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  1. Projet Wanklyn Illustration fournie par le Fonds immobilier de solidarité FTQ Quadrilatère formé des rues Wanklyn, Jean-Milot et des Aublats, à l'ouest de la route 138. Potentiel d'environ 700 unités en copropriété, de différentes typologies Propriétaire du terrain: Le Fonds immobilier de solidarité FTQ. Ce dernier est à la recherche d'un partenaire, en tant que promoteur du projet. Design urbain: Daniel Arbour&Associés, membre du Groupe IBI Deux entreprises industrielles occupaient autrefois l'immense terrain de 507,400 pieds carrés. Une des deux usines désaffectées a déjà été démolie. Le projet, qui en est encore à une étape préliminaire, devrait être soumis à une consultation publique. Le futur quartier serait entouré d'arbres. Au centre, un petit parc serait aménagé. Il serait particulièrement bien situé, à proximité de la gare LaSalle et de l'ancienne emprise de la voie ferrée du CP, qui devrait devenir un lien vert et traverser l'arrondissement pour relier la gare à la station de métro Angrignon. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  2. AGENCE QMI Mercredi, 10 février 2016 12:03 MISE à JOUR Mercredi, 10 février 2016 12:03 MONTRÉAL – La Ville de Montréal a annoncé qu’elle investira 168 millions $ dans la réfection de ses infrastructures de l’eau. Trois usines de l’ouest de l’île seront modernisées et un ouvrage de rétention d’eau de pluie, le bassin Leduc, sera construit, a annoncé Chantal Rouleau, responsable de l’eau et des infrastructures de l’eau au comité exécutif de la Ville de Montréal. «Ces investissements massifs sont nécessaires afin que Montréal puisse continuer de rencontrer les plus hauts standards en matière de qualité de l’eau potable et de gestion des eaux usées», a indiqué Mme Rouleau. Ainsi, des travaux de réfection seront réalisés aux usines de production d’eau de Lachine, de Dorval et de Pierrefonds, pour un total de 90,9 millions $. Ils ciblent les équipements et les systèmes de contrôle des usines, ainsi que l’ajout d’une chaîne de traitement. La construction du bassin Leduc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent, vise quant à elle à réduire les épisodes de surverses. Il en coûtera 77,5 millions $. Cette structure souterraine emmagasinera temporairement les eaux usées lors de fortes pluies pour ensuite les rediriger vers la station d’épuration. Ce bassin aura une capacité de rétention de 65 000 mètres cubes d’eau, et contribuera à diminuer les refoulements et les déversements d’eaux non traitées vers la rivière des Prairies. http://www.journaldemontreal.com/2016/02/10/montreal-investit-168-millions-dans-ses-infrastructures-de-leau
  3. Une usine d’eau potable de trop selon Projet Montréal Alors que la Ville de Montréal a demandé un audit de son plan d’investis*sement en infrastruc*tures de l’eau, Projet Montréal répète qu’au moins une des six usines d’eau potable est de trop. Selon les calculs réalisés par l’élu de Projet Montréal Sylvain Ouellet, la production d’eau a été en moyenne de 1,8 million de m3 par jour entre 2009 et 2013, soit 62% de la capacité maximale de production de la Ville. «Même en prenant la pire journée de canicule sur une période de cinq ans, les usines ont un excédent de capacité de 367 310m3, soit deux fois la capacité totale de production des usines de Lachine et Dorval», évalue M. Ouellet. Ce dernier note en outre que l’usine de Pierrefonds est actuellement en rénovation pour augmenter de 70% sa capacité de production, que des travaux du réservoir Rosemont sont en cours pour augmenter la capacité de stockage de Mont*réal et que le colmatage des fuites dans le réseau d’égouts et d’aqueducs a contribué à réduire les besoins de l’ordre de 19% entre 2001 et 2012. Malgré ce constat, la Ville s’apprête à investir 32,2M$ dans les usines de Dorval et de Lachine, note M. Ouellet, qui a demandé lors du conseil municipal du mois d’avril que la Ville lance une étude sur la question. En 2013, un Montréalais habitant sur l’île consommait 903l d’eau par jour. Cela inclut la consommation d’eau des industries, des commerces et des institutions, ainsi que les fuites. L’élu de Projet Montréal semble avoir été en partie entendu. Durant la réunion du comité exécutif de mardi, l’administration Coderre a indiqué qu’elle octroyait un contrat de 83 700$ à l’Institut national de recherche scientifique (INRS) pour analyser la stratégie de l’eau et le plan d’investissement 2015-2024 qui y est lié. Mais l’audit en question ne se penchera pas sur l’opportunité de fermer une des usines de production d’eau potable. «Ce n’est pas dans nos cartons. La population va continuer d’augmenter. Il n’est pas question à court terme de fermer une usine», répond Chantal Rouleau, l’élue responsable de l’eau à la Ville. L’administration Coderre souhaite plutôt obtenir une analyse neutre des réalisations effectuées. «On a prévu d’investir 4,6G$ sur 10 ans. Faut-il maintenir le rythme ou l’augmenter?» dit Mme Rouleau pour illustrer ses propos. Elle souligne par exemple que l’arrivée de nouvelles techniques telles que le chemisage [un système de gainage qui permet de réparer les conduites sans creuser de tranchées] a permis d’accélérer les travaux et de diminuer les coûts, ce qui change la donne en matière de prévisions. Le rapport final de l’INRS sera déposé à l’automne. http://journalmetro.com/actualites/montreal/802290/une-usine-deau-potable-de-trop-selon-projet-montreal/
  4. Carte interactive des usines du Québec. Très cool pour voir qu'est-ce qui se fabrique dans votre quartier! Carte: https://denis.cartodb.com/viz/c1440366-de3a-11e4-91b0-0e4fddd5de28/embed_map http://www.lesaffaires.com/dossier/secteur-manufacturier-la-carte-des-usines/dans-une-usine-pres-de-chez-vous/578548
  5. lesaffaires.com . les affaires.com . 24-07-2012 Offrir une solution de rechange à bon prix aux espaces de bureau du centre-ville, voilà une des motivations qui ont incité la Corporation immobilière Kevric à acheter deux anciennes manufactures du quartier Villeray à Montréal. Le gestionnaire et promoteur immobilier spécialisé dans la remise en valeur d’édifices a allongé 16 M$ pour mettre la main sur deux propriétés de respectivement 350 000 et 120 000 pieds carrés sur la rue MilesEnd, dans le quartier Villeray à Montréal. Kevric convertira ses deux anciennes usines textiles, situées au 7250 et au 7450 MilesEnd, en lofts-bureaux, a expliqué à LesAffaires.com Richard Hylands, président de Kevrik. En incluant les coûts de conversion, l’investissement du promoteur immobilier s’élèvera à 35 M$. «Ces immeubles nous permettront d’offrir une alternative aux loyers du centre-ville, à environ la moitié du prix», explique M. Hylands. Le président de Kevrik explique que de nombreuses entreprises cherchent des solutions de rechange aux espaces locatifs du centre-ville de Montréal et qui sont situés à proximité des transports en commun. Les immeubles acquis sont situés près du métro et du train de banlieue, tout en étant à quelques pas du Parc Jarry. Un quartier en pleine effervescence Le quartier où Kevrik investit est en pleine effervescence. Les projets immobiliers et commerciaux dans la située entre les Boulevard St-Laurent à l’Avenue du Parc se sont multipliés au cours des dernières années. M. Hylands cite en exemple l'immeuble reconverti par Rosdev, aux coins des rue Jean-Talon et Avenue du Parc, «un bâtiment recyclé qui se loue très bien».
  6. Assez drôle, ils publient une nouvelle sur un investissement de Thales à son usine de Laval, le hic, Thales n'as pas d'usine à Laval, QC mais bien à Laval en France http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201106/28/01-4413293-thales-investit-a-laval.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS2 Les usines de Thales au Canada http://www.thalesgroup.com/Countries/Canada/Canadian_Locations/ Celles de Mtl sont à VSL
  7. Le complexe industriel de Sorel-Tracy démontre le lourd passé industriel de la ville. En aval de Montréal, à environs 70 km du centre-ville de Montréal, Sorel-Tracy est le coeur de la vallée sidérurgique et métallurgique de Sorel. Le complexe industriel possède bon nombre d'usines dans le domaine de l'acier, du fer, du titane, des pigments de peinture et de la chimie. Fondées majoritaire dans les années 1960, les usines sont encore debout malgré le fait qu'une bonne partie d'entre elles sont désaffectées ou utilisées minimalement. Voici une liste des usines du complexe de Sorel-Tracy : HUNTSMAN - TIOXIDE CANADA Q.I.T. FER ET TITANE (QUEBEC IRON AND TITANIUM) ACIER INOXYDABLE ATLAS Pas de logos disponibles CRUCIBLE / BELOIT STEEL Pas de logos disponibles SOREL STEEL AND FOUNDRIES LIMITED CENTRALE THERMIQUE DE TRACY Avec autant d'industries, Sorel-Tracy refuse d'abandonner son statut de ville à vocation industrielle malgré le fait qu'une partie du complexe industriel soit désaffectée.
  8. Worldcolor: curieuse transaction François Pouliot / Général, 782 mots Après deux tentatives avortées de R.R. Donneley, c’est finalement Quad/Graphics qui met la main sur Worldcolor. Cette transaction est-elle vraiment équitable pour les actionnaires de Worldcolor? Et quel avenir pour les 1 500 salariés des imprimeries québécoises? En mai, Donneley avait d’abord offert 1,4 G$ pour Worldcolor (autour de 9,50$ par action). En août, l’offre avait été majorée à 1,6 G$ (11$ par action). Il est actuellement difficile de dire combien offre Quad/Graphics. L’acquisition est payée en actions. Au terme de la transaction, on parle d’actionnaires ordinaires qui auront 40% de Quad/Graphics, mais on ne sait pas trop combien vaudront ces actions puisque Quad n’est pas encore cotée. Moins bon que l’offre de Donnelley? Reuters et le Wall Street Journal citent des sources et parlent d’un prix attendu de 1,3-1,4 G$. C’est moins que ce qu’offrait Donnelley. Attention cependant. La transaction avec Quad/Graphics offrira des synergies de 225 M$ sur un BAIIA actuel combiné de 647 M$. Ca semble à première vue assez intéressant pour les actionnaires en terme de création de valeur future. On ne sait si Donnelley, qui ne payait qu’un tiers en actions (le reste comptant) pouvait offrir de telles synergies. Conséquemment, on ne peut trop dire si le levier de création de valeur à long terme aurait été aussi intéressant avec Donnelley. Mais il est aussi possible que les synergies promises par Quad soient en partie mangées par un marché de l’imprimerie en recul dans les prochains trimestres. Si tel doit être le cas, la portion au comptant de l’offre de Donnelley aurait été plus intéressante. Là où vraiment la transaction est curieuse Cette transaction est cependant surtout curieuse dans ceci : le BAIIA de Worldcolor est à peu près le même que celui de Quad (315 M c. 332 M$), mais les actionnaires de World ne reçoivent que 40% de la nouvelle compagnie. Au plan mathématique, quelque chose cloche. La proportion devrait plutôt être autour de 50-50, ce qui donnerait plus d’argent aux actionnaires de World. À noter que les prévisions de croissance du BAIIA de World pour l’an prochain par les deux maisons qui suivent le titre (RBC et TD) étaient assez importantes (352 et 380 M$ attendus). De trois choses l’une. Ou bien la rentabilité de Wolrd était sur le point de fortement diminuer (et la crédibilité de la direction est en jeu). Ou bien celle de Quad est sur le point d’exploser. Ou bien encore, c’est un peu des deux. Mais on peut se demander pourquoi plus de précisions n’ont pas été apportées à la conférence téléphonique. En attendant, on se gratte l’occiput. La fin du siège social Le siège social montréalais disparaîtra et la question est maintenant de savoir combien des 200 emplois qui y sont rattachés seront maintenus dans ce qu’on pourrait qualifier d’unité régionale administrative. La réponse est : pas beaucoup. Et l’on peut se demander si la véritable unité régionale ne sera pas plutôt basée à Toronto. Déjà Worldcolor avait annoncé il y a quelques jours son intention de consolider ses activités dans la région de Toronto. Il est douteux que l’on consolide ses activités dans une région et que l’on laisse sa principale place d’affaires dans une autre. Des usines sont elles à risque de fermer au Québec? Après celle de Bromont il y a quelques jours, d’autres usines sont-elles à risque de fermeture au Québec? Il en reste cinq au Québec, qui emploient 1500 salariés. Il faut ici dire que l’on est un peu estomaqué par la différence de marges bénéficiaires (BAIIA) entre les deux sociétés : 17,6% chez Quad, 9,7% chez World. Difficile de ne pas avoir une petite inquiétude. Si des imprimeries doivent fermer pour générer les synergies (et l’on serait étonné que ce ne soit pas dans le plan de match), ce n’est à première vue pas celles de Quad. On ne connaît pas la situation individuelle de chacune des imprimeries. On sait cependant que Quad a 11 usines aux États-Unis, et n’en a aucune au Canada. Le Canada et le Québec sont des marchés qui ne peuvent être exclusivement desservis par l’Oncle Sam. On serait donc plus inquiet pour les 35 usines de World aux États-Unis que pour les québécoises. Ce qui ne veut néanmoins pas dire qu’il y a absence totale de danger.
  9. L'économie américaine montre des signes encourageants * Presse Canadienne, * 07:33 L'économie américaine commence à montrer des signes intéressants de reprise, à la lumière de nouvelles données publiées hier. La glissade du secteur de la fabrication a ralenti; les constructions domiciliaires sont en hausse et les consommateurs n'ont pas réduit autant leurs dépenses que les experts le craignaient. Malgré l'annonce de la banqueroute du géant de l'automobile General Motors, les investisseurs et les économistes se sont réjouis des nouvelles encourageantes provenant du front économique. La moyenne Dow Jones a grimpé de plus de 211 points lundi, une augmentation de 2,6 pour cent. Les autres principaux indices ont aussi progressé de plus de 2 pour cent. "Ce qui ressemblait à la lueur d'une chandelle vacillante au bout d'un tunnel se transforme à la lumière d'un phare, s'est réjoui, Richard Tamarone, un économiste d'Argus Reseach. Nous ne sommes plus dans les mâchoires de la récession. Nous pourrions n'être qu'à quelques mois de la reprise." Les économistes sont encouragés par un rapport de l'institut des gestionnaires en approvisionnement, qui démontre que l'activité manufacturière avait ralenti moins rapidement que prévu. La situation est identique en Asie et en Europe. L'indice de l'Institut a atteint 42,8, un sommet depuis septembre. Il était de 40,1 en avril. Un indice inférieur à 50 indique une activité au ralenti mais ce chiffre est supérieur aux prévisions des économistes. Par ailleurs, un indice des nouvelles commandes placées auprès des usines américaines s'est élevé à 51,1 en mai, une première augmentation depuis novembre 2007. De plus, les stocks des commerces diminuent, cela qui laisse présager qu'ils auront besoin de se réapprovisionner de nouveau, favorisant la production dans les usines et aidant l'économie en général. "Le pire est passé pour les usines américaines", a soutenu Cliff Waldman, économiste pour Manufacturers Alliance/MAPI. Toutefois, nous sommes à des mois d'une véritable reprise. La situation de l'économie mondiale demeure difficile et les conditions financières, elles, demeurent problématiques. Mais de meilleurs jours sont devant nous." Selon le département américain du Commerce, les dépenses de la construction ont augmenté de 0,8 pour cent en avril alors que les économistes prédisaient une baisse de 1,2 pour cent. Les dépenses dans ce domaine ont augmenté pour un deuxième mois d'affilée après cinq baisses consécutives. Les consommateurs ont réduit leurs dépenses d'un maigre 0,1 pour cent en avril; les experts prévoyaient une baisse de 0,2 pour cent. Il s'agit cependant de la deuxième baisse mensuelle d'affilée, ce qui démontre que les consommateurs demeurent inquiets.
  10. Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
  11. Suspension de production chez Chrysler Mise à jour le vendredi 6 février 2009 à 14 h 31 La direction du constructeur automobile américain Chrysler annonce la fermeture temporaire d'au moins quatre de ses usines d'assemblage en Amérique du Nord, dont celle de Brampton en Ontario. Les autres usines touchées sont celles de Sterling Heights au Michigan, de Belvidere en Illinois ainsi que celle de Détroit. La production des quatre usines sera interrompue pour cinq jours à partir de la semaine prochaine, soit du 9 au 13 février prochain. Chrysler explique cette décision par la faiblesse de ses ventes de véhicules aux États-Unis et les importants problèmes financiers auxquels elle doit faire face. Un porte-parole de Chrysler a déclaré à l'Associated Press que la direction revoyait son horaire de production toutes les semaines en raison de la conjoncture et que d'autres fermetures temporaires d'usine pourraient survenir. Chrysler, qui emploie plus de 9800 personnes au Canada, a vu ses ventes de véhicules baisser de 55 % en janvier par rapport à la même période l'an dernier et de 30 % sur l'ensemble de l'année 2008 par rapport à 2007. L'usine de Brampton, en Ontario, dont le congé des fêtes avait été prolongé au-delà de la période prévue, emploie plus de 3500 personnes. On y assemble notamment les modèles Chrysler 300, Dodge Charger et Dodge Challenger.
  12. Le géant japonais Panasonic traverse, à l'instar des autres grands groupes nippons de l'électronique, une crise majeure qui le force à supprimer 5% de ses effectifs et à fermer 27 usines à travers le monde. Pour en lire plus...
  13. Le plan Obama menace 2000 emplois au Québec Publié le 02 février 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h37 Martin Croteau La Presse Le plan de relance économique de Barack Obama menace 2000 emplois au Québec, selon une coalition d'entreprises qui transforment l'acier. Le nouveau président américain a beau promettre de réviser la clause qui interdira l'importation de ce métal pour des travaux d'infrastructure, des dizaines d'entrepreneurs québécois craignent d'être frappés de plein fouet par cet élan protectionniste. Les exportations canadiennes d'acier vers les États-Unis valaient 11 milliards en 2007. Il n'y a pas d'aciérie au Québec, mais une soixantaine d'entreprises fabriquent des matériaux d'acier destinés à la construction, comme des poutres et des charpentes. Ces compagnies, qui emploient 6000 personnes, exportent chaque année pour environ 500 millions au sud de la frontière. Or, le plan de sauvetage avalisé mercredi par le Congrès menace directement l'industrie québécoise de l'acier. Les entreprises pourront continuer de vendre leurs produits à des clients privés, par exemple à un promoteur qui construit un hôtel à New York. Mais elles seront exclues des appels d'offres pour tous les projets d'infrastructures financés par le gouvernement, comme la construction d'hôpitaux ou la réfection d'aéroports. Les deux tiers des investissements de 820 milliards seront consacrés à ces travaux. Et en période de récession, peu d'entreprises privées ont les moyens de se lancer dans de vastes projets de construction. C'est pourquoi les sociétés québécoises dépendent des investissements publics comme jamais. «Ça va nous empêcher de soumissionner certains projets, ceux dans lesquels il y aura des fonds fédéraux», s'inquiète Jean-François Blouin, directeur général de Supermétal Structures. Cette entreprise, qui exploite des usines à Lévis et à Sherbrooke, a construit les charpentes métalliques de plusieurs bâtiments publics au Canada et aux États-Unis. Il y a trois ans, avant le boom pétrolier en Alberta, 80% de ses produits étaient vendus au sud de la frontière. Si le marché américain ferme ses portes, plusieurs des 500 travailleurs de Supermétal Structures pourraient se retrouver au chômage. «Ça pourrait signifier des pertes d'emplois, c'est bien évident», indique M. Blouin. Ottawa sollicité L'entreprise est loin d'être la seule à s'inquiéter, affirme Sylvie Boulanger, directrice de la section québécoise de l'Institut canadien de la construction en acier. Ce groupe presse le ministre du Commerce international, Stockwell Day, d'accentuer les efforts diplomatiques pour freiner l'élan protectionniste de l'administration Obama. «C'est sûr que le plan nous tue», dénonce Mme Boulanger. Elle estime que le tiers des 6000 travailleurs de l'acier québécois, peut-être davantage, perdront leur emploi si le plan est adopté dans sa mouture actuelle. L'une des seules entreprises québécoises qui pourrait profiter du plan de relance américain est le Groupe Canam. Près de la moitié des 12 usines de l'entreprise beauceronne sont situées aux États-Unis et pourraient donc éviter d'être pénalisées. Mais Canam exploite aussi deux établissements au Québec, dont les 850 emplois dépendent en grande partie des exportations vers la Nouvelle-Angleterre. «Si les Américains veulent mettent une barrière là-dessus, nos usines de Saint-Gédéon et de Boucherville vont devoir repenser leurs affaires», a indiqué à La Presse le président du Groupe Canam, Marc Dutil. Il promet toutefois de ne pas «fermer les lumières» de ses usines québécoises. «Ceux qui vont avoir un bras de levier sont ceux qui ont des usines des deux côtés de la frontière, reconnaît Sylvie Boulanger. C'est clair que, en tant que compagnies, elles vont devoir se réorganiser pour passer à travers. Mais qui va être pénalisé? Toute la partie canadienne.» Ballet diplomatique Le Sénat américain doit encore approuver le plan de relance avant qu'il soit mis en oeuvre. La Maison-Blanche a promis vendredi de revoir le projet pour s'assurer qu'il ne viole pas les ententes commerciales des États-Unis. Le premier ministre Stephen Harper avait exprimé son inquiétude, la veille, et affirmé que la montée du protectionnisme pourrait compromettre la reprise économique. Malgré tout, le soutien politique au plan reste fort, si l'on en croit l'entrevue qu'a accordée le vice-président Joe Biden au réseau CNBC, jeudi, dans laquelle il a déclaré: «Je pense qu'il est légitime qu'il y ait des clauses Buy American.»
  14. Les distributions mensuelles en espèces sont suspendues et les interruptions pour entretien de deux usines américaines sont prolongées. Pour en lire plus...
  15. L'entreprise croule sous les dettes et ses usines de Pokemouche et d'Atholville, dans le nord du Nouveau-Brunswick, devraient bientôt fermer. Pour en lire plus...
  16. La société en commandite annonce la cessation définitive des opérations de ses usines de Varennes et de Montréal-Est, au Québec. Pour en lire plus...
  17. Les usines Fils Atlantique et Fils Fins Atlantique, à Atholville et à Poquemouche au Nouveau-Brunswick, sont à nouveau au bord de la faillite. Pour en lire plus...
  18. Les travailleurs ontariens affectés à l'assemblage des modèles Corolla et Matrix seront en congés forcés pendant 17 jours. Le fabricant automobile japonais doit réduire ses inventaires. Pour en lire plus...
  19. Cette réduction sera répartie à travers les trois usines canadiennes de la société. Kruger a des usines de papier journal à Brompton et Trois-Rivières au Québec, ainsi qu'à Corner Brook, à Terre-Neuve-et-Labrador. Pour en lire plus...
  20. Le producteur d'aluminium supprime 13500 postes permanents à ses usines et 1700 postes contractuels chez ses sous-traitants à l'échelle mondiale, en raison du ralentissement économique. Pour en lire plus...
  21. Faisant face à un recul de ses ventes aux États-Unis de 37%, le constructeur japonais Toyota va suspendre la production de toutes ses usines au Japon pendant 11 jours, en février et mars prochains. Pour en lire plus...
  22. L'entreprise a annoncé jeudi avoir conclu un accord à l'amiable pour régler des recours en justice en nom collectif à la suite d'une épidémie de listériose qui avait eu pour origine une de ses usines de production. Pour en lire plus...
  23. Chrysler, en attente d'une éventuelle aide financière de Washington, annonce la mise en chômage technique te toutes ses usines pour une durée d'un mois. Ford prolonge pour sa part la fermeture d'une dizaine d'usines d'assemblage. Pour en lire plus...
  24. Le constructeur automobile Chrysler a annoncé mercredi qu'il allait mettre en chômage technique toutes ses usines pour une durée d'un mois. Pour en lire plus...
  25. Le constructeur automobile réduira à nouveau sa production dans plusieurs usines puisque ses ventes à l'étranger sont touchées par le ralentissement économique. Pour en lire plus...
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