Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'transport'.
-
griffintown Station Griffintown – Bernard-Landry - Discussion
un sujet a posté mtlurb dans Réseau express métropolitain
Station Griffintown – Bernard-Landry (Vue de la rue Dalhousie) https://rem.info/fr/stations/griffintown-bernard-landry Ouverture d'ici 2023 -
Port de Montréal Installations
- 248 réponses
-
- actualités
- bickerdyke
-
(et 6 en plus)
Étiqueté avec :
-
(Courtesy of CNW) Also at the start of the summer they should have 50 electric vehicles part of their fleet.
- 3 réponses
-
- accessibles
- classique
-
(et 9 en plus)
Étiqueté avec :
-
Projet de condominiums situé dans l'arrondissement de Ahuntsic-Cartierville, Montréal Localisation: 12206-12108 rue Lachapelle Ce projet comporte 8 unités de 1 et 2 chambres, dont 3 unités de 2 chambres avec mezzanine et terrasses privées au toit. Situé en plein cœur d’arrondissement Ahuntsic-Cartierville face a un parc, ce secteur vous offre une multitude de services tels que : piste cyclable, boutiques, restaurants, transport en commun, école, hôpital et autres. Réservez dès maintenant et profitez de nos prix de pré-construction incluant climatiseur mural ! Notez que ce projet se qualifie pour le programme de subventions de la Ville de Montréal. http://www.groupecalex.com/index.php?id=68&mod=projets&cat=encours&pId=111
- 1 réponse
-
- ahuntsic-cartierville
- autres
- (et 15 en plus)
-
L'industrie nord-américaine du transport ferroviaire est positionnée en vue d'une croissance à long terme, en dépit des difficultés financières qu'elle traverse, affirme RBC. Pour en lire plus...
- 1 réponse
-
- affirme
- croissance
- (et 14 en plus)
-
AMT: Ligne Mascouche Discussion sur la ligne Mascouche de l'Agence métropolitaine de transport.
- 576 réponses
-
- discussion
- lagence
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
CSX investira plus de 100 M$ à Valleyfield Après des années de négociations, l’américaine CSX Transportation, l’une des plus importantes sociétés de transport ferroviaire aux États-Unis, investira plus de 100 M$ dans l’implantation au Québec d’un nouveau terminal intermodal, a appris LesAffaires.com. L’annonce de cet investissement majeur aura lieu ce vendredi, à Salaberry-de-Valleyfield en Montérégie, en présence du ministre des Transports du Québec, Sylvain Gaudreault, et du président et chef de la direction de CSX, Michael J. Ward. L’investissement, qui varie selon les sources entre 100 M$ et 130 M$, permettrait de créer plus de 600 emplois à Valleyfield pendant la construction et quelque 350 emplois permanent une fois les travaux complétés. Une très bonne nouvelle pour cette ville d’un peu plus de 40 000 habitants, encore marquée par la fermeture de nombreuses activités manufacturières ces dernières années, dont celles de Gildan et du manufacturiers de pneus Good Year. Une fois complété, ce terminal est sensé permettre une liaison entre Montréal et tout l’est des États-Unis. Toute la partie entre Valleyfield et l’Ohio à l’ouest, ainsi que la Géorgie au sud, devrait en principe être reliée par une voie ferrée qui offrira des alternatives de transport nouvelles aux entreprises du Québec. Avec ce nouveau terminal de CSX, la grande région de Montréal disposerait d’un nouveau transporteur ferroviaire de marchandises, capable de la relier à des centres comme Cincinnati, Nashville, Atlanta, Birmingham, Baltimore, Chicago et Cleveland. Une alternative en quelque sorte, aux Canadien National (CN) et Canadian Pacific Railway (CP). Le gouvernement du Québec doit participer financièrement au projet. Le ministère des Transports du Québec, notamment, pourrait accorder plus de 6M$ pour le réaménagement d’au moins trois intersections qui croisent l’autoroute 530 et la démolition d’un pont. L'action de CSX Corp se négociait à 21,70$US peu avant la fermeture de la Bourse de New York aujourd'hui, en hausse de 0,91$US ou de 4,35%. Depuis un an, le titre de CSX a reculé de 1,88$US, ou de 8,29%. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport-et-produits-industriels/csx-investira-plus-de-100-m-a-valleyfield/553453
- 14 réponses
-
En partant des principes hautement utopiques que le CP et le CN deviennent des partenaires dans le transport de personnes ET que le gouvernement du Québec finisse par admettre le potentiel et l'urgence du développement du transport collectif structurant comme le moteur économique et social, voici une vision personnelle d'une expansion globale et intégrée du réseau montréalais qui - c'est en tout ce que j'ai visé - s'insère dans des paramètres qui relèvent du techniquement et technologiquement possible, du socialement souhaitable/envisageable et du économiquement relativement viable. Au final, je ne suis certainement pas un expert, mais je crois que c'est ce que la région métropolitaine mérite. Et encore davantage. Puis j'ai eu bien du plaisir à nommer les stations aussi! Plusieurs ont des référents géographiques clairs mais plusieurs sont des noms qui, je crois, auraient tout simplement du sens dans leurs quartiers et/ou devraient avoir leur place dans le panthéon des stations de métro. J'ai essayé de mettre le plus de noms de femmes aussi, puisqu'on en manque cruellement en ce moment dans la toponymie montréalaise. J'admet l'existence des trains de banlieue, biensûr, mais ils ne sont pas inclus dans le design des cartes que j'ai produit. On pourrait imaginer qu'un train de banlieue pourrait continuer à emprunter le corridor pour se rendre à St-Jérôme malgré un partage avec mon idée de ligne REM mauve, et ainsi de suite. De la même manière, je suis tout à fait d'accord avec l'idée de tramway, que je trouve complémentaire au métro, mais les lignes potentielles de tramway ne sont pas illustrées dans cette vision. Par contre, d'importants tronçons de la ligne REM Mauve seraient en mode tram. L'idée de la ligne bleue qui se divise en plusieurs branches permettrait à la ligne de se rendre au centre-ville sans transfert. Ça incorpore littéralement le trajet de la ligne rose aussi. Je crois que la possibilité d'avoir des branches diverses à un même tronc devrait être exploré davantage à Montréal, de même que de changer la technologie de certaines lignes (la jaune avant tout) pour permettre aux expansions de sortir de terre. J'ai tout de même mis, dans les plans globaux, l'option AVEC ligne rose et SANS ligne rose. Certains secteurs névralgiques du développement futur de Montréal méritent également une attention particulière, comme le secteur de Victoriatown, de Blue Bonnets, de Lachine-Est, de Royalmount et de la pointe de Longueuil. J'ai essayé d'intégrer et le présent, et l'avenir de la région dans cette vision. Bref, voilà, petite fantaisie du lundi soir. Enjoy! -MAP
- 3 réponses
-
- 7
-
- expansion
- lignebleue
-
(et 6 en plus)
Étiqueté avec :
-
Salut à tous, je me demandais s'il y'avais un équivalent d'Info Travaux de la ville de Montréal pour les travaux actuels et futurs du Ministère des Transports?
-
- autoroutes
- ministère
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
L’Ontario veut investir 17,5 milliards de dollars dans le transport en commun dans la région de Toronto : http://www.premier.gov.on.ca/news/Product.asp?ProductID=1383 La Colombie Britannique mets 14 milliards de dollars pour améliorer le transport collectif à Vancouver : http://www.canada.com/vancouversun/news/story.html?id=f3218ef4-c4fb-413f-bebb-cb8fea512570&k=47746 La ville de Montréal prépare un plan d’investissement en transport en commun beaucoup moins ambitieux (et concernant uniquement la ville de Montréal et non pas toute la région): http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=4577,7757563&_dad=portal&_schema=PORTAL Et le gouvernement du Québec dit que ça ne l’intéresse pas! Maudit qu’on est cave au Québec!!!!!!!! :banghead:
-
H2 technology turning pretty nifty
un sujet a posté Flo dans Urbanisme, architecture et technologies urbaines
Alstom is delivering Hydrogen-fuelled intercity Coradia trains to Lower Saxony. The locomotive and motor engine were manufactured in France whilst the Hydrogen cell was made in Germany. In terms of fuel supply, Hydrogen is generated by electrolysis and the energy used to power this reaction is tapped from wind power. Functionally-speaking, energy is generated by converting H2 gas to electricity using reverse electrolysis - an old technology discovered back in the 19th century. A single H2 fill-up drives the engine with an autonomy of 1,000 km plus the possibility of peaking up to 140 km/h. This is a direct alternative to diesel trains, the motor engine itself is electric, hence quiet, and overhead lines are history. H2 is stored in a highly pressurized state and withheld inside reservoirs bearing high tensile strength, still I ponder on the event of an accident given its extremely exothermic nature. Anyway, I often hear people arguing over job losses through delocalized assembly lines or trivial companies moving to Calgary or Toronto and always thought Montreal (besides France and Germany BTW, coz I deeply love these 2 cultures ) had all what it takes to unleash innovative industries that would disrupt traditional transport and energy markets (kind like the way Apple's smartphones relegated Nokia's mobile technology to oblivion). Quebec has top universities that lead research in the Physical Sciences, lots of natural resources and genuine reasons to curb climate change. One could imagine developing shuttles that use hydrogen cells to transit people from one bank of the Saint Laurent to another. La Rochelle already has one such gizmo and Marseille has been using a solar-powered equivalent to move people around the Vieux-Port. Une petite révolution dans le monde des transports Source: Radio France, 11/11/2017 -
Discussion portant sur l'Agence métropolitaine de transport.
- 407 réponses
-
- actualités
- amt
-
(et 8 en plus)
Étiqueté avec :
-
** Note aux modérateurs: je ne souhaite en aucun cas enfreindre les règles du forum, je partage un évènement que j'organise ici ** Bonjour à tous, Je participe depuis quelques années au forum, que je lis à tous les jours avec beaucoup de plaisir! Je fais partie du comité organisateur du concours d'idées Morphopolis, et nous organisons une édition en 2017 sous le thème du transport en commun à Montréal. Le thème explore toutes les facettes des lieux du transport, de l'échelle de l'objet à la planification générale des modèles de transport à Montréal. La fin des inscription est le vendredi 17 mars @ 23h00, et les prohets doivent être remis le 22 mars. Nous demandons 1 panneau format A2 (orientation portrait, 420mm x 594mm), sous la forme d'image et de croquis. Nous souhaitons surtout dégager des idées, des tendances en aménagement, ou encore des projets audacieux pour redorer l'image du transport en commun. *Tous les détails sont sur notre site morphopolis et sur notre Facebook (Morph.o.polis Montréal).* Nous avons cette année un jury très dynamque, composé de: - François Cardinal, rédacteur en chef de La Presse - Catherine Demers, Architecte Associée, Jodoin Lamarre Pratte Architectes Inc. (chargée de projet pour les projets à l'Aéroport Montréal-Trudeau) - Josée Bérubé, architecte, Provencher_Roy, présidente du CA de l'ARTM - Jonathan Cha, architecte paysagiste, urbanologue, phD en aménagement - Valérie Mahaut, professeure titulaire à l'Université de Montréal. Nous présentons également des conférences la semaine prochaines à la Faculté de l'Aménagement (2940 chemin de la Côte-Sainte-Catherine), amphithéâtre 3110: - Mardi 14 mars @ 18h00 : Zvi Leve, Rue Publique, "Les rues comme lieux de transit" - Jeudi 16 mars @ 18h00 : Maxime Frappier, ACDF* Architecture, "Architecture et Mouvement" Je sais que certains d'entre-vous avez participé l'année dernière et que certains projets ont été relayés ici. Je me permets de faire la promotion de mon évènement avec vous parce que je sais qu'il saura vous rejoindre en tant que passionnés de Montréal. Je serais très content de voir une équipe MTLURB, ou d'autres contributions à titre personnel! Il y a 2000$ à gagner en prix, dont 1 grand prix de 1000$. Vous pouvez me contacter en message privé, ou encore nous envoyer un courriel pour toute question ou inscription. Merci, et bonne chance aux futurs participants!! Simon Tremblay Responsable du jury Morphopolis 2017
- 6 réponses
-
- 18h00
- architecte
-
(et 14 en plus)
Étiqueté avec :
-
Les nouvelles du jour - La Presse+ NOUVEL OUTIL POUR SUIVRE LES AUTOBUS PLUS VITE QUE LA STM ELLE-MÊME JEAN-FRANÇOIS CODÈRE LA PRESSE La jeune entreprise montréalaise TransitApp lance aujourd’hui une mise à jour qui permettra aux usagers de la Société de transport de Montréal de voir en temps réel la position de certains autobus, un concept sur lequel travaille elle-même la STM depuis quatre ans. TransitApp est une application mobile offerte sur iOS et Android qui permet à ses utilisateurs de prévoir des trajets en transports en commun. Elle se décrit notamment comme « la plus importante application dédiée aux transports en commun aux États-Unis » et elle est fonctionnelle dans plus de 125 régions, de Chicoutimi à Nairobi. Avec sa nouvelle version lancée aujourd’hui, elle veut miser sur les « plusieurs dizaines de milliers d’utilisateurs quotidiens » qui lui font confiance à Montréal pour fournir des données que la STM peine toujours à récolter et rendre publiques. Environ 85 % des sociétés de transport dont Transit affiche les renseignements lui offrent des données en temps réel sur la position de leurs équipements. Ce n’est toutefois pas le cas de la STM, qui a pourtant signé il y a quatre ans une entente avec une firme allemande pour y parvenir. Le système en question, baptisé iBus, est présentement installé dans certains autobus, mais ses données ne sont pas encore partagées. Pour parvenir à ses fins, TransitApp mise donc plutôt sur ses propres utilisateurs. Concrètement, TransitApp a lancé en septembre dernier une nouvelle fonctionnalité baptisée « Go ». Quand elle est activée pour un trajet, celle-ci suit la position de l’utilisateur en tout temps et peut, par exemple, lui signifier que son arrêt approche. Mais dès sa conception, Go avait aussi pour objectif de donner une raison aux utilisateurs de TransitApp d’accorder à l’application le droit d’accéder à leurs coordonnées GPS. Trois mois plus tard, l’entreprise revient donc à la charge avec une autre nouveauté basée sur les données récoltées par Go. À compter d’aujourd’hui, la position de tous les autobus à bord duquel se trouve un utilisateur de Transit ayant activé le mode « Go » sera affichée en temps réel dans l’application. Selon Samuel Vermette, cofondateur et président de TransitApp, dans son état actuel, le mode Go est activé par au moins un utilisateur dans 5 % à 20 % des trajets d’autobus montréalais. La nouvelle mise à jour implante quelques nouveautés pour convaincre davantage d’utilisateurs d’activer Go et ainsi rendre la position de leur autobus accessible en temps réel. « Quand tu vas activer Go, on va te dire combien de personnes tu aides, explique M. Vermette. Même chose quand ton trajet est terminé, tu vas pouvoir savoir combien de personnes tu as aidées à avoir accès à des coordonnées en temps réel. Ça ajoute un effet d’altruisme et, on espère, un effet d’entraînement. » Ce service est aussi lancé aujourd’hui à Victoria, en Colombie-Britannique, où il n’y a pas non plus de service en temps réel « officiel ». Il sera éventuellement étendu à toutes les régions desservies par Transit. « La plupart des services en temps réel sont mis à jour chaque minute ou aux trois minutes, donc notre fonctionnalité basée sur les utilisateurs va améliorer la précision même dans ces marchés », indique M. Vermette. Transit a annoncé en septembre dernier qu’elle avait reçu un financement totalisant 2,4 millions US provenant de deux nouveaux investisseurs, les fonds américains Accel et Accomplice, et de ses premiers investisseurs Real Ventures et BDC Capital.
-
- aujourd’hui
- autobus
-
(et 13 en plus)
Étiqueté avec :
-
Denis Coderre ouvert à l'instauration de péages sur les autoroutes
un sujet a posté acpnc dans Discussions générales
Denis Coderre ouvert à l'instauration de péages sur les autoroutes <time datetime="2016-11-25T01:12:26Z" data-datetimelastpublished="2016-11-25T01:12:26Z">Publié le jeudi 24 novembre 2016 à 20 h 12</time> <figure class="bunker-component image-from-url-with-caption" data-component-name="ImageFromUrlWithCaption"> <figcaption> Des voitures avancent à pas de tortue sur une autoroute. Photo : iStock / iStock </figcaption> </figure> Alors que la Ville de Toronto plaide pour le péage, le maire de Montréal Denis Coderre ne ferme pas la porte à cette idée pour financer le transport collectif dans la métropole. Son homologue de Toronto, John Tory, a annoncé jeudi son intention de faire payer les automobilistes pour circuler sur deux autoroutes de la ville. Selon lui, c'est le seul moyen de financer l'amélioration des routes et du système de transport en commun. Le maire de Montréal dit avoir d'ailleurs discuté de cette question avec John Tory lors de leur mission économique en Israël et en Cisjordanie plus tôt ce mois-ci. Il affirme toujours être contre un péage pour le pont Champlain, mais il en va autrement lorsqu'il s'agit de financer le transport collectif. Il soutient que la Commission métropolitaine de Montréal (CMM) et la future Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) devront avoir une réflexion sur tous les moyens de financer le transport collectif. « Pourquoi j’étais contre le péage sur le pont Champlain? Parce qu’on voulait financer un pont, pas le transport collectif. Mais quand vous avez eu le pont de l’autoroute 30 ou de l’autoroute 25, ça les gens peuvent embarquer. Comme président de la CMM, je veux qu’on ait une réflexion à ce sujet. » Les tenants du transport collectif se réjouissent des propos du maire. « Le financement du transport collectif, c’est la clé pour offrir un service nettement amélioré dans la grande région métropolitaine. On en a besoin. Il faut avoir les moyens de ses ambitions. Toronto le prouve, il faut que Montréal fasse la même chose », affirme la porte-parole d'Alliance Transit, Coralie Deny. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1002105/denis-coderre-ouvert-instauration-peages-routes- 6 réponses
-
- autoroutes
- cmm
- (et 15 en plus)
-
Un projet de télécabine à Montréal
un sujet a posté Mondo_Grosso dans Lieux de culture, sport et divertissement
Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. » -
La firme montréalaise Groupe WSP Global (Tor., WSP) a annoncé mercredi l'acquisition de Mouchel Consulting pour approximativement 75 millions de livres sterling, soit 120,4 millions $ CAN. Mouchel Consulting compte environ 2000 employés, la plupart dans des bureaux répartis au Royaume-Uni et en Irlande, ainsi que dans quelques bureaux au Moyen-Orient. Mouchel Consulting est la division de services de génie-conseil de Mouchel Limited. Elle offre une gamme de services tout au long du cycle de vie de projets: élaboration de politiques, planification et conception, et suivi du rendement, principalement en transport, en environnement et en gestion de l'eau. La firme mène des activités au Royaume-Uni et au Moyen-Orient. WSP croit que l'acquisition de Mouchel Consulting renforcera sa présence dans le secteur des infrastructures publiques au Royaume-Uni, plus particulièrement pour ce qui est de la conception d'autoroutes, des systèmes de transport intelligents et des réseaux d'aqueduc réglementés, marchés où WSP cherchait à augmenter sa présence. WSP compte parmi les plus grandes firmes de services professionnels au monde. WSP acquiert Mouchel Consulting pour 120,4M$ | LesAffaires.com
-
http://cmm.qc.ca/donnees-et-territoire/observatoire-grand-montreal/produits-statistiques/ Immigration, transport, emploi, etc... Très intéressant.
- 3 réponses
-
Tiré de Portail Constructo Pour plus de détails, voir le site de la CCN Consultez le plan (PDF)
-
Nouveau terminus d’autobus au centre-ville
un sujet a posté eastender85 dans Projets oubliés et/ou en suspens
Une vaste aire de stationnement située entre les rues Saint-Antoine, Saint-Jacques, Mansfiled et les voies ferrées du CN, au centre-ville, sera transformée en terminus d’autobus temporaire. Les travaux d’aménagement du site de 5500 mètres carrés par l’Agence métropolitaine de transport (AMT), qui doivent coûter 2,7 M$ au ministère des Transports du Québec, ont débuté lundi et doivent être terminés en novembre. La création du terminus Mansfield a pour objectif de favoriser le transport collectif et d’alléger la congestion routière dans le contexte des grands chantiers routiers en cours dans la région de Montréal, comme ceux du pont Champlain et de l’échangeur Turcot. Ainsi, les chauffeurs de plusieurs lignes d’autobus à destination de la Rive-Sud et de la Montérégie prendront des passagers à six quais d’embarquement et attendront leur heure de départ à quatre postes de régulation. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985820/nouveau-terminus-dautobus-au-centre-ville/ -
What's the perfect size for a city? | Cities | The Guardian
un sujet a posté IluvMTL dans L'actualité
http://www.theguardian.com/cities/2015/apr/23/sane-way-run-megalopolis-urban-governance?utm_source=SFFB Protesters march through the streets of Ferguson in August. Aaron M Renn Thursday 23 April 2015 15.39 BST Last modified on Thursday 23 April 2015 16.57 BST The death of Michael Brown, shot by a police officer last year in Ferguson, Missouri, triggered civil unrest and protests that have yet to subside, with two police officers recently shot in the city. The media has blamed lots of things for the chaos that has engulfed Ferguson, from racism to inequality, but one factor might raise an eyebrow: municipal fragmentation in the St Louis area. There are 90 separate cities and towns in St Louis County alone, which has created a landscape of small, cash-strapped cities pulling on tiny tax bases to finance their governments. The US Justice Department has specifically accused Ferguson of using its police department as a revenue-raising arm, with a racial bias and as such it could be argued that municipal fragmentation played a role in creating the conditions that produced police-community tensions in Ferguson. A few year earlier, in 2010 and 800 miles to the north-east, Toronto elected the suburban politician Rob Ford from Etobicoke as mayor. Ford swept into office pledging to “stop the gravy train” and cut spending, cancelling bike infrastructure and streetcars. His sensibilities appalled urban Torontonians. The urban studies theorist Richard Florida called him “the worst and most anti-urban mayor in the history of any major city”. His mayoralty ultimately collapsed in a wave of scandals, including when he got caught on video smoking crack. People in living in cities and those in their suburbs often have different values, priorities and cultures One of the factors blamed for the Rob Ford phenomenon? Amalgamation, or the consolidation of the city of Toronto with several formerly independent municipalities, including Etobicoke. It is amalgamation that allowed suburbanites to take control of governance over the inner city by electing one of their own as mayor. Welcome to the wonderful world of governing urban regions, where between fragmentation and amalgamation no one actually knows what the right-sized box for local government is or how to change it – but everyone can see the problems of most of the existing governance models. An election on 7 April was seen as a critical step toward ending racially discriminatory practices that thrust the St. Louis suburb into the national spotlight last year. An election on 7 April was seen as a critical step toward ending racially discriminatory practices that thrust the St Louis suburb into the national spotlight last year. Photograph: Jim Young/Reuters Municipal fragmentation has been criticised for decades. In Cities Without Suburbs, his influential 1993 book, former Albuquerque mayor David Rusk argued that Rust Belt cities in the US failed to succeed in part because they were unable to expand, and found themselves hemmed in by a jigsaw puzzle of independent suburbs. Advertisement But with cities having become central to national governance in the 21st century, institutions like the Organisation for Economic Cooperation and Development (OECD) and the World Bank are weighing in, too. Both recently sounded the alarm about the risks of urban fragmentation on a global level, for the developed and the developing world. “Often, administrative boundaries between municipalities are based on centuries-old borders that do not correspond to contemporary patterns of human settlement and economic activity,” the OECD observed in a recent report. The thinktank argued that governance structures failed to reflect modern realities of metropolitan life into account. Behind the report’s dry prose lies a real problem. Fragmentation affects a whole range of things, including the economy. The OECD estimates that for regions of equal population, doubling the number of governments reduces productivity by 6%. It recommends reducing this effect with a regional coordinating body, which can also reduce sprawl, increase public transport satisfaction (by 14 percentage points, apparently) and improve air quality. The World Bank, meanwhile, is worried about the way rapid growth in developing cities has created fragmentation there, too. Metropolises often sprawl well beyond government boundaries: Jakarta, for example, has spread into three separate provinces. The World Bank calls fragmentation “a significant challenge in the East Asia region”. Urban fragmentation in Jakarta Urban fragmentation in Jakarta. The urban area covers 1,600 sq km and 12 jurisdictions. Photograph: World Bank/University of Wisconsin-Madison “It’s quite a surprise how much fragmentation there is,” says Judy Baker, one of the authors of the World Bank’s recent report titled East Asia’s Changing Urban Landscape. “It’s a challenge for almost every city.” Among the surprising findings of the report is that 135 of the nearly 350 urban regions they surveyed in East Asia had no dominant local jurisdiction. The glaring example here is of course the largest urban area in the world, the Pearl River Delta region in China, a megapolitan region that includes many major cities, including Hong Kong, Shenzhen, Guangzhou and others. In Manila in the Philippines, no less than 85 municipalities are involved in the megacity’s governance. Advertisement Planners love efficiency, but even on a piece of paper it can be hard to know what size box to draw. As the OECD put it: “Even if policymakers try to reorganise local governments according to functional relations within urban agglomerations, it is often difficult to identify boundaries between functionally integrated areas.” In plain English: nobody really knows where to draw the lines. And as the Toronto example shows, amalgamation – bringing fragmented government regions together – comes with downsides of its own. Of course, you can put people in the same governmental box, but that won’t necessarily create common ground – instead, it can create a zero-sum, winner-takes-all dynamic. People in living in cities and those in their suburbs often have different values, priorities and even a different culture. They can be, as was famously said of English and French Canada, “two solitudes”. Urbanites who support regional governance frequently assume that means more power, money and resources for the central city. But as Rob Ford so richly illustrated, that’s not always the case. Among those who stand to lose from regional government are minorities. In Ferguson, black residents were already under-represented in government relative to their population. But as a voting block they would find their strength heavily diluted in a merged government: Ferguson is more than two-thirds African-American, while St Louis County plus the city of St Louis together are about 70% white. Unsurprisingly, central cities tend to prefer regional revenue-sharing without giving up political control. Detroit, despite serious financial problems, has viciously fought sharing control over city assets, even where they serve a broader region. Detroit’s convention centre is a good example of the tensions that can arise: it took years to agree renovations to the building, as despite arguing the suburbs should help pay for the building they partly enjoy, the city did not want to cede any control over it. Part of the city’s bankruptcy “grand bargain” involved raising regional water rates to funnel money back into the city while retaining city ownership over a regional water utility. But simply creating revenue streams, via regional cash sharing or consolidation, doesn’t guarantee better governance, as Detroit proves. Putting people in the same governmental box doesn’t necessarily create common ground, as the example of Toronto shows. Putting people in the same governmental box doesn’t necessarily create common ground, as the example of Toronto shows. Photograph: Alamy Indianapolis is also an instructive case. The city established a consolidated regional government in 1970 called Unigov (which Rusk hailed as a model). Unigov expanded the city’s tax base by amalgamating most of its new, fast-growing suburbs into the city. But the urban region continued to sprawl, eventually going beyond even the newly consolidated boundaries. Today’s growth in Indianapolis is all happening outside Unigov’s borders, and the city now finds itself supporting ageing suburban areas – just like Ferguson in St Louis – that it can’t afford. Consolidated government arguably gave Indianapolis four decades of financial breathing room, but that simply let it put off reform. Similarly, the Port Authority of New York and New Jersey was originally a well-functioning regional governance body, but is now a quagmire of dysfunction. The soaring costs of Spanish architect Santiago Calatrava’s $4.2bn PATH subway station at the World Trade Centre – and a proposal to spend $10bn to replace a bus station – are examples of an agency that has lost its grip on fiscal reality. No perfect solution exists, some cities have got it more right than others If no perfect solution exists, some cities have got it more right than others. The Greater London Authority (GLA) – because of its limited scope mostly focused on transport, public safety and economic development – has focused on doing a few things well. Its focus on transportation is targeted at an area where regional coordination really is crucial. Clearly, transport has to be designed and implemented on a regional basis, at least for major infrastructure. New York’s Port Authority arguably went off the rails in the late 1960s when it expanded beyond transportation and got into the real estate business by building the World Trade Centre. So the best way to start charting a middle ground between fragmentation and amalgamation might be for cities to look for ways to better regionalise transport governance. It won’t be easy, not least because of the common fighting over territory, both geographical and bureaucratic. London’s success with the GLA, compared with how amalgamation set Toronto’s transport planning back a decade or more, shows that creating a regional entity is only half the battle. The real drive is to create regional agreement and consensus . As cities mushroom and fragmentation increases, that consensus is becoming more crucial – and harder to achieve – than ever. sent via Tapatalk- 3 réponses
-
- amalgamation
- box
-
(et 15 en plus)
Étiqueté avec :
-
29 novembre 2011 Communiqué Le futur Centre de transport Stinson de la STM La construction du Centre de transport Stinson a été annoncée hier. Situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent, en bordure des rues Stinson et Montpellier, ce bâtiment de deux étages, d'une superficie totale de plancher de 38 400 mètres carrés, abritera 300 bus, soit 200 réguliers et 100 articulés. Certains aménagements de base seront prévus de façon à accueillir éventuellement des véhicules électriques. La STM compte mettre tout en œuvre pour que ce nouveau bâtiment reçoive la certification LEED OR (Leadership in Energy and Environmental Design). Ce serait alors le premier centre de transport LEED OR au Canada. Intégration des principes de développement durable Pour obtenir la certification LEED, la STM doit non seulement minimiser les impacts du projet au niveau de l'environnement, mais également assurer une gestion efficace des ressources. Elle doit se préoccuper de la qualité de vie des résidents du secteur, par exemple, en contrôlant les eaux de surface, boues et poussières pendant le chantier. Les matériaux utilisés seront de provenance régionale dans la mesure du possible. La circulation des véhicules se fera majoritairement à l'intérieur du centre, ce qui va être moins incommodant pour les résidents. Des espaces verts et boisés seront aménagés sur le terrain pour contribuer à sa mise en valeur et à la réduction des îlots de chaleur. Un système permettra de récupérer une partie des eaux de lavage et de pluie. Le toit végétal couvrira une surface équivalant à un terrain et demi de football, soit environ 25 % de sa surface totale. Une attention particulière sera apportée à l'éclairage extérieur afin de limiter sa projection au site même. La performance énergétique sera optimisée de façon à récupérer près de 85 % de la chaleur lors des périodes froides. Ouverture à l'automne 2013
- 25 réponses
-
- centre
- certification
- (et 15 en plus)
-
Montréal hôte du congrès international 2017 de l'UITP
un sujet a posté Rotax dans Projets oubliés et/ou en suspens
http://www.amt.qc.ca/salle_de_presse/communiques.aspx?communiqueid=225 -
Voir le transport à Montréal autrement
un sujet a posté ScarletCoral dans Projets oubliés et/ou en suspens
Prével a partagé sur son blogue ce sur le transport dans la ville de New York. Je ne sais pas si ça a déjà été partagé... mais WOW... ce qu'on peut faire avec un peu de volonté et ... un peu de peinture... Peut-on envisager la même chose à Montréal? -
La caisse de depot prend une part de 30% dans Bombardier Transport pour 1.5 milliard de $. Bonne nouvelle ca va permettre a Bombardier de retablir son Cash Flow. http://www.cdpq.com/fr/nouvelles-medias/communiques/bombardier-et-caisse-concluent-une-entente-definitive-caisse-acquiert
-
- 30%
- bombardier
- (et 12 en plus)