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  1. Publié le 20 mai 2009 à 05h00 | Mis à jour à 09h07 L'uranium au Québec: un Klondike? Éric Moreault Le Soleil (Sept-Îles) Que ça plaise ou non, il y aura éventuellement deux à trois mines d'uranium au Québec, estime Robert Marquis. De là à affirmer que la province riche en ressources naturelles pourrait devenir un Klondike de l'uranium, il y a un énorme pas que le géologue en chef du Québec n'est pas prêt à franchir. Les recherches d'uranium de Terra Ventures ont fait les manchettes sur la Côte-Nord parce qu'elles étaient menées à proximité de Sept-Îles et que le profil géologique de la région correspond aux gisements du métal radioactif - on a aussi détecté de faibles teneurs à Aguanish, à proximité de Natashquan, en 2006. Plusieurs compagnies s'activent dans ce secteur, ce qui ne veut pas dire que c'est là qu'on creusera des mines. «L'exploration, c'est comme acheter un billet de loterie», illustre M. Marquis. Le projet le plus avancé au Québec, où on n'a jamais exploité l'uranium, est d'ailleurs à Matoush, à 150 km au nord de Chibougamau. Le fédéral a récemment donné le feu vert à de l'exploration souterraine. Quoi qu'il en soit, les teneurs en uranium détectées sur la Côte-Nord sont trop faibles pour une exploitation à court terme. Mais la situation est comparable à celle des sables bitumineux, opinent les experts. Il y a 25 ans, tout le monde disait qu'ils coûtaient trop cher à exploiter. On connaît le résultat. Et concernant la faible teneur d'uranium, il ne faut juger de rien. Dans le bassin d'Athabaska, en Saskatchewan, les compagnies ont trouvé des gisements avec des concentrations de 10 % à 20 % d'uranium, comparativement à une moyenne de 5 %, après 50 ans d'exploitation. «Et ils vont en trouver d'autres. C'est comme chercher une aiguille dans une botte de foin. Ce n'est pas parce que tu en trouves une qu'il n'y en aura pas d'autres.» Or, au Québec, le potentiel «est beaucoup moins connu et il pourrait présenter des surprises. Il n'est pas inconcevable qu'on trouve des teneurs semblables à celles de la Saskatchewan, soutient M. Marquis. Les sites d'exploration les moins intéressants finissent par être abandonnés. Mais nous n'avons pas atteint, au Québec, un niveau de connaissance suffisant pour se concentrer sur un endroit donné.» Dans le cas de l'exploration minière réalisée par Terra Ventures en ce moment, «c'est une long shot. Ils estiment que dans 25 ans, l'uranium va être plus recherché et que là, ça va être rentable», explique Jean-Pierre Thomassin, le président de l'Association de l'exploration minière du Québec. Sans minimiser les craintes des gens de Sept-Îles, il tient à relativiser : il y a «un projet sur 5000 qui devient une mine». Évidemment, quand c'est dans notre cour... On aura compris que si les prix augmentent et la demande aussi, il s'agit d'une mauvaise nouvelle pour le Québec : la faible teneur des gisements signifie qu'il faut extraire des tonnes et des tonnes de minerai pour obtenir un peu d'uranium. «L'impact sur le paysage serait plus conséquent. Sur l'environnement, peut-être pas. La contamination de l'eau et de l'air serait plus faible en raison de la faible concentration et des meilleures technologies», estime M. Marquis. Une situation qui n'est pas sans rappeler la controverse actuelle qui entoure le projet d'exploitation d'une mine à ciel ouvert à faible teneur en or dans la ville de Malartic, en Abitibi, projet soumis à l'évaluation environnementale du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement. À ce propos, tous les intervenants interviewés tiennent à souligner qu'une mine d'uranium doit franchir plusieurs étapes d'examen, dont les exigences de la Commission canadienne de sûreté nucléaire. «On est au XXIe siècle. Un gisement qui correspondrait à toutes les normes internationales, disons demain matin (ce qui est loin d'être le cas au Québec), il s'écoulerait un autre 10 ans avant le début des opérations», indique Robert Marquis. Peu importe qu'il se concrétise ou non, le projet de Terra Ventures a provoqué une levée de boucliers à Sept-Îles, notamment chez les Innus, qui démontrent les écueils de l'acceptabilité sociale que devront franchir les minières si elles veulent exploiter de l'uranium. Dans ce cas précis, la compagnie de Colombie-Britannique a débarqué sans crier gare. «Ce sont des unilingues anglophones : ils n'ont pas établi de contact avec la population. Les gens ont appris par hasard qu'il y avait des travaux et il n'y avait personne pour leur répondre. Ça a pris des proportions démesurées», explique M. Marquis. Le Parti québécois a même ajouté sa voix à ceux qui demandent un moratoire sur l'exploration et l'exploitation de l'uranium. Même si les questions de la population sont «légitimes», un moratoire à ce stade de l'exploration est «très prématuré», estime André Lavoie, de l'Association minière du Québec. «Il y a beaucoup d'émotivité. Il faut faire place à la rigueur et à la transparence.» Jean-Pierre Thomassin va même jusqu'à parler de «désinformation». Lui non plus n'est pas contre un forum comme celui qui commence demain à Sept-Îles, mais son association ne veut rien savoir d'un moratoire. Il estime d'ailleurs que ce débat, compte tenu des enjeux, doit être fait à l'échelle nationale. Il est tout de même ironique, comme le soulignait un écologiste au Soleil, que Terra Ventures, la compagnie à l'origine de tout ce brouhaha, débarque avec ses gros sabots d'une province où il y a un moratoire permanent sur l'uranium... La Nouvelle-Écosse a aussi un moratoire, tout comme certains États américains. L'Australie a toutefois abandonné le sien en 2007. La situation n'a pas échappé à l'administration municipale, bien au fait de l'exploitation minière - du fer, surtout, à Sept-Îles. «Les choses devraient changer. Il y a des trous dans la réglementation» concernant les titres miniers, croit Jean Masse, le maire suppléant. Des préoccupations qui rejoignent celles des groupes écologistes, qui demandent depuis plusieurs mois déjà une réforme de la Loi sur les mines du Québec. L'Ontario vient tout juste de présenter une refonte qui, si elle est adoptée, prévoit, entre autres, une amélioration de l'encadrement des activités d'exploration minière et vise une protection accrue de l'environnement, tout en renforçant le droit des citoyens et des autres utilisateurs du territoire. Rappelons qu'en avril dernier, le vérificateur général avait sévèrement blâmé le laxisme du gouvernement du Québec à propos de sa gestion des mines. De 2004 à 2009, le nombre de titres miniers actifs au Québec a doublé, pour s'établir à 249 866, selon la section Québec de la Société pour la nature et les parcs du Canada.
  2. Place Charles-Le Moyne : un centre des congrès et un nouvel hôtel en vue ? L’évaluation foncière du projet devra être supérieure à 80 M$ Alexandre Lampron Le Courrrier du Sud - Publié le 14 juillet 2011 à 11:40 LONGUEUIL. La Ville de Longueuil vient d’approuver une entente majeure avec la société immobilière Maestri Terra pour la mise en valeur de certains lots situés dans la partie du stationnement P-2, à proximité de la bretelle d’accès du pont Jacques-Cartier, dans le secteur de la station du métro de Longueuil. Le projet prévoit entre autres un centre de congrès, un complexe hôtelier, des espaces commerciaux et résidentiels et un stationnement souterrain. Selon les documents obtenus par Le Courrier du Sud, la société immobilière Maestri Terra, dont la présidence est actuellement occupée par l’homme d’affaires bien connu à Longueuil Jean-Guy Parent, désire participer au développement d’une partie de ce secteur fort névralgique de la ville. Ces documents précisent spécifiquement que «l’évaluation foncière minimum de ce projet devra être supérieure à 80 M$». «L’entente prévoit que le terrain est réservé pour une durée d’un an, en échange d’une somme mise en garantie (25 000$), le temps de réaliser les études de faisabilité, dont les résultats seront ensuite communiqués à la Ville, a expliqué la porte-parole de Longueuil, Alexandrine Coutu. La somme proposée au pi2 est d’environ 60$ par rapport à la quarantaine de dollars pour le prix payé pour des terrains comparables dans le même secteur, notamment le projet Blü Rivage.» Des détails Ainsi, les informations obtenues par Le Courrier du Sud confirment que le promoteur devra réaliser, d’ici au 30 juin 2012, les études avant le démarrage d’un éventuel projet de construction. Cela comprend des études de marché, des concepts d’aménagement préliminaires, le démarchage pour adjoindre la municipalité à un groupe hôtelier, la prospection de différents locataires pour des composantes de bureaux et commerciales, ainsi que le plan de mise en marché de la composante habitation. «À la fin de cette période, le promoteur bénéficiera aussi d’une option d’achat de ce terrain, d’une superficie de 11 200 m2, jusqu’au 30 décembre 2012, au prix de 645$ le m2, pour un montant total de 8 229 942$, taxes comprises, ce qui constitue la valeur du marché tel qu’établi par la Direction de l’évaluation municipale», peut-on lire dans les documents de la Ville. De plus, il est également précisé que «les activités du complexe immobilier devront s’inscrire en complémentarité de l’Université de Sherbrooke». Ainsi, une passerelle pourrait relier le projet au campus situé en face. Le projet tel que présenté par Maestri Terra devra également faire l’objet d’une approbation du comité consultatif d’urbanisme (CCU), conformément à la réglementation municipale actuellement en vigueur. «La Ville sera partie prenante des études, faisant un suivi régulier, permettant de mieux planifier la mise en valeur et le développement des îlots avoisinants», précise-t-on dans les documents. Aucun appel d’offres? Étrangement, Le Courrier du Sud a constaté qu’aucun appel d’offres n’avait été produit et lancé par la Ville de Longueuil dans le cadre de cet immense projet. La porte-parole de la municipalité a pour sa part expliqué que «rien ne le prévoit dans la loi». «Cependant, par souci de transparence, ces transactions sont rendues publiques, a ajouté Mme Coutu. Dans ce projet spécifiquement, deux groupes étaient intéressés par le terrain. Le projet retenu était le plus structurant pour le secteur et entraînait à long terme les retombées plus importantes pour la Ville de Longueuil.»
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