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  1. Terre-Neuve songe à des sanctions Mise à jour le vendredi 11 juin 2010 à 11 h 14 L'Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador. L'Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador débat de la possibilité de refuser d'accorder des contrats à toute entreprise québécoise. Par exemple, le gouvernement terre-neuvien inaugure vendredi un centre de soin de longue durée à Corner Brook. Ce projet de 50 millions de dollars a été réalisé par Pomerleau, une entreprise québécoise. Au moins cinq grands projets sont dirigés par des compagnies québécoises à Terre-Neuve-et-Labrador à l'heure actuelle. La chef de l'opposition officielle, la libérale Yvonne Jones, propose d'arrêter l'octroi de contrats à ces entreprises. Le premier ministre progressiste-conservateur, Danny Williams, ne cache pas sa colère contre le Québec, qu'il accuse de freiner les projets hydroélectriques de sa province sur le bas du fleuve Churchill, au Labrador. Danny Williams n'est toutefois pas prêt à aller aussi loin que le veut l'opposition. Il explique que le fait de refuser systématiquement d'octroyer des contrats à des entreprises québécoises contreviendrait à la loi sur les appels d'offres. La chef libérale répond que le gouvernement a déjà contourné cette loi dans le passé en accordant des exemptions. Yvonne Jones ajoute que le gouvernement terre-neuvien ne peut pas donner d'une main des baffes au Québec sur la place publique tout en signant de l'autre main des chèques à des entreprises québécoises.
  2. Terre-Neuve pourrait poursuivre Québec et Ottawa concernant un projet au Labrador Il y a 35 minutes SAINT-JEAN, T.N.-L. — Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador pourrait poursuivre en justice les gouvernements du Canada et du Québec relativement au projet hyrdoélectrique Upper Churchill Falls, au Labrador. La ministre provinciale des Ressources naturelles, Kathy Dunderdale, estime que Terre-Neuve-et-Labrador n'a peut-être pas reçu sa juste part des retombées depuis que le projet a commencé à produire de l'électricité il y a 35 ans. Elle a déclaré en entrevue que le projet, depuis le début, a essentiellement profité au "peuple du Québec". Le gouvernement terre-neuvien affirme avoir empoché environ 1 milliard $ pendant cette période, pendant que les coffres du Québec se seraient plutôt engraissés de 19 milliards $. L'entente vient à échéance en 2041. Mme Dunderdale est d'avis qu'Ottawa aurait pu intervenir dans le dossier pour s'assurer que Terre-Neuve recevrait une part équitable des retombées. Elle explique que l'éventualité d'une poursuite judiciaire est plus pertinente que jamais, maintenant que les Innus du Labrador réclament eux-mêmes une compensation relativement à ce projet. Les Innus affirment ne pas avoir été consultés avant le lancement du projet, qui leur aurait fait perdre 6000 kilomètres carrés de territoire.
  3. Les machines de la papetière à Grand Falls-Windsor, à Terre-Neuve, viennent de s'arrêter définitivement. Elles tournaient depuis plus d'un siècle. Pour en lire plus...
  4. La pétrolière reporte d'au moins un an son projet d'exploration du bassin Orphan, au large de Terre-Neuve. Elle explique sa décision par des coûts plus élevés que prévu. Pour en lire plus...
  5. Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador adopte une loi afin d'exproprier tous les actifs d'AbitibiBowater dans la province, exception faite de l'usine de l'entreprise à Grand Falls-Windsor. Pour en lire plus...
  6. La papetière annonce la fermeture de son usine à Grand Falls-Windsor, à Terre-Neuve. Plus de 400 travailleurs seront mis à pied dans quelques semaines. Pour en lire plus...
  7. La province de Terre-Neuve et la compagnie Chevron signeront un accord permettant l'exploitation d'un champ pétrolier dont les réserves sont estimées à 730 millions de barils. Pour en lire plus...
  8. Électricité: Québec s'oppose à l'intrusion du fédéral Jean Charest s'est entretenu avec le premier ministre du Manitoba, Gary Doer, jeudi, à la réunion du Conseil de la fédération. Photo PC Jocelyne Richer Presse Canadienne Moncton Ottawa n'a pas à se mêler de développement énergétique et le Québec s'opposera à toute intrusion fédérale dans le dossier des interconnexions interprovinciales de lignes électriques, a dit le premier ministre Jean Charest, jeudi, adoptant ainsi une position qui risque fort d'envenimer ses relations avec Terre-Neuve, l'Ontario et Ottawa. Alors que l'idée de construire une ligne d'interconnexion pancanadienne fait son chemin parmi les premiers ministres du pays, la pression s'accentue sur le Québec pour qu'il accepte de voir transiter sur son territoire l'électricité de Terre-Neuve vers l'Ontario. Mais le premier ministre Jean Charest a été plus ferme que jamais, jeudi, à la réunion du Conseil de la fédération, pour dire qu'il n'accepterait jamais de se voir imposer par Ottawa une telle ligne de transport d'électricité. «Ce que nous n'acceptons pas, c'est qu'on puisse passer sur le territoire québécois comme ça, sans conditions. On ne veut pas et on ne croit pas que le gouvernement fédéral doit s'immiscer là-dedans», a-t-il dit, en point de presse, en marge de la rencontre. L'Ontario, qui veut éliminer le charbon de ses sources d'approvisionnement et qui fait face à une demande croissante, est intéressée à acheter l'énergie à venir du mégaprojet de la Basse Churchill, au Labrador. Or, le projet, qui pourrait générer 2800 mégawatts d'électricité et alimenter 1,4 million de foyers, pourrait nécessiter l'intervention d'Ottawa, qui serait invité à endosser une garantie de prêt fédérale atteignant jusqu'à 9 milliards $. «Il ne sera jamais question de ligne fédérale au Québec», a ajouté M. Charest, faisant valoir que l'énergie était de compétence provinciale et qu'Ottawa n'avait pas à s'immiscer dans ce marché. De plus, Québec refuse mordicus de voir Ottawa financer le projet d'interconnexion entre Terre-Neuve et l'Ontario, faisant valoir que de tout temps le Québec a assumé seul la facture de construction de barrages et de lignes de transport. «Est-ce que le gouvernement fédéral devrait intervenir pour financer la construction de lignes? C'est là-dessus où le Québec dit non», a-t-il déclaré. Il existe déjà une convention voulant qu'un État nord-américain peut utiliser les lignes de transport d'électricité d'un autre, mais à condition, a expliqué M. Charest, «qu'il y ait de l'espace et qu'ils assument les coûts. C'est le prix qu'on doit payer si on veut faire partie d'un réseau nord-américain qui nous permet de vendre de l'énergie à nos voisins du sud». De son côté, l'Ontario s'impatiente. «J'aimerais que M. Charest et M. Williams (premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador) entrent dans une sorte d'accord pour qu'on puisse avoir accès à cette électricité le plus tôt possible», a déclaré le premier ministre Dalton McGuinty. Pour satisfaire au plus tôt les besoins de sa province, M. McGuinty ne voit aucun problème quant à lui à voir Ottawa s'immiscer dans le dossier. «Si c'est possible d'accélérer la création d'une ligne nationale et si on peut ajouter l'argent du fédéral hors du Québec, ce serait dans l'intérêt national», selon lui. Curieusement, le premier ministre Danny Williams a quitté la rencontre de jeudi immédiatement après les discussions sur l'énergie, s'excluant ainsi des discussions sur les changements climatiques et les barrières au commerce interprovincial de jeudi après-midi et vendredi. Il avait quand même pris le temps, avant de partir, de rendre public un document, endossé par ses homologues, qui définit les grandes orientations que les provinces s'engagent à respecter pour assurer un développement énergétique respectueux de l'environnement. Ce n'est pas d'hier que les relations sont tendues entre le Québec et Terre-Neuve dans le dossier de l'énergie. En mai 2006, M. Willliams jugeait qu'il n'avait plus besoin de partenaire pour développer la Basse Churchill et annulait l'appel d'offres, qui avait soulevé l'intérêt d'Hydro-Québec, en alliance avec SNC-Lavalin et l'Ontario. Depuis, Terre-Neuve explore l'idée d'acheminer son électricité par voie sous-marine, vers les Maritimes pour livraison aux États-Unis, un scénario qui représenterait des coûts astronomiques. Le 27 septembre, M. Williams, qui est reconnu pour son franc-parler, avait déclaré qu'il était dans l'intérêt du Canada de réduire sa dépendance envers l'énergie produite au Québec, en raison de l'instabilité de son climat politique. Il a aussi déjà accusé le Québec de tenter de restreindre, à son profit, l'accès à d'importants marchés tels ceux de l'Ontario, en moussant ses projets de la Côte-Nord, au détriment de celui de la Basse Churchill dans sa province. Par ailleurs, le document adopté par les premiers ministres jeudi stipule notamment qu'ils veulent «développer et améliorer des réseaux de transmission et de transport d'énergie modernes, fiables et sûrs pour l'environnement». Intitulée Une vision partagée de l'énergie au Canada, la nouvelle «stratégie» s'en tient à des orientations très vagues, sans définir des obligations à respecter. On y parle par exemple de promouvoir l'efficacité énergétique, l'énergie propre et verte, et d'accentuer la recherche de nouvelles technologies.
  9. Le Conference Board prédit la plus forte croissance provinciale à Terre-Neuve 23 février 2007 | Presse Canadienne, OTTAWA (PC) - L'économie de Terre-Neuve-et-Labrador devrait connaître la meilleure performance au pays cette année, avec une croissance de 5 pour cent, estime le Conference Board du Canada. "Cette vigueur, Terre-Neuve-et-Labrador la doit à l'augmentation de la production minière, a expliqué vendredi dans un communiqué Marie-Christine Bernard, directrice associée aux prévisions provinciales. La mine de Voisey's Bay et le champ pétrolier en mer Terra Nova sont à présent opérationnels, et la production pétrolière de White Rose devrait croître." Toutefois, prévoit le Conference Board, l'essoufflement de la production pétrolière en 2008 portera un dur coup à la croissance économique. Terre-Neuve et l'Ouest canadien continueront de dépasser les autres provinces cette année, mais l'année prochaine, la vague de prospérité atteindra les provinces du centre du pays, a indiqué le Conference Board. Au Québec, une hausse du revenu net d'impôt est prévue en raison des augmentations salariales et des dispositions législatives sur l'équité salariale qui entrent en vigueur cette année, amenant de meilleures ventes au détail. Le groupe de recherche prévoit que la croissance du PIB réel québécois sera de 2,4 pour cent en 2007. Selon le Conference Board, l'économie de l'Ontario demeure parmi les plus faibles du pays cette année, avec une croissance du PIB réel d'à peine 1,9 pour cent. La province passe par une restructuration de l'industrie de l'automobile, et les ventes au détail y sont modestes en comparaison avec la moyenne nationale. Après une croissance de 6,3 pour cent l'an dernier, le produit intérieur brut réel de l'Alberta devrait augmenter d'un peu plus de 4 pour cent au cours de chacune des deux prochaines années, notamment en raison des prix élevés du pétrole, estime le groupe de recherche. A l'exception de l'Ile-du-Prince-Edouard, les perspectives pour les provinces de l'Atlantique sont plus encourageantes cette année. Au Nouveau-Brunswick, d'importants projets d'immobilisations entraîneront une croissance de 2,7 pour cent du PIB réel. En Nouvelle-Ecosse, le Conference Board s'attend à ce que la production minière affiche des gains supérieurs à 10 pour cent, ce qui se soldera par une croissance de 2,3 pour cent de l'économie globale de la province.
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