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On fait le vide !
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Plan de relance et lutte contre le déficit Mise à jour le jeudi 4 mars 2010 à 16 h 11 Le ministre des Finances du Canada, Jim Flaherty, présente son cinquième budget depuis l'arrivée au pouvoir des conservateurs, en janvier 2006. M. Flaherty doit ainsi préciser comment le gouvernement minoritaire de Stephen Harper entend dépenser les 19 milliards restants à son plan de relance économique. Son budget doit aussi énoncer des mesures de réduction des dépenses gouvernementales, en ces années de déficit - 56 milliards de dollars en 2009-2010 et 45 milliards de dollars projetés en 2010-2011. Selon La Presse canadienne, 400 millions de dollars devraient être investis pour permettre à Énergie atomique du Canada Ltée de se repositionner et de vendre ses réacteurs CANDU. Le secteur manufacturier devrait aussi obtenir l'aide financière sur cinq ans qu'il demandait pour moderniser ses équipements, un projet retardé par la récession. Rappelons que le quotidien La Presse a aussi révélé que le gouvernement comblerait le vide dans le financement du programme de soutien aux athlètes « À nous le podium » laissé par la dissolution du COVAN à l'issue des Jeux de Vancouver. La part du fédéral passerait ainsi de 11 à 22 millions de dollars. Ce budget fait suite à un discours du Trône axé sur l'économie et le redressement budgétaire, dont le manque de nouveautés a été dénoncé par l'opposition. Fait à noter, le gouvernement a d'ores et déjà publié ses crédits budgétaires pour l'année 2010-2011.
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Vos histoires de transport en commun
un sujet a posté MTLskyline dans Projets oubliés et/ou en suspens
J'ai pensé qu'une bonne idée pour un fil serait un fil sur nos histoires comme passagers sur transport en commun (métro, train de banlieue, autobus, etc). Je vas commencer. J'ai fini des travaux pour un de mes classes à l'université avant de partir pour le métro à 5:45 au station Guy-Concordia. Il avait plein de monde qui attendait pour un train. Un message sur l'intercom disait qu'il y avait un ralentissement de service sur la ligne verte en direction Honoré-Beaugrand. Ah! c'est pour ça! j'ai pensé. Environ 2 minutes plus tard un train a venu (je n'avais pas vraiment besoin d'attendre). Tout les wagons étaient remplis, et j'ai embarqué sur un. J'ai remarqué que le wagon étaient exactment 3/4 plein, avec 1/4 complètement vide. Je tenais à un poteau. Puisqu'il y avait un section plus ou moins vide juste à coté, j'ai décidé de m'en aller s'asseoir. Un jeune homme fit un geste vers le plancher à côté de moi. J'ai regardé, et j'ai vu un monticule de grands morceaux de vomi orange. J'ai presque perdu MON lunch. J'ai immédiatement changé de place en attendant pour la prochaine station. Même de mon nouveau siège, je pouvais sentir que l'odeur du vomit orange. J'ai débarqué à Peel (et j'avais un drôle d'expression sur ma face que certains passagers attendants au station ont remarqués). Finalement, j'ai embarqué sur un autre wagon, et j'ai continué jusqu'à mon destination. -
Est-ce quelqu'un d'autre que moi a une opinion sur le déménagement prochain du skateboard Shop Empire dans une partie de la Gare Windsor? Je travail dans l'organisation d'événements spéciaux et la Gare windsor offre un bel endroit pour y entrer quelques miliers de gens. Mais le changement du côté sud en magasin de Skate et Snowboard me dérange un brin. Cette section était quand même vide et inutilisée depuis un certain temps. Du bon côté des choses, probablement que c'est un établissement qui prendra soin de l'endroit et c'est mieux que des vendeurs de souvenirs. http://www.thinkempire.com/home.php?lang=2
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La chaîne Archambault a vidé ses locaux du Complexe Les Ailes, le 31 décembre dernier, mais pas du tout à cause de difficultés financières. Pour en lire plus...
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L'humour, révélateur de l'angoisse collective
un sujet a posté ErickMontreal dans Discussions générales
L'humour, révélateur de l'angoisse collective Fabien Deglise Édition du mercredi 22 octobre 2008 Le vide de l'époque offre un terreau fertile au rire, dit Yvon Deschamps Les humoristes Yvon Deschamps et Boucar Diouf ont pris part hier, à Montréal, à la première Rencontre nationale de réflexion sur le rôle et l'impact de l'humour québécois. L'omniprésence de l'humour dans la sphère publique n'est pas seulement guidée par un trait de caractère purement québécois. C'est avant tout l'expression «d'un vide collectif» dans une société qui aurait perdu ses rêves et ses espoirs en l'avenir, estime le plus célèbre des humoristes du Québec, Yvon Deschamps. Et il ajoute: c'est le «manque de contenu intéressant» dans l'environnement social, culturel et politique qui fait proliférer le rire. Et non l'inverse. Livrée hier à l'ouverture de la première Rencontre nationale de réflexion sur le rôle et l'impact de l'humour québécois -- l'événement se poursuit aujourd'hui à Montréal --, l'analyse du patriarche de l'humour est claire: «Aujourd'hui, nous ne sommes plus capables collectivement d'accepter le sérieux, dit-il, alors on met de l'humour partout. Mais si on fait des farces en permanence, c'est parce que nous sommes devant un grand vide.» Et rien d'autre ne semble réussir à le combler. Pour Deschamps, invité d'une table ronde sur l'humour comme «miroir de l'identité québécoise», l'époque offre finalement un terreau fertile au rire en raison des nombreuses désillusions qu'elle a fait naître dans les dernières années. Et en quête de causalité, il évoque à la volée l'individualisme, la perte de crédibilité de la classe politique, la peur de la mondialisation, le vieillissement de la population, l'éclatement des valeurs religieuses... «En ce moment, on dirait qu'il n'y a rien d'intéressant dans le monde, poursuit-il. Alors, on en rigole plutôt que d'en pleurer.» La conséquence, elle, est palpable sur la place publique où les humoristes ne cessent d'affirmer depuis la fin du siècle dernier leur suprématie. À l'occasion du plus grand festival d'humour au monde -- le Festival Juste pour Rire -- qui se tient chaque été à Montréal, bien entendu, mais aussi à la télévision, dans les émissions populaires consacrées à l'humour et de plus en plus dans d'autres concepts qui se classent davantage dans la catégorie des «affaires publiques». Les émissions d'information matinales -- autant à la télévision populiste qu'à la radio sérieuse --, les chroniques dans les quotidiens ou encore la présentation de documentaires ne sont pas épargnées par cette mainmise des clowns sur les contenus médiatiques. «L'humour est devenu une compétence transversale, a résumé à l'occasion de ce colloque, organisé par l'École nationale de l'humour et l'Association des professionnels de l'industrie de l'humour, l'historien Robert Aird, auteur de L'Histoire de l'humour au Québec de 1945 à nos jours (VLB). Mais c'est aussi une fuite en avant pour oublier la réalité. Nous en avons besoin pour supporter un réel [qui ne nous satisfait pas forcément].» Selon lui, l'apparition récente d'une forme d'humour extrême -- qui cultive le mauvais goût, frappe en dessous de la ceinture et s'exprime la nuit tombée dans une poignée de clubs obscurs -- est d'ailleurs révélatrice de l'angoisse collective qui accompagne le vide du moment. «Dans une société qui n'a plus de valeurs communes, ajoute Yvon Laplante, professeur de communication à l'Université du Québec à Trois-Rivières, ce sont des choses [le tout à l'extrême] qui apparaissent un peu partout. Et ce, même si ceux qui font vivre cette forme d'expression perdent de vue pourquoi ils font ça»... en partie. Car l'abondance du comique -- dans toute sa diversité -- n'est finalement pas un accident de l'histoire, une rupture du continuum espace-temps, comme dirait l'autre. «L'humour a toujours été dans la vie quotidienne au Québec, résume l'humoriste et comédienne Marielle Léveillé, mais en l'industrialisant pour en faire commerce, on a fait en sorte qu'il occupe aujourd'hui de plus en plus de place.» La communion par le rire Le public n'y est d'ailleurs pas pour rien, «parce que le rire lui plaît, poursuit-elle et que «c'est la méthode de communication la plus efficace au Québec», renchérit l'humoriste rimouskois Boucar Diouf. Mais il y a plus. «Par le rire, on cherche à se rassembler, à se ressembler et à se reconnaître, dit Yvon Laplante qui a rappelé au bon souvenir des participants hier l'existence dans une autre époque de L'Heure JMP, émission hyperpopuliste orchestrée par un Jean-Marc Parent qui invitait alors ses téléspectateurs à «flasher les lumières». «C'était la communion du dimanche soir.» Au-delà de l'anecdote, qui avait placé le drôle sous le tir nourri de critiques sévères, cette quête de communion par le rire, dont le Québec s'accommode, serait aussi une façon de «se forger un pays par le rire», croit Mme Leveillé. «On est encore une province qui se donne l'illusion d'être un pays.» La tendance n'est d'ailleurs pas nouvelle. Elle aurait émergé au lendemain du référendum de 1980. Défaite pour les uns, l'événement politique a créé un vide pour tous, explique Yvon Deschamps. «C'était la tristesse et l'abattement. Les gens ne voulaient plus entendre parler de politique», et l'humour absurde des Paul et Paul puis des Ding et Dong -- pour ne citer qu'eux -- prend alors toute la place. Normal. Le rire désamorce les tensions, dit M. Aird, mais il peut aussi être à la longue pernicieux et même alimenter le vide qui le ferait vivre. «Plus tu gruges les espaces sérieux avec l'humour et plus tu t'assures que le vide s'installe dans ces espaces, lance Marielle Léveillé qui croit que les comiques n'ont pas la capacité de changer le monde mais plutôt de témoigner du monde qui change. Un avis certainement pas partagé par Boucar Diouf qui n'hésite pas, lui, à qualifier les membres de sa confrérie «d'acteurs de changement». «Pour continuer à avancer, il faut rire des travers de la société, résume le biochimiste devenu humoriste. Et ce, dans une perspective humaniste.» Preuve que ce n'est pas parce que le rire se nourrit de la vacuité du temps qu'il ne peut pas pour autant être, pour plusieurs humoristes, source d'espoir. -
La crainte de voir l'économie mondiale tourner à vide pousse les principales places boursières en territoire négatif. Pour en lire plus...
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Ce matin-là, sur le parquet du NYMEX, la «corbeille» où se négocie le prix du pétrole était presque vide et plutôt silencieuse. Quelques courtier effectuaient leurs transactions à l'aide d'un écran électronique. Pour en lire plus...
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Dans l’ensemble de la construction assujettie à la Loi R-20, un total de 122 millions d’heures sera donc enregistré en 2007, ce qui constituera une légère diminution de 2 % par rapport à 2006. La progression de la construction non résidentielle ne sera pas suffisante pour compenser la baisse de la construction résidentielle. En fait, chacun des secteurs non résidentiels se trouve actuellement en porte-à-faux. La construction industrielle est affaiblie par les difficultés du secteur manufacturier. La construction de commerces achève une importante phase d’expansion, tandis que les promoteurs d’immeubles de bureaux attendent pour vraiment amorcer la leur. L’échéancier des mégaprojets d’hôpitaux reste à préciser, alors que dans les travaux de génie, le parachèvement de la centrale Eastmain-1 laisse un vide que le projet Eastmain-1A-Rupert ne pourra combler immédiatement, s’il est lancé. À cela, il faut aussi ajouter les ports méthaniers qui attendent également leur lancement. Mais tout indique que l’année 2007 ne marquera qu’une pause dans la progression de l’industrie de la construction. D’une part, sur le plan de la conjoncture économique, les spécialistes s’attendent à une croissance plus ferme à compter de 2008. D’autre part, le démarrage des grands projets devrait faire en sorte qu’une légère tendance à la hausse poindra à nouveau dans la construction. voir le fichier pdf attaché pour plus de détails perspectives_2007.pdf
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