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  1. I have a dream. That the Mont-Royal was taller. Let's make it that way. Let's dump some tonnes (several) of dirt and rocks on top of it. Let's prevent the inevitable building plateau.
  2. Financial Post This is part of a 6-part series on Mining in Northern Quebec, so enjoy the read.
  3. Recyc-Québec Les Québécois produisent moins de déchets Agence QMI Jean-Luc Lavallée 11/12/2012 17h49 Les Québécois ont produit 746 kg de déchets par habitant en 2011, une baisse significative de 14,5 % par rapport à 2008. Il s'agit de la diminution la plus importante observée depuis vingt ans. Ces nouvelles statistiques réjouissent Recyc-Québec, qui a rendu public mardi son bilan 2010-2011 de la gestion des matières résiduelles. Trois ans plus tôt, à titre comparatif, les Québécois produisaient 872 kg de matières destinées à l'enfouissement ou à l'incinérateur par personne, soit 126 kg de plus. En 2011, près de 5,9 millions de tonnes de matières résiduelles ont été éliminées au Québec. Ces chiffres incluent les déchets domestiques et les déchets humides (boues municipales). En tonnage brut, cela représente une baisse de 13 %. «Nous devons être très fiers des progrès accomplis, cette baisse inédite confirme que le Québec poursuit la tendance de réduction», a dit la PDG de Recyc-Québec, Ginette Bureau. L'objectif de 700 kg, fixé pour 2015 dans la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles semble à portée de main. Autre chiffre percutant : le nombre de lieux d'élimination en activité a diminué de 75 % depuis 2008. Si les Québécois produisent moins de déchets, ils recyclent forcément davantage. En 2010, les 38 centres de tri de la province ont franchi le cap du million de tonnes (1 041 000 tonnes) de matières récupérées. Cela représente une augmentation de 13 % en deux ans. Le taux global de mise en valeur des matières issues de la collecte sélective résidentielle a atteint 59 % (75 % pour le papier et le carton, 53 % pour le verre, 37 % pour le métal, 16 % pour le plastique). L'objectif est d'atteindre 70 % en 2015. Seule ombre au tableau : les résidus verts et alimentaires prennent encore le chemin de la poubelle dans 88 % des cas. Ces matières compostables occupent toujours le haut du pavé au chapitre de l'élimination puisqu'elles représentent 41 % des matières destinées à l'enfouissement ou l'incinération. Globalement, le taux de récupération des matières organiques (en incluant les boues) se situe à seulement 18 %, à des années-lumière de l'objectif ambitieux de 60 % pour 2015. Recyc-Québec reconnaît d'ailleurs l'ampleur de la tâche. «C'est vraiment le défi des prochaines années pour le Québec que d'essayer de gérer ses matières organiques», a indiqué Erwanne Plisson, conseillère en communication chez Recyc-Québec.
  4. http://www.lematin.ch/suisse/Un-btiment-de-6200-tonnes-est-deplace-de-60-metres/story/17950493
  5. COMMUNIQUÉS 31.05.12 Réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal : Trafic de marchandises record en 2011 En 2011, le volume total des marchandises manutentionnées au Port de Montréal a atteint 28,5 millions de tonnes, dépassant le record de 27,9 millions de tonnes enregistré en 2008. Ce résultat, dévoilé lors de la réunion annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM), représente une hausse de 10,1 % par rapport à l'année 2010. À la fin de 2011, le bénéfice net s'est élevé à 7,1 millions de dollars, grâce, notamment, à un contrôle rigoureux des dépenses. Le Port de Montréal manutentionne des conteneurs, du vrac liquide, du vrac solide, du grain, en plus d'accueillir des croisiéristes. En 2011, l'activité du secteur des conteneurs a augmenté de 3,6 % par rapport à 2010, pour atteindre 12,5 millions de tonnes de marchandises, ou 1,36 million de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds). Du côté du vrac liquide, le port en a manutentionné 10,1 millions de tonnes l'an dernier, soit 34 % de plus qu'en 2010. Cette hausse s'explique par l'augmentation des réceptions de produits raffinés par navires. Les autres produits liquides ont connu une hausse de 9,1 % par rapport à l'année dernière, grâce surtout à une augmentation de la demande d'éthanol. Le volume de manutention du vrac solide a, quant à lui, connu une augmentation de 7,1 %, due surtout aux chargements de gypse, d'engrais, de charbon et de minerai de fer. Cette augmentation ne tient pas compte du trafic céréalier, qui a connu une année de transition avec le transfert de la gestion des opérations du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, le 1er juillet dernier. Par ailleurs, la saison 2011 s'est clôturée par 40 croisières internationales et fluviales pour un total de 38 031 passagers. Le Comité croisières Montréal, initié en juin 2011, compte maintenant neuf partenaires de l'industrie touristique montréalaise qui travaillent à faire connaître l'escale Montréal auprès des professionnels du voyage. Les premiers résultats sont prometteurs : on attend cette année 55 500 passagers, soit une augmentation de 46 % du nombre de passagers. L'APM remercie tous les partenaires du Comité croisières Montréal pour le bon travail accompli. Faits marquants Le terminal céréalier - Le 1er juillet 2011, le Port de Montréal a procédé au transfert du terminal céréalier à la compagnie agroalimentaire Viterra, qui depuis, en assure la gestion des opérations. Cette entente à long terme s'inscrit dans une démarche visant à consolider et à augmenter le trafic des céréales au port, tout en continuant de fournir un service de haut calibre aux producteurs québécois. « Avec l'arrivée de Vittera, toutes nos installations sont dorénavant exploitées par des compagnies spécialistes de leur domaine », a déclaré Mme Sylvie Vachon, présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal. « Le Port de Montréal peut ainsi mettre toutes ses énergies à développer son créneau d'excellence : le commerce maritime mondial. » La Cité portuaire - Lors de son allocution, Sylvie Vachon a rappelé l'importance que le Port de Montréal accorde au projet de Cité portuaire, une initiative de la Ville de Montréal visant à développer l'Est de Montréal. La volonté de se rapprocher des communautés montréalaises fait partie des priorités de l'APM. Mme Vachon s'est également déclarée très encouragée par les travaux du comité provisoire qu'elle a présidé, et qui était chargé d'étudier la possibilité de créer une grappe industrielle de logistique et de transport pour le Grand Montréal. « J'ai bon espoir que tous les paliers gouvernementaux interpelés confirmeront leur participation financière sous peu.», a-t-elle déclaré. Développement durable À la suite de la politique de développement durable adoptée en 2010, le Port de Montréal a accueilli sa première locomotive à génératrices multiples, qui permet de réduire de 54 % la consommation de carburant, et de 90 % les émissions de gaz à effet de serre (GES). Trois autres locomotives seront livrées en août prochain. Quant au nouveau portail d'entrée des camions, inauguré en mars 2011, il réduit de moitié le temps d'attente des véhicules et, du coup, les émissions de GES. Le portail a d'ailleurs reçu le Grand prix d'excellence en transport de l'Association québécoise du transport et des routes, en mai 2011. De plus, le Port de Montréal a obtenu la plus haute cote de performance dans la catégorie Leaderhsip environnemental, décernée par l'Alliance verte, un programme environnemental volontaire destiné à l'industrie maritime du Canada et des États-Unis, et dont le Port de Montréal est l'un des membres fondateurs. http://www.montreal2025.com/communique.php?id=1800&lang=fr
  6. Martin Ouellet LA PRESSE CANADIENNE La société d'État chinoise Wisco espère construire d'ici 2016 un gigantesque complexe minier de 13 milliards $ dans le Grand Nord québécois. En partenariat avec la société canadienne Adriana Resources, Wisco (Wuhan Iron And Steel Group Corp.) veut réaliser au Nunavik le plus grand projet minier de l'histoire du Canada. «C'est un projet immense et complexe. Il ne s'agit pas que d'une mine, c'est beaucoup plus grand que ça», a dit le président et chef de la direction d'Adriana Resources, Allen J. Palmiere, en entrevue plus tôt cette semaine depuis ses bureaux de Toronto. Situé dans la Fosse du Labrador à 160 kilomètres au nord de Schefferville et à 250 kilomètres au sud de Kuujjuaq, le projet du Lac Otelnuk prévoit l'extraction de 50 millions de tonnes de minerai de fer par année sur une période qui pourrait s'étendre sur 100 ans. Il comporte en outre la construction d'un concentrateur et d'une usine de bouletage sur les lieux mêmes de l'exploitation minière. Le projet prévoit aussi l'aménagement d'un tracé ferroviaire de 815 kilomètres vers le sud du lac Otelnuk et l'expansion du port de Sept-Îles pour l'accueil des énormes Chinamax, des navires pouvant transporter jusqu'à 400 000 tonnes de cargo. Une fois en production, quelque 2500 travailleurs permanents seraient requis pour l'exploitation du gisement. Les dirigeants de Wisco, l'un des plus importants aciéristes au monde, ont effectué une visite sur le terrain le mois dernier en compagnie d'ingénieurs et géologues chinois. Ils ont également rencontré le premier ministre Jean Charest le 30 août lors de sa visite à Pékin où il a fait la promotion active du Plan Nord. Les contours du projet ont été dessinés plusieurs mois avant la publication du Plan Nord, mais les mesures d'accompagnement annoncées dans le document gouvernemental en mai dernier ont séduit les promoteurs, selon l'avocat Jean Masson, qui représente Adriana au Québec. «Non seulement c'est un projet jamais vu, mais c'est quasiment aussi gros que ce qui se passe en Alberta (avec le boom pétrolier)», a-t-il illustré. En vertu d'un accord conclu au début de l'année, Wisco et Adriana se partagent respectivement 60 et 40 pour cent des parts du projet. Le géant chinois s'engage à fournir au minimum 70 pour cent du financement requis. Pour soutenir sa croissance, l'économie chinoise a besoin de fer en quantité phénoménale. Avec six milliards de tonnes en réserve, le gisement du lac Otelnuk représente certes une occasion d'affaires pour les Chinois, acquéreurs de 60 pour cent du minerai de fer dans le monde. Wisco veut aller vite et projette de commencer une première phase de production en 2016. «C'est un objectif extrêmement ambitieux, mais possible», croit M. Palmiere, patron d'Adriana, qui a dû néanmoins expliquer à ses partenaires les contraintes liées aux processus de consultation et d'études en vigueur au Québec. Des contraintes auxquelles sont peu habitués les promoteurs de l'Empire du milieu. «Je leur ai dit dès le premier jour qu'il faudrait du temps. Ils voudraient que ça aille plus vite, mais ils comprennent», a dit M. Palmiere. Il reste néanmoins de longues et périlleuses étapes à franchir avant que la première cargaison de fer ne prenne la mer en direction de la Chine. Les études de faisabilité et d'impacts environnementaux de même que les audiences publiques auprès des populations inuites n'ont pas encore été menées. Une feuille de route plutôt chargée attend également les promoteurs pour le raccordement au réseau d'Hydro-Québec et pour l'utilisation des terres publiques à des fins de transport ferroviaire. L'étude de faisabilité, dont le coût est évalué à 60 millions $, doit s'étaler sur deux ans. Si les deux partenaires s'entendent sur la nécessité d'aller rondement, il n'est pas question de bousculer les étapes, a fait valoir M. Palmiere. «Ce que nous attendons du gouvernement du Québec, c'est qu'il nous accompagne pour s'assurer que toutes les étapes soient bien suivies de façon à ce qu'il n'y ait pas de faux départ, pas de délais indus. Nous allons suivre le processus à la lettre, sans brûler les étapes», a-t-il dit.
  7. Photo Bernard Brault, La Presse Presse Canadienne Montréal Un inventaire réalisé pour la ville de Montréal indique que les deux raffineries de Shell et de Pétro-Canada constituent les deux plus grosses sources ponctuelles d'émissions de gaz à effet de serre de la métropole. Avec 19 % des émissions, elles contribuent presque autant au réchauffement du climat que les émissions attribuables aux 4,1 millions de déplacements d'automobiles recensés chaque jour sur l'île. L'inventaire a été dressé par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs à partir de données statistiques des années 2002-03, les plus récentes à sa disposition. Selon cette enquête, les trois principales sources d'émissions de gaz à effet de serre à Montréal sont, par ordre d'importance, les transports (49 %), les industries (28 %) et le parc immobilier (20 %). Les émissions liées aux déchets de la ville s'élevaient quant à elles à trois pour cent. On y apprend que les deux pétrolières Shell et Pétro-Canada rejettent à elles seules 71 % des gaz à effet de serre du secteur industriel, échantillonné à partir d'une analyse des émissions de 90 grandes entreprises. Le transport des personnes et des marchandises est sans contredit la première source d'émissions de GES à Montréal avec la moitié du grand total. C'est le trafic routier qui se taille la part du lion des transports avec 86 % des émissions. Les voitures à essence génèrent à elles seules 43 % des émissions du volet transports, suivies des camions lourds au diesel (29 %) et des camions légers à essence (19 %). Montréal affiche une moyenne de 7,2 tonnes de gaz à effet de serre par habitant, ce qui en fait «un des bons élèves du monde industrialisé». En guise de comparaison, la moyenne québécoise se situe à 12 tonnes par habitant. Celle du Canada atteint 24 tonnes par habitant et celle des États-Unis, 25.
  8. Une saison très tranquille pour la Voie maritime Publié le 08 janvier 2010 à 17h11 | Mis à jour le 08 janvier 2010 à 17h16 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal La Voie maritime du Saint-Laurent vient de mettre fin à sa 50e saison de navigation en enregistrant son plus faible niveau d'activité «depuis le début des années 1960». La Corporation de gestion de la Voie maritime estime que le volume total de marchandises transportées dans le corridor aura totalisé 30,5 millions de tonnes en 2009, une baisse de 25,3% par rapport à 2008. La chute «peut être attribuée à l'importance de la récession, qui a entraîné une forte diminution des transports de minerai de fer et d'acier sur la voie navigable», a expliqué l'organisme dans un communiqué diffusé vendredi. Le président et chef de la direction de la Corporation de gestion, Richard Corfe, a rappelé que l'industrie sidérurgique, qui a grandement souffert de la récession, représentait «une forte proportion» de l'activité de la Voie maritime. M. Corfe a tenu à souligner que son équipe déployait des efforts afin de diversifier les marchandises transportées sur la Voie maritime, tout en reconnaissant que le corridor allait rester «centré» sur le transport de marchandises en vrac. «Nous préparons un avenir où la Voie maritime sera foncièrement plus polyvalente et pourra accueillir une plus vaste gamme de navires transportant des marchandises spécialisées, a indiqué le dirigeant. Nous nous employons à cette fin à mettre en oeuvre l'amarrage mains libres. Il évitera aux armateurs de devoir investir dans un équipement uniquement nécessaire à la navigation dans la Voie maritime, il réduira la taille de l'équipage nécessaire aux éclusages et il rehaussera à la fois la productivité et la sécurité.» En 2009, la Voie maritime a reçu 1,6 million de tonnes de nouvelles marchandises, qui se sont traduites par des recettes de péage de plus de 2 millions de dollars. Entre Hamilton et Montréal, on a mis en place un projet pilote qui permet le transport de conteneurs spécialisés par remorqueur et chaland, en lieu et place des liens routiers et ferroviaires. Plus tôt cette semaine, la présidente-directrice générale de l'Administration portuaire de Montréal, Sylvie Vachon, a déclaré qu'elle s'attendait à ce que le trafic se maintienne cette année par rapport à 2009, ou qu'il augmente légèrement. Elle n'entrevoyait pas le retour aux niveaux records de 2008 avant deux ou trois ans. En 2009, le port de Montréal a enregistré une baisse de 11,9% de son volume total. La Corporation de gestion s'est par ailleurs félicitée, vendredi, qu'aucune nouvelle espèce aquatique envahissante n'ait été signalée dans les eaux de la Voie maritime depuis 2006. Il s'agit de la première période de trois ans depuis 1965 au cours de laquelle on a réussi à garder ces espèces à distance, grâce notamment au rinçage des citernes de ballast à l'eau salée. La saison de navigation 2009, qui a duré 274 jours, a pris fin le 28 décembre. La Voie maritime du Saint-Laurent permet de relier l'océan Atlantique aux Grands Lacs.
  9. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
  10. Le port de Montréal a enregistré une baisse de son volume Publié le 12 août 2009 à 14h02 | Mis à jour à 14h04 La Presse Canadienne Montréal Le port de Montréal a enregistré une baisse de 18,4 pour cent de son volume de marchandises conteneurisées au cours des six premiers mois de l'année, par rapport à la période correspondante de l'an dernier. De janvier à juin inclusivement, le volume de marchandises conteneurisées s'est ainsi établi à un peu plus de 5,4 millions de tonnes, a indiqué, mercredi, l'Administration portuaire de Montréal. En nombre de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) pleins et vides, pour le premier semestre, la baisse a atteint 14,6 pour cent par rapport à la même période en 2008, pour totaliser 619 721 EVP. L'administration du port montréalais a souligné, en publiant ses résultats, mercredi, que, bien qu'ils soient baissiers, ils sont cependant meilleurs que ceux des principaux ports concurrents sur la côte Est. Les chiffres négatifs du premier semestre ont, en outre, été en partie compensés par des résultats très positifs dans le secteur du trafic maritime céréalier où le port de Montréal a connu une hausse de 31,1 pour cent par rapport à l'an dernier. L'achalandage total du terminal céréalier totalise plus de 1,2 million de tonnes pour les six premiers mois de l'année. La diversification des marchés du port a également eu un effet favorable, a souligné l'administration portuaire. Le trafic de conteneurs avec la Méditerranée a notamment connu une augmentation de 22,2 pour cent en nombre d'EVP pleins. Tous trafics confondus, la baisse de volume manutentionné au port de Montréal est de 15,4 pour cent par rapport à l'an dernier, pour atteindre près de 10,9 millions de tonnes.
  11. La société Tembec a annoncé hier qu'elle réduisait de 35 000 tonnes la production dans ses trois usines de pâte de feuillus à haut rendement afin d'équilibrer le niveau de ses stocks. Pour en lire plus...
  12. Le nouveau contrat vise la fourniture de 3600 tonnes d'acier de structure usiné comprenant des râteliers à tubes, un immeuble de traitement et des modules d'équipement. Pour en lire plus...
  13. L'entreprise réduira de 17000 tonnes sa production de papier couché entre le 1er octobre et le 1er février prochain. Pour en lire plus...
  14. http://fr.autos.sympatico.msn.ca/CentreEcolo/article.aspx?cp-documentID=10077387 Usine Subaru de Lafayette L'usine zéro déchet Usine Subaru SIA Par Hugues Gonnot Imaginez un peu qu’une énorme usine automobile capable de produire plus de 200 000 véhicules par an rejette moins de déchets en 12 mois que vous et moi en une semaine. Impossible, direz-vous! Et pourtant si. On a tous en tête l'image de la grosse usine sombre qui rejette des gaz noirs du haut de ses grosses cheminées. Si cette image est encore bien trop souvent une réalité, il existe des industriels qui font bouger les choses et ajustent leurs conditions de production pour obtenir le plus faible impact sur l'environnement possible. Pour situer un peu l'ampleur du défi de rendre une usine automobile la plus propre possible, commençons par mettre le site en contexte. L'usine SIA (pour Subaru of Indiana Automotive) de Lafayette c'est un investissement de 1,2 milliard de dollars, 3 millions de pieds carrés de surface construite, une capacité de production maximale de 262 000 véhicules par an, 17 kilomètres de convoyeurs et 3400 personnes présentes sur le site. Un peu d'histoire SIA a été incorporée en mars 1987. À l'époque, SIA voulait dire Subaru Isuzu Automotive Inc. Il s'agit effectivement d'une association entre ces deux constructeurs japonais pour produire des autos en Amérique du Nord. Le 11 septembre 1989, la première voiture est fabriquée : une Subaru Legacy. Un peu moins de 10 ans plus tard, le millionième exemplaire sort des chaînes. Si les années 90 sont bonnes pour Isuzu, le tournant des années 2000 prend une saveur amère. Les ventes baissent dramatiquement et Subaru prend l'unique propriété de l'usine le 1er janvier 2003. En 2006, Toyota prend une participation dans le capital de Fuji Heavy Industries, la maison mère de Subaru. Toyota, à la recherche de capacité de production supplémentaire, annonce que la Camry sera produite à SIA en mars 2006 et la production effective débute en février 2007. Actuellement, SIA est la seule usine qui produit les Tribeca, fabrique toutes les Legacy et Outback destinées au marché nord-américain, ainsi qu'une partie des Camry nord-américaines. L'usine incorpore aussi une unité d'assemblage des 4-cylindres à plat qui sont installés dans les Legacy et Outback, dont les versions PZEV, pour Partial Zero Emission Vehicule. Dans la classification californienne, PZEV est le meilleur niveau qu'un véhicule à moteur conventionnel peut atteindre en termes de pollution. L'avantage par rapport à un hybride est le surcoût pratiquement négligeable tout en émettant 90% en moins d'émissions polluantes qu'un véhicule conventionnel. Pour 2008, SIA devrait produire aux environs de 28 000 Tribeca, 78 000 Legacy et Outback et 92 000 Camry. Usine Subaru SIA : tri des emballages à réutiliser Usine Subaru SIA : tri des emballages à réutiliser - Cliquez ici pour la galerie complète (photo: Subaru) Ça part de haut Vous pouvez facilement imaginer que réduire les déchets à zéro pour une telle opération ne s'est pas fait en un claquement de doigt. C'est la direction de Fuji Heavy Industries qui a fixé les objectifs ambitieux en matière d'environnement. L'important est d'obtenir l'adhésion de tout le monde pour mener à bien un tel projet. « Les meilleures idées viennent toujours de nos associés (nom utilisé ici pour les employés) » d'expliquer Denise Coogan, directrice des affaires corporatives, de la sécurité et de l'environnement. Denise étant d'ailleurs probablement la plus enthousiaste de tous. Tout a commencé par ce que Denise appelle sa « plongée dans les poubelles ». Elle et son équipe ont été recenser ce que l'usine produisait quotidiennement comme déchets et se sont ensuite attelés à les éliminer un par un. Les 3R C'est le nom de la méthode qui a permis de remplir l'objectif. 3R tient pour réduire, réutiliser et recycler. Réduire, c'est traiter le problème à la base. De plus, c'est là que le plus gros impact économique se fait (parce que oui, on peut être vert ET sauver de l'argent!). En optimisant le processus de production, l'équipe de SIA a réussi à faire passer la quantité de déchets générés de 459 livres par véhicule produit (208 kilos) en 2000 à 251 livres (114 kilos) en 2007, soit une réduction de 45%. Usine Subaru SIA : tri des polystyrènes qui repartiront au Japon Usine Subaru SIA : tri des polystyrènes qui repartiront au Japon - Cliquez ici pour la galerie complète (photo: Subaru) Réutiliser, c'est perdre le réflexe de jeter dès la première utilisation. Avec une bonne réflexion, l'équipe de SIA a réussi à rendre une seconde vie à tous les emballages, quitte à les faire modifier. Par exemple, tous les emballages de pièces en polystyrène utilisés dans l'usine de moteurs sont réexpédiés au Japon. Ces emballages font faire au moins 5 allers et retours avant d'être recyclés. Grâce à cela, ce sont 1930 tonnes d'emballages, 812 tonnes de palettes et 22 tonnes d'huiles et d'absorbant à huile qui ont été épargnés l'an dernier. Quand on ne peut plus réduire et réutiliser, il reste encore la possibilité de recycler. Là encore, tout est traqué. Par exemple, un effort a été fait sur le nettoyage de l'atelier d'emboutissage pour récupérer jusqu'aux copeaux d'acier. Résultat, l'usine à recyclé 13 142 tonnes d'acier en 2007. Est aussi recyclé tout ce qui est carton et papier (1448 tonnes l'an dernier), plastique et emballages (194 tonnes), bouteilles et cannettes (20 tonnes), solvants et tissus de nettoyage (10 tonnes) et même jusqu'aux tubes d'éclairage halogènes (4 tonnes). Le recyclage des tubes est intéressant. L'usine s'est dotée d'un appareil qui mange littéralement ces tubes et sépare automatiquement les matériaux pour les envoyer au recyclage. Une unité qui génère énormément de polluants, c'est la peinture. Cette unité vient de se convertir à la technologie de peinture à l'eau et tous les rejets sont valorisés d'une façon ou d'une autres alors que les différents solvants sont récupérés. Le taux de recyclage atteint les 99,8%. Les 0,2% restants sont incinérés. Ce sont en général des produits pour lesquels l'EPA (Environment Protection Agency) exige de toute façon une incinération. Usine Subaru SIA : recyclage du papier Usine Subaru SIA : recyclage du papier - Cliquez ici pour la galerie complète (photo: Hugues Gonnot) Des efforts récompensés Les effets d'une telle politique n'ont pas tardés à se faire sentir. En 1998, SIA devenait la première usine automobile nord-américaine certifiée par la norme environnementale ISO 14001 et, en 2003, elle devenait la première usine automobile désignée comme habitat pour la vie sauvage par la National Wildlife Federation. En effet, on retrouve un peu partout des rennes, des canards, des oies sauvages du Canada, des hérons bleus, des lapins et même une famille d'aigles à tête blanche (quand on sait quel symbole représente cet oiseau pour les américains). Et finalement, l'objectif de zéro déchet a été réalisé en 2004. Les efforts de SIA ont été aussi reconnus au travers de nombreuses récompenses : l'EPA a attribué deux prix prestigieux (réduction de l'empreinte industrielle en 2006 et du recyclage en 2007) alors que le gouverneur d'Indiana décernait le prix de l'excellence environnementale en 2003 et en 2006. Usine Subaru SIA : ligne de fabrication de la Toyota Camary Usine Subaru SIA : ligne de fabrication de la Toyota Camary - Cliquez ici pour la galerie complète (photo: Hugues Gonnot) Des nombreuses grandes entreprises viennent visiter SIA pour découvrir leurs méthodes de gestion des contraintes environnementales et de sécurité. Car SIA présente un taux d'accidents trois fois moins élevé que la moyenne nationale. Un exemple à suivre Au-delà des chiffres et des procédés, l'usine SIA envoie deux messages forts. Un : c'est possible! Il est possible de maintenir une activité industrielle de pointe tout en réduisant de façon notable l'impact sur l'environnement. Deux : cela prend la coopération de tous. Impliquer tout et chacun est indispensable. Compter sur le volontariat, comme nous le faisons trop souvent en Amérique du Nord, ne suffit pas. Bon, c'est pas tout ça, mais je dois aller trier mon recyclage moi!
  15. Statistique Canada prévoit que les fermiers canadiens produiront 10,4millions de tonnes de canola cette année, un record de production. Pour en lire plus...
  16. Le plus grand producteur d'engrais au monde prévoit investir 1,6 G$ US pour ajouter 2,7 millions de tonnes à la capacité de potasse de trois de ses usines et mines en Saskatchewan. Pour en lire plus...
  17. Cette usine qui était en opération depuis 90 ans et qui produisait annuellement 48 000 tonnes de carton recyclé, fermera définitivement ses portes le 28 août prochain. Pour en lire plus...
  18. L'Algérie, tablant sur une énergie bon marché, prévoit la production à terme de 2,2 millions de tonnes d'aluminium par an, destinées essentiellement à l'exportation, pour diversifier son économie dépendante des hydrocarbures. L'Algérie veut ainsi tirer profit de la hausse de la demande mondiale d'aluminium, laquelle augmente chaque année de 4%, soit 1,3 million de tonnes, a indiqué le PDG de Sonatrach, Mohamed Meziane. Pour en lire plus...
  19. Port de Montréal / Montreal Port Authority : l’avenir est aux conteneurs L'APM a connu une hausse de 9,4% du trafic des conteneurs l'an dernier. La direction du port de Montréal n’a qu’un mot en tête pour les prochaines années… «croissance». C’est ce qui ressort de l'assemblée générale annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM) qui s'est déroulée aujourd’hui. Côté bilan, l’APM rapporte un bénéfice net de 8,4 millions de dollars pour l'exercice clos le 31 décembre 2007. Il s’agit, selon la direction du port, d’une 28e année consécutive avec un bénéfice. Les produits générés par l'APM s'établissent à 86 millions de dollars, soit une augmentation de 4,1 % par rapport à 2006. L'APM a aussi connu une hausse de 9,4% du trafic des conteneurs et une augmentation de 3,6% de son volume total qui atteint 26 millions de tonnes. Et ce n’est pas fini si on en croit la direction du port. «Tous les indicateurs nous montrent que le trafic maritime de conteneurs sur la Côte est Nord-américaine connaîtra une croissance de 7% annuellement jusqu'à 2015», affirme le pdg du port Patrice M. Pelletier. Objectif 2020 La direction du port veut augmenter graduellement sa capacité d’ici 2020. Le grand patron de l’APM explique que la croissance du trafic maritime mondial continuera et s'intensifiera grâce à une consolidation des marchés et à la création de nouveaux terminaux portuaires. «Les ports de la Côte est américaine font des investissements considérables afin d'augmenter leur capacité et réduire les temps de transit vers le riche et populeux marché du Midwest américain. Nos concurrents agissent en se donnant les moyens d'obtenir des parts de marchés additionnelles, il nous faut aussi agir et ce dès maintenant», a insisté M. Pelletier. Sans donner de chiffres précis, l’APM affirme qu’elle investira dans de nouvelles infrastructures qui lui permettront d'accueillir ces nouveaux trafics. Annuellement, ce sont 26 millions de tonnes de marchandises qui transitent par le Port de Montréal. http://www.lesaffaires.com/article/0/transport-et-produits-industriels/2008-04-10/475813/port-de-montreal--lavenir-est-aux-conteneurs-.fr.html
  20. http://www.lesaffaires.com Le port de Montréal a enregistré des résultats records en 2007 Presse Canadienne 19 février 2008 L'Administration portuaire de Montréal (APM) a annoncé mardi que le volume de trafic du port de Montréal avait atteint un sommet de 26 millions de tonnes en 2007, grâce à une forte hausse du trafic conteneurisé. L'APM a précisé que le volume de trafic du port de la métropole québécoise avait augmenté de 912 091 tonnes, soit 3,6 pour cent, par rapport à 2006. Les marchandises diverses, conteneurisées ou non, ont représenté l'an dernier le principal secteur d'activité du port. Le volume de cette catégorie a atteint 12,7 millions de tonnes, en hausse de 7,6 pour cent, ou 892 095 tonnes. Les marchandises conteneurisées ont été au coeur des augmentations dans ce secteur puisque le trafic a atteint 12,4 millions de tonnes grâce à une hausse légèrement supérieure à un million de tonnes, ou 9,4 pour cent. Le président-directeur général de l'APM, Patrice Pelletier, a d'ailleurs dit croire que le transport par conteneurs serait au centre d'une stratégie qui aidera le port à demeurer la porte d'entrée privilégiée sur la côte Est de l'Amérique du Nord pour ses clients. En 2007, la catégorie des vracs liquides, constituée de pétrole, de bitume d'asphalte, d'éthanol, de vins et d'alcools divers, a continué de gagner en importance, ayant atteint son plus haut niveau depuis 1984, avec 7,9 millions de tonnes, une hausse de 1,7 pour cent par rapport à 2006. Le trafic de vracs solides s'est établi à quelque 5,5 millions de tonnes, en légère baisse de 2,1 pour cent. Le trafic maritime des céréales a reculé de 8,8 pour cent, soit un total de 1,3 million de tonnes. Quant aux autres vracs solides, en très légère hausse de 0,2 pour cent, ils avoisinaient 4,2 millions de tonnes.
  21. 24 avril 2007 - Presse Canadienne Plus de 25 millions de tonnes de marchandises ont transité par le port de Montréal en 2006, son meilleur résultat à ce jour, et l'agence fédérale prévoit que ses activités atteindront un autre niveau record en 2007. Le président du port, Dominic Taddeo, a indiqué mardi qu'il s'attend à une autre année de croissance au chapitre de l'achalandage total, notamment grâce au trafic des conteneurs et aux produits pétroliers. «En se fiant au premier trimestre, (cette année) sera probablement encore plus solide que ça, a-t-il dit en marge de l'assemblée annuelle de l'agence. Nous avions prévu une croissance entre 3 et 4 % (...), ce sera peut-être un peu plus élevé, on ne sait jamais.» M. Taddeo a précisé que des transporteurs maritimes ont délaissé certains ports américains et canadiens au profit de celui de Montréal «et ça se reflète dans nos résultats». Il s'est notamment targué de voir que certains transporteurs préfèrent maintenant le port de Montréal à ceux de Halifax et de New York en «raison de l'accès fiable qu'offre Montréal pour les destinations du nord-est américain et du Midwest». M. Taddeo a aussi expliqué, lors de l'assemblée annuelle, que le trafic maritime total à la fin du premier trimestre était en hausse de 3,8 %, à 5,5 millions de tonnes, ce qui représente une amélioration de 201 000 tonnes par rapport à la même période en 2006. Le chef de la direction, qui est âgé de 68 ans, a aussi confirmé qu'il prendra sa retraite cette année, après avoir assuré la direction du port depuis 1984. «Je planifie de quitter vers la fin de l'année, probablement à l'automne, a-t-il dit. Je suis très fier de ce que nous avons pu accomplir.»
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