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Expo universelle de 2025: deux elus veulent que Montreal soit candidate | Pierre-Andre Normandin | Montreal Publié le 15 janvier 2017 à 05h00 | Mis à jour à 06h59 Expo universelle de 2025: deux élus veulent que Montréal soit candidate Marvin Rotrand, conseiller de la Ville et chef du parti Coalition Montréal Photo OLIVIER PONTBRIAND, LA PRESSE Pierre-André Normandin La Presse Alors que Montréal souligne cette année le 50e anniversaire d'Expo 67, deux élus montréalais proposent d'inviter à nouveau le monde dans la métropole québécoise en organisant l'Exposition universelle de 2025. Justine McIntyre, conseillère de la Ville et chef de Vrai changement pour Montréal Photo tirée du compte Facebook de Vrai changement pour Montréal Les conseillers Marvin Rotrand et Justine McIntyre proposeront à l'administration Coderre, lors du prochain conseil municipal, « d'examiner la possibilité de déposer au Bureau international des expositions la candidature de la Ville de Montréal pour l'Expo 2025 ». Ils comptent rendre publique demain leur évaluation des coûts et des retombées économiques de l'événement. Le temps presse toutefois puisque les villes intéressées ont jusqu'au 22 mai pour entrer officiellement dans la course. En effet, la France a présenté le 22 novembre dernier la candidature du Grand Paris en vue de 2025. En vertu des règles d'attribution de l'Exposition universelle, ce dépôt a déclenché le compte à rebours de six mois pour les mises en candidature. Novembre 2018 Moment où sera connu le choix de l'hôte pour l'Exposition universelle de 2025 au terme d'un processus de sélection parmi les différents candidats. Dans une motion qu'ils déposeront le 23 janvier au conseil municipal, les deux élus montréalais soulignent qu'Expo 67 a eu d'importantes retombées pour Montréal, de la construction du métro à l'aménagement de l'île Notre-Dame en passant par l'arrivée d'une équipe professionnelle de baseball. La Ville de Toronto a sérieusement envisagé une candidature en vue d'Expo 2025, mais a fini par renoncer l'automne dernier, en raison des risques financiers. « Chaque fois que Toronto a dit non à quelque chose d'important, ça a fonctionné à l'avantage de Montréal », a indiqué Marvin Rotrand, qui vient de prendre la tête du parti Coalition Montréal. Celui-ci rappelle que la métropole québécoise a obtenu Expo 67 après que la Ville Reine s'est montrée peu intéressée par la tenue de l'événement, que le Canada convoitait à l'époque. « Le reste fait partie de l'histoire », poursuit M. Rotrand. Et de deux? Il n'est pas rare que l'Exposition universelle soit présentée à plusieurs reprises par une même ville. Seule candidate pour l'heure en vue de 2025, Paris l'a déjà organisée six fois. Bruxelles (Belgique) l'a présentée à quatre reprises. Les villes de Londres (Royaume-Uni), Barcelone (Espagne) et Milan (Italie) l'ont organisée chacune deux fois. Les règles du Bureau international des expositions, qui gère l'événement, prévoient un délai d'au moins 15 ans entre deux présentations de l'Exposition dans un même pays. La dernière présentation de l'événement au Canada remonte à 1986, à Vancouver. Détail important, la candidature doit être présentée par un État - le Canada, donc, dans le cas de Montréal. Si elle décide de se lancer, la métropole québécoise devra ainsi convaincre rapidement le gouvernement Trudeau d'embarquer dans l'aventure. Si le délai pour présenter une candidature montréalaise devait être jugé trop serré, Marvin Rotrand et Justine McIntyre proposent d'envisager une candidature pour l'Expo spécialisée prévue en 2027 ou 2028.
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Lundi 12 mai 2014 | Mise en ligne à 10h25 «Célébrer l’Expo 67 en 2017, un devoir de mémoire» Belanger - Expo Lettre intéressante de Michel Dumas, professeur au département de communication sociale et publique de l’UQAM, et président de la Fondation Expo 67. Je la publie intégralement en vous invitant à y réagir. C’est avec le plus grand intérêt que j’ai lu la chronique de François Cardinal intitulée «375e: trop tard pour bien faire?» dans laquelle il dit craindre qu’on ne puisse laisser un legs significatif à Montréal en 2017 à l’occasion des fêtes du 375e anniversaire. Il croit, cependant, qu’il n’est pas trop tard pour le faire, «car il existe sur les planches à dessin un projet d’envergure porteur de sens»: la transformation des îles du Parc Jean-Drapeau pour rappeler leurs origines de 1967. Nous ne pouvons qu’être d’accord avec ce projet. On sait que le 50e anniversaire de l’Expo 67 coïncide avec le 375e de Montréal. Mettre en valeur l’héritage remarquable de l’Expo, c’est en même temps saluer l’un des plus grands évènements qui aient propulsé Montréal sur la scène internationale. La Fondation Expo 67 qui regroupe des amants de l’Expo souhaite que les pouvoirs publics acceptent, alors qu’il en est encore temps, ce projet de transformation du Parc Jean-Drapeau. Outre de favoriser des projets de développement, nous nous devons de célébrer le 50e de l’Expo, comme l’ont fait d’autres villes qui ont tenu une exposition universelle. En 2008, Bruxelles a rappelé l’exposition de 1958 par une série d’événements sous le thème «Bruxelles bonheur» et notamment par une exposition dans un Atomium ayant retrouvé tout son lustre. En 2012, un programme d’événements et d’expositions d’une durée de six mois appelé Next Fifty a rappelé l’exposition universelle de Seattle de 1962. En 2017, Montréal célèbrera-t-elle comme il se doit sa grande exposition? Nous avons déjà proposé qu’on développe comme legs spécifique un centre permanent d’interprétation de l’Expo ou, pourquoi pas, sur les îles, à la Biosphère par exemple. On pourrait aussi célébrer cet anniversaire par des évènements visant différents publics: faire revivre aux écoliers l’expérience de l’«édu-kit» menée alors avec succès par le service des relations publiques dans des milliers d’écoles au Canada et aux États-Unis, en 1967; rappeler l’expérience des «journées nationales» en célébrant avec chaque pays l’anniversaire de sa participation à l’Expo; organiser un ensemble de spectacles rappelant le célèbre Festival mondial qui fut un évènement culturel sans précédent. Quels que soient les projets retenus, Montréal doit célébrer l’Expo. Notre Fondation ne dispose pas de ressources pour financer ces projets, ne comptant que sur de modestes cotisations de ses membres, Amis de l’Expo. Toutefois, elle encourage fortement à le faire les pouvoirs publics, en leur assurant tout son appui. Nous devons accomplir notre devoir de mémoire et redonner aux Montréalais la fierté d’avoir tenu ce grand évènement. Il en est encore temps.
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Dans le cadre de l'éventuelle tenue de l'Exposition Universelle de 1897 à Montréal, un certain Mainville avait proposé ce projet (bien avant Drapeau, héhéhé!!!).
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EXPOSITION UNIVERSELLE DE SHANGHAI 2010 - MONTRÉAL DÉVOILE LA MAQUETTE DE SON LIEU D'EXPOSITION En prévision de l'Exposition universelle de Shanghai 2010, Montréal a dévoilé les principaux aspects de son lieu d'exposition intitulé Espace Montréal, un lieu unique qui offrira aux visiteurs une expérience des plus spectaculaires. L'Espace Montréal sera situé dans le secteur réservé aux meilleures pratiques urbaines, une zone rassemblant une cinquantaine de villes du monde. D'une superficie de près de 500 mètres carrés, l'Espace Montréal proposera aux visiteurs de découvrir le Complexe environnemental de Saint-Michel et ses innovations technologiques par l'entremise d'une projection multimédia sur une maquette évolutive qui les fera vivre virtuellement les grandes métamorphoses de ce quartier de Montréal. L'Exposition universelle de Shanghai se déroulera du 1er mai au 31 octobre 2010 sous le thème Meilleure ville, Meilleure vie. Plus de 200 pays et organisations internationales participeront à cet événement d'envergure. Pour la première fois dans l'histoire des Expositions universelles, les villes sont invitées à y participer.
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Sondage Un grand projet pour Montréal Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 18/02/2009 09h04 - Mise à jour 18/02/2009 12h19 http://www.canoe.com/infos/quebeccanada/archives/2009/02/20090218-090400.html Après avoir perdu le Grand Prix de Formule Un et passé l'année 2008 dans l'ombre du 400e de la ville de Québec, les Montréalais rêvent de grands projets. Deux Montréalais sur trois souhaitent voir la Ville de Montréal investir dans un projet touristique majeur qui pourrait remplacer le Grand Prix de F-1, selon un sondage Léger Marketing-Le Journal de Montréal. De plus, l'idée de poser la candidature de Montréal pour la tenue de l'exposition universelle de 2020, lancée par le candidat à la mairie Benoît Labonté, plaît à une grande majorité des personnes sondées. «Les Montréalais croient que leur ville est mûre pour de grands projets mobilisateurs», analyse le président de Léger Marketing, Jean-Marc Léger. Selon le sondeur, l'exemple donné par la Ville de Québec avec les festivités du 400e anniversaire donne envie aux Montréalais d'en faire autant. «Les Montréalais ont regardé et aimé ce qu'ils ont vu à Québec avec les festivités du 400e qui ont eu un grand succès. C'est certain que ça les motive à en vouloir autant pour la métropole», note-t-il. Labonté jubile Plutôt malmené dans la première partie du sondage qui ne lui accordait, plus tôt cette semaine, un maigre 4% dans les intentions de vote, le chef de Vision Montréal, Benoît Labonté, se réjouit de voir les Montréalais appuyer son projet d'exposition universelle. «Quand on traverse une crise comme celle-ci, il faut des projets rassembleurs. Et la candidature pour l'expo de 2020, ce n'est pas seulement un projet à long terme. Il faut déposer le projet pour 2011 et ensuite, c'est parti pour neuf ans de grands changements et de développement pour Montréal», explique le chef de l'opposition. Selon M. Labonté, Montréal a besoin d'un projet qui leur redonnerait de la fierté. «Regardez l'impact qu'a eu l'Expo 67 sur Montréal, pendant 20 ans. Que serait Montréal aujourd'hui si l'exposition universelle n'avait pas eu lieu?»
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Lundi 16 Juillet 2007 Au début du printemps les autorités municipales, avec roulement de tambour, avaient annoncé que le 40e anniversaire de l'Expo 67 sera dignement célébré. Que les fêtes seraient hautes en couleur, voire même inoubliables. Certes, les festivités vont bon train...mais les rares vestiges qui restent de l'exposition universelle de 1967 sont laissés dans un état lamentable. La Place des Nations représente un danger pour ceux qui osent s'y aventurer. Aux dires de plusieurs personnes qui se sont rendues sur l'île Ste-Hélène au cours des derniers jours, la passerelle menace même de s'écrouler. À l'été 67, cette place était le théâtre de manifestations populaires et culturelles lors des Journées nationales des pays participants. Liée par un réseau de passerelles, la Place des Nations pouvait accueillir plus de 7000 personnes. Ceux qui se rendent sur l'île pour se remémorer des souvenirs de l'Expo 67 vont avoir un pincement au cœur en marchant jusqu'à la Place des Nations. L'endroit est laissé à l'abandon." La végétation a même envahi le pourtour à un point qu'à plusieurs endroits, il est impossible de distinguer les structures de béton à leur base. De plus, la plaque commémorative de cuivre n'a jamais été remplacée depuis son vol" a constaté Robert Tremblay. Aux dires de M.Tremblay, les structures de bois sont pourries et les traverses métalliques qui supportent les escaliers de bois et les passerelles sont aussi rongées par la rouille. " J'ai avisé la Ville lundi dernier du danger que représentait une passerelle. Un responsable aux urgences m'a répondu qu'une équipe serait envoyée pour rendre les lieux sécuritaires et bloquer l'accès. Pourtant, j'y suis retourné jeudi et rien n'a été fait," déplore M.Tremblay qui a pris plusieurs photos de ces scènes de désolation. "Bruxelles, qui a accueilli l'exposition universelle de 1958, a injecté 25 millions d'euros pour rafraîchir les installations en vue des célébrations du 50e anniversaire. L'Atomium a été restauré au complet. Les travaux ont presque duré deux ans afin que tout soit prêt pour 2008 et le tout a été livré deux ans plus tôt," conclut M.Tremblay. La passerelle de la Place des Nations à l’île Ste-Hélène constitue un danger. (photo Collaboration spéciale, Robert Tremblay)
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La Presse Le jeudi 14 juin 2007 Le complexe Habitat 67 et une partie de l'île Sainte-Hélène pourraient bientôt figurer sur la liste des sites patrimoniaux de la métropole. Le Conseil du patrimoine de Montréal a tenu deux jours d'audiences publiques à ce sujet au début de la semaine. Plusieurs citoyens ont déposé des mémoires pour appuyer ou non la proposition. «La très grande majorité étaient favorables», affirme Louise Letocha, présidente du Conseil du patrimoine. À moins d'un revirement spectaculaire, Mme Letocha devrait donc recommander dès le mois d'août au comité exécutif de la Ville de citer l'île Sainte-Hélène et Habitat 67 comme sites patrimoniaux. Le complexe Habitat 67 a été construit par l'architecte de renommée internationale Moshe Safdie pour l'Exposition universelle de 1967. Les trois immeubles à structure asymétrique, qui abritent un total de 158 logements, seraient classés monuments historiques. Quant à l'île Sainte-Hélène, seule la partie située à l'ouest du pont Jacques-Cartier est visée. Le parc d'attractions de La Ronde serait exclu du périmètre patrimonial. Supervision accrue Si la Ville cite Habitat 67 et l'île Sainte-Hélène comme sites patrimoniaux, le développement de ces lieux serait plus étroitement supervisé. «Il y aurait aussi vigilance sur la conservation des bâtiments», explique Mme Letocha. «On attendait cela depuis longtemps! Je crois que la question qui se pose maintenant n'est pas de savoir si on doit protéger Habitat 67 et l'île Sainte-Hélène, mais comment on doit le faire», a commenté le président d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru. Cette question préoccupe également les occupants d'Habitat 67, qui craignent que la protection absolue de leur immeuble ne nuise à leurs projets de rénovation. «Il faudra tenir compte de l'évolution des technologies et de nos besoins», a dit la gestionnaire du complexe, Sylvie Perron. Quant à l'île Sainte-Hélène, certains citoyens aimeraient que le site de La Ronde soit inclus dans le périmètre patrimonial. «On a entendu toutes ces revendications et on travaille maintenant à la rédaction de notre rapport final», a déclaré Mme Letocha. Le complexe Habitat 67 a été construit par l'architecte de renomée internationale Moshe Safdie pour l'Exposition universelle de 1967. Les trois immeubles à structure asymétrique, qui abritent un total de 158 logements, seraient classés monuments historiques.
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