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  1. Bell Helicopter coupe 500 emplois de façon temporaire En raison de la crise économique qui frappe actuellement, l'entreprise Bell Helicopter doit effectuer d'importantes compressions. Ainsi, 500 travailleurs de l'usine Mirabel se retrouvent sans emploi pour les trois prochains mois. Environ 2100 personnes travaillent à pour Bell Helicopter à Mirabel. Les compressions touchent essentiellement les ouvriers et les employés de bureau. Déjà, la semaine de travail d'autres employés des installations de Mirabel avait été réduite à quatre jours. Cette mesure est en application depuis trois semaines et devrait durer encore deux semaines, selon la télévision d'État. La semaine de travail d'autres employés de la même usine a déjà été réduite à quatre jours, depuis trois semaines, et pour encore deux semaines. Dans le contexte économique actuel, Bell Helicopter vend moins d'appareils, ce qui explique qu'elle veut diminuer sa capacité de production pour le moment. La semaine dernière, il était annoncé que Bell Helicopter Textron n'avait livré que 167 hélicoptères commerciaux en 2008, alors qu'elle en avait livré 181 en 2007, une diminution de 8%. (sources: TVA, La Presse Affaires, Radio-Canada)
  2. Voilà une bonne nouvelle. Ça devrait aussi rassurer les éternels inquiets qui ne peuvent dormir à cause du faible taux de fécondité et qui cherchent à jeter le blâme sur des gens qui n'ont rien à voir avec ça... ------------------------------- Projet de loi Québec financera la fécondation in vitro La Presse Canadienne Jocelyne Richer 22/04/2009 16h22 - Mise à jour 22/04/2009 17h35 Les femmes qui ont besoin de la technologie pour donner la vie recevront bientôt un coup de pouce financier de l'Etat pour mener à bien leur projet. Elles auront droit à trois essais gratuits, assumés par la Régie de l'assurance-maladie, alors qu'actuellement la facture peut grimper jusqu'à 45 000 $. Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, a déposé un projet de loi en ce sens, aujourd'hui, à la grande satisfaction des couples stériles, qui réclamaient depuis longtemps l'aide financière du gouvernement. Le projet de loi 26 vise en fait à encadrer tout le processus de procréation assistée. Dès qu'il sera adopté, les femmes qui veulent devenir enceintes auront donc droit à trois essais sans frais. Cependant, la question cruciale du nombre maximal d'embryons qui pourront être implantés à chaque reprise dans l'utérus de la femme reste à déterminer. Le nombre autorisé pourrait varier en fonction de l'âge de la femme et de la qualité des embryons. En point de presse, le ministre Bolduc a dit qu'il fallait faire en sorte d'éviter les grossesses multiples, très coûteuses pour l'Etat, et remettait à plus tard la décision à ce sujet. Mais une chose est sûre, «des huit, puis des sept embryons, il n'y en aura pas», a-t-il promis. «On ne vous cachera pas qu'on veut éviter des situations comme il y a eu aux Etats-Unis avec la naissance d'octuplés, alors que tout le monde trouve ça étrange qu'on ait implanté autant d'embryons en même temps», a fait valoir le ministre Bolduc. Québec vise à promouvoir en ce domaine «une pratique éthiquement acceptable et également une pratique de qualité». L'Association des couples infertiles du Québec s'est montrée très satisfaite du projet de loi, surtout qu'il prévoit le remboursement de trois essais, au lieu de deux comme le projet de loi précédent, qui avait été déposé en 2008. La présidente de l'association, Caroline Amireault, a fait valoir qu'elle souhaitait que Québec laisse conjointement au médecin traitant et à la femme la décision à prendre quant au nombre d'embryons à implanter. Elle veut surtout éviter que Québec fixe à un seul embryon le plafond autorisé pour chaque intervention, «parce qu'avec un seul embryon vous avez 15 pour cent de chances d'avoir une grossesse». «Il faut s'assurer que les couples infertiles ne seront pas pris en otages», en devant recommencer «indéfiniment», a-t-elle ajouté. Une grande victoire de l'association consiste à avoir réussi à convaincre le gouvernement de considérer l'infertilité comme une maladie. Malgré les pressions, le gouvernement avait toujours refusé dans le passé de céder sur ce point, à l'époque où le ministère de la Santé était dirigé par Philippe Couillard. Il disait aussi qu'enfanter n'étais pas un droit, mais un privilège. Environ 1700 traitements pour l'infertilité sont pratiqués chaque année au Québec, pour un coût unitaire variant entre 10 000 $ et 15 000 $. Il faut s'attendre à voir le nombre de demandes augmenter avec la gratuité du traitement. Le projet de loi prévoit aussi que toute activité de procréation assistée, sauf exception, devra être exercée dans un centre privé de procréation assistée, et que ce centre devra être dirigé par un médecin. Ces centres devront détenir un permis délivré par le ministère de la Santé et respecter les normes en vigueur.
  3. Nouveau projet Accès Condos Le Via3 rassemble trois types d’habitation en un projet résidentiel divers. On y retrouve des maisons de ville sur trois niveaux et des condos d’une ou de deux chambres à coucher sur un ou deux niveaux, de quoi répondre aux besoins de tout type de ménages. Ce projet mixte est réparti dans trois bâtiments distincts en bois-brique disposés de façon à créer, au centre, une cour intérieure toute en verdure, clairsemée par le feuillage d’arbres et de petits arbustes. C’est à la fois une superbe oasis de détente pour vos après-midis lecture et un espace sécuritaire dédié à une aire de jeux pour les plus petits. Outre la cour intérieure, le parc Lasalle, situé à seulement quelques coins de rue du Via3, offre une belle variété d’activités pour les personnes de tout âge. Ainsi, que vous aimiez pratiquer la natation, le baseball, le basketball, la planche à roulettes, le tennis ou même la pétanque, cet immense espace vert saura vous combler. Le quartier Lachine demeure avant tout familial et les alentours de l’ensemble résidentiel Le Via3 ne sont pas en reste. La charmante rue Provost est entre autres bordée par un bon nombre de restaurants, par des banques, des pharmacies, une boulangerie, une pâtisserie et une chocolaterie, tandis que les rues avoisinantes font place à des épiceries, un centre de la petite enfance, un centre de conditionnement physique, un aréna, une SAQ, ainsi que des services essentiels comme l’Hôpital de Lachine. SPÉCIFICATIONS** 42 unités réparties dans 3 bâtiments distincts. Bâtiment A : 11 unités de 3cc sur 3 niveaux. Bâtiment B : 7 unités de 3cc sur 3 niveaux. Bâtiment C : 1 studio sur 1 niveau, 1 unité de 1cc au rez-de-jardin, 8 unités de 1cc sur 2 niveaux, 7 unités de 2cc sur 1 niveau, 1 unité de 2cc sur 2 niveaux et 6 unités de 2cc+ sur 2 niveaux. Structure en bois, brique et béton. Insonorisation de qualité. Chauffage électrique, thermostats électroniques et climatisation de type bi-bloc (offerte en option). 37 places de stationnement intérieur (offertes en option) et 11 places de stationnement extérieur incluses dans le prix des maisons de ville du bâtiment B. Les unités du bâtiment C possèdent un espace de rangement désigné au niveau garage. http://www.accescondos.org/fr/projet-info/94/Projet-residentiel-Le-Via3/
  4. La STL modifie des circuits d'autobus par Catherine Berthiaume Voir tous les articles de Catherine Berthiaume Article mis en ligne le 17 août 2007 à 11:12 Soyez le premier à commenter cet article Trois circuits de la STL sont touchés dans les quartiers du Sud-Est de Laval. (Photo: Martin Alarie) La STL modifie des circuits d'autobus La Société des transports de Laval (STL) apporte dès le 25 août prochain des changements à cinq de ses circuits, en plus de réhabiliter un ancien circuit. Les modifications touchent sept quartiers de la ville, dont les utilisateurs du circuit 60, qui touche les quartiers de Chomedey, Laval-des-Rapides et Pont-Viau. Seul changement à son itinéraire, l'autobus effectuera un court détour afin de desservir la rue des Châteaux. Des consultations ont permis aux dirigeants de la STL de croire qu'il fallait réintroduire le circuit 60. «Ces améliorations toucheront quotidiennement quelque 6000 à 6500 utilisateurs du transport en commun à Laval», spécifie Marie-Céline Bourgault, directrice des communications et du marketing à la Société des transports de Laval (STL). 25, 48, go! Quand à la ligne 25, qui demeure complémentaire à la ligne 28, elle n'empruntera plus le boulevard Concorde, à l'ouest du Centre Duvernay, desservant plutôt les résidences des boulevards d'Auteuil et Lévesque. D'autre part, les rues de l'Empereur, des Ambassadeurs, des Généraux, des Gouverneurs et des Aristocrates sont maintenant reliées à la ligne 48. «Sur le tracé de la ligne 48, les gens avaient besoin de transport. Un service de taxi était utilisé jusqu'ici. La ligne est prolongée beaucoup plus loin dans ce quartier en développement», explique Alain Comtois, de la planification et développement à la STL. Les trois circuits repensés ont pour terminus la station de métro Cartier. Motivation «Ces révisions font suite aux analyses faites depuis la refonte entière des circuits suite à l'avènement du métro», affirme Alain Comtois, précisant qu'il s'agit de réajustements normaux. «Nous analysons l'achalandage des lignes et sommes à l'écoute des chauffeurs et de la clientèle. Nous procédons à des révisions trois fois par année. Souvent, il ne s'agit que de changements mineurs à être apportés aux horaires qui ne touchent pas l'itinéraire.» Les modifications apportées à compter du 25 août devraient être applicables jusqu'en décembre 2007. Autres arrêts Les autres lignes touchées sont la 45 (Laval-des-Rapides), la 66 (Chomedey et Sainte-Dorothée) et la 70 (Auteuil et le Parc Industriel Centre). Au total, 21 millions de déplacements sont effectués à la grandeur de l'île annuellement. 92 % des utilisateurs marchent moins de 500 mètres pour se rendre à un arrêt. Information: Service à la clientèle de la STL. 450 688-6520.
  5. Réaménagement de l'échangeur A-20/A-25/Rte-132 L’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 20, de l’autoroute 25 et de la route 132 à Longueuil constitue une véritable plaque tournante pour le réseau routier supérieur de la Rive-Sud de Montréal. En plus de donner accès au pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, cet échangeur assure la continuité de l’autoroute 20 le long du fleuve Saint-Laurent, dans l’axe de la route 132, jusqu’au pont Champlain. L’échangeur a été construit dans les années 60 et sa configuration géométrique présente certaines déficiences qui limitent aujourd’hui la capacité des autoroutes 20 et 25. L’achalandage est très élevé sur ces deux grands axes, soit plus de 100 000 véhicules par jour, sans compter les quelque 620 déplacements quotidiens d’autobus. De plus, trois structures qui font partie de cet échangeur ont atteint leur durée de vie utile et nécessitent une reconstruction complète. C’est aussi le cas de la chaussée de l’autoroute 20/route 132 à Longueuil, sur un tronçon compris entre le boulevard Roland Therrien et l’échangeur. Plus d'information: http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/gabarit_popup.asp?ID_MESSAGE=29539&ID_ARROND_COMM=40 et http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/monteregie_est/reame_echan_a20_a25_r132
  6. Projet de construction d’un immeuble de trois étages abritant du logement social sur un terrain situé au 4985, rue Buchan requérant l’adoption d’un règlement en vertu de l’article 89, paragraphe 4 de la Charte de la Ville de Montréal. Avis est donné que, lors de sa séance ordinaire tenue le 3 décembre 2012, le conseil d’arrondissement a demandé au conseil d’agglomération d’adopter un règlement en vertu de l’article 89, paragraphe 4 de la Charte de la Ville de Montréal (L.R.Q., c. C-11.4) autorisant la construction et l’occupation d’un immeuble résidentiel de trois étages destiné aux personnes ayant besoin d’aide ou d’hébergement, abritant également des activités communautaires. Ce type de règlement n’est pas susceptible d’approbation référendaire. Le projet de construction comporte les caractéristiques suivantes : • la démolition du bâtiment existant et son remplacement par un bâtiment de trois étages abritant environ 44 logements sociaux; • l’aménagement des espaces à des fins communautaires au sous-sol et au rez-de-chaussée; • aucune unité de stationnement n’est fournie.
  7. Dans LaPresse+ RENOUVEAU DANS LA PETITE-PATRIE DANIELLE BONNEAU LA PRESSE NOM DU PROJET Iberville 99 OÙ Rue des Carrières, au sud du boulevard Rosemont et à l’ouest de la rue d’Iberville, dans Rosemont – La Petite-Patrie. EN TOUT Le complexe, construit en une seule phase, compte 97 appartements en copropriété et un espace commercial au rez-de-chaussée de l’immeuble principal. De six étages à son plus haut, il a trois étages à son plus bas afin de s’harmoniser avec les bâtiments aux alentours et ne pas porter préjudice aux voisins. CONSTRUCTION Elle est très avancée. Les copropriétaires commenceront à emménager au début du mois de février. Environ 75 % des appartements sont vendus. APERÇU Actif dans le secteur depuis quelques années, le promoteur Dino Mazzone a reconnu le potentiel du terrain, occupé par une ancienne usine et un édifice commercial. À la suggestion de l’arrondissement de Rosemont – La Petite-Patrie, le projet a pris plus d’ampleur que prévu afin de se mettre au diapason de Bibliothèque et Archives nationales du Québec, de l’autre côté de la rue des Carrières. Pour relever le défi, le Groupe Mazzone s’est associé avec le Groupe Canam, un important fabricant de composantes métalliques, ainsi qu’avec Avicor Construction. Il a aussi fait appel à l’architecte Louis-Paul Lemieux et à son équipe de l’Atelier VAP. Autant l’édifice principal, en forme de U, que l’immeuble de trois niveaux hors sol comportant des maisonnettes, le long de l’avenue Louis-Hébert, sont en acier et en béton. Outre une cour intérieure, deux ruelles vertes seront aménagées. La circulation automobile pour accéder au garage intérieur sera circonscrite à un seul endroit. Les copropriétaires auront par ailleurs accès à une terrasse sur le toit. POUR QUI? Surtout de jeunes professionnels de 25 à 45 ans qui habitent déjà dans les environs et deviennent propriétaires pour la première fois. Le projet plaît aussi à des acheteurs d’un certain âge qui veulent demeurer dans le quartier après avoir vendu leur propriété. COMBIEN* (prix des appartements encore à vendre) À partir de 203 400 $, une chambre (668 pi2) À partir de 240 000 $, une chambre et un bureau (796 pi2) À partir de 263 000 $, deux chambres (847 pi2) 350 700 $, maisonnette sur deux niveaux, trois chambres (1370 pi2) Stationnement intérieur : 27 000 $ Rangement privé pour les vélos : 500 $ * Taxes en sus Les charges mensuelles de copropriété sont d’environ 13 cents le pied carré. DANS LE VOISINAGE Les commerces et restaurants de la rue Beaubien Est, du boulevard Rosemont et de la Promenade Masson. La piste multifonctionnelle des Carrières, qui rejoindra sous peu le Plateau, se trouve non loin. Les parcs Rosemont, du Pélican et Molson sont les plus proches. ON AIME Iberville 99 donne une nouvelle prestance à cette section de la rue des Carrières, qui borde un quartier résidentiel et se trouve à la limite d’un secteur en mutation abritant à la fois des commerces et des industries légères. ON AIME MOINS Mieux vaut prendre un autobus pour se rendre à la station de métro Rosemont. Elle se trouve à un peu plus de 20 minutes à pied. SITE WEB Iberville99.com
  8. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  9. http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201512/07/01-4928659-cinema-en-salle-le-centre-ville-perd-lequilibre.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B25_A-decouvrir_219_article_ECRAN1POS3 Publié le 07 décembre 2015 à 13h33 | Mis à jour à 13h33 Cinéma en salle: le centre-ville perd l'équilibre Marc-André Lussier La Presse En excluant l'Impérial, le Cinéma du Parc et la Cinémathèque québécoise, dont les vocations sont différentes, il ne reste que trois cinémas au centre-ville de Montréal. L'effet trou de beigne? En marchant rue Sainte-Catherine d'ouest en est, les cinéphiles plus mûrs se tapent forcément un bon coup de nostalgie. Il serait bien difficile de faire autrement. Ici remonte le souvenir d'une projection mémorable d'Apocalypse Now ou de Pink Floyd: The Wall au Cinéma York. Là, le plaisir d'avoir vu un film dans la grande salle du magnifique cinéma Loew's, ou mieux encore, dans sa fameuse salle 3, construite à même l'ancien balcon. Et puis, tous ces films de répertoire, plus ou moins «underground», découverts au Séville ou au Cinéma de Paris. Sans oublier, bien sûr, l'incontournable cinéma Le Parisien. Ce complexe, où ont été présentés tant de films français et internationaux, a aussi été investi tous les ans par des milliers de cinéphiles lors des meilleures années du Festival des films du monde. Au point où nombre des projections se déroulaient même dans un climat de chaise musicale. Des dizaines de spectateurs devaient en effet se résigner à regarder le film assis par terre tellement les salles étaient pleines... En 30 ans, le paysage a beaucoup changé. Au centre-ville, il ne reste que trois cinémas exploités par les grandes chaînes. Trois gros complexes multisalles. Une perte nette Dans l'Ouest, il y a le Cineplex Forum. Ses 22 écrans sont occupés par des productions hollywoodiennes en version originale et aussi quelques productions internationales, présentées avec des sous-titres anglais. Les 13 écrans du Cinéma Banque Scotia, à l'angle Sainte-Catherine et Metcalfe, sont exclusivement réservés aux productions hollywoodiennes en version originale. Vient ensuite le cinéma du Quartier latin (rue Émery). On propose dans les 17 salles de ce complexe francophone des productions hollywoodiennes en versions doublées, des films québécois et parfois des films internationaux, disons, plus «accessibles». En totalisant 52 écrans, ces 3 complexes sont bien entendu en mesure de proposer une offre substantielle. Pour les cinéphiles, il s'agit quand même d'une perte nette, surtout au chapitre de la diversité. Ces trois complexes sont exploités par la chaîne Cineplex Odeon, laquelle est en situation de monopole au centre-ville. L'autre grande chaîne de la région montréalaise, les Cinémas Guzzo, exploite quatre complexes ailleurs dans l'île (Marché central, Sphèretech, à Saint-Laurent, Lacordaire, dans le Nord-Est, et Des Sources, à Dollard-des-Ormeaux), et préfère visiblement installer ses Méga-Plex en banlieue. Comment en sommes-nous arrivés là? Dans son excellent ouvrage Les salles de cinéma au Québec, publié aux Éditions GID il y a cinq ans, le professeur de cinéma Pierre Pageau voit l'arrivée de la vidéocassette et des chaînes de télévision payante dans les années 80 comme un grand tournant. «Pour faire face à la situation, on procède à la création de grands complexes cinématographiques regroupant des multisalles», écrit-il. Déjà, au cours des années 70, plusieurs grandes salles à écran unique ont été fractionnées. On construit aussi au milieu des années 80 de nouveaux cinémas comportant quelques salles (Le Faubourg Sainte-Catherine, L'Égyptien, le Centre Eaton, Cineplex 9). Mais ceux-ci ne vivront qu'une quinzaine d'années. Une concentration d'activités Pour concurrencer les nouvelles formes de consommation à domicile, les chaînes répliqueront en se débarrassant de leurs plus petites salles à la fin des années 90 pour mieux concentrer leurs activités dans de nouveaux grands complexes multisalles. On veut du gros, on veut de l'écran géant, on veut du son. Très fort. Autrement dit, on met à l'affiche des superproductions spectaculaires, plus propices à inciter le spectateur - plutôt jeune - à se déplacer. Du coup, les oeuvres plus intimes, destinées à un public adulte, ont davantage de difficulté à se faire valoir. La fermeture récente des trois salles d'Excentris rend le cinéma d'auteur encore plus orphelin d'écrans au centre-ville. On voit mal comment le Quartier latin, seul cinéma à proposer du cinéma en français, pourrait absorber les productions un peu plus «pointues» que l'enceinte du boulevard Saint-Laurent affichait sur sa marquise. Il n'est pas dit que le Cinéma Beaubien, beaucoup moins central, soit en mesure d'offrir un refuge à tous ces films non plus. Le Cinéma du Parc peut de son côté s'appuyer sur une clientèle fidèle, mais propose une programmation visant plutôt un public anglophone ou bilingue. Absence d'équilibre Dans la plupart des métropoles du monde, on trouve habituellement au centre-ville un équilibre entre les grands complexes multisalles et des salles «à l'ancienne», à dimension plus humaine. Cet équilibre a malheureusement disparu à Montréal. L'évolution démographique de la région - et les difficultés causées par les entraves à la circulation - a en outre fait en sorte que de nombreux spectateurs préféreront de loin fréquenter les complexes de banlieue, particulièrement ceux qui résident dans la couronne nord ou la Rive-Sud. Et ils iront voir les films qu'on leur propose, les mêmes que partout ailleurs. D'évidence, la diversité de l'offre en souffre grandement. Voilà le grand problème auquel les distributeurs indépendants sont maintenant confrontés. Tant que le cinéma d'auteur aura besoin du prestige d'une sortie en salle pour se faire remarquer, il faudra bien un endroit de diffusion quelque part au centre-ville. Le tout nouveau Quartier des spectacles aurait dû être, en principe, un endroit propice pour la création de nouvelles salles de cinéma. Or, aucun projet en ce sens n'existe. Qui veut encore du centre-ville?
  10. 19/09/2016 : 19 septembre 2016 | 10:55 Les trois orchestres symphoniques reunis pour le 375e de Montreal | Metro <header id="page-header"> 19/09/2016 Mise à jour : 19 septembre 2016 | 10:55 Ajuster la taille du texte Les trois orchestres symphoniques réunis pour le 375e de Montréal Par Jessica Émond-Ferrat Métro </header> <figure> <figcaption> Denis-Carl Robidoux Le concert Montréal Symphonique se tiendra au pied du Mont-Royal le 19 août 2017 </figcaption> </figure> Dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal, l’Orchestre Symphonique de Montréal, l’Orchestre Métropolitain et l’Orchestre symphonique de McGill seront réunis sur une même scène pour le concert Montréal Symphonique, ont annoncé hier les organisateurs des festivités. Le chef d’orchestre Simon Leclerc (qui est à la barre des concerts de la série OSM Pop) dirigera les quelque 300 musiciens, chanteurs populaires et choristes qui feront partie du spectacle gratuit. Celui-ci se tiendra au pied du Mont-Royal, le 19 août 2017. Le concert sera composé de «chansons qui font écho à notre métropole», «sous le thème des saisons».
  11. Une nouvelle qui a passée sous le radar. Montréal dépensera 100 M $ pour un nouveau pont à l’île Bizard La Ville de Montréal consacrera 100 millions $ pour remplacer le pont Jacques-Bizard, de l’arrondissement de L’Île-Bizard-Sainte-Geneviève, qui date de 1966. L’adoption du règlement d’emprunt, mercredi, «permettra de rénover le pont actuel et d’en construire un nouveau pour éviter toute interruption du lien routier», a dit le responsable des infrastructures au comité exécutif de la Ville de Montréal, Lionel Perez, par communiqué. Le pont actuel compte trois voies de circulation, une voie cyclable et un trottoir et est emprunté par 30 000 véhicules par jour. Le nouveau pont aura quatre voies, pour permettra de réduire les périodes de congestion. Les travaux ne débuteront pas avant 2018, pour prendre fin en 2020. http://www.tvanouvelles.ca/2016/02/10/montreal-depensera-100-m--pour-un-nouveau-pont-a-lile-bizard
  12. Le 30 mars prochain la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM)organise une conférence sur les Grands projets pour la ville de Montréal. La conférence aura lieu au Palais des congrès et plusieurs conférenciers viendront faire une mise à jour de l'avancement de leurs projets. Le Maire de Montréal ouvrira le bal avec un mot d'introduction. Il y aura trois thèmes : 1- Cap sur les grands projets privés 2- Les grandes infrastructures de santé 3- Les grands projets institutionnels Trois conférenciers retiennent particulièrement mon attention. 1- Cameron Charlebois de la (SIC) Société immobilière du Canada viendra nous faire une mise au point sur le Silo no5 et les Bassins du nouveau Havre. 2- Maryse Bertrand de Radio-Canada nous expliquera où en est le projet de développement du site de Radio-Canada (d'après mes sources il y aura des développements très prochainement). 3- Salvatore Iacono, de Cadillac Fairview, nous parlera du projet de l'Ilot Windsor. Plusieurs autres conférenciers seront présent pour nous parler de leurs projets dans leurs domaines respectifs. J'espère que nous aurons alors de bonnes nouvelles, de grandes nouvelles car il y a déjà quelques mois que tout se beau monde semble dormir, en commencant par le Maire. Peut-etre, après tout, que ce beau monde ne dormait pas vraiment mais travaillait fort, nous le saurons la semaine prochaine. Dommage que le billet soit de $410 car j'aurais bien aimé y passer la journée. Voici le lien avec les infos de l'évènement ainsi que l'invitation, au cas ou : http://www.ccmm.qc.ca/fr/calendrier-forums_strategiques_GrandsProjets
  13. Ça doit être le prix trop élevé des vignettes, ou le parco trop cher, ou la trop faible place laissée aux automobiles dans l'aménagement des lieux. Blague à part, dommage qu'on ne parle plus aussi clairement d'unité résidentielle comme il y a quelques années. Ceux qui ont LP+ : d'autres petits textes sont publiés.
  14. http://journalmetro.com/actualites/montreal/917779/olympiades-dhiver-pour-le-375e-anniversaire-de-montreal/ 17/02/2016 Mise à jour : 17 février 2016 | 3:00 Olympiades d’hiver pour le 375e anniversaire de Montréal Par Laurence Houde-Roy Métro Eric Delbaere/Collaboration spéciale Les organisateurs souhaitent donner aux Montréalais l'envie d'aller jouer dehors. Concours de déneigement de voitures, de fabrication de bonshommes de neige, d’installation d’abris d’auto, de lancer de sapin et de glissade en bacs de recyclage : c’est notamment en pratiquant ces sports inusités que les Montréalais pourront célébrer le 375e anniversaire de Montréal en février prochain. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal annoncera aujourd’hui la création des Hivernales qui se tiendront durant deux semaines de février 2017, une sorte d’olympiades d’hiver évoquant les premiers carnavals d’hiver tenus à Montréal à la fin des années 1880. «Mais on n’aura rien à leur envier, affirme Gilbert Rozon, commissaire aux célébrations du 375e anniversaire de Montréal. On va créer l’atmosphère d’aujourd’hui avec les moyens d’aujourd’hui. Ceux qui ont connu les premières olympiades trouveront même qu’on a progressé.» M. Rozon espère, par ces activités d’hiver, ajouter un peu de magie à la métropole et donner envie aux Montréalais d’aller jouer dehors. «C’est peut-être simpliste, mais je trouve que l’éclairage de Noël, cela a toujours été magnifique, mais il y a en ce moment une tendance à lever le pied, d’en faire moins», regrette-t-il. Avec l’arrivée dans la métropole de festivals hivernaux comme Montréal en lumière et l’Igloofest, M. Rozon trouve qu’une «sorte de modernisme s’est installé». «On a identifié des places où on peut faire mieux», ajoute-t-il. Avec ces Hivernales, tous les Montréalais seront invités à s’inscrire à des activités sportives sous formes de compétitions amicales, comme une course à obstacles, du curling ludique, du vélo d’hiver et un tournoi de hockey en plein air. Les Hivernales s’allieront d’ailleurs aux 3 festivals hivernaux de Montréal pour la réalisation de ses activités, soit Montréal en lumière, Igloofest et la Fête des neiges. Plusieurs des activités ludiques des olympiades se dérouleront en partenariat avec ces festivals. Ces trois festivals ont d’ailleurs été invité à intégrer dans leur programmation les trois thèmes que les Hivernales mettront à l’honneur : la lumière, la bouffe et le fait de jouer dehors. «[Ces trois thèmes] seront mis à contribution de façon beaucoup plus exceptionnelle qu’à l’accoutumé», insiste Gilbert Rozon. Les Hivernales se dérouleront principalement dans les trois lieux où se tiennent ces festivals: le parc Jean-Drapeau, le Vieux-Montréal et le Quartier des spectacles (sur la Place des festivals et dans les rues du quartier). «On va soit s’intégrer ou se coller à ces festivals, on va créer des ponts tout en gardant chacun notre caractère distinct, explique Gilbert Rozon. L’idée, c’est de miser sur ce qui existe déjà, de l’amplifier. Idéalement, ça donne l’idée de répéter le tout chaque année par la suite.» «Une élite sportive de haut niveau» sera également invitée pendant le festival pour faire des démonstrations de leur sport. Lorsqu’on demande à Gilbert Rozon s’il compte organiser des événements aussi importants que lors du 350e anniversaire de Montréal en 1992, où il y avait eu des spectacles de 10h et une parade avec 15 000 figurants et 250 000 spectateurs, sa réponse est «oui». «On a regardé ce qu’ils avaient fait et ce qu’avait fait Québec pour son 400e anniversaire. On a essayé de prendre les bons coups de chacun et de les mettre à notre sauce et d’innover. Donc attendez-vous à quelques projets très spectaculaires», répond-t-il.
  15. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/859468/une-nouvelle-promenade-urbaine-proposee-pour-atwater/ 18/10/2015 Mise à jour : 18 octobre 2015 | 23:05 Une nouvelle promenade urbaine proposée pour Atwater Par Jeff Yates Métro Le projet prévoit la création d’une promenade urbaine partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Collaboration spéciale Une promenade urbaine donnant sur une grande esplanade, voilà une des idées mises de l’avant par la proposition de réaménagement du pôle Atwater retenue hier dans le cadre de l’incubateur urbain de l’arrondissement du Sud-Ouest. La proposition gagnante prévoit le retrait du terre-plein central ainsi que de deux voies de circulation sur l’avenue Atwater pour créer une promenade urbaine, partant de la station de métro Lionel-Groulx et donnant sur le marché Atwater. Selon Bryan Marchand, un des trois architectes de l’équipe qui a conçu la proposition gagnante, le flux de la circulation ne sera pas affecté, puisque l’avenue Atwater dispose présentement de trois voies de circulation de part et d’autre du terre-plein, mais le tunnel, lui, ne comporte que deux voies de circulation dans chaque direction. La promenade aboutirait sur une grande esplanade aménagée autour du marché Atwater, entre la rue Notre-Dame et le canal de Lachine, marquée avec un pavage distinctif. «L’idée rappelle la grande place des villes européennes du Moyen-Âge et de la Renaissance», soutient M. Marchand. Une patinoire sur le canal de Lachine est aussi proposée, accompagnée d’un chalet qui permettrait d’enfiler ses patins. «L’idée est lancée depuis longtemps, mais ça ne se fait pas. Pourtant, ça serait tellement simple à faire, juge M. Marchand. On a toutes les infrastructures nécessaires. Ce qui manque, c’est le chalet.» La sélection s’est faite au terme de trois jours de peaufinage des propositions des cinq équipes, rehaussée par la participation d’une centaine de citoyens venus donner leur avis à la caserne 23 dans Saint-Henri, et de quelque 500 personnes en ligne. Un jury a alors choisi la proposition retenue. Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, était visiblement satisfait de la démarche, entreprise de concert avec l’organisme MTL ville en mouvement. «Ce n’est pas facile de faire changer la recette, la façon de faire des travaux publics, a-t-il lancé en marge de l’annonce. On a voulu challenger nos équipes, et c’est pour ça que ça bouge.» Pour mener à bien le projet de réaménagement, le maire reconnaît que l’arrondissement devra coopérer avec la ville-centre, qui gère les artères principales comme l’avenue Atwater, et avec Parcs Canada, propriétaire du canal, mais il reste optimiste. «Je ne prévois pas de difficultés majeures, on travaille déjà avec eux», estime-t-il. Processus La proposition d’aménagement sera finalisée, et une version définitive sera présentée au printemps prochain, dans le cadre d’une «diffusion immersive» à la Société des arts technologiques. • La proposition sera ensuite intégrée dans un plan d’urbanisme soumis à la ville-centre. • Le maire de l’arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, promet que certains aspects de la proposition pourront être mis en place à «court et moyen terme».
  16. http://journalmetro.com/actualites/montreal/803754/du-pain-a-domicile-livre-a-cheval/ 05/07/2015 Mise à jour : 5 juillet 2015 | 22:28 Du pain livré à domicile… à cheval Par Mathias Marchal Métro Mathias Marchal/Métro L’initiative de la Run de pain dans le Sud-Ouest vise entre autres à promouvoir la réhabilitation du cheval en milieu urbain. L’arrondissement du Sud-Ouest offre (avec succès) la livraison du pain à cheval, histoire de souligner les 350 ans du cheval canadien. L’initiative du musée La Maison Saint-Gabriel sera répétée tous les samedi matin de l’été dans le quartier Pointe-Saint-Charles. Aux trois quarts de la première Run de pain, les deux tiers des 150 miches s’étaient envolées comme des petits pains. «Il y a encore 150 ans, on trouvait une petite écurie dans chaque ruelle de Montréal. Le cheval servait à tout: à livrer la glace, car il n’y avait pas encore de frigidaire, au livreur de lait, à l’aiguiseur de couteaux, pour l’agriculture et même le déneigement», explique Josée Lapointe, cochère et propriétaire des Écuries de Montréal. «Dans les grandes villes comme New York, Londres et Paris, où le ramassage du crottin n’était pas immédiat, les enfants pouvaient se faire quelques sous en balayant le chemin devant les dames souhaitant traverser la rue sans salir leur robe», renchérit Éric Michaud, animateur historique et boulanger estival. Le cheval besogneux a graduellement disparu avec l’arrivée de l’automobile, et la «run de pain» est devenue une relique à partir des années 1950. En France toutefois, 400 municipalités ont déjà entamé le retour du cheval en ville, que ce soit pour ramasser les poubelles ou pour remplacer les véhicules des employés municipaux dans les parcs. Au Mont-Saint-Michel, une des navettes qui relient les stationnements du site principal carbure au foin et aux carottes. Dans l’ouvrage Le cheval au service de la ville (Éditions Écosociété), un fonctionnaire de la ville de Trouville, Olivier Linot, raconte l’expérience menée depuis 14 ans par cette petite ville française, qui compte désormais cinq chevaux, afin de démystifier son côté folklorique. Depuis l’introduction du cheval en ville, la collecte du recyclage s’est multipliée, les cols bleus sentent leur travail valorisé, sans parler des bénéfices financiers et écologiques, explique-t-il. «Une maman m’a dit que la seule possibilité pour que son fils aille se coucher le soir, c’était de le menacer de le conduire à l’école en auto le lendemain [plutôt qu’en carriole]», illustre M. Linot. Mais Montréal hésite encore. Si le conseiller municipal rêve d’une grande écurie municipale à saveur éducative, qui viendrait aussi fournir les cols bleus en chevaux pour les épauler dans leurs travaux dans les grands parcs, il fait presque cavalier seul. «C’est vrai que ce serait intéressant, mais quand on y regarde de près, c’est plutôt complexe à concrétiser», indique Benoit Dorais, maire de l’arrondissement du Sud-Ouest. 62 000 Pour sauver le paddock du Horse Palace, une fondation a été mise en place. La campagne de sociofinancement qui a été lancée s’était fixé 45 000$ comme objectif. Ce sont finalement 62 000$ qui ont été récoltés. Ce dernier souligne néanmoins que la ville a contribué en 2013 au projet de sauvegarde du Horse Palace, l’une des trois écuries montréalaises, cerné par les nouveaux condos en construction. «On a racheté le terrain adjacent pour le zoner parc. Maintenant, quand on se promène sur la rue Ottawa, on voit d’ailleurs toujours au moins deux ou trois propriétaires de condos qui regardent de leur balcon les chevaux s’ébrouer», ajoute le maire de l’arrondissement. «Le cheval est à Montréal pour y rester», conclut-il.
  17. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/04/27/ottawa-transports-canada-vente-petits-ports_n_7152004.html Petits ports à vendre ou à donner RCQC | Par Radio-Canada.ca Publication: 27/04/2015 10:32 EDT Mis à jour: 27/04/2015 10:32 EDT QUAI PORT Ottawa lance un nouveau programme de transfert des installations portuaires. Transports Canada souhaite céder la propriété de 50 installations portuaires à des intérêts locaux. Les installations seront d'abord proposées aux autres ministères fédéraux, aux provinces et aux municipalités. Si aucune de ces parties n'est intéressée, les installations seront offertes aux communautés autochtones, aux entreprises privées, aux organismes non gouvernementaux, aux administrations portuaires et aux particuliers. La majorité des ports en processus de cession sont situés dans les trois régions de l'Est du Québec. Le programme se divise en trois étapes: la collaboration, la vente et la cession. Le processus de vente sera lancé au cours de l'été. INSTALLATIONS PORTUAIRES VISÉES Ports du Bas-Saint-Laurent visés par le programme de cession Gros-Cacouna Pointe-au-Père (digue) Rimouski Les Méchins Matane Ports de la Côte-Nord visés par le programme de cession Baie-Comeau Baie-Johan-Beetz Natashquan Kegaska Port de Harrington La Tabatière Romaine Saint-Augustin Tête-à-la-Baleine Vieux-Fort Blanc-Sablon Ports de la Gaspésie et des Îles visés par le programme de cession Cap-aux-Meules Carleton Chandler Paspébiac Miguasha Gaspé Mont-Louis Depuis 1996, le gouvernement canadien a cédé 499 ports, ce qui a entraîné des économies de plus de 470 millions de dollars pour les contribuables. Le budget fédéral pour la prochaine année s'établit à plus de 65 milliards de dollars. sent via Tapatalk
  18. Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency par Stéphane St-Amour Voir tous les articles de Stéphane St-Amour Article mis en ligne le 25 novembre 2007 à 6:00 Soyez le premier à commenter cet article Vue aérienne de la phase 1 du projet résidentiel Urbania occupant à l'angle Du Souvenir et Le Corbusier une superficie de 265 000 pieds carrés. Aux trois immeubles de 5 étages bordant Le Corbusier s'en ajouteront six autres, soit deux de 8, 10 et de 11 étages (Photo: Martin Alarie) Fichier: Urbania Urbania doublera la densité résidentielle Projet de condominiums avoisinant le métro Montmorency Groupe Le Versant Immobilier nourrit de grandes ambitions pour le développement domiciliaire avoisinant la station terminale Montmorency. Selon une demande de changement de zonage adressée à la Ville, le promoteur immobilier entend presque doubler la densité résidentielle qui avait été initialement projetée pour Urbania, alors que les unités d'habitation passeraient de 312 à 580. Inauguré en grandes pompes à l'automne 2003, le complexe de copropriétés prévoyait à l'origine un ensemble de 9 immeubles de 4 à 5 étages. Actuellement, trois immeubles de 5 étages bordent le boulevard Le Corbusier au sud de du Souvenir, le dernier immeuble de 40 unités ayant été mis en chantier il y a 18 mois. Tours de 11 étages D'après les plans déposés au comité exécutif, on construirait deux nouvelles tours d'habitation de 8 étages, deux tours de 10 étages et deux autres de 11 étages. Au total, ce sont 31 étages additionnels qui s'élèveraient dans le ciel d'un centre-ville en devenir. Ce projet d'implantation révisé n'est pas sans rappeler le changement de vocation auquel se destinait Urbania, il y a deux ans. On parlait à l'époque de la possibilité d'ériger trois tours de 11 et 12 étages destinées aux personnes âgées. Une perspective qui avait alors heurté quelques copropriétaires du bâtiment donnant à l'intersection des boulevards Le Corbusier et du Souvenir. Ceux-ci déploraient le fait que leur immeuble se trouverait plongé dans l'ombre d'une tour et que l'horizon prendrait soudain l'allure d'un mur bétonné à une distance d'à peine cent pieds de leur propriété. «Ce n'est pas l'environnement, ni la qualité de vie que proposait le concept original lorsque j'ai acheté», avait protesté l'un d'eux au Courrier Laval. Pour une toute autre raison, le projet ne s'est jamais concrétisé. Changement de zonage Revenons-en à la demande de modification de zonage qui était à l'ordre du jour, jeudi soir, de l'assemblée de consultation publique tenue à l'hôtel de ville. Si le zonage en vigueur autorise les habitations multifamiliales d'au moins 4 étages, et ce, sans limite de hauteur, «cette augmentation de la densité vient toutefois rendre le projet dérogatoire à certaines normes, dont les rapports des espaces libres, viables et récréatifs», précise le directeur du Service de l'urbanisme dans une récente communication adressée au comité exécutif. D'où la présente démarche pour rendre le projet conforme au zonage en matière de cases de stationnement et de superficie des dépôts à déchets. La Ville a beau se montrer favorable à l'idée de réduire le nombre minimal de cases requis à 1,25 case par logement, elle s'objecte, par contre, à la réduction de la superficie des dépôts à déchets. Densification L'administration Vaillancourt est clairement en faveur de la densification de ce secteur desservi par une station de métro, un important terminus d'autobus de même que par un ensemble d'activités commerciales et publiques. «Une telle augmentation de la densité répond, de façon avantageuse, aux objectifs des nouveaux concepts de planification urbaine du Transit Oriented Development (TOD) apparentés au nouvel urbanisme et au Smart Growth aux États-Unis et en Europe», soutient-on au Service de l'urbanisme. Ces concepts visent à densifier les développements autour des pôles de transport en commun, réduisant d'autant la dépendance des résidants à l'automobile. Lors de l'assemblée consultative, jeudi, le projet de règlement concernant certaines dispositions en matière d'implantation, de stationnement, d'aménagement des espaces extérieurs et de gestion des matières récupérables est passé comme une lettre à la poste.
  19. Suite au poste de UrbMtl ... Lemay a annoncé avoir complété l’acquisition de trois filiales québécoises du groupe torontois IBI, soit DAA, Cardinal Hardy Architectes et Martin Marcotte / Architectes. Lemay a également annoncé la formation d’une coentreprise avec le Groupe IBI en Chine. De plus, Lemay s’établit dans les Caraïbes avec cette transaction. Enfin, elle permet à Lemay de devenir un chef de file canadien en design intégré de l’environnement bâti. « Cette annonce incarne de manière exceptionnelle la poursuite de notre objectif de mieux servir à la fois les besoins grandissants de nos clients et ceux des communautés de demain », a déclaré Louis T. Lemay, président de Lemay. « Nous sommes convaincus que la grande complémentarité des entités que nous jumelons aujourd’hui et la qualité du talent, de l’expérience et des réalisations de notre équipe font du nouveau Lemay un joueur incontournable de l’industrie et, plus que jamais, un partenaire stratégique de calibre mondial. Cela constitue également une occasion unique de faire rayonner le talent inégalé et le savoir-faire des créateurs d’ici à l’échelle internationale et de créer de la richesse au Québec et au Canada », a poursuivi M. Lemay. Avec l’acquisition de ces trois entités et la création de la coentreprise chinoise, Lemay rassemble désormais près de 500 professionnels et renforce sa position de première société québécoise dans les services de conception intégrés et de quatrième en importance au Canada. À l’international, l’entreprise entre également au prestigieux palmarès des 100 plus importantes sociétés du domaine. http://www.portailconstructo.com/actualites/lemay_acquiert_daa_cardinal_hardy_architectes_martin_marcotte_architectes
  20. La firme de génie WSP Global (TSX:WSP), anciennement connue sous le nom de Genivar, double sa taille grâce à l'acquisition de la société américaine Parsons Brinckerhoff pour un montant de 1,24 milliard $US. La Caisse de dépôt et placement du Québec a joué un rôle dans la transaction, investissant 200 millions en capital-actions dans WSP Global. Selon le président et chef de la direction de l'entreprise québécoise, Pierre Shoiry, cette acquisition permettra à WSP Global d'accroître de façon importante sa présence aux États-Unis. Les rumeurs de cette acquisition circulaient depuis environ un mois dans les milieux d'affaires, mais M. Shoiry avait refusé de les commenter. Au cours des trois dernières années, la Caisse de dépôt et placement du Québec a investi environ 420 millions $ pour soutenir la croissance de WSP Global. L'organisme estime que l'investissement de 200 millions annoncé mercredi générera des rendements attrayants pour ses déposants. À la Bourse de Toronto, mercredi, le titre de WSP Global a clôturé à 36,95 $, en hausse de 19 cents. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/09/03/003-wsp-acquisition-parsons-brinckerhoff.shtml
  21. Conversion de résidences pour personnes âgées en condos situé sur Thimens. Il s'agit d'une première phase, il y a trois bâtiments donc probablement 3 phases. Prix à partir de 139900$. http://www.monacocondos.ca/ https://maps.google.ca/?ll=45.508532,-73.698364&spn=0.003305,0.008256&t=m&z=18&layer=c&cbll=45.508532,-73.698364&panoid=NYAae3vyQWhS63u3TZB84g&cbp=12,141.22,,0,-25.56
  22. Des concessions de la NFL et de la NBA seraient viables à Montréal Sports - Argent Écrit par Guy Madore Lundi, 04 janvier 2010 03:55 Mise à jour le Lundi, 04 janvier 2010 13:24 Montréal est l’une des villes nord-américaines les plus sous-représentées en équipes professionnelles et aurait « les reins assez solides » pour supporter de nouvelles concessions dans la MLS, la NBA, la NFL ou… le baseball majeur. Cinq ans après le départ des Expos, une récente étude réalisée par un groupe de publications économiques américaines – Bizjournals – révèle que l’agglomération montréalaise est l’un des marchés les plus propices pour le relocalisation d’une équipe ou l’expansion d’une ligue. Pour arriver à une telle conclusion, les auteurs n’ont cependant pas évalué la ferveur des amateurs pour un sport en particulier, la situation géographique, la disponibilité d’amphithéâtres, la volonté politique des divers paliers de gouvernement, l’intérêt de commanditaires potentiels ni les « préférences » des commissaires des circuits professionnels majeurs. Bizjournals a plutôt utilisé une valeur plus objective comme le revenu personnel total (RPT), soit la somme de l’argent gagné par tous les résidants d’une région donnée sur une période d’un an, pour statuer sur « l’attractivité » de divers marchés comme celui de la métropole québécoise. Des données de 2008 (Statistique Canada) montrent que le RPT de Montréal s’élève à 127,73 milliards de dollars (G$) – tous les montants sont en dollars américains. Capacité pour trois autres ligues En tenant compte des revenus des équipes et du prix moyen des billets, Bizjournals a pu déterminer le niveau de RPT nécessaire pour « supporter » une équipe de chaque ligue : Si l’on soustrait une somme de 37,3 G$ applicable à la présence du Canadien, Montréal disposerait encore d’un revenu personnel disponible (RPD) d’un peu plus de 90 G$. Assez pour ravoir une concession du baseball majeur. Ou pour accueillir une équipe d’expansion de trois ligues réunies (NFL, NBA et MLS). Il est bon de rappeler que cette analyse n’a pas considéré l’influence de deux autres formations de circuits « mineurs », en l’occurrence les Alouettes (LCF) et l’Impact (USL-1). Cette étude ne fera pas plaisir à ceux qui « plaident » pour le retour d’une équipe de la LNH à Québec. Le niveau du RPT (27,7 G$) de la Vieille Capitale ne serait pas suffisant pour « supporter » un club du circuit Bettman. D’un point de vue statistique, Québec ne pourrait accueillir que deux concessions… de la MLS. Baseball : marché saturé L’analyse de Bizjournals a porté sur 81 marchés aux États-Unis et au Canada qui disposent d’un RPT de plus de 25 G$ et sur Green Bay, au Wisconsin, le seul marché sous cette barre doté d’une équipe professionnelle majeure (Packers, NFL). Il en ressort que le baseball majeur ne pourrait pas élargir ses cadres à moins de s’établir dans le sud de la Californie (San Bernardino-Riverside), dans la région de New York (au New Jersey) ou à… Montréal. En contrepartie, c’est la MLS qui aurait l’embarras du choix pour implanter ses équipes d’expansion. Quarante-deux (42) marchés potentiels ont été identifiés, dont six au Canada : Calgary, Winnipeg, Hamilton, Ottawa, Montréal et Québec. Toronto a adhéré à la MLS en 2007 et Vancouver se joindra à cette ligue en 2011. Dix-huit (18) nouveaux marchés ont un RPT suffisant pour accueillir une concession de la NFL, dont Los Angeles qui est un choix logique. Parmi les villes « candidates », on retrouve trois autres agglomérations californiennes ainsi que Montréal, Rochester, Las Vegas et… Honolulu. Le Stade olympique a vibré au rythme des Alouettes, lors de la finale de l'Est le 22 novembre dernier. L'étude de Bizjournals laisse croire qu'il pourrait en faire autant, régulièrement, pour faire vivre une équipe de la NFL... ou du baseball majeur. Photo d'archives Rogerio Barbosa La NBA compte 17 marchés « inexploités », dont San Jose, Birmingham, Las Vegas et Montréal. Enfin, la LNH disposerait de 16 marchés potentiels, mais aucun situé au Canada. Las Vegas est encore en lice, tout comme Houston, Tulsa et Richmond. Pour consulter un tableau présentant les marchés « disponibles » dans chaque ligue, cliquez ici. Déficits de RPT L’étude de Bizjournals a aussi établi que plusieurs équipes évoluaient dans des villes ne possédant pas suffisamment de RPT. On en dénombre 17 dans la NFL, 13 dans le baseball majeur, 11 dans la NBA, neuf dans la LNH et seulement trois dans la MLS. Six marchés ont été identifiés comme ayant un déficit de RPT de plus de 45 G$ : Cleveland, Kansas City, Milwaukee, Phoenix, Pittsburgh et Tampa-Saint Petersburg.
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