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  1. le 6 novembre 2007 Frank Zampino, président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, et Sammy Forcillo, conseiller du district Sainte-Marie–Saint-Jacques et membre du comité exécutif, annoncent la vente du marché Saint-Jacques pour la somme de 2 300 000 $. L’administration municipale avait lancé un appel de propositions à la suite de la décision de relocaliser les services municipaux qui occupaient cet immeuble hébergeant un marché public depuis plus de 75 ans. «Cette transaction amène le nouveau propriétaire à conserver la vocation de marché public en louant la partie extérieure de l’immeuble à la Ville jusqu’en 2022. Cette condition est assortie de cinq options de renouvellement d’une durée de cinq ans chacune, de manière à respecter l’entente intervenue avec la Corporation de gestion des marchés publics de Montréal qui exploite déjà cet espace», a commenté Franck Zampino. «De plus, le propriétaire est tenu de réserver le rez-de-chaussée du bâtiment à des commerces d’alimentation, ce qui permettra de relancer le développement commercial et économique du secteur», a-t-il argumenté. Retombées positives? Pour sa part, Sammy Forcillo a souligné que «la conservation et le renforcement de la vocation de marché alimentaire et public bénéficiera aux résidents du quartier qui profiteront de services d’approvisionnement additionnels. Le marché Saint-Jacques a marqué l’histoire de notre quartier et il fera encore la fierté de ses usagers, j’en suis certain ». Il s’est réjoui que la transaction vise également le maintien du caractère architectural du bâtiment construit en 1931. «Cet édifice de style art déco représente une valeur patrimoniale importante tant pour les résidents du quartier que pour l’ensemble de la population montréalaise», a conclu Sammy Forcillo.
  2. Voici les photos du Yacht de Tony Accurso sur lequel est allé Frank Zampino pendant l'appel d'offre du contrat de 355 millions pour les compteur d'eau: Monarques et Figurines Patrick Lagacé, 4 Avril 2009 Comment se fait-il que je n'aie jamais été invité sur le yacht de Tony Accurso, moi? Non mais, on dirait que tout le monde, sa soeur et son caniche ont été invités à venir se faire bronzer sur le Touch, le bateau du discret mais prospère entrepreneur en construction québécois. Tout le monde, bon, j'exagère. Mais M. Accurso a accueilli Michel Arsenault, président de la FTQ, et Frank Zampino, alors président du comité exécutif de la Ville de Montréal. Mais pas moi. Je n'ai jamais été invité sur le yacht de M. Accurso. M. Accurso est riche et je n'ai rien contre les riches. Les riches ont le droit de l'être. Ils ont le droit de rénover à grands frais des yachts de 119 pieds pour fendre les flots des mers du Sud en tout confort. David Whissell, ministre du Travail de Jean Charest, n'a pas enfilé son Speedo sur le pont du Touch. Mais ce que M. Whissell partage avec Messieurs Arsenault et Zampino, des hommes de pouvoir qui ont des liens privilégiés avec M. Accurso, c'est... comment dire... euh... je cherche mes mots. C'est cette réticence, oui, c'est le mot, cette réticence à parler de sa relation avec l'entrepreneur. Tous trois, lorsque questionnés sur M. Accurso, n'ont pas exactement fait preuve d'empressement pour confirmer ou expliquer la nature de cette relation. Je ne sais pas trop pourquoi. Tenez, ça peut en surprendre quelques-uns, mais j'ai moi aussi des amis. Disons que vous me demandez si Dominic Fugère (je le prends au hasard) est mon ami. Il me fait parfois un peu honte, surtout depuis qu'il porte la queue de cheval, mais je vais vous le confirmer. Je ne vais pas faire de cachettes. Oui, c'est mon ami. Oui, il m'a fait faire un tour de Volvo. Je ne vais pas d'abord vous dire que l'entretien ne porte pas sur ça (comme David Whissell à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous donner du «no comment» (comme Michel Arsenault à propos de M. Accurso), je ne vais pas d'abord vous dire qu'il s'agit de «ma vie privée» (comme Frank Zampino à propos de M. Accurso). D'où cette question: pourquoi tous les hommes de pouvoir qui se retrouvent liés à M. Accurso par les caprices de l'actualité sont-ils si gênés de dire qu'ils sont amis avec lui, qu'ils ont des liens avec lui, qu'ils sont allés se faire bronzer sur son bateau? Frank Zampino a le droit d'être ami avec Tony Accurso. Il l'était, dit-il, depuis 25 ans, avant d'aller sur son bateau. Frank Zampino, alors numéro deux de la Ville de Montréal, a séjourné sur le Touch, dans les Caraïbes. Là, je dis: non, il n'avait pas le droit. Il y est allé PENDANT le processus d'appel d'offres du plus gros appel d'offres (350 millions de dollars) de l'histoire de la Ville (pour des compteurs d'eau); appel d'offres auquel M. Accurso participait, au sein d'un consortium. Appel d'offres finalement remporté par le consortium en question, GéniEAU, composé de la firme Simard-Beaudry (propriété de M. Accurso), de la firme de génie Dessau et du Fonds de solidarité de la FTQ. À propos du Touch: on ne parle pas ici d'une chaloupe. Ni d'un pédalo. On parle d'un bateau de 119 pieds. On parle de grand luxe. D'un bateau rénové et retapé pendant des années par M. Accurso. On parle d'un palace flottant. Qui se loue 60 000$US par semaine. Sauf erreur, c'est le genre de gâteries qui, au prix du marché, était difficilement à la portée d'un élu gagnant le salaire de M. Zampino. Peut-être que maintenant, M. Zampino peut se payer ce genre de luxe maritime. Il est après tout devenu, après son départ de la politique, vice-président de Dessau, une grande firme d'ingénierie, une firme qui doit bien payer ses chefs. Oui, oui, le Dessau de GéniEAU. Si au moins, dans le cas de dérives éthiques comme celle de M. Zampino, leurs collègues se taisaient. Mais non. Ils en remettent. Prenez Claude Dauphin. M. Dauphin, vice-président du comité exécutif de la Ville, a dit de la croisière de M. Zampino, avant que ce dernier ne se mette à table: «On ne peut pas vous garantir ce soir qu'il y est allé ou qu'il n'y est pas allé ou jamais allé ou qu'il n'ira jamais: c'est du domaine privé.» Il y a des blagues pour adultes de Mike Ward, l'humoriste, qui sont moins vulgaires que cette déclaration de M. Dauphin. D'autres exemples de gâteries acceptées par des gens de pouvoir? Tiens, trois ex-ministres libéraux. Allan Rock est allé pêcher au camp d'une riche famille du Nouveau-Brunswick. Claudette Bradshaw est montée dans le jet privé de la même famille pour retourner à Moncton. Martin Cauchon est allé à la pêche avec Jean Lafleur, désormais célèbre fournisseur de l'État... Ces jours-ci, j'écoute beaucoup Alain Bashung, le chanteur français récemment décédé. Je redécouvre Osez Joséphine. C'est une chanson coquine, mais c'est fou, je l'écoute et je pense à des compteurs d'eau et à des voyages de pêche. Extrait: À l'arrière des berlines on devine des monarques et leurs figurines juste une paire de demi-dieux livrés à eux ils font des petits ils font des envieux... C'est pour ça que des types comme Arsenault ou Zampino, élus ou hommes de pouvoir, devraient oser refuser les cadeaux des monarques. Parce qu'en les acceptant, on devient une figurine.
  3. Tremblay choisit Dauphin et Forcillo Sammy Forcillo, Gérald Tremblay et Claude Dauphin, lors de la conférence de presse annonçant leurs nouveaux postes à l'exécutif de la Ville. (Photo Alain Roberge, La Presse) Éric Clément La Presse Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a choisi le maire de l'arrondissement de Lachine, l’avocat Claude Dauphin, pour remplacer le 3 juillet Frank Zampino à la présidence du comité exécutif. Le conseiller municipal de Sainte-Marie-Saint-Jacques, Sammy Forcillo, aura la responsabilité des finances de la Ville. C’est donc l’option d’un aigle à deux têtes que le maire Tremblay a privilégiée pour conduire son équipe exécutive jusqu’aux prochaines élections municipales. Avocat de formation, M. Dauphin était déjà vice-président du comité exécutif, responsable de la sécurité publique et civile et des relations intergouvernementales. Il conserve ses responsabilités auxquelles s’ajoutent celles des services administratifs, des affaires corporatives, du capital humain et des sociétés paramunicipales. Par contre, M. Dauphin abandonnera son poste de président de la Conférence régionale des élus. «Sa vaste expérience lui permettra d’avoir une vision d’ensemble des enjeux auxquels la métropole fait face en plus de consolider encore davantage nos relations avec les gouvernements du Canada et du Québec», a dit le maire Tremblay en conférence de presse ce mercredi matin. Quant à Sammy Forcillo, le maire a loué «sa connaissance encyclopédique de la Ville» en le désignant vice-président du comité exécutif et Grand argentier de la métropole, avec la responsabilité des finances, de la fiscalité et de l’évaluation foncière. Il conserve sa charge des infrastructures, de la voirie et de la gestion de l’eau. M. Forcillo devra poursuivre les efforts accomplis par Frank Zampino pour réduire les dépenses de la municipalité. Il aura notamment à couper 100 millions en 2009 sans hausser le fardeau fiscal général des Montréalais, tel que prévu dans l’engagement de Gérald Tremblay de couper 300 millions en trois ans. Frank Zampino, qui quittera ses fonctions après avoir présidé une dernière fois le comité exécutif mercredi prochain, a dit que les choix du maire Tremblay sont «judicieux» car Claude Dauphin a «de grandes qualités et de grandes connaissances» tandis que Sammy Forcillo «est celui autour de la table de l’exécutif qui connaît le mieux le budget». Le maire n’a pas voulu dire pourquoi il avait choisi d’augmenter les tâches de MM. Dauphin et Forcillo plutôt que d’en confier certaines à d’autres membres de son caucus. Il a seulement fait comprendre que les deux récipiendaires de la journée étaient «capables d’en prendre» autant que lui, qui s’est attribué l’an dernier les charges supplémentaires du patrimoine, de la culture et du design. M. Zampino a dit que si le maire n’a pas comblé son poste au comité exécutif ni celui de Benoit Labonté, démissionnaire en septembre, c’est que l’équipe actuelle est «solide et connaît bien ses dossiers». À noter que le maire a demandé à son frère, le conseiller Marcel Tremblay, d’être responsable de la Société du parc Jean-Drapeau, à la place d’Helen Fotopulos. «J’ai commencé ma carrière là en 1967 durant l’Expo, a dit Marcel Tremblay à La Presse. J’ai déjà eu la responsabilité du 40ème de Terre des Hommes. Là, je serai en charge d’organiser le 50ème anniversaire pour 2017 et de m’assurer que les investissements seront là.» Interrogée sur la perte de cette responsabilité, Mme Fotopulos a répondu : «Le plan directeur du parc est adopté, il ne reste plus que les activités». Toutes ces nominations ont été entérinées lors d’une assemblée spéciale du conseil municipal, hier après-midi. Le chef de l’opposition officielle et maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, a réagi et dit que le maire de Montréal «a raté une belle occasion d’enrichir son comité exécutif et, par conséquent, de réinsuffler à son administration un dynamisme plus que nécessaire», soulignant par ailleurs «qu’aucune femme n’est promue». http://www.cyberpresse.ca/article/20080625/CPACTUALITES/80625092/6730/CPACTUALITES
  4. Pas de hausses de taxes à Montréal a dernière campagne électorale, à geler le «fardeau fiscal global». (Photo Armand Trottier, archives La Presse)"> Le président du comité exécutif et responsable des finances à la Ville de Montréal, Frank Zampino (à gauche), peut compter sur 31 millions de dollars supplémentaires pour boucler son budget 2008. Le maire Gérald Tremblay (à droite) s’était engagé, lors de la dernière campagne électorale, à geler le «fardeau fiscal global». Photo Armand Trottier, archives La Presse Sébastien Rodrigue La Presse Pour la troisième année consécutive, l’administration Tremblay-Zampino prévoit équilibrer son prochain budget sans augmenter le fardeau fiscal des contribuables, confirme le président du comité exécutif et responsable des finances, Frank Zampino. La Ville de Montréal anticipe des surplus budgétaires de près de 84 millions alors que le budget 2007 prévoyait plutôt 53 millions. Frank Zampino peut donc compter sur environ 31 millions supplémentaires pour boucler son budget 2008, a-t-on appris. «Si tout va bien, je pense qu’on sera en mesure cette année de déposer un budget avec un fardeau fiscal qui ne sera pas augmenté», prédit-il. La Ville de Montréal présente son budget à la fin du mois de novembre et l’adopte avant la pause du temps des Fêtes. Le maire Gérald Tremblay s’est engagé lors de la dernière campagne électorale à geler le «fardeau fiscal global». Le maire avait même récrit le budget 2006 après avoir prévu des hausses de taxes dans la première version. Les arrondissements pourraient tout de même adopter une taxe locale, comme l’ont fait quatre arrondissements en 2007. Les surplus s’expliquent notamment par des revenus plus importants (20 millions) en droits de mutation immobilière. La Ville a aussi été plus chanceuse que prévu dans la contestation des évaluations foncières, ce qui dégage environ 20 millions de dollars. Montréal bénéficie enfin des conséquences du gel de l’embauche décrété en 2006. L’administration Tremblay-Zampino a mis en place un programme pour réduire les dépenses de 100 millions par année et éliminer 1000 postes par attrition d’ici 2009. «On prévoit des économies de 35 millions, dont environ 30 millions au chapitre de la rémunération», explique M. Zampino. Les effets du nouveau rôle d’évaluation continueront néanmoins de se faire sentir en 2008. À Montréal, la valeur des propriétés augmentera progressivement pendant quatre ans. En 2008, la moitié de l’augmentation de la valeur foncière sera donc appliquée. Les propriétaires qui font l’objet de hausses plus importantes que la moyenne auront donc une hausse de leur impôt foncier, tandis que ceux en-dessous de la moyenne bénéficieront d’une réduction. Par ailleurs, Montréal a déjà annoncé son intention de maintenir tels quels les tarifs des parcomètres en 2008 après deux années de hausses consécutives. Pour respecter sa promesse de ne pas augmenter l’impôt foncier durant son second mandat, Gérald Tremblay s’était notamment servi des parcomètres afin d’augmenter les revenus en 2006 et en 2007. Les revenus des parcomètres ont ainsi crû de 30 millions de dollars, avec lesquels on a financé l’opération propreté. Le responsable des finances ajoute que son administration prévoit aussi maintenir ses investissements dans la rénovation des infrastructures en 2008. En 2007, les investissements dans les infrastructures s’élevaient à un peu plus de 700 millions. Le programme triennal d’immobilisation prévoyait cette année 126 millions pour le réseau d’eau potable et 145 millions pour les rues. L’administration avait aussi prévu la création d’un fonds de 180 millions en trois ans pour financer des projets d’envergure. En 2008, Montréal pourrait compter sur de nouvelles sources de revenus comme la taxation des stationnements commerciaux et des billets de spectacle si le projet de loi 22 est adopté. À l’instar des grandes villes canadiennes, l’administration Tremblay-Zampino demande toutefois au gouvernement Harper de lui remettre une portion de la taxe de vente au lieu d’en réduire le pourcentage comme il l’avait promis aux dernières élections. Si les finances de la Ville de Montréal vont bien, il en va autrement de celles de la Société de transport de Montréal. La STM anticipe en 2007 un déficit de 17,9 millions qui s’ajoutera au déficit accumulé de 13,6 millions figurant à son dernier rapport financier. M. Zampino indique que Montréal pourrait augmenter sa contribution annuelle à la STM ou encore utiliser ses surplus pour combler ce déficit. La STM pourrait aussi entreprendre un exercice de rationalisation d’ici la fin de l’exercice financier.
  5. La Presse Le dimanche 16 septembre 2007 L’administration Tremblay-Zampino a demandé au Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) de réduire son budget de 20 millions de dollars l’an prochain. Tous les services centraux ont d’ailleurs reçu l’ordre de couper dans le gras en 2008 pour réduire leurs dépenses de 70 millions, a appris La Presse. Montréal poursuit l’exercice de rationalisation entrepris l’année dernière. Objectif : économiser 300 millions et éliminer 1000 postes d’ici 2009. Le président du comité exécutif, Frank Zampino, précise que les contraintes budgétaires sont cette année de 30 millions pour les arrondissements et de 70 millions pour les services centraux. L’année dernière, le budget des arrondissements était de 870 millions et celui des services centraux, de 1,85 milliard. Le responsable des finances au comité exécutif précise que plus le budget d’un service est imposant, plus les restrictions le sont. « C’est un exercice exigeant. C’est encore plus exigeant en 2008 parce que, une fois qu’on a réalisé 100 millions d’économies en 2007, ça devient plus compliqué la deuxième année et encore plus compliqué en 2009 », explique M. Zampino. Chaque année, les services établissent un budget qui tient compte des augmentations de salaire des employés, de l’inflation et de la croissance du coût des contrats. Pour la deuxième année consécutive, l’administration Tremblay-Zampino leur accorde toutefois moins d’argent que ce qu’ils prévoient. « Ils doivent proposer des mesures de rationalisation », insiste M. Zampino. Il ajoute que l’abolition de postes par attrition donne tout de même de l’oxygène aux services. Avec son budget de 506 millions en 2007, le SPVM est l’un des services les plus touchés par les compressions budgétaires. La Ville lui demande de réduire ses dépenses de 20 millions en 2008. M. Zampino soutient que le budget de la police atteindra tout de même environ 550 millions. Le directeur du SPVM, Yvan Delorme, tente quant à lui d’échapper à ces compressions, a-t-on appris. Il fait valoir que le service de police rapporte davantage de revenus qu’auparavant. L’affectation d’une escouade de policiers à la sécurité routière a fait grimper le nombre de contraventions à Montréal. En 2006, les policiers en ont distribué près de 550 000, une augmentation de 62 % par rapport à l’année précédente. Les revenus ont ainsi bondi de 41 à 71 millions de dollars. Avec les contraventions distribuées par les agents de stationnement, les revenus se sont chiffrés à 124 millions en 2006, soit 3 % du budget de la Ville. Les données pour 2007 ne sont pas encore connues. Le SPVM propose en outre d’augmenter ses revenus en commercialisant ses services. Dans le budget 2007, les revenus liés à la commercialisation se chiffraient à environ 1,6 million. Depuis son arrivée au pouvoir, en 2002, l’administration Tremblay-Zampino a toujours prévu des hausses de 2 à 5 % des dépenses globales dans ses budgets. En 2007, la Ville a toutefois fait face à un déficit appréhendé de 394 millions. Elle avait équilibré son budget notamment en gelant les salaires des employés et les budgets accordés aux arrondissements. La croissance des dépenses avait ainsi été stoppée à un peu moins de 2 %. Plusieurs arrondissement ont toutefois adopté des taxes locales pour compenser. Depuis sa réélection, le maire Gérald Tremblay peine à équilibrer son budget sans augmenter les taxes. Il s’était engagé à geler le fardeau fiscal global des Montréalais durant tout son mandat. Montréal pourrait obtenir de nouveaux pouvoirs de taxation si le projet de loi 22 est adopté cet automne.
  6. 29/05/2007 Le système informatique de la Ville de Montréal est dépassé. C'est l'un des constats faits par le vérificateur général, dans son rapport annuel déposé au conseil municipal. Et ça fait perdre des millions de dollars à la Ville. On apprend dans ce rapport que le système de gestion des ordinateurs de la Ville est un vrai capharnaüm: 550 serveurs installés sur 63 sites différents, neuf systèmes d'exploitation indépendants les uns des autres. Certains ordinateurs sont tellement vieux que les fonctionnaires n'en connaissent même plus le mode de fonctionnement. Le président du comité exécutif, Frank Zampino, affirme qu'il tente l'impossible pour corriger la situation. Mais pour Noushig Eloyan, chef de l'opposition à la Ville de Montréal, l'administration Tremblay paie le prix de sa décentralisation. Le vérificateur général identifie ainsi une dizaine de secteurs de la Ville de Montréal qui ont besoin de sérieux correctifs.
  7. 24/04/2007 La Ville de Montréal, qui réclamait encore récemment de nouvelles sources de revenu de Québec, a terminé l'année 2006 avec un excédent budgétaire de 140M$, ce qui représente un peu plus de 3,5% de son budget annuel de 3,9G$. Le président du comité exécutif de la ville, Frank Zampino, a toutefois tenu à mettre ce surplus en perspective, indiquant que cela se comparait à un ménage ayant un revenu de 60 000$ qui aurait réussi à économiser 2160$ à la fin de l'année. Il en a profité pour louer la rigueur dont fait preuve l'administration municipale dans la gestion de ses finances publiques, imputant le surplus, en outre, au fait que la Ville aura réduit ses dépenses de 300M$ et ses effectifs de 1000 personnes d'ici trois ans. L'administration a déjà engagé plus de 90% de cet excédent, et la part provenant des arrondissements demeurera dans leurs budgets respectifs, indique la Presse Canadienne. Frank Zampino prend soin d'ajouter que ces résultats n'effacent en rien les besoins financiers de Montréal dont la situation financière demeure précaire, selon lui. Il précise que l'administration Tremblay-Zampino entend donc poursuivre ses démarches auprès de Québec pour accroître l'autonomie de Montréal en matière d'administration et de fiscalité.
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