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  1. Plus de trois milliards $ à l’abri des taxes municipales Jean-Louis Fortin 28/07/2010 Pendant qu’on prépare les contribuables à de nouvelles hausses de taxes foncières pour 2011, des milliers de propriétaires d’immeubles ne paient pas un sou en taxes municipales et scolaires, grâce à la loi provinciale et à des ententes avec les villes. En 2010, à Montréal, Laval et Longueuil, la valeur combinée des immeubles exemptés atteint 3,3 milliards $, révèle une enquête menée par 24H. Au total, les trois villes estiment qu’elles pourraient récolter presque 100 millions $ en revenus supplémentaires chaque année, si ces immeubles étaient taxés. Lieux de culte de toutes les sectes et religions, terrains de golf publics, théâtres, marinas ; la liste des organisations qui échappent aux charges foncières s’allonge même à un rythme soutenu, avons-nous constaté. Ces chiffres excluent plusieurs catégories d’immeubles exemptés dont les édifices gouvernementaux, les hôpitaux et les écoles publiques, qui paient des compensations fixes aux villes, de même que les bâtiments municipaux et les terrains sur lesquels se trouvent des voies de circulation. Bien que controversés, ces congés de taxes sont parfaitement légaux, puisqu’ils s’appuient sur la Loi sur la Fiscalité municipale (LFM). Duplex et triplex Ainsi, sur le territoire de la ville de Montréal, 1167 propriétés classées comme « lieu de culte » ne paient pas de taxes foncières en vertu de l’article 204 de la LFM. Parmi ces immeubles religieux d’une valeur totale de presque 1,9 milliard $, on retrouve des lieux de rassemblement tels des églises et des mosquées, mais aussi de nombreux duplex et triplex dont certains servent de presbytères. Il faut y ajouter 174 « cimetières », des terrains dont l’évaluation combinée dépasse le demi-milliard $. On compte aussi huit terrains de golf publics d’une valeur totale de presque 130 millions $, exemptés en vertu de l’article 211 de la même loi, qui ne paient pour la plupart que la valeur des taxes reliée aux bâtiments. C’est le cas du Club de golf de l’Île de Montréal, dont la photo était utilisée erronément, et qui paie des taxes foncières sur les bâtiments. Le terrain, dont il n’est pas propriétaire, appartient à la Ville. La liste des propriétés exemptées inclut également le Royal St-Lawrence Yacht Club, une marina de 3,6 millions $ aux abords du lac Saint-Louis, à Dorval, fondée en 1888. L’administration Tremblay, aux prises avec un manque à gagner de 400 millions $ pour boucler son budget 2011, pourrait-elle remettre en question la pertinence de ces congés de taxes ? Réponse sans équivoque dans un courriel en provenance du cabinet du maire: « Non. Le maire Tremblay a déjà dit que la Ville ne réévaluera pas la question des exemptions ». Manque à gagner relié aux propriétés non imposées (évalué par les municipalités) Montréal : 64 millions $ Longueuil : 21,7 millions $ Laval : 11 millions $ De plus en plus de congés de taxes Les registres du service d’évaluation foncière de Montréal révèlent que la valeur totale des exemptions a presque triplé en trois ans, uniquement en ce qui concerne les organismes sans but lucratif, par exemple la Société canadienne du Cancer et la Mission Old Brewery. Ainsi, dans le rôle d’évaluation 2004, 306 organismes à but non lucratif, dont les immeubles valaient au total 296 millions $, étaient exemptés de taxes municipales et scolaires. Trois ans plus tard, en 2007, ce chiffre avait grimpé à 530 organismes, dont les immeubles valaient 880 millions $. Parmi les ajouts à la liste, on retrouve le Festival international de Jazz de Montréal, propriétaire d’un bâtiment sur la rue Sainte-Catherine Ouest qui vaut 9,5 millions $. Il y a aussi le Cirque Éloize, dont le siège social de 2,4 millions $ est situé dans le Vieux-Montréal , ainsi que l’immense Cité des arts du Cirque (TOHU), rue Jarry, dont la valeur foncière est estimée à 16 millions $. L’ajout le plus important est celui du Stade Uniprix, appartenant à Tennis Canada, dont les bâtiments et terrains ont une évaluation combinée de 33,7 millions $. L’exemption de Tennis Canada, une organisation sans but lucratif, découle d’une entente spéciale avec la Ville, qui exige notamment que 45% des équipements sur le site soient utilisés par le grand public. « Complètement absurde » Claire Joly, directrice générale de la Ligue des contribuables du Québec, est estomaquée de la valeur totale des exemptions de taxes municipales. « Beaucoup de contribuables vont sursauter en voyant ces chiffres, surtout que cette année, après les élections de novembre dernier, il y a eu des hausses de taxes assez généralisées dans la plupart des municipalités », déplore-t-elle en entrevue. « C’est complètement absurde d’exempter les terrains de golf publics, ils font des profits », dénonce-t-elle entre autres. La loi provinciale qui accorde un congé fiscal aux terrains de golf a été adoptée en 1963. Depuis 1980, la nouvelle Loi sur la fiscalité municipale (LFM) limite cette mesure aux terrains publics. « Les objectifs visés par cette disposition étaient de protéger les terrains de golf contre la taxation abusive de certaines petites municipalités et de protéger et de favoriser l’existence d’espaces verts naturels en milieu urbain », explique Caroline Saint-Pierre, porte-parole du ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/07/20100728-162408.html
  2. jeudi 17 mai 2007 Un an après l'abandon du projet de déménagement du casino, le quartier Pointe-Saint-Charles de Montréal fait l'objet de nouvelles propositions de développement. Le propriétaire des anciens terrains du Canadien National (CN) veut y aménager de 800 à 1000 nouveaux logements, en plus de relancer les ateliers d'entretien de trains dans les anciens hangars ferroviaires, selon les informations obtenues par Le Devoir.
  3. Publié le 19 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Carte blanche aux créateurs Programmation comprenant des logements, dont un minimum de 30% de logement social, dans les parties protégées des nuisances du périphérique et qui prévoit la reconstitution des fonctionnalités du parc de stationnement et de la gare routière existantes sur le terrain « Pershing ». Concepteur : Sou Fujimito, architecte / Manal Rachdi, Oxo Architectes / Moz Paysage / Atelier Paur Arène, paysagiste / Pierre-Alexandre Risser Horticulture; Jardins, paysagiste. Photo fournie par la mairie de Paris (http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201703/18/01-5080053-carte-blanche-aux-createurs.php#wcm:article:5080053) François Cardinal (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Fran%C3%A7ois+Cardinal) La Presse La toute première décision comme ministre de l'Aménagement et de l'Architecture ? Spontanément, la priorité irait au diktat du plus bas soumissionnaire. À son abolition, en fait, tant cette règle fait des dégâts au Québec. Il est franchement absurde qu'encore aujourd'hui, une loi force les élus à choisir le projet le moins cher plutôt que le meilleur ! Mais comme première, première décision ? Le ministre pourrait faire rêver davantage, non ? Il pourrait élever la qualité de l'architecture plutôt que d'éliminer simplement les obstacles. Pourquoi ne pas donner carte blanche aux créateurs ? Pourquoi ne pas s'associer à Québec et Montréal, cibler une demi-douzaine de terrains publics, puis lancer un concours international : les projets les plus fous, les plus originaux, les plus innovants remporteraient... un permis de construction ! L'idée peut sembler farfelue, mais c'est très précisément ce que vient de faire la Ville de Paris. Avec des résultats époustouflants ! En accédant à la mairie en 2014, Anne Hidalgo a en effet lancé « l'initiative un peu folle » Réinventer Paris. Une manière révolutionnaire de céder les terrains qui appartiennent à la ville, surtout les plus ingrats. Une vingtaine de sites aux quatre coins de Paris ont ainsi été mis en compétition : gare, friches industrielles, hôtels particuliers, terrains vagues et même un transformateur électrique. Un appel de projets a alors été lancé aux promoteurs et architectes avec une seule règle : pas de tour. « Ils ont été attirés par l'idée de la carte blanche : pour une fois, nous n'imposions aucun programme et leur laissions proposer les idées et innovations les plus originales », explique Jean-Louis Missika, adjoint à la mairesse, chargé de l'urbanisme (voir entrevue). Et la qualité des projets a surpris la Ville, autant que leur nombre : 650 dossiers officiellement déposés avec offre d'achat formelle par autant d'équipes d'investisseurs réunissant des architectes, des paysagistes, des designers, mais aussi des penseurs, des agronomes et des artistes. Et rien d'utopique dans les projets, car l'objectif était de les construire « à court terme ». Les 22 gagnants ont ainsi été choisis l'an dernier, 10 dossiers sont déjà passés devant le conseil municipal et trois permis de construire ont été délivrés. La majeure partie des projets, promet-on, verra le jour d'ici 2020. Paris ne s'est donc pas contentée de susciter la création urbaine, elle l'a réinventée... en même temps qu'elle a réinventé la ville. Parmi les lauréats, on retrouve de tout. Un écoquartier suspendu au-dessus d'une autoroute. Une station électrique transformée en cinéma. Des bains-douches réaménagés en ateliers d'artistes. Un entrepôt de voirie devenue funérarium. « Paris, s'est exclamé Le Soir, n'avait pas connu pareil bouillonnement de projets urbains depuis le Second Empire. » Depuis, en fait, que Napoléon a chargé le baron Haussmann de percer de larges avenues dans la ville. Le concours est ainsi devenu un véritable laboratoire d'idées, sans même que cela coûte un sou à la municipalité (elle aurait au moins pu rémunérer les professionnels, mais bon...). Au contraire, même, grâce à la vente des terrains, les coffres de la Ville seront renfloués de centaines de millions d'euros. Réinventer Paris est ainsi devenu une opération financière intéressante. Mais c'est aussi devenu une nouvelle carte de visite pour la ville, une occasion en or pour les jeunes architectes d'émerger et, surtout, une opération de pédagogie auprès des Parisiens qui ont suivi le concours de près et qui se sont déplacés nombreux pour visiter leur exposition au Pavillon de l'Arsenal (jusqu'au 8 mai, pour les intéressés). « Rarement, a concédé Le Monde, une compétition d'architecture aura suscité autant d'engouement en France. » Trop beau pour être vrai ? Trop beau pour Montréal et Québec ? Ce n'est pas l'avis de la mairie de Paris, qui est en discussion avec « un grand nombre de villes qui souhaitent s'inspirer de la démarche », en plus de mener de front de nouvelles initiatives du genre pour la grande région de Paris, le sous-sol parisien et même la Seine. « Montréal a la chance de disposer d'un vivier important de collectifs et porteurs de projets qui pourraient être intéressés par ce type de démarche, indique Jean-Louis Missika. Le classement de la métropole québécoise en tant que ville UNESC O de design incite à ouvrir la production urbaine à des équipes pluridisciplinaires. » À son avis, les appels à projets urbains innovants pourraient certainement servir d'inspiration aux professionnels de Montréal. « Mon conseil à M. Coderre serait de miser sur la jeune génération, pleine de ressources et d'idées nouvelles. » Prometteur, non ? Une bonne initiative pour lancer la carrière d'un ministre de l'Architecture fraîchement nommé.
  4. Dans le cadre de la discussion sur le réaménagement du Square Viger, j'ai proposé un grand parcours piétonnier dont voici le texte. J'ai finalement décidé de le publier dans la section Vision, pour le mettre plus en évidence et aussi pour ne pas nuire, par une longue digression, au fil du square lui-même. J'emprunte en même temps la vidéo publiée par ChrisDVD parce qu'elle est en partie ma source d'inspiration. Le projet de NIPPaysage Je retiens l'élément principal de cette vidéo, l'axe central qui ralliera les 4 segments du Square-Viger. Cet axe que j'espérais voir apparaitre sur les plans, me confirme que l'on pourrait à terme le prolonger de part et d'autre pour rejoindre le Palais des Congrès et le pont Jacques-Cartier via Lagauchetière et les terrains de la SRC. Et même au-delà, en se connectant éventuellement avec la promenade centrale du nouveau boulevard Robert-Bourrassa à l'ouest et un axe à poursuivre plus à l'est dans Ste-Marie. Le tout étant complété par une boucle de retour tout le long des berges du St-Laurent au Vieux-Port, le canal Lachine et finalement à nouveau la promenade R-B. Un merveilleux tour d'horizon piétonnier de quelques kilomètres, qui traverserait en les reliant: le Quartier International, le Quartier Chinois, le Quartier de la Santé, le Quartier des Ondes et le Quartier Ste-Marie. Retour via les berges du Port, le Faubourg Québec, le Vieux-Montréal et le Vieux Port. Donnant ensuite accès selon la direction choisie au Quartier des Médias, Griffintown et le centre-ville. Ce parcours urbain deviendrait en même temps un abrégé de Montréal, supporté par une application mobile conçue spécifiquement pour le trajet. On développerait ainsi un véritable circuit piétonnier central, de jour comme de nuit, complètement intégré et unique en son genre. Le Montréal d'hier, d'aujourd'hui et de demain, accessible à tous (montréalais et visiteurs), dans une promenade dynamique qui nous en mettrait plein la vue. A lui seul ce sentier pédestre deviendrait une attraction touristique ultra populaire, tout en nous invitant aux autres promenades urbaines, dont celle qui montera jusqu'au Mont-Royal. Difficile de faire mieux autant sur le plan urbanistique, qu'au niveau du développement durable. Même la valeur foncière des secteurs riverains augmenterait substantiellement par la proximité de ce superbe itinéraire structurellement organisé. On ne pourrait faire mieux non plus pour encourager la marche active et les activités de santé. Le tout couplé d'animations diverses et de places publiques invitantes sur chaque segment de cette exceptionnelle randonnée. Voilà en résumé mon rêve le plus cher pour Montréal. Ne suffit que d'un peu plus d'audace, car tout est potentiellement possible si on se donne la peine de construire des liens pratiques et esthétiques pour les chainons manquants. Pour le reste cette voie royale et les terrains concernés seront prochainement en chantier sur presque tout le parcours est-ouest. Ne suffira que de coordonner l'ensemble et travailler spécifiquement la grille de rues pour obtenir une infrastructure de classe mondiale, dont nous pourrons tous (montréalais et québécois) vraiment être fiers.
  5. Voilà la question Dans l'ensemble de Montréal, quel sont selon vous les meilleurs terrains à développer ? Bien sur j'ai penser à Blue Bonnets. Mais je croise à tous les jours le terrain au coin de la rue St-Timothé et de l'Avenue Viger, avec le nouveau Carré viger, le CHUM, le recouvrement de Ville-Marie et la Gare en rénovation. Ce terrain vaut de l'or non ? Alors selon vous, les meilleurs terrains se trouve où? PS. Si c'est intéressant, je risque de me servir de vos réponses pour un article sur le blogue.
  6. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  7. Je suis passé par là il ya quelques jours et le gros lot en rouge est en démolition. Les deux autres lots encerclés en rouge semblent abandonnés et faisant partie de la même compagnie d'antan... Ces terrains sont immenses et pourraient très bien faire du résidentiel... à suivre. Évidemment si vous avez une idée de ce qui se passe là, n'hésitez pas à commenter le fil.
  8. L'entrepôt qui je crois était loué par la ville situé au 701 Notre-Dame Ouest a été démoli voilà pas si longtemps. Ils débarrassaient encore des débris la semaine dernière. Le terrain appartient tout vraissembablement à Magil Laurentienne, juste en face de la tour de la Bourse Je ne suis pas en mesure de savoir quel développement qu'il y aura à cet endroit. On parle de grands terrains de stationnement en ce moment. Du coup j'aimerais ajouter que le terrain du Bureau en gros non loin de la est d'un gaspillage de "prime real estate" avec le nouveau boulevard qui sera la bientôt. Quelqu'un peu m'éclairer et me pointer vers le fil du suejt sur le forum? (s'il y en a un) ou comment trouver plus d'info sur le sujet?
  9. Le conseil municipal de Saint-Eustache a donné, le lundi 10 juin dernier, son aval à l’offre d’achat de Gestion Benoît Dumoulin (GBD) pour l’acquisition de la partie nord du terrain du Club de golf Deux-Montagnes, en vue d’y développer la portion résidentielle du projet Albatros. Les terrains acquis par GBD au coût de 11,7 millions de dollars couvrent une superficie de 2,2 millions de pieds carrés sur les 6,7 millions que compte actuellement le terrain de golf. À terme, la Ville estime à quelque 200 millions de dollars les investissements privés. Deux jours plus tard, la Ville dévoilait le concept du projet résidentiel, dans un point de presse tenu à la mairie de Saint-Eustache. Positionné au nord du chemin de la Rivière‑Sud, dans la portion où sont notamment situés les bâtiments principaux du club de golf et le stationnement, ce nouveau concept de résidences comportera 700 unités de logement. «Près de 380 000 pieds carrés de terrain seront réservés aux espaces verts, dont 200 000 réservés pour l’aménagement d’une piste cyclable et d’une aire de repos», a indiqué le maire Pierre Charron. «On trouvera dans le projet une mixité d’habitations, soit de l’unifamilial, des maisons en rangée et des condos», a expliqué Éric Desjardins, architecte associé chez DKA Architectes, qui a travaillé de concert avec la Ville pour élaborer les plans. «50 % des stationnements seront intérieurs, soit par des garages privés ou des stationnements intérieurs, a‑t‑il précisé. Les lacs artificiels [du golf] seront conservés.» Les architectes qui ont travaillé sur les plans estiment vouloir recréer un mini Central Park, avec plusieurs éléments communautaires. «La zone tampon sera bonifiée et nous nous sommes limités à un maximum de quatre étages sur tout le site», a ajouté M. Desjardins. Si le design architectural n’a pas encore été fixé, M. Desjardins vise «une architecture contemporaine». Le quartier sera aménagé pour éviter la circulation de transit. Des carrefours giratoires seront aménagés aux intersections les plus achalandées. «Les nombreuses consultations que nous avons menées en lien avec le projet Albatros, nous ont fourni un cadre très rigoureux pour l’implantation d’un plan d’aménagement axé sur le développement durable. Deux projets se sont démarqués lors des négociations, mais c’est la proposition qui répond le mieux à la vision que nous avions, a souligné le maire Charron. Au terme de cette transaction, il nous restera encore 4,5 millions de pieds carrés de terrains industriels à vendre. L’amortissement complet surviendra dès que nous aurons vendu autour de 500 000 pieds carrés de terrains industriels, ce qui ne saurait tarder, la demande étant déjà très forte. Par la suite, la vente des quatre millions de pieds carrés restants générera des profits nets, au bénéfice de la collectivité.» Rappelons que l’ensemble du terrain de golf doit être acheté par la Ville de Saint-Eustache au montant de 13,25 M$. En marge de ce point de presse, M. Charron a tenu à faire le point sur «de fausses informations qui circulent à ce propos», dit‑il, rappelant qu’aucun dézonage agricole n’est nécessaire, le terrain de golf étant déjà zoné «blanc» et «déjà desservi par des services». http://www.leveil.com/Actualites/2013-06-14/article-3277154/Projet-Albatros%3A-Le-volet-residentiel-comportera-700-unites-de-logement/1 http://www.projetalbatros.com/Portals/0/SKIN/PlanAlbatros.jpg
  10. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  11. «Montréal devrait se positionner comme un leader du tourisme vert au Canada, c’est gagnant économiquement et socialement», croit Vincent Léger, consultant en tourisme durable. Avec ses partenaires, il est déjà en contact avec trois arrondissements. Les terrains libres ne manquent pas. Sur le bord du bassin Peel, dans le sud-ouest, un terrain de 170 000 pieds carrés pourrait faire l’affaire. «Comme il est sur le bord de l’eau, il pourrait très bien se jumeler avec des activités de canot Rabaska et attirer des touristes étrangers», fait valoir M. Léger. Le secteur Bellechasse qui doit être revitalisé près du métro Rosemont, est aussi envisageable et aurait l’avantage d’être central. Plusieurs villes comme Berlin (Tentestation) ou Paris (dans le Bois de Boulogne) disposent déjà de campings accessibles en transport en commun. Depuis deux ans, New York a ouvert une douzaine de ses parcs, dont Central Park, au camping familial les fins de semaine d’été, afin notamment de reconnecter les citoyens avec la nature. Un concept qui rejoint celui de M. Léger. «Autour de ce camping, il y aurait plusieurs activités liées à la nature qui pourraient aussi intéresser les Montréalais ne pouvant s’évader de l’Île», affirme-t-il. Le camping, qui serait interdit aux véhicules à moteur, ferait la part belle à différents types d’habitations comme la tente prospecteur ou la yourte tout en incorporant une dimension design avec des cabines faites à base de conteneurs. Du côté de Tourisme Montréal, on se dit étonné par l’idée. «Par le passé, on a déjà eu quelques demandes de campings, mais surtout pour des roulottes et des mobiles homes, indique Pierre Bellerose, porte-parole de l’organisme. Toutefois, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas de place pour ce type d’offres.» M. Bel*lerose précise que le coût des terrains sur l’île pourrait être un frein. http://www.journalmetro.com/linfo/article/775903--du-camping-a-montreal
  12. http://journalmetro.com/actualites/montreal/584524/montreal-reflechira-a-ses-droits-sur-ses-terrains-de-stationnement-a-vendre/ 29/10/2014 Mise à jour : 29 octobre 2014 | 10:48 Montréal réfléchira à ses droits sur ses terrains de stationnement à vendre Par Marie-Eve Shaffer Métro Un développement immobilier devrait voir le jour sur le terrain de stationnement situé en face du Centre Bell. La Ville de Montréal réfléchira à la possibilité de conserver les droits souterrains des terrains de stationnement qu’elle souhaite vendre pour du développement immobilier. C’est le responsable des Transports, Aref Salem, qui a en fait la proposition mercredi, lors de la réunion hebdomadaire du comité exécutif. Il réagissait ainsi à une décision mettant fin au bail de Stationnement Montréal pour un terrain situé à l’angle des rues Saint-Antoine et Jean-D’Estrées à partir du mois de janvier. Cadillac Fairview a comme projet d’y ériger deux tours résidentielles de 38 étages. «[Ce terrain] représente 39 cases près du Centre Bell, a dit M. Salem. On est en train de les retirer et on densifie le secteur. Il y aura plus de personnes qui vivront dans ce secteur et il y aura moins de stationnement.» M. Salem a proposé qu’à l’avenir, la Ville tente de convenir de partenariats avec les promoteurs immobiliers afin de conserver les stationnements publics. Une quinzaine de terrains de stationnement appartenant à la Ville seront éventuellement à vendre, a souligné le responsable des Transports, Aref Salem. Le président du comité exécutif, Pierre Desrochers, a promis de réfléchir à sa proposition.
  13. Un excellent dossier du journal Les Affaires sur les terrains contaminés incluant une carte interactive Terrains contaminés: la carte du Québec toxique PAR HUGO JONCAS L’héritage empoisonné laissé par 160 ans d’industrialisation au Québec est difficile à mesurer précisément: les données gouvernementales de base sont un fouillis. Mais une chose est claire: les friches toxiques sont partout, et surtout en plein cœur des villes, à un jet de pierre des quartiers résidentiels. Les gouvernements québécois et fédéral répertorient 5593 emplacements qui doivent toujours être nettoyés dans la province. Nous les avons regroupés sur une carte interactive exclusive des terrains contaminés. Pendant six mois, Les Affaires a enquêté pour y voir plus clair, à raison de dizaines d’entrevues, de multiples demandes d’accès à l’information et en obtenant de nombreux documents confidentiels. Nous n'avons cependant pas pu obtenir le point de vue d'Yves-François Blanchet, ministre du Développement durable, de l'Environnement, de la Faune et des Parcs, puisqu'il a refusé nos demandes répétées d'entrevue à ce sujet. Notre enquête est disponible dans l’édition du 1er février de Les Affaires. D’autres articles viendront s’ajouter à notre couverture en ligne, ici-même. Consultez notre dossier d'enquête: - Carte interactive des terrains contaminés - Lachine: un terrain de Catania gorgé d'arsenic, de plomb et d'huile à chauffage - Utramar: 14 ans pour nettoyer une fuite de paraxylène au Port de Montréal - Contamination au pétrole: le lourd bilan du CN - Le Montréal toxique Plus d'articles issus de l'édition du 1er février de Les Affaires: - La carte d'un legs toxique - Une facture de 3,17G$ pour Québec - Quand le public finance la contamination... et la décontamination - Un pari salissant - Des dizaines de milliards en coûts de décontamination - LA CAQ propose une réforme - Décontaminer pour ériger des condos Sur notre carte, chaque point correspond à un terrain que les autorités considèrent toujours comme souillé. Les emplacements sont enregistrés dans le «Répertoire des terrains contaminés» québécois ou dans l’«Inventaire des sites contaminés fédéraux». Les géants historiques de l’industrie dominent le tableau : pétrolières, Hydro-Québec, chemins de fer, alumineries, forestières... Aux quatre coins de la province, les poids lourds industriels ont créé des centaines de milliers d’emplois. Mais ils ont aussi laissé un vaste archipel de sites toxiques : hydrocarbures, BPC, plomb, mercure, cyanure, arsenic… Faciliter la recherche En cliquant sur chacun des points, vous pourrez découvrir le nom du dossier et la liste des contaminants présents sur les lieux. Vous pouvez aussi savoir si l’eau est affectée à cet endroit. Le lecteur doit tout de même garder en tête qu’un terrain peut avoir été décontaminé, même s’il figure sur la carte. Il peut également avoir été revendu à un autre propriétaire que celui figurant au nom du dossier, comme c’est le cas par exemple du terrain de Catania dans l’arrondissement Lachine à Montréal, identifié au nom d’ArcelorMittal. À l’inverse, de nombreux terrains contaminés ne figurent pas au Répertoire, parce que les propriétaires ne sont pas tenus de les déclarer ou qu’ils ont négligé de le faire. Données imparfaites D’emblée, Les Affaires a dû se poser une question fondamentale : que faire quand les meilleures informations disponibles sont… peu fiables? Les données de base que nous avons utilisées sont publiques, mais elles souffrent d’importantes lacunes. Certains lieux répertoriés sont toujours considérés comme contaminés, même s’ils ne le sont plus. Ce type de problèmes affecte les entrées au Répertoire des terrains contaminés québécois «dans une proportion inconnue», concède le ministère du Développement durable, de l’Environnement, de la Faune et des Parcs. Malgré les défauts de ces informations, Les Affaires a décidé de les publier intégralement. D’une part, parce qu’un site est considéré comme étant «contaminé» tant que les fonctionnaires n’ont pas approuvé de rapport de décontamination. Le statut d’un terrain est modifié seulement une fois que les spécialistes du Ministère ont analysé son rapport de décontamination et l’ont jugé conforme. D’autre part, les données du Répertoire québécois et de l’Inventaire fédéral sont les seules disponibles qui permettent d’informer le public sur les terrains contaminés.
  14. Nom du projet : Les Berges de la Rivière Description : Nouveau projet au bord de l'eau à Ste-Dorothée, Laval. Près de tous les services, gare, centre-d'achats, autoroute 13 et 440. -À cinq minutes de marche des stations St-Dorothée et Ile Bigras. -Une courte distance du Méga Centre Sainte Dorothée incluant des boutiques, restaurants, et autre -À proximité de superbes terrains de golf, écoles, sentiers de promenade, parcs, et activités sportives -Un stationnement sous-terrain sécuritaire et bien éclairé -Des constructions en ciment à l’épreuve du feu Site : Les Berges de la Riviere | Exceptional Laval Condos Images : http://www.lesbergesdelariviere.com/wp-content/uploads/2012/10/Lavalle-Condos-Building-980x610.jpg http://www.lesbergesdelariviere.com/wp-content/uploads/2012/10/condo-homes-montreal.jpg
  15. via Radio-Canada Près de 200 arbres touchés par l'agrile du frêne à Montréal Mise à jour le samedi 1 mars 2014 à 3 h 10 HNE L'agrile du frêne poursuit sa progression à Montréal. Le dernier bilan de la Ville fait état de 197 arbres infestés par l'insecte ravageur dans la métropole, dont 58 dans l'arrondissement de Merchier-Hochelaga-Maisonneuve. Rosemont-La-Petite-Patrie, Ahuntsic-Cartierville, Notre-Dame-de-Grâce-Côte-des-Neiges et Saint-Laurent sont aussi touchées par l'agrile du frêne. Les maires d'arrondissements et des villes situées sur l'île de Montréal doivent se rencontrer le 10 mars prochain afin de coordonner les efforts de lutte contre l'insecte et discuter de plans d'intervention sur les terrains privés. Comme ailleurs en Amérique du Nord, Montréal doit s'attaquer à l'agrile du frêne, qui menace une partie importante de la canopée montréalaise depuis son apparition en 2011. À Rosemont-La-Petite-Patrie, l'arrondissement procède à l'abattage de 300 frênes infestés ou menacés de l'être qui se retrouvent sur des terrains publics. L'opération devrait être terminée d'ici la mi-mars, selon le maire d'arrondissement, François Croteau. Le parti dont fait partie M. Croteau, Projet Montréal, réclame un fonds d'urgence de 10 millions de dollars de la part de l'administration municipale afin de lutter plus efficacement contre l'agrile du frêne. L'été dernier, Montréal avait investi un million de dollars pour combattre l'insecte. Avec les informations de Benoît Chapdelaine
  16. http://www.ledevoir.com/sports/soccer/401521/le-voile-et-le-turban-officiellement-autorises-dans-le-football <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;">[h=1]Le voile et le turban officiellement autorisés au football[/h]</header>1 mars 2014 10h31 | Agence France-Presse | Soccer <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : Agence France-Presse (photo) Archives / Amir PoormandDes joueuses de l'équipe nationale iranienne féminine de football en échauffement, en 2009. Le port du voile ou du turban a été avalisé samedi par la FIFA.</figcaption></figure>Zurich — La possibilité de porter le voile ou le turban a été officiellement intégrée samedi dans les règles du football, ce qui devrait contribuer à lever la barrière religieuse à son développement dans plusieurs pays du globe. L’International Football Association Board (IFAB), l’organe garant des lois du ballon rond, avait autorisé à titre d’essai le port du voile sous certaines conditions strictes il y a deux ans, à la demande de plusieurs pays musulmans. Le Board avait ensuite accepté d’étendre cette expérience aux joueurs masculins après qu’un conflit autour du turban par des Sikhs déborde sur les terrains de football au Québec. «Une expérience a été menée et la décision restait à prendre. Cela a été confirmé: les joueuses peuvent avoir la tête couverte pour jouer», a déclaré le secrétaire général de la Fédération internationale de football (FIFA), Jérôme Valcke, lors d’une conférence de presse. «Nous ne pouvons faire de discrimination. Ce qui s’applique aux femmes peut s’appliquer aux hommes. Les hommes peuvent aussi porter dans les différents compétitions un couvre-chef», a ajouté Jérôme Valcke. Consignes à respecter Le Board a jugé ne plus avoir de raisons valables de l’interdire si les consignes fixées sont bien respectées. Car ce couvre-chef autorisé sur les terrains n’aura rien à voir avec le voile ou le turban de tous les jours. Il doit en effet être collé à la tête, être en accord avec la tenue du joueur, ne pas être rattaché à son maillot, ne pas constituer un danger pour celui qui le porte ou pour autrui, et ne doit avoir aucune partie qui dépasse. Les épinglettes pour le faire tenir aux cheveux sont aussi bannies. Il doit encore être défini précisément et une circulaire sera envoyée dans la foulée aux différentes fédérations pour expliquer les détails. La question du voile avait agité la planète du ballon rond ces dernières années. L’Iran était allé jusqu’à porter plainte contre la FIFA parce que les joueuses de son équipe nationale, faute d’être autorisée à couvrir leurs têtes, avaient dû faire une croix sur les qualifications pour les Jeux olympiques de Londres en 2012. Le débat avait ressurgi au Canada en juin 2013, quand la Fédération québécoise de football s’était opposée au port du turban par des Sikhs sur les terrains. La Fédération canadienne, qui y était favorable, avait décidé de suspendre la branche québécoise avant que la FIFA ne calme le jeu, en étendant aux joueurs masculins le champ de son expérience. Choix sportif plutôt que religieux Pour les instances dirigeantes du ballon rond, c’est l’aspect sportif qui a primé sur le débat autour du symbole religieux. «C’était une requête qui venait d’un groupe de pays et d’un groupe de joueurs qui disaient que cela contribuerait au développement du football et ce fut le principal argument qui a poussé l’IFAB à dire oui», a souligné Jérôme Valcke. Si l’autorisation d’avoir la tête couverte sur les terrains est valable pour le monde entier, cela ne veut pas dire qu’elle sera appliquée partout. En France, où le débat sur le voile fait rage dans toutes les strates de la société depuis plusieurs années, la fédération nationale de football avait déjà interdit, il y a deux ans, à ses licenciées le port du voile afin «de respecter les principes constitutionnels et législatifs de laïcité» qui prévalent dans l’Hexagone. Samedi, la FFF a rappelé que ces mêmes principes restaient valables y compris «en ce qui concerne la participation des sélections nationales françaises dans des compétitions internationales» et maintenu «l’interdiction du port de tous signes religieux ou confessionnels» dans le pays. L’IFAB a aussi amendé les règles concernant les tenues des joueurs afin d’interdire plus clairement tout slogan, déclaration ou image à caractère politique, religieuse ou personnelle sur la partie visible ou sur les sous-vêtements. Que leurs intentions soient bonnes ou non, les joueurs qui soulèvent leur maillot pour montrer au public un message écrit s’exposeront ainsi à des sanctions. Par Stéphanie Pertuiset
  17. Questions simples; Quel sont selon vous les terrains vacant ou stationnement les plus apte à être développer en ce moment à Montréal. Plus communément appeler en anglais "Prime Real-Estate" Par exemple, les miens sont L'îlot Overdale De Loirmier et Ste-Catherine. Stationnements de la Maison Radio-Canada Merci de vos suggestions.
  18. http://www.ledevoir.com/opinion/blogues/le-blogue-urbain/379343/un-nouveau-quartier-pour-les-riches-ou-pour-tout-le-monde Un nouveau quartier pour les riches ou pour tout le monde? 29 mai 2013 07h46 | Marco Fortier | Le blogue urbain Photo : Société immobilière du Canada (SIC) Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Ce quartier vaut de l’or. À deux pas du centre-ville de Montréal, grand comme 120 terrains de football, le Bassin Wellington a le potentiel d’accueillir 3 millions de pieds carrés de bâtiments, soit une superficie équivalente à deux fois la Place Ville-Marie. Ces terrains d’une valeur extraordinaire, situés le long du canal de Lachine, sont en voie d’accueillir un nouveau quartier. Sans faire de bruit, la Société immobilière du Canada (SIC) a appelé le mois dernier les promoteurs immobiliers à soumettre des projets pour redonner vie à ce secteur au passé industriel. La SIC a confié ce mandat de relance au groupe financier Brookfield. On en sait bien peu sur les intentions de Brookfield et de la SIC, une société d’État qui a pour mission de développer les terrains du gouvernement fédéral. Mais déjà, des groupes communautaires de Pointe-Saint-Charles montent au front pour éviter que le Bassin Wellington soit offert à un promoteur privé sans véritable débat public. Ne pas répéter Griffintown « Il reste tellement peu de terrains publics dans ce secteur, ils ont tous tellement été bradés au profit d’entreprises privées, que nous demandons un développement qui réponde aux besoins réels des Montréalais », dit Karine Triollet, du groupe communautaire Action-Gardien. Elle dit craindre une répétition de ce qu’elle considère comme « les erreurs de Griffintown », le quartier voisin : la construction de milliers de condos vendus à prix d’or, sans tenir compte des 80 % de Montréalais qui n’ont pas les moyens de s’y installer. « Un maigre 15 % à 20 % de logements communautaires, c’est insuffisant », dit-elle. Karine Triollet n’est pas contre le développement économique, mais elle dit souhaiter une vaste réflexion sociale avant de lancer ce nouveau chantier. On verra dans les prochains mois si les groupes communautaires auront été entendus. Ou si l’épaisseur du portefeuille sera le principal critère pour choisir les résidants.
  19. Déménageons le Port de Montréal, dit Gaétan Frigon GAÉTAN FRIGON . les affaires.com . 13-09-2011 Tags : Économie, Montréal, Port de Montréal BLOGUE. Il y a quelques semaines, j’ai fait une balade en bateau sur le St-Laurent, à partir du Vieux-Port jusqu’à Contrecoeur. Outre les paysages bien de chez-nous, notamment dans les Iles de Boucherville et du coté sud du fleuve, ce qui m’a le plus frappé, ce sont les kilomètre de rives utilisés par le Port de Montréal. Quoiqu’il soit difficile en bateau d’estimer une distance terrestre, il m’a semblé que l’ensemble des installations du port s’étalait sur environ 15 kilomètres. J’ai trouvé cela aberrant et me suis mis à rêver d’un nouveau Montréal qui reprendrait possession, au nom de sa population et de son développement futur, de ces rives qui ont certes une valeur immobilière inestimable et qui pourraient sortir Montréal du pétrin financier dans lequel elle se trouve. Montréal a cette chance inouïe d’être située le long de ce majestueux fleuve St-Laurent qui est au cœur de l’histoire du Québec. Il est vrai que le Port de Montréal est d’une importance capitale pour le développement et le commerce de la grande région métropolitaine, mais est-il nécessaire qu’il soit situé presqu’en plein cœur de la ville alors qu’il pourrait très bien déménager ses pénates plus à l’Est près de Contrecoeur où il a déjà des installations importantes? Contrairement à d’autres grandes villes à travers la planète qui doivent vivre avec un port impossible à déménager, faute d’espace, le Port de Montréal ne manquerait pas d’espace plus à l’Est pour, non seulement remplacer ses installations actuelles mais aussi pour assurer son expansion future. Imaginons alors un projet de société basé sur le déménagement du Port de Montréal. Je n’ai évidemment pas fait d’études et je ne connais pas les problèmes qui seraient associés à un tel déménagement, mais il m’a semblé que cela serait possible s’il y avait une volonté politique d’agir en ce sens. Et cette volonté politique devrait commencer par une décision du gouvernement fédéral de contribuer directement au renouveau de Montréal en lui remettant la propriété de tous les terrains appartenant au Port de Montréal en autant que la Ville de Montréal accepte en retour de défrayer les coûts associés à son déménagement plus à l’Est. Admettons d’ailleurs qu’une telle décision pourrait être populaire au point de donner aux conservateurs un certain nombre de sièges à Montréal, là où tous leurs efforts ont échoués dans le passé. Il est connu que l’administration du port a toujours refusé de considérer un déménagement potentiel, même partiel. Elle tient historiquement à chaque pouce carré de terrain comme à la prunelle de ses yeux. Je me souviens très bien de son objection presque maladive, il y a une dizaine d’années, à conserver le quai Bickerdike que Loto-Québec aurait aimé utiliser pour un développement majeur qui aurait changé le visage du Vieux-Port. Personne ne va me faire croire que le traitement des conteneurs doit se faire en plein cœur de la ville. Il serait important pour l’administration du Port de Montréal de regarder plus loin que leurs intérêts à court et moyen terme et d’accepter d’être les artisans d’un nouveau Montréal. Dans le fonds, l’idéal serait que l’un des candidats à la mairie, lors des prochaines élections municipales, axe son programme autour du déménagement du port et du développement de Montréal sur les terrains actuels. Ce serait là le premier grand projet structurant à voir le jour à Montréal depuis l’Expo 67 et les Jeux Olympiques de 1976. Le déménagement du Port de Montréal serait quelque chose de permanent qui changerait le visage de la métropole du Québec pour le très long terme. Ce serait plus que de simples souvenirs d’autant plus que la vente ou la location des terrains actuels rapporterait pas mal plus que les coûts associés au déménagement. Y-a-t’il quelqu’un pour prendre le flambeau…..?... http://www.lesaffaires.com/blogues/gaetan-frigon/dmnageons-le-port-de-montral-dit-gatan-frigon/534782
  20. Un document important se propositions pour le développement du Vieux. Le document sera soumis à l'OCPM en consultation à la fin janvier. http://ocpm.qc.ca/sites/default/files/pdf/P66/3a.pdf On y fait beaucoup de suggestions, en particulier la recommandation d'encourager et soutenir la construction résidentielle sur les terrains vacants restant. Il y en a une vingtaine encore! Plein de stats, etc.
  21. Not sure where to place this news...... Danielle Bonneau La Presse Le quartier situé au pied du mont Royal, entre les rues Guy et University, au nord du boulevard René-Lévesque, est en effervescence. Pas moins de 13 projets immobiliers résidentiels y sont en construction ou en préparation! Tout un changement pour ce coin huppé du centre-ville où les jolies maisons victoriennes, les chic boutiques et les restaurants branchés côtoient depuis plusieurs décennies de vastes terrains à l'abandon servant de stationnements. Deux raisons expliquent cet intérêt soudain pour le quartier jadis adopté par les familles fortunées de Montréal, surnommé le Golden Square Mile (Mille carré doré), estime Sylvain Villeneuve, chef de la division de l'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie. D'abord, plus généralement, le centre-ville attire une nouvelle population, qui désire s'y installer. «Depuis deux ans, plus de 2000 logements par année ont été créés dans l'arrondissement, surtout à l'ouest du boulevard Saint-Laurent, indique-t-il. Depuis les années 90, nous voulons avoir un centre-ville plus habité, donc plus animé en tout temps, avec plus de commerces pour les résidants. La cadence de la construction s'est accélérée.» Le quartier profite aussi de la révision des hauteurs et des densités dans plusieurs zones situées aux abords du centre des affaires, réalisée au début de 2012. Un nouveau découpage a été fait à la fois pour mieux protéger le patrimoine et le paysage et pour favoriser la disparition de stationnements à ciel ouvert. Nouvelles hauteurs Au nord de la rue Sherbrooke, sur une partie du flanc sud du mont Royal, même s'il y a peu de terrains vacants, le plafond de hauteur a été réduit de 25 m à 16 m (l'équivalent de cinq étages résidentiels) pour préserver l'omniprésence de la montagne et mettre en valeur les bâtiments patrimoniaux. Dans d'autres secteurs, les plafonds ont plutôt été haussés. Des résultats se font déjà sentir dans la partie sud du secteur Bishop-Crescent, où la zone s'étendant de la rue Sainte-Catherine au boulevard René-Lévesque Ouest a été subdivisée en trois et passe de 25 m à 35 m, 65 m et 80 m (11, 21 et 25 étages), à mesure que l'on se rapproche du coeur du centre-ville. La hauteur permise grimpe à 120 m (40 étages), sur une partie de la rue Mackay. Elle demeure à son plus haut (environ 210 m, soit 70 étages) le long du boulevard René-Lévesque Ouest. Relancer la construction «Dans les années 90, les normes ont été réduites pour éviter la démolition des immeubles victoriens, explique M. Villeneuve. Or, il n'y a pas eu de revitalisation dans ce quartier.» Pour la favoriser, une nouvelle catégorie de hauteur a été créée (35 m), afin de permettre la construction d'immeubles de 11 étages résidentiels, entre les rues Guy et de la Montagne, au nord du boulevard René-Lévesque Ouest. Pour être rentable, ont fait valoir plusieurs promoteurs, une construction de béton doit en effet avoir au minimum 10 étages. En contrepartie, pour que la rue demeure animée, les tours devront être construites en retrait au-dessus d'un basilaire d'environ trois étages (comme les maisons victoriennes aux alentours), avec des commerces au rez-de-chaussée. Les complexes Flex et Viva Lofts Bishop, en construction rue Bishop, ont été conçus selon ce principe. «Le quartier, délaissé depuis plus de 40 ans, va devenir plus homogène, avec une architecture qui se distinguera de ce qui se fait ailleurs au centre-ville, estime Éric Huot, de l'agence Geiger " Huot Architectes, engagé dans trois projets résidentiels dans le Mille carré doré. Le nouveau zonage amène une autre vision des choses.» La Ville tient à préserver son patrimoine, constate de son côté l'architecte Karl Fischer, qui intègre la façade d'une maison victorienne dans le projet Les Condos Crescent. «En devant marier le vieux avec le neuf, cela nous oblige à être plus créatifs», souligne-t-il. Jean-Yves Bourdages, responsable du comité d'habitation et d'urbanisme à la table Interaction du quartier Peter-McGill, voit d'un bon oeil la densification du centre-ville, qui découle de la mise en valeur des terrains vagues. «L'arrondissement devrait par contre s'efforcer d'implanter de façon permanente l'inclusion de logements abordables, indique-t-il. Si on veut avoir une vie intéressante au centre-ville, il faut qu'il y ait une mixité sociale et qu'y habitent des étudiants, des enfants, des retraités et des gens avec de hauts et de faibles revenus.»
  22. À l'étroit dans ses installations de Longueuil, le Groupe Jean Coutu (T.PJC.A) prépare un agrandissement ou un déménagement ailleurs sur la Rive-Sud de Montréal, un projet de 70 millions de dollars. La célèbre entreprise québécoise songeait à acquérir un terrain dans le parc industriel de Saint-Bruno-de-Montarville pour y déménager son siège social et son centre de distribution, mais l'administration municipale a refusé d'autoriser la transaction. La Ville voyait d'un mauvais oeil l'augmentation du trafic de camions qu'aurait entraîné la présence d'un gros entrepôt sur son territoire. Jean Coutu scrute donc les autres terrains disponibles sur la Rive-Sud. L'entreprise pourrait aussi décider d'agrandir ses installations actuelles de Longueuil, où elle est établie depuis 1976. Elle est déjà propriétaire des terrains nécessaires pour le faire. Pour l'instant, Jean Coutu ne privilégie aucune des deux options, a affirmé mardi la vice-présidente aux communications du groupe, Hélène Bisson, au cours d'un entretien téléphonique. Les critères de sélection les plus importants sont les coûts et la proximité des autoroutes. Le détaillant souhaite réaliser les travaux à «moyen terme», soit d'ici deux ou trois ans. Les installations actuelles suffisent encore à la tâche, mais plus pour longtemps, a indiqué Mme Bisson. La filiale de fabrication de médicaments génériques de Jean Coutu, Pro Doc, qui est établie à Laval, ne devrait pas déménager, a précisé la porte-parole. Le réseau Jean Coutu compte actuellement 405 pharmacies au Québec, en Ontario et au Nouveau-Brunswick. L'entreprise prévoit avoir ouvert 14 nouveaux établissements cette année. L'action de Jean Coutu a clôturé à 15,69 $ mardi, en hausse de 1,3 %, à la Bourse de Toronto. La valeur boursière de l'entreprise frise les 3,4 milliards de dollars. http://affaires.lapresse.ca/economie/sante/201302/19/01-4623324-jean-coutu-veut-agrandir-ou-demenager-son-siege-social.php
  23. Bientôt un camping urbain à Montréal ? par Philippe Lépine 17 Juillet 2012 Si l’idée de camper au centre-ville semble relever du mouvement Occupy, elle réjouit les amoureux de la nature et du tourisme durable qui ne peuvent pas s’évader de la ville. Les premiers piquets ont déjà été plantés dans certaines métropoles, et à Montréal, un projet de campings urbains est sur la table… de piquenique. Les amateurs de plein air, les cyclotouristes et les vacanciers à petit budget pourraient être séduits par l'ambitieux projet de Vincent Léger et ses partenaires : créer des terrains de camping à deux pas du centre-ville. « Une tente pour 75 dollars au lieu d'une chambre à 250, ça vaut la peine », croit le consultant en écotourisme et copromoteur du projet. Selon lui, de tels endroits permettraient à Montréal de devenir un leader en tourisme vert et de faire concurrence aux Américains, qui attirent beaucoup de voyageurs avec des campings semblables à New York. Le groupe Boréalis, dont Vincent Léger fait partie, voit grand. Il propose d'utiliser la bâche du Stade olympique, qui doit être remplacée, pour couvrir un écocamping au Parc olympique. Un autre camping pourrait être aménagé au bassin Peel, près du canal de Lachine, où les projets de casino et du Cirque du Soleil ont avorté en 2006. Ces campings seraient exclusivement réservés aux tentes et n'offriraient pas de service d'électricité, ce qui en ferait un substitut vert aux types d'hébergement traditionnels. Mais ne déroulez pas votre sac de couchage trop vite. La Ville n'a pas encore délivré les autorisations nécessaires. Les promoteurs consultent actuellement Tourisme Montréal afin d'élaborer un plan d'aménagement. Le porte-parole de l'organisme, Pierre Bellerose, croit que ce type d'hébergement pourrait attirer une nouvelle clientèle dans la métropole. « Le problème, c'est que les terrains sont très chers dans les grandes villes et qu'on ignore encore si le projet serait assez rentable », dit-il. Le groupe Boréalis serait tout de même prêt à occuper temporairement les terrains vacants. http://www.lactualite.com/culture/bientot-un-camping-urbain-montreal?page=0,1 http://ecocampingurbaincanada.wordpress.com/
  24. PUBLIÉ LE 23 AVRIL 2012 // ACTUALITÉS, DÉVELOPPEMENT URBAIN, NOUVELLES CONSTRUCTIONS, POLITIQUES MUNICIPALES inShare Les membres du conseil municipal ont adopté le Cadre de révision des hauteurs et densités du centre-ville, préparé par la Direction de l’aménagement urbain et des services aux entreprises de l’arrondissement de Ville-Marie. Ce document confirme la révision des hauteurs et des densités dans plusieurs zones situées aux abords du centre des affaires. « Le Cadre de révision fait désormais partie des outils de référence qui permettront à l’arrondissement de planifier encore plus précisément le développement urbain du centre-ville. Il prévoit des paramètres qui favoriseront la densification de plusieurs secteurs et du même coup la disparition de nombreux terrains vacants », a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. Une démarche saluée Initié par l’arrondissement de Ville-Marie en 2011, le Cadre de révision renforce le rôle stratégique que joue le centre-ville dans le développement urbain de Montréal. La démarche a fait l’objet de consultations publiques tenues par l’Office de consultation publique de Montréal (OCPM) l’automne dernier. Dans l’ensemble, les intervenants ont reconnu la pertinence de la démarche et la qualité de l’analyse urbanistique réalisée par l’arrondissement. Dans son rapport remis en février dernier, l’Office souscrit d’ailleurs à la grande majorité des propositions, et plus particulièrement à une réduction des hauteurs maximales sur le flanc sud du mont Royal (au nord de la rue Sherbrooke), à la limite ouest du Vieux-Montréal (dans l’axe de la rue McGill) et dans l’axe de certaines vues importantes vers le mont Royal. Le Cadre comprendra également une augmentation des hauteurs maximales dans 33 zones situées au pourtour du centre-ville, caractérisé par la présence de terrains vacants depuis de nombreuses années ainsi qu’une augmentation des densités dans neuf secteurs. Des ajustements seront faits aux catégories de hauteurs : 44 mètres devient 45 mètres, 60 mètres devient 65 mètres et une nouvelle catégorie de hauteur de 35 mètres est créée. Source : Montréal / 20 avril 2012 / Ville de Montréal
  25. Les panneaux sont installés sur le terrain, début de la construction de la phase 4 prévue pour cet automne Incluant: le grand magasin Ogilvy, un 2e hotel, des bureaux, des commerces/restaurants, clinique médicale.. C'est sur le terrain entre le wal-mart et le cinéma. Également annoncés, de nouveaux grands magasins (best buy, germain larivière, Avril Supermarché), encore plus de restos (five guys burger, un autre restaurant asiatique entre autres) sur les terrains avoisinants
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