mach - nommée en l'honneur de ses enfants, Maria et Angelo Chiara - est actuellement évaluée à 1 milliard de dollars. Elle comptait faire des investissements évalués à 450 millions d'ici deux ans.

 

Avant de devenir promoteur immobilier, Vincent Chiara travaillait surtout comme avocat, une pratique qu'il a délaissée au cours des dernières années même s'il demeure membre du Barreau. Il a déjà été l'avocat des frères Caruana, des intermédiaires en transport de drogue et en blanchiment d'argent actifs à l'échelle de la planète. Il est notamment partenaire de la famille Saputo, avec laquelle il est copropriétaire de plusieurs édifices, dont la tour de la Bourse et la tour CIBC.

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Bon, outre un gros morceau de l'histoire industrielle de Montréal qui part en fumée (ce sont les anciens ateliers du CN), les trains de la NJT loués par l'AMT et en train d'être nettoyés y étaient entreposés.

On peut voir quelques voitures à quelques mètres à peine du brasier ardent et une locomotive amochée par l'effondrement d'un mur de brique. Peut-être que certains autres équipements ont été plus fortement endommagés (ou détruit), je n'en sais rien. Entre les dégats causés par la fumée et la chaleur et l'évidente ré-attribution du contrat, les nouveaux départs envisagés par l'AMT risquent fort probablement de tomber à l'eau pour un moment...

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tout cela est très louche. La compagnie qui y stockait du papier avait jusqu'au 31 octobre pour vider son entrepôt.

 

or, dans les jours précédents, au lieu de vider l'entrepôt la compagnie en a apporté des dizaines de tonnes supplémentaires un samedi matin vers 6h AM , en cachette.

 

La valeur de ce papier recyclé vient de crasher sur le marché mondial du papier et la compagnie ne savait quoi en faire.

 

Et boum, en pleine nuit le tout part en fumée...

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  • 2 mois plus tard...

Édifice patrimonial menacé à Pointe-Saint-Charles

 

Le Devoir

Jeanne Corriveau

Édition du vendredi 06 février 2009

 

Mots clés : Édifice patrimonial, Pointe-Saint-Charles, Vincent Chiara, Construction, Montréal

 

Le promoteur Vincent Chiara souhaite raser ce qui reste du bâtiment ravagé par un violent incendie en novembre dernier sur le site des anciens ateliers du CN à Pointe-Saint-Charles. Compte tenu de l'intérêt patrimonial de l'édifice, l'arrondissement du Sud-Ouest a annoncé qu'une contre-expertise serait effectuée pour savoir si certains éléments de ce bâtiment pouvaient être préservés.

 

Dans la nuit du 14 au 15 novembre dernier, un incendie a éclaté dans un bâtiment industriel de la rue Le Ber, où étaient entreposés illégalement des ballots de papier destinés au recyclage. L'édifice de 450 000 pieds carrés fait partie d'un ensemble industriel dont la valeur patrimoniale avait été qualifiée d'exceptionnelle par le Service de mise en valeur du territoire et du patrimoine de la Ville de Montréal. L'immeuble, qui a été lourdement endommagé par l'incendie, était d'ailleurs celui dont l'architecture était la plus intéressante. Le brasier n'a épargné essentiellement qu'une partie de la façade et d'un mur latéral. L'origine de l'incendie n'a toujours pas été élucidée, et le service de police de la Ville de Montréal poursuit son enquête.

 

Le site des ateliers du CN fera l'objet d'un ambitieux projet de développement par le propriétaire, Vincent Chiara, du groupe Mach. Le projet comporte trois volets, soit la construction d'un centre d'entretien de locomotives et de wagons par l'Agence métropolitaine de transport, la construction de 1000 logements et l'aménagement d'un secteur industriel.

 

L'annonce de la démolition possible des vestiges du bâtiment abîmé par le feu a semé l'émoi dans le quartier. Interpellée lors de la séance du conseil d'arrondissement par des citoyens inquiets, mardi soir, la mairesse Jacqueline Montpetit a confirmé que le propriétaire avait déposé une demande de démolition pour deux bâtiments, dont celui ravagé par l'incendie. M. Chiara a également soumis un rapport d'expertise d'un ingénieur qui soutient que le bâtiment doit être démoli en raison des dommages importants causés par l'incendie. Mais l'arrondissement entend demander une contre-expertise sur les deux bâtiments visés. «À l'arrondissement, on ne fonctionne pas avec un pic et on ne cherche pas à démolir. Ce n'est pas comme ça qu'on travaille. On a un comité de démolition qui reçoit les requêtes, et je vous dis que ce n'est pas facile de démolir quelque chose dans l'arrondissement», a expliqué Mme Montpetit.

 

Tant Action-Gardien qu'Héritage Montréal, qui avait identifié en 2005 les ateliers comme un emblème menacé à Montréal, souhaitent que le bâtiment sinistré, ou ce qui en reste, soit préservé, même s'ils reconnaissent que l'édifice a été endommagé de façon importante. «Il ne faut pas prendre une décision hâtive, insiste Dinu Bumbaru, d'Héritage Montréal. Ce n'est pas un site qui risque de tomber sur la voie publique. Il faudrait peut-être penser à stabiliser les structures ou à clôturer l'endroit.»

 

Il n'a pas été possible d'obtenir les commentaires de Vincent Chiara.

 

 

http://www.ledevoir.com/2009/02/06/231882.html (6/2/2009 2H05)

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