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Expos de Montréal


mtlurb

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Just now, TomSawyer said:

Tu aurais peut-être intérêt à te documenter sur sa position.. 

C'est quoi le rapport avec l'Impact et Joey Saputo?!? J'abandonne. N'oublie pas le chapeau en aluminium et de ne pas respirer les chem trails qui tentent de te faire aimer le soccer en contrôlant ta pensée. 

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il y a 1 minute, fmfranck a dit :

C'est quoi le rapport avec l'Impact et Joey Saputo?!? J'abandonne. N'oublie pas le chapeau en aluminium et de ne pas respirer les chem trails qui tentent de te faire aimer le soccer en contrôlant ta pensée. 

eh boy.. ok.

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4 minutes ago, TomSawyer said:

Dans mon délire paranoïaque je vois Ferandez faire tout en son pouvoir pour empêcher le groupe d'investisseurs d'acquérir le terrain convoité dans le secteur du bassin Peel.

 Ferrandez a exprimé son dégoût à quelques reprises pour le retour du baseball, mais cela se passe bien plus haut que lui.

Reste que le débat qu'un type comme lui alimente est souhaitable.

Que le PLC soit prêt à mettre en place un transfert à la ville des lots de la SIC et du Port de MTL représenterait une subvention au même titre que les dizaines ou centaines de millions que la CAQ offrira pour la construction su stade et d'un congé de taxes de la par de la ville. 

Il n'y aucun propriétaire américain qui souhaite voir un autre club se bâtir un stade sans une aide gouvernementale. Ca passerait mal dans un contexte où ils auraient à décider si ils laissent ou non Stephen Bronfman devenir un des leurs, surtout pour un marché qui bénéficiera de la péréquation. Ceux deux points représentent de gros enjeux pour le groupe Montréalais aux yeux de la MLB.

Personnellement, je crois que la position du PLC et de la CAQ se défendraient très bien, surtout dans un contexte où il n'y pas un club existant. Les nouveaux impôts récoltés les rembourseraient assurément, il y avait près de 5000 Québécois par matchs à Toronto au cours des derniers étés(selon un v-p des Jays, et cela s'entend dans le Rogers Center), ...   

Mais le faire sous le même modèle tel qu'on le voit encore trop souvent aux USA serait tout de même fort discutable et il le débat est nécessaire. Demander des garanties. Et par exemple que la CDPQ soit un partenaire direct du développement autour du stade(pas que le secteur privé), ...

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1 hour ago, mtlurb said:

Il doit me manquer un bout, mais où c’est dit que la CAQ va allonger des centaines de millions?

C'est trop tôt pour qu'ils se compromettent, on parle au conditionnel.

Mais ce n'est que depuis la rencontre que Bronfman dit ouvertement que le provincial devra participer. Et Legault a dit que leur rencontre a été bonne, qu'ils participeraient à la condition que cela fasse du sens financièrement et que le privé assume la majorité des coûts(du stade). 

Comme j'ai écrit plus haut, autant je suis pour le projet, autant je crois qu'ils doivent être très responsables dans leur possible participation. Les propriétaires de la MLB ont réussi plusieurs des pires aberrations jamais vues en terme de financement de stades...

Pour piste, Claridge(Bronfman) et la CDPQ ont fait une annonce plus tôt cette semaine à propos d'investissements de 100 millions dans un fond pour divers projets immobiliers au Québec..

Modifié par JayDee
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  • Administrateur

Que la caisse participe dans le projet en étant actionnaire c’est une chose, mais que le gouvernement “donne” de l’argent s’en est une autre. 

Que la caisse participe dans le projet en étant actionnaire c’est une chose, mais que le gouvernement “donne” de l’argent s’en est une autre. 

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12 minutes ago, mtlurb said:

Que la caisse participe dans le projet en étant actionnaire c’est une chose, mais que le gouvernement “donne” de l’argent s’en est une autre. 

La vocation de la CDPQ irait bien dans un partenariat avec les investisseurs pour le développement des alentours du stade. À mon avis c'est le genre de garanties autour desquelles le gouvernement doit orienter ses discussions avec Bronfman. D'autant plus avec le REM. Je ne vois pas la CDPQ devenir actionnaire, tout au plus peut-être pour un prêt(comme elle l'avait fait lors de la vente du CH).

Modifié par JayDee
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CHRONIQUE
La description  du mot  « stratagème »


PATRICK LAGACÉ
LA PRESSE
Je suis sceptique face à cette fièvre qui nous annonce le possible retour du baseball à Montréal parce que je suis un lecteur régulier du blogue de Neil deMause.
Le blogue porte le nom de Field of Schemes et il décortique les nombreux stratagèmes déployés par les ligues de sport professionnel pour arracher des fonds publics afin de se faire construire des stades.
Et pendant que Montréal rêvait bruyamment cette semaine que le club de Tampa Bay quitte la Floride pour venir jouer ici, à la faveur d’un bras de fer entre le propriétaire de l’équipe et la Ville de St. Petersburg, le blogueur Neil deMause, lui, a écrit ceci, jeudi, aux fans de Montréal : ça n’arrivera pas !
Il a décortiqué non seulement le bail liant la Ville de St. Pete aux Rays pour l’occupation du vieux stade, le Tropicana Field, mais également l’annexe au bail, signée en 2016.
Pour faire court, le bail St. Petersburg–Rays fait rêver les amateurs montréalais parce qu’il prévoit des pénalités somme toute modestes, si les Rays s’avisent de quitter le Tropicana Field avant 2027…
Mais l’annexe, elle, prévoit que ces pénalités s’appliquent si les Rays veulent quitter St. Petersburg pour aller jouer à deux endroits et deux endroits seulement : dans deux comtés du coin, Pinellas ou Hillsborough.
That’s it.
Montréal, Charlotte ou Oulan-Bator ? Nope, impossible pour les Rays de déménager ailleurs qu’à Pinellas ou Hillsborough…
À moins que le baseball majeur ne souhaite s’enliser dans une bataille judiciaire à l’issue incertaine et envoyer le message que les équipes des ligues majeures ne respectent pas leurs contrats avec les villes qui se saignent pour accueillir des clubs.
« Je dirais aux gens de Montréal d’être patients, et même d’être très, très patients, m’a dit Neil deMause lors d’une entrevue, vendredi. Je ne vois pas les Rays quitter St. Petersburg avant 2027. Et je ne vois pas d’expansion avant la seconde moitié des années 2020. »
Oh, c’est ici que je dois vous présenter Neil deMause : en 1998, avec sa coauteure Joanna Cagan, il a publié un livre devenu célèbre sur les méthodes utilisées par les ligues de sport professionnel pour faire cracher aux villes et aux États américains de l’argent public : Field of Schemes, réédité en 2008. Parmi ces méthodes, en voici deux qui devraient attirer l’attention des Québécois : 
1) le chantage au déménagement ;
2) l’utilisation d’études de marché aux promesses aussi spectaculaires que fausses sur les retombées économiques et médiatiques générées par un club de sport.
Commençons par le chantage au déménagement…
L’industrie du sport professionnel a réussi à faire croire au public qu’une équipe de sport était plus qu’une entreprise privée profitable au sein de ligues aux chiffres d’affaires astronomiques (revenus du baseball majeur en 2017 : 13 milliards CAN) : « Une équipe est désormais vue comme un bien public », dit Neil deMause.
Les titans du sport font donc du chantage au déménagement. Elles disent aux villes, aux États, aux provinces : si vous ne payez pas pour nos stades, nous allons déménager. Elles savent que les élus pourraient devoir payer un prix politique pour avoir « perdu » un « bien public ».
Bâtir un stade coûte extrêmement cher, rappelle Neil deMause. Le stade dont rêve le propriétaire des Rays, à Ybor City, de l’autre côté de la vieille baie de Tampa, coûterait par exemple 900 millions US.
« Pour qu’un stade soit rentable, il doit être construit à coût modique, ou alors abriter plusieurs équipes, dit Neil deMause. Ou être le centre d’un projet immobilier d’envergure. Donc, pour une équipe professionnelle, obtenir un stade payé par les fonds publics, en tout ou en partie, est une façon d’avoir des subventions. »
Et ce qui est utile, quand on fait du chantage au déménagement, c’est justement d’avoir une ville prête à accueillir votre équipe, comme Québec, qui attend depuis 1995 ses Nordiques 2.0, et comme Montréal, qui rêve aux Expos 2.0. Beaucoup de villes en Amérique du Nord attendent l’arrivée d’un club de sport professionnel et servent ainsi d’épouvantail pour faire du chantage au déménagement.
Bref, que le nom de Montréal circule comme destination éventuelle des Rays de Tampa est un classique du livre de jeux des patrons de ligues professionnelles quand ils tentent d’arracher de meilleures conditions aux autorités locales…
L’autre stratagème dans l’arsenal des équipes professionnelles pour soutirer des fonds publics aux élus, c’est de faire miroiter d’énormes retombées, en activité économique et en visibilité.
C’est ici qu’entrent en scène des firmes de consultants qui font des études de marché « prouvant » ces retombées mirobolantes.
Neil deMause n’y croit jamais : « Il y a toute une industrie de consultants dont le modèle d’affaires est de dire aux gens qui les embauchent ce qu’ils veulent entendre. La plupart font des rapports extrêmement optimistes pour les retombées en visibilité et en argent. »
L’une des firmes de consultants les plus connues s’appelle Conventions, Sports & Leisure International (CSL). Sur son blogue, deMause s’est souvent moqué des prévisions de CSL et a souvent critiqué ses erreurs, par exemple une exagération de 66 % de l’activité économique d’un nouveau stade de soccer à Washington…
En 2016, Neil deMause a intitulé un billet de son blogue sur CSL comme suit (ma traduction) : « La firme de consultants toujours dans le champ dit à la Ville de Knoxville de dépenser 200 millions pour l’aréna de son club de hockey mineur. »
La firme CSL « est une joke » pour deMause, une firme qui dit ce que les gens qui paient CSL veulent bien entendre quant au miracle économique qui sera généré par l’arrivée – ou le maintien en ville – du club qu’ils parrainent.
J’y pense, le groupe de promoteurs montréalais qui souhaite un retour du baseball à Montréal a justement présenté les conclusions cette semaine d’une étude qui démontreRAIT (restons au conditionnel) que Montréal est un marché absolument formidable pour le baseball…
Je rappelle que ce groupe de promoteurs, mené par Mitch Garber et Stephen Bronfman, met déjà la table pour une éventuelle contribution publique afin de favoriser le retour des Expos 2.0. On ne sait pas encore sous quelle forme.
Devinez quel est le nom de la firme de consultants qui a mené l’étude qui démontrerait que Montréal est un marché idéal pour le baseball majeur ?
Eh oui : CSL.
Je préfère pour ma part des études indépendantes. Je reviendrai sur le sujet ultérieurement.
***
Un mot sur le titre du blogue – et du livre – de Neil deMause, « Field of Schemes » : c’est un jeu de mots sur Field of Dreams, joli film de baseball créé par Hollywood, avec Kevin Costner.
Field se traduit par terrain, dreams se traduit par rêves, schemes se traduit par stratagèmes. Terrain de rêves, terrain de stratagèmes, voyez le topo…
Et stratagème, selon le Larousse, signifie : « Combinaison habile mise en œuvre pour obtenir un avantage. »

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Interessant sauf que le terme "chantage au demenagement" est totalement deplacé! 

Si demenagement un jour il y a, ce sera surement avec quelques deceptions en Floride mais personne leur a mis un gun sur la tempe pour qu'ils en arrivent a leur deplorable situation. montreal, comme d autres villes en Amerique revent et font du lobbying pour obtenir une equipe. Et encore, je trouve le lobbying des gens d affaire de Montreal impliqués dans le retour d une equipe, pas mal sobre, serieux et humble sur ce dossier. 

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Il y a 5 heures, Archi Mtl a dit :

Pour faire court, le bail St. Petersburg–Rays fait rêver les amateurs montréalais parce qu’il prévoit des pénalités somme toute modestes, si les Rays s’avisent de quitter le Tropicana Field avant 2027…
Mais l’annexe, elle, prévoit que ces pénalités s’appliquent si les Rays veulent quitter St. Petersburg pour aller jouer à deux endroits et deux endroits seulement : dans deux comtés du coin, Pinellas ou Hillsborough.
That’s it.

Montréal, Charlotte ou Oulan-Bator ? Nope, impossible pour les Rays de déménager ailleurs qu’à Pinellas ou Hillsborough…

Je ne suis pas certain de comprendre.... si l’annexe prévoit que des pénalités s’appliquent si les Rays veulent quitter St. Petersburg pour aller jouer dans Pinellas ou Hillsborough seulement, pourquoi ce serait impossible pour les Rays de déménager ailleurs que dans ces deux comtés?? 

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