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  1. L’Ontario veut investir 17,5 milliards de dollars dans le transport en commun dans la région de Toronto : http://www.premier.gov.on.ca/news/Product.asp?ProductID=1383 La Colombie Britannique mets 14 milliards de dollars pour améliorer le transport collectif à Vancouver : http://www.canada.com/vancouversun/news/story.html?id=f3218ef4-c4fb-413f-bebb-cb8fea512570&k=47746 La ville de Montréal prépare un plan d’investissement en transport en commun beaucoup moins ambitieux (et concernant uniquement la ville de Montréal et non pas toute la région): http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4577,7757563&_dad=portal&_schema=PORTAL Et le gouvernement du Québec dit que ça ne l’intéresse pas! Maudit qu’on est cave au Québec!!!!!!!! :banghead:
  2. Ju HG

    Beer Gardens Montréal

    J'ai réalisé à quel point il nous manquait à Montréal, des terrasses urbaines permanentes où il fait bon boire un café ou une bonne bière. Il s'agit d'intégrer les parcs et les squares avec une activité urbaine, où on peut relaxer autour d'un verre et profiter d'un après-midi ensoleillé. Il s'agirait d'avoir davantage de terrasses urbaines comme celle dans le parc Émilie Gamelin (temporaire) avec un bar extérieur. Il s'agirait de profiter davantage de l'environnement urbain, et de l'ambiance d'une ville ouverte sur les autres. Ce type d'endroit rajouterait à l'unicité de la ville en plus d'offrir à ses habitants, des terrasses magnifiques qui incitent les gens non plus uniquement à courir les magasins en vitesse, mais bien à relaxer et prendre le temps de discuter, de pavoiser. Je vous présente donc l'idée des ''Beer Gardens'' de toute grandeur. Voici l'exemple de Berlin. https://www.google.ca/maps/uv?hl=fr&pb=!1s0x47a851ff1dec4b0f:0x7199f1fd1c97a3eb!2m5!2m2!1i80!2i80!3m1!2i100!3m1!7e1!4shttps://plus.google.com/109554869451721320911/photos?hl%3Dfr%26socfid%3Dweb:lu:kp:placepageimage%26socpid%3D1!5sBeergarden+berlin+-+Recherche+Google&sa=X&ved=0CJMBEKIqMAtqFQoTCInM4qH13cYCFcirHgodJnIISQ https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgrc=8p2ov3xrDWMqKM%3A https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgdii=8p2ov3xrDWMqKM%3A%3B8p2ov3xrDWMqKM%3A%3BhulKR5EtzWeR5M%3A&imgrc=8p2ov3xrDWMqKM%3A https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgrc=Z6181KQTOxCFeM%3A https://www.google.ca/search?q=biergarten+berlin&biw=1366&bih=643&source=lnms&tbm=isch&sa=X&sqi=2&ved=0CAcQ_AUoAmoVChMI4bLAsvXdxgIVybgeCh0Ujg4K&dpr=1#imgdii=Z6181KQTOxCFeM%3A%3BZ6181KQTOxCFeM%3A%3BgrhKayqo7CYPXM%3A&imgrc=Z6181KQTOxCFeM%3A
  3. Ca fait plus qu’un an que j’ai embarqué dans le monde de crypto-monnaie. Ayant manqué le bateau du Bitcoin en 2009 (conséquence d’être un parent) j’ai commencé le « minage » des centaines d’autres monnaies virtuelles. J’ai eu beaucoup de succès et je passe maintenant à une autre étape. Je suis devenu un « propriétaire minoritaire » du crypto-monnaie SYSCOIN. http://www.syscoin.org J’ai beaucoup de confiance en cette monnaie virtuelle mais le site est uniquement en anglais. Je n’ai malheureusement pas le temps de faire la traduction. Est-ce qu’il y’a quelqu’un qui serai intéressé à le faire? Je n’ai aucune idée combien ça coutera alors fait moi un prix. Je cherche à traduire le site (FAQ, Roadmap, etc..) mais pas la partie du forum naturellement. Envoie-moi un message si vous êtes intéressé. Merci à tous http://fr.wikipedia.org/wiki/Crypto-monnaie http://www.syscoin.org
  4. Parmi les choix suivants, lequels de la demi-douzaine de tours de quarante étages préférée et ce, en fonction de l'architecture uniquement. Oups, est-ce qu'un modé peut enlever ce topic, je l'ai envoyé avant de créer le sondage.
  5. Bonjour à tous... Comme annoncé précédemment, la Drink Culture TV, première web TV québécoise consacrée au vin et à la culture du vin à Montréal, organise un jeux-concours avec le festival POP MONTREAL. A gagner : des invitations pour le show de KARKWA ainsi que des rencontres d'artistes avec RADIO RADIO... Comment jouer ? Rien de plus simple. Rendez vous sur le site de la Drink Culture TV sous la rubrique ''Jeu Pop'' (http://drinkculture.tv/jeu-pop/), et inscrivez uniquement votre mail. Celui-ci sera utilisé pour un tirage au sort le 24 septembre. Je vous souhaite déjà bonne chance et vous dis à bientôt au Festival POP MONTREAL. Drink Culture TV http://www.drinkculture.tv
  6. Il y a deux semaines, je vous ai parlé de cette multitude de commerces montréalais qui engagent des unilingues anglais, sans que ça leur fasse un pli sur la bedaine de mépriser leur clientèle francophone. « Le français? We don’t give a shit! », semblent-ils nous dire. Et vous savez quoi, ce que je vous ai raconté, ce n’est que la pointe de l’iceberg, et je n’ai fait que soulever le début du commencement de l’amorce d’un débat. Vous êtes-vous promené récemment dans les rues de Montréal en portant attention à l’omniprésence de l’anglais? C’est à se demander si la loi 101 a déjà existé. Que les Second Cup, Edible arrangements, et autres pullulent à chaque coin de rue, on se console en se disant que ce sont des franchises de compagnies étrangères. Mais pourquoi accepte-t-on qu’une boutique/salon de thé qui a pignon sur rue avenue Mont-Royal s’appelle David’s tea? Pourquoi accepte-t-on que des commerces faisant affaire au Québec aient des sites internet uniquement en anglais (http://www.rageliquidenergy.com , http://www.restaurantmirchi.com ). Pourquoi accepte-t-on que des commerces aient des sites internet dans un français approximatif, comme http://www.ecomoto qui nous invite à faire une (sic) essai routier pour des motos qui sont 99% moins polluant que n'importe quel moteur conduit par essence (re-sic), ce qui nous permet d’oublier les stations de services (re-re-sic)? Et puis, est-ce que c’est une illusion d’optique où est-ce que je vois de plus en plus d’affiche en anglais de la même taille que leur équivalent français (ce qui contrevient clairement à la loi 101) ? Une de mes amies travaille pour une filiale québécoise d’une compagnie basée à Toronto. TOUS les logiciels sur son ordinateur sont en anglais uniquement. Quand je me suis étonnée devant elle que de telles pratiques ait lieu, son mari, qui travaille pour une grande institution financière QUÉBÉCOISE, m’a dit que c’était la même situation dans ses bureaux à lui! Je vous le demande : pourquoi accepte-t-on comme un état de fait de travailler dans une langue étrangère? Pourquoi se contenter du statu quo? Dans le même ordre d’idée, pourquoi accepte-t-on sans broncher que les ados parsèment leurs phrases de mots anglais pour lesquels il existe des mots français parfaitement acceptables ? Désolée mais je ne suis plus capable d’entendre des jeunes de 10 ou 13 ans qui fréquentent l’école en français et qui disent « c’est nice », ou « elle est ma best friend ». Après tout, si j’étais un anglophone vivant à Montréal, pourquoi est-ce que je me forcerais à parler français quand les francophones eux-mêmes sont incapables de maîtriser leur langue? Ce printemps, l’auteur de Starmania et Notre-Dame de-Paris, Luc Plamondon, a reçu la Médaille d'honneur de l'Assemblée nationale du Québec. Dans son discours d’acceptation, visiblement ému, il a livré un plaidoyer en faveur de la défense du français au Québec : « Les politiciens ont peur, un peu, maintenant, de parler des dangers [qui guettent] la langue française. Mais la langue française, ici, elle est en danger tous les jours, de plus en plus, et moi ça m’inquiète beaucoup. » Et pour parler de l’omniprésence de l’anglais au Québec, il a utilisé les mots «invasion » et «agression». Et comment a réagi l’éditorialiste-en-chef de La Presse André Pratte? En qualifiant les propos de Plamondon d’ « étonnants ». « Nous partageons le souci du célèbre auteur pour la vigueur du français au Québec. Cependant, le portrait qu'il dépeint de la situation est caricatural ». C’est drôle, mais moi, l’attitude La Presse dans ce dossier ne m’étonne pas du tout. Après tout, il s’agit bien du même journal qui a minimisé puis ridiculisé le scoop de Noe Murchison du Journal de Montréal, la formidable série I don’t speak French. En janvier 2008 elle a écrit une série d’articles inquiétant dans lesquels elle racontait qu’elle avait « pu trouver 15 emplois dans des commerces en parlant uniquement anglais ». En quelques semaines, en se faisant passer pour une unilingue anglophone elle « a été embauchée dans plusieurs commerces avec un CV juste en anglais ». Je voudrais bien qu’André Pratte sorte de son bureau et aille se promener dans son quartier, le Vieux-Montréal, où loge La Presse. Je lui conseillerais d’aller manger dans ce restaurant italien, à quelques coins de rues de son bureau, que je boycotte depuis plus d’un an. À ma dernière visite, l’hôtesse était une unilingue anglophone, fraîchement débarquée de Toronto. Mais ce que je vous dis, c’est sûrement « caricatural ». http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/icichroniques/sophiedurocher/archives/2009/08/20090826-122545.html
  7. J'ai pensé que ca pourrait être drôle de se partir ça entre nous, vous allez sur http://www.virtualstockexchange.com, vous vous inscrivez, ensuite vous allez sur "Join a game" et inscrivez:Mtlurb. Le mot de passe est "mtlurb00". Vous disposerez alors de 100,000$ pour acheter des actions virtuelles (à la bourse de New York, uniquement) et les faire fructifier. (vrai cote boursières en temps réel). Pour le zip code, mettez 5 chiffres.. Le jeu se terminera le 31 mai et on déclarera un vainqueur.
  8. Vendre 7,5% des actifs de la société d'État sous forme d'actions en permettant uniquement aux Québécois d'en acheter, comme le propose l'ADQ serait impossible, soutiennent des experts. Pour en lire plus...
  9. Mardi 7 Août 2007 Le nombre de nouveaux arrivants bilingues a considérablement augmenté au Canada au cours des 10 dernières années. Au Québec, les immigrants parlant les deux langues officielles sont d’ailleurs cinq fois plus nombreux qu’il y a 10 ans. C’est ce que révèle une étude de l’Association d’études canadiennes, fondée sur des données de Citoyenneté et Immigration Canada. Selon l’étude, le nombre d’immigrants bilingues est passé de 3013 en 1997 à 14 499 en 2006. Plus de francophones Cette hausse s’explique par le refus des autorités québécoises d’accueillir des immigrants qui ne parlent ni français ni anglais. La proportion d’immigrants parlant français est ainsi passée de 35,6 % il y a 10 ans à 57,7 % en 2006. Le taux d’immigrants ne parlant ni anglais ni français a également diminué au Québec, passant de 43 % en 1997 à 22,6 % en 2006. Ainsi, pour la première fois, le nombre de nouveaux arrivants qui connaissaient uniquement le français à leur arrivée au Québec était supérieur au nombre d’immigrants qui ne connaissaient aucune des deux langues officielles. Au Canada anglais Dans l’ensemble du Canada, 52,9 % des immigrants connaissaient l’anglais à leur arrivée au pays alors que 33,1 % ne parlaient aucune des deux langues officielles. L’an dernier, au Canada anglais, près des deux tiers des nouveaux arrivants connaissaient uniquement l’anglais.
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