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  1. 20 juin 2007 La Presse Montréal se lance dans le marché du carbone. La Ville a vendu mardi à Gaz Métro le droit d'émettre 2000 tonnes de gaz à effet de serre (GES). Elle espère encourager la mise sur pied d'une Bourse du carbone et inciter les entreprises à échanger des droits de polluer. Des rénovations effectuées l'an dernier à la Station d'épuration des eaux usées ont fait chuter les émissions de CO2 de la métropole d'un million de mètres cubes, soit 2000 tonnes par année. La Ville a donc vendu ces « droits de pollution » à Gaz Métro. C'est précisément ce type de transaction qui aura cours dans une éventuelle Bourse du carbone. Des compagnies pourront acheter ou vendre des crédits de GES. Mais pour cela, il faut d'abord obtenir le feu vert d'Ottawa. Le ministre fédéral de l'Environnement, John Baird, a toujours été hostile à la Bourse du carbone. Son plan vert, dévoilé en avril, prévoit une réduction de 20% des émissions de GES d'ici à 2020, par rapport à 2006. Pour le moment, il n'impose aucune cible précise aux entreprises. Sans plafonds, l'industrie ne prend part au marché du carbone que sur une base volontaire. «On ne va pas attendre que les gouvernements soient prêts à y aller. Si on veut profiter de ce nouveau marché, on doit assumer le leadership maintenant», indique le conseiller responsable du développement durable, Alan DeSousa. Nombre d'entreprises ne savent plus sur quel pied danser, indique le vice-président développement durable chez Gaz Métro, Jean Simard. Elles savent qu'elles devront répondre à de nouvelles exigences gouvernementales, mais ignorent leur teneur. «Ce qu'on ne veut pas, c'est de l'incertitude réglementaire et législative. Au moment où l'on se parle, on nage dans l'incertitude depuis quatre ou cinq ans.» La vente rapportera 14 000$ à la Ville, soit environ 7$ la tonne de CO2. C'est à peu près le même cours qu'au Chicago Climate Exchange, le seul marché du genre en Amérique du Nord. Si le gouvernement adopte des cibles plus contraignantes, la valeur des titres devrait augmenter, indique le vice-président de la Bourse de Montréal, Léon Bitton. «Aujourd'hui dans un marché volontaire, la demande est volontaire, dit-il. Dans un marché réglementé, la demande sera obligatoire. Si les cibles sont contraignantes, on devrait créer plus de demande. Et en créant plus de demande, ça devrait avoir un impact sur le prix.»
  2. L'Agence canadienne d'inspection des aliments et Maple Leaf procèdent à un rappel volontaire en raison d'une possible contamination à la bactérie Listeria monocytogenes. Pour en lire plus...
  3. 19/06/2007 Le travail atypique continue de gagner du terrain au Québec, contrairement à ce qui se passe dans l'ensemble canadien où l'emploi à temps plein croît plus fortement. En 2006, une plus grande proportion de la population active québécoise travaillait à temps partiel ou sur une base temporaire par rapport à 1998, révèle la récente édition de l'Annuaire québécois des statistiques du travail rendu public mardi par l'Institut de la statistique du Québec. Dans son ensemble, l'emploi atypique regroupe 36,6% des travailleurs du Québec. Il s'agit le plus souvent de femmes. On constate en outre que les Québécois qui travaillent à temps partiel le font de plus en plus sur une base volontaire. C'est le cas de près des trois quarts d'entre eux en 2006 comparativement aux deux tiers en 1998. Dans l'ensemble canadien, l'emploi à temps plein croît cependant plus fortement que celui à temp partiel, le Québec faisant exception. Presse Canadienne
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