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  1. Hôpitaux de l’arrondissement de Mont-Royal L’Hôtel-Dieu n’a jamais été « excédentaire »! 16 juillet 2014 | Michel Bergeron, Claude C. Roy - Professeurs émérites, Université de Montréal | Montréal Le rapport du groupe d’experts, présidé par l’architecte Marie Lessard, sur l’avenir des bâtiments « excédentaires » de l’Hôtel-Dieu de Montréal et du Royal Victoria Hospital vient d’être discrètement déposé sur le site Web du Secrétariat à la région métropolitaine. Le rapport est très fouillé, minutieux et lumineux. Il rejette clairement tout projet de construction de condos sur les sites des deux hôpitaux et dresse, sur le plan financier, un tableau quasi apocalyptique des solutions proposées par divers intervenants. Il convient de souligner la franchise et le professionnalisme de ces experts. Dans le cas de l’Hôtel-Dieu de Montréal, le rapport est toutefois basé sur une fausse prémisse, à savoir que cet hôpital a été classé, de façon péremptoire, par l’Agence régionale de santé et des services sociaux de Montréal (ARSSSM), comme excédentaire et accepté comme tel par le gouvernement précédent, alors que l’Hôtel-Dieu ne l’est pas du tout si l’on considère le nombre toujours élevé de patients hospitalisés ou admis à l’urgence. Mais les experts n’avaient pas le mandat gouvernemental de modifier la question et, en particulier, de souligner que, avec l’entrée en service de deux nouveaux centres hospitaliers universitaires, la fermeture de l’Hôtel-Dieu accentuerait la crise des urgences à Montréal et provoquerait un allongement des listes d’attente dans les services hospitaliers. Cette situation chaotique est inscrite dans les prévisions mêmes du ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS), situation dont l’ARSSSM préfère ne pas tenir compte. Pour cette agence, aucun argument — qu’il soit patrimonial, universitaire ou géopolitique — ne tient. Cet argument ne semble pas davantage émouvoir Madame Hélène David, ministre de la Culture et députée d’Outremont, qui reste silencieuse depuis des mois. On n’a aucunement besoin de l’Hôtel-Dieu, aurait soutenu l’Agence devant les experts. Une insulte à notre intelligence alors qu’un document produit par l’agence en octobre dernier venait confirmer le manque de lits à Montréal. C’est surtout un affront à l’oeuvre des religieuses Hospitalières de Saint-Joseph et à la contribution de cette institution à l’histoire de Montréal. Cette agence aurait autorisé la vente de l’Hôtel-Dieu ainsi que du Royal Victoria, pour lequel l’Université McGill a montré son intérêt. Il faut rappeler que le MSSS a investi 50 millions tout récemment pour rénover les urgences et les blocs opératoires de l’Hôtel-Dieu. Nous faisons face à un gaspillage honteux. On fermerait tout cela et en même temps, on planifie le même type de rénovations à l’Hôpital général de Montréal, situé à quelques centaines de mètres de l’Hôtel-Dieu. Incohérence et injustice ! Compte tenu de l’état actuel de notre système de santé, le Québec n’a pas la marge de manoeuvre financière nécessaire pour fermer l’Hôtel-Dieu sans compromettre davantage l’accessibilité aux soins de proximité. De plus, les citoyens de Montréal seront privés du seul hôpital francophone situé au pied du Mont-Royal, c’est-à-dire au centre-ville. À moins de vouloir affronter, à court terme, une nouvelle crise des urgences et des listes d’attente, le MSSS doit absolument maintenir l’Hôtel-Dieu comme hôpital de proximité, avec son urgence et 150 lits, pour les citoyens des quartiers environnants. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/413481/hopitaux-de-l-arrondissement-de-mont-royal-l-hotel-dieu-n-a-jamais-ete-excedentaire
  2. Le système financier américain est déjà dans la salle des urgences et va se diriger vers les soins intensifs, a dit l'ex-président de la Réserve fédérale, Paul Volcker. Pour en lire plus...
  3. Le Québec loin d'être le plus mal en point Pour ce qui est de la santé générale et de la pénurie, le Québec se classe plutôt bien, au quatrième rang. Il glisse au cinquième pour les soins et les services. C'est au chapitre des dépenses qu'il fait piètre figure, à l'avant-dernier rang. Archives La Presse Pascale Breton La Presse On le sait, le système de santé québécois craque de partout. Qu'en est-il dans le reste du anada? Bien sûr, le budget alloué à la santé explique en partie la performance des provinces. Mais il ne faut pas sous-estimer les facteurs tels que le manque d'effectifs, l'accès aux soins et les politiques des gouvernements. La Presse a consulté des centaines de pages de rapports et compilé de nombreuses statistiques. Voici le verdict. Des urgences bondées, des mois d'attente pour une intervention chirurgicale, manque de médecins et d'infirmières... Le système de santé du Québec n'est pas le seul à connaître des ratés. Les histoires d'horreur se multiplient partout au Canada. La Presse a comparé l'état des systèmes de santé des provinces canadiennes. Le constat? On trouve partout les mêmes problèmes... Avec une acuité plus ou moins grande. Notre palmarès de la santé au Canada révèle que le Québec n'est pas la pire des provinces. Mais il n'est pas la meilleure non plus. Il se classe en milieu de peloton, presque à égalité avec le Manitoba, tout juste devant l'Ontario. Urgences bondées au Québec. Patients qui parcourent des centaines de kilomètres pour voir un médecin en Nouvelle-Écosse. Opérations annulées faute de lits en Ontario. Difficultés de recrutement en Saskatchewan. Les manchettes se ressemblent partout au Canada et notre palmarès le reflète. C'est la riche province de l'Alberta qui se classe au premier rang. En plein boom économique, elle a moins de difficulté à recruter du personnel. Les candidats sont attirés par les nombreuses offres d'emploi et les conditions de travail. Tout n'est pas rose pour autant, comme nous le verrons au cours des prochains jours. Viennent ensuite la Nouvelle-Écosse et Terre-Neuve, au deuxième et troisième rangs. Tout au bas du palmarès figurent la Saskatchewan (là où l'assurance maladie est née!) et l'Île-du-Prince-Édouard. Comparer les systèmes de santé du Canada représente un défi majeur. Les provinces ne compilent pas les données de la même façon. Elles n'utilisent pas les mêmes paramètres pour évaluer leur performance. Et plusieurs ne rendent pas l'information publique. Partout au pays, des voix s'élèvent pour qu'un système soit mis en place afin de comparer les provinces. Cette comparaison est non seulement saine, elle est essentielle, soutient Jennifer Zelmer, vice-présidente recherche et analyse de l'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS). «C'est important de pouvoir se comparer. Des gens dans une certaine partie du pays peuvent mettre des choses en place qui améliorent la situation. Si nous n'avons pas les données pour les comparer, c'est difficile de voir où l'on peut apprendre. Et nous avons tous des choses à apprendre.» Pour établir notre classement, nous avons déterminé quatre critères: l'accès aux soins, la pénurie de personnel, la santé générale des Canadiens et les dépenses dans le domaine de la santé. Nous vous présentons aujourd'hui la synthèse du palmarès de la santé au Canada. Au cours des prochains jours, nous analyserons chacun des critères avec l'aide de spécialistes. Le Québec fait mieux que prévu La position du Québec est enviable, croit le ministre de la Santé et des Services sociaux, Philippe Couillard: «Quand on se compare à l'échelle du Canada, on n'a pas à rougir de notre situation. Il faut continuer d'améliorer le réseau et l'accès aux services, mais on ne peut pas dire que nous sommes en retard par rapport au Canada, sauf sur la question des médecins de famille et la difficulté d'en trouver un. C'est le bémol que je mettrais.» Le résultat est encourageant, souligne pour sa part la directrice générale de l'Association québécoise des établissements de santé et de services sociaux, Lise Denis: «Même si on vit des situations semblables partout, je pense que le Québec réussit à avoir des résultats positifs pour améliorer la santé et le bien-être de la population. En général, on est assez bien aligné sur la moyenne canadienne.» Pour ce qui est de la santé générale et de la pénurie de personnel, le Québec se classe plutôt bien, au quatrième rang. Il glisse au cinquième pour les soins et les services. C'est au chapitre des dépenses qu'il fait piètre figure, à l'avant-dernier rang. Toutes les provinces ont par ailleurs fait des temps d'attente une priorité. Mais, pour l'instant, il est difficile d'évaluer le nombre de semaines ou de mois que les patients attendent avant une opération ou un examen par imagerie médicale. Il est tout aussi difficile de dire quelle province obtient la meilleure performance. Les données diffèrent trop d'une région à une autre. Le même casse-tête se vit aux urgences. Combien de temps faut-il attendre avant de voir un médecin? Nul ne peut répondre. Par contre, une chose est certaine: tous les hôpitaux sont aux prises avec le même problème. Le Québec n'est pas différent de l'Ontario ou de la Colombie-Britannique, affirme le président du Collège des médecins de famille du Canada, le Dr Tom Bailey. «L'engorgement des urgences existe dans toutes les provinces. C'est un gros problème en Colombie-Britannique, où je pratique. Les patients attendent régulièrement sept heures pour voir un médecin, surtout pour un problème mineur.» La pénurie d'effectifs est un autre casse-tête. Elle touche plusieurs professions du milieu de la santé: on manque de médecins, d'infirmières, de pharmaciens, de technologues en radiologie. La crise frappe le Québec, mais le reste du Canada aussi. C'est en Ontario qu'elle est le plus criante, révèle notre palmarès. Les médecins et les infirmières prennent de l'âge, et les jeunes diplômés ne sont pas assez nombreux pour remplacer ceux qui partent à la retraite. L'avenir est inquiétant, croit Danielle Fréchette, conseillère en matière de gouvernance et d'élaboration des politiques au Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada. «La profession vieillit. Environ 40% des médecins spécialistes ont plus de 55 ans. Dans certaines spécialités, comme la médecine interne, 50% des médecins ont plus de 55 ans.» L'une des solutions est d'augmenter le nombre d'admissions en médecine et en soins infirmiers au Canada. Mais il faudra plusieurs années avant que la pénurie se résorbe. «C'est difficile de dire combien de temps nous serons aux prises avec ce problème, mais nous en avons sans doute pour cinq à 10 ans encore», estime le président sortant de l'Association médicale canadienne, le Dr Colin McMillan.
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