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14 juin 2011 - Oeuvres d'art public pour la nouvelle salle de concert

 

 

Future salle de concert de Montréal

 

La ministre Christine St-Pierre dévoile le nom des artistes retenus pour la conception des deux œuvres d’art public

 

Montréal, le 14 juin 2011– La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, est heureuse de dévoiler le nom des artistes retenus pour la conception des deux œuvres d’art public pour la future salle de concert de Montréal. Il s’agit de Dominique Blain et du groupe BGL art contemporain de Québec.

 

« Témoins durables de la vitalité culturelle d’une ville et de la créativité des artistes québécois, les œuvres d’art public améliorent le cadre de vie des citoyennes et des citoyens en leur facilitant l’accès aux arts. Les mélomanes en visite à la future salle de concert sauront, sans aucun doute, apprécier ces œuvres uniques qui enrichiront avec perfection le lieu », a déclaré la ministre St-Pierre.

 

Dominique Blain créera Mouvements, une œuvre qui souhaite marquer la présence émotionnelle de la musique. Installée dans la fenêtre en saillie sur la rue Saint-Urbain, elle pourra être vue de l’intérieur et de l’extérieur. Des goujons de bois et de métal suspendus prendront la forme d’instruments de musique et des sources lumineuses émaneront de l’installation. Ainsi, cette œuvre immense et lumineuse changera selon les points de vue, l’heure du jour et les saisons.

 

Pour sa part, le groupe BGL art contemporain de Québec signera une œuvre intitulée C’est sûrement des Québécois qui ont fait ça. Les artistes Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère et Nicolas Laverdière, qui forment le groupe BGL depuis 1996, réaliseront un hybride entre la sculpture et l’art luminaire. Leur installation composée de matériaux étincelants a comme objectif de reproduire les ondes sonores.

 

Ces œuvres sont réalisées dans le contexte de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics qui réserve un pourcentage du budget de construction ou d’agrandissement d’un bâtiment ou d’un site public à la réalisation d’œuvres d’art conçues spécifiquement pour ce lieu. Le choix des œuvres a été fait par un comité composé notamment de représentants du Ministère, du partenaire privé GIO (Groupe immobilier Ovation), de la Place des Arts, de l'OSM, de la firme d’architectes, ainsi que d’experts en arts visuels, et ce, conformément à la procédure en vigueur.

 

Rappelons que le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine célèbre son 50e anniversaire cette année. Plusieurs activités sont prévues en collaboration avec les sociétés d’État sous sa responsabilité. L’inauguration de la salle de concert de Montréal sera d’ailleurs un moment fort de ces célébrations. La programmation complète est présentée au http://www.revolutiontranquille.gouv.qc.ca.

 

 

Source : Valérie Rodrigue

Attachée de presse

Cabinet de la ministre de la Culture,

des Communications et de la Condition féminine

418 380-2310

Information : Annie LeGruiec

Responsable des relations avec les médias

Ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine

418 380-2363, poste 7371

 

 

 

ŒUVRE DE BGL :

 

C'est sûrement des Québécois qui ont fait ça

 

Vortex006.jpg

 

 

Œuvre pour le piano nobile de l’Adresse symphonique

 

La vastitude de l’espace disponible dans le piano nobile nous offre l’occasion de « flirter » avec le monumental et d’occuper l’espace à l’aide de sculptures suspendues. Nous proposons trois créations inédites pour offrir une expérience immersive, un moment privilégié, où, à l’instar de la musique, on peut être happé par une émotion agréable et intense.

 

Notre œuvre, issue d’une série d’intuitions, est une sorte d’hybride entre la sculpture et le luminaire, qui s’inspire des vortex. Elle tente de rendre visible le son en superposant une série d’anneaux concentriques qui dessinent dans l’espace le mouvement oscillatoire des ondes sonores. Ce travail de décomposition de la forme confère à l’œuvre une silhouette légère et un caractère aérien qui sied parfaitement à l’architecture.

 

Ces objets dynamiques offrent deux lectures distinctes, celles des formes intérieures et extérieures de l’œuvre. La vue intérieure offre une expérience visuelle vertigineuse puisqu’en se déplaçant sous elle ou devant, les anneaux s’alignent progressivement jusqu’à l’apparition surprenante d’un grand vortex. Pour l’extérieur de l’œuvre, que l’on observe en montant les escaliers ou en se déplaçant sur la mezzanine, la juxtaposition des plans provoque un effet visuel stroboscopique qui accentue l’aspect vibratoire de ces constructions. C’est à ce moment que l’on découvre un détail technique important : le système de suspension. Alors qu’il est normalement caché ou purement utilitaire, il génère ici du sens et de la poésie en s’inspirant des pièces mécaniques de divers instruments à cordes, à vent et à percussion. L’œuvre passe ainsi du sculptural au musical, ces objets vibrants deviennent vivants.

 

Nous croyons que le défi d’intégrer une œuvre à son environnement génère souvent des stratégies techniques et plastiques innovatrices qui enrichissent l’art et contribuent à la vitalité de la société.

 

 

ŒUVRE DE DOMINIQUE BLAIN :

 

Mouvements

 

Blain-maquette.jpg

 

 

L’œuvre proposée se situe dans l’espace interstitiel et se dessine dans les neuf baies de l’oriel. Dans cet espace de verre, des goujons de bois et de métal sont suspendus horizontalement à hauteur variée. Ces goujons, aux couleurs de bois, de laiton, d’acier et de chrome, symbolisent différents instruments de l’orchestre : pianos, violons, bois, cuivres, percussions.

 

Cachée à l’intérieur des goujons de bois, des sources lumineuses composées de lampes (DELéclairent les goujons situés à proximité. Ces goujons métalliques sont des tubes dans lesquels sont insérées des tiges d’acrylique satiné. Ces tiges d’acrylique translucide servent à transporter la lumière des lampes insérées dans les tubes. L’effet lumineux apporte une brillance à la matière et ponctue la composition.

 

Le système d’accrochage est une trame verticale qui se déploie sur toute la largeur de l’oriel. Des fils, attachés au support prévu (rail Unistrut), sont à la fois des câbles de suspension et des fils électriques. Faits de cuivre étamé, les fils sont placés à équidistance pour former une grille où les goujons sont ancrés.La disposition des goujons lumineux crée un mouvement qui s’harmonise avec la volumétrie de l’oriel.

 

C’est à partir de ces « instruments » de bois, de laiton et d’acier qu’émane la lumière, soit par projection ou par réflexion. Cette lumière joue sur la matière et compose dans l’espace, telle une partition, une œuvre qui change selon les points de vue, l’heure du jour et les saisons.

 

http://www.laplacedesarts.com/medias...public.fr.html

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le sapin, c'est de la mauvais herbes ! :silly:

 

(croissante rapide, meurt rapidement et attire les tordeuse d'épinettes qui ne stop pas leur route sur les vrai épinettes par la suite...)

 

C'est pas de l'art public que ca prenait sur ce terrain là, c'est du Scotts Turf Builder! le gazon est tout massacré

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  • 2 mois plus tard...

http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/311685/reinventer-la-ville-l-oeuvre-absente

 

Pourquoi Montréal n'a-t-elle pas plus d'oeuvres d'art public emblématiques?

Stéphane Baillargeon 25 novembre 2010

 

image.jpg

Photo : Pedro Ruiz - Le Devoir

Depuis L’Homme de Calder (1967), maintenant plantée dans le parc Jean-Drapeau, Montréal n’a pas ajouté une seule œuvre monumentale.

 

Il faut plus que du béton et de l'asphalte pour développer une rue, un quartier, une ville à échelle humaine. Le Devoir poursuit sa série intermittente sur les exemples québécois à suivre et les erreurs à ne plus répéter.

 

La place des Festivals aménagée l'an dernier comprend une immense fontaine, des lampadaires-grues, deux espèces de voitures-restaurants et, au milieu de tout ça, un cube disgracieux fait de tubes et de toiles. Selon les plans, une oeuvre d'art monumentale devrait remplacer cette structure temporaire pour compléter l'aménagement à quelques dizaines de millions de dollars. Le concours n'a toujours pas vu le jour.

 

Le scénario se répète, en pire, de l'autre côté de la Place des Arts, à l'est de l'Adresse symphonique en construction. Le concours pancanadien, bel et bien lancé l'an dernier pour la conception d'un triptyque, a désigné quatre finalistes: Michel De Broin, Michel Goulet, Noel Harding et Hal Ingberg. Le jury n'a retenu aucun projet, selon les informations obtenues par Le Devoir. Rien n'assure un nouvel appel d'offres parce que le service responsable de la Ville reprend la réflexion à zéro en se demandant où installer quoi.

 

La restauration et l'agrandissement de l'aéroport Pierre-Elliott-Trudeau n'ont pas plus accouché d'une oeuvre marquante. La direction a choisi de mettre l'accent sur les arts numériques, a acheté un écran géant et commandé des oeuvres éphémères. Depuis quelques mois, les photos placardées aux murs glissent allègrement vers l'art publicitaire.

 

Finalement, il ne manque donc que de l'art public dans les lieux publics montréalais? Depuis L'Homme de Calder (1967), maintenant plantée dans le parc Jean-Drapeau, Montréal n'a pas ajouté une seule oeuvre monumentale, majeure ou iconique, comme on voudra. La Joute de la place Jean-Paul-Riopelle, entre le Palais des congrès et le QG de la Caisse de dépôt et placement, ne compte pas pour du neuf, la fontaine des années 1970 ayant été déplacée (spoliée selon certains) du parc Olympique.

 

Des oeuvres à prévoir

 

Reposons la question: l'art public est-il le négligé des grands chantiers en cours? «Il n'y a jamais eu autant d'intérêt à la Ville que maintenant pour les enjeux d'art public», répond Jean-Robert Choquet, directeur du Service culturel à la Ville de Montréal, qui ne parle évidemment que pour son secteur et pas pour l'aéroport. «L'enjeu, d'abord et avant tout, dans le Quartier des spectacles, en est un de réaménagement urbain et de mise en valeur des festivals, des événements et des salles de spectacles. Cela dit, en matière d'art public et d'art numérique, à la fin du processus, on souhaite se retrouver avec quelque chose d'assez vibrant, d'assez inspirant.»

 

Il ajoute que les délais et les tergiversations permettent à la Ville de brasser les idées en ajoutant une nouvelle possibilité à l'intersection des rues Clark et Sainte-Catherine, «peut-être en favorisant les arts numériques». Pour la place des Festivals, les concepteurs souhaitaient la collaboration d'un mécène. Le partenariat aura peut-être plus de chance au parterre, près de la salle de l'OSM, orchestre réputé pour attirer les gros sous. «Nous n'avons pas encore tiré de conclusions, dit le directeur municipal. Personnellement, je ne me sens pas mal à l'aise de prendre plus de temps pour prendre la bonne décision. Il faut aussi laisser vivre les espaces aménagés pour mieux saisir le génie du lieu. On a encore deux ans pour livrer ce qu'on a à livrer.»

 

Le budget de l'implantation oscille autour de 550 000 $, qui seront dépensés, promet le directeur. Cette somme respecte le programme dit du 1 %, modulable en fonction de l'enveloppe globale d'un projet architectural. Quoique, avec un budget de 140 millions et plus pour le Quartier des spectacles, Montréal aurait pu faire d'autres choix, comme Chicago et ses mécènes qui ont payé la magnifique Cloud Gate d'Anish Kapoor.

 

«Mon ambition, c'est d'aller beaucoup plus loin que ça, dit encore M. Choquet en parlant de son budget. Il faudrait qu'on se rende à 2 millions en tout. Mais on a commencé le projet au moment où les Bourses s'effondraient. C'est pour ça qu'il y a du retard. Mais ce retard n'est pas un désaveu de l'art public, au contraire. Nous allons réaliser des intégrations exemplaires.»

 

Patience donc. L'Adresse symphonique est aussi soumise au programme provincial d'intégration des arts à l'architecture. Des artistes pressentis pour le concours ont visité le chantier au début du mois. Les deux mégahôpitaux universitaires devront aussi faire une place à l'art, tout comme la nouvelle aile du Musée des beaux-arts et une trentaine d'autres projets, explique Annie LeGruiec, responsable des relations avec les médias au ministère de la Culture.

 

Montréal n'a pas d'obligation semblable. À la suite de consultations sur l'art public tenues l'an dernier, la Commission du conseil municipal sur le développement culturel a tout de même recommandé «que la Ville évalue la possibilité de lancer, à intervalles réguliers, un concours international en art public». Le parc municipal compte environ 300 oeuvres, souvent mineures. Par contraste, la collection de Seattle, stimulée depuis 1973 par un programme municipal, compte 350 oeuvres permanentes et 2600 autres «portables».

 

Des oeuvres à voir

 

Par contraste, la Ville de Québec a récemment stimulé l'installation de sculptures en plein air à la faveur des fêtes du 400e. L'aéroport Lester B. Pearson a bénéficié des ajouts artistiques récents les plus intéressants de Toronto, dont une magnifique sculpture de l'Américain Richard Serra intitulée Tilted Speres.

 

«Beaucoup d'aéroports ou d'édifices publics organisent un concours, se dotent d'une oeuvre et vivent avec», commente Christiane Beaulieu, vice-présidente responsable des affaires publiques des Aéroports de Montréal. «Toronto, avec son budget de 6 milliards, a dépensé plusieurs millions en oeuvres d'art. Nous avons pris un chemin différent. Le comité de direction a plutôt choisi d'utiliser un concept d'environnement numérique.»

 

Montréal a dépensé 1,5 milliard pour rénover et agrandir l'ancien aéroport Dorval après l'échec lamentable de Mirabel. Les oeuvres de la collection permanente éclectique (Pellan, Molinari, etc.) héritée de Transport Canada ont été restaurées et repositionnées. Un nouveau programme dit d'«identité montréalaise» utilise la fibre optique, des écrans et des colonnes lumineuses pour diffuser des oeuvres numériques, des photos et des vidéos.

 

On y a vu des vidéos de Sylvain Campeau et d'autres consacrées à la danse contemporaine. Des photos ont récemment rendu hommage aux chefs cuisiniers de la ville et au centenaire des Canadiens de Montréal, dans ce cas avec des reproductions de toiles du peintre Serge Lemoyne. Pas des originaux, des photos de toiles. Cet été, les murs célébraient le Cirque du Soleil, avec des photos de Caroline Bergeron. L'éclairagiste Axel Morgenthaler rajuste trimestriellement les «projections lumineuses» des couloirs d'arrivée.

 

«La décision prise, c'est de ne pas acheter une grande oeuvre mais d'acheter des supports pour diffuser, chaque année ou tous les deux ans, quelque chose d'autre qui soit à l'image de la diversité culturelle qui existe à Montréal, poursuit Mme Beaulieu. Les autres dépensent une fois et c'est bon pour 40 millions d'années. Ils payent un million pour une sculpture et, si tu passes devant, tu es chanceux, sinon tant pis. Nous, on a un budget annuel pour renouveler les contenus. Nous diffusons des artistes différents un peu partout dans l'aérogare.»

 

Le choix est fait et assumé. Adieu monument et bienvenue/welcome à Montréal...

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  • 4 semaines plus tard...

http://www.cyberpresse.ca/arts/arts-visuels/201109/26/01-4451592-inauguration-de-loeil-de-david-altmejd.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_meme_auteur_4451592_article_POS2

 

Publié le 26 septembre 2011 à 19h55

 

La première sculpture en bronze de l'artiste montréalais David Altmejd, L'Oeil, a été inaugurée lundi.

381495-premiere-sculpture-bronze-artiste-montrealais.jpg

 

PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE

 

 

Éric Clément

 

La première sculpture en bronze de l'artiste montréalais David Altmejd, L'Oeil, a été inaugurée ce lundi après-midi au coin des rues Sherbrooke et Crescent, devant le nouveau pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal.

 

 

L'inauguration a eu lieu devant le nouveau pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Montréal en présence du premier ministre Jean Charest.

381496-inauguration-eu-lieu-devant-nouveau.jpg

 

PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE

 

Cette première oeuvre d'art public du sculpteur réputé pour ses réalisations de grand format avait été commandée par le musée. Il s'agit d'une sculpture à la fois contemporaine et traditionnelle de 4 mètres de haut représentant un personnage ailé. Sa tête est recouverte de mains et de doigts (ceux de David Altmejd) et un grand vide en lieu et place du torse.

 

«Je voulais faire une figure debout comme on en voit dans l'histoire de l'art, en Europe, à Florence et en Égypte, en référence à l'histoire des statues, a dit David Altmejd à La Presse. De faire un ange, ça fait un beau contraste par rapport à la vie urbaine, quelque chose d'élégant»

 

David Altmejd a appelé sa sculpture L'Oeil car il a voulu illustrer le contraste entre l'espace du musée et l'espace extérieur. «C'est comme l'espace à l'intérieur de la tête par rapport à l'extérieur, dit-il. L'oeil fait le lien entre les deux, symbolise le passage de l'un à l'autre»

 

Le trou à la place du torse symbolise ainsi une porte d'entrée vers l'art, la culture, la connaissance. « Pour moi, un trou c'est positif, dit David Altmejd. Ça laisse passer l'air, la lumière et la vie.»

 

L'artiste a conçu et réalisé le modèle de cette sculpture durant quatre mois dans son atelier de New York en utilisant divers matériaux, comme il le fait habituellement: du styrofoam, du plâtre, des planches de bois, etc.

 

L'étape de la création a été longue, explique David Altmejd.

 

«Au début, la sculpture avait six ailes, dit-il. Il y a eu un gros travail de design. Je voulais que la forme soit élégante. Souvent, je suis poussé à travailler fort sur les détails mais là, j'ai aussi passé beaucoup plus de temps à 10 pieds de l'oeuvre.»

 

L'original de L'Oeil, qui faisait 2 m, a été scanné au Québec en 3D et agrandi deux fois tout en conservant la richesse de la texture et du grain.

 

«Les détails des organes, notamment du moulage de mes mains, sont conservés. L'oeuvre a été moulée en bronze à Inverness.»

 

«Cette oeuvre, qui personnifie le musée, est une icône pour la ville de Montréal», a dit Nathalie Bondil, directrice générale et conservatrice en chef du musée.

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