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  1. http://journalmetro.com/opinions/coup-de-coeur-coup-de-gueule/960959/fort-mcmurray-le-trou-du-cul-du-monde/ 09/05/2016 Mise à jour : 9 mai 2016 | 11:57 «Fort McMurray, le trou du cul du monde» Par Jean-François Hotte Ancien étudiant de l’Université du Québec à Montréal en administration des affaires, voyageur, écrivain et amateur de photographie, Jean-François Hotte a publié ce billet sur son blogue personnel, à la suite des incendies de Fort McMurray. Vous pouvez suivre l’auteur ici: Page Facebook. *** Je m’excuse à l’avance, il est possible que la poussière ne soit pas encore retombée. Avant de lire ces quelques lignes, il faut mettre de coté la sensibilité et la compassion pour les gens qui ont perdu leur maison. Sans coeur, aussi immonde que ça puisse paraître, il faut faire abstraction de ces vies chamboulées. Il y a parfois des événements ironiques dans la vie. Des situations qui nous permettent de penser autrement, en perspective, à quelque chose de plus grand. Un court séjour chez Maurice J’ai déménagé à Fort McMurray en 2009. Comme plusieurs autres canadiens, je cherchais un moyen facile de faire de l’argent. Un salaire de 100 000$ par année, c’était attrayant pour un jeune de 19 ans tout juste gradué du Cégep. «Je vais placer de l’argent de côté, payer mes dettes d’études, et je reviendrai au Québec avec un gros char». C’est la même pensée qui traverse l’esprit de milliers de jeunes canadiens à chaque année. Il n’en fallait pas plus pour nous attirer! Mon ami et moi étions déjà en route pour le trou du cul du monde: Fort McMurray. Jamais auparavant j’avais vu autant de pick-ups! Que ce soit dans les rues, les entrées de maisons ou le stationnement du Walmart, il y en avait partout. À Fort McMurray, il y a plus de concessionnaires que d’organismes communautaires, de bibliothèques et d’écoles mis ensemble. On se le répétait: bientôt, nous allions être riches! Quelques nuits difficiles à dormir dans notre vieille caravan, le temps de trouver un emploi… et le tour est joué! Quelques jours plus tard, nous avions trouvé une chambre à louer chez une famille de Québécois. Le visage de Fort McMurray, c’était cette famille de la Beauce. Ils avaient déclaré faillite, ils étaient sans ressources et sans moyens. Pour eux, avec leurs deux adolescents, «Le Mac» c’était leur dernier espoir. Ces Beaucerons n’avaient aucune éducation, toute la famille était obèse, à chaque soir ils commandaient du poulet frit ou de la pizza. Les caisses de Coca-Cola et de Molson Canadian faisaient partie intégrante de la décoration. Bref, une famille colonisée, des truckers de Fort. Mc. Maurice nous demandait 1000$ pour une petite chambre avec deux lits simples. Un pied séparait les deux lits, on s’entendaient péter. Ça allait faire la job! Une maison fièrement acheté 500 000$ par les propriétaires, payé par les chambreurs, nous étions 8! Maurice nous l’avait bien dit: «Le Québec c’est de la marde, jamais j’aurais pu m’acheter une grosse cabane là-bas». Même après une faillite, c’est très facile de trouver un prêteur dans le Mac, surtout avec un revenu de 100 000$ pour chauffer un camion ou ramasser les ordures. Maurice allait faire fortune, il était en train de construire 4 nouvelles petites chambres au sous-sol pour les prochains arrivants, il planifiait s’acheter une deuxième maison. Maurice avait des rêves. Ça ne faisait même pas un mois que nous étions là qu’il augmenta notre loyer à 1200$ par mois. Si l’on refusait, nous devions quitter le lendemain matin. C’est ce qu’on a fait, salut mon cher Maurice! Une grosse Mustang flambette À Fort McMurray, il fait toujours gris, les gens boivent beaucoup d’alcool. Cette ville connaît un grave problème de prostitution, de jeu et de drogue. Pour la plupart, des gens peu éduqués qui veulent s’enrichir rapidement, c’est un mélange toxique pour n’importe quelle société. En investissant dans cette ville éloignée, le Canada participe au génocide intellectuel d’une nation. Comme au Far West, les hommes se promènent en pick-up neuf, le menton bien haut, c’est ça la vie. Il y a souvent des bagarres, les gens consomment beaucoup de drogue pour oublier l’ennui, beaucoup de drogue. Lorsque j’ai commencé à travailler comme agent de sécurité sur une mine, tout le monde avait un seul but: faire fortune sans études en se renseignant le moins possible sur le monde autour. La sélection naturelle renversée. Fort McMurray, c’est le paradis de l’individualisme et de la bêtise. Jean Chrétien nous l’a dit, c’est ça le plus meilleur pays au monde. Je me sentais comme dans un livre de Orwell, une société sans culture, sans personnalité, un objectif commun: dépenser son argent dans les bars, les voitures et sur les tables de Blackjack du Boomtown. C’est là-bas que j’ai rencontré Ashley, une trentenaire de l’Ontario venue habiter à Fort McMurray pour payer ses dettes exubérantes. Elle était là depuis seulement 4 mois, sa première décision fut d’emprunter 50 000$ pour s’acheter une Mustang de l’année. Flambette! Comment vas-tu payer tes dettes Ashley? «Pas grave, avec mon gros salaire, je vais finir par tout payer». Le trou du cul du monde Ces rencontres et constatations furent des événements catalyseurs pour moi. Quant à ma perception de l’économie et de la société canadienne. Je ne me suis jamais senti autant différent, autant Québécois. Dernièrement, j’ai entendu des politiciens dire à quel point nous devrions être fiers de Fort McMurray. Non, il y a aucune raison d’être fier de Fort McMurray. Il m’est arrivé souvent de penser que cet endroit allait exploser, être abandonné ou même brûler avec tout ce pétrole qui lui sortait par les oreilles. Non seulement, c’est une tragédie environnementale, mais c’est aussi un poison pour le progrès humain. Lorsqu’on investit dans le pétrole, on détruit des milliers d’âmes créatives. Au lieu d’étudier et participer au progrès, des milliers de jeunes vont mourir là-bas; pour quelques dollars additionnels. Le coût de renonciation pour le Canada est énorme. Ça prend de l’imagination et du cran pour faire autrement. Nous l’aurions peut-être notre grande innovation, notre grand succès commercial, notre voiture électrique, si ce n’était pas du pétrole. Nous l’aurions peut-être notre indépendance énergétique, notre belle utopie scandinave. Lorsqu’on fait le choix facile du pétrole, au nom de la productivité, au nom du développement économique, on enterre des futurs scientifiques, on intensifie notre déclin. L’ère des hydrocarbures est révolue au moment où nous devrions investir dans l’économie du 21e siècle. Après ce feu, pourquoi reconstruire? Pourquoi réinvestir des milliards de dollars à Fort McMurray. Selon plusieurs études dont celle du National Energy Board, les ressources pétrolières seront totalement épuisés en 2050 et le baril de pétrole restera sous la barre de 100$ jusqu’en 2040. C’est un pari trop risqué. Fort McMurray n’amène aucune innovation, aucun progrès social, aucune matière grise. Fort McMurray enrichie les concessionnaires et les compagnies de construction, tout cet argent est jeté à la poubelle. Ce feu remet les choses en perspectives. Je vais vous le dire franchement, Fort McMurray, c’est le trou du cul du monde. Reconstruire, pourquoi? Aussi cru que ça puisse paraître, je ne reconstruirais rien, je laisserais le courant naturel des choses faire son oeuvre, le feu de Fort McMurray, c’est l’opportunité de nous sortir des hydrocarbures. Pourquoi dépenser plusieurs milliards, encore, dans une industrie destinée à mourir? Pour stimuler la productivité et le PIB par la dette? Pour créer des emplois dans la construction? Pour épuiser une ressource de moins en moins rentable dans un endroit qui n’existera plus dans 40 ans? Dans un monde idéal ce serait le moment de recommencer sur de nouvelles bases, dans un monde meilleur il serait temps de relocaliser et former ces gens dans l’économie du 21e siècle. Ce feu est une grande ironie. Monsieur Trudeau, vous avez tout un défi devant vous. Faire le choix facile de l’économie du pétrole et perpétuer cette tradition toxique. Ou alors faire le choix du progrès humain. La balle est dans votre camp. —————————————————— Mis à jour Dimanche 8 Mai 19:05. Ne méprenez pas mes propos, je suis triste pour les gens éprouvés dans cette tragédie, mais je suis de ceux qui croit que ce malheur en cache un autre bien plus important.
  2. Petit immeuble qui vient boucher un petit trou sur le coin de la 25ème avenue et de Beaubien. C'est la preuve que petit bout de terrain devient attrayant pour un constructeur/promoteur. C'est don signe. http://www.campiz.ca/fr/LeBeaubien.php
  3. Je n'ai pas trouvé de fil existant, et ça semble quand même remplir un gros trou sur Ste-Catherine. La pancarte ne me semble pas récente par contre.
  4. Et voilà qui bouchera le dernier trou sur Parc ! Merci à MTLskyline sur SSP http://www.buzzbuzzhome.com/condo-parc-3470-parc
  5. Avenue B: Un 4 étages dans Parc-Extension. Un quartier qui en a grandement besoin. Encore une fois un 6 ou 8 étages aurait été préférable pour marquer sérieusement le désire de densification des quartiers populaires mais si c'est pour boucher un trou c'est bienvenue. Rue Champagneur coin Beaumont. http://www.mondev.ca/condo-montreal-avenue-b-20-condos-neuf-a-park-extension-terrasse-sur-le-toit-.html?ProjetID=113
  6. Situé sur la rue Montcalm au sud de Sherbrooke, ce projet profite de la proximité du Parc Lafontaine pour se donner un nom plus accrocheur. Il est petit, 8 unités, et j'imagine qu'il bouchera un trou, ce qui n'est pas rien. http://www.8parclafontaine.com/
  7. Bon, on va pas gagner des prix avec ça mais disons qu'il est difficile de juger si l'on a pas vue le coin. En espérant que cela bouche tout simplement un trou. 4 étages. http://www.conceptimperia.com/suez.html
  8. Quelqu'un sait si ce projet sur Saint-Laurent sera un jour finalisé. Est-ce qu'il y a des projets pour faire quelque chose du trou à féraille derrière? En passant, je suis nouveau sur ce forum et je suis enchanté de voir toutes les informations que vous partagez.
  9. projet sobre qui bouche un trou à l'échelle du quartier http://www.sturbain33.com/fr/
  10. Trou béant de la Tour de Russie, symbole de la crise 21 novembre 2008 - 11h27 Agence France-Presse La Tour de Russie, futur plus grand immeuble d'Europe, devait incarner à Moscou les succès économiques russes, mais avec l'annonce vendredi du gel du projet, le trou béant de ce chantier symbolisera désormais la crise financière dans le pays. La construction de ce mastodonte de 612 mètres et 118 étages, censé battre un nouveau record après la Tour de la Fédération dans le quartier de Moskva City, avait été lancée en grande pompe en septembre 2007 et devait être achevée en 2012. Mais comme pour d'autres projets encore dans leur phase initiale, le promoteur de ce bâtiment dessiné par l'architecte britannique Norman Foster a gelé les travaux, jetant un nouveau froid sur un marché habitué à tous les records et toutes les extravagances. «On ne peut pas réaliser de tels projets dans les conditions économiques actuelles (...) Les taux d'intérêts sont élevés et il n'y a pas de ressources en crédits», a expliqué dans un entretien à l'agence de presse Interfax le patron de Russian Land, Chalva Tchiguirinski, qui devait construire le gratte-ciel. Il a aussi annoncé des licenciements et la mise au placard d'un autre projet phare de la société, l'immeuble Kristall, aussi créé par Norman Foster, à Khanti-Mansiisk, région pétrolière de Sibérie. M. Tchiguirinski n'a donné aucun calendrier pour la reprise des travaux, tout en assurant que l'arrêt était temporaire. Signe que tout le secteur souffre de la crise financière mondiale et de la chute des cours du pétrole, principale ressource en devises du pays, l'une des grosses sociétés de construction de Moscou, a annoncé une campagne de «soldes de 25% pendant les fêtes de fin d'année» sur ses appartements. Ainsi, dans le «Dom na Begovoï», un immeuble neuf en bordure du centre de Moscou, le mètre carré passera de 4000 à 3000 euros, a indiqué Oleg Stourakov, du département des ventes de Donstroï. «Les autres années, on faisait à cette période des réductions de 10-12% mais cette année, ça n'intéresserait personne (...) Il est clair qu'en Russie, comme ailleurs dans le monde, il n'y a pas d'argent», explique-t-il. Au regard des difficultés sur le marché et malgré l'ampleur de la promotion, ce responsable n'ose cependant pas s'avancer sur le succès que rencontrera l'opération auprès du public. «Personne ne va faire des prévisions, avec le retournement de situation actuel, on se tromperait à tous les coups», note M. Stourakov. Un sondage publié jeudi par l'institut Vtsiom souligne d'ailleurs que le pourcentage de Russes s'attendant à une stabilisation ou une baisse des prix de l'immobilier est passé de 17% en octobre à 31% en novembre. Pour Barry Schumaker, expert du secteur immobilier à la banque Uralsib, l'annonce des remises chez Donstroï va être suivie par les autres sociétés du secteur durant les «six à neuf mois à venir», et ce qui devait être une promotion de Noël deviendra finalement la norme. «Toutes les sociétés qui ont un gros stock d'invendus vont devoir faire ça. Ca fait deux mois que rien ne se vend, et les compagnies ont désespérément besoin de liquidités», relève l'expert, qui prévoit aussi des «banqueroutes». Car les sociétés de construction, portées par les crédits faciles et un boom sans précédent dans l'immobilier durant les années 2000, se sont largement endettées pour profiter d'un marché en pleine expansion. «A un moment donné, elles seront mêmes prêtes à vendre à perte si leurs dettes commencent à vraiment les menacer», prévoit M. Schumaker. D'autant que les acheteurs potentiels soit «n'ont pas assez confiance en l'avenir pour acheter un bien immobilier maintenant» soit, compte tenu des conditions actuelles, «sont intelligents et attendent que les prix baissent.
  11. La construction de ce mastodonte de 612 mètres et 118 étages, censé battre un nouveau record après la Tour de la Fédération dans le quartier de Moskva City, devait être achevée en 2012. Pour en lire plus...
  12. Bien des retraités n’y ont vu que du feu, mais la crise du crédit a nui à leur régime de retraite depuis un an. Pour en lire plus...
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