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  1. Transformation du 3e sommet du Mont Royal (INFO690)- Le troisième sommet du Mont Royal, qui abrite actuellement un controversé dépôt à ordures, sera bientôt transformé en parc public. Le comité exécutif de l'équipe du maire Gérald Tremblay devrait dévoiler les détails du projet au cours des prochaines semaines. L'espace de 23 hectares sera aménagé sur le sommet d'Outremont, propriété actuelle de l'Université de Montréal et du cimetière Notre-Dame-des-Neiges . Selon La Presse, les deux institutions cèderont les terres en question à la ville par bail sur une période de 50 à 99 ans. Haut de 211 mètres, le sommet d'Outremont est le deuxième plus élevé des trois sommets du Mont Royal. La valeur des investissements requis pour mener à bien l'aménagement de ce parc est inconnue.
  2. Prix des terres agricoles au Québec: une hausse rapide et problématique Publié le 04 juillet 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Selon un rapport de La Financière agricole, la valeur des terres agricoles a augmenté de 10% au Québec en 2008. Statistique Canada calcule plutôt une hausse de 7% entre janvier et novembre 2008. Vincent Brousseau-Pouliot LA PRESSE Pendant que les propriétaires québécois ont vu la valeur de leur maison stagner au cours de la dernière année, les producteurs agricoles ont été plus chanceux?: la valeur des terres agricoles a augmenté de 10% en 2008, selon La Financière agricole du Québec. Du jamais-vu. Est-ce un signe de la vitalité de l'agriculture québécoise? Pas nécessairement, répondent les producteurs. Après une vingtaine d'années à labourer sa ferme de Saint-Sébastien, en Montérégie, Daniel Lavoie a décidé qu'il en avait assez de cultiver du maïs et du soya. Il a ainsi vendu ses 150 hectares (280 terrains de football!) de terres agricoles. Une décision qui ne pouvait être prise au meilleur moment. Selon un rapport de La Financière agricole, la valeur des terres agricoles a augmenté de 10% au Québec en 2008. Statistique Canada, qui utilise des données différentes, calcule plutôt une hausse de 7% entre janvier et novembre 2008. Dans un tel marché haussier, Daniel Lavoie a pu récolter 2,7 millions$ pour ses terres achetées environ 300 000$ en 1984. L'occasion était trop belle, d'autant plus qu'il devait bientôt faire des investissements importants en équipement et que la passion de l'agriculture n'était plus au rendez-vous depuis quelque temps. «Il aurait fallu mettre 400 000$ pour une moissonneuse neuve, dit-il. Les coûts de semence et de fertilisants sont super cher. J'en avais ras-le-bol et je ne pense pas que le prix des terres agricoles va rester où il est présentement.» Pour des producteurs qui, comme Daniel Lavoie, ont fait le tour du jardin, la récente hausse du prix des terres agricoles est une chance inespérée de rentabiliser des années de dur labeur. Pour les autres qui veulent continuer leur vie dans les champs, c'est une autre histoire. «Nous avons été un peu surpris (par la vigueur de la hausse), dit Denis Bilodeau, deuxième vice-président de l'Union des producteurs agricoles (UPA). La valeur foncière augmente plus vite que les revenus agricoles.» La hausse de la valeur des terres québécoises pose plusieurs problèmes aux producteurs agricoles. Le premier est d'ordre fiscal. Habitués à se faire rembourser une bonne partie de leurs taxes foncières sur leur rapport d'impôt provincial, ils sont de plus en plus nombreux à ne pas se qualifier pour ce crédit d'impôt en raison de la hausse de la valeur de leur propriété. «Seulement en 2008, il y a 18% de producteurs de plus qui se sont vus refuser le crédit d'impôt, qui rembourse jusqu'à 70% des taxes foncières», dit Denis Bilodeau, aussi producteur de maïs, de soya, de porc et de bovin à ses heures dans la région de Warwick. Le deuxième problème est d'ordre générationnel: les terres deviennent trop chères pour les jeunes producteurs qui ne sont pas issus de familles agricoles. Ceux-ci n'ont souvent pas le choix de louer des terres s'ils veulent démarrer leur entreprise. «Plus la valeur des terres va augmenter, plus les gens vont être intéressés à les louer», dit Denis Bilodeau, de l'UPA. «C'est devenu trop cher à certains endroits, dit Isabelle Imbeault, qui cultive des légumes bio sur 2,5 hectares avec son conjoint depuis quatre ans sur ses terres - achetées non sans chercher - dans la région de Lanaudière. Les seules personnes qui peuvent acheter, ce sont les gros producteurs qui ont déjà beaucoup de superficie. Tu arrives dans un village et ils sont trois ou quatre à détenir à peu près toutes les terres...» Même si elle est en hausse, la location des terres est un phénomène deux fois moins répandu au Québec qu'au Canada et aux États-Unis. «J'ai l'impression ça va arriver aussi ici, dit le producteur Daniel Lavoie. Il y aura moins de propriétaires, mais ceux-ci auront encore plus de terres.» Même s'il a vendu sa ferme de Saint-Sébastien, Daniel Lavoie ne quitte pas complètement le milieu agricole. De la somme de 2,7 millions obtenue pour sa ferme, il a pris un million pour acheter un verger à Rougemont. Une propriété plus petite - «seulement» 50 hectares -, mais surtout avec moins de soucis. «Un verger, c'est plus tranquille, dit-il. Le prix des pommes est plus stable. En plus, j'avais besoin d'un autre style de vie. J'étais tanné de jouer dans la boue alors je m'en vais jouer dans le gazon.» La faute de l'éthanol... et des politiciens! La cause de la hausse surprenante des terres agricoles? L'éthanol, le carburant chouchou vert de la classe politique canadienne et américaine. Aux États-Unis, tous les candidats présidentiels qui se prennent au sérieux ne jurent que par l'éthanol, produit en grande partie en Iowa, l'un des États les plus importants des primaires. Au Canada, le Parlement fédéral a adopté l'an dernier une loi exigeant de hausser à 5% le seuil minimum de carburants renouvelables comme l'éthanol dans l'essence. «La production plus importante d'éthanol a contribué à faire monter le prix des céréales. Comme le prix des céréales est plus élevé, ça incite les producteurs à agrandir en achetant d'autres terres», dit Normand Johnston, vice-président au financement de La Financière agricole du Québec. La montée du prix des denrées alimentaires, influencée par la popularité de l'éthanol, a surtout eu lieu durant la première moitié de l'année 2008. Les cours du maïs et du soya ont augmenté respectivement de 58% et 39% entre janvier et juin 2008 à la Bourse de Chicago. Mais ces deux denrées ont terminé l'année dans le rouge (-11% pour le maïs et -19% pour le soya), un résultat final qui n'a curieusement pas semblé déranger le marché immobilier agricole.
  3. La compagnie junior d'exploration pétrolière et gazière a notamment entrepris le forage d'un puits à Bécancour il y a un peu plus de deux semaines. Pour en lire plus...
  4. Les Mohawks de Kahnawake ne perturberont pas le début des travaux grâce à une entente avec Québec. Ils recevront des terres en compensation de la perte de celles situées sur le trajet de l'autoroute. Pour en lire plus...
  5. Aux prises avec toutes sortes de problèmes, cette hausse est un baume pour les fermiers du Québec. Pour en lire plus...
  6. le jeudi 8 novembre 2007 Le conseil municipal de Laval a accepté les changements au règlement municipal afin de permettre aux agriculteurs d'installer des éoliennes sur leurs terres. Soumise à deux consultations, les 28 août et 20 septembre dernier, la modification n'a suscité aucune opposition. Une autre consultation est prévue à la fin du mois de novembre. En outre, les éoliennes ne pourront être installées à moins de 1000 mètres d'une bande riveraine. Les agriculteurs pourront installer des éoliennes sur leurs terres à la condition qu'elles ne dépassent pas 12 mètres de hauteur. Ils devront également respecter plusieurs normes de distances et de densité des éoliennes. L'installation et l'aspect des éoliennes sont également réglementés. Ainsi, elles devront être blanches ou grises et elles devront également être installées sur des terres cultivées. Laval se positionne ainsi en prévision de l'appel d'offres qu'Hydro-Québec est en passe de lancer aux municipalités dans le but d'acheter 500 mégawatts. La société d'État attend le feu vert du gouvernement. Amortie sur une période de 20 ans, une éolienne peut rapporter jusqu'à 400 000 $ par année. Une étude du ministère des Ressources naturelles et de la Faune, en 2005, estime le potentiel éolien de Laval à 11 mégawatts. Les zones agricoles constituent 28 % du territoire de Laval.
  7. La Presse Le jeudi 05 juillet 2007 Canadian Tire entend construire un des plus gros entrepôts en Amérique du Nord à l'ouest de l'île de Montréal. Le hic: il faudra d'abord faire disparaître des terres agricoles d'une superficie comparable à celle du parc du Mont-Royal. La MRC de Vaudreuil-Soulanges appuie avec grand enthousiasme le projet. Elle a déposé une demande de changement de zonage en ce sens devant la Commission de protection du territoire agricole. D'une rare envergure, l'entrepôt en question serait construit sur des terres agricoles de 181 hectares situées à Coteau-du-Lac (le parc du Mont-Royal, à titre comparatif, couvre 214 hectares). Il s'agit de terrains appartenant depuis peu au parc industriel Alta. Le projet, révélé hier par l'hebdomadaire Hudson Gazette, surprend par son ampleur. Il s'agirait en effet de la phase 2 du Centre de distribution que construit actuellement Canadian Tire, lequel doublerait carrément de superficie. Or, à lui seul, le bâtiment de la phase 1 deviendra à terme, avec ses 1,6 million de pieds carrés, «le plus gros bâtiment industriel au Canada», selon la firme chargée de la construction, Broccolini. Avec ses convoyeurs longs de 20 kilomètres, l'édifice principal constituera ainsi le coeur de la phase 1, aménagée sur un gigantesque terrain de 7,3 millions de pieds carrés. S'y ajouteront deux plus petits bâtiments, un centre d'entretien de l'équipement ainsi que de vastes espaces pouvant accueillir 1700 remorques, 800 voitures et 2000 conteneurs. «Il va sans dire que le bâtiment et les travaux sont d'une proportion inimaginable», précise Broccolini sur son site Internet. Or la seconde phase, prévue en terres agricoles, s'annonce tout aussi imposante que la première. «Canadian Tire souhaite ajouter 1,5 million de pieds carrés supplémentaires, ce qui donnerait un bâtiment de plus de 3 millions de pieds carrés, a précisé en entrevue le maire de Coteau-du-Lac, Robert Sauvé. Ce serait possiblement le plus gros bâtiment industriel en Amérique du Nord.» Et qu'en est-il de la perte des terres agricoles dans cette région réputée pour la richesse de ses sols? «Les terres sont effectivement riches dans la région, mais ce n'est pas le cas de celles qu'on demande, a précisé le maire. Il s'agirait de terres ayant une faible valeur.» Du côté de Canadian Tire, la porte-parole, Caroline Casselman, a refusé de commenter, se contentant de confirmer l'existence d'une «éventuelle phase 2». «Nous avons bien une option sur ce terrain, mais rien n'est officiel, a-t-elle dit. Il est donc prématuré d'en parler.» La circonspection du géant de la vente au détail n'est cependant pas partagée par la MRC, laquelle entend se battre pour que le projet voie le jour. Échaudées par les annonces de fermeture de Goodyear et de Gildan à Salaberry-de-Valleyfield, non loin, les 23 municipalités de la MRC ont toutes adopté une résolution d'appui au projet de Canadian Tire. «C'est sûr qu'il ne faut pas faire disparaître toutes les terres agricoles, reconnaît le préfet de la MRC de Vaudreuil-Soulanges, Normand Ménard. Ce n'est pas ça le but. Seulement, c'est un projet de grande envergure. Il ne faut pas le voir partir.» La crainte des maires est que des emplois partent vers Cornwall s'ils refusent le projet. Selon le Hudson Gazette, le préfet a soutenu à plusieurs reprises devant ses collègues, ces derniers mois, qu'une telle conclusion serait inévitable si Canadian Tire se voyait refuser son projet d'agrandissement. La résolution adoptée par chacune des municipalités précise ainsi que la Commission de protection du territoire agricole doit prendre «en considération la situation économique difficile de la région». En outre, on vante le «potentiel de développement» du parc industriel Alta, dont le président du Groupe Canam, Marcel Dutil, est actionnaire. Les audiences publiques ont déjà été remises à plusieurs reprises ces derniers jours. D'abord prévues pour l'été, elles ont été reportées, aux dernières nouvelles, au 19 septembre. Ni l'Union des producteurs agricoles ni le cabinet du ministre de l'Agriculture, Laurent Lessard, n'ont rappelé La Presse.
  8. lundi 28 mai 2007 L'étalement urbain menace le territoire agricole du Québec, particulièrement dans la grande région de Montréal, selon la Coalition pour la protection du territoire agricole (CPTAQ). L'organisme, piloté par l'Union des producteurs agricoles (UPA), regroupe aussi des syndicats, des scientifiques et des groupes environnementalistes. Il lance un cri d'alarme au gouvernement du Québec pour calmer la frénésie du dézonage agricole. Près de 3000 hectares de terres agricoles ont fait l'objet de demandes de dézonage dans la Communauté métropolitaine de Montréal (CMM) durant la seule année 2003. La superficie visée est égale aux demandes des 10 années précédentes. La CPTAQ précise que 50 000 hectares ont été dézonés au Québec depuis 1994. Les experts estiment que c'est l'équivalent de l'île de Montréal - quelque 4000 hectares - qui est dézoné chaque décennie au Québec. Or, seulement 2 % du territoire québécois est cultivable. Les meilleures terres se retrouvent dans la plaine du Saint-Laurent à l'intérieur de laquelle se situe la CMM. La CPTAQ s'explique mal la frénésie du dézonage puisque 30 000 hectares du territoire de la CMM ne sont pas en zone agricole et sont disponibles pour la construction. Le potentiel résidentiel oscille entre 800 000 et 1 million de personnes. Les municipalités périphériques, qui n'ont plus d'espaces, seraient tentées de mettre la main sur les terres agricoles pour augmenter leurs revenus fiscaux. Une terre cultivable sur laquelle on construit devient impropre à l'agriculture pour toujours. L'étalement urbain s'effectue au détriment de Montréal et des banlieues de la première couronne, selon le géographe de l'Université de Montréal, Claude Marois. Ce dernier souligne l'importance de protéger le territoire agricole. Il favorise le développement des terres non zonées, la revitalisation des vieux quartiers et la mise sur pied d'un plan de développement qui dépasse les cadres municipaux. La CPTAQ récupère ces recommandations qu'elle défendra lors des audiences publiques de la Commission sur l'avenir de l'agriculture et de l'agroalimentaire à Québec et Montréal.source http://www.radio-canada.ca/nouvelles/regional/modele.asp?page=/regions/Montreal/2007/05/28/004-CPTAQ-CMM-agricoles.shtml
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