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  1. Consultation de l'inscription Je présume qu'ils veulent agrandir par dessus la partie vacante du quadrilatère:
  2. Viger Project Montreal, Quebec, Canada Step 1: 2008 Step 2: 2010 Viger will be a 19-story, 828,000 square foot mixed-use project consisting of a 225,000 square foot hotel, 185,000 square foot of retail space, 385,000 square foot of residential space with parking for 1,400. The hotel portion includes the redevelopment of a 150,000 square foot historic chateau-style hotel. SUMMARY Address 710 Rue Saint-antoine E Montreal, Quebec, Canada Location Located in Montreal, Quebec Canada Hines' Role Development Manager Net Rentable Area Hotel: 225,000 sq. ft. (20,902 sq. meters) Residential: 385,000 sq. ft. (35,766 sq. meters) Retail space: 185,000 sq. ft. (17,186 sq. meters) The renaissance of Viger Square Phil O'Brien Senior advisor Telemedia DevelopmentI Inc. Mr. Philip O'Brien will be conducting a presentation about the Viger site on the eastern edge of Old Montreal. He will discuss the history of the site: the building of a grand hotel and railway station in what was then the central core of Montreal, its prominence as a prestigious address for business elites, and its cultural significance for the city of Montreal. The context of its decline during the 20th century will be outlined: from the changing economic conditions in the 1930s and its demise to its current state in the urban environment, resulting from the expansion of the railway yards, the digging of the open trench of the Ville-Marie expressway, and the demolition of a vast number of houses to make room for the CBC project. He will then highlight the exciting potential for redevelopment in light of changing local economic conditions and redevelopment opportunities for this area of town. Thursday, April 12, 2007 from 7:30 to 9 a.m. Ritz-Carlton Montreal 1228 Sherbrooke Street W. chateau_viger.pdf
  3. Une petite visite guidée d'un des mal aimé du centre-ville (avec raison d'ailleurs). C'est plate qu'il ne soit pas invitant d'y aller parce qu'avec la végétation qui commence à prendre le dessus, ça commence à lui donner un peu de gueule. Bloc #1-Ouest: La fontaine du bloc #1, hors fonction et l'oeuvre d'art particulièrement "magané". Le bloc #1 est décidément celui qui est le plus "habité", probablement à cause de ses "toits". Bloc #2 - Centre Ici, il y avit quelques personnes probablement du quartier et moins de sans-abris. La fontaine est assez intéressante ici, mais aussi hors fonction et plutôt en mauvaise état. Bloc #3 - Est Aire de jeux.... j'en ai pas vu en tk... Seule fontaine fonctionnelle dans les trois blocs... elle fait penser à une grande douche commune... je me demande si ce n'est pas à l'intention des sans-abris ! Bref, il ne m'est rien arrivé de facheux dans le Square Viger, il est même plutôt intéressant à explorer, mais je peux comprends qu'il repousse beacoup de gens à cause de sa configuration, des sans-abris, de l'odeur d'urine omniprésente et des rebuts qui y traine, quoique c'était beaucoup moins que ce à quoi je m'attendais. La nuit, c'est surement un peu plus animé. Il y avait un projet de reconversion il y a quelques années, mais je ne sais pas ce qui est arrivé.
  4. Voilà la question Dans l'ensemble de Montréal, quel sont selon vous les meilleurs terrains à développer ? Bien sur j'ai penser à Blue Bonnets. Mais je croise à tous les jours le terrain au coin de la rue St-Timothé et de l'Avenue Viger, avec le nouveau Carré viger, le CHUM, le recouvrement de Ville-Marie et la Gare en rénovation. Ce terrain vaut de l'or non ? Alors selon vous, les meilleurs terrains se trouve où? PS. Si c'est intéressant, je risque de me servir de vos réponses pour un article sur le blogue.
  5. Les archives de Montréal Qui sommes-nous? Nos archives Nos expositions virtuelles Connaître l’histoire de Montréal Accueil Nouvel horaire de la salle de consultation des archives Depuis le 9 août dernier, la salle de consultation des archives est dorénavant fermée les lundis pour nous permettre de développer de nouveaux outils de recherche pour nos usagers et d’améliorer notre offre de services sur le site web Archives de Montréal. Notre nouvel horaire est donc du mardi au vendredi de 8 h 30 à 12 h et de 13 h à 16 h 30. Les Archives de Montréal et le Web 2.0La Section des archives de la Ville de Montréal utilise les médias sociaux avec l’intention de rendre l’histoire de Montréal accessible à tous et par tous les canaux possibles. Nous sommes présents par notre blogue Archives de Montréal, nos comptes Facebook et Twitter, notre site de photos Flickr et notre canal You Tube. Consultez-les et abonnez-vous! Le Guide des archives Les procès-verbaux du Conseil municipal - 2001-2010 Les règlements municipaux depuis 1840 Les fonds et collections d'archives reliés à Expo 67 Montréal, 500 ans d'histoire en archives La démocratie à Montréal La Roulotte, une demi-siècle de magie! Le centenaire du canadien La parade de la Coupe Stanley de 1966 La parade de la Coupe Stanley de 1971 Consultez d'autres albums photos sur Flickr Communiqués Pour nous joindre Liens rapides > Guide des archives > Ligne du temps > Maires de Montréal > Rues de Montréal > Photographies de Montréal (1930-1960) > Photographies du Québec (1910-1950) > Expo 67 > Expo 67, 40 ans Liens utiles > Répertoire toponymique > Jacques Viger. L'album Viger : Souvenirs canadiens > Jeux olympiques de 1976 > Le patrimoine du Vieux-Montréal > Centre d'histoire de Montréal > Bibliothèque de Montréal > Bibliothèque et Archives nationales du Québec > Bibliothèque et Archives Canada > Société historique de Montréal ® Tous droits réservés, Ville de Montréal http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=165,114997&_dad=portal&_schema=PORTAL
  6. Until Montreal scrapped its streetcars in 1959, the Craig Terminus was one of the hubs of the city's sprawling tramway network. Located near the corner of St. Urbain and Craig (now Viger St. Antoine), 14 different tram lines merged into this imposing stone building, built in 1925. It was demolished in 1970 when the Ville Marie Expressway tore through a huge swath of downtown Montreal.
  7. http://journalmetro.com/actualites/montreal/490051/le-square-viger-pourrait-etre-revitalise-dici-2017/ Le Square Viger pourrait être revitalisé d’ici 2017 Par Laurence Houde-Roy Métro Partager cet article Archives Métro Le Square Viger Richard Bergeron imagine un complément au recouvrement de l’autoroute Ville-Marie. Le conseiller du district Saint-Jacques se dit confiant que le Square Viger sera également revitalisé d’ici la fin des travaux de recouvrement en 2017, entre les rues Sanguinet et Hôtel-de-Ville. Le maire de Montréal, Denis Coderre, avait lui aussi laissé entendre en mars que la revitalisation du Square Viger était la «prochaine étape» dans la foulée du recouvrement. «Je ne suis pas en mesure de dire que ça va être fait, mais sachez que je vais travailler à ce que ça se fasse», a affirmé dimanche le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, lors de sa visite guidée du secteur dans le cadre des Promenades de Jane organisées par le Centre d’écologie urbaine de Montréal. M. Bergeron propose que la partie ouest, celle la plus près de la rue St-Denis et qui comporte plusieurs structures de béton sous-utilisées, devienne plus invitante, plus conviviale». L’inauguration du CHUM en 2016 presse la situation, selon lui. «Des centaines de personnes sortiront le midi. Où vont-ils prendre l’air ? [Le Square Viger], c’est génial comme espace de détente. Sauf qu’actuellement, ça ne peut guère être utilisé, alors il faut avoir fait quelque chose en 2017», s’est exclamé dimanche M. Bergeron. À l’image de ce qui avait été fait en 2006 pour les Outgames à l’autre extrémité du Square, le chef de Projet Montréal souhaite qu’une partie du béton soit enlevée, qu’une douce pente de terre soit créée et que plusieurs espaces ouverts soient aménagés. Il ajoute que la majorité des structures de béton resteraient toutefois sur place, par respect pour l’architecture d’origine. «Le maire [Denis Coderre] m'a dit: “Go mon Richard, et s’il y a des coups de pieds à donner dans l’administration, tu les donnes en mon nom”.» -Richard Bergeron, au sujet d'une conversation qu'il a eu avec le maire vendredi qui lui donnait l'autorisation officielle d’amorcer les démarches. En attente du MTQ Richard Bergeron attend actuellement la fin des négociations avec le ministère des Transports du Québec (MTQ) avant de développer en détail son projet de place publique qui trônera au-dessus de l’autoroute Ville-Marie à la suite de son recouvrement. M. Bergeron, le maire Coderre et son administration souhaitent que la sortie d’autoroute sur la rue St-Antoine soit condamnée, et qu’un projet d’1M$ permette le réaménagement «plus fonctionnel» de la sortie un kilomètre plus loin, entre les rues Amherst et Panet. «Ce qu’on souhaite c’est que le gouvernement du Québec, grâce à la volonté de M. Couillard, renonce définitivement à cette sortie d’autoroute et consente à la sortie suivante», a précisé dimanche M. Bergeron, devenu responsable du dossier du recouvrement de l’autoroute Ville-Marie en février dernier. Il a indiqué à Métro que cette décision devrait être prise «bientôt». «Donc assez prochainement, on pourrait annoncer le périmètre exact de réaménagement et le niveau des considérations techniques [en fonction des indications du MTQ)», a-t-il ajouté. Quelques projets sont toutefois déjà en réflexion, comme la construction d’un «miroir d’eau», de manière à ce que les vitraux de la station de métro Champs-de-mars se reflètent sur cet étang. M. Bergeron se réjouit des près de 20 000 à 25 000 personnes qui circuleront quotidiennement sur cet espace public enserré par le quartier de la santé et le quartier administratif autour de l’Hôtel de Ville. «Tout ça justifie la présence d’un espace de qualité. Ici, il va y avoir une foule tout le temps», a affirmé l’urbaniste de formation aux quelques 25 citoyens venus l’écouter dimanche lors de sa visite guidée.
  8. (13/04/2007) Les Montréalais pourraient bientôt aller magasiner sous le viaduc du boulevard Notre-Dame. Le maire de Montréal a laissé échapper cette information hier, lors de sa conférence de presse sur la démolition de l'autoroute Bonaventure. Gérald Tremblay commentait alors le projet de transformer le viaduc du CN en galerie marchande et s'est permis un parallèle avec celui de Notre-Dame. Le viaduc Notre-Dame a été conçu pour accueillir des commerces sous sa structure. Mis à part les trois arches de métal qui délimitent les rues qui se rendront au fleuve, le reste de l'ouvrage est en béton et peut facilement s'adapter à une vocation commerciale. La construction de nombreuses unités d'habitation tout autour du viaduc amène la Ville à soutenir l'implantation de commerces de quartier à cet endroit. «Il y a un promoteur qui s'appelle Télémédia qui a acheté la gare Viger pour neuf millions de dollars. Il y a un financement international très important et, dans les plus brefs délais, on va annoncer un projet. Et vous allez voir, ce qui était prévu il y a un certain nombre d'années va se réaliser», a laissé entendre le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Développement Télémédia s'est refusé à tout commentaire, prétextant que l'annonce était prématurée et qu'une conférence de presse sera convoquée en mai sur cette question. La compagnie qui souhaite développer ce quartier s'est associée à deux autres investisseurs européens. Déjà, on sait qu'elle veut transformer l'ex-gare Viger en hôtel de luxe et construire des tours d'habitation dans le stationnement de l'ex-gare. Dans les années 90, l'ex-maire Jean Doré avait proposé un projet semblable, mais rien n'avait été fait.
  9. Le reportage de Davide Gentile La Ville de Montréal s'apprêterait à raser la portion ouest du square Viger, au centre-ville. Après des années de tergiversations, l'administration municipale voudrait réaménager le lieu et déménager certaines oeuvres. Radio-Canada a appris que la famille du concepteur, Charles Daudelin, s'est fait offrir de déménager l'oeuvre Mastodo, une fontaine de bronze, vers le bassin Peel. Selon plusieurs sources, la famille est devant un dilemme. La Ville propose de sauver la fontaine seulement si l'aval est donné à la démolition du reste du square, baptisé Agora. L'Association des résidents du Vieux-Montréal est plutôt d'accord pour un réaménagement, surtout si on déménage la majestueuse fontaine de bronze. « Les gens vont passer de chaque côté, les résidents, mais ne s'y arrêteront pas. C'est comme si on avait deux solitudes. Il y a une occupation du square qui fait que les résidents sont peu intéressés à passer du temps ici », indique la présidente de l'association, Christine Caron. Depuis des années, le square est un repaire pour les marginaux. L'été, un important trafic de drogue y a lieu. Les consommateurs sont nombreux et certains d'entre eux y établissent des campements. Plusieurs fonctionnaires et politiciens de la Ville de Montréal pensent que la conception du square, qui est cerné par des clôtures, est un échec. « Je pense qu'un réaménagement serait probablement nécessaire pour faire en sorte qu'il soit plus ouvert. Toutes les parties du square ont le même problème, on voit peu à l'intérieur », soutient Christine Caron. Cependant, le projet de démolition est décrié par plusieurs dans le milieu culturel montréalais. Le square a été conçu comme une agora au coeur du chaos urbain. L'utilisation du béton et l'esthétique très épurée sont des éléments caractéristiques de l'architecture moderne. Le square est donc perçu par plusieurs comme un élément du patrimoine moderne de Montréal qui doit être préservé. Selon Rose-Marie Goulet, du Regroupement des artistes en arts visuels, démolir le square Viger est une forme de mépris du patrimoine et de l'art. « C'est la place du Quartier des Festivals avant son temps. Il y a une place pour une mise en scène, un système électrique un système d'éclairage, une fontaine qui donne une ambiance au lieu », dit-elle. Selon Mme Goulet, avant de condamner, il faudrait, tel que c'était prévu au départ, animer le square et en faire un lieu vivant. L'idée de déménager la fontaine Mastodo au bassin Peel est, selon elle, une hérésie, puisque le square est une oeuvre globale. « Si on coupe Mastodo, si on prend Mastodo, c'est sûr qu'il a du sens en soi qu'il a un intérêt en soi. Mais c'est comme couper le sourire de la Joconde et dire : "le reste on s'en fout" », affirme-t-elle. Rose-Marie Goulet invite l'équipe du maire Gérald Tremblay à mieux réfléchir avant de raser le square. « Le maire Gérald Tremblay devrait venir se promener ici l'été. Quand la fontaine marche, qu'il invite un guitariste à venir y jouer un concert. Parce que dans les oeuvres environnementales, on ne fait pas le tour; on doit en faire l'expérience, on doit s'y attarder s'y asseoir. Et voir ce qui s'y passe », dit-elle. Héritage Montréal pense aussi que le square doit être protégé et l'a inscrit sur sa liste des sites menacés. La famille Daudelin ne veut pas commenter l'affaire. La Ville a aussi refusé les demandes d'entrevues de Radio-Canada. Mais plusieurs sources indiquent qu'avec la construction du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) voisin et la rénovation de l'ancienne gare Viger, la Ville veut procéder rapidement. Avec les informations de Davide Gentile http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2012/RDI/2012-02-24_14_00_00_rdidirect_001_500.asx
  10. Je ne sais pas trop ou mettre ce genre de ''nouvelle'' car il ne semble pas y avoir beaucoup de détail autour de ce projet, pour l'Instant. Est-ce que c'est une proposition ? Est-ce que c'est approuvé ? Est-ce que c'est une rénovation ? Enfin....nous le saurons surement bientot. Il s'agit de la futur ''Maison du Maroc'' qui s'installera, selon moi, au coin de Viger et Berri (nord-est) c'est à dire dans un immeuble déjà existant qui devrait etre rénové. Juste à coté des Archives Nationales. http://www.acdf.ca/site/fr/projet/1/100-Maison-du-Maroc-Montreal/
  11. D'après moi, la majorité de ces propriétés n'ont pas vraiment de grand valeur architectural. Particulièment l'Agora Charles Daudelin (beaucoup de vagabonds vivent dedans,,,) Le Secteur Paper Hill aussi est seulement ordinare, et le site a un grand potentiel. Le Planétarium aussi n'est rien de spéciale, et peu faire place a une future construction en hauteur aussi.
  12. Montréal - Le retour des grands projets Kathleen Lévesque Édition du samedi 01 et du dimanche 02 mars 2008 Mots clés : gare de triage d'Outremont, Griffintown, gare-hôtel Viger, Construction, Montréal Les promoteurs se sont adjoint une expertise qui accélère le processus administratif L'ancienne gare Viger a été vendue à Viger DMC International sans appel d'offres pour neuf millions. Photo: Jacques Grenier C'est l'explosion de grands projets à Montréal par les temps qui courent. Et les promoteurs des Griffintown, gare-hôtel Viger, gare de triage d'Outremont et autre autoroute Notre-Dame ont la part belle avec le maire Gérald Tremblay, qui voit dans la promesse de cette grande coulée de béton le bonheur sous forme de taxes municipales. Mais qui orchestre la bousculade? Montréal ne sait plus où donner de la tête. Tous les projets qui s'annoncent, tant publics que privés, créent un bel enthousiasme, mais amarrer des paquebots comme le CHUM, le CUSM, le Quartier des spectacles ou le projet immobilier de Radio-Canada en même temps demande à bien des égards du doigté et, surtout, des ressources. Amochée et réduite à sa plus simple expression depuis les acrobaties politiques des fusions-défusions, la machine administrative montréalaise peine à suffire à la tâche. Mais qu'à cela ne tienne, le secteur privé regorge d'experts qui peuvent vous concocter en un tour de main une vision de développement ou une autre. Dans le récent dossier des compteurs d'eau, le contrat le plus important à avoir jamais été octroyé par Montréal (355 millions de dollars) n'a pas été soumis à la vérification juridique du contentieux de la Ville de Montréal. Les avocats sont débordés, a-t-on argué en haut lieu. On a préféré sous-traiter ce devoir d'analyse indépendante au cabinet Dunton-Rainville, qui travaille main dans la main avec la firme d'ingénierie BPR, laquelle a piloté pour la ville l'octroi du contrat. Les liens d'affaires entre BPR et Dunton-Rainville sont de notoriété publique: ils partagent même une loge au Centre Bell pour y accueillir des clients potentiels. L'emprise des promoteurs L'effervescence immobilière que l'on connaît donne à penser que Montréal se développe au rythme insufflé par les promoteurs. Il n'y a qu'un pas à franchir pour croire que Montréal se fait dicter les investissements publics à faire. De façon plus nuancée, force est de constater que les gens d'affaires et les politiciens circulent dans les mêmes réseaux et que les passerelles d'un milieu à l'autre sont de plus en plus nombreuses, bien que franchies en toute discrétion. Ainsi, en 2006, le maire Tremblay a mis sur pied un comité d'orientation économique pour le guider dans ses choix des projets à privilégier (Vision 2025). Une quarantaine de dirigeants de grandes entreprises et de bonzes de la finance y siègent, dont Phil O'Brien, de Viger DMC International, le promoteur de la gare-hôtel Viger, Luc Benoît et Jean-Pierre Sauriol, respectivement président des firmes d'ingénierie Tecsult et Dessau, ainsi que Lucien Bouchard, du cabinet d'avocats Davies Ward Phillips & Vineberg, qui a mené l'assaut contre «l'immobilisme» en tant que «lucide». Sous l'administration de Pierre Bourque, un comité semblable avait discrètement vu le jour sous le nom de «comité des sages». Les gens d'affaires qui y siégeaient avaient proposé la privatisation de nombreux services municipaux ou le recours à la formule de partenariat public-privé, dont c'étaient les premiers balbutiements au Québec. Si la communauté des affaires a l'oreille attentive du maire Tremblay, sur le terrain les promoteurs doivent s'engouffrer dans des méandres administratifs interminables pour parvenir à faire approuver leurs projets. Ils s'en plaignent depuis toujours. Les modifications de structures n'ont allégé en rien le parcours des promoteurs. Certains se découragent. L'an dernier, un important promoteur immobilier avait confié au Devoir sous le couvert de l'anonymat ne plus vouloir brasser d'affaires à Montréal. Il faut frapper à la porte d'un fonctionnaire, puis d'un autre, voir un maire et un autre, expliquait le coloré personnage, qui avait alors décidé de se tourner vers Laval, où les transactions ne sont jamais compliquées et où on a toujours une oreille attentive, disait-il. «À Laval, c'est simple. La ligne est claire. Une île, une ville, un Gilles!», avait déclaré le promoteur. Consciente du problème, la Ville de Montréal a décidé de changer les règles du jeu. À la faveur de tiraillements politiques, le maire a mis la main sur les grands projets et les dossiers touchant le centre-ville. On a aussi créé sans tambour ni trompette une nouvelle structure à géométrie variable, une sorte de voie d'accélération des projets. Le groupe d'intervention stratégique et tactique (GIST) bénéficie d'une enveloppe budgétaire annuelle d'un million de dollars pour commander des études ou des analyses afin de soutenir les promoteurs. Des liens tricotés serré De leur côté, les promoteurs ont compris depuis longtemps qu'il fallait avoir une équipe capable de s'introduire à l'hôtel de ville sans avoir besoin de présenter une carte professionnelle. Plusieurs d'entre eux ont embauché d'anciens fonctionnaires ou d'anciens élus, profitant ainsi de certaines compétences, de réseaux précieux et d'une connaissance intime de la machine administrative. Ainsi, l'ancien responsable du développement économique au sein du comité exécutif de Montréal, Georges Bossé, travaille sur le dossier de Griffintown chez la firme d'urbanisme Daniel Arbour et associés, qui fait les démarches pour le compte du promoteur Devimco auprès de la Ville. Or le dossier de Devimco a été présenté à M. Bossé à l'époque où ce dernier était derrière son bureau de politicien. Dans le dossier de l'eau, la firme BPR a recruté le haut fonctionnaire Yves Provost, le grand responsable des infrastructures qui a été le maître d'oeuvre de l'implantation des compteurs d'eau dans les industries, les commerces et les institutions. M. Provost a mené le dossier en collaboration avec BPR pendant deux ans. Le projet de la gare-hôtel Viger est encore plus intéressant. Phil O'Brien, chef de direction chez Viger DMC International, a étendu ses tentacules. Il siège entre autres au comité d'orientation économique, au conseil d'administration du Partenariat du quartier des spectacles et à la Fondation du maire de Montréal pour la jeunesse. À ses côtés, chez Viger DMC International, on retrouve Cameron Charlebois, qui a été nommé membre du comité consultatif d'urbanisme de Ville-Marie par Benoit Labonté, maire de l'arrondissement. M. Charlebois a démissionné lorsque des questions se sont posées publiquement sur la possibilité d'un conflit d'intérêts compte tenu du fait que le projet de gare-hôtel Viger est situé dans le territoire administratif de l'arrondissement de Ville-Marie. Auparavant, M. Charlebois avait été directeur général adjoint de la Ville après avoir tâté de la politique municipale sans succès. Jusqu'en 2003, il était responsable du développement urbain et économique. Phil O'Brien s'est également adjoint les services de Pierre Ouellet, un ancien directeur du service de l'urbanisme de Montréal. M. Ouellet a également dirigé une société paramunicipale appelée SIMPA, aujourd'hui disparue. MM. O'Brien et Ouellet se sont rencontrés à l'époque de l'élaboration du projet du Centre de commercial mondial. MM. O'Brien, Charlebois et Ouellet sont tous trois très associés au parti du maire Tremblay, l'Union des citoyens de Montréal. Des projets qui s'imposent Viger DMC International est prête à investir 400 millions pour réhabiliter la gare-hôtel Viger et développer le secteur alentour en y implantant quatre tours qui dérogent aux règles d'urbanisme. Dans une première étape, la société a acquis sans appel d'offres la gare-hôtel et les terrains adjacents pour neuf millions de dollars alors que la valeur aux livres était de plus de 14 millions. Après avoir franchi plusieurs étapes administratives, Viger DMC International ne veut pas s'embarrasser des règles supplémentaires de consultation qui s'appliquent à son projet parce qu'il est situé en grande partie dans l'arrondissement historique du Vieux-Montréal. Le promoteur a d'ailleurs multiplié les démarches politiques pour réclamer un changement à la Charte de Montréal et éliminer l'étape de la signature du registre qui peut enclencher un référendum. Le gouvernement se montre ouvert à l'idée, tout comme le maire Tremblay. C'est le même Gérald Tremblay qui, il n'y a pas si longtemps, avait tout fait pour que Québec édicte des règles strictes comme rempart à d'éventuels projets qui risqueraient de défigurer le Vieux-Montréal ou le mont Royal. Dans le dossier de Griffintown, la Ville de Montréal a géré le projet main dans la main avec le promoteur Devimco. Ce dernier s'est plié à plusieurs exigences de la Ville, notamment pour réduire le pourcentage d'espaces commerciaux en augmentant le nombre de résidences. En contrepartie, Devimco a participé à la rédaction du programme particulier d'urbanisme (PPU), comme l'affirmait lui-même le président de l'entreprise, Serge Goulet. Le PPU devant établir les balises de développement du secteur au sud-ouest du centre-ville, à l'entrée du canal de Lachine, et donc déterminer les besoins en fonds publics, a été fait sur mesure pour le projet Griffintown. Les documents officiels émanant de différents services municipaux l'écrivent noir sur blanc. Le PPU et le site visé par Devimco ont les mêmes contours, les volumétries des immeubles correspondent en tout point aux besoins exprimés par le promoteur, les deux sont «intimement liés puisque le projet de PPU a été préparé pour permettre la réalisation du village Griffintown». Mais les exigences de Devimco n'ont pas été exprimées qu'en coulisses. Serge Goulet affirmait récemment au Devoir que le projet d'un tramway devait se faire impérativement pour assurer le lancement de son propre projet. L'argument de l'homme d'affaires était de taille: le versement de 10 millions de dollars si le tramway voit le jour d'ici deux ans. De la même façon, le promoteur de Griffintown s'est assuré l'appui de la collectivité en faisant des consultations privées, en proposant de conserver des immeubles à caractère patrimonial et en versant un million de dollars à l'École de technologie supérieure pour la création d'une chaire d'études en développement durable, dont «une grande partie de ses activités sera en lien avec le projet Griffintown». Dans le paysage montréalais, ces deux projets, comme tous les autres qui se profilent, démontrent une grande intimité entre les promoteurs et les dirigeants politiques. Mais peu importe les craintes des certains que Montréal puisse ne pas être en plein contrôle de la situation, le maire Tremblay n'a jamais été aussi passionné par tant de mouvement. «Au lieu d'attendre qu'on soit critiqués pour des projets, pourquoi ne pas les planifier ensemble? On veut accélérer la réalisation des projets. On veut accompagner les promoteurs», répète sur toutes les tribunes Gérald Tremblay. http://www.ledevoir.com/2008/03/01/178440.html (29/02/2008 23H00)
  13. Aujourd'hui, je suis allé voir une amie du Cegep du Vieux-Montréal. Elle avait un examen, donc pendant ce temps, j'ai marché un peu. Je crois qu'ils ont nivelé finalement... Le monstre dort... Colisée (il me fascine encore toujours) Montmarte 333 sherbrooke Affiche du Swatow Vancouver ou Montréal? Solano Phase II Viger
  14. La Presse La direction du CHUM retranchera six étages de son futur centre de recherche, d'une hauteur projetée de 18 étages, pour ne pas porter ombrage au Vieux-Montréal. Mais afin d'y parvenir, elle fera disparaître la place Chénier, son monument qui date de 1895 et une rue nommée en l'honneur d'un historien célèbre, a appris La Presse. Informée par La Presse de la transaction qui est en train de se conclure à l'hôtel de ville, l'architecte très réputée Phyllis Lambert assure que si le projet devait se concrétiser, elle partira en croisade, un peu comme elle l'avait fait il y a un an pour préserver le nom de l'avenue du Parc. «On ne peut pas éliminer comme ça une place publique, s'insurge Mme Lambert. Pourquoi ne pas vendre des terrains vacants plus au nord, comme les stationnements, qui sont de toute façon d'une laideur incroyable. La Ville de Montréal doit à tout prix tenir des consultations publiques avant de vendre.» Au cours d'un entretien avec La Presse, le directeur adjoint du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM), Sylvain Villiard, a expliqué que ses architectes travaillent déjà à la conception d'un édifice «en forme de L ou de C, avec une aire de repos gazonnée pour le personnel.» La construction remplacerait la place Chénier actuelle, située à l'angle de l'avenue Viger et de la rue Saint-Denis, à côté du square Viger. «On est présentement en train de négocier le prix d'achat de la place Chénier et de la rue, a expliqué le directeur adjoint du CHUM, M. Villiard, un manitou de la conception du futur hôpital au centre-ville. La Ville de Montréal nous a fait une offre, et on a fait une contre-offre.» M. Villiard n'a pas voulu dévoiler le prix de la transaction, mais selon les informations recueillies, celle-ci s'effectuerait par des échanges de terrains. Le responsable du CHUM au comité exécutif de la Ville de Montréal, André Lavallée, a refusé de confirmer l'information hier. Le porte-parole Darren Becker a expliqué que l'administration Tremblay n'a pas l'habitude de discuter des dossiers qui sont en cours de négociations. Une «placette» Benoît Labonté, maire de Ville-Marie et ancien responsable du patrimoine au comité exécutif de la Ville, confirme pour sa part que le projet est très concret et que son service d'urbanisme s'est même prononcé en faveur de la vente. «C'est une bonne façon de répondre aux exigences de l'Office de consultation publique de Montréal, dit-il. On peut très bien faire disparaître une place, qui en fait est une placette, pour en faire réapparaître une autre.» Selon le maire, qui a démissionné du parti de Gérald Tremblay le mois dernier, l'option de déménager le monument Chénier à la place Victor-Morin, située derrière, à l'angle des rues Saint-Antoine et Bonsecours, a déjà été étudiée, et retenue. Dinu Bumbaru, directeur général d'Héritage Montréal, se demande pourquoi le projet du CHUM n'est pas plutôt densifié en hauteur plus au nord, du côté du boulevard René-Lévesque. «L'idée d'occuper une partie de la place Chénier n'est pas à exclure, mais elle doit être étudiée finement, plutôt qu'en bulldozer, souligne M. Bumbaru. Son élimination entraînera un problème de renfermement de la rue Saint-Denis et de la vue qu'on a depuis l'intersection Notre-Dame.» LE MONUMENT JEAN-OLIVIER CHÉNIER Le monument, qui trône au milieu de la place située à l'angle de l'avenue Viger et de la rue Saint-Denis, a été inauguré en août 1895, au square Viger. Il avait été érigé à la gloire de Jean-Olivier Chénier, un patriote mort héroïquement à Saint-Eustache lors de la rébellion de 1837. Ironiquement, M. Chénier était un médecin.
  15. Le Victoria Architectes: DCYSM Fin de la construction:2008 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 10 étages Descriptions: - Le projet est situé sur le même terrain que la Place de la Cité Internationale, au coin de la rue Viger et Square Victoria. - La tour, qui sera juste devant le Square Victoria, possèdra 104 unités - C'est Westcliff, le même promoteur que la Place de la Cité Internationale, qui la constuira. 3 images. Le Victoria - 2003
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