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Repairs to Hélène de Champlain building force eatery to shut

Restaurant's owner plans to close it down when lease expires at end of 2009

 

ALAN HUSTAK, The Gazette

Published: 8 hours ago

 

The building that houses the Hélène de Champlain restaurant on Île Ste. Hélène needs massive repairs, and the restaurant will close for good in 16 months when its lease expires.

 

Pierre Marcotte, the French- language television personality who has leased the red sandstone building from the city since 1983, says the property needs between $3 million and $5 million in repairs.

 

"We have no choice but to close," he said. "The city has decided not to renew its lease after 2009 in order to undertake the repairs. That could take a year or more to complete. The electrical and heating systems are outdated, and major repairs to the building itself are necessary." Initially meant to be a sports pavilion, the island chalet was built during the Depression as a Quebec government make-work project. It was designed by Émile Daoust to resemble a Norman château, and the grounds were landscaped by Frederick Todd. It was turned over to the city in 1942 and in 1955 became a municipal restaurant, but didn't get a liquor licence until 1960.

 

In 1966, Mayor Jean Drapeau had the building redone as the official residence for Expo 67's Commissioner-General, Pierre Dupuy. It also had a hall of honour next to the main dining room that was used by Drapeau as a reception centre for visiting dignitaries and heads of state.

 

The reception for French President Charles de Gaulle was held in the chalet after he delivered his controversial "Vive le Québec libre" speech.

 

Even though the restaurant proved to be a money-loser, Drapeau kept its five dining rooms open until 1977, when they were closed because of a labour dispute. They reopened in 1981.

 

Marcotte said he does not plan to renew his lease, and no one is certain what will happen to the building once the repair work is done. In the past, there has been talk of converting the site into a hotel for high rollers at the Montreal Casino.

 

ahustak@ thegazette.canwest.com

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  • 2 années plus tard...

Le mythique restaurant Hélène-de-Champlain, fermé depuis janvier 2010, reprendra bientôt vie grâce à un investissement de 10 millions. Le conseil de l'arrondissement de Ville-Marie a finalement voté la semaine dernière la transformation complète de l'établissement géré par l'animateur Pierre Marcotte depuis 1983.

 

Le promoteur du projet, dont l'identité n'a pas été révélée, espère d'ici un an être homologué et afficher la bannière de prestige Relais?& Châteaux. La superficie des lieux va pratiquement être multipliée par sept, passant de 675 à 4303 mètres carrés. Selon les documents soumis aux élus, des terrasses extérieures, un restaurant, une salle de réception, une école de cuisine et même une bibliothèque y seront aménagés. Le bâtiment lui-même, qu'on destinait à devenir un pavillon des sports lors de sa construction en 1937 et qui est finalement devenu un restaurant en 1955, sera complètement rénové. Il est l'oeuvre des architectes municipaux Donat Beaupré et Émile Daoust en collaboration avec le célèbre Frederick G. Todd, qui a notamment restauré le parc du Mont-Royal.

 

La façade architecturale des bâtiments «rappelle l'architecture des maisons québécoises typiques, avec son toit en pente et ses lucarnes», peut-on lire dans les documents décisionnels.

 

Site du patrimoine potentiel

 

 

Depuis 2007, la portion de l'île où se trouve le pavillon Hélène-de-Champlain a été classée par règlement comme un site du patrimoine potentiel et comme un secteur de valeur exceptionnelle. Les travaux ambitieux qui modifieront profondément les lieux ont cependant été acceptés, en premier lieu par le Comité consultatif d'urbanisme qui a émis un avis favorable à l'unanimité le 8 juillet dernier.

 

Fait inusité, il n'existe aucune norme de construction dans ce secteur, ni en matière de hauteur, de densité ou d'implantation. On en conclut donc que le but de la réglementation était de «cristalliser» la forme des bâtiments existants, ce qui n'exclut pas leur transformation.

 

«Au niveau architectural, la proposition constitue indéniablement une mise en valeur du bâtiment existant», peut-on lire. On estime que les nouveaux usages du bâtiment «se confondront avec les activités courantes de l'établissement» et seront «sans impact sur le milieu d'insertion».

 

Les travaux devraient démarrer d'ici quelques semaines. Le gestionnaire du restaurant, Pierre Marcotte, avait annoncé en 2007 son intention de fermer l'établissement, l'édifice ayant besoin de rénovations estimées à 5 millions. Les systèmes de chauffage et de climatisation, notamment, devaient être complètement refaits. La fermeture en janvier dernier avait provoqué la perte de 80 emplois.

 

Le groupe français Relais?& Châteaux, créé en 1955, regroupe 453?hôtels de charme et restaurants gastronomiques dans 50 pays, «des vignes de la Napa Valley aux plages de Bali, des oliviers de Provence aux réserves d'Afrique du Sud», peut-on lire sur son site internet. L'enseigne, qui est en fait une forme de certification, est déjà présente à Montréal, au restaurant Toqué!

 

http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201010/17/01-4333434-le-helene-de-champlain-reprend-vie.php

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Le Hélène-de-Champlain reprend vie

 

 

Karim Benessaieh

La Presse

 

 

 

Le mythique restaurant Hélène-de-Champlain, fermé depuis janvier 2010, reprendra bientôt vie grâce à un investissement de 10 millions. Le conseil de l'arrondissement de Ville-Marie a finalement voté la semaine dernière la transformation complète de l'établissement géré par l'animateur Pierre Marcotte depuis 1983.

 

Le promoteur du projet, dont l'identité n'a pas été révélée, espère d'ici un an être homologué et afficher la bannière de prestige Relais?& Châteaux. La superficie des lieux va pratiquement être multipliée par sept, passant de 675 à 4303 mètres carrés. Selon les documents soumis aux élus, des terrasses extérieures, un restaurant, une salle de réception, une école de cuisine et même une bibliothèque y seront aménagés. Le bâtiment lui-même, qu'on destinait à devenir un pavillon des sports lors de sa construction en 1937 et qui est finalement devenu un restaurant en 1955, sera complètement rénové. Il est l'oeuvre des architectes municipaux Donat Beaupré et Émile Daoust en collaboration avec le célèbre Frederick G. Todd, qui a notamment restauré le parc du Mont-Royal.

 

La façade architecturale des bâtiments «rappelle l'architecture des maisons québécoises typiques, avec son toit en pente et ses lucarnes», peut-on lire dans les documents décisionnels.

 

Site du patrimoine potentiel

 

 

Depuis 2007, la portion de l'île où se trouve le pavillon Hélène-de-Champlain a été classée par règlement comme un site du patrimoine potentiel et comme un secteur de valeur exceptionnelle. Les travaux ambitieux qui modifieront profondément les lieux ont cependant été acceptés, en premier lieu par le Comité consultatif d'urbanisme qui a émis un avis favorable à l'unanimité le 8 juillet dernier.

 

Fait inusité, il n'existe aucune norme de construction dans ce secteur, ni en matière de hauteur, de densité ou d'implantation. On en conclut donc que le but de la réglementation était de «cristalliser» la forme des bâtiments existants, ce qui n'exclut pas leur transformation.

 

«Au niveau architectural, la proposition constitue indéniablement une mise en valeur du bâtiment existant», peut-on lire. On estime que les nouveaux usages du bâtiment «se confondront avec les activités courantes de l'établissement» et seront «sans impact sur le milieu d'insertion».

 

Les travaux devraient démarrer d'ici quelques semaines. Le gestionnaire du restaurant, Pierre Marcotte, avait annoncé en 2007 son intention de fermer l'établissement, l'édifice ayant besoin de rénovations estimées à 5 millions. Les systèmes de chauffage et de climatisation, notamment, devaient être complètement refaits. La fermeture en janvier dernier avait provoqué la perte de 80 emplois.

 

Le groupe français Relais?& Châteaux, créé en 1955, regroupe 453?hôtels de charme et restaurants gastronomiques dans 50 pays, «des vignes de la Napa Valley aux plages de Bali, des oliviers de Provence aux réserves d'Afrique du Sud», peut-on lire sur son site internet. L'enseigne, qui est en fait une forme de certification, est déjà présente à Montréal, au restaurant Toqué!

:stirthepot:
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  • 1 mois plus tard...

Un nouvel exploitant pour le restaurant Hélène-de-Champlain dès 2011

 

MONTRÉAL, le 25 nov. /CNW Telbec/ - Le restaurant Hélène-de-Champlain, situé au parc Jean-Drapeau, rouvrira ses portes dès 2011 et sera exploité par un groupe d'investisseurs reconnus à l'échelle internationale en matière de gastronomie. Le nouveau locataire donnera une nouvelle vie au bâtiment patrimonial datant de 1930 en ouvrant notamment un restaurant de fine cuisine, un bistro-terrasse en rez-de-jardin, une grande salle de réception, des salons locatifs et une école de cuisine.

 

L'entente de 35 ans conclue entre la Société du parc Jean-Drapeau (SPJD) et le groupe d'investisseurs a été entérinée hier par le comité exécutif de la Ville de Montréal. Ce groupe est composé de monsieur Robert Gagnon, fondateur et propriétaire pendant 25 ans de l'Auberge Hatley, établissement Grands Chefs et hôtel Relais & Châteaux, et actuel président du conseil d'administration de l'Institut de tourisme et d'hôtellerie du Québec, de monsieur William Bennett, propriétaire du Langdon Hall, Country House & Spa, établissement Grands Chefs et hôtel Relais & Châteaux et classé cinq diamants selon le C.A.A., et de madame Michèle Serre, éditrice officielle des contenus gastronomiques du site Internet Grands Chefs Relais & Châteaux ainsi que des magazines virtuels Saveurs du Monde et The Worldwide Gourmet.

 

« Cette entente s'inscrit dans le projet de développement de la SPJD en vue de 2017, lequel vise, entre autres, à doter Montréal de nouvelles infrastructures permanentes de calibre international. Il s'agit donc d'une excellente nouvelle pour le parc Jean-Drapeau et pour Montréal tant au plan économique que récréotouristique, étant donné la vitrine exceptionnelle que donnera cet établissement à la métropole », a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay.

 

En s'associant à ces nouveaux partenaires, la SPJD bénéficiera, pour la durée totale de l'entente, de revenus estimés à plus de 15 M$ alors que la Ville de Montréal percevra différentes taxes estimées à près de 8 M$. De plus, le projet aura d'importantes retombées économiques et stimulera la création d'emplois dans le cadre de la réalisation des travaux et de l'exploitation du restaurant. Rappelons que le bâtiment est inoccupé depuis janvier 2010.

 

Par ailleurs, des travaux de rénovation et de mise aux normes évalués à plus de 6 M$ sont en cours, le pavillon ayant subi peu de travaux de rénovation depuis sa construction. Or, l'enveloppe extérieure du bâtiment ainsi que les équipements mécaniques comprenant l'électricité, le chauffage et la climatisation font l'objet de travaux majeurs.

 

« L'Hélène-de-Champlain est non seulement un bâtiment patrimonial prestigieux, mais sa revitalisation permettra également d'en faire une carte de visite supplémentaire et un attrait majeur de Montréal de par sa localisation dans un site unique. L'entente avec la SDPJ permettra de donner une nouvelle vie à ce bâtiment au bénéfice des Montréalais et des nombreux touristes de passage chez nous », a conclu le vice-président du comité exécutif et responsable du parc Jean-Drapeau, M. Alan DeSousa.

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  • 11 mois plus tard...

Publié le 17 novembre 2011 à 05h00 | Mis à jour à 09h30

 

Rénovations au Hélène-de-Champlain: une «surprise» de 9,1 millions

 

 

 

Pierre-André Normandin

La Presse

 

Le premier cadeau que Montréal s'offre pour son 375e anniversaire en 2017 lui coûte beaucoup plus cher que prévu. La facture pour la rénovation du restaurant Hélène-de-Champlain, payée en grande partie par la Ville, a plus que doublé, passant de 7,3 à 16,4 millions.

 

La Société du parc Jean-Drapeau a entrepris, à l'automne 2010, d'importants travaux pour mettre aux normes le bâtiment patrimonial datant de 1930. Alors que le projet devait coûter 5,3 millions à la Ville de Montréal, il lui en coûtera finalement 12,4 millions. Le locataire, qui exploitera un restaurant de fine cuisine en vertu d'un bail de 35 ans, paie le reste de la facture.

 

L'évaluation initiale des coûts réalisée en 2006 par un consultant, Jean Martel, avait omis d'inclure le coût des taxes, les frais pour la gérance du chantier et un fonds de prévoyance, explique Nathalie Lessard, porte-parole de la Société du parc Jean-Drapeau. À elle seule, cette «omission» se chiffre à 3 millions. Étonnamment, une deuxième évaluation réalisée en 2010 par SNC-Lavalin, qui avait évalué les travaux à 4,6 millions, a fait la même erreur.

 

Isolée à l'amiante

 

L'explosion des coûts s'explique aussi par la forte présence d'amiante dans le bâtiment, une facture imprévue de 2,6 millions. Une inspection en 2004 n'avait pourtant pas révélé une importante présence de l'isolant, mais l'adoption d'une nouvelle loi en 2006 a forcé une nouvelle inspection qui, cette fois, a révélé l'ampleur du problème.

 

Le bâtiment a été isolé à l'amiante en vue de son utilisation comme pavillon d'honneur lors de l'Expo 67. «À mesure que les travaux de démolition avançaient, on en trouvait davantage. Il n'y en avait pas juste dans les murs, mais aussi dans les plafonds, les planchers et même pour isoler la ventilation», explique Nathalie Lessard.

 

Or, les travaux de désamiantage sont très onéreux. Protégés par des habits spéciaux et des masques, les ouvriers ont ainsi dû dépouiller 3000 mètres carrés de murs, planchers et plafonds, l'équivalent de la moitié d'un terrain de football. Tout le câblage électrique, la plomberie, la ventilation, le revêtement et même une partie de la structure du bâtiment ont dû être retirés. La majeure partie de l'Hélène-de-Champlain se trouve actuellement dénudée jusqu'aux murs de pierre extérieurs.

 

Devant l'ampleur imprévue de ces travaux, le chantier, qui devait prendre fin en juin dernier, ne sera pas terminé avant l'été 2012.

 

Malgré ces importants dépassements, la Ville estime que l'investissement en vaut la peine. Sur la durée du bail de 35 ans avec le restaurateur, la Société du parc Jean-Drapeau devrait récolter 15 millions et la Ville de Montréal, 8 millions en impôt foncier.

 

Le projet de rénovation de l'Hélène-de-Champlain est l'un des cadeaux que Montréal s'offre pour son 375e anniversaire en 2017, selon un document que La Presse a obtenu. Pourtant, la semaine dernière, le responsable des fêtes, Michel Bissonnet, a refusé de dévoiler ce que la Ville comptait s'offrir pour son anniversaire, une consultation publique étant prévue sur le sujet. Il avait toutefois indiqué que «le parc Jean-Drapeau, il va y avoir quelques surprises là».

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  • 3 mois plus tard...

Hélène-de-Champlain

Le projet tourne au fiasco

 

Jean-Louis Fortin

15/03/2012 01h24

 

Le projet pour faire revivre le *célèbre restaurant Hélène-de-Champlain, dans lequel la Ville de Montréal a déjà englouti près de 9 millions $ d’argent public, vient d’aboutir à un cul-de-sac.

 

Retards, découverte d’amiante lors des travaux, dépassements de coût : c’est une cascade d’imprévus qui a fait tomber à l’eau l’entente entre la Société du parc Jean-Drapeau (SPJD) – un organisme *paramunicipal – et son partenaire privé, une société dirigée par l’homme d’affaires québécois Robert Gagnon.

 

Le bâtiment patrimonial bien connu de l’île Sainte-Hélène devait être restauré pour accueillir dès ce printemps un établissement de fine cuisine, après la fermeture de l’ancien restaurant à la fin de 2009.

 

Mais la marmite a commencé à déborder l’automne dernier, lorsque les coûts estimés des travaux ont explosé en même temps que la complexité du projet, pour passer de 7,3 millions $ à 16,4 millions $.

 

9 M$ dépensés

 

Ces imprévus ont eu raison de l’entente entre la SPJD et les investisseurs privés, ont annoncé les deux parties mardi soir, dans un communiqué laconique.

 

La Ville devra maintenant verser au groupe de Robert Gagnon et à certains *autres fournisseurs une compensation de presque 2 millions couvrant, entre *autres, des honoraires professionnels déjà investis dans le projet.

 

Hier, Le Journal de Montréal a appris que, en plus, une somme de 6,98 millions $ a déjà été investie par la Ville dans l’édifice patrimonial, pour un total de près de 9 millions $.

 

« On revoit l’ensemble de l’œuvre en ce moment », a expliqué Nathalie Lessard, porte-parole de la SPJD, qui assure que l’organisme assumera la facture pour le reste des travaux.

 

La SPJD dit avoir bon espoir de trouver d’autres investisseurs pour occuper les lieux « bien avant 2017 ».

 

« Scandale »

 

Richard Bergeron, chef de Projet *Montréal, parti d’opposition à l’Hôtel de Ville, crie au « scandale » et croit que la gestion de ce projet n’aurait jamais dû être laissée aux mains du parc Jean-Drapeau.

 

« C’est du gaspillage de fonds publics, qui ont été remis entre les mains *d’incompétents », martèle-t-il.

 

Louise Harel, chef de l’opposition *officielle, exige quant à elle que la SPJD rende des comptes aux Montréalais à *propos de ce « cafouillis ».

 

« Pourront-ils terminer les travaux ou faudra-t-il encore d’autres fonds publics ? », demande-t-elle.

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''La Société du parc Jean-Drapeau (SPJD) poursuivra la rénovation du restaurant Hélène-de-Champlain. Mais elle tentera d'en réduire la facture après avoir perdu la semaine dernière le groupe qui devait y exploiter un nouveau restaurant.

 

Le départ du groupe de l'homme d'affaires Robert Gagnon creuse un trou de 4 millions dans le projet de réfection évalué à l'automne à 16,4 millions. «Il n'est pas question pour nous de redemander de l'argent nouveau à la Ville de Montréal», a néanmoins assuré hier Nathalie Lessard, porte-parole de la SPJD.

 

 

La Société est maintenant en train de réviser les travaux qui seront réalisés à l'intérieur du bâtiment pour tenter d'en réduire la facture. «Tous les travaux qui restent à faire, nous allons les revoir pour rationaliser les coûts du projet», a indiqué Mme Lessard.

 

 

 

La tâche ne sera pas aisée, reconnaît la SPJD. L'exploitant du restaurant devait financer l'agrandissement du bâtiment, travaux qui ont déjà été réalisés en bonne partie. La Société cherche un nouveau partenaire pour ouvrir un restaurant, mais il semble peu probable que celui-ci accepte de couvrir les coûts de l'agrandissement. Mme Lessard assure que ces travaux n'auront tout de même pas été faits en vain puisqu'ils permettront de louer le bâtiment à un meilleur prix.

 

 

Pour l'heure, 6,9 millions ont été engagés dans la rénovation, principalement dans la réfection de l'enveloppe du bâtiment. Deux millions devront également être versés au groupe de Robert Gagnon pour couvrir ses dépenses dans le projet.''

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