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  1. La Bourse de Montréal déménagera en 2018 dans la Tour Deloitte, un nouvel immeuble situé tout près du Centre Bell, au centre-ville. Un bail à long terme a été signé et les travaux pour adapter l'espace aux besoins des futurs locataires débuteront cet automne. Dans un communiqué conjoint publié jeudi, la firme immobilière Cadillac Fairview et le Groupe TMX ajoutent que les bureaux montréalais de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs, de la Corporation canadienne de compensation de produits dérivés, de la Bourse de Toronto et de la Bourse de croissance TSX occuperont approximativement 44 000 pieds carrés répartis sur deux des 26 étages de cette tour de bureaux. Lou Eccleston, Chef de la direction, Groupe TMX, soutient que la nouvelle Tour Deloitte proposera un environnement de travail inspirant, durable, adapté aux besoins des employés et situé à proximité des clients locaux. La Bourse de Montréal est installée depuis 1965 dans la Tour de la Bourse, au Square Victoria.
  2. La Bourse de Montréal, spécialisée dans les échanges de produits dérivés, a battu son propre record d'activités en 2012 alors que ses concurrents nord-américains étaient en baisse. Un peu plus de 64 millions de contrats à terme et options ont été échangés à la Bourse de Montréal l'an dernier, 3,8% de plus qu'en 2011. De plus, cette hausse en apparence faible s'est avérée à contre-courant du marché nord-américain des produits dérivés, dont le volume était en recul de 13%. Cette performance avantageuse de la Bourse de Montréal dans un marché très concurrentiel lui a d'ailleurs valu des éloges de la part des dirigeants du groupe TMX (T.X), qui diffusait ses résultats de fin d'exercice hier à Toronto. «Nous sommes extrêmement satisfaits d'avoir maintenu la croissance du volume, ce qui semble anormal en comparaison de ce qui s'est passé dans le marché mondial des contrats à terme et des options», a indiqué Thomas Kloet, président et chef de la direction de TMX, au cours de la téléconférence d'analystes. Selon M. Kloet, deux facteurs principaux expliquent cette bonne tenue de la Bourse de Montréal. D'une part, le marché boursier canadien a encore attiré beaucoup d'investisseurs étrangers l'an dernier, ce qui a accru leur recours à des produits dérivés d'origine canadienne comme outils de gestion de risque de leurs placements. D'autre part, a souligné le président de TMX, la Bourse de Montréal et son marché des produits dérivés se démarquent de plus en plus au niveau international. Et même à Londres, la métropole financière mondiale où TMX a un bureau de commercialisation depuis deux ans. «Après Londres, nous serons en Asie au cours des prochains mois pour promouvoir nos produits et services. Le plus intéressant pour nous, c'est que MX (surnom de la Bourse de Montréal) est devenu un produit d'attrait international, et non plus seulement au Canada», a indiqué M. Kloet. Cette importante croissance de la Bourse de Montréal au sein du groupe TMX se manifeste aussi dans ses résultats financiers. Pour le deuxième exercice consécutif, TMX a encaissé en 2012 plus de revenus provenant des frais transactionnels des produits dérivés que ceux provenant des transactions d'actions à Toronto. Ces revenus à la Bourse de Montréal et sa filiale BOX à Boston ont atteint 115,5 millions de dollars en 2012, en hausse de 2% en un an. En comparaison, les revenus transactionnels aux Bourses d'actions de Toronto et TSX-Croissance ont reculé de 12%, à 92,9 millions. Ce recul s'explique surtout par la baisse prononcée des volumes d'actions en 2012 (-20% à Toronto et -37% à TSX-Croissance) alors que le volume de produits dérivés augmentait de 3,8%. Quant aux chances de la Bourse de Montréal de maintenir cet élan en 2013, tout indique qu'elles dépendront de l'attrait des investisseurs pour les produits dérivés alors que les Bourses d'actions sont en poussée haussière. Dans les résultats financiers de TMX, aussi, les attentes demeurent floues, alors que le groupe doit encore intégrer de nouvelles activités (Bourse Alpha à tarifs réduits, firme de compensation CDS) obtenues au moment de la prise de contrôle par le consortium financier Maple. Ce consortium de 13 institutions financières, dont la Caisse de dépôt et placement, la Banque Nationale et du Mouvement Desjardins, a réalisé une mainmise de 3,8 milliards sur TMX en juillet dernier, au terme de 18 mois de démarches financières et réglementaires. Dans ses résultats publiés hier, TMX affiche un profit net de 34,7 millions au quatrième trimestre comparativement à une perte de 10,2 millions un an plus tôt. Pour l'exercice partiel de huit mois terminé le 31 décembre, TMX a dégagé un profit de 20,7 millions au lieu d'une perte de 37,3 millions en 2011. En Bourse, les investisseurs ont manifesté leur satisfaction. Les actions de TMX ont pris 2,2%, à 56,73$. Il s'agit d'un nouveau sommet depuis celui de 57$ atteint en juillet 2007, juste avant la crise financière et le krach boursier de 2008. ------------------ Volume des contrats à terme et d'options (1) Année - Millions 2012 64,2 2011 61,9 2010 44,3 2009 34,7 2008 38 2007 42,7 2006 40,5 2005 25,8 2004 21,8 2003 17,6 1: Produits dérivés de sources diverses, en ordre de volume décroissant en 2012: actions, taux d'intérêt à court terme, obligations, fonds négociés en Bourse (fnb), indices boursiers, devises. Source: Bourse de Montréal (Gr.TMX) http://affaires.lapresse.ca/economie/services-financiers/201302/07/01-4619204-annee-record-a-la-bourse-de-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  3. (Courtesy of The Globe and Mail) First stop London, next stop global domination!
  4. (Courtesy of The Globe and Mail) If TMX does look to merge with an exchange somewhere, who do you think would be their best fit?
  5. Le Groupe TMX abolit 10% de son effectif 4 novembre 2008 - 09h36 LaPresseAffaires.com Michel Munger Cette restructuration vise à consolider les réseaux de connectivité et l'hébergement des clients sur un seul site afin de réduire les dépenses. Après une fusion printanière au Groupe TMX (X), c'est une restructuration automnale qui est annoncée mardi. En effet, l'entreprise fusionnée qui comprend la Bourse de Montréal, lance l'intégration de ses bureaux et centres de données. Le TMX prévoit d'abolir les postes de 10% de sa main d'œuvre, soit 85 emplois, sur 14 mois. Cette restructuration vise à consolider les réseaux de connectivité et l'hébergement des clients sur un seul site afin de réduire les dépenses. «Il est malheureux que nous ne puissions retenir tous les employés de l'organisation regroupée, déplore le PDG Thomas Kloet. Je suis toutefois convaincu que nous avons mis au point la meilleure structure pour assurer le succès du Groupe TMX à l'avenir.» Par contre, le Groupe TMX affiche son intention d'accroître ses activités des dérivés avec de nouveaux produits comme les contrats à terme basés sur l'indice canadien de volatilité et les mini-contrats à terme sur indices boursiers. Son plan de croissance inclut l'expansion de la compensation des dérivés hors cotes et des développements supplémentaires à sa plateforme technologique SOLA, qui soutient la Bourse de Montréal et le Boston Options Exchange. Si tout fonctionne comme prévu, ce plan rapportera 10 M$ de nouveaux revenus par année et entraînera la création d'une trentaine d'emplois hautement spécialisés à la Bourse de Montréal. «Dans le contexte financier actuel, nous voyons de bonnes occasions d'offrir une plus grande efficacité à nos clients, tout en développant le volet gestion de risques de nos activités, une composante clé de la Bourse de Montréal», commente Luc Bertrand, chef adjoint de la direction du Groupe TMX et patron de la Bourse de Montréal. «Montréal continuera d'être le centre d'expertise sur les dérivés, en maintenant des positions qui sont basées sur le savoir-faire et l'innovation, au soutien de sa gamme de produits actuels et nouveaux», assure le dirigeant. L'action du Groupe TMX a clôturé à 28,50 $ lundi à Toronto.
  6. Après une fusion printanière, c'est une restructuration automnale et l'abolition de 85 postes qui est annoncée mardi. Pour en lire plus...
  7. Le chef de la direction du groupe, Thomas Kloet, a fait état lundi de signes d'amélioration du marché du crédit, en dépit de la très grande instabilité des marchés financiers. Pour en lire plus...
  8. Pas évident d'apprivoiser la présidence de la principale entreprise de Bourse au Canada, en pleine crise des marchés financiers, affirme Thomas Kloet. Pour en lire plus...
  9. Au moins un des personnages-clés de Bay Street n'est pas un farouche défenseur d'un organisme pancanadien de réglementation des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  10. Luc Bertrand mise 372 000 $ sur le Groupe TMX 2 septembre 2008 - 13h50 LaPresseAffaires.com Michel Munger Si l'achat d'actions par un haut dirigeant sur le marché est traditionnellement perçu comme un signe positif, certains s'enthousiasmeront bientôt pour le titre du Groupe TMX (X). La raison ? Luc Bertrand, chef adjoint de la direction et patron de la Bourse de Montréal, a ouvert les vannes et acheté 10 786 actions du TMX le 22 août. M. Bertrand a payé 34,4626 $ l'unité en effectuant cette transaction, pour un investissement total d'environ 372 000 $ dans la compagnie boursière qu'il dirige. Après coup, il détenait 737 000 actions du Groupe TMX. Click here to find out more! Un tel achat ne peut passer inaperçu parce que le sort de Luc Bertrand a fait couler beaucoup d'encre ces derniers mois. Quand Richard Nesbitt a quitté la tête du Groupe TSX, peu après avoir annoncé la fusion avec la Bourse de Montréal, M. Bertrand était vu comme le successeur désigné. C'est toutefois l'Américain Thomas Kloet qui a été débauché chez le courtier Newedge USA pour prendre le poste en juillet. En plus des questions entourant son rôle au Groupe TMX, Luc Bertrand a déjà démenti tout intérêt pour prendre la relève d'Henri-Paul Rousseau à titre de PDG de la Caisse de dépôt et placement du Québec. L'action du Groupe TMX gagnait 0,3% à 34,72 $ mardi après-midi à Toronto.
  11. Si l'achat d'actions par un haut dirigeant sur le marché est traditionnellement perçu comme un signe positif, certains s'enthousiasmeront bientôt pour le titre du Groupe TMX. Pour en lire plus...
  12. La Bourse de Montréal devient majoritaire dans la BOX 29 août 2008 - 16h41 LaPresseAffaires.com La Bourse de Montréal a conclu une acquisition lui procurant une participation majoritaire de 53,2% dans la Boston Options Exchange Group (BOX). La société du Groupe TMX a également acquis une participation de 21,9% d’un autre associé principal de BOX, la Boston Stock Exchange. Pour les officiels de la Bourse de Montréal, cette acquisition témoigne du désir de l’institution d’obtenir une part de marché plus importante aux Etats-Unis. «Hausser notre investissement dans BOX témoigne de notre confiance envers notre stratégie visant à accroître notre présence sur le marché américain des options sur actions», a indiqué Luc Bertrand, chef adjoint de la direction du Groupe TMX et PDG de la Bourse de Montréal. Pour la Bourse de Montréal, il s’agit d’une association naturelle. La BOX est un marché de produits dérivés entièrement électronique tout comme la bourse montréalaise. La Boston Options Exchange a été créé en février 2002.
  13. Le chef de la direction Thomas Kloet affirme que les Bourses de Toronto et Montréal, récemment fusionnées, pourraient commencer à transiger des contrats à terme de produits de base. Pour en lire plus...
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