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  1. I don't know if this is already posted, anyways anybody have some renderings...big bucks in Laval $150,000,000.00!!!!! 2 storey penthouses in the sky...!!! Lancement du projet Quintessence à Laval 9 mars 2011 Communiqué C’est le jeudi 10 mars qu’aura lieu l’annonce officielle de l’imposant projet haut de gamme d’appartements en copropriété. Le complexe, d’une valeur de 150 millions $, sera construit à Laval près du Centropolis et du Carrefour Laval. La première pelletée de terre aura lieu au printemps 2011 et la livraison des appartements de la première phase est prévue en 2012. Le projet comptera globalement cinq immeubles dans lesquels on trouvera de luxueux appartements terrasses, plusieurs locaux commerciaux, un centre de conditionnement physique et plusieurs espaces verts. Plus de détails à venir. Source : Patrick Sakal :goodvibes: http://essencedevivre.com/
  2. pedepy

    mont royal a 300m

    j'peux pas croire que je n'y pas pas penser avant: on creuse des km et des km de nouveaux tunnels de metro en dompant toute la terre par dessus la montagne, jusqu'a ce que le mont-royal atteigne 300m en son plus haut point. win-win.
  3. http://www.groupebourgouin.com/cachemire.html Au coeur des Jardins Angora, Les Tours Cachemire est un projet de 80 unités de condominiums qui conjuguent deux vues, l’une sur la tranquillité de la magnifique forêt d’un parc de conservation naturel, l’autre sur Montréal, sa vie culturelle et ses services. --- TERREBONNE, LE JEUDI 11 JUIN 2015 – Le maire de Terrebonne, M. Jean-Marc Robitaille, accompagné des membres du conseil municipal et du président du Groupe Bourgouin, M. Robert Bourgouin, a fièrement procédé jeudi, en fin d’après-midi, à la pelletée de terre inaugurant officiellement les travaux de construction d’un projet résidentiel d’envergure développé par le Groupe Bourgouin au cœur des Jardins Angora. La première des « Tours le Cachemire », un projet de condos, comprendra 84 unités de logement sur 14 étages, dont 6 penthouses.
  4. Voici une initiative de Google, qui montre la terre en timelapse entre 1984-2012... le développement dans le grand Montréal est incroyable (Laval!!, Ville Saint-Laurent, etc etc) À voir: https://earthengine.google.com/timelapse/
  5. Je suis aller voir un documentaire hier. Le sel de la terre. Un documentaire sur un photographe fabuleux Sebastiao Salgado. Mais c'est beaucoup plus que ca, c'est un documentaire sur l'humanité, a la fois tellement belle et affreuse. A la fin de ce documentaire on constate qu'il y a des solution c'est rejouissant en quelques sortes. [video=youtube;-iIcVeGX33c]
  6. http://journalmetro.com/actualites/montreal/759841/une-oeuvre-suspendue-de-janet-echelman-a-la-place-emilie-gamelin/ Une oeuvre suspendue de Janet Echelman à la place Émilie-Gamelin Par Audrey Neveu Métro DenverGracieuseté Studio EchelmanPrevious photoNext photo EXCLUSIF logoL’oeuvre «1.26» de l’artiste américaine de renommée internationale Janet Echelman surplombera la nouvelle place Émilie-Gamelin réaménagée, a appris Métro. Cette sculpture suspendue sera dévoilée au cours de l’inauguration le 7 mai prochain et y sera exposée jusqu’au 4 octobre. Le titre de l’oeuvre s’inspire du tremblement de terre du Chili en 2010, lors duquel le temps aurait été comprimé de 1,26 secondes en raison de la redistribution de la masse de la Terre. Pour Janet Echelman, artiste accomplie et professeure à l’Université Harvard, ce chiffre symbolise la connexion entre les individus, peu importe où ils se trouvent sur la planète. «La sculpture prend une signification différente dans chaque ville, selon le contexte urbain, a confié Janet Echelman à Métro. Elle bouge dans le vent, à la manière d’une chorégraphie. Elle change tout le temps, comme une relation.» «1.26» a notamment été exposée à Denver, à Amsterdam et à Singapour. La structure suspendue, d’une quarantaine de mètres de largeur et de hauteur, est faite en fibres Spectra®, extrêmement légères et entrelacées en filet. Sa forme étoilée toute en couleurs sera illuminée la nuit tombée. Elle sera arrimée aux bâtiments de l’UQAM et de la Place Dupuis. «C’est assez extraordinaire. On espère que l’œuvre va susciter la curiosité, qu’elle fera se déplacer les gens, qui viendront l’admirer et voir les activités aux Jardins Gamelin», explique Pascale Daigle, directrice de la programmation au Partenariat du Quartier des spectacles. 15 La fibre Spectra® utilisée pour fabriquer l’œuvre suspendue est 15 fois plus solide que l’acier en proportion de son poids. La venue de cette œuvre unique marquera en grand le réaménagement de la place Émilie-Gamelin, rebaptisée Jardins Gamelin pour l’été. «Ça s’inscrit dans une logique de réappropriation citoyenne. On voulait créer un rythme différent, un rendez-vous permanent où les gens se réuniront sans se poser de questions», fait valoir Pascale Daigle. Le Partenariat du Quartier des spectacles a fait appel à l’organisme à but non lucratif Pépinière & Co., également à l’origine du Village éphémère. Un resto-bar, une terrasse permanente, des jardins avec plantations et maintes activités citoyennes viendront revitaliser la place publique. Janet Echelman sera d’ailleurs présente à l’inauguration des Jardins Gamelin. «Montréal est une ville tellement dynamique, vivante et cosmopolite, je suis très excitée de participer au renouvèlement de cet espace public», dit-elle.
  7. Montréal, terre d'accueil de Future Earth Publié le 11 juin 2014 à 08h48 Une organisation internationale visant à coordonner les recherches mondiales sur les changements climatiques vient de choisir Montréal pour s'y installer. Future Earth, qui compte notamment l'UNESCO et le Programme des Nations unies pour l'environnement parmi ses commanditaires, établira une partie de ses activités dans la métropole québécoise. L'information n'a toutefois pas encore fait l'objet d'une annonce officielle, et les partenaires impliqués se sont faits avares de commentaires, hier. C'est le scientifique en chef du Québec, Rémi Quirion, qui a vendu la mèche dans un communiqué diffusé lundi. Montréal International, qui a travaillé à pousser la candidature de Montréal dans ce dossier, a confirmé du bout des lèvres que Montréal avait été désigné «soumissionnaire favori» pour abriter le secrétariat de l'organisation. La ville a proposé une candidature commune avec la France, le Japon, la Suède et les États-Unis. Il n'a pas été possible de savoir combien d'emplois devraient être créés à Montréal, ni si des mesures d'incitation financières ont été offerts pour attirer ce nouveau secrétariat. «Il s'agit d'une nouvelle fantastique pour le rayonnement de Montréal. Il y a déjà 62 organisations internationales basées à Montréal, contre 14 à Vancouver et 34 à Toronto. Nous sommes la ville internationale du Canada», a dit Stéphanie Allard, vice-présidente, organisations internationales, chez Montréal International. Future Earth, dont le secrétariat est actuellement à Paris, s'est donné comme mission de favoriser les recherches sur les meilleures façons de réagir aux changements climatiques. Elle dit vouloir mobiliser 1000 chercheurs et tisser des partenariats avec les décideurs de la planète au cours des 10 prochaines années. Montréal International avait formé une alliance avec les universités montréalaises, le Fonds de recherche du Québec et le consortium de recherche sur le climat Ouranos pour promouvoir la candidature de Montréal. http://www.lapresse.ca/environnement/dossiers/changements-climatiques/201406/11/01-4774771-montreal-terre-daccueil-de-future-earth.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_environnement_263_accueil_POS1
  8. Communiqué de presse reçu ce matin: 17h ce soir. Avis à ceux qui veulent aller voir ça. PS: Si vous savez pas qui est Roadsworth, allez voir ça (très original, et très ludique): http://roadsworth.com/home/
  9. Voici un album flckr sur ma visite du Buzludzha Monument, situé sur la plus haute montagne de bulgarie près de l'ancienne capitale de Veliko Tarnovo. Une veille relique de l'époque communiste... (how to waste money, communist style) Il y avait beaucoup de brume cette journée là et il y reignait une ambiance trop spéciale. Je ne me sentais pas sur terre!! Enjoy! Lien: http://www.flickr.com/photos/61637441@N06/sets/72157632270571827/show/
  10. LED

    Métro du Saguenay

    Aujourd'hui sur le site de Radio-Canada, pour souligner la semaine du transport collectif, on demande aux gens ce qu'ils voient devenir le prochain métro du Saguenay: «Et si Montréal n'était pas la seule ville au Québec à posséder un métro? Pour souligner la Semaine des transports collectifs et actifs, nous nous sommes demandé à quoi pourrait ressembler le réseau du métro de la ville de Saguenay s'il voyait le jour. Selon les nombreuses personnes consultées, le métro de Saguenay pourrait ressembler à deux boucles qui se rejoignent sur le boulevard Talbot à la hauteur des centres commerciaux. Ainsi, les usagers circuleraient aisément de Jonquière à Chicoutimi et à La Baie, en passant par les alumineries, l'université, les cégeps, l'hôpital et la zone portuaire. Cette illustration est une autre façon de visiter Saguenay en insistant sur les lieux où vivent les citoyens. À vous maintenant... Dites-nous à quoi devrait ressembler votre métro. Faites-nous part de vos commentaires et vos suggestions.» Avez-vous des idées? Pour ma part, je ne vois pas ce métro comme étant sous terre mais bien hors terre. Ce serait trop couteux et inutile sous terre. http://www.radio-canada.ca/sujet/visuel/2012/09/13/004-metro-virtuel-saguenay.shtml
  11. Les tenues bigarrées de Jean Paul Gaultier et les guerriers chinois en terre cuite ont valu l'an dernier au Musée des beaux-arts de Montréal la plus forte fréquentation de son histoire, soit quelque 767 000 visiteurs d'avril 2011 au 31 mars 2012. Le succès remporté par ces deux expositions a permis de faire voler en éclats le record précédent de 636 219 visiteurs, établi en 2007-2008 grâce aux expositions dédiées à l'art cubain, au couturier Yves Saint-Laurent et Wharol Live. Il s'agit pour le MBAM d'une hausse de 20 % par rapport à ce record précédent et de 36 % par rapport à l'an dernier. Le MBAM doit une fière chandelle à L'empereur guerrier de Chine et son armée de terre cuite, qui a permis l'entrée de plus de 250 000 visiteurs à ses tourniquets. Les mannequins animés de Gaultier ont fait tourner la tête de 175 000 visiteurs alors que le redéploiement des collections permanentes a joué un rôle marquant dans l'atteinte de ce nouveau record. http://www.ledevoir.com/culture/arts-visuels/346642/767-000-visiteurs-en-2011-2012
  12. C'est un drôle de quartier, le Mile End. Pas vraiment la fin d'un monde, plutôt le début d'un nouveau. Rien à voir avec le district de l'est de Londres auquel il a emprunté son nom. Ce quartier est situé à l'extrémité du Plateau, qui surplombe Montréal. Son nom fait référence à l'époque où le maigre village de Saint-Louis se trouvait encore à un mile des limites de la ville. Terre de chasse, le lieu va rapidement se développer à la fin du XIXe siècle avec l'arrivée du chemin de fer du Canadien Pacifique, se transformant en une zone industrielle dont témoignent encore aujourd'hui les façades des fabriques de brique rouge. C'est dans l'une d'elles que s'est établie, à l'orée des années 2000, la société de jeux vidéo UbiSoft, et avec elle une armada de nerds et de geeks venus de toute la technosphère. Depuis lors, ils n'ont cessé de “s'interactiver” face à la traditionnelle église polonaise, l'un des nombreux lieux de culte du Mile End, qui fut longtemps une terre d'accueil des émigrés fraîchement débarqués. Cette cohabitation est emblématique des mutations que connaît le quartier, où se côtoient toutes les communautés, venues d'Europe de l'Est et du pourtour méditerranéen, et aujourd'hui du monde entier. Avec ses petites rues bien alignées où se dressent des maisons de deux étages, ses ruelles parsemées de jardinets, son atmosphère bohème, le Mile End a de faux airs du Village new-yorkais des glorieuses sixties, poussant la ressemblance jusqu'à avoir lui aussi une Little Italy comme voisine. Lesbiennes extraverties et juifs orthodoxes, vieux immigrés et primo-arrivants, antiquaires et hipsters, tous font désormais la vie de ce qui est considéré depuis peu comme le quartier le plus branché de Montréal. Des poètes comme Leonard Cohen ou des cinéastes comme Xavier Dolan y sont installés, suivant un mouvement initié il y a quinze ans par la scène indépendante musicale, à commencer par les tutélaires Godspeed You ! Black Emperor et Constellations… De nombreux labels y ont ainsi établi leurs studios, à l'instar de Dare to Care Records, de Bonsound et même d'une maison qui s'est baptisée Mile End Records. Pas de doute : avec ses nombreux cafés musicaux, comme le Cagibi, où les musiciens jouent en vitrine, et L'Assommoir, tenu par l'un des deux fils de Robert Charlebois, le Mile End concentre sur quelques kilomètres carrés une énorme créativité, qui résonne dans tout le Canada, et même au-delà. Il en va de même pour ses galeries et ses vastes ateliers d'artistes, qui ont investi des friches industrielles à l'époque où les loyers le permettaient. Car derrière cette explosion artistique, synonyme de ravalement de façades, un danger guette, à chaque coin de rue, la drôle de vie du Mile End : la gentrification. Déjà, certaines opérations immobilières attestent qu'elle a bel et bien commencé. Jacques Denis A lire les commentaires des lecteurs...sur la droite de la page. http://www.lemonde.fr/voyage/article/2011/10/05/a-montreal-le-quartier-de-mile-end-pionnier-et-alternatif_1540693_3546.html
  13. À l'heure où l'on parle d'étalement urbain et du droit des Hommes à avoir leur maison avec leur terrain, il y a aussi ceci : La race humaine au grand complet est du pour faire le point sur son mode de vie. Soit on est trop sur la terre, soit on change notre façon de consommer. Pour changer le mode de consommation actuel, ça vas prendre beaucoup plus qu'une série d'électrochocs. Le monde s'en cr*** en fait, en autant qu'ils puissent écouter Jersey Shore et avoir une quarantaine de paire de souliers, c'est ce qui compte (le plus). **************************** Les Terriens de plus en plus «à découvert» Anthony Lucas Agence France-Presse Paris Si la Terre a été pendant très longtemps à même de répondre aux besoins des hommes sans s'épuiser, on a franchi un seuil «critique» au cours des années 70. Et depuis plus de 30 ans, l'humanité vit au-dessus de ses moyens et il faudrait en fait 1,2 à 1,5 Terre pour assumer aujourd'hui les besoins d'une population toujours croissante. Une nouvelle fois, les Terriens vont finir l'année à découvert: dans quelques jours, ils auront consommé l'équivalent des ressources naturelles que peut générer la Terre en un an sans compromettre leur renouvellement. La date symbolique a été fixée au 27 septembre par le think tank Global Footprint Network. Pour finir l'année, l'humanité en est donc réduite à vivre écologiquement à «découvert» et à puiser dans des «stocks» chaque année plus maigres. C'est-à-dire à pratiquer une pêche qui va entretenir la baisse des stocks de poissons dans les océans, à détruire plus d'arbres qu'elle n'en replante ou à rejeter plus de CO2 que ce que la planète ne peut absorber. «C'est comme avoir dépensé son salaire annuel trois mois avant la fin de l'année, et grignoter ses économies année après année», explique dans un communiqué le président de Global Footprint Network, Mathis Wackernagel. Une vie «à découvert» que les bientôt 7 milliards de Terriens -le cap devrait être franchi fin octobre selon les prévisions onusiennes- débutent chaque année un peu plus tôt: fin septembre, donc, en 2011, contre début novembre en 2000, en appliquant les calculs utilisés cette année. Le «think tank» basé à Oakland en Californie s'est fait une spécialité de calculer l'«empreinte écologique» de l'humanité et la comparer avec ce que la Terre est en capacité de générer comme ressources renouvelables -sans toucher aux stocks- et d'absorber comme déchets. Seuil critique franchi dans les années 70 Bilan de l'équation posée par l'organisation: si la Terre a été pendant très longtemps à même de répondre aux besoins des hommes sans s'épuiser, on a franchi un seuil «critique» au cours des années 70. Et depuis plus de 30 ans, l'humanité vit au-dessus de ses moyens et il faudrait en fait 1,2 à 1,5 Terre pour assumer aujourd'hui les besoins d'une population toujours croissante. En 2010, un rapport du WWF avait mis en exergue les fortes disparités entre habitants de la Terre, qui consomment en fait 4,5 planètes et demie s'ils vivent aux États-Unis ou aux Émirats arabes unis, mais moins d'une moitié s'ils vivent en Inde. En arrêtant chaque année une date symbolique où l'humanité commence à puiser dans les ressources, le Global Footprint Network entend d'abord permettre de prendre conscience de cet écart grandissant. «Mais il n'est pas possible, bien sûr, de déterminer avec une précision absolue le moment exact où nous dépassons notre budget. Ce jour où nous dépassons la capacité de la Terre est plus une date estimée qu'une date exacte», précise le think tank. Même si l'application cette année de nouvelles méthodologies de calcul ne permet pas une comparaison directe avec les années précédentes, la tendance reste la même avec un épuisement croissant des ressources en dépit de la crise économique mondiale, selon l'organisation. «Alors que nous cherchons à reconstruire nos économies, c'est le moment de se présenter avec des solutions qui resteront opérationnelles et pertinentes dans le futur», estime Mathis Wackernagel. «Une reconstruction à long terme ne peut réussir que si elle est conduite avec une réduction systématique à notre dépendance aux ressources.»
  14. Le Québec, terre de travail accueillante Travail. Un programme incite les PME à embaucher et à former des immigrés qualifiés. Par Emmanuelle LANGLOIS QUOTIDIEN : lundi 24 septembre 2007 Québec (Canada) de notre correspondante loadNbReaction('NbReactions',curDocId); Terre d’immigration, le Québec accueille chaque année près de 45 000 immigrants dont la venue est censée mettre un frein au vieillissement de la population, à la pénurie de main d’œuvre et à la dénatalité. Plus de la moitié d’entre eux sont sélectionnés en raison de leur niveau d’études, de leur expérience professionnelle et de leur connaissance des langues officielles : le français et l’anglais. Dès leur arrivé sur le sol québécois, ces nouveaux arrivants doivent partir à la recherche d’un emploi. Un processus qui se révèle souvent long et délicat : le taux de non-emploi des immigrants atteint 12,7 %, contre 7,4 % pour les personnes nées au Canada. Pour contrecarrer cette réalité, le ministère de l’Immigration et des communautés culturelles et celui de l’Emploi et de la solidarité sociale développent des programmes destinés à faciliter l’intégration : cours de langue, programmes d’accueil et d’insertion professionnelle… Adaptation. L’arme la plus efficace est le Programme d’intégration professionnelle des personnes immigrantes, baptisé Priime. «Les immigrants sont confrontés à la non-reconnaissance de leurs acquis et de leurs compétences, confie Serge Durand, d’Emploi-Québec. Ce qui mène à une déqualification de cette population. Avec le Priime nous favorisons l’obtention d’une première expérience professionnelle au Québec, clé de voûte d’un début de carrière.» Lancé en 2005, le Priime s’adresse aux PME. En prenant en charge 50 % du salaire d’un immigrant pendant six mois, il favorise le recrutement de personnes qui vivent leur première expérience de travail dans leur domaine de compétences. Le Priime paye également pendant trois mois le salaire d’un employé «accompagnateur», chargé d’aider à l’intégration, et subventionne les formations destinées à faciliter l’adaptation du nouvel engagé au contexte de travail nord-américain. Financé grâce aux intérêts générés par le Programme des immigrants investisseurs - lors de leur arrivée sur le sol québécois, ils effectuent un dépôt de garantie d’au moins 250 000 dollars canadiens (177 000 euros) destiné à prouver leur capacité à créer des emplois -, le Priime a reçu une subvention de 5 millions de dollars (3,5 millions d’euros) entre 2006 et 2007, laquelle a permis l’embauche de 900 immigrants. «Il ne faut pas se leurrer, sans cette politique incitative, ces PME n’auraient pas opté pour l’embauche d’immigrés», soutient Babakar-Pierre Touré, directeur général du Service d’orientation et d’intégration des immigrants au travail (Soiit). Reste que près de 100 % des participants obtiennent un emploi fixe une fois le temps du Priime écoulé. Michel Ganache, directeur général de Momentum Technologies, firme de consultants en informatique de la région de Québec, en sait quelque chose. Depuis sa création en 2003, son entreprise a embauché 21 immigrants. «Nous avons tenté l’expérience du Priime en 2005 avec deux Mexicains et elle s’est révélée très concluante, tant auprès de notre clientèle qu’au sein de l’entreprise», explique-t-il. Les 7 000 dollars (4 900 euros) qu’il reçoit lorsqu’il offre un poste de six mois à un nouvel arrivant sont à ses yeux l’équivalent d’une prime de risque. «Je prends le risque d’accueillir une personne dont il est difficile de valider la réalité du curriculum vitæ alors le gouvernement me donne un coup de pouce, analyse-t-il. Et, au final, je suis gagnant puisque ce sont des personnes qui ont plusieurs années d’expérience dans leur pays et qui ne nécessitent qu’une mise à niveau et une familiarisation avec le marché québécois.» «Diversité.» Désormais, 11 communautés - Brésiliens, Péruviens, Béninois, Ghanéens, Algériens, etc. - se côtoient dans les locaux de Momentum à la grande satisfaction du directeur. «Il y a aussi des investissements et une adaptation de notre part puisqu’il faut réussir la cohabitation. Il faut tenir compte de cette diversité lorsque nous organisons des activités sociales ou des sorties familiales et cela amène un défi supplémentaire positif.» Directeurs des ventes, comptables, ingénieurs, analystes et programmeurs informatiques, personnel administratif sont autant de postes qui ont été pourvus au cours de la dernière année. Il n’existe a priori pas de limite au Priime : tous les immigrants sont éligibles. «Le marché du travail fluctue et il est certain que les postes dans les secteurs en pénurie sont plus faciles à trouver, précise toutefois Babakar-Pierre Touré. Actuellement, plus que d’ingénieurs, le Québec est à la recherche de techniciens, de plombiers et de bouchers.»
  15. Sous le thème «Montréal, terre d’avenir!», les célébrations du 40e anniversaire d’Expo 67 proposeront de nombreuses activités jusqu'au 29 octobre offrant ainsi l’occasion aux Montréalais et aux visiteurs de redécouvrir les îles et le parc Jean-Drapeau et de revivre l’esprit de Terre des Hommes. «L’Expo 67 a donné à Montréal un formidable élan de développement urbain dont elle a profité pour s’inscrire dans la modernité, élargir son rayonnement international et s’ouvrir sur le monde. Ce projet, qui tenait à la fois du rêve et de la vision de ses bâtisseurs, est un legs extraordinaire pour la métropole. L’Expo 67 est une source de fierté pour nous, Montréalais, mais c’est aussi une source d’inspiration. Ce 40e anniversaire est non seulement une occasion de souligner un moment important dans l’histoire de la métropole mais aussi une invitation à voir plus loin et à rêver plus grand», a déclaré le maire de Montréal Gérald Tremblay. Un parc, des expos... Plusieurs activités spéciales auront lieu au parc Jean-Drapeau, terre d’accueil de cet événement. Pour revivre les grands moments entourant la mise en œuvre et la réalisation de ce projet, l’exposition «Expo 67, passeport pour le monde», produite par le Centre d’histoire de Montréal sera présentée du 23 juin au 3 septembre au Complexe aquatique de l’île Sainte-Hélène. On y retrouvera des montages photographiques, des artefacts, des capsules d’information et des projections vidéo. Parmi les éléments forts de la programmation, «La Balade du 40e» qui propose une visite guidée des îles, du 4 juillet au 31 août. Des activités d’animation accompagneront ce parcours faisant revivre l’esprit d’Expo 67. Le parcours «Une galerie d’art à ciel ouvert» propose un circuit de découverte des œuvres d’art créées à l’occasion de l’Expo 67, dont l’Homme de Calder. L’Orchestre symphonique de Montréal présentera un concert au parterre de l’île Sainte-Hélène en hommage à Montréal dans le cadre de son programme «L’OSM dans les parcs», le 28 juillet à 20h, soulignant ainsi deux événements marquants de la Ville, les 350 ans de l’arrivée des Sulpiciens à Montréal et les 40 ans de l’Expo 67. Enfin, d'autres événements comme la Fête des enfants et les Week-ends du monde, s'installeront au parc Jean-Drapeau et prendront les 40 ans d’Expo 67 comme thématique.
  16. Lundi 23 Avril 2007 Au lieu de souffler sur les 40 chandelles pour souligner le quarantième anniversaire de l'Expo 67, une quarantaine d'arbres ont été plantés sur l'île Ste-Hélène, hier, dans le cadre du Jour de la Terre. " Par ce geste, nous démontrons que nous souhaitons assurer la pérennité de nos précieux espaces verts et semer un message pour les générations futures ", a commenté Diane Chartrand, vice-présidente et secrétaire du conseil d'administration de la Société du parc Jean- Drapeau. " Ces arbres sont une source d'inspiration pour le Montréal de demain, un Montréal vert ", a ajouté le maire Gérald Tremblay au cours de cette cérémonie à laquelle assistaient, entre autres, Jacques Languirand, porte-parole du Jour de la Terre et Pierre Karl Péladeau, président et directeur général de Quebecor, un des grands partenaires du Jour de la Terre. Le premier citoyen de Montréal a rappelé qu'en adoptant son premier Plan stratégique de développement durable dans la collectivité montréalaise, la Ville s'est engagée à améliorer la protection de la biodiversité, des milieux naturels et des espaces verts.
  17. http://www.yannarthusbertrand.com/yann2/index.php
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