Aller au contenu

Technopole angus - phase 2


MARTY

Messages recommendés

Yaccarini is getting serious...40,000-square-metre lot!!! Sorry, it's a little late ..better late than never!

 

 

:stirthepot::stirthepot:

 

logo-fr.gif

Media Advisory - Thirty International Urban-Development Experts Meet at Technopôle Angus to Plan Tomorrow's Neighbourhood

 

MONTREAL, Aug. 23, 2011 /CNW Telbec/ - As part of the Ecocity World Summit, Société de développement Angus (SDA) will be welcoming thirty or so architects, urban planners, urban sociologists, and other city-planning professionals who will reflect upon tomorrow's neighbourhood—in relation to the development of a 40,000-square-metre lot located at Technopôle Angus.

 

Société de développement Angus wants to develop this last lot—located at the heart of the island of Montreal—in perfect harmony with the lifestyle and work habits of the next generations of citizens. SDA also wants to create an inspiring environment in which to live, one that will become a reference in matters of urban revitalization and sustainable development.

 

Société de développement Angus invites the media to attend the discussions between these experts and to visit the project's site.

 

Christian Yaccarini, president and CEO (SDA), Charles Larouche, vice-president and general manager (SDA) and some participants will be available for interviews.

 

When? Thursday, August 25, 2011, at 2 p.m.

Where?

 

Locoshop Angus

2600, William-Tremblay Street

Montreal

 

Note: Journalists who have registered with the Ecocity World Summit can get to the event aboard a reserved motorcoach. Departure will take place at 1:10 p.m. from the Viger Hall of Montreal's Palais des congrès (1001, place Jean-Paul Riopelle). Please identify yourself to the SDA representative bearing the "Charrette Angus" sign.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 années plus tard...

Enfin un [vrai] quartier vert pour Montréal?

18/09/2013

 

 

Difficile de reprocher à la Société de développement Angus (SDA) de manquer d’ambition pour son prochain projet dans Rosemont. L’objectif: créer un quartier de réputation mondiale en matière de développement durable.

 

C’est ce que m’expliquait récemment le président et chef de la direction de la SDA, Christian Yaccarini, alors qu’il planifie depuis des mois la dernière pièce de son puzzle au Technopôle Angus: un quartier mixte (commercial et résidentiel) d’une superficie de 550 000 pieds carrés, soit l’équivalent de 11 terrains de football.

 

Sa vision s’articule autour d’un quartier composé entièrement de copropriétés écologiques répondant aux normes canadiennes LEED (Leadership in Energy and Environmental Design); Autour d’une rue piétonne traversant le site d’une extrémité à l’autre, bordée par des places publiques, des terrasses et des jardins d’agriculture urbaine; autour d’un site où aucun stationnement de surface ne serait créé pour éviter de générer de nouveaux îlots de chaleur dans l’arrondissement.

 

Oubliez également les tours à condos «à la Griffintown» pour de jeunes couples sans enfant: on ne prévoit que du logement social ou abordable, avec au moins trois chambres à coucher. Une option devenue malheureusement trop rare ces dernières années pour les familles qui désirent rester à Montréal.

 

Mais le clou du projet résiderait dans la récupération de l’énergie produite par les activités commerciales du secteur. La SDA envisage sérieusement la possibilité de créer une «boucle énergétique» entre divers édifices, ce qui permettrait, par exemple, de récupérer la chaleur générée par les réfrigérateurs d’un restaurant pour chauffer les condos voisins. Une stratégie qui a déjà fait ses preuves dans les pays scandinaves. Pourquoi pas à Montréal? Christian Yaccarini s’est d’ailleurs déplacé en Finlande, en Suède et au Danemark pour y étudier la conception de ces systèmes de transfert énergétique. Sans oublier que la SDA s’intéresse également à de nouvelles technologies universitaires (notamment celles de la Polytechnique) en voie de convertir nos déchets résidentiels et commerciaux en énergie.

 

Bref, j’étais honnêtement loin de m’attendre à une proposition aussi avant-gardiste en me présentant aux bureaux de la société. Le seul mot qui me venait en tête à la fin de la rencontre était «enfin!». Enfin un promoteur responsable qui désire, par lui-même, pousser encore plus loin la notion de «quartier durable» à Montréal. Parce que, soyons honnêtes: plusieurs promoteurs (pour ne pas dire nos élus) ont parfois la gâchette facile sur l’expression «quartier vert». Ajouter quelques arbres ici et là et des pistes cyclables dans un développement résidentiel ne constituent pas un «quartier vert» en soi. C’est un départ, certes, mais sans plus. Un milieu de vie bien réfléchi devrait réduire au maximum les déplacements boulot-resto-dodo, fournir un accès rapide aux transports actifs et collectifs, présenter des bâtiments écologiques qui minimisent leur consommation d’énergie et, si possible, proposer une gestion exemplaire des déchets. La SDA l’a compris.

 

Il ne reste plus qu’à se demander si cette ambitieuse vision se concrétisera réellement d’ici 2020. Plusieurs étapes restent évidemment à franchir, mais rien n’empêche de rêver.

 

***

Séance d’information: La SDA tiendra une assemblée publique jeudi soir, 19h, pour présenter en détails son plan d’aménagement pour le Technopôle Angus.

 

http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/374335/enfin-un-vrai-quartier-vert-pour-montreal/

 

Il y a plan sur le page web.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 année plus tard...

http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201502/04/01-4841115-technopole-angus-le-projet-passe-a-265-millions.php

 

Technopôle Angus: le projet passe à 265 millions

MAXIME BERGERON

La Presse

 

965344-esquisse-cour-interieure-projet-immobilier.jpg

 

Le projet de mise en valeur des derniers terrains du Technopôle Angus s'élève maintenant à 265 millions de dollars et il pourrait même totaliser 350 millions avec toutes les sommes qui seront investies par les futurs locataires, a appris La Presse Affaires.

 

Selon les plans déposés peu avant Noël à l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie (RPP), ce mégaprojet prévoit 6 immeubles résidentiels, 11 bâtiments commerciaux, de vastes espaces publics ainsi qu'une érablière urbaine. Le futur quartier écologique devrait en outre générer sa propre énergie, revaloriser tous ses déchets et gérer lui-même le ramassage de sa neige.

 

«Notre objectif est d'amener 1500 emplois supplémentaires dans le quartier», a résumé Christian Yaccarini, président et chef de la direction de la Société de développement Angus (SDA), pendant une longue rencontre avec ses partenaires.

 

La mise en valeur des anciennes «Shops Angus» est entamé depuis une vingtaine d'années. Alors que des constructeurs érigeaient des centaines de condos et maisons de ville tout autour, la SDA a bâti un parc d'entreprises qui emploie aujourd'hui 2300 personnes. L'Ordre des infirmières et infirmiers du Québec, par exemple, vient tout juste d'y déménager son siège social.

 

La dernière phase du Technopôle Angus vise à développer un terrain en friche de 75 000 pieds carrés, situé à la lisière entre RPP et le Plateau-Mont-Royal. Le projet avait été évalué à 200 millions par la SDA à l'automne 2013, mais la plus récente mouture atteint maintenant 264,7 millions. Une centaine de millions en «améliorations locatives» devraient aussi être investis par les entreprises locataires.

 

«Manque d'enthousiasme»

 

Pour mener son projet à bien, la SDA devra obtenir diverses dérogations au chapitre des hauteurs et densités permises, ainsi qu'un changement de zonage. À l'heure actuelle, la réglementation permet seulement un usage commercial et industriel sur ce lot.

 

Le changement de zonage est primordial, fait valoir Céline C. Merthénat, spécialiste en développement durable de la firme d'architectes Provencher Roy, qui a élaboré le concept du Technopôle avec la SDA. «C'est sur la mixité que repose la faisabilité financière du projet.»

 

Christian Yaccarini renchérit. «Si on n'a pas le volet résidentiel, ça remet en question notre capacité à attirer les entreprises», a-t-il avancé.

 

Le promoteur s'enflamme lorsqu'il parle de ses relations avec l'arrondissement de RPP. Il déplore un «manque d'enthousiasme» de la part des fonctionnaires locaux, qui lui auraient fait part de possibles délais de 16 mois pour l'étude du dossier. «Ils nous disent qu'ils se posent des questions sur le volet résidentiel. Ils disent: «Angus, ça sert à l'emploi.» Nous, on leur dit: «On en a créé 2300, et on en créera encore 1500.» »

 

Selon M. Yaccarini, la nouvelle phase du Technopôle répond en tous points aux orientations visées par Montréal, soit une mixité des usages et une densification accrue des quartiers. Le projet ne comptera aucun stationnement de surface (plutôt 550 en souterrain) et prévoit une rue partagée qui donnera la priorité aux piétons.

 

Le maire favorable

 

François Croteau, maire de RPP, se dit surpris des inquiétudes exprimées par la SDA. «Un projet d'une telle envergure, on s'entend qu'on veut tous le réaliser dans les meilleurs délais et qu'on est tous favorables, dans l'administration, à aider la SDA à le réaliser, parce que ça peut servir de modèle en termes de développement à Montréal.»

 

Le maire d'arrondissement estime qu'un plan pourrait être adopté «avant l'automne». De nombreuses modifications devront toutefois être apportées au zonage, précise-t-il. «Il faut comprendre que c'est un changement de cap majeur dans le développement de l'îlot central du pôle Angus.»

 

La SDA espère ériger d'ici 10 ans un écoquartier «reproduisible» ailleurs, qui deviendra éventuellement une référence mondiale.

 

---------------

 

LE PROJET EN BREF

 

> Terrain de 75 000 pieds carrés

 

> 450 000 pieds carrés de bureaux

 

> 300 000 pieds carrés de résidences

 

> 15% seront abordables

 

> 30 000 pieds carrés de commerces

 

> 20 000 pieds carrés d'espaces publics

 

> 1 «boucle énergétique» reliera tous les immeubles du projet

 

> Budget estimé: 265 millions

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 7 mois plus tard...

 

Excellente nouvelle pour le quartier et pour la Ville. A chaque fois que l'on développe un projet urbain sur l'ile de Montréal, c'est un coup de pouce à la ville et un coup de frein à l'étalement. En plus quand on planifie des usages mixtes, ici bureaux, commerces et logements, on diminue la pression sur les transports. Cela permet notamment à plusieurs travailleurs d'élire résidence à proximité de leur emploi et de profiter aisément de services de proximité.

 

En bout de ligne on obtient une ville à échelle plus humaine, où la qualité de vie est supérieure et qui favorise le développement économique de tout le secteur. Ce sont en plus des entrées d'argent supplémentaires pour l'administration municipale, qui peut alors mieux répartir la richesse via ses services à la population. Comme on s'adresse à la classe moyenne, les prix des logements sont abordables et très concurrentiels par rapport à la banlieue, si on calcule l'ensemble des dépenses par ménage.

 

Finalement un quartier intégré où la verdure occupe une place de choix, et où on favorise les déplacements à pied et à vélo, est parfaitement en accord avec l'esprit du développement durable. C'est aussi un environnement idéal pour élever une famille, en démontrant que la ville peut offrir des avantages bien supérieurs à la banlieue, contrairement à la croyance populaire. C'est la preuve en même temps que l'économie sociale devrait jouer un plus grand rôle dans notre société, en parallèle avec l'entreprise privée et les gouvernements.

 

Je salue donc cette incroyable initiative et cet esprit communautaire qui a tenu la barre avec force et énergie pendant plus de deux décennies. Cette action concertée aura permis qu'aboutisse un important projet de développement, sans que le profit financier ne soit la première motivation, ni sans faire de concession à la qualité du bâti. Un bel exemple pour d'autres organismes (OSBL) qui pourraient être tentés par l'aventure et une réalisation concrète à promouvoir ailleurs dans le monde.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 7 mois plus tard...
L'ampleur du projet a suscité une vive opposition chez des citoyens riverains, qui craignent de perdre leurs vues sur le mont Royal.

 

Et ben, je viens d'apprendre qu'il y a une vue sur le Mont-Royal lorsqu'on est autant dans l'est. Ça commence à faire un peu loin pour réclamer un droit de vue sur la montagne, je trouve.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

 

Non mais quelle absurdité!

 

Ce projet est probablement le seul projet immobilier réussi sous l'ensemble de ses aspects (architectural, design urbain, échelle humaine, environnemental, social).

 

Et là on l'annulerait parce que quelques personnes vont perdre une supposée vue qu'ils ne regardent probablement jamais?

 

Ce site est très bien situé, et ne pourra pas toujours rester vide. Ils auraient préféré quoi? Une tour de 56 étages? Un Wal-Mart et son parking? 200 maisons identiques et leur gazon taillé? Ils ont la chance de compléter leur quartier avec un ilot qui promet d'être vivant et agréable! Ils sont fous de vouloir s'en passer.

 

Nuire à ce projet, c'est directement encourager un nouveau développement étalé à Blainville. On aura beau ne pas souhaiter d'étalement urbain, si on refuse de développer nos sites stratégiques, il ne reste pas grands choix aux promoteurs.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Publié le 25 mai 2016 à 07h52 | Mis à jour à 07h52

La CSDM envisage faire construire une école primaire par le privé

 

MAXIME BERGERON

La Presse

 

Prise à la gorge financièrement, la Commission scolaire de Montréal (CSDM) envisage pour la toute première fois de faire construire une école primaire par un promoteur privé dans le quartier Rosemont, laquelle lui serait ensuite louée en vertu d'un bail à long terme.

 

Selon nos informations, la présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon, et d'autres dirigeants de la commission scolaire ont rencontré le président de la Société de développement Angus (SDA) il y a environ un mois. Ils ont discuté de la possibilité de construire une école primaire d'environ 400 places à l'angle de la rue Molson et de l'avenue du Mont-Royal, sur une parcelle d'un vaste terrain en friche des anciennes « shops Angus ».

 

« On travaille activement avec la CSDM pour installer une école primaire, parce qu'il y a une pénurie grave dans Rosemont », a confirmé hier à La Presse Christian Yaccarini, président de la SDA.

 

La SDA et la CSDM planchent actuellement sur « deux hypothèses », dit M. Yaccarini. Dans un premier scénario, la SDA construirait l'école et la louerait ensuite à la commission scolaire en vertu d'un bail de 40 à 50 ans. Dans l'autre, la SDA bâtirait l'école, qui serait ensuite achetée par la CSDM. L'occupation du terrain ferait l'objet d'un bail emphytéotique de 99 ans.

 

Alain Perron, porte-parole de la CSDM, confirme que « différentes avenues » sont à l'étude en vue de construire une nouvelle école à Rosemont, où « les besoins en matière de capacité d'accueil sont criants ». Il est cependant trop tôt pour statuer sur la solution qui sera privilégiée, a-t-il ajouté.

 

Le porte-parole précise qu'une telle entente de location-bail, si elle se concrétise, constituerait une première pour la CSDM. La chose ne serait toutefois pas inédite, a-t-il précisé, en citant l'exemple de certaines écoles publiques qui louent des locaux dans des quartiers densément peuplés de New York.

 

Au ministère de l'Éducation, à Québec, il a été impossible de savoir hier si une telle entente avait déjà été conclue ailleurs dans la province.

 

UNE COUR SUR LE TOIT

 

Si ce projet va de l'avant, la nouvelle école s'inscrira dans un nouvel écoquartier de 265 millions de dollars proposé par la SDA, appelé Technopôle Angus. L'école serait entourée d'environ 500 nouvelles habitations, ainsi que de plusieurs entreprises, commerces et places publiques.

 

Signe de cette grande densité, la cour d'école serait installée sur le toit de l'établissement, plutôt que sur un terrain adjacent, en vertu des scénarios qui ont été discutés à ce jour.

 

Christian Yaccarini tient à préciser que la formule présentement en discussion ne constitue pas un« PPP » - partenariat public-privé -, dans la mesure où son organisation ne serait pas responsable de l'entretien de l'école pendant la durée du bail. La SDA, fondée en 1995, se décrit comme une « entreprise d'économie sociale ».

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.




×
×
  • Créer...