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  1. Etude: la charte des valeurs aurait attise la discrimination | Gabrielle Duchaine | National Le débat sur la charte des valeurs a-t-il ouvert la porte à plus de racisme ? Depuis l'attentat à la Grande Mosquée de Québec, plusieurs membres de la communauté musulmane accusent le projet du Parti québécois d'avoir alimenté les tensions sociales et engendré des gestes violents à leur endroit. Une très rare étude sur la question, obtenue par La Presse, tend à leur donner raison. Les jeunes plus sensibles « La charte a-t-elle généré une solidarité accrue autour d'une identité commune ou a-t-elle sapé l'harmonie sociale ? » Voilà la question à laquelle ont tenté de répondre des chercheurs de l'UQAM et des universités Laval et McGill depuis 2014. Leur étude, qui cible les jeunes, est « très exploratoire », prévient Ghayda Hassan de l'UQAM. « C'est un projet pilote qui n'est pas nécessairement représentatif. » Il s'agit toutefois d'une très rare, sinon de la seule étude scientifique sur le sujet depuis 2014. L'équipe de Mme Hassan a interrogé 441 étudiants de l'UQAM (30,5 % d'hommes, 69,5 % de femmes). Pourquoi l'université ? D'abord parce que « les tensions intercommunautaires ont de graves conséquences pour les jeunes », lit-on. Aussi, « comparativement à la population générale, les étudiants sont plus susceptibles de connaître la charte ». Discrimination « Bien que le but de la charte était de placer la laïcité et l'égalité des femmes au coeur du débat public et politique, nos résultats montrent qu'il a eu des conséquences négatives », écrivent les chercheurs. Le tiers des étudiants ont déclaré avoir vécu personnellement ou avoir été témoins d'une forme de discrimination ethnique ou religieuse depuis la charte des valeurs. Un chiffre « plus élevé que prévu », qui a surpris les chercheurs. Les cas de discrimination étaient plus nombreux chez les immigrants, ainsi que chez ceux qui se sont identifiés comme biculturels ou appartenant à des groupes culturels ou religieux minoritaires par rapport aux Québécois « de souche » ou aux personnes s'identifiant comme catholiques. Les participants qui se disaient en faveur de la charte ont rapporté moins de discrimination que ceux qui y étaient opposés. Perceptions transformées Bonnes ou mauvaises, les relations intercommunautaires au Québec ? Le débat sur la charte a complètement changé la vision des jeunes sur cette question. Alors qu'ils voyaient majoritairement les relations intercommunautaires comme étant positives avant la charte, leur perception est devenue largement négative après, surtout chez les femmes, les immigrants et ceux qui s'identifient comme des minorités culturelles ou religieuses. C'est plus de la moitié des étudiants qui entrevoyaient un avenir sombre pour les relations entre les communautés. Seulement 20 % croyaient en un avenir positif. « L'étude révèle que la question de l'identité nationale québécoise est très sensible et sous-tend des tensions intercommunautaires importantes », écrivent les chercheurs. Femmes musulmanes Les femmes de confession musulmane ont été parmi les plus touchées par la charte, nous explique la chercheuse Ghayda Hassan, notamment parce que le débat sur le projet du PQ a beaucoup tourné autour du port du voile islamique. L'étude démontre que la couverture médiatique, en « dépeignant les symboles religieux comme des menaces au vivre-ensemble », en centrant son discours « autour de la sécularisation préconisée par la charte, a contribué à des manifestations de discrimination et d'ethnicisation dirigées surtout contre des femmes musulmanes immigrées, perçues comme des menaces pour la construction de la nation ». Encore des séquelles ? Dans la foulée de l'attentat dans une mosquée de Québec, plusieurs membres de la communauté musulmane ont montré du doigt la charte des valeurs. Visiblement, plus de deux ans après l'abandon du projet, les séquelles se font toujours sentir. Mais ont-elles encore un impact réel dans la société ? « Étant donné que le projet de charte a été abandonné lorsque le gouvernement du Parti québécois a été battu en 2014, les effets négatifs que nous avons observés ont peut-être disparu. Cependant, le débat sous-jacent est encore vivant », écrivent les chercheurs.
  2. http://www.montrealenhistoires.com Montréal en Histoires est un organisme à but non lucratif. Mis sur pied par d’importants leaders de Montréal réunis autour d’un objectif commun, il vise à développer et à réaliser divers projets afin de permettre aux Montréalais, aux visiteurs et aux touristes de découvrir, d’explorer et de célébrer l’histoire de la métropole. Montréal en Histoires met de l’avant des valeurs de plaisir et de découverte, mais aussi de compétence et de rigueur. Il a à cœur l’accessibilité de ses projets et le partage du savoir, de la culture, de pans d’histoire de la mémoire collective. sent via Tapatalk
  3. Louis Audet: la Charte des valeurs menace l'économie Le président et chef de la direction de Cogeco s'est prononcé, mardi, contre la charte des valeurs proposée par le gouvernement péquiste. Louis Audet a déclaré que la charte, qui limiterait le port de signes religieux pour les employés de l'État, nuirait à l'économie québécoise. Lors d'une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, M. Audet a affirmé que la charte aurait pour effet de diminuer le nombre d'immigrants adoptant la province comme terre d'accueil et, par le fait même, réduirait la richesse que ces nouveaux résidants contribuent à créer. Il a également dénoncé ce qu'il a décrit comme les préjugés défavorables au milieu des affaires, qui seraient de plus en plus forts au Québec. Louis Audet a mentionné un récent sondage effectué par CROP pour Cogeco selon lequel la moitié des Québécois croient que les entreprises privées ne profitent pas à la société. D'après M. Audet, les entreprises privées jouent un rôle essentiel dans la création d'emplois et de richesse, en plus d'être nécessaires pour soutenir les programmes sociaux. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/general/louis-audet-la-charte-des-valeur-menace-l-economie/565718
  4. Vers une seule commission canadienne... Mise à jour le lundi 12 janvier 2009 à 8 h 19 Les marchés financiers canadiens sont régis par 13 agences provinciales et territoriales, mais un seul organisme national pourrait bientôt prendre le relais. Selon le quotidien The Globe and Mail, des experts recommandent au ministre des Finances Jim Flaherty de créer une seule commission des valeurs mobilières au Canada. Tom Hockin, le président du Groupe d'experts sur la réglementation des valeurs mobilières, publiera et expliquera ses conclusions lundi après-midi, à Vancouver. Le Groupe d'experts a été mis sur pied par le ministre Flaherty il y a près d'un an. Le mandat des experts est de proposer des mesures pour améliorer la réglementation des valeurs mobilières au Canada. Au mois de novembre, le gouvernement minoritaire du conservateur Stephen Harper réaffirmait son intention de s'engager dans la voie d'une seule commission, tout en laissant aux provinces opposées au projet la possibilité de s'y soustraire. Le Québec et l'Alberta font partie des opposants tandis que l'Ontario défend depuis longtemps l'idée d'un organisme unique. Le Globe and Mail rapporte que les experts proposeront au ministre Flaherty de suggérer aux provinces d'adhérer volontairement à la nouvelle instance nationale. Si elles refusent, le ministre aura la possibilité d'offrir aux entreprises d'adhérer à la réglementation nationale. Le fédéral pourrait aussi contester devant les tribunaux l'entêtement des provinces à maintenir en force leur réglementation sur les valeurs mobilières. Les conclusions du Groupe risquent fort d'irriter certaines provinces qui tiennent à leurs pouvoirs en matière réglementaire. La ministre des Finances du Québec Monique Jérôme-Forget croit qu'en tentant d'enlever ce pouvoir aux provinces à la faveur d'une seule commission des valeurs mobilières au Canada, le gouvernement Harper remettrait en question le fédéralisme d'ouverture qu'il prône depuis son arrivée au pouvoir. Le premier ministre Stephen Harper a convoqué ses homologues des provinces et territoires à une rencontre le 16 janvier, à Ottawa. La réglementation des marchés financiers fait partie de l'ordre du jour des discussions, tout comme l'accélération des investissements en infrastructure, l'élimination des barrières au commerce interprovincial et le développement des communautés autochtones. Tom Hockin est un ancien ministre d'État aux Finances et ex-président de l'Institut des fonds d'investissement du Canada. Parmi les six autres membres du Groupe figure Denis Desautels, ancien vérificateur général du Canada.
  5. Publié le 16 juillet 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Montréal serait affaibli La Presse Doris Juergens Que faut-il penser de la création d'une commission fédérale des valeurs mobilières? Jusqu'ici, le débat a surtout porté sur la bataille juridique que Québec s'apprête à livrer à Ottawa afin de contester la compétence de l'État central en matière de valeurs mobilières. Or, ce dossier comporte aussi un enjeu important pour Montréal, et c'est celui de l'avenir de son industrie des services professionnels reliés à ce secteur. Au cours des derniers mois, nous avons consulté un groupe de 25 gens d'affaires montréalais provenant de cabinets d'avocats, de firmes de comptables, de grandes entreprises et de regroupements d'affaires. Les répondants ont accepté de nous parler avec l'assurance que leur identité et leurs propos demeureraient confidentiels. Le sujet nous intéressait parce que nous offrons nous-mêmes des services-conseils en communication aux entreprises et organismes dans le secteur financier, y compris l'Autorité des marchés financiers. Informée de notre projet, cette dernière nous a exprimé son intérêt pour notre initiative et nous a procuré un soutien financier pour élargir la portée de cette recherche, que nous avons complétée en toute objectivité. Les résultats de cette recherche qualitative démontrent que la création d'une commission fédérale des valeurs mobilières affaiblirait encore davantage la place de Montréal comme centre financier. Pour Montréal, cela se traduirait par une diminution d'influence, une perte d'expertise, en plus de ternir son image. La majorité des personnes interrogées, surtout les avocats, se disent peu ou pas du tout favorables à la création d'une commission fédérale et craignent un affaiblissement des compétences professionnelles dans le secteur des valeurs mobilières à Montréal. On appréhende particulièrement une perte d'influence et un exode de cerveaux au bénéfice de Toronto, où l'on s'attend que sera établie la Commission fédérale. Nécessité non démontrée À peu près tous les intervenants, peu importe leur secteur, estiment que cette commission ne contribuera pas à mieux protéger les investisseurs. À ce sujet, tous déplorent le peu de succès du gouvernement fédéral en matière d'enquêtes criminelles liées aux valeurs mobilières. Les leaders interrogés sont très majoritairement d'avis que le système de passeport est suffisamment efficace et ne voient pas la nécessité de créer une commission fédérale. Ils croient même que cette question ne se poserait plus si l'Ontario acceptait d'adhérer au système de passeport. De plus, ils ne sont pas convaincus que les bénéfices annoncés se réaliseront et ils estiment que le gouvernement fédéral n'a pas fait la preuve de la nécessité d'un tel organisme. Parmi les répondants, les grands émetteurs sont presque les seuls à être plus favorables à la création d'une commission fédérale, dans l'espoir d'une plus grande efficacité. Beaucoup appréhendent aussi la disparition de la proximité avec l'organisme et le fait de ne plus voir les expertises et les spécificités locales reflétées au sein d'une commission fédérale. Ces expertises - et donc des professionnels hautement qualifiés - migreraient vers la commission fédérale, privant ainsi les régions de leur savoir-faire. Les répondants estiment également que les PME québécoises seraient affectées. On voit difficilement comment les petits émetteurs trouveraient leur compte avec une commission fédérale à Toronto. La question de la langue a été soulevée par plusieurs intervenants qui s'inquiètent du glissement vers l'anglais et de la perte éventuelle d'une expertise chez les professionnels capables de travailler dans les deux langues. Mais certains font valoir qu'un organisme fédéral aura des obligations liées à la Loi sur les langues officielles que n'ont pas les organismes provinciaux. Actuellement, seuls les « prospectus « d'un émetteur qui vise le marché du Québec doivent être traduits en français. Il nous intéressait de savoir comment les autres firmes de services et les entreprises voyaient l'instauration d'une commission fédérale des valeurs mobilières. Nous savons maintenant que certains pensent que c'est une bataille que Montréal devrait livrer, car il en va de l'avenir de l'industrie des services reliés aux valeurs mobilières au Québec. Plusieurs avocats croient qu'il s'agit d'une juridiction partagée entre les deux paliers de gouvernement et, étant donné l'issue incertaine d'une démarche en Cour suprême, ils pensent que Québec devrait négocier avec le fédéral pour préserver le maximum d'acquis pour Montréal. L'auteure est associée et directrice de la recherche au Cabinet de relations publiques NATIONAL
  6. Québec va contester le projet de commission unique des valeurs mobilières Publié le 08 juillet 2009 à 11h36 | Mis à jour à 13h05 Martin Vallières La Presse (Montréal) «Le système actuel fonctionne. Le Québec entend affirmer sa compétence en matière de valeurs mobilières et c'est pas vrai qu'on va laisser migrer ça à Toronto», a indiqué le ministre des finances du Québec, Raymond Bachand, en conférence de presse, ce matin a Montréal. Le 6 février dernier, le gouvernement du Canada avait présenté à la Chambre des communes le projet de loi C-10 portant sur la création d'une commission pancanadienne. Le projet a été adopté le 12 mars. Le gouvernement québécois affirme n'avoir d'autre choix que de prendre la voie de la contestation judiciaire et d'obtenir l'opinion de la Cour d'appel sur ces questions constitutionnelles. À son avis, le projet fédéral met en péril la compétence législative et les instances administratives du Québec. Le gouvernement québécois pense, d'autre part, que la crise financière a récemment démontré que, contrairement à ce qu'affirme le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, la réglementation des valeurs mobilières s'avère plus efficace lorsqu'elle est effectuée par des organismes non centralisés. Good move Québec, fight them up !
  7. Valeurs mobilières: Ottawa prépare une commission nationale Publié le 22 juin 2009 à 16h09 | Mis à jour le 22 juin 2009 à 18h33 La Presse Canadienne Ottawa Le gouvernement fédéral a fait un pas de plus vers la création d'un organisme national de réglementation des marchés financiers en annonçant lundi la mise sur pied d'un bureau de transition dont le mandat sera de coordonner le projet avec les provinces et avec l'industrie. Ce bureau sera présidé par l'ancien président de la Commission des valeurs mobilières de la Colombie-Britannique, Doug Hyndman. Il sera secondé par le Torontois Bryan Davies, qui occupe depuis 2006 le poste de président du conseil de la Société d'assurance-dépôt du Canada. Le ministre des Finances Jim Flaherty a assuré que l'adhésion au futur organisme de réglementation serait volontaire et que le Québec - qui s'y est toujours opposé - pourrait choisir de rester à l'écart. Il ne perd cependant pas espoir de voir un jour la Belle Province rentrer dans le rang. «Nous ne claquons la porte au nez de personne. Je rêve du jour où nous aurons un organisme de régulation vraiment national», a-t-il insisté lors d'un point de presse à Ottawa. Pour le ministre, la création d'une commission nationale contribuera à la consolidation de l'État canadien. Il a toutefois insisté lundi pour dire qu'il faudrait respecter les expertises et les spécificités régionales tout au long du processus. Le gouvernement du Québec n'a cependant pas semblé rassuré par ces propos. Le grand argentier de la province, Raymond Bachand, craint que le projet de régulateur national crée de l'incertitude sur les marchés à un bien mauvais moment. «La dernière chose dont on a besoin c'est un débat de structures. Moi j'ai besoin que mes autorités de valeurs mobilières et les commissions des autres provinces concentrent 100 pour cent de leur énergie sur la réglementation, la surveillance des marchés et faciliter la reprise économique», a-t-il martelé. Le ministre Bachand a ajouté que, s'il le fallait, Québec pourrait se tourner vers les tribunaux pour faire valoir son point de vue et défendre son Autorité des marchés financiers. L'annonce de Jim Flaherty n'a pas non plus été bien accueillie par les partis d'opposition à Ottawa. Pour le Bloc québécois et le Nouveau Parti démocratique, la création du bureau est une manoeuvre de plus pour faire pression sur les «provinces récalcitrantes». «C'est de la provocation», a résumé le leader parlementaire du Bloc québécois, Pierre Paquette, en entrevue à La Presse Canadienne. «On n'est pas dupes du tout. Le caractère volontaire, c'est tout simplement pour s'assurer d'isoler le Québec et d'éventuellement le forcer à intégrer cette commission-là», a-t-il ajouté. De son côté, le chef-adjoint du Nouveau Parti démocratique, Thomas Mulcair, reproche à Ottawa d'empiéter encore une fois dans un champ de compétence exclusive des provinces. Les deux hommes se sont par ailleurs dits «outrés» que le ministre Flaherty ait attendu que les travaux parlementaires soient suspendus pour faire son annonce. «Il n'a même pas eu le courage de soulever le débat pendant que la Chambre siégeait encore. Il a attendu le premier jour où la Chambre ne siège plus», a souligné M. Mulcair, qui est le seul député néo-démocrate du Québec. Le projet d'un organisme national est cher aux yeux des conservateurs et particulièrement du ministre Flaherty, qui en a fait l'une de ses priorités depuis son arrivée en poste en 2006. L'industrie des services financiers, très largement basée à Toronto, en a aussi fait l'un de ses chevaux de bataille depuis quelques années. Les libéraux, qui ont longtemps été favorables à l'idée d'un organisme pancanadien de régulation des marchés, ont récemment indiqué qu'ils avaient désormais des doutes et qu'ils préféreraient demander à la Cour suprême de se pencher sur la constitutionnalité du projet avant de se prononcer. Actuellement, chaque province et territoire est responsable du commerce des valeurs mobilières à l'intérieur de ses frontières. Plus de 85 pour cent des inscriptions et des transactions réglementées sont toutefois sous la juridiction de la Commission des valeurs mobilières de l'Ontario.
  8. Mardi 9 Juin 2009 à 14h55 Valeurs Mobilières Desjardins perd son stratège Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Le courtier du Mouvement Desjardins a perdu son stratège en chef. Peter Gibson vient de faire le saut à la banque CIBC, où il occupera une fonction semblable. C’est le président de Valeurs Mobilières Desjardins (VMD), Germain Carrière, qui a annoncé le «départ» du chef du groupe stratégie de portefeuille et analyse technique, dans une note de service transmise aujourd’hui aux employés. «Nous lui souhaitons le meilleur des succès dans ses futurs projets», écrit Germain Carrière, sans lui annoncer de successeur. Spécialiste de l’analyse quantitative, Peter Gibson s’est joint à VMD en mai 2004. Sa nomination avait créé une certaine commotion dans le milieu financier de Montréal. D’une part, VMD avait retiré la fonction de stratège à Vincent Delisle pour l’attribuer à Peter Gibson. D’ailleurs, Vincent Delisle n’avait pas eu à attendre longtemps pour retrouver un poste similaire. Une semaine plus tard, le courtier de la Banque Scotia, Scotia Capital, le recrutait à titre de stratège financier, poste qu’il occupe toujours. D’autre part, la nomination d’un Torontois par le courtier de la plus grande institution financière du Québec avait paru consacrer le glissement de Desjardins vers la Ville-Reine. Ce glissement s’était cristallisé avec l’affaire Canagex, qui avait fait grand bruit. En 1996, rappelons-le, Desjardins avait transféré à Toronto l’équipe des gestionnaires en actions canadiennes de sa filiale Canagex. En 2000, toutefois, Desjardins avait rapatrié à Montréal cette fonction après que les gestionnaires en poste à Toronto eurent connu des résultats décevants. Est-ce que Desjardins en profitera pour ramener à Montréal toute l’équipe qui dresse le plan de match de son courtier pour ses investissements en actions et en obligations ? L’occasion est bonne.
  9. La ministre Monique Jérôme-Forget a réitéré mardi son opposition à l'établissement d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières proposé la veille par un groupe de travail. Pour en lire plus...
  10. Les deux provinces pourraient demander à la Cour suprême du Canada de trancher au sujet de la création, par le gouvernement Harper, d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  11. Le Groupe d'experts sur la réglementation des valeurs mobilières recommande la création d'une seule commission des marchés boursiers au Canada, selon le Globe and Mail. Pour en lire plus...
  12. Le Groupe d'experts sur la réglementation des valeurs mobilières recommande au ministre des Finances, Jim Flaherty, la création d'une seule commission des valeurs mobilières au Canada, selon ce que rapporte lundi le Globe and Mail. Pour en lire plus...
  13. Du sang neuf s'amène chez Valeurs mobilières Desjardins (VMD). Kevin Dalton, ancien président de Blackmont Capital, sera à la tête du financement aux sociétés dès janvier prochain. Pour en lire plus...
  14. Deux conseillers financiers devront se défendre contre diverses allégations dans le dossier Mount Real devant le tribunal disciplinaire des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  15. Valeurs mobilières : compétence fédérale ou provinciale? Léonie Laflamme-Savoie , Finance et Investissement 09:56 Est-ce que la réglementation des valeurs mobilières est une compétence dont héritent les provinces ou peut-elle être ramenée sous le giron fédéral en cas de besoin selon la constitution? La réponse n'est ni simple ni absolue, c'est que les deux argumentations pourraient très bien être défendues devant un tribunal. Si l'on se fie à la constitution, la réglementation des valeurs mobilières tomberait dans le giron des provinces, mais pourrait aussi être d'intérêt national donc de compétence fédérale, selon Elizabeth Lamarre, coordonnatrice à la maîtrise notariale à l'Université d'Ottawa et auteure d'un mémoire de maîtrise sur le sujet. « À la base, c'est une compétence provinciale, mais ça peut être contesté, explique celle qui a travaillé à la Commission des valeurs mobilières du Québec de 1999 à 2004. L'article 92 (16) de la constitution dit que c'est de nature purement locale ou privée dans la province ou même pourrait aussi se justifier sous l'article 92 (13) en évoquant le concept de propriété et des droits civils dans la province. Il pourrait aussi être d'intérêt national et devenir une compétence fédérale, selon l'article 91 de cette même Loi. Les deux côtés se défendent. » Elle ajoute que « les deux côtés pourraient être plaidés devant la Cour Suprême. C'est une question très politique et est-ce que les investisseurs seraient mieux servis avec une seule grosse commission? Je n'en suis pas certaine, mais ça dépend du rôle que la Commission nationale aurait. » Même si la réglementation a été largement uniformisée avec l'arrivée du passeport et que la fusion de la Bourse de Toronto avec la Bourse de Montréal a contribué à aplanir les différences entre les divers marchés provinciaux, il n'en reste pas moins que des particularités demeurent. « Par exemple, pour un émetteur québécois qui fait un placement au Québec, avoir accès à une commission qui parle dans sa langue et qui connaît le droit civil, comme la loi des compagnies du Québec, sera plus facile que d'aller devant une commission nationale qui serait basée à Toronto », souligne-t-elle. Si en valeurs mobilières, les lois se ressemblent entre les provinces, les différences persistent toutefois dans les diverses lois corporatives. Des bureaux provinciaux où la réglementation pourrait être adaptée au marché constitueraient une solution possible dans le cadre de la mise en place d'une commission unique. « Prenons l'exemple d'une commission nationale qui ferait dans le minier, alors n'y a presque que l'Alberta qui en fait, indique Elizabeth Lamarre. Je ne sais pas si une commission provinciale albertaine ne serait pas mieux placée pour réglementer son marché qu'une grande commission nationale basée en Ontario. » Quant au passeport, il jouait jusqu'ici le rôle d'harmonisateur que le gouvernement Harper semble vouloir faire jouer à une commission unique. Elizabeth Lamarre suggère qu'on laisse sa chance au système que les provinces ont mis en place, car il est très récent. « La majorité des commissions ont harmonisé leurs lois et le passeport a amené beaucoup d'avantages, est-ce qu'une commission nationale aiderait davantage? Je n'en suis pas certaine, conclut
  16. Les investisseurs canadiens ont réduit de 665 M$ leurs avoirs en valeurs mobilières étrangères au mois de septembre en raison de plus nombreuses ventes d'obligations étrangères, a indiqué mercredi Statistique Canada. Pour en lire plus...
  17. C'est ce qu'a écrit lundi dans une note l'analyste Benoît Poirier, de Valeurs mobilières Desjardins. Pour en lire plus...
  18. L'Autorité lui reproche d'avoir exercé l'activité de conseiller en valeurs sur une période de plus de deux ans, sans avoir requis et obtenu l'autorisation de le faire. Pour en lire plus...
  19. Selon des analystes de Valeurs mobilières Desjardins, les régimes de retraite à prestations déterminées canadiens et américains souffrent d'un sous-financement de 15 à 20% en moyenne. Pour en lire plus...
  20. Le gouvernement québécois investit 20000$ dans le projet «Trace ton défi» afin de développer les valeurs entrepreneuriales auprès des jeunes de la Gaspésie et des Îles-de-la-Madeleine. Pour en lire plus...
  21. Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont proposé un plus grand contrôle sur la notation et la vente de papier commercial adossé à des actifs émis par des tiers. Pour en lire plus...
  22. La Commission des valeurs mobilières de l'Ontario suit l'exemple de sa vis-à-vis américaine, la Securities and Exchange Commission (SEC) en assouplissant, lundi soir, l'interdiction temporaire décrétée la semaine dernière sur la vente à découvert de titres financiers. Pour en lire plus...
  23. L'Autorité des marchés financiers réclame notamment des peines d'emprisonnement et des amendes qui totalisent 551,5millions de dollars contre cinq anciens dirigeants de la firme de valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  24. Agissant de concert avec la FSA, la SEC a pris des mesures d'urgence temporaires pour interdire ces ventes sur les compagnies financières pour protéger leur intégrité. Pour en lire plus...
  25. Québec est disposé à se rendre jusqu'en Cour suprême pour empêcher Ottawa d'aller de l'avant avec son projet de création d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
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