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  1. Les Québécoises travaillent davantage 6 novembre 2008 - 06h00 La Presse Francis Vailles Les politiques familiales au Québec ont incité un grand nombre de femmes à intégrer le marché du travail ou à y demeurer. C'est ce que constatent Luc Godbout et Suzie St-Cerny, coauteurs de l'étude sur la famille et la fiscalité. Selon l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), les frais de garde d'enfants élevés «ont un impact négatif sur l'incitation à travailler, les comportements en matière de procréation et les perspectives de carrière à long terme, en particulier pour les femmes». Or, le Québec s'est doté de services de garde à contribution réduite «qui a donc levé un important obstacle à l'emploi», font valoir les auteurs de l'étude. Les garderies à 5$ par jour, puis à 7$, semblent avoir eu un effet très net. Ainsi, le taux d'emploi des femmes de 25 à 44 ans est passé de 70,3% en 1998 à 79,3% en 2007, un bond de 9 points en 10 ans. Cette hausse est deux fois supérieure à celle des Ontariennes. Le taux d'emploi des Québécoises dépasse maintenant celui des principaux pays du G7, notamment la France (75,7%), le Royaume-Uni (73,7%), les États-Unis (71,9%) et l'Italie (60,8%). Les pays nordiques comme la Norvège et la Suède dépassent encore le Québec à cet égard, avec des taux respectifs de 82,5% et 82,3%, mais l'écart se rétrécit.
  2. Les bébés ont la cote au Québec Photo Alain Roberge, La Presse Ariane Lacoursière La Presse Depuis le début de l'année, les pouponnières ont été particulièrement achalandées au Québec. Si la tendance se maintient, plus de 84 000 bébés verront le jour en 2007 et la province enregistrera son plus grand nombre de naissances en 10 ans. Selon les plus récentes données de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), 41 250 poupons sont nés entre les mois de janvier et juin. «Une moitié d'année doit encore s'écouler. Mais si le taux de fécondité se maintient, on atteindra les 84 000 naissances», avance Normand Thibault, démographe à l'ISQ. L'an dernier, moins de 82 000 bébés avaient vu le jour au Québec. En 2005, on en avait dénombré un peu plus de 76 000. Cette année, on pourrait donc noter une hausse de 9% des naissances en deux ans. Mais cette tendance haussière ne devrait pas durer, avertit Normand Thibault. Car même si les femmes seront nombreuses à accoucher en 2007, on ne peut pas parler d'un mini baby-boom. «C'est que depuis le mois de janvier, le taux de fécondité s'est stabilisé autour de 1,63 enfant par femme. En fait, ce taux est stable depuis octobre 2006. On est comme sur un plateau», analyse M. Thibault. En 2005 et en 2006, le taux de fécondité avait connu une forte augmentation au Québec, dû à différents facteurs. «L'économie allait bien depuis trois ans. Ne pas avoir à s'inquiéter pour ses finances personnelles incite toujours les couples à avoir des enfants», explique M. Thibault. Selon lui, le fait que le gouvernement provincial ait mis en place une nouvelle politique de congés parentaux et qu'Ottawa ait adopté un programme de soutien aux familles d'environ 1000$ par enfant en 2006 a aussi encouragé plusieurs couples à procréer. Toutefois, les effets de ces mesures commencent déjà à s'atténuer selon M. Thibault, qui prévoit que le nombre de naissances se stabilisera dès l'an prochain. «D'après moi, le nombre de naissances s'élèvera entre 80 000 et 85 000 en 2008. Mais il est encore tôt pour le dire», précise-t-il. Même si la soudaine hausse des naissances ne semble que temporaire, le gouvernement est-il prêt à accueillir tant d'enfants dans son réseau de garderies? «Tout à fait», assure Jean-Pascal Bernier, l'attaché de presse de la ministre de la Famille, Michelle Courchesne. «Nous avions promis d'atteindre 200 000 places en garderies et nous l'avons fait. Pour notre prochain mandat, nous avons déjà annoncé que nous voulons ajouter 20 000 places. Et juste cet été, nous en avons déjà ouverts 2000. On est sur la bonne voie», explique-t-il. Selon M. Bernier, cette nouvelle hausse des naissances est une bonne nouvelle pour le Québec. Et les retombées seront particulièrement positives dans le réseau scolaire. «On parle souvent de fermer des écoles parce qu'il n'y a pas assez d'élèves. Ce problème sera en partie réglé!» se réjouit-il.
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  4. Ajout d'un étage résidentiel et transformation de la façade Présentation http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/PAGE/ARROND_SOU_FR/MEDIA/DOCUMENTS/2360_NOTRE_DAMEO_22-06-15_PRESENTATION.PDF Avant: Après:
  5. Accueil > Affaires > Économie > Immobilier > Occupation des bureaux: le centre-ville bat de l'aile EXCLUSIF Publié le 10 décembre 2014 à 06h22 | Mis à jour à 06h22 Occupation des bureaux: le centre-ville bat de l'aile La tour Deloitte, en chantier près du Centre Bell, compte... (PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE) La tour Deloitte, en chantier près du Centre Bell, compte deux locataires prestigieux, mais il reste encore 150 000 pieds carrés de bureaux à louer. PHOTO ANDRÉ PICHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Ma Presse Ajouter à Ma Presse Occupation des bureaux: le centre-ville bat de l'aile Lolë quitte Longueuil pour le Château Viger Vision Globale: des actionnaires se plaignent d'«abus» Deux gratte-ciel de plus prévus autour du Centre Bell Un projet de condos vendu à 100%... en un après-midi MAXIME BERGERON La Presse Derrière les dizaines de grues qui constellent le centre-ville se cache une réalité moins rose pour les propriétaires d'immeubles de bureaux. Le taux d'inoccupation a bondi... et les loyers ont pris le chemin inverse. Alors que les nouveaux projets d'immeubles de bureaux se multiplient à Montréal, le marché traditionnel du centre- ville bat de l'aile. Le taux d'inoccupation a grimpé de 6,8 à 8% depuis six mois, et les loyers ont baissé de 10% dans certains cas, indique une étude obtenue par La Presse Affaires. Dans un rapport de la firme immobilière Newmark Knight Frank Devencore (NKFD) qui sera publié ce matin, on apprend que le marché s'est nettement retourné à la faveur des locataires, cette année. Qui plus est, le taux de disponibilité des bureaux - y compris ceux qui sont offerts en sous-location - dépasse aujourd'hui les 12%, un niveau jamais vu depuis plus d'une décennie. «Si on regarde le grand portrait, c'est sain pour la ville d'avoir du développement, avance Jean Laurin, président et chef de la direction de NKFD. À court terme, les propriétaires qui se retrouvent avec des taux d'inoccupation plus importants doivent porter une attention particulière pour louer ces espaces-là.» La construction de nouveaux édifices de bureaux a été à peu près nulle pendant deux décennies à Montréal, de 1992 à 2012. Fruit de cette rareté, le taux d'inoccupation des édifices de catégorie A et B a chuté à 4,9% à peine, au centre-ville, à la fin des années 2000. Les choses ont évolué rapidement depuis. De nombreux projets de transformation d'anciennes usines ont ajouté des millions de pieds carrés de bureaux dans le Mile End, le Mile-Ex et le sud-ouest de l'île. À ces reconversions s'ajoutent plusieurs immeubles flambant neufs planifiés ou en construction, comme la tour Deloitte, la tour Aimia et la Maison Manuvie. Sans surprise, toute cette activité se traduit par une hausse des taux d'inoccupation, constate Jean Laurin. «S'il n'y avait pas de construction, pas de développement, qu'est-ce qu'on dirait? On dirait qu'il n'y a pas d'expansion dans le marché, donc que ça ne va pas bien. Une phase de développement amène toujours un rééquilibrage de l'infrastructure entre la demande et l'offre, dans tout marché.» Rationalisation En parallèle, plusieurs grands locataires du centre- ville ont rationalisé leurs activités ces dernières années, pour concentrer leurs employés dans une superficie moindre. La Banque Royale a par exemple libéré 4 de ses 13 étages à la Place Ville Marie. Ce mouvement assez généralisé a contribué à faire grimper les taux de disponibilité. Comme l'offre dépasse la demande, on observe aujourd'hui des baisses de loyers allant jusqu'à 10% au centre-ville, souligne le président de NKFD en entrevue à La Presse Affaires. «Quelqu'un qui paie 100$ par année pourrait payer 90$ par année sur le même bail.» Montréal représente le deuxième marché de bureaux au Canada. On y dénombre 47 millions de pieds carrés répartis dans des immeubles de catégorie A et B, contre 63 millions à Toronto, 39 millions à Calgary et 20 millions à Vancouver. ---------------- LES COULOIRS DU CENTRE-VILLE Le centre-ville de Montréal est loin d'être un territoire homogène pour les locataires de bureaux. Les taux d'inoccupation* varient du simple au triple. Boulevard René-Lévesque Taux d'inoccupation 2012: 6,6% 2013: 11,1% 2014: 12,3% Avenue McGill College Taux d'inoccupation 2012: 9,4% 2013: 8,1% 2014: 13% Rue Sherbrooke Taux d'inoccupation 2012: 10,3% 2013: 12,1% 2014: 12% Boulevard De Maisonneuve Taux d'inoccupation 2012: 6,5% 2013: 5,3% 2014: 8,8% Quartier international Taux d'inoccupation 2012: 3,5% 2013: 4,4% 2014: 5,8% Westmount Taux d'inoccupation 2012: 12,4% 2013: 13,7% 2014: 13,2% Vieux-Montréal Taux d'inoccupation 2012: 8,4% 2013: 6,9% 2014: 6,5% Cité du multimédia Taux d'inoccupation 2012: 12% 2013: 17,6% 2014: 15% * Taux d'inoccupation compilés au deuxième trimestre de chaque année. ---------------- Des projets en série Après deux décennies de quasi-inactivité, plusieurs projets de tours de bureaux sont sur les tables à dessin ou en chantier à Montréal. Tour d'horizon. Tour Aimia Ces bureaux construits par Kevric occupent les 10 premiers étages d'une tour mixte de 35 étages érigée en face du square Victoria. Le groupe Aimia y installera son siège social, tandis que 135 000 pieds carrés demeurent disponibles. L'Avenue La tour de 50 étages du groupe Broccolini, aujourd'hui en chantier en face du Centre Bell, comptera 140 000 pieds carrés de bureaux aux étages inférieurs. Aucun locataire de taille n'a encore signé de bail. Tour Deloitte Cet immeuble LEED Platine de 26 étages érigé par Cadillac Fairview, au sud du Centre Bell, compte sur deux locataires de prestige: la firme comptable Deloitte et Rio Tinto Alcan. Quelque 150 000 pieds carrés sont encore offerts. Maison Manuvie La Caisse de dépôt s'allie à Manuvie pour construire une tour de 27 étages sur un terrain de stationnement au 900, boulevard De Maisonneuve Ouest. Après huit ans de tergiversations, ce projet devrait être lancé de façon imminente. Îlot Balmoral La SHDM compte ériger un immeuble translucide de 13 étages adjacent à la place des Festivals, à l'îlot Balmoral. L'Office national du film (ONF) a signé un bail de 20 ans pour occuper 100 000 des 350 000 pieds carrés du bâtiment qui vise la certification LEED Or. Îlot Voyageur Le gouvernement du Québec élabore toujours son projet de tour de bureaux à côté de l'UQAM, sur un site à l'abandon depuis des années. L'État prévoit y loger des fonctionnaires dans des locaux d'environ 625 000 pieds carrés. sent via Tapatalk
  6. Inégalités des revenus: Toronto en tête, Montréal 4e http://journalmetro.com/actualites/national/728640/les-inegalites-de-revenus-croissent-vite-a-toronto/ TORONTO - Les écarts entre les riches et les pauvres s'accroissent plus rapidement à Toronto que dans les autres grandes villes canadiennes, selon une nouvelle étude. Les inégalités de revenus à Toronto augmentent aussi à un rythme plus rapide que la moyenne nationale, selon cette étude commandée par l'organisme Centraide. En analysant les taux de variations des inégalités de revenus des ménages et des individus de 1980 à 2005, l'étude a révélé qu'à Toronto, l'écart entre riches et pauvres s'était creusé deux fois plus que la moyenne nationale de 14% pendant cette période de 25 ans. Si on compare les grandes villes canadiennes, Toronto arrive en tête, avec une croissance de 31% de l'écart entre riches et pauvres en 25 ans; à Calgary, ce taux de croissance a atteint 28%, à Vancouver 17 et à Montréal 15%. Si l'on ne tient compte que des revenus des individus, Toronto arrive encore en tête, avec un taux de croissance de 23% de l'écart entre riches et pauvres, alors que la moyenne nationale est de 6%. L'étude a utilisé des données de Statistique Canada et d'un sondage externe mené auprès de 2684 répondants torontois, afin de connaître leur perception des inégalités et ce qu'elles signifient pour la vie en métropole canadienne. Le rapport conclut que les écarts croissants entre riches et pauvres créent un environnement «où les différents acteurs n'ont pas les mêmes chances», et qu'il est parfois illusoire de penser qu'on va nécessairement réussir à force de travail et de détermination sent via Tapatalk
  7. à voir si les banques baissent leurs taux hypothécaires... via LaPresse.ca La Banque du Canada abaisse son taux directeur à 0,75% Publié le 21 janvier 2015 à 10h04 | Mis à jour à 10h04 RUDY LE COURS La Presse À la surprise générale, la Banque du Canada abaisse son taux directeur dans le but d'adoucir les effets négatifs de l'effondrement des cours du pétrole. Le taux cible de financement à un jour passe de 1% à 0,75%. Il n'avait pas bougé depuis septembre 2010. Le choc pétrolier ralentit déjà la croissance réelle qui passera à 1,5% en rythme annualisé au premier semestre tout en faisant plonger le taux d'inflation sous la barre de 1% durant la plus grande partie de 2015 avant de revenir près des 2% à la fin de 2016. «La mesure de politique prise par la Banque vise à offrir une assurance contre ces risques, à favoriser l'ajustement sectoriel nécessaire au renforcement des investissements et de la croissance, et à permettre à l'économie canadienne de retourner à son plein potentiel et l'inflation à la cible», expliquent les autorités monétaires. Reste à voir maintenant si les institutions financières abaisseront à leur tour leur taux préférentiel consenti à leurs meilleurs clients. Il est fixé à 3,0%, lui aussi depuis septembre 2010. Ce taux influence les prêts à taux variable. Dans son nouveau scénario économique, la Banque fait l'hypothèse que le cours moyen du baril de pétrole West Texas Intermediate sera de 60 $ américains d'ici la fin de 2016. Cela suppose qu'il se raffermira au cours des prochains mois. D'ici là, il pourrait diminuer encore à court terme. La Banque fait aussi l'hypothèse que le taux de change moyen du dollar canadien sera de 86 cents US durant la période tout en admettant que son annonce-surprise est susceptible de l'affaiblir à court terme Pour l'ensemble de 2015, le taux d'expansion réelle est ramené de 2,4% à 2,1% alors qu'il est augmenté d'un dixième à 2,4% pour l'an prochain. La diminution est surtout attribuable aux investissements des entreprises. En octobre, la Banque s'attendait à ce qu'ils soient un facteur de croissance. Désormais, c'est l'inverse bien qu'elle prévoit un redressement solide l'an prochain, parallèlement à la remontée attendue des cours pétroliers. L'autre grand changement à son scénario économique porte sur le revenu intérieur brut, une mesure fiable du pouvoir d'achat. Estimée à 1,7% en octobre, sa croissance est ramenée à 0,7% seulement. Cela signifie que les ménages et les entreprises ne sentiront pas l'enrichissement associé en général à la croissance. Autrement dit, l'équivalent de la baisse d'impôt associée à la chute des prix des carburants aura des effets de courte durée. Les conséquences négatives sur les investissements des entreprises et sur la valeur des exportations liées au pétrole prendront progressivement le dessus. Un prix plus faible du brut affaiblit la valeur des exportations alors que la baisse du dollar canadien augmente celle des biens importés. «L'affaiblissement des termes de l'échange du Canada aura un effet défavorable sur les revenus et la richesse, et influera de ce fait sur la consommation et les finances publiques.» Cela signifie que bien des ménages auront le sage réflexe de mettre de l'argent de côté, surtout dans les provinces pétrolières où les mises à pied vont se multiplier. Bref, l'argent en plus venu de la baisse du prix de l'essence ne sera pas automatiquement consommé ailleurs. C'est aussi un signal aux ministres des Finances d'aiguiser leurs crayons et de revoir leurs prévisions budgétaires, compte tenu de la chute anticipée de l'inflation qui va ralentir la croissance de l'assiette fiscale. La prochaine date de fixation du taux directeur sera le 15 avril.
  8. RCQC | Par Ici Radio Canada Publication: 08/09/2014 21:35 EDT Mis à jour: Il y a 1 heure La moitié des 1300 postes de cadres que Québec éliminera dans le réseau de la santé se trouvent à Montréal. Au total, Québec compte ainsi économiser 60 millions de dollars. Des données obtenues par Radio-Canada indiquent que le « taux d'encadrement » - qui représente le pourcentage d'heures travaillées par les cadres par rapport aux syndiqués - est plus élevé à Montréal qu'ailleurs au Québec. Neuf des 20 centres de santé et de services sociaux qui présentent le plus haut taux d'encadrement sont situés sur l'île de Montréal. C'est le CSSS de la Montagne à Montréal qui a le taux d'encadrement le plus élevé dans la province, à 7,7 %. Le seul CSSS montréalais qui n'est pas en haut de cette liste est celui de l'Ouest-de-l'Île (3,8 %). Tout en bas de la liste on retrouve le CSSS de Laval, avec un taux d'encadrement de 3,7 %. En entrevue à la fin août, le ministre de la Santé expliquait à Radio-Canada que « certains hôpitaux ont des missions plus complexes, qui nécessitent un encadrement différent ». Mais Gaétan Barrette estime que ces chiffres restent significatifs. « Pour une installation qui a la même mission, la même population, oui, il y a des taux d'encadrement qui sont beaucoup trop différents ». Le ministre Barette refusait de cibler une région et affirmait que « l'heure n'est pas à pointer des gens ». Québec cible clairement les conseillers-cadres ou « cadres fonctionnels », qui n'ont pas nécessairement d'employés sous leurs ordres. Ces cadres fonctionnels ont parfois un contact direct avec les patients, comme pour les infirmières en prévention des infections. Pour d'autres, ce statut aurait été octroyé pour d'autres raisons, entre autres salariales. Depuis la semaine dernière, l'appréhension augmente puisque plusieurs gestionnaires ont déjà appris que leur poste pourrait être éliminé. Réjean Hébert parle d'un « problème montréalais » De son côté, l'ex-ministre de la Santé, Réjean Hébert, dit tout haut ce que plusieurs répètent à micro fermé. « Il y a un problème à Montréal, un problème entre autres pour la coordination des services ». « Laval a fait un travail de réduction du nombre de cadres qui n'a pas été fait dans plusieurs établissements sur l'île de Montréal », affirme-t-il. Il remarque que la plupart des CSSS montréalais ne sont pas affiliés à un hôpital. L'ex-ministre de la Santé estime que « ces établissements-là ont moins bien performé dans la réduction du nombre de cadres et dans l'optimisation des services depuis 10 ans ». Le ministre de la Santé, Gaétan Barrette, estime aussi que le fait que certains hôpitaux ne soient pas affiliés à des CSSS est dans certains cas une anomalie. Le réseau montréalais alourdi par les clivages linguistiques et religieux? Le réseau montréalais n'aurait pas complété le virage de 2003 qui avait entraîné la création des CSSS. « Pour l'île de Montréal, ça a été une oeuvre inachevée », dit Réjean Hébert. « On a conservé les statuts particuliers pour les hôpitaux et on ne les a pas intégrés dans les CSSS. » Est-ce que le caractère multiethnique de la métropole complique les choses? Oui répond Réjean Hébert. « Il y a des établissements qui sont linguistiques, il y a des établissements qui sont religieux. L'Hôpital général juif est un bon exemple ». Cette situation compliquerait l'organisation des services parce que ces établissements ont une clientèle qui déborde leur territoire immédiat. Selon M. Hébert, cet état de fait ne rend pas la tâche impossible, mais réformer le réseau à Montréal demeure une opération complexe. Une bureaucratie qui alourdit la tâche des employés L'Alliance du personnel professionnel et technique de la santé (APTS) estime que l'augmentation du nombre de cadres découle en partie des exigences du ministère et que cela alourdit la tâche des employés. « Nos travailleurs sociaux croulent sous les documents à compléter », dit la présidente Carole Dubé, en évoquant notamment les évaluations de performance. « Pendant ce temps-là, c'est certain qu'ils ne vont pas dans les services à domiciles. » Cette reddition de compte demandée aux établissements et aux travailleurs serait problématique, selon l'APTS. « C'est ce qui, selon nous, fait que le nombre de cadres a augmenté de façon aussi importante », affirme Mme Dubé. Son organisation n'est pas convaincue que des fusions viendront à bout du problème. Elle donne en exemple la vague de fusions de 2003, qui a provoqué une augmentation du nombre de cadres sans pour autant améliorer la qualité des services. D'après les informations de Davide Gentile http://quebec.huffingtonpost.ca/2014/09/08/reseau-de-sante-680-postes-de-cadres-elimines-a-montreal_n_5788072.html
  9. Après la performance mauvaise de février du marché de l'emploi au Québec, de bonne nouvelles pour mars: - 15 100 personnes de plus qui ont un emploi (gain de 24 000 emplois à temps plein et perte de 8 900 emplois à temps partiel) - Baisse du taux de chômage à 7,6% http://www.statcan.gc.ca/daily-quotidien/140404/dq140404a-fra.htm Voir Tableau 3 pour plus d'infos.
  10. 10 jan. 2014 - par Pierre Fortin Non, pas vraiment. Le taux de croissance pour le Québec est historiquement plutôt faible, mais le mal est canadien, pas seulement québécois. On rapporte généralement la performance économique d’une région dans une année en se basant sur le taux de croissance de son produit intérieur brut (PIB) par rapport à l’année précédente. Le PIB mesure la valeur des biens et des services que la région a produits dans l’année. (C’est identique à la valeur des revenus qu’elle a ainsi engendrés.) Pour estimer de combien le volume réel des biens et des services produits a augmenté depuis un an, il faut évidemment retrancher de la hausse du PIB la partie qui résulte purement de prix plus élevés (l’inflation). À l’heure actuelle (janvier 2014), on estime que, inflation ainsi déduite, la croissance du PIB a été de 1,2 % au Québec, de 1,4 % en Ontario et de 1,7 % dans l’ensemble du Canada en 2013 par rapport à 2012. Ces chiffres paraissent, en surface, donner une réponse affirmative à la question posée en titre. La croissance économique semble avoir été plus faible au Québec qu’ailleurs en 2013. Mais attendez. Le PIB résulte tout autant du nombre d’habitants dans la région que de ce que chacun d’eux produit et achète. Si la population double et qu’elle produit deux fois plus de biens, le PIB va doubler, mais il n’y en aura évidemment pas plus pour chacun. Le pouvoir d’achat (ou niveau de vie) moyen par habitant sera inchangé. Autrement dit, la mesure adéquate du bien-être véritable des gens n’est pas le PIB total, mais le PIB par habitant. Par exemple, selon le Fonds monétaire international, la Norvège a enregistré en 2012 un PIB total de 275 milliards de dollars; les États-Unis, eux, un PIB total de 16 250 milliards. Est-ce que cela veut dire que les Américains étaient plus riches que les Norvégiens? Pas du tout. Il y avait seulement 5 millions d’habitants en Norvège en 2012, contre 315 millions aux USA. Le PIB par habitant était donc de 55 000 dollars en Norvège et de 51 600 dollars aux États-Unis. Le revenu moyen des Norvégiens était supérieur de 6 % à celui des Américains. La conclusion qui s’impose, c’est que la performance économique d’une région doit s’évaluer en suivant l’évolution de son PIB par habitant, et non pas l’évolution de son PIB total. La croissance du PIB par habitant (inflation déduite, bien sûr) est celle qui compte vraiment lorsqu’on veut apprécier la progression du bien-être matériel des habitants de la région. On calcule le PIB par habitant en divisant le PIB par la population. Mais par quel concept de population ? Ici, il y a deux options. Selon la première option, on divise le PIB par la population totale du territoire — tous les habitants, enfants, adultes et aînés. Le PIB par habitant qui en résulte mesure le revenu (ou pouvoir d’achat) auquel un habitant de la région a accès en moyenne, quel que soit son âge. Selon la seconde option, on divise le PIB par la population d’âge actif seulement, habituellement celle de 15 à 64 ans. Cette grande catégorie d’âge est le principal bassin de recrutement des travailleurs potentiels. Dans ce cas, le PIB par habitant de 15 à 64 ans qui est obtenu mesure la capacité de la population d’âge actif de la région à créer la richesse pour l’ensemble de tous les citoyens. Si on veut juger de la performance économique véritable d’une société, c’est cette seconde option qu’il faut choisir. Pour le voir, on n’a qu’à considérer l’exemple de deux régions qui affichent la même population totale de 10 millions d’habitants et le même PIB total de 600 milliards de dollars. Le PIB par habitant est de 60 000 dollars, le même dans les deux cas. Mais supposons que la population de 15 à 64 ans est de 8 millions de personnes dans la première région et de seulement 7,5 millions de personnes dans la seconde. Il est évident que la performance économique de la région qui produit la même richesse avec moins d’habitants d’âge actif, soit celle qui compte 7,5 millions de 15-64, est la meilleure des deux. Car ses habitants d’âge actif produisent une richesse de 80 000 dollars chacun en moyenne, alors que, dans la région qui compte 8 millions de 15-64, les habitants d’âge actif ne créent 75 000 dollars de richesse chacun. Si on veut simplement comparer le bien-être matériel auquel l’ensemble des habitants d’une région a accès en moyenne, sans plus, il est parfaitement légitime de le faire en divisant son PIB par sa population totale. Mais si c’est sa vraie performance économique, c’est-à-dire l’habileté de sa population d’âge actif à produire la richesse, qu’on veut mesurer, il faut plutôt diviser le PIB par la population qui est la grande responsable de sa création, soit celle de 15 à 64 ans. C’est sur cette base que le tableau ci-dessous compare la performance économique du Québec à celle de l’Ontario et de l’ensemble du Canada en 2013. Pour obtenir le taux de croissance du PIB par habitant d’âge actif de chaque région, il faut soustraire le taux de croissance de sa population de 15 à 64 ans du taux de croissance de son PIB total. Dans le cas du Québec, par exemple, comme on estime que le PIB total a augmenté de 1,2 % et la population de 15 à 64 ans de 0,2 %, on trouve que le PIB par habitant de 15 à 64 ans a augmenté de 1,0 % (1,2 moins 0,2). On voit bien, dans la colonne de droite du tableau, que le taux de croissance estimé du PIB par habitant de 15 à 64 en 2013 a été à peu près le même au Québec, en Ontario et dans l’ensemble du Canada. La performance économique du Québec (1,0 %) n’est pas moins bonne que celle des autres régions du pays, contrairement à ce que laisse croire la comparaison basée sur le taux de croissance du PIB total dans la colonne de gauche. C’est malheureusement cette dernière statistique, la croissance du PIB total, qui reçoit la publicité presque exclusive dans la presse financière. La réponse à la question posée en titre est donc négative. Bien évidemment, le taux de croissance par habitant autour de 1,0 % qui est estimé ici pour le Québec est historiquement plutôt faible. Mais on voit bien que le mal est canadien, pas seulement québécois. Une dernière question se pose tout de même au sujet de ce résultat. Dans la colonne du centre du tableau, on peut voir que la croissance de la population de 15 à 64 ans est plus faible au Québec que dans les autres parties du Canada. (En fait, la population de cette catégorie d’âge va bientôt commencer à diminuer en niveau absolu au Québec.) Est-ce que cela ne veut pas dire qu’il est, par conséquent, plus facile pour une région comme le Québec d’enregistrer une croissance par habitant d’âge actif plus rapide que les autres parce que sa population de 15 à 64 ans, qui apparaît au dénominateur du PIB par habitant, augmente moins vite qu’ailleurs ? Si cela s’avérait, le fait même que le PIB par habitant du Québec n’a pas augmenté plus vite que la moyenne canadienne en 2013 constituerait en lui-même une preuve de sous-performance de l’économie québécoise. Il n’en va pas ainsi. Au strict plan de la logique, moins de gens dans la population veut dire, bien sûr, moins d’habitants au dénominateur du PIB par habitant. Mais moins de gens veut aussi dire moins de biens produits et achetés au numérateur. Le nombre d’habitants au dénominateur est plus faible, mais le PIB lui-même au numérateur est plus faible lui aussi. Ces deux effets s’annulent. Au plan des faits, l’exemple des 24 pays membres les plus avancés de l’OCDE dans le dernier quart de siècle en fournit une preuve sans équivoque : de 1987 à 2012, il n’y a aucune corrélation significative entre la croissance de leur PIB par habitant d’âge actif et la croissance de leur population. Lien: http://www.lactualite.com/blogues/le-blogue-economie/en-2013-la-croissance-economique-a-t-elle-ete-plus-faible-au-quebec-quailleurs-au-canada/
  11. Les Canadiens sont toujours en voie d'atteindre une année record en ce qui a trait au niveau d'endettement personnel, même s'ils ont terminé 2013 en réduisant légèrement la somme d'argent qu'ils doivent à leurs créanciers, a indiqué mercredi l'agence de surveillance du crédit TransUnion. À la fin de l'année, les Canadiens cumulaient en moyenne des dettes de 27 368 $ sur diverses lignes de crédit, cartes de crédit et prêts automobiles, a indiqué TransUnion dans une étude dévoilée mercredi. Ce montant est en baisse de 117 $, soit 0,42%, par rapport à celui de 27 485 $ du quatrième trimestre de 2012 - le plus haut niveau d'endettement jamais affiché, en excluant les dettes hypothécaires. «Nous nous sommes fait dire encore et encore et encore, de la part de tant de personnes, que nous devions réduire cette dette, mais nous n'y arrivons pas», a observé le vice-président des services d'analyse et de décision de TransUnion, Thomas Higgins. TransUnion prévoit toujours que la dette moyenne des consommateurs canadiens, en excluant les prêts hypothécaires, atteindra le sommet record de 28 853 $ d'ici la fin de 2014. «Il n'y a rien qui nous laisse croire que les niveaux d'endettements vont commencer à reculer de façon assez importante», a poursuivi M. Higgins depuis Toronto. «En ce moment, nous nous dirigeons toujours (vers une plus haute dette), certainement.» Les Canadiens ont commencé à accumuler des dettes dans les années précédant la récession de 2008, a expliqué M. Higgins. Selon lui, il faudrait que la dette personnelle des Canadiens diminue de façon soutenue d'entre 500 $ et 1000 $ sur quatre à six trimestres avant de pouvoir dire qu'une tendance à la baisse se dessine. Au cours du dernier trimestre de 2013, la dette sur les cartes de crédit et les lignes de crédit des consommateurs a légèrement reculé, a noté M. Higgins. Mais si les consommateurs ont moins dépensé pendant leurs courses des Fêtes, ce n'est que parce qu'ils ont profité de «meilleurs rabais», et non parce qu'ils ont volontairement réduit leurs dépenses, a-t-il estimé. L'étude a en outre montré que les taux de délinquance sur les prêts du trimestre terminé le 31 décembre avaient reculé, ce qui signifie que les consommateurs sont en mesure de faire les paiements minimaux sur leurs dettes. M. Higgins a cependant prévenu que si quelque pépin devait survenir et avoir un impact sur l'économie, les marchés ou les taux d'intérêt, les taux de délinquance seraient normalement les premiers à être touchés. Entre-temps, l'étude a permis de montrer que les résidents de Vancouver sont les Canadiens qui ont le plus augmenté leur endettement - il a atteint 41 077 $ à la fin de l'année, en hausse de sept pour cent par rapport à 38 357 $ en 2012. Les Montréalais, à l'inverse, ont réussi à réduire leur dette de 5,5% et celle-ci est passée de 19 651 $ à une moyenne de 18 563 $, la plus faible parmi les résidents des grandes villes canadiennes. Selon M. Higgins, les Vancouvérois jouissent généralement de salaires plus élevés qui leur permettent de contracter de plus grosses dettes, tandis que les consommateurs de Montréal économisent habituellement avant d'effectuer de gros achats, ou bien règlent leurs factures avec des cartes de débit. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201402/26/01-4742513-endettement-eleve-au-canada-mais-pas-autant-a-montreal.php
  12. 2013: Une bonne année pour le tourisme Les touristes ont été nombreux à déambuler dans la métropole en 2013. La preuve: le taux d'occupation dans les hôtels de Montréal ainsi que le trafic aux frontières terrestres et à l'aéroport Montréal Trudeau ont connu une hausse par rapport à 2012. La bonne performance du tourisme d'affaires avec la tenue de 17 congrès expliquerait en partie ces augmentations. Le nombre de touristes s'est établi à 8 430 000 en 2013 contre 8 320 000 en 2012. Les hôteliers ont donc eu de quoi se réjouir. Le taux d'occupation moyen a été de 67,92%, soit 2,05% de plus que l'a dernier, révèlent les données compilées par l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM). Le tarif moyen des chambres a lui aussi augmenté, passant de 137,06$ en 2012 à 141,48$ en 2013. Le nombre de voyageurs atterrissant en terre montréalaise a pour sa part connu une hausse de 1,9%. Il y a également eu plus de trafic aux frontières terrestres du Québec avec une augmentation de 1,1% de touristes internationaux. «Après une période plus difficile en 2012, nous constatons avec optimisme que le tourisme a repris de la vigueur, a souligné Yves Lalumière, président-directeur général de Tourisme Montréal, par voie de communiqué. La métropole se démarque dans plusieurs marchés tels le tourisme d'affaires, le tourisme culturel et la gastronomie. Les perspectives de croissance sont en hausse du côté des croisières internationales et des événements sportifs et c'est sur ces secteurs que nous miserons pour générer encore davantage d'occasions d'affaires pour Montréal.» http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201402/07/01-4736649-2013-une-bonne-annee-pour-le-tourisme.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  13. La Presse: La revanche du centre-ville Depuis plus de 10 ans, on dénigre Montréal sur bien des tribunes. Au cours des dernières années, ses détracteurs ont eu beau jeu de dépeindre la métropole québécoise comme une ville en crise, avec ses scandales à l'hôtel de ville, ses nids-de-poule, son pont Champlain qui se dégrade et son métro régulièrement en panne, pour ne donner que ces exemples. Pourtant, quand on enlève nos lunettes noires pour regarder la situation dans son ensemble, on s'aperçoit que la métropole est loin d'avoir dit son dernier mot. Cette année, le centre-ville verra apparaître plus de grues qu'il n'en a vues depuis bien longtemps. Pour 2014 seulement, on parle de huit édifices à vocation résidentielle ou mixte de plus de 30 étages en cours de transformations majeures, en construction ou sur le point de l'être. Avec Le V (40 étages, 250 unités), l'Altoria/Aimia (34 étages, 152 unités), le Roccabella (41 étages, 540 unités), l'Icône (39 étages, 357 unités), le Waldorf Astoria (34 étages, 100 unités), l'Avenue (50 étages, 315 unités), la Tour des Canadiens (48 étages, 700 unités), la Tour Union/Tom condos (35 étages, 377 unités), ce sera de près de 3000 nouveaux logements qui verront s'installer des travailleurs intéressés par la vie au centre-ville et possédant un pouvoir d'achat important. Un milieu de vie «Il y a un très grand intérêt pour le centre-ville et la demande est forte parce que la vie au centre-ville de Montréal est vibrante, intéressante, sûre et agréable, dit Paul Lewis, professeur d'urbanisme à l'Université de Montréal. Les gens constatent de plus en plus que ce style de vie présente beaucoup d'avantages.» En offrant un milieu de vie attrayant sur le plan résidentiel, on stimule non seulement l'apparition de nouveaux commerces destinés à répondre aux besoins des nouveaux habitants, mais on attire aussi les emplois. «L'élément le plus important pour les entreprises dans le choix d'une ville, c'est de pouvoir compter sur un bassin de main-d'oeuvre qualifiée. La floraison de nouvelles entreprises technologiques qui choisissent les quartiers centraux est liée au développement résidentiel. Les travailleurs de ces entreprises sont souvent des jeunes professionnels qui aiment habiter près de leur lieu de travail», dit Mario Polèse, professeur et chercheur au Centre urbanisation, culture et société de l'Institut national de recherche scientifique. Selon lui, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure au sujet des problèmes actuels d'infrastructures. «Tout le monde est d'accord sur le fait qu'ils sont extrêmement gênants et qu'il est important de les régler, mais c'est une phase qui va passer et que d'autres villes traversent aussi, dit-il. Ce n'est pas cela qui va déterminer, à long terme, la santé économique de la région de Montréal. Je n'ai pas encore entendu une entreprise ou un homme d'affaires dire qu'ils ne viendront pas s'installer à Montréal à cause de ses problèmes d'infrastructures.» Par contre, ces enjeux médiatisés en font oublier d'autres, moins spectaculaires, et sur lesquels il faudrait se pencher davantage, explique le chercheur. «Ce qui est tout aussi important pour qu'une grande métropole puisse rayonner sur le plan économique, ce sont les éléments qui favorisent sa connectivité à l'échelle internationale et régionale. C'est important pour les gens d'affaires d'avoir des interactions faciles avec le reste du monde, comme des vols directs vers d'autres grandes villes. La situation de Montréal à cet égard est loin d'être idéale, pour diverses raisons, que l'on parle du train ou de l'avion. La liaison avec New York, par exemple, est lamentable.» Un nouveau maire L'arrivée de Denis Coderre à la mairie suscite d'énormes attentes. Le nouveau maire a annoncé six priorités pour la Communauté métropolitaine de Montréal: un pont Champlain sans péage, planifier les transports en commun, mettre en place une stratégie économique, mettre en oeuvre le Plan métropolitain d'aménagement et de développement, favoriser le logement social et assurer un leadership fort. Avec autant de défis à relever, les prochaines années s'annoncent cruciales pour le développement et l'avenir de Montréal. «L'un des plus grands défis sera d'attirer et de retenir les familles de classe moyenne, et de stopper leur exil vers la banlieue, dit Paul Lewis. Mais ce ne sera pas une bataille facile.» MONTRÉAL EN CHIFFRES > Population : 1,98 million (2012) > Nombre d'emplois : 977 900 (décembre 2013) > Nombre d'établissements manufacturiers : 9055 (2010) > Taux d'activité : 65 % (décembre 2013) > Taux d'emploi : 59,1 % (décembre 2013) > Taux de chômage : 9,1 % (décembre 2013) > PIB aux prix de base par habitant : 58 126 $ (2012) > Revenu disponible des ménages par habitant : 26 469 $ (2012) Source : Institut de la statistique du Québec PRINCIPAUX SECTEURS D'ACTIVITÉ À MONTRÉAL EN 2012 1. Commerce de gros et de détail: 141 300 emplois (15,0% du total) 2. Soins de santé: 113 040 emplois (12,2%) 3. Services professionnels, scientifiques et techniques: 106 446 emplois (11,3%) 4. Fabrication: 101 736 emplois (10,8%) 5. Information, culture et loisir: 68 766 emplois (7,3%) 6. Hébergement et restauration: 62 172 emplois (6,6%) Source: Desjardins, Études économiques
  14. http://journalmetro.com/plus/carrieres/433651/lemploi-affiche-un-nouveau-record-a-montreal-pour-un-troisieme-mois-consecutif/ <header id="page-header" style="color: rgb(135, 135, 135); font-family: Arial, Helvetica, sans-serif; line-height: 16px; position: relative !important;">L’emploi affiche un nouveau record à Montréal pour un 3e mois consécutif Par Laurence Houde-RoyMétro </header><article class="primary-article" style="margin-bottom: 25px; color: rgb(86, 86, 86); font-size: 15px; line-height: 1.8em; font-family: adelle, Adelle, Georgia, serif;"><figure style="display: inline-block; margin: 0px; max-width: 100%; box-sizing: border-box; padding: 6px; position: relative; border: 1px solid rgb(227, 227, 227) !important;"><figcaption style="background-color: rgba(0, 0, 0, 0.8); bottom: 0px; box-sizing: border-box; color: rgb(255, 255, 255); font-family: Arial, sans-serif; font-size: 12px; left: 0px; line-height: 1.4; border-style: solid; border-color: rgb(255, 255, 255); border-width: 0px 6px 6px; padding: 10px; position: absolute; width: 630px;">MétroDans la vente et les services aux personnes, environ 50 % des travailleurs sont surqualifiés.</figcaption></figure> Le nombre d’emplois à Montréal a atteint un nouveau record pour le troisième mois consécutif en décembre 2013, selon l’Enquête sur la population active de Statistique Canada. Quelque 977 300 Montréalais travaillaient, soit 1000 de plus qu’en novembre 2013 et 8400 de plus qu’en octobre 2013. «Cette performance est cependant légèrement atténuée par une perte de 4300 postes à temps plein en un mois, alors que 5900 emplois à temps partiel ont été créés», mentionne le bulletin Enquête sur la population active du mois de décembre 2013 de Montréal en statistiques. <aside class="stat-highlight" style="border-style: solid; border-color: rgb(218, 218, 218); border-width: 1px 0px; font-size: 13px; line-height: normal; font-family: Arial, sans-serif; padding: 10px 0px;"> 18 500 On compte 18 500 emplois de plus sur l'Île-de-Montréal en décembre 2013 que douze mois plus tôt. </aside>Le taux de chômage à Montréal a également fait un bond d’un dixième de point en décembre, pour grimper à 9,1%. «L’arrivée de personnes additionnelles au sein de la population active a fait sentir sont impact sur le taux de chômage», explique Montréal en statistique. La population active est effectivement composée de 2600 individus de plus qu’en novembre 2013, avec maintenant 1 075 200 Montréalais en emploi ou à la recherche d’emploi, «soit un record de tous les temps». Le taux de chômage à Montréal en décembre affiche tout de même une baisse de 0,9 point si on le compare aux données de décembre 2012, où il était de 10%.</article>
  15. Bon article sur cyberpresse faisant la situation du taux d’occupation des principales artères commerciales. La multiplication des pancartes «À louer» http://affaires.lapresse.ca/economie/commerce-de-detail/201312/18/01-4722014-la-multiplication-des-pancartes-a-louer.php Sur Sainte Catherine , le taux d'inoccupation n'a jamais été aussi élevé en 15 ans. Et qu'il augmentera encore. Les loyers ont pourtant baissé de «10 à 20% depuis un an».
  16. Emploi: des signes positifs au Québec Stéphane Rolland . les affaires.com . 08-11-2013 (modifié le 08-11-2013 à 09:28) Le marché de l’emploi québécois donne des signes d’embellie en octobre tandis que la province a créé près de 40 000 emplois à temps plein et que la population active augmente, selon les données de Statistique Canada. En un mois, il s’est créé 34 100 emplois, toujours dans la province. De ce chiffre, on enregistre la création de 39 600 emplois à temps plein et la perte de 5 600 emplois à temps partiel. L’emploi augmente ainsi de 0,8% en un mois et de 0,6% en un an. Le temps plein augmente de 1,2% en un mois et de 1,5% en un an. Le temps partiel recule de 0,7% en un mois et de 3,3% en un an. Le taux de chômage passe ainsi de 7,6% à 7,5%. La diminution est cependant réduite par une augmentation de la population active de 32 400 personnes, un gain de 0,7% en un mois. Le taux d’activité passe ainsi de 64,8% à 65,3%. Généralement, les économistes attribue une augmentation du taux d’activité au fait que les travailleurs en plus de confiance en leur capacité de trouver du travail. À l’inverse, une baisse peut vouloir dire que plus de personnes quittent le marché de l’emploi découragé de pouvoir s’y insérer. Voilà pourquoi, en période de ralentissement économique ou de récession, des baisses du taux de chômage sont accueillies négativement lorsqu’elles s’expliquent par une baisse des effectifs sur le marché du travail. La publication des données survient alors que Québec doit composer avec des revenus moins élevés que prévu en raison d’une croissance économique plus faible qu’anticipée. Les partis d’opposition accusent le gouvernement minoritaire du Parti québécois de mener une piètre politique économique. En septembre, Pauline Marois a d’ailleurs dévoilé un plan pour créer 43 000 emplois supplémentaires d’ici 2017. Dans le reste du pays, le taux de chômage est resté stable à 6,9% tandis qu’on a créé 12 300 emplois. Les économistes espéraient la création de 11 000 emplois. La création d’emplois dans le secteur public aura permis de compenser les pertes dans le secteur privé. Lien: http://www.lesaffaires.com/bourse/nouvelles-economiques/emploi-des-signes-positifs-au-quebec/563509
  17. Dégradation accrue de l'abordabilité au Canada Publié le 29 octobre 2013 à 10h39 | Mis à jour à 10h39 Maxime Bergeron La Presse (Montréal) Le marché immobilier canadien est moins abordable qu'il ne l'a été en moyenne depuis 25 ans, indiquent de nouvelles statistiques publiées mardi matin. Selon le Mouvement Desjardins, «l'indice d'abordabilité» a reculé presque partout au pays pendant le troisième trimestre, conséquence directe du rebond récent des ventes de maisons. «Les prix des propriétés, qui ont progressé plus rapidement que les revenus des ménages au troisième trimestre, ainsi que la légère remontée des taux hypothécaires expliquent cette détérioration», souligne Hélène Bégin, l'économiste principale du groupe. Desjardins calcule son indice d'abordabilité en faisant le ratio entre le revenu disponible moyen des ménages et le revenu nécessaire pour obtenir une hypothèque sur une résidence au prix moyen. De toutes les villes canadiennes, c'est maintenant à Sherbrooke où le marché immobilier est le moins abordable, indique le rapport. Les maisons y sont certes moins chères qu'à Vancouver ou Toronto, mais les salaires y sont aussi nettement inférieurs. Vancouver est la deuxième ville la moins abordable du pays, suivie de Québec et Trois-Rivières. Remontée récente Les ventes résidentielles sont reparties à la hausse dans plusieurs villes de pays au printemps, après le coup de frein enregistré à l'été 2012. «La remontée des taux hypothécaires au cours de l'été a provoqué un effet d'empressement auprès des acheteurs, souligne Hélène Bégin. Plusieurs d'entre eux sont passés à l'action craignant que les taux hypothécaires montent davantage.» La remontée des prix enregistrée depuis le début de 2013, combinée à la hausse des taux, a contribué à réduire encore davantage l'abordabilité pour une majorité de Canadiens. La valeur moyenne d'une propriété s'établissait à 386 000$ au pays en septembre, une hausse de 8,8% sur un an. La reprise est si fulgurante que le ministre des Finances, Jim Flaherty, compte rencontrer sous peu les principaux promoteurs du pays pour mieux comprendre les causes de ce nouveau boom. Il dit cependant ne «pas vouloir interférer» dans le marché, comme il l'a déjà en resserrant à quatre reprises les règles d'emprunt depuis 2008. Au Québec, la progression des prix a été beaucoup plus modérée et des reculs commencent même à être enregistrés dans certains secteurs. Le «surplus de copropriétés» est à blâmer pour ces baisses, souligne Hélène Bégin. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201310/29/01-4704879-degradation-accrue-de-labordabilite-au-canada.php
  18. Un bel été pour les hôtels montréalais Publié le 19 septembre 2013 à 15h14 La saison estivale a visiblement été fructueuse pour les hôtels de la métropole. Selon l'Association des hôtels du grand Montréal (AHGM), ceux-ci ont enregistré un taux d'occupation de 79,3% pour les mois de juin, juillet août, un niveau comparable à celui de 2011, qui s'élevait à 79,8%. Le prix moyen des chambres a également connu une hausse, passant de 146, 77$ pour l'été 2011, à 151,05$ pour la saison estivale 2013. «Notons que la comparaison avec les données 2012 est difficile en raison du contexte particulier en lien avec la crise étudiante», peut-on lire dans le communiqué de l'AHGM publié jeudi. Rappelons que, avant le début des vacances, Tourisme Montréal avait tenu à rappeler que la bonne santé de l'industrie touristique de la métropole dépendait notamment de l'augmentation du prix moyen des chambres. «Quand on parle aux grands investisseurs hôteliers, ils nous disent que le Canada est l'endroit où leur taux de rentabilité est le plus faible», avait affirmé lors d'un point de presse, l'ancien président-directeur général de Tourisme Montréal, Charles Lapointe. Il estimait également que la ville avait une petite «faiblesse» du côté de l'hébergement de luxe. Seuls le Ritz et le Saint-James occupent ce créneau, affirmait-il. http://www.lapresse.ca/voyage/nouvelles/201309/19/01-4691123-un-bel-ete-pour-les-hotels-montrealais.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B2_voyage_264_accueil_POS1
  19. Québec Le taux de chômage recule Agence QMI 08/02/2013 10h43 OTTAWA - Le taux de chômage a diminué au Québec en janvier, alors qu'il s'est créé plus de 5000 emplois, a indiqué vendredi Statistique Canada. Les chiffres sur l'emploi de la province détonnent avec la perte de plus de 20 000 emplois au Canada. L'agence fédérale a souligné que si l'économie de la province a détruit 7900 emplois à temps partiel, elle en a créé 13 300 à temps plein, pour une création nette de 5500 emplois. Cette embellie dans le monde du travail a contribué à ramener le taux de chômage à 7,1 %, en baisse de deux dixièmes de point de pourcentage. Au Canada, le portrait est beaucoup moins reluisant, alors qu'il s'est perdu 21 900 emplois en janvier, essentiellement des postes à temps plein (20 600). Les économistes sondés par l'agence Bloomberg attendaient une création de 5000 emplois. Le taux de chômage a reculé d'un dixième de point de pourcentage, à 7 %. En décembre, à la fois le Québec et le Canada avaient enregistré une création d'emplois, soit respectivement de 5200 et 31 200 emplois, en chiffres révisés. Au pays, l'hémorragie d'emplois s'est surtout produite en Ontario, avec une perte de 31 200 emplois. L'emploi à temps plein a reculé de 43 000. Comme il y avait moins de personnes à la recherche de travail, le taux de chômage a diminué de deux dixièmes de point dans la province voisine pour passer à 7,7 %. Au pays, le secteur public s'est délesté de quelque 27 000 employés le mois dernier, alors que l'emploi dans le secteur privé a diminué de 18 800. Le nombre de travailleurs autonomes s'est accru de 23 900. Par rapport à 12 mois plus tôt, le nombre d'employés du secteur privé a augmenté de 1,9 % ou de 210 000, alors que le nombre d'employés du secteur public et celui des travailleurs autonomes ont connu peu de variation, fait savoir l'agence fédérale. Le nombre de personnes travaillant dans l'enseignement et le secteur de la fabrication a chuté, alors qu'il s'est accru dans la construction et les administrations publiques. Les mauvaises statistiques sur les mises en chantier et l'emploi faisaient réagir négativement le dollar canadien, qui perdait 49 centièmes de cent par rapport au dollar américain, à 99,73 cents, à 9 h 12.
  20. http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201302/27/01-4626199-les-quebecois-ne-sont-pas-les-plus-imposes-en-amerique-du-nord.php KATHLEEN LÉVESQUE La Presse L'Institut de recherche et d'informations socioéconomiques (IRIS) déboulonne l'une des idées les plus répandues concernant la lourdeur du fardeau fiscal au moment où les contribuables québécois remplissent leur déclaration de revenus. Selon une analyse de l'IRIS obtenue par La Presse, les Québécois ne sont pas les plus imposés en Amérique du Nord. Agrandir INFOGRAPHIE LA PRESSE Affirmer le contraire a davantage «l'apparence d'un slogan [...] que d'un fait», peut-on lire dans la note socioéconomique signée par Francis Fortier et Simon Tremblay-Pepin. Les chercheurs soutiennent qu'au moins 50% des contribuables du Québec sont imposés dans la même proportion ou dans une proportion moindre qu'aux États-Unis ou dans les autres provinces du Canada. Pour parvenir à ces résultats, l'IRIS a procédé à une comparaison de l'imposition de ménages québécois et de foyers dans 12 autres États dans le monde (le G7, les pays scandinaves et l'Australie). Le Québec se retrouve ainsi parmi les six régimes fiscaux avec le taux d'imposition le plus bas. La méthodologie utilisée est celle de l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), précise-t-on. Différents cas types ont été étudiés, dont celui des célibataires et d'un couple avec deux enfants. Dans ce dernier exemple, le ménage, dont le revenu annuel correspond au salaire moyen pour 2011, soit 43 710$, ne paie pas d'impôt au Québec alors qu'aux États-Unis, il subirait un taux d'imposition de 9% et de 10% ailleurs au Canada. Dans leurs calculs, les chercheurs ont pris en compte l'impôt provincial et fédéral ainsi que certains crédits d'impôt et cotisations obligatoires au Québec (RRQ et RQAP, par exemple). La deuxième partie de l'analyse de l'IRIS s'intéresse à l'évolution de la fiscalité des Québécois de 1980 à 2010. L'Institut, qui se qualifie d'«indépendant et progressiste», affirme que le régime fiscal ne réussit pas à freiner les inégalités. En effet, les 20% les plus riches de la population ont vu leurs revenus après impôt augmenter de 16% en 30 ans; 50% de la richesse totale est concentrée entre leurs mains. S'ils paient plus d'impôt, ils ont toutefois vu leur taux d'imposition demeurer stable ou même diminuer. Pour la même période, les autres contribuables ont vu leurs revenus stagner. Les chercheurs estiment que cette situation donne une marge de manoeuvre au gouvernement pour augmenter ses revenus en ciblant les nantis. Depuis 1998, Québec et Ottawa ont réduit les taux d'imposition des plus hauts revenus. L'IRIS propose ainsi une augmentation du nombre de paliers d'imposition (de 3 à 10) ou une réduction des déductions fiscales. L'IRIS rendra publique aujourd'hui sa note socioéconomique.
  21. Je sais pas pour vous, mais même si d'un côté le ralentissement de l'économie canadienne, qui est la cause de ceci, m'inquiète, je suis tout de même content de voir que mes taux hypothécaires ne risquent pas trop d'augmenter à mon renouvellement dans trois ans. http://affaires.lapresse.ca/economie/macro-economie/201301/23/01-4614150-la-banque-du-canada-annonce-un-statu-quo-indefini.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1 Quel effet sur le prix de l'immobilier au Canada? J'espère toujours une stabilisation des prix pour laisser le rapport revenus/prix augmenter doucement, mais je redoute toujours une forte chute. J'espère que la petitesse des taux d'intérêt pourra empêcher un crash.
  22. Seul le Québec, IPE et la Saskatchewan ont eu augmentation du taux de chômage Faut croire que la reprise économique est maintenant bien amorcée au pays. Retour aux chiffres normaux... *** Emploi - Perte de 25 700 emplois au Québec en décembre Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Le taux de chômage a crû de 0,7 % au Québec en décembre pour atteindre 8,7 %, rapporte Statistique Canada. L'organisme note une baisse de 25 700 emplois dans la province par rapport à novembre. Dans l'ensemble du Canada, le taux de chômage a légèrement augmenté en décembre, pour s'établir à 7,5 %, en hausse de 0,1 % par rapport à novembre. Statistique Canada souligne que 17 500 emplois ont été ajoutés en décembre au pays après deux mois de baisses. Toutefois, le taux de chômage a augmenté parce que davantage de personnes ont cherché activement du travail. L'organisme rapporte une augmentation de 43 000 du nombre de personnes travaillant à temps partiel en décembre mais note aussi une baisse de 26 000 du nombre de travailleurs à temps plein. Le nombre d'emplois dans le secteur de la fabrication a augmenté de 30 000 en décembre. Parallèlement, le nombre d'emplois a baissé de 7200 dans les services publics et est resté à peu près inchangé dans les autres secteurs. Pour l'ensemble de l'année 2011, les gains sont de 199 000 emplois au pays. La grande majorité de ces emplois ont été créés durant les six premiers mois de l'année. Hausse du chômage au Québec Dans les provinces, l'emploi a augmenté en décembre en Colombie-Britannique, en Nouvelle-Écosse, à Terre-Neuve-et-Labrador, en Saskatchewan, au Nouveau-Brunswick et à l'Île-du-Prince-Édouard. L'emploi a toutefois diminué au Québec pour un troisième mois consécutif. La diminution était estimée à 25 700 emplois en décembre, portant le taux de chômage à 8,7 %. Les baisses les plus marquées au Québec se situent dans le secteur de la construction (monctezuma : pourant c'est pas les chantiers qui manquent !?!?) et dans celui des soins de santé et de l'assistance sociale. Le Québec a connu une baisse de 51 000 emplois en un an. Taux de chômage par province, décembre (novembre entre parenthèses) Terre-Neuve-et-Labrador 12,8 (13,2) Île-du-Prince-Édouard 11,4 (11,1) Nouvelle-Écosse 7,8 (8,6) Nouveau-Brunswick 9,4 (9,8) Québec 8,7 (8,0) Ontario 7,7 (7,9) Manitoba 5,4 (5,5) Saskatchewan 5,2 (5,1) Alberta 4,9 (5,0) Colombie-Britannique 7,0 (7,0)
  23. Le Soleil Le mercredi 25 avril 2007 Ceux qui espéraient une baisse des taux hypothécaires pour acheter une propriété en 2007 pourraient attendre longtemps. Les taux risquent plutôt d'augmenter en milieu d'année. Mais la hausse devrait être contenue. Les économistes du Mouvement Desjardins ont noté, dans leur plus récente prévision des taux d'intérêt, que l'économie américaine se comporte mieux que prévu depuis le début de l'année. Si les bonnes nouvelles se multiplient, la Banque du Canada pourrait ne pas toucher à son taux directeur. Desjardins prévoit tout de même une légère remontée des taux en deuxième moitié d'année, ce qui va se répercuter chez les institutions financières. Desjardins, qui détient 40 % du prêt hypothécaire au Québec, entrevoit un taux préférentiel fluctuant entre 5,50 et 6 % en 2007. Ce taux sert de référence pour les hypothèques à taux variable. Compte tenu de la relative stabilité des taux à court terme, la remontée pourrait être plus notée dans les échéances à long terme. Le taux de cinq ans, actuellement de 6,65 %, pourrait ainsi grimper jusqu'à 7,10 % à la fin de l'année.
  24. 5$ que dans une semaine on vas annoncer que le Québec a créé 42 000 emplois en juin /********************** Juin Le Québec a perdu 4600 emplois Agence QMI 06/07/2012 10h06 - Mise à jour 06/07/2012 10h37 OTTAWA – L'économie québécoise a perdu 4600 emplois en juin par rapport à mai, essentiellement des postes à temps plein, selon Statistique Canada. Le taux de chômage a tout de même chuté de 0,1 % pour s'établir à 7,7 %, en raison du moins grand nombre de personnes à la recherche d'un emploi. De fait, l'activité économique a détruit 5500 emplois à temps plein et en a créé 900 à temps partiel. Les données publiées vendredi par Statistique Canada contrastent avec celles du mois précédent, alors qu'on avait enregistré une création de 14 700 emplois. L'agence fédérale a aussi indiqué qu'il s'est créé 7300 emplois au pays, ce qui est supérieur aux 5000 emplois attendus par les économistes. Le taux de chômage a diminué d'un dixième de point de pourcentage, à 7,2 %. L'emploi a surtout progressé en Ontario, avec une création nette de 20 200 emplois. Le taux de chômage a diminué d'un dixième de point de pourcentage pour s'établir aussi à 7,7 %, comme au Québec. Au pays, des hausses de l'emploi ont été constatées notamment dans les services aux entreprises, dans les soins de santé et l'assistance sociale, dans l'enseignement et dans les services publics. Des baisses ont été constatées dans le secteur de l'information, de la culture et des loisirs ainsi que dans celui de l'agriculture. Le nombre d'employés du secteur public a augmenté de 38 900 en juin alors qu'il a diminué de 26 000 dans le secteur privé. Toutefois, la croissance de l'emploi au cours des 12 derniers mois a eu lieu principalement au sein du secteur privé, avec une augmentation de 148 700 emplois. Dans le secteur public, elle a été de 21 200 emplois. Un été difficile pour les étudiants Chez les étudiants, le marché du travail est moins reluisant cette année que l'an dernier. Statistique Canada a indiqué que le taux d'emploi, soit le nombre d'étudiants qui travaillent par rapport au total des étudiants, s'est affiché à 63,2 % en juin, comparativement à 67,4 % en juin 2011. Le taux d'emploi est le plus bas enregistré pour un mois de juin depuis 35 ans, a souligné l'agence fédérale. Le taux de chômage des étudiants s'est fixé à 13 % en juin, en hausse par rapport au taux de 11 % enregistré un an plus tôt.
  25. Le Québec crée plus du tiers des emplois au Canada La création d'emplois a surpris en mars au Québec et au Canada, alors que Statistique Canada a rapporté jeudi que plus de 80 000 emplois avaient été créés au pays, dont plus du tiers au Québec. Après quatre mois de faible variation, l'emploi a progressé de 82 300 au Canada, soit 70 000 postes à temps plein et 12 400 à temps partiel. Les économistes sondés par l'agence Bloomberg attendaient une création d'emplois beaucoup moins forte, soit aux environs de 10 000 postes. La hausse de l'emploi a fait chuter le taux de chômage de 0,2 point de pourcentage, à 7,2%. Au Québec, l'économie a créé un total de 36 400 emplois, ramenant le taux de chômage à 7,9%, en baisse de 0,5 point de pourcentage. Environ les deux tiers des emplois créés ont été des postes à temps plein (23 900), alors que 12 600 nouveaux postes à temps partiel ont été observés. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2012/04/quebec-cree-plus-tiers-des-emplois-canada.html
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