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12 résultats trouvés

  1. peekay

    Spam Attack!

    Je ne pense pas qu'un admin doit nécessairement être sur le site chaque jour. Mais, a mon avis, les modérateurs de ce site ne font pas leur job présentement (au moins nous informer si vous êtes pas capable à bloquer les usagers.
  2. On le voit dans le fils sur les rénovations et le toit du Stade olympique qu'il y a beaucoup d'avis différents sur l'avenir du Stade. Pour l'instant, on ne peu pas organiser une Coupe Grey à Montréal à cause du rique d'une cancellation dû à une accumulation de neige. On pourrait par contre organiser la Coupe Grey s'il n'y avait pas de toit. Moi j'aimerais bien voir un nouveau toit mais prenons le poul des usagers de mtlurb! Qu'est-ce qu'on fait avec le Stade??
  3. Je mets cet article fort intéressant dans ''Actualité'', étant donné que ce genre de nouvelle risque de plus en plus de voir le jour. http://www.lapresse.ca/actualites/national/201403/16/01-4748307-transports-en-commun-88-des-quebecois-veulent-plus-dinvestissements.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Les Québécois sont quasi unanimes à penser qu'il faut investir davantage dans les transports en commun, y compris ceux qui ne les utilisent pas. Selon un sondage CROP réalisé pour le compte de l'Association du transport urbain du Québec (ATUQ) en janvier dernier, 88% des répondants, usagers ou non, ont estimé qu'il était «assez» ou «très» important de mettre plus d'argent dans ces services. L'appui au financement accru des transports collectifs croît directement avec l'usage. Ainsi, 98% des répondants qui disent les utiliser souvent, et 94% des usagers occasionnels pensent qu'on devrait les financer davantage. Dans la région métropolitaine de Montréal, où les transports collectifs sont les plus visibles, les plus utilisés et les plus accessibles, ce pourcentage atteint 90% des répondants, et ce, qu'ils soient usagers ou non du métro, des trains de banlieue ou des services de bus. L'appui aux transports collectifs est moins élevé chez ceux qui ne les utilisent jamais, mais tout de même surprenant; 80% des répondants qui ont affirmé n'être pas des usagers de ces services estiment quand même qu'il serait important d'y investir davantage, selon le sondage de l'ATUQ, qui regroupe les neuf plus grandes sociétés de transports en commun du Québec. La population de la région de Québec semble plus tiède qu'ailleurs en province, selon CROP. Son appui à des investissements supplémentaires dans les transports en commun ne dépasse pas 80% des répondants, qu'ils soient usagers ou non. Hors des régions de Montréal et de Québec, l'appui à un financement additionnel des transports collectifs atteint 87% de la population, usagers ou non confondus. Des autobus avant des routes Les opinions largement favorables à une augmentation du financement des transports en commun sont plus nuancées lorsqu'on propose aux répondants un choix de moyens pour «assurer une meilleure circulation sur les routes du Québec». Les investissements dans les transports collectifs sont alors favorisés par 48% des répondants de l'ensemble du Québec, alors que 42% privilégient plutôt la construction de nouvelles routes. Ces résultats sont intéressants dans la mesure où ils ont été exprimés en janvier, soit bien avant la publication de la Stratégie de mobilité durable du gouvernement Marois, en vertu de laquelle des budgets de plus de 900 millions prévus pour la construction routière, de 2015 à 2020, ont été transférés vers des projets de maintien des actifs dans les réseaux de transports en commun de la province. Par ailleurs, 53% des répondants affirment qu'un investissement dans les transports en commun serait de nature à améliorer leur perception à l'égard du gouvernement du Québec, «parce qu'il veut améliorer la qualité de vie de ses citoyens». À la même question, 43% des gens ont affirmé que cela ne changerait pas leur opinion du gouvernement. Un maigre 4% ont exprimé qu'ils auraient une moins bonne opinion du gouvernement du Québec s'il augmentait les sommes consacrées aux transports collectifs. Selon le sondage de l'ATUQ, réalisé par questionnaire sur l'internet à partir d'un groupe web, entre les 16 et 19 janvier derniers, un peu plus de la moitié des 1000 répondants, soit 52%, affirment qu'ils n'utilisent «jamais» les transports collectifs. Ce pourcentage augmente à 71% hors des régions de Montréal et de Québec. Dans la région de la capitale nationale, 62% des personnes sondées affirment ne pas utiliser ces services, alors que dans la région de Montréal, c'est seulement une personne sur trois (34%) qui affirme ne «jamais» utiliser les transports en commun.
  4. A Londres, prendre le métro est devenu un luxe Selon une enquête, les bas revenus ne peuvent plus se payer tickets ni abonnements. Ils s’entassent donc dans les bus, moins chers mais moins pratiques. 15.12.2011 | Rowenna Davis  La prochaine fois que vous prendrez le métro à Londres, regardez autour de vous. Si vous trouvez qu’il y a de plus en plus de cadres supérieurs blancs, vous ne vous trompez pas. Selon les derniers chiffres de Transport for London [TfL : régie des transports en commun de Londres], descendre les escalators du métro revient à gravir une marche dans l’échelle sociale. D’après cette étude, la fracture sociale s’agrandit dans notre ville. Tandis que les plus riches se rendent rapidement à leur travail en métro, les plus pauvres et les membres des minorités ethniques sont contraints de prendre le bus. Et la situation empire : en 2003, les Londoniens à bas revenus représentaient 28 % des usagers du métro. En 2009, ce chiffre est descendu à 22 % – contre 37 % des usagers du bus. 4,6 euros le ticket Il est difficile de ne pas faire le lien avec le prix des billets (un aller simple en métro en zone 1 coûte désormais 4 livres [4,60 euros]). Fin novembre, j’ai rencontré des agents de nettoyage et des serveurs de restaurant qui n’ont plus les moyens de prendre le métro dans leur ville. Ils s’entassent donc dans les bus, d’utilisation beaucoup plus problématique. Prenons Elena, par exemple. Cette femme de ménage colombienne travaille pour 6,08 livres [7,09 euros] l’heure. Elle cumule deux emplois à temps partiel. Comme elle n’a pas accès au métro ni au train, elle doit quitter sa maison du nord de Londres à 5 heures du matin. Avec une foule d’autres travailleurs au salaire minimum, elle prend une longue série de bus avant même le lever du jour. Comme elle doit se rendre d’un emploi à l’autre, elle passe près de cinq heures par jour dans les transports pour six heures de travail. Elena paie sa carte mensuelle de bus 68,40 livres [80 euros]. Si elle devait prendre une carte bus-métro, cela lui coûterait 106 livres [123 euros], soit environ le cinquième de son salaire mensuel net. Le maire de Londres, Boris Johnson, ne semble pas voir où est le problème. Depuis son élection [en 2008], le prix d’une carte bus-métro hebdomadaire 4 zones a augmenté de 23 %. Enquête suspendue Le fait d’être obligé de prendre le bus cause également de gros problèmes aux familles. Alberto, lui aussi agent de nettoyage, nous raconte que sa fille et sa femme doivent partir de la maison à 5 heures du matin. Sa fille attend que l’école ouvre en lisant sur le lieu de travail de sa mère et y arrive toujours fatiguée. Pendant ce temps, Alberto effectue son angoissant trajet dans Londres. S’il rate l’un de ses bus ou s’endort, il risque d’être licencié. “Le prix des transports s’envole, mais le salaire n’augmente jamais, constate-t-il. Il faut se battre pour avoir une augmentation. La situation empire toujours davantage.” Les conséquences sont également économiques. Si les transports sont le poumon de l’économie londonienne, on sait aussi que certains travailleurs comme Elena refusent des emplois parce que le trajet leur coûterait trop cher. Ce métro sélectif était déjà visible à l’époque où Ken Livingstone était maire [2000-2008], mais ce n’est que maintenant que celui-ci réfléchit à des mesures pour endiguer la tendance. S’il est à nouveau élu en 2012, il promet d’abaisser les tarifs de 5 % et de les geler jusqu’en 2013. Quant à l’actuel maire de Londres, Boris Johnson, on ignore les conséquences que sa réélection pourrait avoir. Sous son mandat, TfL a suspendu l’enquête sur les usagers du métro jusqu’à nouvel ordre : une mesure qui permet de faire des économies… et d’étouffer les mauvaises nouvelles. http://www.courrierinternational.com/article/2011/12/15/a-londres-prendre-le-metro-est-devenu-un-luxe
  5. Transport en commun: plaidoyer pour une importante hausse des tarifs Bruno Bisson La Presse Les usagers paient-ils assez cher pour utiliser les réseaux de transports en commun dans la région de Montréal? > En graphique: Financement du transport en commun Dans un mémoire présenté la semaine dernière lors des consultations publiques sur le financement des transports collectifs de la Communauté métropolitaine de Montréal, un groupe d'universitaires a proposé de hausser considérablement les tarifs aux usagers pour améliorer la qualité et l'efficacité des services. L'Observatoire sur la mobilité durable, groupe de recherche affilié à l'Institut d'urbanisme de l'Université de Montréal, recommande ainsi que les revenus en provenance des usagers soient augmentés, jusqu'à ce qu'ils représentent 50% des coûts des services de transports en commun. À l'heure actuelle, les revenus des usagers représentent de 27% à 47% des coûts annuels des services offerts à Montréal et en banlieue (voir graphique). Selon Jean-Philippe Meloche, professeur associé à l'Institut, cette augmentation de la contribution des usagers assurerait des revenus additionnels de 300 millions par année, à l'horizon 2020, aux sociétés de transports en commun de la région. Concrètement, elle se traduirait aujourd'hui par des augmentations de tarifs de plus de 60%, dans la banlieue nord, où les recettes des usagers couvrent seulement 31% du coût actuel des services d'autobus. Les usagers de la Société de transport de Laval, qui assument actuellement 27% des coûts des services, verraient leurs tarifs multipliés par deux. Mais pour la grande majorité des usagers des transports collectifs de la région, qui utilisent les services de la Société de transport de Montréal (STM), «l'augmentation serait d'environ 20%, estime-t-il. En l'étalant sur cinq ans, et en tenant compte de l'inflation, on obtiendrait des hausses annuelles de 6 ou 7%, sur cinq années consécutives». «Une approche doctrinaire» Dans une entrevue à La Presse hier, le directeur général de Transports 2000 Québec, Normand Parisien, n'a pas hésité à qualifier de «doctrinaire» l'approche préconisée dans ce mémoire, parce qu'elle «réduit l'usage des transports en commun à un service commercial», dont la disponibilité et le coût seraient soumis aux aléas de l'offre et de la demande. Cette «approche microéconomique», déplore-t-il, occulte totalement la dimension «sociale» des réseaux de transports en commun qui est très présente à Montréal. «On dirait que c'est tabou et qu'il ne faut jamais en parler, mais il reste que Montréal est une des grandes villes les plus pauvres de l'Amérique du Nord.» Le directeur de la plus importante association d'usagers des transports en commun du Québec estime aussi que des tendances fortes dans l'évolution récente de la clientèle des transports collectifs laissent supposer une chute de la fréquentation s'il y avait une augmentation marquée des tarifs. M. Parisien cite les résultats d'une étude d'Impact Recherche menée à la demande du ministère des Transports du Québec (MTQ) et présentée à Transports 2000 Québec lors de consultations statutaires récentes du MTQ sur son prochain plan stratégique de cinq ans. «La plus importante augmentation de la clientèle provient des étudiants, qui paient un demi-tarif, dit M. Parisien. La part des étudiants qui préfèrent les transports collectifs a grimpé de 50% à 61%, dans les dernières années.» Par contre, dit-il, «les gens qui se déplacent pour se rendre au travail le matin le font encore, dans 80% des cas, en automobile. Une hausse des tarifs ne les incitera sûrement pas à se tourner vers le métro et les autobus». Péages pour automobilistes Tout en rejetant le qualificatif de «doctrinaire», le professeur Jean-Philippe Meloche reconnaît qu'une hausse des tarifs n'est pas une mesure qui incite les gens à préférer le métro ou les autobus à l'automobile. Un péage routier, en revanche, pourrait bien l'être. «Une hausse de tarifs de cette dimension, se défend le chercheur, est impensable si on n'impose pas, en même temps, des péages routiers, pour que les automobilistes paient, eux aussi, leur juste part des vrais coûts de transport.» «On ne peut pas isoler les différents éléments qui composent la circulation, affirme-t-il. Et notre approche, ce n'est pas de faire payer en particulier les usagers des transports en commun. C'est de tarifer équitablement tous les modes de déplacement.» Le modèle proposé par l'Observatoire prévoit ainsi que les automobilistes seraient triplement sollicités, par le péage, par une tarification serrée du stationnement, à l'échelle de la région, et par le maintien d'un taux de taxation «relativement élevé» sur l'essence. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/09/01-4523474-transport-en-commun-plaidoyer-pour-une-importante-hausse-des-tarifs.php Enfin du monde sensée qui sortent du moule des théories toutes faites des 'écoles' urbanistiques. Tout le monde doit payer sa juste part, même si celle-ci n'est a hauteur de 50% du vrai coût.
  6. Métro de Longueuil: des usagers frappés par une hausse de 60% La Société de transport de Montréal (STM) a pris la décision unilatérale d'imposer à ses usagers de Longueuil une hausse du coût d'accès au métro de presque 60%, en obligeant les voyageurs à présenter un titre de transport TRAM 3 de 111$, au lieu d'une CAM qui en coûte 70$. La Ville de Longueuil vient de dénoncer cette décision, prise ce matin lors d'une rencontre des élus de la métropole à la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) dans le cadre des discussions sur le financement métropolitain des transports collectifs. Le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, refusait depuis l'an dernier de verser ses contributions de 2 millions $ par année à la STM, pour protester contre l'inéquité tarifaire qui frappait les usagers de sa ville, forcés depuis l'ouverture du métro de Laval d'acheter un titre de transport TRAM 3 pour prendre le métro. Depuis toujours, les usagers qui prennent le métro à Longueuil, sans avoir utilisé les autobus du Réseau de transport de Longueuil (RTL) pour s'y rendre, peuvent accéder au réseau en utilisant le même titre de transport que les Montréalais, soit une carte CAM, qui coûte 70$ par mois. En vertu de la décision vivement dénoncée jeudi par la mairesse de Longueuil, Mme Caroline Saint-Hilaire, ces mêmes usagers devront à compter du 1er juillet prochain se procurer un titre TRAM 3, qui donne accès à la fois au métro et au réseau d'autobus locaux, en banlieue.
  7. Un Québécois doit 873 millions $ à Facebook ! 24 Novembre 2008 - 15h24 (INFO690)- Facebook a gagné son procès contre un québécois qui bombardait les usagers de millions de messages non sollicités à caractère sexuel ou faisant l'éloge de drogues. Ce dernier a été condamné à verser 873 millions $ à Facebook. Un juge californien, a signé le jugement par défaut vendredi, mettant un terme à des poursuites engagées par Facebook en août dernier contre Adam Guerbuez, de Montréal, et sa société, Atlantis Blue Capital. Selon Facebook, Adam Guerbuez avait dupé les usagers en les amenant à révéler leurs mots de passe, pour pouvoir ensuite envoyer plus de quatre millions de messages faisant notamment l'éloge de la marijuana. L'entreprise de Palo Alto, qui est basée en Californie, a prédit qu'il serait difficile de récolter l'argent, mais elle a espéré que le montant de l'amende découragerait de futurs «spammers» sur son site.
  8. DESCRIPTION DU PROJET Le journal Le Courrier Ahuntsic a fait largement écho depuis quatre ans des démarches du Collège Ahuntsic pour construire une résidence étudiante. Voici quelques éléments décrivant le projet. • Concept architectural et bâtiments bien intégrés à son environnement; tient compte des préoccupations des citoyennes et citoyens du quartier et des autorités de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. • Située rue Saint-Hubert, à proximité du Collège et entre le stationnement donnant accès aux terrains de tennis et la rue Marcel-Cadieux. À deux pas de la station de métro Crémazie. • Un projet en deux phases : la première prévoyant accueillir quelque 400 étudiantes et étudiants dès 2007 et, la seconde, environ 100 étudiantes et étudiants en 2010. • De confortables studios et des appartements comptant deux chambres. • Appartements modernes, meublés, incluant téléphone et Internet. • Aménagement paysager en lien avec les espaces verts actuels. • Salle communautaire. • Stationnement des usagers sur le terrain actuel de stationnement du Collège. http://www.collegeahuntsic.qc.ca/pdf/depliant_residence.pdf
  9. Le propriétaire de YouTube, Google, s'entend avec Viacom pour cacher l'identité de ses usagers lors du procès qui les oppose. Viacom réclame un milliard de dollars à Google pour atteinte à ses droits d'auteur. Pour en lire plus...
  10. du quotidien 24 heures: Les usagers craignent pour leur sécurité DES AGRESSIONS DANS LE METRO Par JEAN-CLAUDE GRENIER Les habitués du transport en commun, surtout ceux qui utilisent régulièrement le métro, ne se sentent plus en sécurité à la suite des agressions survenues samedi et lundi. Ils sont nombreux à déplorer l'absence de sécurité dans les wagons, sur les quais et à l'entrée des stations où se massent des jeunes qui tentent souvent d'intimider les usagers à la sortie des stations. Samedi, un père de famille a été poignardé dans un wagon entre les stations Viau et Pie-IX. Un autre homme a aussi été agressé à l'arme blanche à la station de métro Berri-UQAM. Puis lundi, une adolescente âgée de 16 ans a aussi été poignardée à l'extérieur de la station Vendôme quand elle a voulu s'interposer auprès de trois individus qui tentaient de voler le baladeur MP3 d'un de ses amis. " C'est certain que je suis plus craintive quand je me rends chez moi en fin de journée près de la station Vendôme. Il y a toujours des jeunes qui flânent et qui demandent des cigarettes aux gens qui sortent de la station. Ils sont agressants et intimidants ", affirme Julie Desmarais. Sylvie Lauzon monte dans le métro chaque jour pour se rendre au travail au centre-ville. " Les agressions survenues au cours des derniers jours remettent en question mes déplacements en soirée. Il n'y a pas si longtemps, on se targuait d'avoir le métro le plus sécuritaire en Amérique, mais ce n'est plus le cas. " INTIMIDATION Pier-Alexandre Comeau-Landry n'est pas surpris de constater que la sécurité se détériore dans le réseau souterrain. " J'ai été intimidé à deux reprises à la station de métro Lionel-Groulx. Quand tu es encerclé par trois ou quatre adolescents qui demandent ton baladeur, tu ne résistes pas. Chaque fois, j'ai déposé des plaintes mais je déplore qu'il n'y a pas plus de surveillance. Des usagers se font souvent intimider en plein jour et ils sont laissés à leur triste sort puisque personne ne vient les aider. Les gens tournent le dos quand ils sont témoins d'une situation corsée ", explique-t-il. GANGS DE RUE Pour sa part, Annie Deslauriers admet qu'elle s'interroge sur ses déplacements en soirée en métro. " Je sais reconnaître les gangs de rue puisque j'ai déjà frayé avec ces gens. Présentement, plusieurs membres de ces gangs s'installent dans le métro afin de commettre des vols sur les usagers. Ça semble être facile de commettre un méfait et de se sauver dans les corridors du métro. J'ai vu plusieurs empoignades et des jeunes qui en menaçaient d'autres avec des couteaux. ", conclut-elle. Ça va surement inciter les gens à prendre le metro encore plus! Qu'attendent-ils pour augmenter la sécurité dans le métro?
  11. Je viens d'enlever les restrictions aux usagers non enregistrés, ils pourront lire le site sans s'enregistrer. Par contre ils auront le désagréments de voir de la pub
  12. MONTREAL, le 7 août / - Du 6 au 8 août, Tourisme Montréal invite les New-Yorkais à découvrir Montréal grâce à un tout nouveau "cube interactif" installé dans le hall Vanderbilt de Grand Central Station à New York. Plusieurs milliers de personnes parmi les quelque 700 000 usagers quotidiens de la gare auront droit à une visite virtuelle de Montréal leur donnant un aperçu du charme européen et de la vitalité qui font sa réputation. L'évènement a été mis sur pied dans le cadre de la campagne annuelle de Tourisme Montréal dans le marché américain du tourisme d'agrément destinée à inciter les résidants de la région new-yorkaise à traverser la frontière. Le concept du cube, dérivé interactif du nouveau site Web "Find Your Montréal" de Tourisme Montréal, invite les visiteurs à découvrir des images, des sons et des ambiances de Montréal regroupés en six thèmes : la cuisine, l'architecture, les boutiques, la vie nocturne, la scène culturelle, les festivals et le plein air. Une fois à l'intérieur de cet immense cube de 24 pi sur 24, les visiteurs peuvent voir et entendre Montréal - virtuellement, sinon littéralement, la vivre - en activant avec les pieds les panneaux interactifs du sol déclenchant des témoignages audiovisuels de Montréalais à propos des multiples facettes et attraits de leur ville. Le site comprend aussi une rangée de colonnes d'information colorées menant au cube afin de piquer la curiosité des usagers en soulignant le cachet unique de Montréal. L'expérience multisensorielle repose sur des écrans intérieurs géants disposés tout autour des écrans interactifs au sol. Cet événement de promotion à New-York est présenté en collaboration avec Air Canada, la Commission canadienne du tourisme et Tourisme Québec. Plus de 50 médias new-yorkais et nationaux ainsi qu'une douzaine de voyagistes ont accepté l'invitation de Tourisme Montréal à un cocktail spécial dans le hall Vanderbilt le mardi 7 août, ce qui leur a permettra de se familiariser à loisir avec le cube tout en appréciant la musique live d'un groupe de jazz montréalais. L'équipe de Tourisme Montréal a aussi été reçue à l'émission Early Show de CBS, qui touche près de trois millions de téléspectateurs par semaine. En mettant ainsi à profit certaines des technologies les plus avant-gardistes disponibles, Tourisme Montréal prouve une nouvelle fois qu'elle est à la pointe de l'innovation dans son domaine et profite des nouvelles technologies comme médium nous permettant de mieux faire vivre l'expérience Montréal. En plus du cube et du site Web associé, la campagne promotionnelle new-yorkaise de Tourisme Montréal comprenait des affiches dans les trains de banlieue, des annonces dans The New York Times, de l'affichage sauvage dans les rues, des panneaux rétroéclairés dans des cabines téléphoniques et une série de messages audio à télécharger (baladodiffusion) portant sur les évènements faisant l'actualité montréalaise. Tourisme Montréal a aussi organisé un tirage qui a permis à trois usagers de la gare de gagner un séjour à Montréal, un prix offert en partenariat avec Air Canada et le Casino de Montréal. De son côté, la Commission canadienne du tourisme a diffusé de l'information sur la grande variété d'attraits et d'expériences que le Canada offre à ses visiteurs. Tourisme Montréal est l'organisme responsable d'assumer le leadership de l'effort concerté de promotion et d'accueil pour le positionnement de la destination "Montréal" sur les marchés des voyages d'agrément et d'affaires et d'orienter le développement du produit touristique montréalais sur la base de l'évolution constante des marchés
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