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  1. Plus de trois milliards $ à l’abri des taxes municipales Jean-Louis Fortin 28/07/2010 Pendant qu’on prépare les contribuables à de nouvelles hausses de taxes foncières pour 2011, des milliers de propriétaires d’immeubles ne paient pas un sou en taxes municipales et scolaires, grâce à la loi provinciale et à des ententes avec les villes. En 2010, à Montréal, Laval et Longueuil, la valeur combinée des immeubles exemptés atteint 3,3 milliards $, révèle une enquête menée par 24H. Au total, les trois villes estiment qu’elles pourraient récolter presque 100 millions $ en revenus supplémentaires chaque année, si ces immeubles étaient taxés. Lieux de culte de toutes les sectes et religions, terrains de golf publics, théâtres, marinas ; la liste des organisations qui échappent aux charges foncières s’allonge même à un rythme soutenu, avons-nous constaté. Ces chiffres excluent plusieurs catégories d’immeubles exemptés dont les édifices gouvernementaux, les hôpitaux et les écoles publiques, qui paient des compensations fixes aux villes, de même que les bâtiments municipaux et les terrains sur lesquels se trouvent des voies de circulation. Bien que controversés, ces congés de taxes sont parfaitement légaux, puisqu’ils s’appuient sur la Loi sur la Fiscalité municipale (LFM). Duplex et triplex Ainsi, sur le territoire de la ville de Montréal, 1167 propriétés classées comme « lieu de culte » ne paient pas de taxes foncières en vertu de l’article 204 de la LFM. Parmi ces immeubles religieux d’une valeur totale de presque 1,9 milliard $, on retrouve des lieux de rassemblement tels des églises et des mosquées, mais aussi de nombreux duplex et triplex dont certains servent de presbytères. Il faut y ajouter 174 « cimetières », des terrains dont l’évaluation combinée dépasse le demi-milliard $. On compte aussi huit terrains de golf publics d’une valeur totale de presque 130 millions $, exemptés en vertu de l’article 211 de la même loi, qui ne paient pour la plupart que la valeur des taxes reliée aux bâtiments. C’est le cas du Club de golf de l’Île de Montréal, dont la photo était utilisée erronément, et qui paie des taxes foncières sur les bâtiments. Le terrain, dont il n’est pas propriétaire, appartient à la Ville. La liste des propriétés exemptées inclut également le Royal St-Lawrence Yacht Club, une marina de 3,6 millions $ aux abords du lac Saint-Louis, à Dorval, fondée en 1888. L’administration Tremblay, aux prises avec un manque à gagner de 400 millions $ pour boucler son budget 2011, pourrait-elle remettre en question la pertinence de ces congés de taxes ? Réponse sans équivoque dans un courriel en provenance du cabinet du maire: « Non. Le maire Tremblay a déjà dit que la Ville ne réévaluera pas la question des exemptions ». Manque à gagner relié aux propriétés non imposées (évalué par les municipalités) Montréal : 64 millions $ Longueuil : 21,7 millions $ Laval : 11 millions $ De plus en plus de congés de taxes Les registres du service d’évaluation foncière de Montréal révèlent que la valeur totale des exemptions a presque triplé en trois ans, uniquement en ce qui concerne les organismes sans but lucratif, par exemple la Société canadienne du Cancer et la Mission Old Brewery. Ainsi, dans le rôle d’évaluation 2004, 306 organismes à but non lucratif, dont les immeubles valaient au total 296 millions $, étaient exemptés de taxes municipales et scolaires. Trois ans plus tard, en 2007, ce chiffre avait grimpé à 530 organismes, dont les immeubles valaient 880 millions $. Parmi les ajouts à la liste, on retrouve le Festival international de Jazz de Montréal, propriétaire d’un bâtiment sur la rue Sainte-Catherine Ouest qui vaut 9,5 millions $. Il y a aussi le Cirque Éloize, dont le siège social de 2,4 millions $ est situé dans le Vieux-Montréal , ainsi que l’immense Cité des arts du Cirque (TOHU), rue Jarry, dont la valeur foncière est estimée à 16 millions $. L’ajout le plus important est celui du Stade Uniprix, appartenant à Tennis Canada, dont les bâtiments et terrains ont une évaluation combinée de 33,7 millions $. L’exemption de Tennis Canada, une organisation sans but lucratif, découle d’une entente spéciale avec la Ville, qui exige notamment que 45% des équipements sur le site soient utilisés par le grand public. « Complètement absurde » Claire Joly, directrice générale de la Ligue des contribuables du Québec, est estomaquée de la valeur totale des exemptions de taxes municipales. « Beaucoup de contribuables vont sursauter en voyant ces chiffres, surtout que cette année, après les élections de novembre dernier, il y a eu des hausses de taxes assez généralisées dans la plupart des municipalités », déplore-t-elle en entrevue. « C’est complètement absurde d’exempter les terrains de golf publics, ils font des profits », dénonce-t-elle entre autres. La loi provinciale qui accorde un congé fiscal aux terrains de golf a été adoptée en 1963. Depuis 1980, la nouvelle Loi sur la fiscalité municipale (LFM) limite cette mesure aux terrains publics. « Les objectifs visés par cette disposition étaient de protéger les terrains de golf contre la taxation abusive de certaines petites municipalités et de protéger et de favoriser l’existence d’espaces verts naturels en milieu urbain », explique Caroline Saint-Pierre, porte-parole du ministère des Affaires municipales, des Régions et de l’Occupation du territoire. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2010/07/20100728-162408.html
  2. Description Projet de 78 condos dans deux immeubles de 10 étages avec une magnifique vue sur le Golf Ste-Rose à Laval. Les unités comptent de 1 à 3 chambres pour une surface habitable de 683 pi2 à 2042 pi2. Les planchers sont en bois franc exotique (bambou), la structure en béton. Il y a ascenseurs et air climatisé. Des stationnements sont disponibles à l'intérieur et à l'extérieur. Les prix varient de 185 000$ à 250 000$ + taxes. Garantie Abritat / Maître Bâtisseur. Le projet se situe à proximité d'axes routiers majeurs, d'une piste cyclable, de lignes d'autobus, d'espaces verts et des services. Livraison prévue au printemps 2013. http://www.rosanova.ca/
  3. Description Le 2520 Monsabré est un projet de 3 condos de 2 chambres, de 1179 pi2 situé dans le secteur Mercier, à 10 minutes de marche du métro L’Assomption. Facilement accessible par l’autoroute 25 (Pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine) et à 10 minutes du Centre-Ville. Ce projet inclut: Chambre principale avec walk-in, Surface à aire ouverte, Grand balcon avant et arrière, Grande fenestration, Plancher bois franc et céramique, Air climatisé, Échangeur d’air, Entrée privée, Plafond de 9 pieds, Près d'une piste cyclable ... Demi sous-sol : 227 900 $ + taxes Rez-de-chaussée : 249 900 $ + taxes Deuxième étage : 257 900 $ + taxes Subvention possible de 4 500 $ à 10 000 $. Plus d'information à la page: http://www.2520monsabre.com
  4. LA RECHERCHE Vers une taxe sur le kilométrage Mathieu Perreault - La Presse 08 juillet 2009 | 05 h 00 Photo Ève Guillemette, Le Nouvelliste - Agrandir Les ventes de véhicules neufs restent faibles et ceux qu trouvent preneurs consomment de moins en moins à la pompe. Les gouvernements, qui dépendent des taxes sur l'essence, sont pris au dépourvu. Certains envisagent de changer la donne et de taxer plutôt selon le kilométrage et le poids des véhicules. Depuis que le prix de l'essence a connu un pic, l'an dernier, les ventes de véhicules restent faibles aux États-Unis et au Canada. C'est une bonne nouvelle pour l'environnement et pour le portefeuille des automobilistes. Mais les gouvernements, qui dépendent des taxes sur l'essence, sont pris au dépourvu. Certains envisagent de changer la donne et de taxer plutôt le kilométrage. "Nous pensons que les gens utiliseront de plus en plus des véhicules consommant moins d'essence", indique Jim Whitty, du département des Transports de l'Oregon, le seul État qui ait mis ce concept à l'essai. "C'est très bien pour le climat. Mais le financement des routes dépend des taxes sur l'essence. Si l'on vend moins d'essence, ça voudra dire moins d'argent pour les réparations et la construction. Je ne suis pas sûr que les électeurs soucieux de l'environnement veuillent nécessairement des routes moins bien entretenues." L'avantage d'une taxe sur le kilométrage est qu'elle n'a pas besoin d'être ajustée pour compenser les améliorations de la consommation d'essence du parc automobile. "Augmenter le taux de la taxe sur l'essence est un suicide politique, dit M. Whitty. C'est impossible. Mais la réalité, c'est que les voitures de l'avenir consommeront beaucoup moins d'essence, et que certaines n'en consommeront pas du tout. Déjà, on voit que la technologie hybride se répand sur beaucoup de modèles, parfois sans même avoir été publicisée." L'essai routier qu'a concocté M. Whitty incluait 300 automobiles, qui étaient suivies pendant un an grâce à une borne installée dans le véhicule. Les données de la borne pouvaient être téléchargées sans fil quand la voiture s'arrêtait dans une station de collecte de données. Un jour, ces stations de collecte de données pourraient être installées dans les postes d'essence. Le coût était de 200$US par véhicule. Mais si tous les véhicules de l'État étaient enregistrés, il baisserait à 100$, selon M. Whitty. Taxation en fonction de l'usure "L'avantage d'une taxation au kilomètre, c'est qu'on pourrait ajuster son taux en fonction de l'usure réelle causée par chaque automobiliste, dit l'ingénieur. Les véhicules plus lourds, comme les fourgonnettes et les véhicules utilitaires sport, endommagent plus les routes que les compactes. Mais en ce moment, on ne peut pas les pénaliser, parce qu'on ignore s'ils sont plus ou moins utilisés que les véhicules plus légers; un VUS utilisé seulement les fins de semaine aurait par exemple un impact similaire à celui d'une petite voiture qui servirait tous les jours. On pourrait vraiment passer à un principe d'utilisateur-payeur. Et ça favoriserait encore plus les petites voitures, qui consomment généralement moins, du moins pour les gens faisant beaucoup de kilométrage." Il s'agirait en quelque sorte d'une généralisation du principe du péage électronique. L'Oregon, qui a "inventé" la taxe sur l'essence en 1919, n'a pas décidé si la deuxième phase du projet, qui prévoit la mise au point d'un système fonctionnel, irait de l'avant. "Notre Congrès ne se réunit qu'une fois tous les deux ans, dit M. Whitty. Notre rapport a été complété à la fin de 2007, et le Congrès n'a commencé sa session qu'à la fin de janvier dernier." Il faudrait 10 millions US pour éliminer certains bogues lors de la deuxième phase, en plus des 2,9 millions déjà dépensés durant la première phase, qui était gérée par des ingénieurs de l'Université de l'Iowa. ******** Led: Ce qui est intéressant c'est que la consommation urbaine d'essence est plus grande en ville sur une plus courte distance ce qui encouragerait théoriquement les véhicules plus urbain à rester en ville tout en limitant leurs déplacements même s'ils consomment moins. Ça encourage le transport en commun, décourage l'étallement urbain (rapprochement des centres) et limite l'utilisation peu importe la consommation. La reglementation sur la consommation d'essence devrait s'appliquer au constructeurs et la reglementation sur les distances au utilisateurs... Peut-être que cela va nous aider à améliorer les routes là ou elles en ont besoin (Montréal) sans affecter necessairement les prix de transport de marchandises (réduction du prix de l'essence vs taxe sur le kilométrage). Qu'en pensez-vous?
  5. Nouveau projet Accès condo à Lachine - Mise en vente le 12 mars 2011 120 unités, réparties sur 6 étages 1cc à partir de 139 000 $ - 13 900 $ (crédit d'achat de 10%) = 125 100 $ taxes incluses 2cc à partir de 200 000 $ - 20 000 $ (crédit d'achat 10%) = 180 000 $ taxes incluses 3cc à partir de 227 900 $ - 22 790 $ (crédit d'achat 10%) = 205 110 $ taxes incluses
  6. Canada ranks 2nd among 10 countries for cost competitiveness, says KPMG THE CANADIAN PRESS 03.29.2016 TORONTO - Accounting giant KPMG says Canada has proven to be second most competitive market in a comparison test of 10 leading industrial countries. In its report, KPMG says Canada lags only behind Mexico when it comes to how little businesses have to pay for labour, facilities, transportation and taxes. The report, which compared the competitiveness of a number of western countries along with Australia and Japan, found that a high U.S. dollar has helped Canada stay affordable despite rising office real estate costs and lower federal tax credits. When it comes to corporate income taxes, it found that Canada, the U.K. and the Netherlands had the lowest rates overall due to tax incentives to support high-tech and research and development. KPMG also looked at the competitiveness of more than 100 cities worldwide. It ranked Fredericton, N.B., as the most cost-effective city in Canada due to low labour costs and continued low costs for property leases. Montreal topped the list among 34 major cities in North America, followed by Toronto and Vancouver. The three Canadian cities beat out all U.S. cities. Although there have been concerns over the impact of a weakening loonie on the economy, having a low Canadian dollar has actually been "a driver in improving Canada's competitiveness and overall cost advantage," KPMG said. As a result, that has made it more attractive for businesses to set up shop north of the border than in the U.S., it said. http://www.montrealgazette.com/business/canada+ranks+among+countries+cost+competitiveness+says+kpmg/11817781/story.html
  7. http://montrealgazette.com/news/local-news/montreal-working-group-formed-to-improve-citys-business-outlook Montreal has considerable assets when we think of our quality of life, of our spot as the second largest pool of higher-education students in North America and certainly when we think of how safe it is…” Hubert said. There should be a working group that looks at how to retain students. It's all about retention. Students come here from abroad, live for cheap, party hard and then leave. Aside from high taxes, this should be highest priority.
  8. Tour de luxe au centre-ville Publié le 21 janvier 2009 à 09:20:19 à 10:22:40 Photo Robert Mailloux, La Presse Sophie Ouimet-Lamothe La Presse[/size] Projet : Le Roc Fleuri. Photo : http://galeriedephotos.montoit.ca/index.php?t=&a=158&m=mt Promoteur : Giotar. Architecte : DCYSA Architecture & Design. Nombre d'habitations : 140, dont 90% sont vendues. Superficie : de 1125 à 1962 pieds carrés pour les appartements, et jusqu'à 2797 pieds carrés pour les penthouses. Prix : de 595 000$ à 1,3 million, taxes incluses, une place de stationnement comprise. Penthouses : de 2,35 à 2,5 millions, taxes incluses, deux places de stationnement comprises. Livraison : immédiate. Arrondissement : Ville-Marie. Description : les 23 étages du Roc Fleuri se dressent au coin du boulevard De Maisonneuve et de la rue Drummond, dans le Golden Square Mile. Les trois derniers étages accueillent neuf luxueux penthouses. Avis aux intéressés : cinq d'entre eux sont toujours à vendre. La plupart des occupants ont déjà emménagé, puisque la construction est terminée depuis presque deux ans. Les propriétaires peuvent profiter de nombreux espaces communs, dont un luxueux hall, une salle d'exercice, un spa et une piscine intérieure, qui donne sur une terrasse privée. À cinq minutes : on trouve de tout ! Le Roc Fleuri est situé dans le Golden Square Mile, à quelques minutes des musées, restaurants, boutiques, cinémas et bars du centre-ville. Clientèle cible : variées mais clairement pas les premiers acheteurs. On aime : il s'agit d'un projet luxueux et glamour qui s'assume. On aime moins : les prix ne sont pas accessibles à toutes les bourses. Adresse et site internet : Le Roc Fleuri 2000, rue Drummond http://www.lerocfleuri.com
  9. via The Gazette : The Restaurant Scene in Montreal : Boom Equals Bust Lesley Chesterman Montreal Gazette Published on: November 21, 2014 Last Updated: November 21, 2014 9:14 AM EST Le Paris-Beurre is an excellent neighbourhood bistro that Outremont residents are lucky to have called their own for more than thirty years. The braised leeks with curry vinaigrette, the goat’s cheese salad, the famous gratin dauphinois and côte de boeuf for two, plus the best crème brûlée in town, make this restaurant a sure bet. Yes, the wine list has been on the predictable side for a decade too many and maybe the soup has a tendency to be a little watery, but the terrasse is divine and the dining room offers the ideal out-of-a-Truffaut-film bistro setting. If Le Paris-Beurre were located in Paris, it would be frequented by both locals and tourists looking for that fantasy French bistro. In Montreal, Le Paris-Beurre has relied on locals to fill its 65 seats. And increasingly, those locals are often grey-haired, owner Hubert Streicher said in a recent interview. Now after 30 years in business, Le Paris-Beurre will be serving its last bavette and duck confit on Dec. 23. Streicher still hopes the restaurant will be sold, yet he’s not holding his breath. “Our sales fell over the last three years,” he said. “We have a very loyal customer base, but those customers are aging. And younger customers are now heading to bistros on Avenue Bernard.” Normally, the closing of this Montreal institution would come as a surprise, but considering the number of iconic Montreal restaurants that have shuttered this year – big players including Le Continental, the Beaver Club, Globe, Le Latini and Magnan’s Tavern – Le Paris-Beurre is just another establishment to give up on the increasingly volatile Montreal restaurant scene. Driving around the former popular restaurant neighbourhoods of our city, and seeing locale after locale with rent signs in the windows, it’s obvious the restaurant industry is hurting. It’s one thing when the bad restaurants close. A regular purging of the worst or the dated is to be expected. But now the good restaurants are hurting as well. There are too many restaurants in Montreal and not enough customers” – Restaurant owner Sylvie Lachance Upon closing, restaurants like Magnan’s Tavern and Globe issued press releases that raised many of the same issues: road work, tax measures, staff shortages, skyrocketing food costs, parking woes, the increasing popularity of suburban restaurants and changing tastes. Add to that list a shrinking upscale tourist clientele, and there are sure to be more closings on the horizon. People have less cash to spend and more restaurants to choose from. Competition is fierce. Tourism Montreal notes that ours is the city with the largest number of restaurants per capita in all of North America. According to François Meunier of the Association des Restaurateurs du Québec, the number of new restaurants with table service increased by 31 per cent from 2005 to 2012 in Montreal. Yet people are spending less. “Sales are down 4.2 per cent in full-service restaurants from last year,” Meunier said. “People don’t have money to spend. We don’t always like to admit it, but Quebec is a poor province.” There’s a definite shift taking place on the Montreal restaurant scene and for many restaurateurs, the obstacles are looking insurmountable. Up the street from Le Paris-Beurre is the restaurant Van Horne. Owner Sylvie Lachance was so discouraged by how the restaurant scene is evolving that she sent an open letter outlining her exasperation to various media outlets last May. “There are too many restaurants in Montreal and not enough customers,” her letter began, before outlining several trends she believed were holding her back from garnering the attention she deserved. Of her chef, Jens Ruoff, she wrote: “(He) is not a hipster, has no tattoos on his arms and does not serve homemade sausage on wood planks.” Of Van Horne’s marketing approach, she said: “We do not have cookbooks for sale, nor a sugar shack, much less a television show. We do not personally know Anthony Bourdain or René Redzepi.” She closed with the final thought: “We are not dying at Van Horne but it is unfortunate, given all the hard work we do, to be forgotten so often.” Now, six months later, Lachance is still discouraged. “Are there too many restaurants in Montreal? Yes!” she said without hesitation. “Everyone is looking for staff. It has become the biggest problem. I have young chefs here who say, ‘I could go to you, Toqué! or Boulud.’ They can go anywhere. And I also see restaurants that open up that are constantly looking for chefs, waiters, bus boys. They don’t even staff their restaurants properly before opening. And as for chefs, they have to be everything these days: creative, good at marketing, eager to meet with suppliers, manage employees, calculate food cost. Good luck finding one who can do all that.” Across town, Carlos Ferreira is facing many of the same concerns at his famous Peel St. restaurant, Ferreira Café. The restaurant’s lunch scene draws the elite downtown crowd. Dinner is equally popular. Now going on 18 years in business, Ferreira should be leaning back, counting the profits, happy with his multi-restaurant empire. Not quite. “Montreal has become a restaurant city focused on fashions and trends,” he said between bites of grilled octopus at lunchtime recently. “New restaurants invest a lot in decor and ambience. In the past, the food in trendy restaurants like Prima Donna and Mediterraneo was very good. But today, it’s not serious. The ambience is exaggerated, the markups on alcohol too. A lot of those restaurants took their clients for granted and now they’re all closed. And today there is this new Griffintown phenomenon. If you don’t go to eat there, you are a loser!” When asked if he thinks there are too many restaurants in Montreal, Ferreira nodded. The problem, he said, is a lack of direction. “We’re losing sight of what a restaurant should be,” Ferreira said. “People are opening restaurants without knowing the business.” Ferreira does know the business – he’s been drawing in customers to enjoy his modern Portuguese food coming up on 20 years. Next year, though, he will be re-evaluating his entire business. “In 2013, we served 1,800 fewer customers,” he said. One of the problems now is that with the ongoing erosion of the high-end restaurant genre and the increasing popularity of casual dining, the middle ground is getting crowded. To Ferreira, restaurants can be divided into four categories: high-end (gastronomic), casual (bistros), cafés and fast-food. “The high-end restaurant is condemned,” he said, matter-of-factly. “They are too expensive and people say they’re very good but … boring. And if people go into a half-full restaurant, they don’t want to return.” Another highly successful Montreal restaurant, Moishes, celebrated its 75th anniversary this year but has faced its share of challenges. Yet owner Lenny Lighter is not willing to blame the lack of business on the booming number of new restaurants. “Competition always makes me nervous,” Lighter said. “And not just another steakhouse but anyone in my price category. But where is that ‘too many restaurants’ statement going? We live in a free society. Anyone can open a business. It’s not for us to tell people what to do. You know what’s not good? Not enough restaurants. The more choices people have, the more interesting the game gets for everyone.” To Lighter, there’s too much going on in Montreal lately to curtail entrepreneurial spirit. Young people willing to raise the capital and take the risk should do it, he said. “Some will close, there will be heartbreaks. But the ones that survive might just be the next big thing. We never know what the next Joe Beef will be or who the next Costas Spiliadis will be. Only the strong will survive. Competition is good. It raises the stakes.” And yet the hurdles in the game may also make for an uneven playing field. Next August, Ferreira will face a lengthy construction period on Peel St. and the makeover of Ste-Catherine St., both of which he is dreading. “I understand it has to be done,” he said. “But it must be done intelligently, so that there is still access to businesses.” The fear of being barricaded by a construction site is a prime concern for many a restaurateur. Even at arguably the city’s most popular restaurant right now, Joe Beef, construction worries loom large. “If the city ripped up the street in front of me here for three weeks,” said co-owner David McMillan, “I’d go under.” At Thai Grill on the corner of St-Laurent Blvd. and Laurier Ave., owner Nicolas Scalera watched his business come to a halt when the sidewalks were widened. For four months, the entrance to his restaurant was accessible only by a small plank set over a mud pit. Construction, estimated to last a month, started in August yet only finished in early November. Scalera said customers not only petered out, many called to see if he was closed. “I paid $68,000 in taxes to the city last year. It would have been nice to see a break during construction.” “I’ve been here for 17 years. I have some rights as well. But they don’t care,” Scalera said. “I had (city councillor) Alex Norris (for the Jeanne-Mance district) tell me right to my face that they don’t want people coming in from other areas or Laval to eat in restaurants in this area. He told me the Plateau is for the Plateau residents. I’d like the city to promote our restaurants instead of doing nothing to help us. Instead, I’ve seen a major decline in business. I will never open anything or invest in the Plateau again. It’s too risky. You could lose everything.” Norris, the city councillor in question, disagrees. “The Plateau gets hundreds of thousands visiting our streets,” he said. “We encourage people from all over the city to frequent our businesses. It’s a densely populated neighbourhood, so we’ve had to manage the relationship between commercial endeavours and residents. To suggest we don’t want people to visit our neighbourhood is absurd.” Inflated taxes didn’t help Le Paris-Beurre’s Streicher in Outremont, either. “I was charged $2,500 in taxes (this year) for my terrasse alone, and my terrasse is part of my restaurant, in the back courtyard, not on the street.” Van Horne’s Lachance is also disheartened by the lack of interest from the people who collect her tax dollars. “In Outremont where I am,” she said, “not one elected municipal representative has been to my restaurant. They go to the cheap restaurant down the street. I’ve served Tony Accurso, but I’ve never had any mayor or elected official in my restaurant. There is a lack of appreciation for our restaurant scene. People don’t talk about what show they went to anymore, but what restaurant they ate at. Restaurants are part of our culture now.” When asked if he frequents restaurants in his neighbourhood, Norris could name only one, L’Express. “There are others,” he said. “I’ll have to get back to you.” We’re losing sight of what a restaurant should be.” – Carlos Ferreira Even at the internationally acclaimed Joe Beef, Montreal officials have been scarce. “I’ve served three former prime ministers,” McMillan said. “The governor of Vermont has eaten at my restaurant four times, but not one Montreal mayor or one municipal councillor from my area has eaten at Joe Beef. The last five times I ate in restaurants in New York, three of the times I saw the mayor eating there, too.” “I have taken note of the comments, and I am pleased to see that the people at Joe Beef’s want to see more of me,” Montreal Mayor Denis Coderre said via email on Thursday. “I was happy to see them recently at the Corona Theatre, where they catered an event celebrating David Suzuki. Unfortunately, the last time I was near Joe Beef’s restaurant, I was in a hurry and went to eat at Dilallo Burger.” “The city doesn’t understand how important the restaurants are in Montreal,” Ferreira said. Lighter is less dismissive, though he does see a lack of interest from above. “They’re not understanding the risk people take,” Lighter said. “There are payroll taxes, property taxes, operating taxes, school taxes. Government should be supporting you, not always policing you. And ultimately, with more sales, they get more taxes. Good business is profitable for them, too.” Despite the many factors hindering business, Montreal restaurateurs are not blaming customers. Client fidelity is at an all-time low, they say, yet they understand the desire to go out and eat around. “Montrealers follow the buzz,” Lachance said, “but they come back.” And yet there is one clientele all restaurateurs would like to see more of: tourists. “There is gigantic work to be done,” Ferreira said. “The summer of 2014 was the worst summer for tourists. Tourism Montreal says it was a record year, but they are drawing in the cheap tourists. These people aren’t spending.” Ferreira would like to see the city attract high-end conventions and tourists with money to spend by focusing more on the luxury market. “But no one will talk about that,” he said, discouraged. Pierre Bellerose, vice-president of Tourism Montreal, agrees the restaurant scene is hurting but with about 6,500 restaurants in the city, that’s to be expected. “We have more restaurants per capita than New York,” he said. “But we’re a poor city. Many close, many open. It’s a lot to ask the population to support the industry.” According to Bellerose, tourism is up 50 per cent from 20 years ago, and drawing visitors to the restaurant scene is one of the agency’s priorities. Bellerose said: “There is a good buzz about Montreal. It’s estimated that between 20 to 25 per cent of the clientele at high-end restaurants are tourists. There’s a lot of interest in food. But that interest varies. Some people just want smoked meat and poutine. And tourists are mostly circulating in the central areas of the city. We can’t follow them around and tell them where to go.” McMillan thinks Tourism Montreal could find better ways to promote our restaurant scene. “Tourism Maine and Tourism New York follow me on social media, but not Tourism Montreal,” he said. “And they keep paying for these bloggers to come in and discover the city. Instead, why not send some of us chefs out to promote Montreal restaurants abroad at food festivals or even in embassies? I’ve never been asked to promote my city or cook in an embassy – and if asked, I would do it.” And there is plenty here to promote. The New York-based website Eater.com recently dropped both their Toronto and Vancouver pages yet held on to their popular Montreal site. Though low on the high-end restaurant count, Montreal has an impressive number of chef-driven restaurants, with an increasing number of them drawing international attention to our scene. Plus, Montreal remains a far more affordable restaurant city than the likes of Paris, London or even Toronto – although the down side of being an affordable dining destination means less money in restaurant owners’ pockets (the ARQ estimates profits at a paltry 2.6 per cent). “We should be a premier destination,” Lighter said. “We have a unique culture, a great reputation. But Montreal has suffered economically. We’re highly taxed. There’s not a lot of disposable income and it’s expensive to eat out. I sense there is a certain defensiveness restaurateurs have with customers, but we have to learn from customers, too. We always have to have our eyes and ears open, ready to adjust.” Restaurants in Montreal: 6,500 People per restaurant in Montreal: 373 People per restaurant in New York City: 457 Increase in the number of new restaurants in Montreal from 2005 to 2012: 31 per cent Decline in sales at full-service restaurants in 2013: 4.2 per cent Sales at high-end Montreal restaurants from the tourism industry: 20 per cent End-of-year profit margin on all sales for Montreal full-service restaurants: 2.6 per cent Restaurants closing this year : Le Paris-Beurre : The bistro on Van Horne Ave. in Outremont will close on Dec. 23 Le Continental : Closed in May Le Latini : Closed in September Beaver Club : Closed in March Magnan Tavern : Will close on Dec. 21 Globe : Closed in September
  10. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201408/28/01-4795307-petition-a-anjou-pour-defusionner-de-montreal.php Publié le 28 août 2014 à 10h51 | Mis à jour à 10h51 Pétition à Anjou pour défusionner de Montréal Le maire de l'arrondissement d'Anjou, Luis Miranda, lancera une pétition la semaine prochaine pour demander au gouvernement québécois de se séparer de Montréal, réveillant le spectre des défusions. Luis Miranda ne digère toujours pas la révision du budget des arrondissements annoncée cet été par l'administration Coderre. Même si Anjou ressort gagnant de l'exercice, obtenant plus d'argent, le maire estime que c'est insuffisant. La grogne est telle à Anjou que Luis Miranda est convaincu de pouvoir récolter 25 000 signatures alors que l'arrondissement compte seulement 30 000 électeurs. Il entend déposer celle-ci à l'Assemblée nationale pour forcer le gouvernement à tenir un référendum sur une défusion. «En 2001, il n'y avait rien dans la loi pour fusionner. En 2004, il n'y avait rien pour les défusions. Et aujourd'hui, il n'y a rien pour nous enlever le pouvoir de demander à partir», lance Luis Miranda. Cette sortie survient alors que l'arrondissement est à préparer son budget 2015. Le maire indique qu'il doit faire face à une augmentation d'un million de ses dépenses alors que Montréal lui enverra seulement 180 000$ de plus qu'en 2014. «C'est certain qu'on parle de réductions de services», déplore-t-il. Ces compressions, qui ont par le passé mené à la fermeture de patinoires et de chalets de services dans les parcs, alimentent la grogne, poursuit Luis Miranda. «Ce n'est pas vrai qu'on peut augmenter les taxes en réduisant les services», dénonce-t-il. Selon lui, les Angevins payaient un total de 66 millions en taxes au moment des fusions. Ce montant est aujourd'hui de 104 millions. Plus de détails à venir...
  11. Le Masson propose 4 condominiums de 2 chambres sur 2 étages, de 984 et 1390 pi2, à 300m du Parc Maisonneuve et à 5 minutes de marche de la promenade Masson, dans Rosemont. Caractéristiques: Chambre principale avec walk-in Mezzanine avec terrasse privée Balcons pour chaque unité Stationnement disponible (en option) Salle de bain et salle d'eau Choix de finitions Situé à proximité des transports en commun et d'une multitude de services et commodités, le projet offre un excellent rapport qualité / prix idéal pour un premier investissement. Garantie Abritat et garantie des maisons neuves de 5 ans 3 condominiums disponibles pour occupation immédiate: En vente: App 101 et App 102: 265 000$ + taxes App 204: 290 000$ + taxes Ou en location: App 101 et App 102 - 1300$ par mois App 204 - 1500$ par mois Plus d'information à la page: http://www.pierreviens.com
  12. Le Devoir: http://www.ledevoir.com/politique/montreal/398500/%E2%80%8Bbudget-2014-de-la-ville-de-montr%C3%A9al-hausses-de-taxes-moyennes-de-2-8 La Presse: http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201401/29/01-4733596-budget-sous-controle-taxes-en-hausse-a-montreal.php
  13. Magnifique projet Projet de 12 condos (Phase 1 & 2). Le projet serait de 5 phases en totale comprennent approx. 32 unités au complet. Prés des parcs, écoles, hôpitaux, magasins et transport en communes et beaucoup plus. Profitez d’une qualité de construction supérieure dans des espaces de vie à la configuration et au look très actuel. Ce projet sera livré pour juin 2013. Le bureau des ventes est sur rendez–vous seulement et il contient des choix de finitions pour la cuisine, la salle de bain et les planchers de bois. Extras offerts et inclus par le promoteur, tel que : le quartz, planchers de bois d’ingénierie. Le promoteur vous offre des unités clé en main et à prix abordable dans un des secteurs les plus en demande de Montréal. Stationnement intérieur disponible en option. Offrez-vous un condo à partir de 155 390$ jusqu'à 215 700$ plus les taxes. Condo de une à deux chambres à coucher offert. http://lenuvocondos.com/
  14. Description Projet de 17 condos de 1 ou 2 chambres (850 pi2 à 1800 pi2) sur 1 ou 2 étages. Certification Novoclimat à venir. Prix: de 204 500$ à 294 900$ + taxes. Stationnement disponible : + 15 000$ + taxes Éligible aux subventions de la Ville de Montréal. Situé près du métro Verdun et de nombreux commerces. Livraison: juillet 2013. C'est un projet des Habitations KPR. Site Web : http://www.michelpaquette.com
  15. MONTREAL - When James Essaris looks out over his flat concrete kingdom of 20 downtown parking lots that he started collecting in 1956, he sees a precious urban resource where others see ugliness. The much-maligned parking lot, long considered an urban eyesore and enemy of public transit, is becoming an increasingly rare feature on the downtown streetscape. Essaris, longtime owner of Stationnement Métropolitain, sees his barren concrete as more than just a chance for him to pocket some cash on the barrelhead: he believes in the good that parking lots do and considers the spaces to be the lungs of downtown commerce. “The City of Montreal should give free parking to come downtown. We’re chasing people out to the shopping centres,” he said. The new parking lot tax was adopted in 2010 and brings in $19 million a year to fund public transit. The tax is determined by a complicated formula that Essaris says in practice makes city taxes about twice as expensive on a surface lot as it would for another type of structure. The city held public hearings on the issue this spring and response to the surface parking eradication campaign — through the new parking tax and allowing larger-scale buildings on the empty lots — was greeted positively, according to City of Montreal Executive Committee member Alan DeSousa. “It brings more money into the city coffers and removes the scars in the downtown area,” he said. He said that some of lost parking spaces have been replaced by indoor parking in the various projects. But after seeing his taxes double in recent years, Essaris is now doing what many other parking-lot owners have done: He has started sacrificing his supply of parking spaces for housing, most recently building a 38-storey Icône condo tower at de la Montagne St. and René Lévesque Blvd. He has some misgivings, however, knowing that those spots will be sorely missed. “We cannot survive without parking in the city. I wish everybody could take the bus and métro, it’d make things easier, but you cannot force people onto the métro when they have a car,” he said. Urban retailers have long begged their merchants associations to create more places to park, perhaps no more than on the Main where about half of all members regularly plead for more parking, according to Bruno Ricciardi-Rigault, president of the SDBSL. “It would be really nice if we had a few more parking lots,” he said. However, the dearth of spaces is only going to intensify as the few remaining parking lots near St. Laurent Blvd. are slated to be redeveloped. Ricciardi-Rigault is bracing for more complaints from restauranteurs who have lost customers because their motorist clientele was fed up with circling the block. “Some people want to spend the whole afternoon, shop, go to Jeanne Mance Park, come back for a beer. Paying $20 to park on the street, that‘s asking a lot,” he said. Condo towers have been replacing lots in the downtown core at an impressive pace and the result is higher prices at indoor garages, reflected in a recent Colliers study that ranks Montreal as having the second-highest parking prices of any big Canadian city. Rates have risen an eye-opening 11 per cent since last year, as the average monthly price for an unreserved spot in a downtown underground commercial lot was $330.96 — $88 above the national average. The proliferation of private parking lots once inspired many to liken Montreal to a bombed-out city, but that is no longer the case. “We were spoiled by having tons of parking lots, now Montrealers will have to get used to much higher parking costs,” said Colliers representative Andrew Maravita. He credits a lower commercial vacancy rate for pushing prices higher. Up until the 1960s, Montreal tacitly allowed even historic buildings to be demolished and replaced by parking lots and until recently turned a blind eye to the countless rogue illegal lots that dotted the downtown core. For ages, Montreal surface parking lots were fly-by-night operations, changing ownership to avoid bylaw restrictions ordering them to be paved, landscaped. The city always said they couldn’t chase every owner down. But in recent years, authorities have increased taxes and cracked down on illegal lots, combining the stick of punishment with the carrot of juicy rezoning booty. In the past, many property owners failed to see the point of building on their parking lots, as the zoning frequently only allowed for small buildings. Those restrictions have been lifted on many of those properties, resulting in a bonanza for parking-lot owners whose land increased in value. The strategy was put into place with input from architect and former Equality Party leader Robert Libman, who previously served on the city’s Executive Committee. “A lot of projects going on now, on streets like Crescent and Bishop and that area, were previously zoned for two or three storeys. The urban plan capped those at a minimal height. The rezoning has made it more alluring for owners to build instead of leaving it vacant,” he says. Libman’s war against above-ground parking lots is personal. “They’re ugly and they undermine the downtown urban fabric,” Libman said. But he concedes that commerce relies on people being able to drive to a business. “You’ve got to find that careful balance between offering too much parking, making it too easy vs. your objective of discouraging people to take their car downtown and using public transit, that’s the fine line you have to find between the two,” he said. Developers are required to include parking in new projects, but the amount varies from place to place. In Laval, many projects are required to have two parking spaces per condo unit, while in the Plateau it’s close to zero spaces, although a typical recipe calls for one spot per two units. The one part of the city perhaps most challenged by a dearth of parking facilities is the booming Old Montreal area. The issue has long been considered such an urgent problem that one proposal from a decade ago even suggested that the massive silos in the Old Port be used to park cars. More recently, Old Montreal planners have installed an electronic billboard indicating where spaces could be found, but the pressure on parking endures, according to Georges Coulombe, whose real-estate company has been snapping up properties in the area for the last four decades. Coulombe concedes that area commerce has been hurt by a lack of space for cars. “People from places like Longueuil want to come shop on the weekend, but they can’t do it anymore, it’s too expensive to park, they end up going to malls closer to home.” He attempted to address the problem through a plan to build a high-tech robotic parking facility that could accommodate twice as many cars as a regular indoor lot. However, he did the math and found that it wouldn’t make sense because of city taxes. “I had a small 3,000-foot terrain that I would have turned into 300 spaces, but the city wanted to tax not just the building but the machinery inside. It made it impossible.” Much-hyped futuristic robotic parking systems are seen by some as a potential solution to parking woes and have actually been around for quite some time. The city has had at least three pigeon-hole parking systems as the earlier incarnations were known; one was opened on de la Montagne St. in the 1950s and another on Mansfield, where a worker was crushed by an elevator. A third more recent one was in operation at St. Jean and Notre Dame until a decade ago. Authorities frequently cite the fear of being unable to put out a car blaze in their opposition to such facilities. And although a few such high-tech robotic lots could elegantly alleviate parking pressures, one expert says that the standalone dedicated parking buildings will probably never get built. Chris Mulvihill, the New Jersey-based President of Boomerang Systems, a high-tech car-stacking parking lot system, notes that any landowner would most probably opt for a different sort of project. “Take any place where it’s very hard to get a parking spot,” Mulvihill says. “You’d think building a garage and charging for parking would be a good business model, but the economics dictate that if there’s a high demand for parking in that area, it’s because it’s a hot, happening place, so there are real-estate developers who want to build on that land. The demand makes it uber-expensive. A landowner could make a lot more money doing something other than parking on it.” © Copyright © The Montreal Gazette Read more: http://www.montrealgazette.com/Parking+squeeze+Downtown+businesses+feeling/7453989/story.html#ixzz2ASqBCwJE
  16. La ville vient de s'entendre avec les cols bleus mais il reste aux cols bleus à entériner l'entente. Pour l'Instant il n'y a pas grand détail mais à croire M. Applebaum ce serait une bonne chose pour la ville. J'espère qu'il a raison parce qu'on sait bien que les syndiqués obtiennent toujours la grosse part su gâteau et que les citoyens finissent par payer avec des hausses de taxes. Maintenant il reste à négocier avec les pompiers et les policiers. J'espère que la ville va tenir sont bouts et forcer les pompiers/policiers à faire des concessions importantes. Mais j'en doute malheureusement !!! http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201210/11/01-4582343-entente-historique-avec-les-cols-bleus-de-montreal-.php
  17. 8960 St Michel, Montréal 54 unités 3 1/2, 4 1/2, 5 1/2 À partir de 140 500$ taxes incluses * Finition de qualité (choix de couleurs) * Planchers de bois * Air climatisé * Grands balcons * Stationnements disponibles * 15 000 pi. ca. d'espace commercial à louer * Subvention disponible * Ascenseur
  18. Nouveau projet de condos neufs à Montréal situé dans le quartier Sud-Ouest près du Métro Charlevoix, le marché Atwater et le Canal Lachine. À partir de 153 500 et jusqu'à 332 500$ taxes incluses. Livraison 2010 http://www.mondev.ca/Condo-Montreal-PH-1-VENDUE-A-100-pc-MERCI-PH-2-EN-VENTE-Augustin-du-Canal-Prix-pre-construction-25pc-vendu-en-4-semaines-_fr.html?ProjetID=100
  19. NOUVEAU PROJET DE 16 CONDOS DE LUXE À proximité de tous les services, métro station Villa-Maria, Village Monkland, centre-ville. Construction de béton I insonorisé I ascenseurs I garage I balcons I foyer I air climatisé I plafonds de 9' I gaz naturel I toiture verte I etc. Unités de 1 ou 2 chambres de 790 à 1338 pi2 À partir de 239,000$, taxes incluses Livraison août/septembre 2010 http://royaldecarie.com/index.html
  20. Nouveau projet à Rosemont * 16 condos de 2 ou 3 chambres * À l’intersection de la rue Laurier et de 8e Avenue * Près de la rue Masson * Stationnement disponible $15,000 taxes incl. * Occupation avril 2011 http://www.idevco.ca/fr/
  21. Bizarre qu'il n'y a pas de fil avec tout ce qui se passe présentement au Québec! Les infras coûtent 30-40% plus cher, et on se demande pourquoi on n'as pas assez de routes ou bien qu'ils soient en mauvais état! Pour lancer le débat: Mes solutions, coupons le robinet, baissons les taxes et impôts, il y en aura moins à gaspiller transformons le ministère des transports en agence de transport indépendante... le bidding de contrats d'infras doivent être ouverts à nos voisins d'Ontario/New York/Vermont/etc... ça va faire baisser les prix en titi!
  22. Le tout dernier projet de Construction Continuum Arrondissement Ville-Marie À 5 minutes à pied du métro Préfontaine Près de tous les services 2648 rue Wurtele Maisons de ville Sur 3 étages 3 chambres 2 salles de bains Finition et isolation de qualité supérieure 120 à 130 m2 Printemps 2011 À partir de 315 000 $ plus taxes http://bati.ca/
  23. En dépit d'un prix du baril à la baisse, l'essence est reparti à la hausse avec une hausse exagérée d'une douzaine de cents depuis ce matin dans la région de Montréal. Et pourquoi croyez-vous qu'on abuse tant? Parce que nous sommes à l'approche d'un long weekend férié et que les pétrolières veulent fêter avec nous, en s'offrant un cadeau dispendieux à nos propres dépends bien sûr. Cette attitude est des plus scandaleuses et bassement mercantile car elles savent que le consommateur est sans recours et qu'elles peuvent le plumer sans risque d'être embêtées par les gouvernements, qui profitent eux aussi d'une hausse de taxe à la consommation, au passage. L'appétit vorace de ces entreprises est encouragé par nos "amis" réformistes-conservateurs qui couchent avec les pétrolières et qui souhaitent en plus les récompenser avec d'autres allègements fiscaux dans leur prochain budget. Pas de doute, nous sommes revenus aux pratiques sauvages d'avant la récession, avec des spéculateurs qui exagèrent nettement les risques de pénurie (puisque le pétrole libyen est compensé par du pétrole saoudien) et rien d'autre dans le monde qui justifie une telle prédation des prix. C'est une nouvelle crise artificielle de l'énergie qui pointe à l'horizon et qui dépassera certainement les hausses de prix qu'on a vu à l'été 2008, avant l'autre crise, créée elle aussi de toute pièce et que tout le monde connait. Nous sommes entrés dans une ère de grande instabilité causée par l'avidité sans limite des grosses corporations et des hauts dirigeants qui siphonnent littéralement les forces vives de la société. C'est un appauvrissement rapide des classes moyennes qui nous guette par un transfert forcé de la richesse vers le privé, et de la dette nationale vers le public. Et qui s'élève contre ces pratiques anti-sociales? Personne, bien au contraire. Pire encore, Harper veut diminuer la fiscalité des grandes entreprises dont profitera directement l'industrie pétrolière, sous prétexte de créer des emplois. Mais ces emplois seront créés de toute façon car le pétrole est devenu l'eldorado qui garantit des profits faramineux à quiconque s'y intéresse de près ou de loin. Ainsi le petit peuple passera deux fois à la caisse: premièrement à celle de la station service qui l'attend pour l'assommer avec son propre porte-feuille, et ensuite indirectement en subventionnant les compagnies qui exploitent des gisements par des baisses de taxes scandaleuses. Cet allègement fiscal enrichira davantage ces ogres financiers qui profitent une deuxième fois de notre argent, mais là sans rien en retour. Est-ce cela que nous souhaitons pour l'avenir de ce pays? Nous pouvons difficilement nous défendre contre les pétrolières, il faudrait une volonté politique énorme pour contrôler la situation et c'est possible avec le temps. Mais nous pouvons immédiatement réagir en mettant le gouvernement Harper à la porte en l'empêchant de donner nos taxes à des bandits en cravate qui, comme eux, n'ont aucune conscience morale ni sociale. Je suis révolté par ces pratiques moyenâgeuses et cette complicité intolérable des réformistes-conservateurs qui ne représentent pas l'intérêt des payeurs de taxes, donc des électeurs, mais de la grande entreprise. Pour reprendre le slogan de Terreneuve lors de la dernière élection en 2008, je propose moi aussi leur formule toute simple, mais à tout le pays: ABC "anyone but conservatives".
  24. Le SO Ste-Marguerite/métro Place Saint-Henri Situé sur la rive nord du canal Lachine, rue Sainte-Marguerite, à 5 minutes du marché Atwater, le SO Ste-Marguerite compte six unités de condos luxueux. 4½ et des 5½ dont les superficies oscillent entre 800 et 1450 pc². L’immeuble accueille aussi des penthouses sur deux niveaux avec la mezzanine et des vues sur le centre-ville. Trois stationnements intérieurs y sont disponibles en option. Prix à partir de 233 500.00$, taxes en sus. http://www.sostemarguerite.com/
  25. Le SO Island / métro Charlevoix Localisé sur la rive sud du canal Lachine à moin d'un kilomètre du marché Atwater et des pistes cyclabes longeant le canal Lachine. À deux coins de rue du métro Charlevoix. Le SO Island offre 18 unités. 50% des unités se sont écoulées depuis les deux première semaines de lancement du projet. SO Island compte des unités 3½ et les 4½, des penthouses sur deux niveaux avec la mezzanine et la terrasse sur le toit. Prix à partir de 137 000.00$, taxes en sus. http://www.soisland.com/
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