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  1. Publié le 19 novembre 2008 à 18h53 | Mis à jour à 19h05 Le discours du Trône risque de susciter le mécontentement au Québec Fannie Olivier La Presse Canadienne Ottawa Le discours du Trône présenté aujourd'hui risque de faire des vagues dans un Québec en pleine campagne électorale, alors que de nombreuses mesures mises de l'avant par les conservateurs s'opposent aux positions traditionnellement défendues au Québec. Ainsi, par la voix de la gouverneure générale Michaëlle Jean, le premier ministre Stephen Harper a laissé entendre aux Québécois qu'ils pouvaient s'attendre à voir leur poids diminuer à la Chambre des communes au profit des provinces de l'Ouest et de l'Ontario. Une réforme du Sénat est également prévue, ce à quoi s'est traditionnellement opposé le Québec, tout comme à la mise sur pied d'une commission unique des valeurs mobilières, une autre des propositions conservatrices. Le Protocole de Kyoto, qui fait par ailleurs consensus au Québec, paraît définitivement écarté de la ligne de mire des conservateurs dans ce discours du Trône, et rien n'est mentionné sur un éventuel réinvestissement dans les programmes culturels, sabrés au printemps. Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a dit constater qu'aucune de ses recommandations auprès de M. Harper n'avaient été retenues et que son parti allait conséquemment voter contre le discours du Trône. Se portant à la défense des orientations choisies par le gouvernement conservateur, le nouveau lieutenant de Stephen Harper au Québec, le ministre Christian Paradis, a fait valoir que des passages du discours portaient sur une «charte du fédéralisme d'ouverture» et, qu'à nouveau, on y trouvait la volonté des conservateurs de limiter le pouvoir du fédéral de dépenser. M. Paradis a dit ne pas voir de problème à ce que le poids du Québec fléchisse aux Communes et trouve que cela est simplement démocratique. Selon lui, les Québécois n'ont qu'à faire plus d'enfants s'ils veulent conserver la même proportion de députés en Chambre. «C'est juste, il faut être démocrate. Si le Québec veut avoir plus de sièges, faudrait peut-être faire plus d'enfants. Moi, j'en ai trois déjà», a-t-il lancé. Il a également souhaité rassurer le Québec au sujet de la commission des valeurs mobilières commune, une idée à laquelle s'oppose tant l'Assemblée nationale que l'Autorité des marchés financiers (AMF). «Il n'y aura rien qui sera obligatoire pour personne, ce sera sous une base volontaire (...). Rien ne sera imposé à aucune province d'aucune manière que ce soit», a-t-il spécifié. Les détracteurs d'une telle commission des valeurs mobilières craignent notamment que le secteur financier délaisse Montréal au profit de Toronto. Déception des chefs provinciaux Les chefs des partis provinciaux, qui en étaient à leur quinzième jour de campagne, ont tous réagi au discours du Trône des conservateurs en manifestant leur déception. Le chef libéral Jean Charest, qui a indiqué qu'il commenterait le discours plus en détails dans le futur, a néanmoins fait savoir qu'il ne resterait pas les bras croisés si des mesures allaient à l'encontre de l'intérêt du Québec. «Le point de départ, à nouveau, c'est de pouvoir bien identifier nos intérêts à nous, et bien les défendre», a-t-il indiqué. Selon la chef péquiste Pauline Marois, M. Harper marginalise le Québec avec ce discours du Trône. «Il fait exactement la preuve que de reconnaître la nation québécoise, ça ne voulait strictement rien dire», a-t-elle lancé, ajoutant qu'il fallait livrer bataille au fédéral pour protéger les droits de la province. Même le chef adéquiste Mario Dumont, qui avait pourtant appuyé M. Harper lors de la dernière campagne électorale fédérale, a exprimé son mécontentement. «Aujourd'hui, ce qu'on voit, c'est que les besoins du Québec, ils sont secondaires, a-t-il déclaré en point de presse à Sainte-Thérèse. Je le sens comme ça, je trouve ça très malheureux. Je pense que de la part du gouvernement fédéral, ça engage mal la suite des choses.» Il est allé jusqu'à avancer qu'à ses yeux, «c'est comme si on était en train de préparer, au niveau de l'avenir du Canada (...) une ronde Canada (de négociations constitutionnelles) sans le Québec».
  2. Les municipalités accueillent favorablement les investissements dans les infrastructures, les chambres de commerce sont inquiètes, tandis que les organisations syndicales sont déçues. Pour en lire plus...
  3. Dans un discours du Trône axé sur l'économie, le gouvernement Harper n'écarte pas un déficit l'an prochain, et prévoit un soutien aux industries automobile et aérospatiale. Il envisage aussi de réformer certaines institutions de la fédération. Pour en lire plus...
  4. Le secteur manufacturier au Canada et en particulier la construction automobile et l'aérospatiale se fragilisent de plus en plus, a précisé Michaelle Jean lors du discours du trône. Pour en lire plus...
  5. Un moment attendu Plus d'info Nouvelles Photo: La Presse Canadienne /Tom Hansen La gouverneure générale du Canada, Michaëlle Jean, a fait la lecture du très attendu discours du Trône du gouvernement conservateur, mardi soir, devant les parlementaires réunis au Sénat. Comme dans le précédent du discours du Trône, les conservateurs énoncent encore une fois cinq nouvelles priorités. Il s'agit de: renforcer la souveraineté du Canada; construire une fédération plus forte; assurer un leadership économique efficace; améliorer l'environnement; continuer à lutter contre le crime. En environnement, le gouvernement annonce qu'il ne respectera pas les objectifs du protocole de Kyoto sur les réductions des émissions de gaz à effet de serre (GES). Il compte toutefois lutter contre les changements climatiques grâce à sa stratégie nationale qui prévoit des réductions d'émissions de GES de 60 % à 70 % d'ici 2050. Il compte aussi sur l'instauration d'une bourse du carbone. Cette dernière déclaration affirmant solennellement que les objectifs de Kyoto ne seront pas atteints pourrait être particulièrement difficile à avaler pour les libéraux. Au sujet de la mission en Afghanistan, le gouvernement laisse entendre que les troupes canadiennes pourraient rester au-delà de l'échéancier initial de février 2009. Le gouvernement estime que les forces afghanes ne pourront vraisemblablement pas prendre la relève à cette date. Selon le gouvernement, cet objectif pourrait être atteint en 2011. Un vote sur la mission afghane aura lieu à la Chambre des communes. Le premier ministre veut aussi alléger le fardeau fiscal des Canadiens. Il annonce ainsi des baisses d'impôts pour les contribuables et les entreprises et une réduction d'un point de la TPS. Stephen Harper annonce également qu'il déposera un projet de loi pour limiter le pouvoir fédéral de dépenser. Les limites s'appliqueront aux nouveaux programmes à coûts partagés dans des champs de compétence qui relèvent exclusivement des provinces. Avec ce projet de loi, toute province pourra se retirer d'un programme et être compensée financièrement. Pour lutter plus efficacement contre la criminalité, le gouvernement entend déposer un projet de loi qui comprendra un durcissement des conditions de mise en liberté et des peines d'emprisonnement obligatoires pour ceux qui commettent des crimes avec des armes à feu. Il inclura aussi des mesures plus sévères contre ceux qui conduisent avec des facultés affaiblies. La question maintenant sur toutes les lèvres est de savoir si le discours du Trône entraînera la chute du gouvernement Harper, en place depuis janvier 2006. Tous les analystes s'entendent pour dire que le Nouveau Parti démocratique (NPD) et le Bloc québécois voteront contre; la réponse à cette question repose donc entre les mains des libéraux de Stéphane Dion.
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