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  1. PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 6 H 01 | Mis à jour il y a 53 minutes EXCLUSIF - La Ville de Montréal veut améliorer la circulation en échangeant des données en temps réel avec l'application Waze et en se servant du Bluetooth des appareils utilisés par les automobilistes. Radio-Canada a eu accès à la salle qui permet de contrôler les feux de circulation de Montréal. Un reportage de Bahador ZabihiyanTwitterCourriel et François CormierTwitterCourriel Les automobilistes montréalais qui veulent éviter les bouchons disposeront d'informations plus précises : la Ville et l'application Waze s'échangeront en temps réel les informations qu'elles disposent sur l'état de la circulation, les travaux ou même les nids de poules. Montréal est la première ville canadienne à signer un tel partenariat avec la populaire application. Waze, propriété de Google, compte 103 000 utilisateurs à Montréal. En se basant sur des données publiques et des informations transmises par ses propres usagers, Waze permet aux automobilistes de voir les entraves à la circulation sur leur téléphone intelligent. Les données envoyées par Waze se rendront dans une salle du Centre de gestion de la mobilité urbaine de la Ville de Montréal, où les employés de la Ville contrôlent notamment les centaines de feux de circulation. En échange, le centre va transmettre à Waze en temps réel des données compilées grâce à ses caméras, capteurs et radars, mais aussi de précieuses informations concernant les événements et les travaux planifiés. Montréal devient la première ville canadienne à partager ses données en temps réel avec Waze et à profiter également des données qui vont venir de Waze et de ses 103 000 utilisateurs sur le territoire de la Ville de Montréal. -Harout Chitilian, le vice-président au conseil exécutif de la Ville de Montréal Le projet pilote de la Ville avec Waze durera 24 mois et concernera seulement l'arrondissement de Ville-Marie pour l'instant. C'est la métropole qui a approché Waze pour conclure une entente à coût nul dans le cadre d'un programme de collaboration entre la compagnie et les grandes villes. À chaque fois qu'un de nos utilisateurs rapporte un événement, ça peut être un accident ou ça peut être un nid de poule, cette information va aller en temps réel à la Ville de Montréal. -Paige Fitzgerald, directrice des programmes de collaboration avec les citoyens à Waze Des feux rouges qui détectent votre Bluetooth La Ville de Montréal recueille déjà des milliers de données sur l'état du trafic, surtout grâce aux centaines de capteurs installés dans les 32 coffrets bruns situés au pied des poteaux de feux de circulation. Ces capteurs détecteront désormais le Bluetooth des téléphones cellulaires des automobilistes qui passent à proximité et lui donneront aussitôt un identifiant que le capteur suivant reconnaîtra lorsqu'ils le croiseront, permettant la récolte de données sur leur trajet. L'intérieur d'un des nombreux coffrets bruns au pied des feux de signalisation est truffé d'outils technologiques qui récoltent des données. Plusieurs possèdent des capteurs qui détectent les appareils Bluetooth des automobilistes. L'intérieur d'un des nombreux coffrets bruns au pied des feux de signalisation est truffé d'outils technologiques qui récoltent des données. Plusieurs possèdent des capteurs qui détectent les appareils Bluetooth des automobilistes. « Le capteur va savoir que le véhicule a parcouru telle distance en tant de temps », dit Philippe Fugère, le vice-président, développement des affaires, à Orangetraffic, une compagnie québécoise qui commercialise des équipements de gestion de la circulation. En recueillant ainsi des données sur le trajet de milliers de Montréalais, la Ville pourra établir des plans pour mieux gérer la circulation, dit M. Fugère. « Les villes, de plus en plus, cherchent des façons pour qu'il y ait le moins possible de trafic, et les infrastructures font qu'il y a de moins en moins de place pour agrandir la route, il faut qu'elles trouvent des solutions pour faire en sorte que le trafic soit plus fluide », dit-il. La Ville de Montréal assure que les données recueillies auprès des automobilistes grâce à Bluetooth sont anonymes et chiffrées. Elle réfléchit présentement à la possibilité de mettre en place plus de capteurs sur son territoire. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2016/04/22/001-waze-bluetooth-montreal-google-donnees-datas-orangetraffic.shtml
  2. Publié le 08 septembre 2014 à 15h25 | Mis à jour à 15h25 Montréal aura son «transport intelligent» Sara Champagne La Presse C'est maintenant officiel. La Ville de Montréal met en branle son Centre de gestion de mobilité urbaine (CGMU). Ce sera «le coeur et le cerveau» des systèmes de transport intelligent, a précisé le responsable du transport au comité exécutif de la Ville, Aref Salef, en point de presse. Comme le révélait La Presse ce matin, il est question d'un centre de gestion du trafic en temps réel grâce à environ 700 caméras couvrant tout le territoire de l'agglomération. Un projet de 25 millions sur dix ans. Avec plus de 700 kilomètres de fibre optique, qui permettront l'accès à internet sans fil partout sur l'île. Le centre de gestion permettra notamment de gérer à distance des feux de circulation, des panneaux à messages variables, ou d'intervenir rapidement en cas d'incident pour éviter des bouchons majeurs. Montréal aura aussi à l'oeil les entraves occasionnées par des travaux. Sans oublier la coordination lors de grands évènements, comme les festivals. «On pourra, par exemple, déplacer des cols bleus ou des techniciens si on constate que des cônes orange non autorisés perturbent la circulation. Éventuellement, les opérations de déneigement seront mieux contrôlées grâce à des GPS qui seront installés dans les véhicules cet hiver», ajoute Harout Chitilian, vice-président du comité exécutif et responsable de la Ville intelligente. Le CGMU sera à l'oeuvre cet automne avec 200 caméras routières, déjà installées sur le réseau, notamment boulevard René-Lévesque. Au début, le centre sera opérationnel 16 heures par jour, 5 jours sur 7. Mais d'ici 2017, 500 autres caméras seront installées. Interrogé au sujet de la sécurité des données, M. Salef a assuré que Montréal n'a pas l'intention de jouer au «Big Brother.» «Les caméras n'enregistrent pas, et il n'est pas possible d'effectuer de gros plans sur les gens ou les plaques de circulation. De plus, les images s'effacent après une minute», a-t-il expliqué. La prochaine étape pour l'administration municipale sera d'élaborer un plan stratégique de mise en oeuvre de son centre de gestion du trafic. Il est prévu d'embaucher une douzaine de personnes. Des liens avec une dizaine de partenaires, dont le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le Service incendie Montréal (SIM), ont déjà été convenus. Encore là, on assure que l'équipe du CGMU n'a pas l'intention de jouer les justiciers masqués, tout en précisant que les autorités auront accès aux images.
  3. COMMUNIQUÉS 31.05.12 Réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal : Trafic de marchandises record en 2011 En 2011, le volume total des marchandises manutentionnées au Port de Montréal a atteint 28,5 millions de tonnes, dépassant le record de 27,9 millions de tonnes enregistré en 2008. Ce résultat, dévoilé lors de la réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM), représente une hausse de 10,1 % par rapport à l'année 2010. À la fin de 2011, le bénéfice net s'est élevé à 7,1 millions de dollars, grâce, notamment, à un contrôle rigoureux des dépenses. Le Port de Montréal manutentionne des conteneurs, du vrac liquide, du vrac solide, du grain, en plus d'accueillir des croisiéristes. En 2011, l'activité du secteur des conteneurs a augmenté de 3,6 % par rapport à 2010, pour atteindre 12,5 millions de tonnes de marchandises, ou 1,36 million de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds). Du côté du vrac liquide, le port en a manutentionné 10,1 millions de tonnes l'an dernier, soit 34 % de plus qu'en 2010. Cette hausse s'explique par l'augmentation des réceptions de produits raffinés par navires. Les autres produits liquides ont connu une hausse de 9,1 % par rapport à l'année dernière, grâce surtout à une augmentation de la demande d'éthanol. Le volume de manutention du vrac solide a, quant à lui, connu une augmentation de 7,1 %, due surtout aux chargements de gypse, d'engrais, de charbon et de minerai de fer. Cette augmentation ne tient pas compte du trafic céréalier, qui a connu une année de transition avec le transfert de la gestion des opérations du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, le 1er juillet dernier. Par ailleurs, la saison 2011 s'est clôturée par 40 croisières internationales et fluviales pour un total de 38 031 passagers. Le Comité croisières Montréal, initié en juin 2011, compte maintenant neuf partenaires de l'industrie touristique montréalaise qui travaillent à faire connaître l'escale Montréal auprès des professionnels du voyage. Les premiers résultats sont prometteurs : on attend cette année 55 500 passagers, soit une augmentation de 46 % du nombre de passagers. L'APM remercie tous les partenaires du Comité croisières Montréal pour le bon travail accompli. Faits marquants Le terminal céréalier - Le 1er juillet 2011, le Port de Montréal a procédé au transfert du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, qui depuis, en assure la gestion des opérations. Cette entente à long terme s'inscrit dans une démarche visant à consolider et à augmenter le trafic des céréales au port, tout en continuant de fournir un service de haut calibre aux producteurs québécois. « Avec l'arrivée de Vittera, toutes nos installations sont dorénavant exploitées par des compagnies spécialistes de leur domaine », a déclaré Mme Sylvie Vachon, présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal. « Le Port de Montréal peut ainsi mettre toutes ses énergies à développer son créneau d'excellence : le commerce maritime mondial. » La Cité portuaire - Lors de son allocution, Sylvie Vachon a rappelé l'importance que le Port de Montréal accorde au projet de Cité portuaire, une initiative de la Ville de Montréal visant à développer l'Est de Montréal. La volonté de se rapprocher des communautés montréalaises fait partie des priorités de l'APM. Mme Vachon s'est également déclarée très encouragée par les travaux du comité provisoire qu'elle a présidé, et qui était chargé d'étudier la possibilité de créer une grappe industrielle de logistique et de transport pour le Grand Montréal. « J'ai bon espoir que tous les paliers gouvernementaux interpelés confirmeront leur participation financière sous peu.», a-t-elle déclaré. Développement durable À la suite de la politique de développement durable adoptée en 2010, le Port de Montréal a accueilli sa première locomotive à génératrices multiples, qui permet de réduire de 54 % la consommation de carburant, et de 90 % les émissions de gaz à effet de serre (GES). Trois autres locomotives seront livrées en août prochain. Quant au nouveau portail d'entrée des camions, inauguré en mars 2011, il réduit de moitié le temps d'attente des véhicules et, du coup, les émissions de GES. Le portail a d'ailleurs reçu le Grand prix d'excellence en transport de l'Association québécoise du transport et des routes, en mai 2011. De plus, le Port de Montréal a obtenu la plus haute cote de performance dans la catégorie Leaderhsip environnemental, décernée par l'Alliance verte, un programme environnemental volontaire destiné à l'industrie maritime du Canada et des États-Unis, et dont le Port de Montréal est l'un des membres fondateurs. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1800&lang=fr
  4. Le port de Montréal a enregistré une baisse de son volume Publié le 12 août 2009 à 14h02 | Mis à jour à 14h04 La Presse Canadienne Montréal Le port de Montréal a enregistré une baisse de 18,4 pour cent de son volume de marchandises conteneurisées au cours des six premiers mois de l'année, par rapport à la période correspondante de l'an dernier. De janvier à juin inclusivement, le volume de marchandises conteneurisées s'est ainsi établi à un peu plus de 5,4 millions de tonnes, a indiqué, mercredi, l'Administration portuaire de Montréal. En nombre de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) pleins et vides, pour le premier semestre, la baisse a atteint 14,6 pour cent par rapport à la même période en 2008, pour totaliser 619 721 EVP. L'administration du port montréalais a souligné, en publiant ses résultats, mercredi, que, bien qu'ils soient baissiers, ils sont cependant meilleurs que ceux des principaux ports concurrents sur la côte Est. Les chiffres négatifs du premier semestre ont, en outre, été en partie compensés par des résultats très positifs dans le secteur du trafic maritime céréalier où le port de Montréal a connu une hausse de 31,1 pour cent par rapport à l'an dernier. L'achalandage total du terminal céréalier totalise plus de 1,2 million de tonnes pour les six premiers mois de l'année. La diversification des marchés du port a également eu un effet favorable, a souligné l'administration portuaire. Le trafic de conteneurs avec la Méditerranée a notamment connu une augmentation de 22,2 pour cent en nombre d'EVP pleins. Tous trafics confondus, la baisse de volume manutentionné au port de Montréal est de 15,4 pour cent par rapport à l'an dernier, pour atteindre près de 10,9 millions de tonnes.
  5. Année record pour le port de Montréal 5 janvier 2009 - 13h05 Qui réclame l'appui du fédéral - Année record pour le port de Montréal Le trafic total du port de Montréal devrait totaliser plus de 26,6 millions de tonnes, en hausse d'environ 2,5 pour cent en comparaison de 2007. La Presse Canadienne MONTRÉAL _ La direction du port de Montréal, qui affiche une année record en 2008, réclame du gouvernement fédéral qu'il investisse rapidement dans les projets des portes d'entrée continentale et sur l'Atlantique. Le président-directeur général de l'Administration portuaire de Montréal (APM), Patrice M. Pelletier, dit espérer que le gouvernement ira bientôt de l'avant avec son projet d'investir 2,1 milliards $ dans les portes de commerce et, principalement, dans les corridors du Saint-Laurent et des Grands-Lacs, question de contribuer à combattre la récession. Par ailleurs, selon les chiffres préliminaires, l'année 2008 a été une année record pour le port de Montréal qui a connu une croissance supérieure aux 10 principaux ports à conteneurs de l'Amérique du Nord. Le trafic de conteneurs devrait atteindre 1 460 500 conteneurs EVP (équivalent vingt pieds) soit une croissance de 7,2 pour cent en 2008, un résultat qualifié d'exceptionnel par la direction du port. Le trafic total du port de Montréal devrait totaliser plus de 26,6 millions de tonnes, en hausse d'environ 2,5 pour cent en comparaison de 2007 qui avait déjà été une année historique pour le port. M. Pelletier inaugurait officiellement lundi le début d'une nouvelle année d'activités au port de Montréal en remettant la Canne à pommeau d'or au capitaine Rossiter, du Royaume-Uni, commandant du Maersk Patras, premier navire océanique entré au port de Montréal sans escale en 2009. Le Maersk Patras avait quitté le port de Rotterdam, aux Pays-Bas, le 23 décembre dernier à 10h00, sous pavillon du Royaume-Uni.
  6. Le trafic aérien international de passagers a enregistré son deuxième mois consécutif de déclin en octobre, avec un recul de 1,3% sur un an. Pour en lire plus...
  7. Air Canada et le transporteur régional Jazz affichent pour octobre un coefficient d'occupation consolidé de 80,2%, résultat sans précédent pour ce mois. Pour en lire plus...
  8. Premier recul du transport aérien depuis 2003 24 octobre 2008 - 07h51 Agence France-Presse Le trafic aérien passager - le nombre de passagers multiplié par la distance parcourue - a reculé de 2,9% en septembre comparé au même mois de l'an passé, une première depuis l'épidémie de pneumonie atypique en 2003, a relevé IATA. La crise a coupé les ailes du transport aérien en septembre, avec un déclin pour la première fois depuis cinq ans du trafic passagers international et la pire chute du cargo depuis sept ans. «La détérioration du trafic est particulièrement rapide et étendue», s'est alarmé Giovanni Bisignani, directeur de l'Association internationale du transport aérien (IATA), qui représente environ 230 compagnies aériennes, soit 93% du trafic aérien international. Et d'évoquer la possibilité de rabaisser encore ses prévisions de résultats pour les compagnies aériennes dans le monde, alors qu'il prévoyait des pertes de 5,2 G$ US cette année. «Nous avons une année très difficile devant nous. C'est la première fois que nous avons une récession de cette taille, mondiale», a-t-il observé lors d'un point presse, soulignant la difficulté de faire des prévisions. «Le pire est à venir», a-t-il mis en garde. «Même la bonne nouvelle de la réduction de moitié du prix du pétrole depuis le pic de juillet ne suffit pas à contrebalancer la chute de la demande», a-t-il ajouté. «Ce qui est inquiétant, c'est la vitesse à laquelle les chiffres baissent». Le trafic aérien passager - le nombre de passagers multiplié par la distance parcourue - a reculé de 2,9% en septembre comparé au même mois de l'an passé, une première depuis l'épidémie de pneumonie atypique (SRAS) en 2003, a relevé IATA. La croissance du trafic tournait déjà au ralenti les mois précédents: il avait crû de 1,3% en août sur un an et de 1,9% en juillet. En septembre, touristes et hommes d'affaires ont boudé l'avion dans toutes les régions du monde, sauf en Amérique latine. Le trafic passager y a crû de 1,7%, un chiffre «particulièrement choquant» par son bas niveau, comparé au 11,9% de croissance enregistré encore en août, souligne IATA. La contraction brutale du commerce mondial a particulièrement touché la région Asie-Pacifique, avec une dégringolade de 6,8% du trafic passager. L'Europe et l'Amérique du Nord souffrent également, mais dans une moindre mesure. Pour le trafic international cargo, le recul de septembre est encore plus marqué que celui des passagers: -7,7%, soit la pire chute depuis 2001, l'année de l'explosion de la bulle Internet et des attentats du 11 septembre. Il s'agit du quatrième mois consécutif de baisse pour le transport aérien de marchandises, qui représente un peu plus du tiers de la valeur totale du frêt dans le monde, avec des biens particulièrement coûteux et de haute technologie. Là encore, l'Asie-Pacifique se trouve dans l'oeil du cyclone avec un plongeon de 10,6% comparé à l'an passé. Auparavant particulièrement dynamique, cette zone représente en gros la moitié des parts de marché du fret aérien. Cette région, avec les deux grands ateliers du monde, la Chine et l'Inde, «n'exporte plus car les grands consommateurs, Europe et États-Unis, n'achètent plus», a constaté M. Bisignani. Alors que 30 compagnies aériennes ont déjà fait faillite sur les neuf premiers mois de l'année, M. Bisignani a indiqué que 20 transporteurs, en situation préoccupante, restaient sur la liste. «La crise va également entraîner une contraction du nombre de vols proposés, les compagnies ajustant leur offre à la demande», a-t-il prévenu. Interrogé sur une éventuelle baisse des prix des billets, il a souligné qu'il s'agissait d'une décision commerciale de chaque transporteur.
  9. La crise a coupé les ailes du transport aérien en septembre, avec un déclin pour la première fois depuis cinq ans du trafic passagers international et la pire chute du cargo depuis sept ans. Pour en lire plus...
  10. Victime de l'économie et de la crise financière, qui pèsent sur le trafic aérien mondial, Air France table désormais sur une stagnation de son offre. Pour en lire plus...
  11. Ce résultat constitue un important recul par rapport à la hausse de deux pour cent enregistrée le mois précédent sur une base annuelle. Pour en lire plus...
  12. Le trafic aérien de passagers au niveau international a progressé de 3,8% en juin sur un an, soit le rythme de croissance le plus faible en cinq ans. Pour en lire plus...
  13. La compagnie a offert plus de capacité et eu plus de trafic en juin, mais ses avions ont été un peu moins remplis. Pour en lire plus...
  14. Port de Montréal / Montreal Port Authority : l’avenir est aux conteneurs L'APM a connu une hausse de 9,4% du trafic des conteneurs l'an dernier. La direction du port de Montréal n’a qu’un mot en tête pour les prochaines années… «croissance». C’est ce qui ressort de l'assemblée générale annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM) qui s'est déroulée aujourd’hui. Côté bilan, l’APM rapporte un bénéfice net de 8,4 millions de dollars pour l'exercice clos le 31 décembre 2007. Il s’agit, selon la direction du port, d’une 28e année consécutive avec un bénéfice. Les produits générés par l'APM s'établissent à 86 millions de dollars, soit une augmentation de 4,1 % par rapport à 2006. L'APM a aussi connu une hausse de 9,4% du trafic des conteneurs et une augmentation de 3,6% de son volume total qui atteint 26 millions de tonnes. Et ce n’est pas fini si on en croit la direction du port. «Tous les indicateurs nous montrent que le trafic maritime de conteneurs sur la Côte est Nord-américaine connaîtra une croissance de 7% annuellement jusqu'à 2015», affirme le pdg du port Patrice M. Pelletier. Objectif 2020 La direction du port veut augmenter graduellement sa capacité d’ici 2020. Le grand patron de l’APM explique que la croissance du trafic maritime mondial continuera et s'intensifiera grâce à une consolidation des marchés et à la création de nouveaux terminaux portuaires. «Les ports de la Côte est américaine font des investissements considérables afin d'augmenter leur capacité et réduire les temps de transit vers le riche et populeux marché du Midwest américain. Nos concurrents agissent en se donnant les moyens d'obtenir des parts de marchés additionnelles, il nous faut aussi agir et ce dès maintenant», a insisté M. Pelletier. Sans donner de chiffres précis, l’APM affirme qu’elle investira dans de nouvelles infrastructures qui lui permettront d'accueillir ces nouveaux trafics. Annuellement, ce sont 26 millions de tonnes de marchandises qui transitent par le Port de Montréal. http://www.lesaffaires.com/article/0/transport-et-produits-industriels/2008-04-10/475813/port-de-montreal--lavenir-est-aux-conteneurs-.fr.html
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