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Parc Jean-Drapeau/Parc des Nations : rénovations


jesseps

Messages recommendés

Pour revenir sur le sujet de l'oeuvre proposée pour l'allée centrale du Parc Jean-Drapeau. On peut dire que c'est la nature même de l'art de créer des émotions, qui peuvent même être négatives pour certains. Ce qui ne veut pas dire que l'oeuvre soit médiocre, mais plutôt qu'elle joue son rôle premier, soit celui de ne laisser personne indifférent.

Nous sommes ici face à un ouvrage d'art contemporain qui fait appel aux technologies dans sa dynamique de présentation. On est donc loin de la sculpture statique. Assurément sa dimension lumineuse lui ajoute un effet supplémentaire qui interpelle et peut même surprendre agréablement. J'aime ces compositions lumineuses qui de jour offre un tout autre aspect. C'est comme si en fait on s'offrait deux oeuvres pour le prix d'une.

Je termine en disant que chaque oeuvre qui s'ajoute au mobilier urbain est un investissement judicieux. En effet elles contribuent à embellir le paysage de manière plus durable. Aussi à enrichir le milieu d'oeuvres de qualité qui non seulement visent l'esthétisme des lieux, mais aussi à créer une interaction positive avec les citadins et les visiteurs en général.

Finalement elles ajoutent une touche d'imagination et de créativité qui vient compenser en quelque sorte la trop souvent fonctionnalité (parfois aride) de notre bâti urbain contemporain.

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Il y a 7 heures, Rocco a dit :

On va être honnête, c'est pas super beau. On dirait des piquets de tente de camping, sans leur toile.

Et ça c’est avant que les mal intentionnés collent leur gomme dessus ou y exprime leur talent de graffiteur.....

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Les travaux ne semblent pas être complètement arrêtés.

En effet la première photo de la caméra de chantier nous montre ce qui semble être le centre d'accueil (corrigez-moi si je me trompe) en date d'aujourd'hui tandis que la seconde photo nous montre le même bâtiment le 19 novembre dernier. On a non seulement complété le revêtement extérieur mais en plus on a déjà installé les lumières!

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Les NIMBYs de Saint-Lambert semblent se calmer

http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=31093

Les villes de Montréal et de Saint-Lambert et la Société du parc Jean-Drapeau dressent un bilan positif de leur collaboration

13 décembre 2018

Montréal, le 13 décembre 2018 - Au terme d'une première collaboration, la Ville de Saint-Lambert, la Société du parc Jean-Drapeau et la Ville de Montréal dressent un bilan positif de l'expérience-pilote de la gestion du bruit des événements du parc Jean-Drapeau qui s'est tenue l'été dernier.

Les représentants de chacune des instances, M. Jean-François Parenteau, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable des services aux citoyens, de l'approvisionnement, du matériel roulant et des ateliers ainsi que de l'environnement et du développement durable et maire de l'arrondissement de Verdun, M. Pierre Brodeur, maire de Saint-Lambert et M. Ronald Cyr, directeur général de la Société du parc Jean-Drapeau, se sont montrés satisfaits du travail accompli :

« Cette première collaboration a été une réussite et nous nous en réjouissons, ont-ils unanimement conclu. À la lumière des résultats de l'expérience-pilote, nous avons identifié notamment le retour des limites de bruit dans les ordonnances des événements présentés au Parc. En plus du projet d'aménagement et de mise en valeur du parc Jean-Drapeau, nous poursuivrons en 2019 nos efforts communs pour améliorer la qualité de vie de nos populations riveraines. »

Recommandations pour la saison 2019
En conclusion de l'expérience-pilote, les villes de Montréal et de Saint-Lambert ainsi que la Société du parc Jean-Drapeau recommandent pour la saison 2019 de :

  • Poursuivre la collaboration tripartite et maintenir actifs les comités directeur et technique;
  • Émettre des ordonnances plus détaillées pour les événements avec amplification au parc Jean-Drapeau, incluant des limites de bruit ainsi que toute autre mesure pertinente, telle que la durée des événements, et les adapter au fil des saisons;
  • Amener les promoteurs d'événements à mesurer le bruit sur le site et hors site et à prendre les mesures nécessaires pour corriger la situation dans les plus courts délais;
  • Mesurer régulièrement le bruit sur le site et hors site, tant du côté de la Société du parc Jean-Drapeau que des municipalités;
  • Trouver un meilleur équilibre dans la programmation des événements au parc Jean-Drapeau;
  • Poursuivre les efforts avec les partenaires, les promoteurs d'événements ainsi que le milieu de la santé et de la recherche universitaire pour atténuer l'impact des basses fréquences;
  • Considérer les travaux de l'Office de consultation publique de Montréal (OCPM) en vue de la préparation du projet de Plan directeur d'aménagement et de développement du parc Jean-Drapeau;
  • Collaborer à la démarche amorcée par le Partenariat du Quartier des spectacles (PQDS) visant à développer des indicateurs et une modélisation sonore 3D;
  • Collaborer avec les chercheurs de l'ETS mandatés par un comité interministériel pour réaliser un guide à l'intention des municipalités pour la planification et la gestion des activités récréatives extérieures reconnues comme bruyantes;
  • Se conformer au cadre législatif du gouvernement du Québec qui sera élaboré pour la gestion du bruit dans les municipalités.

Retour sur l'expérience-pilote
Durant la saison estivale 2018, des représentants des trois instances ont travaillé de concert au sein d'un comité directeur et d'un comité technique afin de trouver des solutions communes visant à mieux contrôler le bruit des événements au parc Jean-Drapeau.
 
De la mi-juillet à la fin de septembre, le bruit des événements du parc Jean-Drapeau a été mesuré à trois emplacements à l'aide de sonomètres : au parc Jean-Drapeau, au niveau de l'espace accueillant les spectacles, aux abords d'Habitat 67 dans la Cité du Havre et aux abords des résidences de Saint-Lambert.

Le bilan recense les données sonores de quatre événements distincts et de deux autres journées à titre comparatif. Les niveaux sonores moyens enregistrés pendant ces événements variaient ainsi entre 75 et 86 dBA au parc Jean-Drapeau et entre 51 et 54 dBA à Saint-Lambert.

Pour consulter le bilan complet : http://bit.ly/2QQCyHZ

Vers 2019
Avec le projet d'aménagement et de mise en valeur du parc Jean-Drapeau, des mesures d'atténuation du son seront mises en place pour mieux gérer les impacts sonores des événements musicaux. Parmi ces mesures, l'installation de tours à délais sur le site du nouvel amphithéâtre permettra de mieux calibrer le son en fonction des événements et des conditions météorologiques.

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Il faut quand même comprendre que les spectacles lors des 2 dernières années ont eu lieu sur l'île Notre-Dame (à l'épingle ou à la courbe Senna), des endroits beaucoup plus près des résidents de St-Lambert.  Ceci changera lorsque les concerts auront lieu à l'amphithéâtre de l'ile Ste-Hélène, en plus des tours à délai.  Bonus pour les gens qui assisteront au concerts : ces tours à délai donneront un son de meilleure qualité!

Modifié par ymenard
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Il y a présentement une bonne quinzaine de gars sur le chantier (au moins) !

Ça travaille malgré le frett !

La vue du centre ville, de la montagne et de l'Homme de Calder est vraiment superbe vue  du haut de "l'amphithéâtre" ;)

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Publié le 23 décembre 2018 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201812/22/01-5208995-jean-drapeau-quebec-refuse-de-payer-pour-lamphitheatre-naturel.php

Jean-Drapeau: Québec refuse de payer pour l'amphithéâtre naturel

PIERRE-ANDRÉ NORMANDIN 
La Presse
 

Québec refuse que la subvention qu'il a accordée pour le projet de réaménagement du parc Jean-Drapeau serve à en payer l'élément central, soit l'amphithéâtre naturel de 65 000 places.

Le chantier de 73,4 millions a beau être en branle depuis juillet 2017, c'est seulement récemment que Montréal et Québec ont fini par s'entendre sur la façon dont la métropole pourrait utiliser la contribution de 35 millions du gouvernement. Les élus montréalais ont en effet été appelés à entériner l'entente seulement lundi dernier... soit à six mois de la fin du chantier.

Fait particulier, l'entente prévoit que « les travaux liés à l'aménagement d'un amphithéâtre naturel pouvant accueillir environ 65 000 personnes sont non admissibles à l'aide financière », peut-on lire dans le texte de 16 pages. Aucune explication ne figure dans le document pour expliquer cette contrainte.

Invité à expliquer cette décision, le ministère des Affaires municipales est resté vague. « Lors de l'analyse du montage financier à l'hiver 2017, la Ville et le Ministère ont choisi de retirer l'amphithéâtre naturel des composantes pouvant bénéficier de l'aide financière », a indiqué le porte-parole Sébastien Gariépy. Il ajoute que « les coûts des travaux liés aux autres composantes admissibles du projet global ont été suffisants pour atteindre la totalité de l'aide financière de 35 millions ».

 

L'entente avec le gouvernement stipule que le financement de Québec se limitera aux éléments périphériques à l'amphithéâtre naturel.

En effet, le projet prévoit la réfection de l'allée Calder, qui relie l'édicule du métro à la célèbre sculpture, de la promenade riveraine ainsi que la création d'un Village événementiel et d'une Agora naturelle.

L'entente précise que si les factures soumises par la Ville n'atteignent pas la somme maximale de 35 millions, la subvention sera révisée à la baisse. Vérifications faites, l'amphithéâtre ne représente que 30 % de la facture de 73,4 millions. La Ville de Montréal juge ainsi peu probable de perdre une partie du financement.

CLOU DU PROJET

La décision de Québec est d'autant plus surprenante qu'en octobre 2015, le gouvernement disait clairement appuyer le projet d'amphithéâtre en accordant une subvention.

« Grâce à cet investissement, l'île Sainte-Hélène sera dotée d'un amphithéâtre naturel qui deviendra un lieu de diffusion d'exception destiné à de nombreuses activités culturelles et événementielles. »

- Robert Poëti, à titre de ministre responsable de la région de Montréal, en 2015

Le communiqué du ministère des Affaires municipales diffusé le jour même mettait d'ailleurs l'accent sur l'amphithéâtre naturel. « Cet aménagement contemporain permettra de mettre en valeur le secteur ouest de l'île Sainte-Hélène où sera construit un amphithéâtre naturel d'une capacité de 65 000 places qui pourra accueillir des spectacles et des événements culturels durant les quatre saisons. De calibre international, le Parterre bénéficiera de tous les avantages que peut offrir une salle de spectacle à la fine pointe de la technologie. »

Si cette annonce a été faite en octobre 2015, les discussions pour en arriver à une entente ont traîné en longueur. En mai 2017, les élus montréalais ont décidé d'autoriser le début des travaux même si aucune entente n'était encore intervenue. Puis, en juin 2017, le ministère des Affaires municipales donnait son feu vert, mais indiquait que son aide se faisait « sous réserve de conditions préalables », non précisées à l'époque. Les travaux ont finalement débuté en juillet 2017. La majeure partie du chantier doit prendre fin en juin prochain, même si certains travaux dureront jusqu'en décembre.

PROJET RÉVISÉ

Le projet de réaménagement du parc Jean-Drapeau a été profondément revu sous Denis Coderre. À l'origine, c'est la réfection de la promenade riveraine qui devait être le clou du projet. Ce volet a toutefois été revu à la baisse, passant de 22,5 millions à 6 millions. La réfection de la place des Nations a aussi été lourdement amputée, passant de 12,5 à 2 millions. À l'inverse, le Parterre, qui devait faire l'objet de seulement 1,6 million en travaux, est devenu l'élément central, l'ex-maire décidant d'y aménager un véritable amphithéâtre naturel, évalué à 30 millions. Les travaux à l'allée de Calder ont aussi été majorés, passant de 18,5 à 32,4 millions.

AUTRES CLAUSES

L'entente prévoit également une clause permettant à la ministre de résilier l'entente à tout moment, sans avoir à motiver la résiliation. À l'inverse, si elle souhaite résilier l'entente, la Ville doit obtenir l'autorisation de la ministre et fournir un motif.

Une autre clause impose également à la Ville d'informer la ministre 20 jours avant d'effectuer toute activité publique, comme une pelletée de terre protocolaire (improbable dans la mesure où les travaux ont débuté en juillet 2017) ou l'inauguration (prévisible). Québec doit de plus donner son feu vert avant toute annonce du genre.

Enfin, l'entente prévoit que Montréal aménage à ses frais un panneau permanent pour indiquer que les travaux sont réalisés grâce à une aide financière du gouvernement du Québec.

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