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  1. La Bourse de Montréal, spécialisée dans les échanges de produits dérivés, a battu son propre record d'activités en 2012 alors que ses concurrents nord-américains étaient en baisse. Un peu plus de 64 millions de contrats à terme et options ont été échangés à la Bourse de Montréal l'an dernier, 3,8% de plus qu'en 2011. De plus, cette hausse en apparence faible s'est avérée à contre-courant du marché nord-américain des produits dérivés, dont le volume était en recul de 13%. Cette performance avantageuse de la Bourse de Montréal dans un marché très concurrentiel lui a d'ailleurs valu des éloges de la part des dirigeants du groupe TMX (T.X), qui diffusait ses résultats de fin d'exercice hier à Toronto. «Nous sommes extrêmement satisfaits d'avoir maintenu la croissance du volume, ce qui semble anormal en comparaison de ce qui s'est passé dans le marché mondial des contrats à terme et des options», a indiqué Thomas Kloet, président et chef de la direction de TMX, au cours de la téléconférence d'analystes. Selon M. Kloet, deux facteurs principaux expliquent cette bonne tenue de la Bourse de Montréal. D'une part, le marché boursier canadien a encore attiré beaucoup d'investisseurs étrangers l'an dernier, ce qui a accru leur recours à des produits dérivés d'origine canadienne comme outils de gestion de risque de leurs placements. D'autre part, a souligné le président de TMX, la Bourse de Montréal et son marché des produits dérivés se démarquent de plus en plus au niveau international. Et même à Londres, la métropole financière mondiale où TMX a un bureau de commercialisation depuis deux ans. «Après Londres, nous serons en Asie au cours des prochains mois pour promouvoir nos produits et services. Le plus intéressant pour nous, c'est que MX (surnom de la Bourse de Montréal) est devenu un produit d'attrait international, et non plus seulement au Canada», a indiqué M. Kloet. Cette importante croissance de la Bourse de Montréal au sein du groupe TMX se manifeste aussi dans ses résultats financiers. Pour le deuxième exercice consécutif, TMX a encaissé en 2012 plus de revenus provenant des frais transactionnels des produits dérivés que ceux provenant des transactions d'actions à Toronto. Ces revenus à la Bourse de Montréal et sa filiale BOX à Boston ont atteint 115,5 millions de dollars en 2012, en hausse de 2% en un an. En comparaison, les revenus transactionnels aux Bourses d'actions de Toronto et TSX-Croissance ont reculé de 12%, à 92,9 millions. Ce recul s'explique surtout par la baisse prononcée des volumes d'actions en 2012 (-20% à Toronto et -37% à TSX-Croissance) alors que le volume de produits dérivés augmentait de 3,8%. Quant aux chances de la Bourse de Montréal de maintenir cet élan en 2013, tout indique qu'elles dépendront de l'attrait des investisseurs pour les produits dérivés alors que les Bourses d'actions sont en poussée haussière. Dans les résultats financiers de TMX, aussi, les attentes demeurent floues, alors que le groupe doit encore intégrer de nouvelles activités (Bourse Alpha à tarifs réduits, firme de compensation CDS) obtenues au moment de la prise de contrôle par le consortium financier Maple. Ce consortium de 13 institutions financières, dont la Caisse de dépôt et placement, la Banque Nationale et du Mouvement Desjardins, a réalisé une mainmise de 3,8 milliards sur TMX en juillet dernier, au terme de 18 mois de démarches financières et réglementaires. Dans ses résultats publiés hier, TMX affiche un profit net de 34,7 millions au quatrième trimestre comparativement à une perte de 10,2 millions un an plus tôt. Pour l'exercice partiel de huit mois terminé le 31 décembre, TMX a dégagé un profit de 20,7 millions au lieu d'une perte de 37,3 millions en 2011. En Bourse, les investisseurs ont manifesté leur satisfaction. Les actions de TMX ont pris 2,2%, à 56,73$. Il s'agit d'un nouveau sommet depuis celui de 57$ atteint en juillet 2007, juste avant la crise financière et le krach boursier de 2008. ------------------ Volume des contrats à terme et d'options (1) Année - Millions 2012 64,2 2011 61,9 2010 44,3 2009 34,7 2008 38 2007 42,7 2006 40,5 2005 25,8 2004 21,8 2003 17,6 1: Produits dérivés de sources diverses, en ordre de volume décroissant en 2012: actions, taux d'intérêt à court terme, obligations, fonds négociés en Bourse (fnb), indices boursiers, devises. Source: Bourse de Montréal (Gr.TMX) http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201302/07/01-4619204-annee-record-a-la-bourse-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  2. Je me posais une question aujourd'hui en lisant un document du MTQ. À partir de quel volume de traffic considère-t-on ajouter des voies à une autoroute? Je m'explique. Je lis le plan de transport de la région Laurentides-Lanaudière. On y explique que l'ajout de voies sur l'autoroute 15 entre Saint-Jérôme et Saint-Sauveur se fera dans les prochaines années, si les projections de volume le confirme. Y a t-il une règle générale quant au volume-limite nécessitant un élargissement?
  3. L'appétit des investisseurs pour l'immobilier commercial montréalais ne se dément pas. Les transactions ont totalisé 3,4 milliards de dollars l'an dernier, en hausse de 13,5 % sur un an, et la firme CBRE s'attend à de nouvelles hausses. « On s'attend à ce que l'activité d'investissement grimpe en 2012 puisque les vendeurs sentent de plus en plus que le moment est opportun pour vendre, a indiqué Brett Miller, vice-président exécutif de CBRE pour l'est du Canada, dans un rapport publié hier. Et plusieurs investisseurs institutionnels sont impatients d'augmenter leur exposition au marché montréalais «, ajoute-t-il. Un bilan exceptionnel à Montréal Selon M. Miller, la performance observée à Montréal est d'autant plus « exceptionnelle « qu'il n'y a pas eu de mégatransaction en 2011. Le climat macroéconomique est aussi demeuré incertain toute l'année, ce qui aurait pu décourager certains investisseurs. De tous les segments, celui des immeubles de bureaux a particulièrement brillé dans la métropole, avec un volume d'investissements en hausse de 89,2 %, à 754 millions. La situation canadienne À l'échelle canadienne, les investissements ont reculé de 5,6 % au quatrième trimestre, mais ils ont grimpé de 20,5 % pour l'ensemble de 2011, à 23,6 milliards. Il s'agit du niveau le plus élevé depuis 2007, a souligné CBRE. « Il serait dangereux d'accorder trop d'attention à la légère baisse du quatrième trimestre, puisque tout laisse croire que la tendance à la hausse des deux dernières années est tout à fait intacte «, a affirmé John O'Bryan, vice-président du conseil de CBRE. Il reste que tous les types de propriétés ont connu une baisse entre le troisième et le quatrième trimestre de 2011, à l'exception des hôtels. Le volume de transactions a reculé pour les immeubles de bureaux (-30,4 %), les magasins (-17,7 %) et les édifices locatifs (-2,3 %). Toronto dépasse le seuil des 9 milliards Sans surprise, Toronto revendique le plus de transactions l'an dernier, avec un volume de 9,6 milliards. Ont suivi Montréal et Vancouver à égalité (3,4 milliards), Calgary (2,5 milliards), Edmonton (2,4 milliards), Ottawa (886,5 millions), London (541 millions) et Halifax (471 millions). Les fonds de placement immobilier ont généré le tiers des transactions l'an dernier, et CBRE s'attend à ce qu'ils demeurent d'importants acheteurs en 2012. Les accords conclus entre Cominar et Canmarc, de même qu'entre Dundee et Whiterock, laissent penser que de nombreux immeubles aboutiront sur le marché cette année. CBRE s'attend à un volume de transactions total variant entre 20 et 25 milliards en 2012 au Canada, soit à peu près le même niveau qu'en 2011. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/immobilier/201202/22/01-4498531-immobilier-commercial-forte-hausse-des-transactions-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS9
  4. Read more: http://www.montrealgazette.com/entertainment/Lambert+shouts+enough/3317503/story.html#ixzz0uhaLT8LV
  5. Le port de Montréal a enregistré une baisse de son volume Publié le 12 août 2009 à 14h02 | Mis à jour à 14h04 La Presse Canadienne Montréal Le port de Montréal a enregistré une baisse de 18,4 pour cent de son volume de marchandises conteneurisées au cours des six premiers mois de l'année, par rapport à la période correspondante de l'an dernier. De janvier à juin inclusivement, le volume de marchandises conteneurisées s'est ainsi établi à un peu plus de 5,4 millions de tonnes, a indiqué, mercredi, l'Administration portuaire de Montréal. En nombre de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) pleins et vides, pour le premier semestre, la baisse a atteint 14,6 pour cent par rapport à la même période en 2008, pour totaliser 619 721 EVP. L'administration du port montréalais a souligné, en publiant ses résultats, mercredi, que, bien qu'ils soient baissiers, ils sont cependant meilleurs que ceux des principaux ports concurrents sur la côte Est. Les chiffres négatifs du premier semestre ont, en outre, été en partie compensés par des résultats très positifs dans le secteur du trafic maritime céréalier où le port de Montréal a connu une hausse de 31,1 pour cent par rapport à l'an dernier. L'achalandage total du terminal céréalier totalise plus de 1,2 million de tonnes pour les six premiers mois de l'année. La diversification des marchés du port a également eu un effet favorable, a souligné l'administration portuaire. Le trafic de conteneurs avec la Méditerranée a notamment connu une augmentation de 22,2 pour cent en nombre d'EVP pleins. Tous trafics confondus, la baisse de volume manutentionné au port de Montréal est de 15,4 pour cent par rapport à l'an dernier, pour atteindre près de 10,9 millions de tonnes.
  6. Le volume de fusions-acquisitions dans le monde, en baisse à cause de la crise, devrait atteindre un plancher mi-2009 avant de repartir «en fin d'année». Pour en lire plus...
  7. Le port de mer de Gros-Cacouna a enregistré en 2008 une baisse de l'ordre de 30% du volume de marchandises transbordées. Pour en lire plus...
  8. L'action de la pétrolière de Calgary grimpait de 33%, mardi, à la Bourse de Toronto, dans un important volume d'échanges. Pour en lire plus...
  9. mtlurb

    Vancouver écope

    Si Montréal semble bien se sortir de la crise pour l'instant, la situation est différente à Vancouver. En milieu d'année, le Port de Vancouver avait déjà vu le volume total des marchandises manutentionnées reculer de 5% par rapport à un an auparavant. Pour en lire plus...
  10. Des records de volumes et de revenus ont été enregistrés dans le domaine du transport ferroviaire de marchandises et de passagers l'an dernier au Canada. Pour en lire plus...
  11. Cet hebdomadaire qui se consacre aux célébrités et au monde du spectacle est publié par Wenner Media. Ce nouveau mandat d’impression prévoit une augmentation de volume importante. Pour en lire plus...
  12. Le groupe boursier transatlantique a vu les échanges augmenter de 61,8% pour atteindre un volume moyen historique de 2,1 millions de transactions quotidiennes. Pour en lire plus...
  13. La Banque fait toutefois preuve d'une prudence encore plus grande lorsqu'elle examine les dossiers. Pour en lire plus...
  14. La Banque centrale européenne (BCE) a annoncé jeudi qu'elle lançait une opération exceptionnelle de refinancement en euros sur six jours sans montant prédéfini, ce qui est rare, et au taux fixe de 3,75%. Pour en lire plus...
  15. En juillet dernier, avec un volume record de transactions trois fois plus élevé que la moyenne, on a assisté à la fin de la saignée qui a touché le fonds négocié en Bourse regroupant les bancaires et les financières. Pour en lire plus...
  16. La Ville de Montréal dote ses arrondsissements de bacs roulants Montréal, le 8 août 2008 - Le responsable du développement durable, du développement économique et de Montréal 2025 au comité exécutif, M. Alan DeSousa, est fier d'annoncer que, conformément aux grandes orientations annoncées récemment dans son Projet de Plan de gestion des matières résiduelles de l'agglomération de Montréal 2008-2012 (PDGMR), le comité exécutif de la Ville de Montréal a autorisé des appels d'offres afin de doter les arrondissements de bacs roulants partout sur le territoire où le bâti urbain le permet. Environ 250 000 bacs roulants seront ainsi bientôt distribués. De plus, le citoyen aura la vie plus facile, puisque les matières recyclables seront ramassées en mode pêle-mêle, c'est-à-dire que les matières recyclables n'auront plus à être séparées selon qu'il s'agisse de verre/plastique/métal ou de papier. « Il a été clairement démontré que le volume et la facilité d'utilisation de l'outil de collecte sont deux éléments directement reliés à la participation des citoyens et à l'augmentation des quantités de matières collectées », a déclaré M. DeSousa. « La Ville de Montréal prend donc les décisions nécessaires afin d'atteindre les objectifs de récupération et de valorisation de 60 % des matières résiduelles énoncés dans la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles 1998-2008.» Dans le cadre de l'élaboration du PDGMR, de nombreuses études techniques, économiques et d'aide à la décision basée sur l'analyse de cycle de vie ont permis de définir des scénarios à privilégier pour faire augmenter la quantité de matières recyclables collectées. Le scénario privilégié préconise l'utilisation d'outils en fonction de trois catégories de bâti urbain, soit les habitations détachées de 8 logements et moins, les habitations non détachées de 8 logements et moins et les multi logements de 9 logements et plus. Pour les habitations détachées, le PDGMR préconise l'utilisation de bacs roulants d'un volume variant de 120 à 360 litres. Pour les habitations non détachées, le PDGMR préconise l'utilisation de bacs roulants d'un même volume ou du nouveau hybride bac-sac actuellement en développement par Claude Mauffette Design Industriel, firme lauréate du concours de design industriel qu'a lancé la Ville de Montréal. Enfin, pour les multi logements, le PDGMR préconise le statuquo, soit l'utilisation de bacs roulants d'un volume variant de 240 à 660 litres. La distribution de ces nouveaux outils – dont l'implantation se déroulera d'ici la fin de l'année 2009 – aura permis, en 2012, de détourner de l'enfouissement une quantité cumulative de matières recyclables estimée à au moins 180 000 tonnes. Pour M. DeSousa : « Les actions élaborées dans le PDGMR invitent à une responsabilisation collective afin d'atteindre les résultats que nous nous sommes fixés. Les citoyens sont invités à relever le défi auquel nous faisons face en participant toujours plus activement au recyclage des matières résiduelles qu'ils génèrent. Nous leurs proposons aujourd'hui de nouveaux outils de collecte qui tiennent compte des exigences environnementales et qui favorisent la participation citoyenne dans un esprit de développement durable ». Rappelons que le PDGMR permettra de mettre en œuvre les mesures établies par la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans son Plan métropolitain de gestion des matières résiduelles, tout en étant adapté à la réalité des différents arrondissements et des villes liées de l'agglomération. Le document de consultation fait présentement l'objet d'une analyse par la Commission du conseil d'agglomération sur l'environnement, le transport et les infrastructures. L'adoption du PDGMR est prévue pour l'automne 2008. Une fois adopté, le PDGMR constituera le cadre de référence de l'agglomération pour la gestion des matières résiduelles et guidera également son positionnement au sein de la CMM et dans ses discussions avec les gouvernements.
  17. Le plus gros groupe boursier mondial empoche des profits en hausse de 21% au deuxième trimestre, avec un plus grand volume de transactions. Pour en lire plus...
  18. L'industrie de la construction au Québec se dirige vers une année record en termes de volume de travail. Pour en lire plus...
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