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  1. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  2. <header id="page-header"> 12/10/2016 Mise à jour : 12 octobre 2016 | 4:00 Découvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’événement Luminothérapie Par Jeff Yates Métro </header> <figure> <figcaption> Un projet d'ekumen, conçu et réalisé par Olivier Girouard, Jonathan Villeneuve et Ottoblix en collaboration avec Generique design et Jérôme Roy </figcaption> </figure> À partir du 8 décembre au Quartier des spectacles, contes de fées, roues futuristes et techniques d’animation anciennes se rencontreront avec Loop, la toute nouvelle installation d’art public dans le cadre de l’événement Luminothérapie. L’œuvre a été choisie suite à un concours organisé par le Quartier des spectacles. Métro a pu obtenir un aperçu du gagnant, qui sera dévoilé officiellement mercredi matin. Les 13 exemplaires de Loop ressemblent à de grosses roues futuristes au centre desquelles on peut s’assoir. Une manivelle permet à une ou deux personnes d’actionner le mécanisme, qui fait tourner une bande d’images autour des utilisateurs. Au gré du mouvement de la manivelle, des lumières clignotent, ce qui crée l’illusion que les images s’animent. Le principe est presque identique à celui du zootrope, l’ancêtre du cinéma, explique un des concepteurs, Olivier Girouard. Le mécanisme rappelle aussi la draisine à levier, ce mode de transport qu’on voit dans les anciens westerns ou dans les dessins animés de Bugs Bunny. Une boîte à musique actionnée par le mouvement de la roue apporte quant à elle une dimension sonore à l’œuvre. L’idée était d’ailleurs de combiner d’anciennes technologies avec un habillement futuriste, selon un autre des concepteurs, Jonathan Villeneuve. «On voulait partir de technologies ultra archaïques, la boite à musique, le zootrope, la draisine à levier. On voulait les transformer et de les inclure dans un objet qui a vraiment l’air sorti du futur.» Les courtes séquences se veulent une sorte de version analogue des gif animés, ces images en mouvement qui pullulent sur le web. «Tout ce qu’on voit sur notre ordinateur, ça a commencé avec des technologies primitives comme ça. C’est un retour à ces racines-là», précise M. Girouard. Le thème de l’édition 2016-2017 de Luminothérapie est le conte traditionnel, tels La belle au bois dormant et Le Petit chaperon rouge. Chacune des installations Loop contiendra une courte animation de trois ou quatre secondes mettant en vedette un de ces comptes. Des vidéoprojections sur les bâtiments autour du site agiront aussi à titre de décor pour les contes, illustre M. Girouard. «Parce que c’est si court et si rapide, c’est mieux de jouer avec des images hyper connues, avance-t-il. La compréhension des images doit se faire tout de suite.» Le projet Loop a été choisi parmi 5 finalistes d’un concours organisé pour le compte de la 7ième édition de Luminothérapie. Il a été réalisé en collaboration avec les entreprises Ottoblix et Generique design, ainsi que Jérôme Roy et Thomas Ouellet Fredericks. Decouvrez Loop, la nouvelle oeuvre de l’evenement Luminotherapie | Metro
  3. Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
  4. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=22557&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques Montréal crée le Bureau de la Ville intelligente et numérique 26 mars 2014 Montréal, le 26 mars 2014 - Afin que la métropole devienne un chef de file mondialement reconnu parmi les villes intelligentes et numériques, le maire de Montréal, M. Denis Coderre, et le vice-président du comité exécutif et responsable des technologies de l'information, de la Ville intelligente, de la réforme administrative et de la jeunesse, M. Harout Chitilian, annoncent la mise en place du Bureau de la Ville intelligente et numérique qui relèvera directement de la Direction générale. Un budget de 400 000 $ a été accordé par les élus du comité exécutif pour assurer le fonctionnement de ce bureau en 2014. « La création de ce nouveau Bureau au service d'une Ville intelligente et numérique était nécessaire afin de réaliser notre objectif de positionner stratégiquement Montréal au même niveau, voire même plus haut, que les villes de New York, Lyon, Barcelone ou Amsterdam en matière de technologies de l'information. Selon le prestigieux Intelligent Community Forum (ICF), la grande région métropolitaine se taille une place parmi les 21 métropoles intelligentes (Smart 21) sur 400 candidatures retenues pour l'édition 2014. C'est un bon début, mais l'équipe du Bureau va travailler avec nous afin que nous puissions faire concurrence le plus rapidement possible aux positions de tête », a déclaré M. Coderre. « La mise sur pied du Bureau de la Ville intelligente et numérique est un pas important pour que Montréal devienne une ville plus innovante, plus efficiente et plus transparente. Cette démarche unique prendra en considération les attentes des citoyens, s'inscrira dans une collaboration pleine et entière avec les partenaires institutionnels et privés, et s'articulera autour des tendances technologiques contemporaines », a ajouté M. Chitilian. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique disposera d'une équipe composée de trois personnes sous la responsabilité d'un chef de bureau - Chief Digital Officer (CDO). Ce dernier agira comme référence dans son domaine et exercera une vision et un leadership mobilisateur au sein de l'administration municipale. Le Bureau de la Ville intelligente et numérique définira d'ici la fin de l'année courante la stratégie de « Montréal, ville intelligente et numérique 2014 », qui s'articulera autour des quatre axes suivants : COLLECTER : TRANSPARENCE DE GESTION; GOUVERNEMENT OUVERT: • Libérer massivement les données et développer des outils de visualisation pour mettre en valeur celles-ci ; • Collecter et analyser les données télémétriques pour accroître le contrôle et l'optimisation de l'usage des ressources publiques. COMMUNIQUER: SYSTÈMES D'ACCÈS; DIFFUSION D'INFORMATION: • Développer une plate-forme web et des applications mobiles pour diffuser l'information en temps réel aux citoyens ; • Déployer les infrastructures de réseaux filaires et sans fil (WIFI) à large bande ; • Mettre en place des centres d'apprentissages et de création locaux des nouvelles technologies. COORDONNER: SERVICES PUBLICS NUMÉRIQUES: • Développer des systèmes intelligents de gestion du transport, des infrastructures, de la sécurité, de l'énergie, de l'eau, et de l'environnement ; • Numériser les services publics tout en préservant les moyens traditionnels (311, émission de permis, etc.). COLLABORER : ACCOMPAGNER L'INDUSTRIE; STIMULER L'INNOVATION ET LA CRÉATIVITÉ: • Accompagner les acteurs privés et institutionnels pour mettre en place un réseau d'incubateurs et d'accélérateurs d'entreprises en technologie ; • Soutenir les besoins des « start-ups » technologiques ; • Favoriser l'usage du domaine public comme laboratoire pour tester des solutions novatrices à des enjeux municipaux. Participez au dialogue via Twitter #innMtl (intelligente, numérique, Montréal)
  5. Publié le 20 novembre 2014 à 23h35 | Mis à jour le 20 novembre 2014 à 23h35 La «ville-globe du futur» est dans l'océan Le projet coûterait 3000 milliards de yens (28,7... (Photo SHIMIZU CORPORATION, AFP) TOKYO Et si au lieu de songer à coloniser l'espace interstellaire, l'humain s'intéressait davantage à occuper l'aire la plus importante de la planète bleue: la mer ? C'est à un tel projet de «ville-globe flottante» que réfléchit très sérieusement une entreprise de construction japonaise. Quelque 4000 résidents et 1000 visiteurs pourraient vivre et travailler dans une sorte d'Atlantide moderne, une sphère de 500 mètres de diamètre qui abriterait des hôtels, des complexes résidentiels, des bureaux, des sites de recherche et des centres commerciaux. Cet immense globe de béton et matériau transparent flotterait, mais les neuf dixièmes de la structure seraient constamment plongés dans la mer. La sphère pourrait être totalement immergée par mauvais temps, en descendant le long de l'axe central, une gigantesque structure hélicoïdale de 600 mètres de diamètre qui s'enfoncerait jusqu'à 4000 mètres de profondeur. Cette construction en spirale constituerait un chemin de 15 kilomètres menant à un bâtiment au fond de l'océan, qui pourrait servir d'usine d'exploitation de métaux rares et autres ressources. Selon les ingénieurs visionnaires de la firme Shimizu à l'origine de cette création imaginaire, il serait même possible d'utiliser des micro-organismes appelés «méthanogènes» pour convertir en méthane le dioxyde de carbone (CO2) capturé à la surface. De l'énergie serait en outre produite par différentiel thermique entre le fond et la surface de l'océan. Le projet coûterait 3000 milliards de yens (28,7 milliards $CAN) et toute la technologie requise pourrait être prête d'ici à 2030. Ce concept de science-fiction a été pensé avec plusieurs organisations, dont l'Université de Tokyo et l'Agence japonaise pour les Sciences et Technologies maritimes (JAMSTEC). «Nous avons passé deux ans à concevoir le projet avec des technologies que nous imaginons plausibles dans l'avenir», a expliqué un porte-parole de Shimizu. Il s'agit de la troisième folie architecturale présentée par ce géant du BTP après une «mégapole verte flottante» et un anneau à énergie solaire autour de la Lune pour alimenter la Terre. En 2012, une autre grande entreprise de construction japonaise, Obayashi, a imaginé un ascenseur qui emmènerait les touristes à 96 000 kilomètres d'altitude, jusqu'au quart du chemin de la Terre à la Lune. Seraient employés pour ce faire des nanotubes de carbone, un matériau 20 fois plus résistant que l'acier. http://www.lapresse.ca/actualites/sciences/201411/20/01-4821075-la-ville-globe-du-futur-est-dans-locean.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_les-plus-populaires-actualites_article_ECRAN1POS5
  6. MARDI 11 NOVEMBRE 2014 - 14:30 ET | LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe CGI a annoncé mardi avoir obtenu des prolongations d'ententes évaluées à environ 2 milliards $ avec le géant des télécommunications BCE (TSX:BCE), société mère de Bell Canada. Les contrats de services et de solutions de technologies de l'information se poursuivront jusqu'en décembre 2026. Les deux entreprises travaillent ensemble depuis déjà plus de 15 ans. CGI (TSX:GIB.A) est responsable du réseau de technologies de l'information de Bell, notamment en soutenant des centaines d'applications. La société des technologies de l'information dévoilera jeudi ses résultats financiers pour son quatrième trimestre. Son bénéfice net devrait avancer à 222 millions $, par rapport à 141 millions $ l'an dernier, tandis que ses revenus devraient se chiffrer à 2,57 milliards $, d'après les prévisions d'analystes recueillies par Thomson Reuters. En excluant les éléments non récurrents, le bénéfice ajusté devrait grimper de neuf pour cent à 233 millions $, ou 73 cents par action, selon les prévisions. http://www.lesaffaires.com/techno/technologie-de-l-information/cgi-obtient-des-prolongations-de-contrats-de-2-milliards--de-bce/573833 Sent from my iPhone using Tapatalk
  7. Un riche milliardaire australien a eu l'idée de créer une réplique du Titanic. Puisqu'il a assez d'argent pour concrétiser son rêve, le projet est en bonne voie de se réaliser. Il est présentement en construction en Chine. Son inauguration est prévue en 2016. -Pareil à son prédécesseur: cabines, salons, grand escalier, ponts promenades, etc. -Pas pareil: Puisque nul ne peut prétendre aujourd'hui qu'un navire peut être insubmersible, le Titanic 2 bénéficiera de toutes les technologies de pointe pour la navigation et la sécurité. Pour en savoir plus: http://fr.wikipedia.org/wiki/Titanic_II_%28paquebot%29 http://www.rtl.fr/actu/le-titanic-2-sera-pret-en-2016-7761699602 http://bluestarline.com.au/ https://www.facebook.com/BlueStarLine
  8. Bonjour à tous! Après avoir vécu des années dans des appartements mal insonorisés à Montréal, j'aimerais enfin passer à autre chose. J'envisage l'achat d'un condo dans un des quartiers centraux de Montréal. Le neuf me semble gage de meilleure insonorisation (technologies plus récentes), mais peut-être que je me trompe. Avez-vous des suggestions de promoteurs/constructeurs qui offrent la plus haute qualité en matière d'insonorisation ou encore des "essentiels" à savoir en matière d'insonorisation? Un très grand merci d'avance!
  9. Le groupe international de services conseils en technologies de l’information et en management Amaris, dont le siège social se trouve à Genève, s’implante à Montréal. Amaris dit viser la création d’une cinquantaine d’emplois dans la métropole au cours des trois prochaines années afin de «renforcer le développement de ses activités en Amérique du Nord». L’entreprise, présente dans plus de 40 villes (surtout en Europe et dans les Balkans), a ses locaux rue Saint-Sacrement, dans le Vieux-Montréal. Amaris possède également des bureaux à New York, Mexico et Sao Paulo. «Le Grand Montréal se positionne comme un relais stratégique pour notre entreprise. Cette ouverture sur le continent nord-américain nous rapproche de nouveaux centres de décision et renforce notre présence auprès de nos clients internationaux», a déclaré le directeur du développement Amérique du Nord d'Amaris, Jean-François Thunet, dans un communiqué. «Le Grand Montréal se différencie par un environnement des plus compétitifs, avec un bassin de recherche R&D parmi les plus dynamiques au monde et de réelles opportunités dans le domaine des technologies de pointe», a-t-il ajouté. Amaris souhaite que son équipe montréalaise contribue au développement de projets en technologies de l’information, en télécommunications et en biotechnologie et pharmaceutique. Montréal International, qui a notamment le mandat d'attirer des investissements directs étrangers dans la région, a accompagné l'entreprise dans son projet d'implantation au Québec. http://www.lesaffaires.com/techno/technologies-et-telecommunications/amaris-s-implante-a-montreal/558759#.Ubo4vdjDXe6
  10. Un exposé scientifique qui présente les avancées de la recherche et des technologies de pointe, et qui vise ultimement la prolongation de la vie.
  11. Philippe Mercure LA PRESSE Publié le 12 septembre 2012 à 06h31 (Montréal) Il a les poches profondes, un historique de succès et un réseau de contacts qui s'étend partout au Canada et aux États-Unis. Et il débarque à Montréal avec des millions de dollars à miser sur les entreprises d'ici. EnerTech Capital, important gestionnaire de capital-risque spécialisé dans les énergies vertes et l'efficacité énergétique, ouvre un bureau à Montréal. Il sera dirigé par Anne-Marie Bourgeois, une figure bien connue du milieu des technologies propres qui compte 17 ans d'expérience dans le secteur. «La présence d'Hydro-Québec et de son Institut de recherche, qui génèrent beaucoup d'innovation en nouvelles technologies, est l'un des aspects qui nous ont attirés au Québec. L'autre est le grand nombre d'entreprises innovantes dans le secteur de l'énergie et des technologies propres qu'on voit émerger dans la province», a dit à La Presse Affaires Wally Hunter, associé principal d'EnerTech Capital. Fondé aux États-Unis en 1996, EnerTech possède aujourd'hui des bureaux à Philadelphie, Toronto et Calgary. Son métier: miser de l'argent sur de jeunes entreprises du domaine des énergies vertes et de l'efficacité énergétique dans l'espoir de les voir percer. Le portefeuille d'EnerTech atteint aujourd'hui 450 millions US et l'entreprise a généré 31 «sorties» - un terme qui signifie qu'elle a réussi à récupérer son investissement (et parfois beaucoup plus) dans une entreprise parce que d'autres investisseurs ont pris le relais, que l'entreprise est entrée en Bourse ou qu'elle a fait l'objet d'une acquisition. EnerTech vient de lancer le quatrième fonds de son histoire, dont 60 millions ont déjà été récoltés. Taille visée: 150 millions. Selon M. Hunter, on peut s'attendre à ce que 20% de la somme ou même davantage soit investi dans les entreprises du Québec. Pour identifier les meilleures occasions d'affaires dans la province, EnerTech s'est réjoui d'avoir recruté Anne-Marie Bourgeois. Mme Bourgeois a notamment participé au financement des entreprises en démarrage de technologies propres au sein de la fondation Technologies du développement du durable Canada. «Son expérience et sa connaissance du marché québécois vont nous être très précieuses, a dit M. Hunter. On se sent comme des recruteurs de hockey qui ont gagné leur repêchage.» «De Philadelphie, il peut être difficile de bien prendre le pouls du marché québécois. De mon côté, je connais très bien les entreprises - ça fait 17 ans que je travaille avec elles. On va donc être beaucoup plus proactifs à partir de maintenant», dit de son côté Mme Bourgeois. Fait intéressant, EnerTech avait reçu un investissement d'Hydro-Québec quand elle avait lancé son deuxième fonds. L'entreprise a déjà annoncé son intention de travailler de concert avec Cycle Capital, un gestionnaire de capital-risque québécois entièrement qui se consacre aux technologies propres. «Nous connaissons Cycle depuis longtemps et nous sommes actuellement en train de regarder quelques-unes de leurs entreprises», a révélé M. Hunter. Deux transactions en particulier sont à l'étude, a-t-il précisé. Loin de craindre la concurrence, Cycle Capital a salué l'arrivée de ce nouvel acteur au Québec. «Cycle fait rarement des investissements seul, et c'est extrêmement positif d'avoir des partenaires qui amènent d'autres ressources financières et d'autres liens dans le marché au niveau international», a commenté Andrée-Lise Méthot, fondatrice et associée principale chez Cycle Capital. «Le seul fait qu'un acteur de la trempe d'EnerTech démontre de l'intérêt pour le Québec prouve qu'il se passe des choses intéressantes dans notre marché», a ajouté Mme Méthot. Outre l'argent, EnerTech amènera avec lui tout un réseau de co-investisseurs, notamment américains, qui pourront investir et éventuellement conseiller et aider à propulser les entreprises québécoises sur lesquels ils miseront. «C'est peut-être le plus grand bénéfice pour le Québec, dit à ce sujet M. Hunter. Des investisseurs qui n'avaient pas nécessairement le Québec sur leur radar risquent d'investir ici parce qu'ils nous connaissent, qu'ils connaissent notre réputation et notre feuille de route.» ENERTECH CAPITAL EN UN COUP D'OEIL - Fondé en 1996 - Gère un portefeuille de 450 millions US - 31 sorties réussies - Déploie actuellement son quatrième fonds http://affaires.lapresse.ca/economie/energie-et-ressources/201209/12/01-4573234-energies-vertes-un-investisseur-majeur-debarque-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  12. Destinations still under utilize technologies to inspire, promote, facilitate, engage travel.. When examining technology utilisation and online presence for tourism destinations the research demonstrates that the Top 10 destinations utilising technology online are ranked as: Thailand Montreal Las Vegas Vancouver Hong Kong Puerto Rico Australia Norway United Kingdom Melbourne http://traveldailynews.asia/columns/article/49630/destinations-still-under-utilize-technologies
  13. Un congrès international à Montréal. (Montréal) Il y aura l'inénarrable Larry King et ses légendaires bretelles. Il y aura Carlos Slim, homme le plus riche de la planète. Il y aura des pavillons de différents pays comme à Expo 67. Et une «rivière numérique» coulera en plein Palais des congrès. Le Congrès mondial sur les technologies de l'information, présenté comme le plus important événement international de l'industrie, arrive à Montréal pour la première fois de son histoire en octobre prochain. Et les organisateurs promettent d'en mettre plein la vue, notamment grâce aux technologies de PME québécoises qui seront mises à l'honneur pendant l'événement. «C'est une conférence sur les technologies, alors on va utiliser les technologies québécoises pour créer des effets percutants et repousser les limites de ce qu'on voit habituellement dans les conférences. On va utiliser la réalité augmentée, la géolocalisation et les réseaux sociaux pour joindre les gens», explique François Morin, PDG de ce congrès mieux connu sous l'acronyme WCIT (pour World Conference on Information Technology). Tenue tous les deux ans depuis 1978 dans divers pays du monde, la WCIT promet cette année d'attirer 3000 délégués en provenance de 80 pays dans la métropole québécoise. Outre Carlos Slim, le magnat mexicain des télécommunications qui trône au premier rang des hommes les plus riches de la planète, l'événement accueillera des noms comme Justin Rattner, directeur de la technologie de l'information chez Intel, Robert Youngjohns, président de Microsoft pour l'Amérique du Nord, et Don Tapscott, un gourou des TI qui a publié plusieurs livres sur le sujet. L'animateur américain Larry King, qui dirigera une table ronde à Montréal en octobre, a participé par téléphone à la conférence de presse annonçant la tenue de l'événement. «Je vais essayer de rendre la table ronde amusante, informative et divertissante, a promis l'homme. Je veux que le public réalise la révolution provoquée par les technologies de l'information dans laquelle nous vivons.» Les thèmes abordés iront des villes intelligentes à la société numérique en passant par les soins de santé et la fameuse informatique en nuage. Une vitrine pour les technologies québécoises L'annonce du congrès a donné lieu à quelques surprises, notamment lorsque le PDG de l'événement a promis de faire couler une «rivière numérique» dans le Palais des congrès. «Il va même y avoir des roches pour traverser la rivière», a dit sans rire François Morin. Quelques explications plus tard, les journalistes ont pu comprendre qu'un flot de «zéros» et de «un» symbolisant l'ère numérique serait projeté sur le sol pendant l'événement. Autour seront installées des photos de paysages canadiens. Grâce à la réalité augmentée, les participants qui pointeront leur téléphone intelligent vers ces images verront défiler des noms d'entreprises canadiennes actives en technologies de l'information. Merchlar, une jeune boîte montréalaise dans tous les sens du terme - l'entreprise a été fondée en 2010 et la moyenne d'âge de ses 15 employés est de 26 ans - est derrière l'aspect technique de cette «rivière». «Nous espérons profiter de la WCIT pour tisser des liens avec d'autres compagnies d'ailleurs. Le domaine de la réalité augmentée est en pleine croissance et nous voulons acquérir une meilleure compréhension du marché mondial pour maintenir le momentum qu'on a créé dans le marché canadien», a dit à La Presse Affaires Jack Han, vice-président directeur chez Merchlar. Ingenium, une autre boîte montréalaise, s'occupera quant à elle de monter une plateforme permettant aux participants d'interagir sur les réseaux sociaux, tandis que Voti, de Pointe-Claire, démontrera sa nouvelle technologie d'inspection de bagages en 3D par rayons X. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201206/26/01-4538250-un-congres-international-a-montreal.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  14. Sous le thème « Startups essentielles » - La deuxième édition du Festival international du Startup se tiendra à Montréal du 11 au 13 juillet 2012 MONTRÉAL, le 20 juin 2012 /CNW Telbec/ - Reconnue pour la vitalité de ses festivals et la créativité de ses jeunes entreprises, Montréal est un endroit de choix pour la tenue du Festival international du Startup (Startupfest). Axé sur l'entrepreneuriat dans le domaine des nouvelles technologies, l'événement attire les créateurs, les entreprises en démarrage (startups), les investisseurs et les clients de cette nouvelle économie qui affluent des quatre coins du monde. Lancé l'an dernier, le festival tiendra sa deuxième édition du 11 au 13 juillet prochain et réunira des grands noms du domaine, tels que Dan Bricklin, Paul Mockapetris, John Wood, Stowe Boyd, Dave McClure, Howard Lindzon et Craig Walker. Ce festival offre aux participants une occasion en or de rencontrer de brillants joueurs de la scène internationale du démarrage d'entreprises technologiques. Centré sur les secteurs chauds, comme la mobilité, les jeux électroniques et les réseaux sociaux, le festival aborde aussi les technologies propres, l'éducation, les soins de santé et bien d'autres domaines. Sous le thème « Startups essentielles », l'édition 2012 rassemble les investisseurs visionnaires d'aujourd'hui et les entrepreneurs anticonformistes de demain au cours d'un événement qui est en passe de s'imposer comme un creuset de nouvelles idées et de maillage. Ces trois jours seront remplis de conférences inspirantes, d'exposés éclair, d'expositions, d'ateliers, de débats sur des questions d'avenir, mais aussi d'activités divertissantes et de prix en argent. Bref, le festival offre aux participants de multiples possibilités de réseautage professionnel, tout permettant de s'amuser en bonne compagnie. La liste des conférenciers se trouve au http://www.startupfestival.com. « Notre objectif est toujours d'informer, d'inspirer et de divertir », explique Philippe Telio, fondateur du Festival international du Startup. « L'an dernier, l'événement a attiré plus de 1 100 personnes du monde entier. Puisque cette année nous attendons des autobus nolisés de New York et de Québec, des trains de Waterloo et de Toronto, ainsi que des vols d'un peu partout dans le monde, l'édition à venir promet de remporter un succès retentissant sur la scène montréalaise et bien au-delà. » De plus, le Festival international du Startup a fait équipe avec le Festival Juste pour rire pour présenter des activités festives, comme ces exposés éclair (qu'on appelle aussi en anglais elevator pitches) et qui seront justement présentés dans un ascenseur, des jurys formés de grands-mères et toute une panoplie d'autres activités amusantes - une rareté dans la plupart des événements d'affaires. « Microsoft s'est engagée à accélérer le succès de jeunes entreprises innovatrices », a déclaré Christian Beauclair, gestionnaire supérieur, Groupe développement et plateforme, chez Microsoft Canada. « Il n'existe pas de meilleurs endroits que le Festival international du Startup pour découvrir une foule d'entrepreneurs et d'acteurs de l'industrie réunis sous un même toit au même moment. Ce festival est une formidable occasion pour nous d'entrer en contact avec des gens aux idées originales et de leur offrir l'accès aux outils de développement de Microsoft et à un écosystème qui les aident à démarrer leur entreprise. » Métropole multiculturelle, Montréal entretient une affinité naturelle pour la créativité et les nouvelles technologies et représente un environnement idéal pour les échanges entre les investisseurs, les créateurs, les développeurs et les entrepreneurs de la planète. Le fait que le Festival international du Startup se tienne encore une fois à Montréal est certainement gage de succès. L'édition 2012 du Festival international du Startup est parrainée par Microsoft, un commanditaire de niveau platine. L'événement s'échelonne sur trois jours, soit du 11 au 13 juillet 2012, à la gare maritime Iberville du quai Alexandra dans le secteur historique du Vieux-Port de Montréal. Renseignements : Philippe Telio Festival international du Startup (514) 303-7546 phil@startupfestival.com Twitter: @ptelio and @startupfest http://www.newswire.ca/fr/story/996177/sous-le-theme-startups-essentielles-la-deuxieme-edition-du-festival-international-du-startup-se-tiendra-a-montreal-du-11-au-13-juillet-2012
  15. (Montréal) Les nouveaux chiffres le confirment: l'industrie du capital-risque carbure à fond au Québec. L'argent risqué sur les jeunes entreprises de la province a bondi de 50% l'an dernier, beaucoup plus qu'aux États-Unis, et qu'ailleurs au Canada. Après avoir mieux traversé la crise que ses voisins, le Québec rebondit donc maintenant avec davantage de vigueur qu'eux. Une bonne nouvelle pour les bidouilleurs web, entrepreneurs en biotechnologies et autres dirigeants de boîtes innovantes à la recherche de fonds pour développer leurs idées. «Il y a vraiment de quoi se réjouir. Le fait que la hausse ait touché tous les secteurs et que tous les acteurs du marché aient augmenté leur contribution nous faire dire qu'il s'agit de quelque chose de solide», dit Geneviève Morin, présidente de Réseau Capital, l'association du capital-risque québécois. Le capital-risque est l'argent misé sur des entreprises souvent non rentables dans l'espoir de créer des succès comme Google ou Facebook. Les investissements de ce type ont atteint 549 millions de dollars en 2011 au Québec, une cuvée qui se compare aux belles années d'avant la crise financière. «On voit enfin une lumière au bout du tunnel, et ce n'est pas un train», lance Mme Morin. Des financiers de tous les horizons ont pigé dans leurs poches pour risquer davantage d'argent sur des entreprises québécoises. Avec des investissements de 164 millions, les fonds de travailleurs fiscalisés (Fonds de solidarité FTQ, Fondaction CSN et autres) ont mis le plus gros du magot, une augmentation de 21% par rapport à 2010. Les fonds de capital-risque privés ont aussi été très actifs l'an dernier, misant ensemble 114 millions dans 64 entreprises. Il s'agit d'un bond considérable de 74% par rapport à 2010. «On récolte le fruit des efforts faits en 2006 et 2008, quand plusieurs fonds ont été créés au Québec. Ces fonds arrivent aujourd'hui à maturité», dit Mme Morin, qui souligne cependant qu'il faut renflouer ces fonds dès maintenant si on veut qu'ils continuent à investir. Les investisseurs étrangers, surtout américains, ont aussi été nombreux à risquer leur argent sur des entreprises québécoises. Ils ont injecté ensemble 126 millions, soit 45% de plus qu'un an plus tôt. Sur quoi misent les investisseurs? Les entreprises du secteur de l'internet, de l'électronique et du logiciel ont été leurs cibles favorites l'an dernier, raflant 33% des sommes. Les technologies vertes, un secteur en plein boom sur la planète, ont aussi connu un investissement record au Québec avec 97 millions. De ce nombre, la part du lion, 90 millions, est allée à Enerkem, une entreprise montréalaise qui fait couler beaucoup d'encre avec son projet de transformer les ordures en carburant. Le secteur des biotechnologies, jadis le favori des investisseurs, a bien fini en hausse de 19% par rapport à l'an dernier, mais il n'attire plus que le cinquième des investissements. «Il y a là quelque chose de préoccupant, admet Mme Morin. Il y a beaucoup de belle science au Québec, et le marché de la santé est prioritaire pour tout le monde. Il va falloir des fonds de plus grande taille dans ce secteur, mais qui dit fonds de plus grande taille dit plus de temps pour les mettre en place.» CAPITAL-RISQUE AU QUÉBEC: LES GROS INVESTISSMENTS DE 2010 - Enerkem (technologies propres) : 90,3 millions - Enobia Pharma (biotechnologies) : 40,8 millions - Beyond the Rack (internet) : 36,6 millions - Lumenpulse (éclairage) : 16 millions - Milestone Pharmaceuticals (biotechnologies) : 12,4 millions - Acquisio Canada (logiciel) : 12,1 millions - ProSep (technologies propres) : 11,1 millions - Utilicase (technologies propres) : 10 millions http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201202/14/01-4495643-capital-risque-le-quebec-poursuit-sur-sa-lancee.php
  16. La question de l'unilinguisme anglais dans les institutions francophones ne touche pas que la Caisse de dépôt et placement. Un autre fleuron du Québec inc., la Banque Nationale, a aussi des défis à ce sujet. Depuis 2007, le premier vice-président des technologies de l'information de l'institution est John B. Cieslak et il ne parle pas français. Par conséquent, tous les documents relatifs aux technologies de l'information qui lui sont transmis doivent être rédigés en anglais, selon nos informations. De plus, les informaticiens internes et les consultants externes qui travaillent sur des projets de M. Cieslak doivent avoir une très bonne maîtrise de l'anglais, sans quoi ils sont affectés à d'autres fonctions, nous dit-on. Le porte-parole de la Banque Nationale, Claude Breton, confirme que M. Cieslak parle seulement anglais. Mais il soutient que son cas est une exception. «La Banque Nationale est une institution où ça se passe en français partout: aux ressources humaines, sur le terrain, dans les unités d'affaires, dans les succursales», dit-il. L'institution de charte fédérale n'est pas assujettie à la loi 101, mais elle «suit la Charte de la langue française de [son] propre chef pour ce qui est de la langue de travail», dit M. Breton. Les cadres compétents et d'expérience dans le secteur des technologies de l'information sont rares, d'autant plus lorsqu'ils doivent aussi connaître le milieu financier, explique M. Breton. «Personne n'a été écarté de projets en raison de son incompréhension de l'anglais. Mais les technologies de l'information font partie d'un univers mondialisé, qui fonctionne essentiellement en anglais. Un employé qui veut envoyer un document en français à M. Cieslak peut le faire. Par courtoisie, on lui envoie souvent le document en anglais. L'employé peut faire traduire le document par le service de traduction de la banque», explique M. Breton. John Cieslak compte 26 ans d'expérience comme gestionnaire dans les secteurs technologique et financier. Avant de se joindre à la Banque Nationale, il était premier vice-président et chef de l'information du Groupe TSX, propriétaire de la Bourse torontoise du même nom. À la Banque, John Cieslak est aussi responsable de «l'approvisionnement et de la performance organisationnelle». Le gestionnaire est également membre du Bureau de la présidence, groupe composé des 10 principaux gestionnaires de l'institution, dont le PDG, Louis Vachon. Les réunions de ce comité de direction se déroulent-elles en anglais en raison de la présence de M. Cieslak? «Au bureau de la présidence, ça se passe dans la langue du choix de celui qui veut parler. Les interventions sont parfois en français, parfois en anglais. Et personne n'en fait de cas», dit M. Breton. En plus du comité de direction, l'institution a un conseil d'administration, comme toutes les grandes entreprises. Au dire de M. Breton, les réunions de ce conseil d'administration se déroulent en français. Les consultants externes qui travaillent à la Banque Nationale proviennent généralement de la firme CGI. «Jamais aucun professionnel de CGI n'a été écarté à la Banque Nationale parce qu'il ne parlait pas suffisamment anglais», affirme le porte-parole de CGI, Sébastien Barangé. Cette semaine, la Caisse de dépôt et placement du Québec a fait les manchettes parce que deux de ses cadres supérieurs sont des anglophones unilingues. Les deux travaillent pour la filiale immobilière de la Caisse, Ivanhoé Cambridge. Il s'agit du président, exploitation, Kim McInnes, et du premier vice-président, ressources humaines, David Smith. La Caisse de dépôt a pris des mesures cette semaine pour que les deux cadres accélèrent leur apprentissage du français. À la Banque Nationale, John Cieslak ne suit pas de cours de français, nous indique Claude Breton. http://www.cyberpresse.ca/actualites/201111/19/01-4469596-un-patron-unilingue-anglophone-a-la-banque-nationale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS3
  17. http://www.ecocity2011.com/accueil/default_f.asp Les personnes. L’écologie. L’urbanité. Cap vers les écocités. Le programme du Sommet s'appuiera sur les travaux des Sommets mondiaux Écocité antérieurs, en plus de présenter de nouveaux thèmes de conférences, des méthodes participatives ainsi que des projets qui survivront au-delà de la durée du Sommet. La conception et le contenu détaillé du Sommet mondial Écocité seront élaborés en collaboration avec des partenaires locaux et internationaux. Un effort particulier sera fait pour que l'expertise écologique urbaine particulière de Montréal soit mise de l'avant. THÈMES TRANSVERSAUX PARCOURS DE LA CONFÉRENCE Thèmes transversaux Le programme du Sommet mondial Écocité est organisé autour de six thèmes transversaux qui permettront d’examiner la recherche de pointe et de présenter des solutions concrètes qui contribuent à l'élaboration et à la gestion des écocités. Tous les intervenants présenteront des conférences portant sur leur propre domaine d'expertise et expliqueront la relation entre leur travail et la vaste gamme de problèmes sociaux, économiques et biophysiques qui font partie intégrante de la notion d’écocité. Des panels multidisciplinaires spéciaux, qui se concentreront sur les liens entre les différents thèmes, ont été mis sur pied afin de donner un aperçu holistique des principes à la base des écocités. Ils traiteront notamment de la conception de bâtiments verts pour les collectivités durables; de nouvelles technologies pour élaborer des infrastructures écologiques, comme l’amenée de résidus vers les centrales d'énergie; de l’élaboration de solutions d'écomobilité; de stratégies économiques pour soutenir les écocités; et de l’engagement citoyen ainsi que de la prise en charge par la population. Notre objectif: un programme commun afin de construire des écocités. Les participants à la conférence auront la possibilité d'étendre leurs réseaux, d’apprendre à partir de recherches novatrices et d’expériences faites ailleurs dans le monde, de contribuer à la réflexion sur les écocités et à l’évolution du mouvement des écocités et, finalement, de repartir avec de nouvelles connaissances, des outils et des approches qu’ils pourront adapter à leurs propres villes et pays. CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET ÉCOCITÉ Les villes doivent faire partie de la solution aux changements climatiques : jusqu’à 70 % des gaz à effet de serre (GES) sont produits dans les villes qui accueillent plus de 50 % de la population mondiale. Une écocité pourra faire face aux changements climatiques en relevant les défis relatifs à l’étalement urbain, au transport collectif, à la réduction et la valorisation des matières résiduelles ainsi qu’aux normes, aux matériaux et au design des bâtiments. Les écocités deviendront plus flexibles pour s’adapter aux menaces et aux risques accrus encourus par les infrastructures à la suite des changements climatiques. Les sessions prévues dans cette thématique aborderont comment les écocités peuvent faire face aux défis des changements climatiques. Parmi les sous-thèmes : combiner les stratégies d’atténuation et d’adaptation pour faire face aux changements climatiques; logements, aménagement urbain et changements climatiques; l’économie des changements climatiques dans les villes : impacts et opportunités. Les fournisseurs de technologies permettant de réduire les émissions de GES dans les villes seront particulièrement intéressés par ce sujet. ÉCOMOBILITÉ, AMÉNAGEMENT URBAIN ET ESPACE PUBLIC Comment devrions-nous organiser les villes et les banlieues pour permettre l’écomobilité ? Comment pouvons-nous activer l’espace public ? Les villes et les banlieues sont des entités dynamiques, en constante transformation. Sans cesse, comme tout écosystème, elles sont étalonnées et adaptées à leurs populations changeantes. Les qualités de transformation des régions urbaines présentent des défis et des opportunités. De nombreuses régions métropolitaines sont dépendantes de la voiture, car elles ont été construites et reconstruites pour favoriser l’automobile. D’autres modes de transport, comme la marche et la bicyclette, sont non seulement peu favorisés, mais sont souvent dangereux. Nous n’avons toujours pas réussi à éliminer les approchantes prédominantes en aménagement qui ont mené à ce que tant d’espace urbain soit cédé à l’automobile. Un objectif de convivialité devrait être ciblé dans la façon dont on répond aux besoins de base, tels que les logements, la nourriture, le développement personnel, les loisirs et le transport. Le défi est fondamentalement une question d’aménagement. Les sessions couvrant ce thème font explorer les questions-clés suivantes : Pourquoi et comment repenser l’aménagement de nos villes dans une perspective à long terme tout en posant des actions significatives à court terme ? Quelles sont les expériences inspirantes et les conditions de leur émergence ? Quels résultats pouvons-nous anticiper en faisant quels compromis ? Quels rôles peuvent jouer l’aménagement et le design dans le développement de stratégies réalistes pouvoir encourager la marche, la bicyclette et l’utilisation des transports collectifs et dans leur mise en œuvre ? GOUVERNANCE ET DÉMOCRATIE DANS UNE ÉCOCITÉ Transformer nos villes en écocités implique une nouvelle façon de concevoir la ville, mais aussi de la gouverner. D’une part, il faut revoir le fonctionnement des politiques publiques des municipalités et des gouvernements supérieurs pour que celles-ci s’ajustent à une vision intégrée du développement urbain durable. D’autre part, de nouvelles formes de participation citoyenne doivent être implantées afin de faire une plus large place à ceux-ci dans les processus de planification et de gestion des affaires urbaines. Les sessions couvrant ce thème seront orientées par trois sous-thèmes : la participation citoyenne, le changement social et l’innovation, le gouvernement et la gouvernance. De nombreuses questions-clés seront abordées. Quelles sont les conditions politiques et administratives du changement? Quelles sont les expériences inspirantes? L’ÉCONOMIE D’UNE ÉCOCITÉ Quel est la raison d’être du développement économique dans une écocité et comment définir les termes tels que « développement durable », « prospérité », « bien-être » et « qualité de vie » en lien avec cette notion ? Trois sous-thèmes tentent de répondre à cette question de fond. En premier lieu, comment favoriser les économies locales ? Les façons de maintenir la richesse et la prospérité au sein d’une écocité seront examinées à la lumière des modes de consommations de la population en matière de nourriture et de loisirs. Des défis importants doivent être relevés notamment en matière de financement de l’économie, confrontant la tendance vers la mondialisation, cherchant l’équilibre entre investissements publics et privés et gérant les relations entre l’écocité et les régions avoisinantes. La ville de transition et les mouvements sociaux prônant la ville post-carbone peuvent apporter de nouvelles approches instructives. En deuxième lieu, comment encourager le travail responsable dans une écocité ? Seront abordés les métiers verts et les nouveaux modes de travail possibles, tel que le partage du travail et des semaines plus courtes de travail ainsi que les secteurs les mieux adaptés à une écocité. En troisième lieu, comment gérer l’énergie et les besoins matériels d’une écocité ? Seront abordés les enjeux relatifs aux systèmes de production, de consommation et de gestion des matières résiduelles et les détails sur le fonctionnement d’une économie à faible émission de carbone. Par exemple, quelle est l’empreinte écologique d’une écocité ? Quels systèmes de gestion de l’eau et de traitement des eaux usées sont les mieux adaptés aux écocités, en prenant en compte leur situation géographique ? Comment poursuivre des objectifs permanents de croissance économique et de développement durable dans une ville écologique ? SANTÉ ET ENVIRONNEMENT BÂTI L’impact de l’environnement bâti sur la santé des individus et des populations est de plus en plus documenté tout comme l’est l’impact de la distribution inégale des ressources et services sur les inégalités sociales de santé. Il s’agit d’un nouveau champ d’étude en santé publique qui touche entre autres la qualité de l’air, les îlots de chaleur urbains, la sécurité des piétons et des cyclistes, le transport actif, la qualité de l’eau, l’obésité, les maladie cardio-respiratoires et la santé mentale. Ce thème portera plus particulièrement sur les façons de créer des aménagements urbains favorables à la santé (par exemple, agir sur la configuration des bâtiments, des rues et des trottoirs, la qualité des espaces publics, le verdissement, la promotion de l’engagement social, la cohésion sociale etc.). Parmi les sous-thèmes spécifiques : (i) les déterminants et processus sous-jacents à l’impact de l’environnement urbain sur la santé et les inégalités sociales de santé; (ii) les interventions, programmes et politiques publiques pour améliorer les conditions de vie urbaines afin de favoriser la santé et réduire les inégalités sociales de santé; et (iii) la mesure et l’évaluation de l’impact des interventions, programmes et politiques publiques qui visent la création d’environnements favorables sur la santé et les inégalités sociales de santé. BIODIVERSITÉ ET AGRICULTURE URBAINE La biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine sont tous les trois liés et contribuent, en effet, au bien-être de la population, de manière directe et indirecte, tant au niveau de la santé, de l’environnement que de la qualité du milieu de vie et du paysage. Au cours des dernières années, les connaissances scientifiques se sont accumulées quant aux multiples services sociétaux, économiques et écologiques. Mentionnons à cet égard l’ombrage et l’effet rafraîchissant, la captation des eaux de pluie et des polluants atmosphériques, la sécurité alimentaire. Par ailleurs, il est reconnu que le maintien du plus grand nombre d’espèces vivantes possible est nécessaire à la conservation d’écosystèmes en santé. Ces milieux participent aussi au rayonnement de la communauté, à son dynamisme économique, à sa fiscalité et à son développement social. Malgré la reconnaissance des services rendus par la biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine, une partie de ce patrimoine exige encore des efforts de développement, de préservation et de mise en valeur. Parcours de la conférence 1. LES VILLES À CLIMAT NORDIQUE : POLITIQUE, AMÉNAGEMENT ET DESIGN DE L’ÉCOCITÉ 2. UNE MEILLEURE RECONSTRUCTION EN HAÏTI ET DANS D’AUTRES ZONES SINISTRÉES 3. L'ÉCOCITÉ DE MONTRÉAL 4. ENGAGEMENT COMMUNAUTAIRE ET DES CITOYENS ET PARTICIPATION DES JEUNES 5. MESURER LES PROGRÈS DANS L’ÉCOCITÉ : INDICATEURS, NORMES ET MEILLEURES PRATIQUES 6. LES TECHNOLOGIES PROPRES AU SERVICE DES ÉCOCITÉS Les technologies propres contribuent activement au développement de villes et régions plus vertes et plus prospères. En accélérant la conception, le développement, l’adoption, la commercialisation et l’exportation des technologies propres, les grappes œuvrant dans ce secteur ont un rôle déterminant à jouer dans l’émergence de véritables écocités. Organisé par Écotech Québec, en partenariat avec la Global Cleantech Cluster Association (GCCA), ce parcours est la première rencontre internationale de cette association. Ouverte à l’ensemble des participants d’Écocité, la rencontre ciblera le partage des meilleurs pratiques et le développement de partenariats stratégiques profitables à l’ensemble des parties prenantes. Programme »»»
  18. MONTRÉAL, le 25 novembre 2010 - La société française Medtech, spécialisée dans la conception de robots d'assistance aux gestes médico-chirurgicaux, s'implante dans le Grand Montréal afin de développer ses activités en Amérique du Nord. La nouvelle entité créée, Medtech Technologie Chirurgicale Innovante Inc., qui bénéficie de l'aide de Montréal International pour s'installer dans la métropole québécoise, prévoit embaucher une dizaine de personnes au cours des deux prochaines années. Fondé en juillet 2002, Medtech conçoit, fabrique et commercialise des technologies d'assistance innovantes aux gestes médico-chirurgicaux afin de mettre en œuvre des traitements plus sûrs, plus efficaces et moins traumatisants. Medtech a notamment mis au point le robot BRIGIT, destiné à assister des interventions en chirurgie orthopédique, et par la suite le robot ROSA, pour des interventions en neurochirurgie. Sept établissements hospitaliers français et européens ont déjà adopté ROSA. Cleveland Clinic et le Centre Hospitalier Universitaire de Sherbrooke (CHUS) ont eux aussi récemment adopté le dispositif ROSA. « L'implantation en sol montréalais de Medtech correspond à sa volonté de poursuivre son développement commercial sur la scène internationale. Notre entreprise souhaite mettre rapidement en place un réseau de distribution et de support aux établissements hospitaliers québécois, et à moyen terme, étendre ce réseau à l'ensemble du marché nord-américain », a déclaré le président et fondateur de Medtech, monsieur Bertin Nahum. « Le milieu biotechnologique au Québec se distingue par la qualité de sa main-d'œuvre et de sa recherche, et surtout, par l'excellence des entreprises évoluant dans ce secteur stratégique pour notre économie. Je me réjouis donc d'accueillir à Montréal une nouvelle entreprise française dans ce domaine. L'implantation de Medtech au Québec est également une belle illustration de la collaboration qui existe entre la France et le Québec. L'arrivée au Québec de cette compagnie innovante constitue une très bonne nouvelle, puisque ses activités rejoignent les objectifs de notre Stratégie biopharmaceutique », a indiqué le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, monsieur Clément Gignac. « Je suis très heureux de voir s'implanter à Montréal l'entreprise Medtech. Cette annonce renforce notre statut de ville de savoir, de créativité et d'innovation. La présence de nombreuses entreprises et la construction de nouveaux centres hospitaliers universitaires témoignent du dynamisme de la métropole dans le domaine des sciences de la vie. Après tout, il s'agit de l'un des secteurs stratégiques de l'économie montréalaise qui génère quelque 41 000 emplois », a déclaré le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay. « L'ouverture d'une filiale de Medtech dans le Grand Montréal démontre l'excellente réputation de la région métropolitaine comme centre de haut savoir dans le domaine des sciences de la vie et des technologies de la santé. Les dirigeants de Medtech entendent collaborer étroitement avec les différents acteurs locaux dans le domaine de la recherche clinique applicative et espèrent ainsi signer prochainement d'autres ententes avec des établissements hospitaliers québécois », a souligné le président-directeur général de Montréal International, monsieur Jacques St-Laurent. À propos de MedtechMedtech, conçoit, fabrique et commercialise une nouvelle génération de technologies d'assistance aux gestes médico-chirurgicaux contribuant à la mise en œuvre de traitements plus sûrs, plus efficaces et moins invasifs. Fruit de plus d'une décennie d'expérience de son équipe dirigeante dans différentes spécialités chirurgicales, Medtech s'est notamment distinguée avec son premier robot chirurgical BRIGIT revendu en 2006 au Groupe Zimmer Inc., leader mondial de la chirurgie orthopédique. Avec son dispositif ROSA, Medtech propose une nouvelle génération de technologie d'assistance robotisée à la neurochirurgie. Pour en savoir plus, consulter le site Internet http://www.medtechsurgical.com.
  19. Le Groupe Akka Technologies s'implante à Montréal 4 novembre 2010 | 09h23 Le groupe européen d'ingénierie AKKA Technologies s'implante à Montréal, d'où il entend rayonner partout en Amérique du Nord. AKKA Groupe Amérique du Nord prévoit embaucher plus de 100 personnes «à court terme». La société française compte plus de 5600 employés dans 11 pays à travers le monde. Au dernier semestre terminé le 30 juin, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 197,5 millions d'euros, en hausse de 19,8%, générant un bénéfice avant impôts de 10,7 millions d'euros. Les activités internationales du groupe ont représenté 11,6% du chiffre d'affaires total de la société. AKKA affirme qu'elle entend développer des «partenariats stratégiques» avec des entreprises locales dans les secteurs de l'aérospatiale, du ferroviaire et des nouvelles technologies alternatives. «AKKA Technologies reconnaît l'importance du Québec dans des industries majeures telles que l'aérospatiale et le ferroviaire. La connaissance approfondie d'AKKA Technologies dans ces secteurs d'excellence du Québec permettra d'apporter un savoir-faire ainsi que des solutions innovantes et créatives qui profiteront à toute notre industrie », a commenté dans un communiqué le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac. AKKA a reçu l'aide de Montréal International pour son implantation dans la métropole. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2010/11/20101104-092356.html
  20. Publié le 17 juin 2009 à 11h30 | Mis à jour le 17 juin 2009 à 11h35 L'avenir du Québec passe par les «cleantech» Pierre Harvey Il ne se passe pratiquement pas une journée sans que le terme «cleantech» nous apparaisse sur internet ou dans les journaux d'ici et d'ailleurs dans le monde. Cette tendance claire vers les investissements et le réseautage vert, les technologies propres et renouvelables résumés sous le vocable «cleantech» n'est qu'un début et pourrait bien devenir l'une des plus grande industries du Québec de demain. En effet, il ne faut voyager qu'un peu dans le monde pour réaliser que nous pouvons déjà profiter d'une réputation tout à fait enviable au niveau de la production d'énergie propre et renouvelable, une importante avance dans le domaine des technologies des transports vert et surtout une connaissance très développée des technologies visant à économiser l'énergie et en gérer sa production. En se donnant les moyens de nos ambitions, en forgeant notre réseau mondial et en investissant massivement dans le secteur des «cleantech», le Québec pourrait être le porteur nord-américain, voire même la porte d'entrée vers l'Europe et le reste du monde pour l'ensemble des technologies développées chez nous, mais aussi ailleurs en Amérique du Nord. Ces technologies qui mettent en valeur notre savoir-faire et notre positionnement géographique stratégique baigné par une abondance d'eau, de vent et de ressource forestières unique au monde sont notre «or vert». Nous disposons déjà de tout cela sur le même territoire. Nous pouvons nous présenter dans tous les salons de l'environnement qui se tiennent sur la planète en bénéficiant d'une réputation enviable et bâtie au fil des 40 dernières années grâce à Hydro-Québec, carburer avec la réputation de grandes entreprises comme Kruger Énergie, mais aussi viser l'avenir et damer le pion au reste du monde grâce à de nouvelles entreprises comme Enerkem, AAER et des centaines d'autres qui, tranquillement, s'imposent sur la scène des «cleantech» avec une énergie capable de conquérir la planète. Ces entreprises de chez-nous qui gagnent des prix ou des appels d'offres internationaux et qui font leurs chemins graduellement dans ce secteur d'avenir. Mais pour réussir à nous imposer comme leader incontesté des «cleantech» et du virage vert, il nous faudra voir plus loin que la seule production d'énergie et surtout la seule intégration de technologies visant à simplement produire plus pour exporter ou pour combler plus de besoins de consommation. Évidemment pour nous, le nerf de la guerre est représenté par notre besoin de vendre de l'énergie aux Américains et il ne faut absolument pas passer à côté de cette opportunité économique cruciale pour notre développement, cela va de soi. Les initiatives actuelles des gouvernements et les opérations charme, effectuées en ce sens sont tout à fait louables et nécessaires. Le secret de la sauce pour l'avenir du Québec, réside aussi dans la capacité de ses leaders économiques et politiques à envisager non seulement notre capacité à produire plus et mieux, mais à augmenter la somme de nos efforts visant à économiser plus et mieux gérer l'énergie produite et l'énergie utilisée souvent et malheureusement, gaspillée. La combinaison de ces deux facteurs fera du Québec, une puissance économique incontournable mais aussi une référence en matière de résilience environnementale, de respect des peuples fondateurs et d'arrimage entre l'excès et les besoins fondamentaux. Les investissements en infrastructures lancés en grande pompe par les gouvernements pour encourager la reprise économique devraient favoriser particulièrement l'intégration de technologies comme la géothermie par quartiers regroupés, encourager les nouvelles technologies de recyclage et de réduction des déchets, la valorisation de la biomasse, l'utilisation des déchets comme source d'énergie, les services de proximité, la production locale à plus petite échelle et surtout soutenir les initiatives qui visent à maintenir notre réputation très enviée de leader de la protection de l'environnement en Amérique du Nord. Il faut aussi profiter de l'enthousiasme de certains environnementalistes comme David Suzuki qui prend le Québec comme modèle et implante même sa Fondation chez nous. D'autres, plus controversés comme Robert Kennedy Jr. qui reconnaît aussi en nous, Québécois, un peuple capable de grandes réalisations en matière de protection de l'environnement, mais aussi capable de tolérance et de défenses de valeurs sociales qui ne se retrouvent que très peu ailleurs en Amérique du Nord. Ils n'ont certainement pas à être d'accord avec nous sur tous les points, mais nous avons encore une belle longueur d'avance grâce à l'opinion qu'ils ont de nous et de notre société. Finalement c'est le fragile équilibre entre nos objectifs de production d'énergie, la reconnaissance que le monde porte à notre égard à cause de nos 40 années et plus d'expertise en hydroélectricité, mais aussi notre capacité et notre résilience à pouvoir trouver des solutions pour économiser et réduire notre consommation d'énergie qui seront notre avantage concurrentiel sur la scène mondiale. Il n'y aura que très peu de sociétés qui pourront se vanter de posséder ces deux atouts en parallèle, très peu. C'est notre avenir à tous. L'auteur est président de Harvey International Inc. à Sherbrooke.
  21. Un nouveau fonds d'investissement en technologie Publié le 27 avril 2009 à 17h46 | Mis à jour à 18h43 Sylvain Larocque La Presse Canadienne Montréal Le gouvernement du Québec, la Caisse de dépôt et placement et le Fonds de solidarité FTQ interviennent pour contrer la pénurie de capital-risque qui se profile à l'horizon. Une bonne partie des 18 fonds privés de capital-risque qui investissent activement au Québec depuis 2004 seront à court d'argent d'ici la fin de l'année, a expliqué lundi en conférence de presse le ministre des Finances, Raymond Bachand. Les trois partenaires ont donc annoncé lundi la création de Teralys Capital, le plus important «fonds de fonds» au Canada, qui sera doté de 700 millions $: 250 millions $ provenant de la Caisse, 250 millions $ du Fonds FTQ et 200 millions $ du gouvernement, conformément aux dispositions du dernier budget québécois. «Teralys Capital sera l'un des plus importants fonds en Amérique du Nord dans le secteur du capital de risque», a déclaré le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia. Le président de Teralys, Jacques Bernier, sollicitera des partenaires privés, au premier chef des caisses de retraites d'entreprises et des investisseurs institutionnels, afin de porter à 825 millions $ la taille du fonds. Teralys investira dans des fonds privés dotés qui, à leur tour, injecteront des capitaux dans des entreprises des domaines des technologies de l'information, des sciences de la vie, des nanotechnologies et des technologies dites «propres». Les trois-quarts des capitaux seront versés «directement ou indirectement» dans des fonds québécois, tandis que le reste sera destiné à des gestionnaires de l'extérieur de la province, mais qui sont»actifs au Québec». Dans la mire: les entreprises en démarrage. On veut par ailleurs éviter le «saupoudrage»: Teralys investira dans des fonds dotés d'actifs d'au moins 150 millions $. «Il y a une corrélation importante entre la taille et le rendement dans ce domaine», a estimé M. Sabia. La Caisse et ses partenaires espèrent qu'à long terme, Teralys réalisera un rendement annualisé de 15 à 20 pour cent. L'ancien PDG de BCE a assuré que la mise sur pied de Teralys n'avait rien à voir avec la crise économique, qui a pourtant compliqué la recherche de financement pour la plupart des entreprises de technologies, qu'elles soient en démarrage ou non. Il a toutefois indiqué que l'«impact» d'un tel fonds pouvait être décuplé dans le contexte actuel. L'Association canadienne du capital de risque et d'investissement s'est réjouie de l'annonce de lundi. «Ce fonds (...) est un brillant exemple de l'impact positif que peut avoir une collaboration étroite entre le secteur public et le secteur privé», a déclaré le président du regroupement, Gregory Smith, dans un communiqué. M. Smith a rappelé que l'industrie canadienne du capital-risque souffrait d'un manque de capitaux depuis plusieurs années. En 2008, le secteur a mobilisé 1,03 milliard $, soit 41 pour cent de moins qu'en 2005.
  22. CAE investira 714 millions en R&D Mise à jour le mardi 31 mars 2009, 11 h 56 . Le fabricant de simulateurs de vol CAE investira jusqu'à 714 millions de dollars dans le Projet Falcon au cours des 5 prochaines années. Le Projet Falcon est un programme de recherche et développement visant à transposer les technologies de simulation à d'autres secteurs de l'aéronautique que la formation, comme l'analyse et les opérations. « Ce nouveau Projet Falcon nous permettra de continuer à diversifier les activités de CAE en tirant parti de ses technologies principales dans les marchés adjacents [...] - Le président de CAE, Rober E. Brown » Le gouvernement canadien investira jusqu'à 250 millions de dollars dans le projet, une somme qui est remboursable par l'entreprise située dans l'arrondissement Saint-Laurent de Montréal. Le programme créera et permettra de conserver quelque 1000 emplois. « L'innovation est essentielle pour permettre à CAE de conserver sa position de chef de file dans les domaines de la modélisation, de la simulation et de la formation », a déclaré le président et chef de la direction de CAE, Robert E. Brown. « Nous continuerons donc à investir en R. D., même en ces temps difficiles. ». CAE précise qu'elle continuera à former des partenariats avec les universités et les principaux organismes de recherche au Canada de même qu'avec les fournisseurs de partout au pays. CAE est un leader dans le domaine des technologies de simulation de vol et de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense de nombreux pays. Elle génère des revenus annuels de plus de 1,4 milliard de dollars canadiens et compte environ 7000 employés répartis dans plus de 75 sites situés dans 20 pays.
  23. A une émission de Radio-Canada, on parlait de véhicules élecltriques, dont des autobus entièrement électriques qui arrêteront à des bornes, le long de leur parcours, pour se recharger pendant 1 minute. L'expert disait que la technologie existe déjà, et que les trolley bus (et tramways j'imagine) étaient des technologies dépassées. On disait aussi que le Québec est particulièrement bien placé au niveau du moteur-roue, et des technologies de batteries, pour profiter de la nouvelle vague verte. Voici un exemple: Hybrid-Electric Design ZERO emissions (with hydrogen fuel-cell or battery-electric options) Reduce fuel costs by greater than 90% Fewer parts to maintain with all-electric drivetrain Ultra-quiet drive system reduces noise pollution 90% regenerative braking recapture Unique All-Composite Body Low floor minimizes boarding time and increases passenger safety Impact resistant composite body increases vehicle safety and reduces maintenance Low center of gravity reduces chance for roll over Light weight body reduces impact on streets Modern appearance ADA-friendly design enables all passengers to ride the bus No corrosion - composite body and stainless steel subframe Other Features Safety front door prevents passengers from walking directly in front of the bus Large windshield for increased visibility Driver footwell glass for increased safety Incremental cost paid for by fuel savings http://www.proterraonline.com/transit.asp
  24. Le conglomérat industriel United Technologies, propriétaire entre autres de Pratt Whitney, supprimera quelque 11600 emplois en raison de la chute de ses ventes. Pour en lire plus...
  25. Le secteur québécois des technologies n'est pas insensible aux mauvaises nouvelles en provenance des États-Unis, mais on est loin de la crise. Pour en lire plus...
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