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  1. Vacances de neige : la France fait le plein, Laponie et Québec assurent l'essentiel... Le réflexe internet aux USA diminue la rentabilité. La montagne française est un must mondialement reconnu et le ski alpin, à nul autre pareil. Dans les stations, les formules de résidences hôtelières et locatives avec ou sans service sont légion. Hors de nos frontières deux destinations se démarquent pour leurs grands espaces enneigés, la qualité de l'accueil et les traditions de leurs populations : la Laponie Finlandaise et le Québec. La France occupe la 2e place mondiale pour les sports d'hiver. Montréal et Québec en liaisons directes: Programmés en exclusivité dans la région de Ivalo les deux « Bennett Arctic Clubs » sont les bestseller de Vacances Transat dans cette région du monde. Le TO y propose une véritable immersion en Laponie, en donnant aux visiteurs le sentiment de s'approcher au plus près de la culture et des traditions d'un village lapon. Un programme d'activités hivernales incluses et guidées en français sont organisées avec le prêt d'un équipement contre le froid durant la totalité du séjour. Vacances Transat est aussi et surtout le spécialiste du Canada sur le marché français. Avec sa compagnie Air Transat il assure une liaison quotidienne sur Montréal et une liaison hebdomadaire, le lundi, sur Québec au départ de CDG Roissy. A l'instar de l'aventure dynamique proposée par des raids à moto-neige qui rencontrent un vrai succès, le TO propose au Québec une programmation très diversifiée et fournie, avec des belles adresses aux multiples activités. Néanmoins à quelques exceptions près, tels les raids à moto-neige, les produits forfaits restent étales d'une année sur l'autre. "Nous vendons de plus en plus de vols secs. Les leviers de croissance sont compliqués à trouver. Sur l'Amérique du Nord le consommateur a développé le réflexe internet qui donne un accès simple aux bases de données des hôtels", observe Philippe Rouas, directeur commercial de Vacances Transat. http://www.tourmag.com/Vacances-de-neige-la-France-fait-le-plein-Laponie-et-Quebec-assurent-l-essentiel_a50015.html
  2. Pour promouvoir son offre de vols à destination du Québec pour cet hiver, la compagnie aérienne Air Transat s’invite dans 239 salles de cinéma à Paris du 2 novembre au 13 décembre 2011, en diffusant un spot publicitaire de 20 secondes vantant cette région, réalisé en collaboration avec la Commission canadienne du tourisme et le Ministère du tourisme du Québec. http://www.air-journal.fr/2011-11-04-air-transat-fait-sa-promo-dans-les-cinemas-538790.html
  3. PROPOSITION : HANGAR D'ENTRETIEN - AIR TRANSAT Montréal , Qc CLIENT : ADM - AIR TRANSAT COÛT : 18 000 000 $ SUPERFICIE : 160 000 PI2 Proposition pour la réalisation d’un nouveau hangar d’entretien d’aéronefs à l’aéroport Pierre Elliott Trudeau à Montréal. Description : un secteur administratif, un magasin des pièces et un hangard d’entretien. http://leclerc-architectes.com/projets_realises/transport/proposition_air_transat/
  4. Le voyagiste Transat A.T. annonce qu'il annule tous ses vols canadiens vers le Mexique jusqu'au 19 juin prochain. Les clients de Vacances Transat, Nolitours et Air Transat sont invités à changer leur destination. Pour en lire plus...
  5. Le voyagiste rationalise ses activités Transat supprime 53 emplois administratifs 21 avril 2009 - 17h38 LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- Transat A.T. (TRZ.B) supprime 53 emplois administratifs à Montréal, Toronto et Vancouver pour améliorer l'intégration de ses activités, a indiqué mardi le voyagiste. Plus de détails suivront.
  6. Le voyagiste suspend le versement de son dividende trimestriel après avoir enregistré des pertes de près de 30 millions de dollars au cours de son dernier trimestre. Pour en lire plus...
  7. Quarante emplois s'envolent chez Air Transat 22 janvier 2009 - 06h39 La Presse Marie Tison Une quarantaine de postes administratifs disparaissent chez Air Transat (TRZ.B) à Montréal, mais le groupe soutient que cette initiative n'a rien à voir avec le ralentissement économique. «Les activités vont à plein régime, a affirmé le porte-parole de Transat, Jean-Michel Laberge, en entretien téléphonique avec La Presse Affaires. Les ventes étaient en avance en décembre dernier, c'est encore le cas actuellement.» Il a expliqué que l'élimination de ces postes faisait suite à une révision de la structure organisationnelle de l'entreprise. Il s'agit, essentiellement, de rendre Transat plus concurrentielle. «Ça ne touche pas des postes d'agents de bord, de pilotes ou du personnel d'entretien, a indiqué M. Laberge. On parle d'emplois de soutien, d'emplois de bureau.» Il a également souligné que 10 des 40 postes abolis étaient déjà vacants. «Il faut mettre les choses en perspective, a-t-il ajouté. Air Transat compte plus de 2000 employés au Canada, alors que l'ensemble de Transat en compte environ 5000. En tout, Transat emploie 6500 personnes dans le monde.» Optimisme Lors de la divulgation de ses résultats annuels en décembre dernier, la direction de Transat s'était montrée optimiste vis-à-vis la récession. Le président et chef de la direction, Jean-Marc Eustache, avait affirmé que les clients pourraient réduire les dépenses liées au voyage et choisir des forfaits moins coûteux, mais qu'ils continueraient à voyager quand même. C'est ainsi que les réservations pour la saison d'hiver étaient supérieures à ce qu'elles étaient l'année précédente à pareille date. L'action de catégorie B de Transat a perdu 49 cents pour clôturer à 9,45 dollars hier à la Bourse de Toronto. Il s'agit d'une baisse de près de 5%.
  8. Le voyagiste montréalais Transat AT ne devrait pas souffrir indûment des nouveaux concurrents qui se profilent dans les liaisons transatlantiques Pour en lire plus...
  9. En raison de la restructuration du PCAA qui pourrait encore tarder, le voyagiste a conclu avec le Fonds de solidarité de la FTQ un financement spécial de 60 M$. Pour en lire plus...
  10. Transat prévoit survoler la récession 18 décembre 2008 - 06h00 La Presse Marie Tison Jean-Marc Eustache Jean-Marc Eustache s'attend à ce que Transat (TRZ.B) traverse sans trop de mal la zone de turbulences économiques actuelle. «Aujourd'hui, je suis serein, je ne vois rien à l'horizon, même si on me dit qu'il est très sombre, je ne vois rien qui me rende extrêmement inquiet», a déclaré le président et chef de la direction de Transat au cours d'une téléconférence hier, à l'occasion de la divulgation des résultats du quatrième trimestre. Les revenus de Transat ont augmenté de 16,2% au quatrième trimestre par rapport à la même période de l'exercice précédent et le bénéfice lié à l'exploitation a grimpé de 80% pour atteindre 15,9 millions de dollars. M. Eustache a affirmé que les réservations pour la saison d'hiver étaient supérieures à ce qu'elles étaient l'année dernière à pareille date. Click here to find out more! Il a ajouté qu'il avait vécu plusieurs périodes de récession et qu'il était également passé au travers les attentats de 1995 en France, les attentats terroristes du 11 septembre 2001 et de la crise du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) au Canada. «Notre entreprise a toujours continué à se développer, a-t-il affirmé. Mon expérience de récession me dit que ça ne devrait pas se passer trop mal.» Il a expliqué que beaucoup de clients de Transat étaient des fonctionnaires, des policiers, du personnel infirmier, des gens qui continuaient à travailler. «Ils sont habitués à voyager assez régulièrement et je pense qu'ils vont continuer à voyager, a-t-il avancé. Peut-être vont-ils diminuer les dépenses dans les biens durables, mais le voyage, ça fait un peu partie des moeurs.» Selon lui, les clients pourraient réduire les dépenses liées au voyage et choisir des forfaits Trois étoiles plutôt que des forfaits Quatre étoiles, mais continuer à voyager quand même. Il s'agira alors d'adapter l'offre aux besoins des clients. «Nous avons un avantage dans notre pays, nous avons un hiver froid, a ajouté le grand patron de Transat. Rendus en février, même les plus durs, qui ont résisté à l'hiver, finissent par craquer et aller dans le sud.» Transat entend quand même faire preuve de prudence. Ainsi, le voyagiste n'entend pas procéder à des acquisitions dans un proche avenir. «S'il y a des acquisitions fantastiques à faire, nous allons regarder, mais je ne pense pas que ce soit le temps de faire des acquisitions», a déclaré M. Eustache. Transat attendra également un peu avant de bâtir un nouvel hôtel sur un terrain acheté à Punta Cana. L'entreprise mettra plutôt l'accent sur l'amélioration de sa rentabilité. Même si les ventes sont prometteuses, l'entreprise s'attend à ce que les marges de 2009 soient inférieures à celles de 2008 en raison de l'affaiblissement de l'économie canadienne et de la concurrence accrue vers le Mexique et les Caraïbes. En 2008, les revenus de Transat ont augmenté de 15% pour atteindre 3,5 milliards. Le bénéfice lié à l'exploitation a glissé de 18,4% pour se fixer à 57,5 millions, en raison surtout de la hausse rapide des prix du carburant. Des éléments qui n'étaient pas liés à l'exploitation ont toutefois plombé les résultats de l'entreprise. C'est ainsi que le bénéfice net de 78,5 millions réalisé en 2007 s'est transformé en perte nette de 50 millions en 2008. Ce dernier résultat est notamment lié à une perte de 106,4 millions liée à la juste valeur marchande du programme de couverture mis en place par Transat pour se protéger contre les fluctuations des prix du carburant. En vertu des règles comptables, cette perte doit être placée dans les résultats. Par contre, selon les mêmes règles, un gain de 196,1 millions lié à la juste valeur du programme de couverture sur les devises ne peut pas être inscrit dans les résultats. Il doit plutôt être comptabilisé au bilan. «Avec les nouvelles règles comptables, nous sommes obligés de dire des choses que, malheureusement, je trouve farfelues», a déploré M. Eustache. Les résultats de 2008 comprennent également une dévaluation de 45,7 millions liée au papier commercial adossé à des actifs (PCAA). Le titre de Transat n'a pas été échangé hier en raison d'une panne informatique majeure à la Bourse de Toronto.
  11. Jean-Marc Eustache s'attend à ce que Transat traverse sans trop de mal la zone de turbulences économiques actuelle. Pour en lire plus...
  12. Le voyagiste déclare une perte sur les instruments financiers visant à se protéger des fluctuations du prix du carburant et sur le papier commercial adossé à des actifs. Pour en lire plus...
  13. Le voyagiste annonce qu'il a complété avec la banque les formalités augmentant ses facilités de façon à les porter à 193,4 M$. Cette mesure est mise en place jusqu'à ce que le marché du PCAA ait été restructuré. Pour en lire plus...
  14. Air Canada et sa rivale, WestJet Airlines ont déjà éliminé les surcharges sur les vols à travers le Canada et vers les États-Unis. Pour en lire plus...
  15. Le pdg de Transat A.T. s’en prend à Ottawa 18 septembre 2008 - 17h36 La Presse Canadienne Lia Lévesque Le président et chef de la direction de Transat A.T., Jean-Marc Eustache, reproche au gouvernement fédéral de ne pas se gêner pour soutenir l'industrie aéronautique, alors qu'il «saigne» les transporteurs aériens par certaines de ses mesures. «À l'heure actuelle, le gouvernement se démène pour soutenir ceux qui construisent des avions et saigne à blanc ceux sur qui il compte pour en acheter», a lancé jeudi M. Eustache lors d'une allocution devant le Cercle finance placement du Québec, à Montréal. Le pdg de Transat A. T. a profité de la campagne fédérale qui bat son plein pour adresser quelques messages bien sentis aux partis politiques fédéraux. Il accuse le gouvernement fédéral de ne pas comprendre l'importance économique de l'industrie aérienne et touristique au pays. Et il lui reproche aussi d'avoir implanté divers prélèvements et taxes qui se répercutent inévitablement sur le voyageur, ce qui nuit à la compétitivité du Canada sur la scène internationale. «Atterrir au Canada est plus cher qu'à peu près partout ailleurs dans le monde. Trois fois plus cher pour atterrir à Toronto qu'à Charles-de-Gaulle (à Paris). Trois fois plus cher aussi pour atterrir à Montréal qu'à Rome. Les transporteurs étrangers ont le choix d'aller ailleurs. Nous, on y perd en termes de flux touristiques et d'activité économique, mais cela ne semble pas déranger personne», s'est-il plaint. M. Eustache va jusqu'à dire que les voyageurs sont «forcés de subventionner l'État canadien chaque fois qu'ils prennent l'avion», puisque selon lui, une partie des taxes et prélèvements imposés aux voyageurs est conservée par le gouvernement pour d'autres fins. Il cite le cas des mesures de sécurité accrues dans les aéroports. «La sécurité est la responsabilité de l'État et profite à tous, mais au Canada, dans le cas du transport aérien, elle est financée par les voyageurs. Ne vous leurrez pas, on vous collecte pour la sécurité, mais en fait une bonne partie de ce qui est collecté ne sert pas du tout à la sécurité et s'en va tout simplement dans les coffres de l'État», a soutenu M. Eustache. Il reproche également au gouvernement de tolérer des règles du jeu différentes selon que le transporteur aérien soit soumis aux lois provinciales et fédérales ou seulement fédérales. Les transporteurs comme Transat, soumis à la Loi sur la protection du consommateur, une loi provinciale, doivent déposer de l'argent en fiducie pour protéger les clients qui achètent des billets. Or, les compagnies aériennes qui ne sont pas soumises à la loi québécoise n'ont pas à remplir cette exigence. Il cite également le cas des normes de publicité pour l'affichage des prix qui diffèrent dans certains cas. «Un seul domaine, une seule catégorie de produits, mais deux réglementations distinctes. Encore une fois un terrain de jeu où les dés sont pipés, comme le Canada les aime», s'est encore plaint M. Eustache. Malgré ce contexte qu'il décrit, Transat a affiché en 2008 une augmentation de 20 pour cent du nombre de clients par rapport à 2007. Transat emploie 6000 personnes dans huit pays. Son chiffre d'affaires atteignait 3 milliards $ en 2007.
  16. Le président et chef de la direction de Transat A.T., Jean-Marc Eustache, reproche au gouvernement fédéral de «saigner» les transporteurs aériens par certaines de ses mesures. Pour en lire plus...
  17. RBC soutient que Transat sera vendu Le voyagiste montréalais Transat A.T. sera vendu d’ici quelques années. C’est ce que soutient l’analyste Nick Morton, de RBC Capital, dans son plus récent rapport de recherche sur l’entreprise dirigée par Jean-Marc Eustache. La vente de Transat s’inscrira dans la foulée du mouvement de consolidation en Europe, souligne Nick Morton. L’analyste de RBC recommande l’achat (sector outperform) des actions de Transat. Jusqu’à vendredi dernier, il recommandait de conserver le titre. M. Morton abaisse cependant son cours cible à 34$ d’ici 12 mois. Il était auparavant de 37$. Nick Morton souligne que la concurrence va demeurer intense pour Transat cet hiver avec les SunWing, Sunquest, Signature, Air Canada et WestJet qui vont tous se battre pour attirer des consommateurs dans un contexte de ralentissement économique. «Tout indique qu’il va se produire une importante transformation dans l’industrie et les joueurs les moins bien capitalisés vont être éliminés», croit l’analyste de RBC. «Transat devrait survivre en raison de sa solidité financière», ajoute Nick Morton qui s’attend à ce que la direction de Transat continue de racheter de ses actions sur les marchés. Mercredi dernier, Transat a révélé que l’entreprise n’avait pas été rentable pendant le troisième trimestre de l’année. Les revenus ont augmenté de près de 16%, mais le prix du carburant a entraîné le voyagiste dans le rouge. Transat a perdu 2,4 M$ cette année pendant les mois de mai, juin et juillet. L’action de Transat se transige présentement à un peu plus de 16$, son niveau le plus bas des 52 dernières semaines. Il y a un an, le titre valait plus de 40$ à la Bourse de Toronto.
  18. Déboires de Zoom: Transat ajoutera des sièges 4 septembre 2008 - 17h50 Presse Canadienne Air Transat va ajouter 130 000 sièges à son offre à partir de mai 2009, ciblant des villes que desservait le défunt transporteur à rabais. Souhaitant profiter des déboires de Zoom Airlines, le voyagiste montréalais Transat (TRZ.B) ajoutera 130 000 sièges à son offre à partir de mai 2009, ciblant des villes que desservait le défunt transporteur à rabais. Le transporteur du groupe, Air Transat effectuera trois vols de plus par semaines de Montréal vers Paris, un de plus de Montréal vers Rome, cinq de plus de Toronto vers Manchester, cinq de plus de Toronto vers Londres, trois de plus de Toronto vers Glasgow, trois de plus de Toronto vers Rome, un de plus de Vancouver vers Londres, un de plus de Vancouver vers Paris et un de plus de Calgary vers Londres. La filiale britannique de Transat, Canadian Affair, ajoutera aussi des liaisons à partir de Glasgow et Londres vers Vancouver, à partir de Manchester vers Toronto, de Glasgow et Londres vers Calgary, de Glasgow et Londres vers Toronto et de Londres vers Montréal. Zoom, une société d'Ottawa, s'est placée sous la protection de la Loi sur la faillite et l'insolvabilité la semaine dernière. Des milliers de passagers ont été laissés en plan au Canada, en Europe et dans les Antilles. Selon l'analyste David Newman, de la Financière Banque Nationale, Zoom occupait entre 15 et 20% du marché des vols nolisés transatlantiques, soit entre six et sept pour cent de l'ensemble du marché transatlantique. Selon des médias britanniques, le transporteur écossais Flyglobespan augmentera aussi son offre de vols. L'action de Transat a clôturé jeudi à 19,25 $ à la Bourse de Toronto, en baisse de 0,8%. Depuis l'annonce de la faillite de Zoom, le titre est en hausse de près de cinq pour cent.
  19. Jeudi après-midi, le titre du transporteur prenait 9 % à la Bourse de Toronto pointant à 20,01 $. Pour en lire plus...
  20. L'industrie aérienne pique du nez Les hausses importantes du prix du carburant, ces derniers mois, font mal à l'industrie aérienne mondiale, qui traverse une véritable crise. Un Boeing 777 New Livery arborant le nouveau logo de Delta Air Lines Vendredi, l'industrie aérienne américaine a publié une étude qui prévoit une vague de faillites importante parmi les transporteurs aériens des États-Unis si les prix du carburant demeurent aussi élevés. L'analyse de l'industrie aérienne commerciale américaine, effectuée par Airline Forecasts et Business Traveller, estime que la flambée des prix du carburant engendrera des hausses de coûts de 30 milliards de dollars américains pour l'industrie aérienne aux États-Unis alors que sa capacité d'augmentation des frais aux voyageurs excède à peine 4 milliards de dollars. Réductions de personnel et de vols au menu Pendant ce temps, à New York, le transporteur aérien US Airways annonçait une nouvelle série de mesures d'économies, qui comprend une réduction de 6 % à 8 % de ses vols intérieurs, qui se traduira par au moins 1700 mises à pied au sein de son personnel. La situation est pire encore chez Delta Air Lines, qui a annoncé vendredi qu'il prévoyait doubler le nombre de mises à pied annoncées au mois de mars dernier pour faire face à la crise qui mine les performances économiques de l'entreprise. La compagnie aérienne a offert dernièrement un programme de départ volontaire à plus de la moitié de ses 55 000 employés. Craintes en Europe La situation n'est guère mieux en Europe, où plusieurs compagnies aériennes, telles que KLM, Air France, Lufthansa et Austrian Airlines en sont à leur seconde augmentation de la surcharge pour carburant qu'elles imposent à leurs passagers. Comme en Amérique, plusieurs transporteurs européens se voient obligés de réduire leur nombre de vols ou carrément de déclarer faillite. Selon la directrice générale d'Air France Canada, Bénédicte Duval, citée par la Presse canadienne, l'industrie doit s'attendre à ce que la situation actuelle entraîne une vague de faillites, de fusions-acquisitions et de consolidations. Au moins 28 compagnies aériennes sont disparues dans le monde au cours des six derniers mois, a rapporté pour sa part Jean-Marc Eustache, président et chef de la direction du transporteur montréalais Transat. Les transporteurs canadiens ne sont pas épargnés Bien que chez Transat la situation ne soit pas catastrophique dans l'immédiat, selon la Presse canadienne, Jean-Marc Eustache a néanmoins évoqué, jeudi, lors d'une téléconférence sur les résultats du deuxième trimestre, une éventuelle réduction de la taille de l'entreprise si la situation ne se stabilise pas. Les bénéfices de Transat ont en effet diminué de 24,4 % au deuxième trimestre 2008 par rapport au deuxième trimestre de 2007. Chez Air Canada, le transporteur impose depuis mai des suppléments carburant sur tous ses vols intérieurs et internationaux pour tenter d'éponger les coûts du carburant. Selon le secrétaire général se l'Organisation de l'aviation civile internationale, chaque hausse de 1 $US du prix du baril de pétrole brut sur les marchés se traduit par des coûts additionnels de 1,6 milliard de dollars américains pour l'industrie aérienne mondiale. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/06/13/003-crise-indutrie-aerienne.shtml?ref=rss
  21. Transat réclamait la possibilité de poursuivre l'institution qui leur a vendu du PCAA, la Banque Nationale, sous des motifs autres que la fraude. Pour en lire plus...
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