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  1. Publié le 22 septembre 2014 à 10h26 | Mis à jour le 22 septembre 2014 à 10h26 Une résidence étudiante qui détonne Marie-Eve Morasse La Presse L'idée que l'on se fait des résidences étudiantes est peu reluisante. On les imagine ternes, défraîchies et meublées sans éclat. À deux pas de l'Université McGill, une nouvelle résidence universitaire vient renverser les idées préconçues. Ce sont les architectes de l'agence Kanva qui ont imaginé cette résidence de 30 chambres qui détonne. Le terrain, à un jet de pierre de l'entrée de l'université, a dicté le projet. «C'était un terrain vacant en face du campus, directement rue University. La résidence étudiante est venue naturellement. Si on avait été un kilomètre plus loin, ça aurait probablement été autre chose», dit Tudor Radulescu, cofondateur de Kanva. Là où se trouvait un stationnement s'élève aujourd'hui la Résidence Edison. En ébauchant leurs plans, les architectes ont d'abord tenu compte de leur clientèle. Comme bien des jeunes y éliront domicile au cours des prochaines années, il fallait un bâtiment durable. «C'est un bâtiment entièrement en béton. Il faut vraiment se lever tôt pour y faire des dommages! Ce n'est pas une prison, mais la construction est en fonction des besoins de solidité, des besoins acoustiques, des besoins d'intimité», explique Tudor Radulescu. Les chambres, privées ou doubles, sont petites mais on ne s'y sent pas coincé. «On arrive à donner un certain confort, un certain volume. Les plafonds sont hauts, la fenestration est généreuse. On veut offrir une qualité qui ne se limite pas à dire «j'ai une chambre de 150 pi2».» Pour l'instant, la majorité des étudiants qui y ont établi domicile ne sont pas de la province. Ils auront l'occasion de fraterniser dans les espaces publics pensés par les architectes. «Les lieux communs sont essentiels, c'est une place de choix, dit Tudor Radulescu. Nous voulions quelques chose de convivial, qui encourage les échanges.» Un clin d'oeil architectural au passé La référence à Thomas Edison dans le nom de la résidence n'est pas fortuite. Pour souligner qu'elle a été construite là où un bâtiment a brûlé dans les années 60, on a eu recours à des images tirées du film Montreal Fire Department on Runners, tourné à Montréal par Thomas Edison en 1901. Grâce à une technique appelée photogravure, les images ont été insérées sur les panneaux de béton et peuvent être vues en façade et dans la porte cochère. «Il n'y a pas de couleurs ni de différences de ton dans le béton. Ce sont des coupures de profondeur et de largeur différentes qui créent des ombrages avec la lumière et c'est ce qui crée des images. C'est subtil. Selon l'angle, il est possible qu'on ne voie rien de spécial, mais tout d'un coup, on arrive dans un autre angle et les ombrages prennent vie», explique Tudor Radulescu. Dans son très court film, Thomas Edison a immortalisé les pompiers de Montréal tandis qu'ils défilaient avec leurs nouveaux équipements pourvus de la plus récente technologie. Le choix du film n'est pas un hasard pour un bâtiment situé tout près de l'Université McGill. «C'est également pour le côté développement de nouvelles technologies qui va avec des études universitaires», explique l'architecte. Trois types de chambres sont proposées. Les prix spéciaux, au départ offerts pour des réservations pendant le mois d'août, étaient toujours en cours au moment d'écrire ces lignes (de 595$ à 895$ par mois par étudiant). edisonresidence.com SOURCES : http://www.lapresse.ca/maison/architecture/201409/22/01-4802417-une-residence-etudiante-qui-detonne.php http://www.edisonresidence.com http://www.worldarchitecturenews.com/interiors/index.php?fuseaction=project.projectview&ctid=25&prid=24643 http://www.e-architect.co.uk/montreal/edison-residence-in-montreal http://www.archello.com/en/project/edison-residence# http://www.citylab.com/design/2014/08/montreals-newest-concrete-slab-building-is-brightened-with-film-stills-by-thomas-edison/375996/ http://www.dezeen.com/2014/08/11/edison-residence-by-kanva-concrete-panel/ Photography is by Marc Cramer.
  2. Quel héritage pour l'économie de Vancouver? Publié le 27 février 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Vincent Brousseau-Pouliot La Presse Des touristes, des routes, un centre de congrès, une ligne de métro. Pour la ville hôtesse des Jeux de Vancouver, l'héritage olympique ne se calculera pas en médailles mais en milliards de dollars. Comme si la Colombie-Britannique ne manquait pas de médailles d'or, la province hôtesse des Jeux olympiques vient d'en recevoir une supplémentaire la semaine dernière. Celle du Conference Board du Canada. Selon le Conference Board, la Colombie-Britannique connaîtra la plus grande croissance économique parmi les provinces canadiennes cette année. Les Jeux olympiques et leurs 250 000 visiteurs y sont pour quelque chose. Pour 770 millions de dollars, calcule l'économiste Marie-Christine Bernard. «La Colombie-Britannique aurait très bien fait quand même, mais les Jeux sont le dernier coup de pouce qui lui donne la première place », dit Marie-Christine Bernard, qui parle de la «reprise en or» de la Colombie-Britannique dans son étude du Conference Board publiée la semaine dernière. Sitôt les compétitions terminées, une autre discipline olympique commencera chez les économistes du pays : le calcul des retombées des Jeux de Vancouver. Jusqu'ici, l'aventure olympique a coûté cher ? jusqu'à 7,3 milliards selon nos calculs, incluant les onéreuses dépenses infrastructures. La Colombie-Britannique estime les retombées économiques à 4 milliards de dollars. « Les Jeux ont aidé la province à moins souffrir de la récession, dit l'économiste québécois Thomas Lemieux, professeur à l'Université de la Colombie-Britannique (UBC). En ce sens, le timing des Jeux était assez bon. » Une fois les Jeux terminés et les factures payées, Vancouver s'attend maintenant à rentabiliser son investissement en accueillant une horde de touristes attirés par son nouveau charme olympique. Depuis la mi-janvier, Tourism BC décline sa campagne de pub télé destinée au marché nord-américain. Le joueur de basket Steve Nash, la chanteuse Sarah McLachlan et les comédiens Ryan Reynolds et Michael J. Fox, tous des vedettes au pays de l'Oncle Sam, vantent les mérites de leur province natale. «La visibilité olympique sera importante, mais l'effet sera mitigé parce que Vancouver est déjà une destination touristique connue », croit Jimmy Jean, économiste pour Moody's Economy.com à Philadelphie. Son collègue Thomas Lemieux doute aussi du charme olympique de Vancouver. «Je n'ai pas l'impression qu'il y aura un gros impact au plan touristique après les Jeux, dit le professeur d'économie à UBC. Les touristes américains qui viennent pour les Jeux connaissent déjà bien Vancouver. En plus, je ne suis pas sûr que les Jeux aient été excellents pour la réputation de Vancouver comme destination touristique hivernale. Probablement que les effets touristiques seront plus importants à Whistler...» Durant les Jeux, les visiteurs olympiques provenaient à 70% du Canada et à 10% des États-Unis. L'Europe et l'Asie se partageaient les 20% restants, selon les chiffres de Tourism BC. L'immobilier resterait stable Outre le nombre de touristes, il faudra surveiller l'état du marché immobilier post-olympique à Vancouver. Selon une étude de l'École de gestion de UBC, le marché immobilier post-olympique des villes hôtesses n'est ni euphorique, ni catastrophique. En clair, les Jeux ne changent rien au prix des logements dans sa ville hôtesse. Normalement, il s'agit d'une bonne nouvelle pour les contribuables des villes hôtesses, qui paient leurs taxes foncières en fonction de la valeur de leur propriété. Mais la réalité pourrait être plus complexe dans le cas de Vancouver. En raison du resserrement du marché du crédit, la Ville de Vancouver a dû se porter garante du financement du village olympique. Le coût du projet est évalué à 1,1 milliard, et la Ville est exposée à hauteur d'environ 700 millions. Elle récupérera tout son argent si le promoteur Millenium Development parvient à vendre les condos restants ? 472 des 737 condos ? à un prix suffisamment élevé. « Le marché immobilier a repris, surtout depuis six mois. La Ville de Vancouver pourrait s'en sortir », dit Thomas Lemieux. Si la catastrophe financière du village olympique peut être évitée, le principal héritage des Jeux de Vancouver pourrait bien être les infrastructures construites en prévision des Jeux. La ligne de métro Canada Line, qui relie le centre-ville à l'aéroport. Le centre des congrès, qui attirera davantage de visiteurs internationaux. La nouvelle route Vancouver-Whistler, qui rendra le transport plus facile vers cette montagne très prisée des skieurs. Les nouvelles infrastructures auront un impact direct sur la qualité de vie des Vancouvérois. Elles règleront même plusieurs problèmes au département d'économie de l'Université de la Colombie-Britannique, qui sera dirigé par l'économiste québécois Thomas Lemieux en 2014. «Les horaires des professeurs sont très compliqués à gérer à cause des bouchons de circulation à Vancouver, dit-il. Plusieurs collègues qui vivent à Richmond ne veulent pas prendre des cours tôt le matin ou tard l'après-midi à cause de la circulation. Mais avec la construction du Canada Line, on peut se rendre facilement de Richmond au centre-ville. C'est un peu comme si on venait tout juste de relier la rive sud de Montréal au métro... »
  3. http://www.nationalpost.com/most-popular/story.html?id=1714603 This article hit the nail on the head. If a company were to make an ad poking fun at a woman for working at a job usually dominated by men, there would be a ton of complaints, lawsuits, etc. But men, and specifically fathers are fair game since they don't tend to complain about such things...
  4. Le président actuel, Richard J. Currie, a indiqué qu'il ne se représenterait pas au poste d'administrateur. Le Conseil annonce également son intention d'élire Thomas C. O'Neill, au poste de président du Conseil. Pour en lire plus...
  5. Le président du syndicat des TCA, Ken Lewenza, affirme que des responsables de l'entreprise lui ont dit qu'«aucune somme d'argent au monde» ne pourrait changer le sort de l'usine. Pour en lire plus...
  6. Le chef de la direction du groupe, Thomas Kloet, a fait état lundi de signes d'amélioration du marché du crédit, en dépit de la très grande instabilité des marchés financiers. Pour en lire plus...
  7. Daimler to close St. Thomas, Ont., plant The Canadian Press October 14, 2008 at 1:30 PM EDT ST. THOMAS, Ont. — Daimler AG is ending truck production at plants in southwestern Ontario and Oregon and cutting 2,300 jobs as the German automaker tries to cope with depressed demand for its heavy vehicles. The closure of the St. Thomas assembly plant, announced Tuesday, will see the loss of another 700 jobs and is the latest blow to hit Canada's manufacturing sector, centred in Ontario and Quebec. A local business leader in St. Thomas said people are “just reeling” from the planned shutdown in the community, which has already seen cuts at a local Ford Canada auto assembly plant and recent layoffs at Magna-owned Formet Industries and 3M in London. “It spins through the entire region,” said Bob Hammersley, general manager of the St. Thomas and District Chamber of Commerce. Videos 00:01:42 GM closes plants in Wisconsin, Michigan General Motors Corp.'s efforts to hoard cash and outlast a prolonged economic slump claimed the jobs of more than 2,700 workers Monday “About 700 workers are directly affected,” but a “lot of suppliers will be affected by the news. The jobs that are going to be lost are not just jobs that are in the city of St. Thomas, but they extend through the entire region.” Blue-collar industries in Canada have seen thousands of jobs wiped out because of the restructuring auto industry, the high value of the loonie in the last two years and the slump in the United States economy, which has cut demand for Canadian-built cars and trucks. In recent months, General Motors, Deere & Co., Volvo and other industrial companies have cut jobs and announced plans to shut down plants in southern Ontario. Earlier Tuesday, Daimler announced in Germany that its North American truck division will drop its Sterling brand and end truck production in St. Thomas next March, when the company's current agreement with the Canadian Auto Workers union expires. However, the German company said it will make additions to its Freightliner and Western Star truck operations to cover the markets for those brands. Daimler Trucks North America will also close its Portland, Ore. truck plant in June 2010, when current contracts there expire. The company said Western Star production will shift to a plant in Santiago, Mexico, while Freightliner-brand military vehicles will be produced at one of its factories in the Carolinas by mid-2010. Daimler said about 2,300 workers at St. Thomas and Portland will be affected by mid-2010.That includes previously announced layoffs of 720 workers at the Ontario plant, whose jobs will go next month. The company also plans to cut its administrative workforce by about 1,200 — with more than half of those directly related to the Sterling brand. A voluntary separation program will be offered. Ken Lewenza, president of the Canadian Auto Workers union, said the plant closure will mean the loss of 1,300 jobs, including workers who will be laid off Nov. 4, and will deal a huge blow to St. Thomas. “This is another example of the loss of hundreds of highly skilled, family supporting jobs which cannot be replaced by the slew of recently created part-time jobs,” said Mr. Lewenza. Last week, Statistics Canada reported creation of 107,000 jobs in the economy in September, but nine in 10 of those were part time. Daimler said in a statement that the truck restructuring plans were drawn up “in response to continuing depressed demand across the industry and structural changes in the company's core markets.” “We are confident that this forward-looking strategy for (Daimler Trucks North America) is the right measure to address the challenges in the North American market,” said Andreas Renschler, the Daimler board member responsible for the truck operation. During a telephone conference call, Mr. Renschler stressed that “we can't wait for a government bailout with taxpayer money.” “We have to act now,” he said. “And that's exactly what we're doing.” The St. Thomas cuts are in addition to the 720 workers already scheduled to be laid off next month with the elimination of one of the plant's last two shifts. Daimler laid off 600 people at the St. Thomas plant last year when the first of three shifts was cut. The plant produces a range of medium- and heavy-duty trucks and once employed more than 2,200 people. With the U.S. economy headed towards recession, demand for heavy trucks used for shipping and other purposes has dropped sharply. Mr. Hammersley said despite the bad layoff news, there are “other dimensions of transportation employment” that St. Thomas could pursue. “We could look at aerospace, we could look at aircraft manufacturing, rail car manufacturing — not just things that are on rubber tires.” Daimler said the truck unit expects to strengthen its position on the North American commercial vehicle market by “concentrating the company's considerable technical and marketing resources on a more focused model lineup.” The company said it expects the changes to improve the truck unit's earnings by $900-million (U.S.) a year by 2011. Daimler shares rose 4.9 per cent at €27.49 euros in trading on the Frankfurt stock market.
  8. L'allemand Daimler fermera en 2009 son usine de fabrication de camions Sterling, à St. Thomas entraînant la perte de plus de 600 emplois. Pour en lire plus...
  9. L'homme d'affaires Thomas Nakos n'a pas le choix: il doit transmettre à deux importants investisseurs montréalais les états financiers d'un Casino grec grâce auquel il a encaissé 34 millions de dollars. Pour en lire plus...
  10. Pas évident d'apprivoiser la présidence de la principale entreprise de Bourse au Canada, en pleine crise des marchés financiers, affirme Thomas Kloet. Pour en lire plus...
  11. Le chef de la direction Thomas Kloet affirme que les Bourses de Toronto et Montréal, récemment fusionnées, pourraient commencer à transiger des contrats à terme de produits de base. Pour en lire plus...
  12. Sterling Truck éliminera 720 postes 17 juillet 2008 - 09h27 Presse Canadienne Le constructeur de camions Sterling Trucks de St. Thomas, en Ontario, éliminera 720 postes au sein de son personnel à compter du mois de novembre. Cette décision portera à plus de 1300 le nombre total de mises à pied au sein du constructeur de camions. Le ralentissement économique aux États-Unis a affecté la demande pour les camions, a expliqué le président de la section local du syndicat des employés de Sterling, Dave MacArthur. De son côté, le directeur de la chambre de commerce de St. Thomas, Bob Hammersley, croit que ces mises à pied affecteront des milliers d'autres emplois, notamment dans le secteur des pièces, dans la région. Les travailleurs touchés doivent recevoir leur avis de licenciement ce jeudi. Sterling Trucks a son siège social à Redford, dans l'État du Michigan. L'entreprise est une filiale de Daimler Trucks North America, autrefois connue sous le nom de Freightliner. Daimler Trucks North America est basée à Portland, dans l'État de l'Oregon.
  13. Économie et affaires / TSX Thomas Kloet à la barre Mardi 10 juin 2008 10:40 HAE Après avoir recherché le candidat idéal pendant plusieurs mois, le conseil d'administration du Groupe TSX inc. a choisi l'Américain Thomas Kloet pour occuper le poste de chef de la direction (PDG) de l'entreprise. Thomas Kloet Thomas Kloet M. Kloet succède dans cette fonction à Richard Nesbitt, qui a quitté le Groupe TSX le 7 janvier dernier pour assurer la direction de Marchés mondiaux CIBC. Thomas Kloet, qui dirigera la nouvelle bourse née de la fusion des bourses de Montréal et de Toronto, entrera officiellement en fonction le 14 juillet prochain. Il occupe actuellement des fonctions similaires au sein de la firme de courtage Newedge. « Nous croyons qu'il est la bonne personne pour gérer notre nouveau Groupe YMX intégré » a déclaré lundi le président du conseil d'administration du Groupe TSX, Wayne Fox, dans un communiqué. M. Fox a également souligné la vaste expérience de M. Kloet dans le domaine de la finance, des produits dérivés et des systèmes de négociation électronique ainsi que sa feuille de route à titre de PDG de la nouvelle Bourse de Singapour, issue elle aussi d'une fusion en 2000. Qu'advient-il de Luc Bertrand? Luc Bertrand, lors du lancement du Marché climatique de Montréal. Lors du départ de Richard Nesbitt, survenu moins d'un mois après l'annonce de la fusion des bourses de Montréal et de Toronto, plusieurs candidats ont été envisagés pour lui succéder dont le président de la Bourse de Montréal, Luc Bertrand. Très respecté dans le milieu des affaires, Luc Bertrand a obtenu beaucoup de succès avec les produits dérivés dans lesquels la Bourse de Montréal s'est spécialisée. Rick Parkhill, chef de la division des marchés au TSX et chef de la direction par intérim depuis janvier, était aussi sur les rangs. Aucun des deux n'aura finalement été choisi au terme de ce long exercice de recrutement. Selon le quotidien The Globe and Mail, le conseil d'administration du Groupe TSX était incapable de déterminer si le nouveau dirigeant de l'entreprise devait provenir de la Bourse de Montréal ou de celle de Toronto. La direction aurait alors contourné le problème en optant pour un recrutement aux États-Unis. Luc Bertrand a quant à lui été nommé au poste de chef adjoint de la direction du Groupe TSX au début mai. TSX deviendra bientôt TMX Par ailleurs, le Groupe TSX changera son nom pour Groupe TMX, mercredi prochain, lors de son assemblée annuelle. L'adoption de ce nouveau nom a pour but de mieux refléter l'arrivée de la Bourse de Montréal chez TSX et la naissance de la nouvelle entité boursière. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie-Affaires/2008/06/09/003-tsx_kloet.shtml?ref=rss
  14. Punisher 2 Shooting in Montreal Movie The Punisher 2 Posted By: Michael / Source Related News : Comic Flicks , Crime , Thriller Movie News , According to my anonymous scooper who has proven to be very accurate in his past scoops, The Punisher 2 film will be shooting in Montreal very soon. It invites alot of questions however. For instance who will play the Punisher now that Thomas Jane has quite the film. According to DarkHorizons Punisher 2 has a new director and its an interesting choice. Lexi Alexander who directed Green Street Hooligans has reportedly been tapped for the film. I am not excited at all for Punisher 2. With Thomas Jane having quit the project and the first one having sucked horribly. Thomas Jane reportedly sent a letter to AICN letting them know that he has dropped out of Punisher 2. He has lost faith in the project and feels it does not do the fans justice, so he is dropping out of the project. And no doubt burning some bridges in the way he is coming out (if the letter is legit ) Quote: What I won't do is spend months of my life sweating over a movie that I just don't believe in. I’ve always loved the Marvel guys, and wish them well. Meanwhile, I’ll continue to search for a film that one day might stand with all those films that the fans have asked me to watch. The Entire letter is here. BigFanBoy.com talked to Thomas Jane about Punisher 2 and a very cool bombshell got dropped. The writer who worked on the Pirates of the Caribbean films Stuart Beattie is on board to write the new Punisher film. He also worked on a draft of 30 days of Night so to say this is some kick ass news is an understatement. The sequel is going to have a Taxi Driver feel according to Thomas Jane. Quote: "It's more of a Taxi Driver kind of a feel which I think we'll go for in the second movie," he says. "I think that's where the first one succeeded, where we were doing more realistic type stuff. And if we can, [we should] get away from the lighter aspects of the first film. Because I think that's where the movie failed." We will see how it progresses. The big question is where Marvel stands on the sequel, and not so much what Thomas Jane wants
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