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  1. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6197,47484237&_dad=portal&_schema=PORTAL Catalogue de mobilier urbain Bancs Plusieurs choix de bancs en bois ou en plastique recyclé Banc secteur 5 avec dossier en plastique recyclé Banc secteur 5 sans dossier en plastique recyclé Banc secteur 8 avec dossier en plastique recyclé Banc sans dossier en plastique recyclé Banc "Parc Lafontaine" avec dossier Banc "Parc Lafontaine" sans dossier Banc "Parc Lafontaine" simple avec dossier Banc long "Roy-Lafontaine" Banc double "Square des Frères-Charon" Bac à fleurs Un mobilier urbain en harmonie avec l'environnement Bac à fleurs secteur 5 en plastique recyclé Corbeille Corbeille alliant esthétisme, robustesse et durabilité Corbeille secteur 5 en plastique recyclé Tables de pique-nique Une solution pratique et écologique Table de pique-nique régulière en plastique recyclé Table de pique-nique adaptée en plastique recyclé (pour personnes à mobilité réduite) Table de pique-nique hexagonale en plastique recyclé Table de jeu Autres services offerts La Direction du matériel roulant et des ateliers est un maître d’œuvre du mobilier urbain, mais aussi des meubles de bureau et de style qui peuvent être fabriqués, par exemple pour un hôtel de ville ou un édifice luxueux. Nous offrons également des services de rembourrage et de peinture électrostatique (filières, corbeilles).
  2. SVP, remplacer ce fil par celui du projet de Karl Fischer. Le projet de Lemay n'est visiblement pas celui qui est sur la table. Nouveau design. Merci à MtlSkyline!
  3. Cette année, l'événement aura lieu du 30 octobre au 9 novembre : la liste des restaurants participant à l'événement cette année est sortie : http://www.tourisme-montreal.org/mtlatable/restaurants-fr.php Un petit rappel, les restaurants participant offrent des menus à 19, 29 ou 39$
  4. La programmation de l'événement est sortie. Des menus de 19, 29 ou 39$ sont proposés dans les "meilleurs" restos de Montréal Les places partent vite dans certains restos, comme le Toqué ou les 400 coups Voir les détails : http://www.tourisme-montreal.org/mtlatable/
  5. Après un mois à sillonner hardiment le pays de table en table, on peut claironner que 2011 a été féconde en nouveaux restos. Vingt d’entre eux auraient pu figurer à ce palmarès, ce qui en dit long sur le climat actuel. Partout, on a goûté une cuisine d’inspiration canadienne de grand art et du terroir qui bouleverse nos notions d’identité culinaire nationale. Il est temps de bannir certaines bêtises, dont les « restos chics et décontractés », expression antinomique et de mauvais goût qui dessert l’industrie. Frugalité et finesse vont de pair, on le voit depuis quelques années. Si l'on n’a pas peur de s’excentrer, on pourra savourer des mets fantastiques dans des quartiers où les loyers modiques laissent aux chefs plus de liberté (et puis, avouons-le, on n’a jamais autant rigolé avec le personnel). Pour les restaurants haut de gamme, le glas est loin de sonner ; en fait, on assiste au retour d’une somptuosité d’un autre temps. Au menu des établissements primés dans ces pages, le raffinement s’accompagne d’une confiance accrue. Il semble qu’on ait un âge d’or à se mettre sous la dent. http://enroute.aircanada.com/fr/articles/les-meilleurs-nouveaux-restos-canadiens-2011/ LE COMPTOIR CHARCUTERIES ET VINS Montréal Résumons. Récupéré dans un ancien labo, le comptoir éponyme offre une vue imprenable de la cuisine et une surface à frapper du plat de la main en guise d’applaudissement. Fondantes et étonnamment jeunes, les charcuteries maison réconcilient les plus blasés avec les plaisirs de la chair à coup d’originalité : coppa di testa (tête fromagée italienne), lomo (longe de porc à l’espagnole), ventrèche (cousine française de la pancetta). Quant aux vins, le sommelier Jack Jacob a du nez pour les produits bios de petits vignobles et a déniché des perles dans la vallée de la Loire et le Roussillon. Mais Le Comptoir vaut plus que la somme de ses parties. C’est un restaurant à part entière, ce qui donne toute liberté à Ségué Lepage (ex de La Montée de Lait) et à son frère Noé de composer une cuisine inventive et décontractée. Pour une version originale d’une spécialité locale, essayez le sandwich pressé au smoked meat, au cheddar et à la moutarde au cumin. Les plats à l’ardoise jouent avec les goûts et les textures, mais aussi avec les températures, dans des salades composées aux ingrédients tièdes et froids : chou-fleur rôti, purée d’anchois, roquette et mie de pain frite ; flétan, concombres, feta, fines herbes et tempura d’oignon ; ricotta frite avec purée de pommes vertes. Vu la qualité et les prix doux, il serait très facile de devenir un habitué du Comptoir (on saurait alors s’il faut prendre le disco qui y jouait au second degré). À Montréal, les buvettes, chics mais confortables, ont su se faire une place, entre bars à vins et pubs gastronomiques. Celle-ci a mis le doigt sur le pouls de la ville. 4807, boul. Saint-Laurent 514-844-8467, comptoircharcuteriesetvins.ca VAN HORNE Montréal Imaginez deux excentriques personnages d’un film de la Nouvelle Vague (disons un Godard du tournant des années 1960) sortant de l’écran, entrant dans un resto, savourant une bouteille et décidant de prendre les rênes de l’endroit. La naissance du Van Horne, exigu mais bien défini, est à peine moins rocambolesque. Les néorestaurateurs Sylvie Lachance (issue du milieu culturel québécois) et Urs Jakob (du Gershwin Hotel, à New York) étaient en quête d’un chef quand ils sont tombés par hasard sur Eloi Dion, du 357c, le sélect club montréalais de Daniel Langlois. Leur espiègle sommelière, à qui l’on doit une brève carte d’importations privées, fait aussi le ser-vice. Leur salle dépouillée tient lieu de galerie pour leur collection (porte du pavillon iranien d’Expo 67, assiettes en papier de Roy Lichtenstein, mat totémique baptisé Bill). Sans transition, le choix musical enchaîne vieille pop française et punk new-yorkais. Le court et épatant menu de Dion propose une cuisine de marché en mode flexitarien. Ses quatre plats principaux (une viande, deux poissons, un végé) sont si créatifs qu’en comparaison les tables où règnent les protéines semblent datées et dépassées. Chaque assiette est une palette de couleurs. Disque jaune d’une gelée de pamplemousse merveilleusement amère pour crabe des neiges duveteux et joi choi. Chiffonnade de bette à carde vert forêt historiée d’une purée de dattes au garam masala. L’art de Dion change les regards : tel du béton liquide, une aérienne sauce hollandaise à l’encre de seiche nappe une succulente dorade royale et une lasagne anthracite de champignons. Voilà une véritable étude de gris à tirage limité. 1268, av. Van Horne 514-508-0828, vanhornerestaurant.com LES 400 COUPS Montréal Dans une ville où les bistros tiennent le haut du pavé, cette table pourrait bien vous réconcilier avec le steak tartare. Haché au couteau pour lui donner du mordant, mélangé à de gros morceaux de carottes, émaillé de mayo aux anchois et de croûtons, il arrive garni d’une petite boule de glace à la moutarde (autre bonne raison de l’avaler tout cru). Le chef Marc-André Jetté, la sommelière Marie-Josée Beaudoin et le chef pâtissier Patrice Demers accoudés au bar en marbre du resto. Les as derrière Les 400 coups (un hommage au film de Truffaut qui joue sur l’adresse du resto), le chef Marc-André Jetté, le chef pâtissier Patrice Demers et la sommelière Marie-Josée Beaudoin, déjà complices chez Laloux et au Newtown, forment un trio chevronné. Leur spectaculaire salle de style Beaux-Arts (murs noirs, bar de marbre blanc, monumentale murale de Saint-Germain-des-Prés, le quartier parisien qui pourrait être la mère patrie de Montréal) vibre des potins de vedettes locales de la télévision. Ce décor légèrement vieillot souligne la modernité de la cuisine québécoise qu’on y sert (contrairement aux jaquettes grises du personnel). Jetté a le palais bourlingueur et s’il pioche aux quatre coins du globe pour ses préparations (bar d’Amérique garni d’amandes marconas et d’émulsion au curry, omble chevalier dans un bouillon au canard laqué, spaghettis d’épeautre au beurre d’oursin), loin de s’éparpiller, il s’en tient à une vision remarquablement claire, précise, concise. Demers sert le pot de crème qui a fait sa réputation aux Chèvres, et son Vert (pistaches, pousses de coriandre, huile d’olive et yogourt au chocolat blanc garnis de granité à la pomme verte) est une fraîche symphonie sucrée-salée qui nous fait tomber dans les pommes. 400, rue Notre-Dame E. 514-985-0400, les400coups.ca
  6. lien video: http://www.youtube.com/watch?v=BRHTZ7TnMAA BRANCHEZ-VOUS! est allé manger dans un restaurant d'un tout nouveau genre au centre-ville de Montréal, l'iBurger. À cette occasion, nous avons pu tester leur table techno, qui intègre un écran tactile permettant aux clients de consulter le menu et de passer leur propre commande. Ouvert depuis la fin janvier à Montréal par Alexandre Maher (président), Frank Roche (VP aux opérations) et Jonathan Cyr (chef cuisinier), l'iBurger se distingue par la présence d'une surface tactile animée par un Mac Mini sur le dessus de chaque table. Le véritable défi des fondateurs de l'iBurger est de rentabiliser leur projet notamment en vendant des franchises, car chaque table coûte environ 3 200$. Pour l'instant, des personnes basées au Canada et au Maroc se sont montrées intéressées par l'achat d'une franchise iBurger. Évidemment, l'expérience du restaurant ne se résume pas uniquement à son aspect technologique. Lors de notre passage à l'iBurger, nous avons mangé un burger d'agneau accompagné d'un verre de vin rouge, proposé sur le menu pour accompagner le plat. Lors d'un deuxième passage au resto, nous avons aussi pu déguster l'assiette de fromage. Nous nous sommes régalés!L'écran est protégé par un verre tactile remplaçable en cas d'usure, mais les fondateurs du restaurant veulent garder leur technologie tactile secrète. L'écran tactile sert principalement à afficher et à détailler le menu ainsi que les différents plats, à l'aide d'images dignes de relever de l'art culinaire. Un petit historique est aussi proposé pour expliquer l'origine de chaque catégorie de plats (burger, hot dog, salade, pizza, etc.). Les usagers peuvent ainsi se laisser tenter par un plat et se le commander eux-mêmes. Les commandes sont directement dirigées vers la cuisine depuis la table, mais les clients peuvent aussi s'adresser directement au serveur. Une excellente utilisation de la surface tactile survient à l'heure de l'assiette de fromage. Grâce à des applications spécifiquement conçues pour contrôler le système à distance depuis un iPhone, les serveurs peuvent afficher le nom et la description des fromages. lien pour l'article: http://www.branchez-vous.com/techno/actualite/2011/03/iburger-montreal-restaurant-branche-mac-mini-table-tactile.html Autre article: http://www.cyberpresse.ca/vivre/cuisine/en-vrac/201103/21/01-4381388-iburger-des-ecrans-tactiles-pour-commander.php site internet: http://iburger.net/
  7. The 200 compressed natural gas (CNG) buses acquired in 2003 by the Los Angeles Metropolitan Transportation Authority (LA Metro) have worked out so well that LA Metro is hiring 96 more. The Cummins Westport vehicles, which run 20 feet longer than traditional city buses and bring 30-percent more power to the table (while claiming bragging rights to low emissions) use a 6-cylinder, 8.9L CWI L Gas Plus CNG mill with 320 hp. Perfect for the city, the buses help LA Metro cash in with lower operating costs, better performance and reduced emissions. http://www.autoblog.com/2006/03/30/la-metro-picks-up-more-natural-gas-buses/?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed:+weblogsinc/autoblog+(Autoblog)
  8. En lançant un plan de sauvetage à court terme pour l'industrie automobile, George W. Bush, met simplement la table pour son successeur Barack Obama. Pour en lire plus...
  9. Victime de l'économie et de la crise financière, qui pèsent sur le trafic aérien mondial, Air France table désormais sur une stagnation de son offre. Pour en lire plus...
  10. Le fromager Saputo a faim. Et il a les moyens de se mettre à table. «Nous avons la flexibilité financière pour faire des petites ou des grandes acquisitions», lance Lino Saputo fils. Pour en lire plus...
  11. La banque britannique Barclays, qui apparaissait comme la mieux placée pour reprendre Lehman Brothers, a quitté la table des négociations, accroissant la possibilité d'une mise en liquidation de la banque d'affaires américaine, affirme dimanche le quotidien New York Times. Pour en lire plus...
  12. Le groupe allemand Allianz, premier assureur européen, s'attend à une hausse du prix du pétrole brut à 200 dollars le baril dans les deux prochaines années. Pour en lire plus...
  13. Le transport aérien table sur des pertes de 2,3 G$ US pour 2008 à cause de l'envolée des prix du carburant. Pour en lire plus...
  14. These Chefs Believe in Sticking Close to Home Source: New York Time MONTREAL is not just a good eating town, but an opinionated one, too, with deep roots and a culture all its own. There’s always a debate about where to get the best rotisserie chicken or the most authentic poutine, that classic Québécois belly buster of French fries, gravy and squeaky cheese curds. Or whether to go to St.-Viateur Bagel Shop or Fairmount Bagel Bakery for sesame bagels that are baked in wood-burning ovens and put New York City’s fluffy bread bombs to shame. The epicurean partisanship fight extends to the city’s two venerable food markets, Marché Jean-Talon and Marché Atwater. Even when winter has wilted the local supply of fruits and vegetables, the markets are bursting with stinky cheeses, apple cider and all manner of charcuterie: plump links of black blood sausage; fowl and furred game rendered into terrines and galantines; piles of confit frosted in white fat like the snow that blankets the city for a good part of the year. Not that Montreal lacks for proper, sit-down restaurants. L’Express, the reigning bistro king of this officially Francophone city, is as close to Paris as one gets while on the wrong continent. Toqué, run by the chef Norman Laprise, is the city’s standard bearer for haute cuisine. But over the last few years, there has been a surge in quirky restaurants that are extensions of their chefs’ personal tastes and dedication to Montreal’s regional ingredients. At these restaurants, no part of the pig escapes the kitchen knife, whether it’s the ears (sliced and fried in a salad with frisée) or feet (braised, stuffed and roasted). And foie gras abounds, never far from marrowbones, sweetbreads and steaks so big they’d make a cowboy blush. All are dressed down and welcoming: perfect places to come in from the cold. AU PIED DE COCHON These days, you can’t mention food in Montreal without touching on the chef Martin Picard’s unrepentantly Québécois restaurant, Au Pied de Cochon (536 Rue Duluth Est; 514-281-1114; http://www.restaurantaupieddecochon.ca). P.D.C., as the locals call it, was a pizzeria before Mr. Picard got his meaty mitts on it, and a blazing fire in a wood-burning oven greets guests at the door. Beyond it, the restaurant is long and narrow, bright but not too bright, with a mirror running down one side and an open kitchen on the other. The bare wooden tables are crowded with boisterous eaters of every age and description. And the chef — look for the unshaven man with a shock of untamed black hair — frequently works both sides of the bar, talking and drinking with customers and cooks. Mr. Picard put his restaurant on the gastronomic map when he put foie gras on poutine back in 2004, just after the restaurant opened. Many dishes at P.D.C. are conceived with that same wicked sense of humor — who puts foie gras on French fries? — and carry an unspoken threat of a cholesterol-triggered overdose. There’s a even a whole section of the menu dedicated to the fatty livers: foie on a burger, foie on a pizza and, most compellingly, the Plogue à Champlain — a dizzying combination of buckwheat pancakes, bacon, foie gras and maple syrup. But Mr. Picard doesn’t need to rely on fattened blond duck livers to make a dish worth seeking out: My meal started off with a simple plate of leeks — which crowded the local markets when I visited — poached and dressed with a bright vinaigrette. The salt cod fritters (another Montreal staple) were as greaseless and light as could be. But nobody goes to P.D.C. to diet. The restaurant’s namesake dish is a pig’s foot the size of grown man’s forearm that is poached, stuffed and roasted in the wood oven; a lobe of seared foie gras is laid over it sidesaddle before it goes out to a table. Entrees are reliably heavy and frequently come with some kind of surprise, like the dark brown fritters that accompanied a pot au feu for two (or was it four?) The fritters, which were speared on skewers, were crisp and brown. But it wasn’t until I bit into one that I realized what they were: testicles. Lamb’s testicles. And they were good. Dinner, with drinks and tip, about 80 Canadian dollars a person (the Canadian and U.S. dollars are nearly at par). JOE BEEF On my next visit to Montreal, I will put back another couple of dozen oysters at Joe Beef (2491 Rue Notre-Dame Ouest; 514-935-6504; http://www.joebeef.ca), a bistro of sorts that opened in the Petit-Bourgogne neighborhood in 2006. Shucked on the night I was there by John Bil, the restaurant’s champion oyster shucker (he captured the Canadian shucking crown three times), we slurped small, sweet oysters from Prince Edward Island and fat Moonstone oysters from Rhode Island, each shell brimming with oyster liquor like a bathtub with the faucet left on. Named after a 19th-century saloonkeeper, the restaurant has the coziness of a neighborhood pub: a chalkboard menu (that changes daily) covers one wall, wainscoting wraps the room, the light is flatteringly low. The chef Frédéric Morin’s menu has a classic bistro slant, though he’s tweaked each dish to make it his own. He eschews lardons and instead tops his frisée salad with strips of pig’s ears cut into matchstick strips and fried to shattering crispness. Pucks of silky foie gras au torchon are served with buttery brioche toast and pears poached in cinnamon-infused red wine. Entrees change nightly, but there are two menu stalwarts: pasta with lobster, and a massive côte de boeuf for the table. The lobster in the former was slightly overcooked the night I tried it, though it wasn’t hard to grasp the appeal of such a decadent cream-and-butter dish. The steak, served with marrowbones and potatoes, embodied the full-flavored, mineral promise of grass-fed steak. Dinner, with drinks and tip, about 110 Canadian dollars a person. LIVERPOOL HOUSE Joe Beef has a new neighbor. Mr. Morin spent last fall covered in sawdust, building his second restaurant, Liverpool House (2501 Rue Notre-Dame Ouest; 514-313-6049; http://www.liverpoolhouse.ca), just a few doors down from his first. Liverpool House is split into a barroom and a laid-back dining room. The woodwork and wainscoting are painted a warm white. The rest is decorated with an eclectic mix of paintings — oversized modern canvases and tiny impressionistic works — and odd, pig-themed tchotchkes like the porcelain porcine head, affixed to the wall at eye level like an extra diner at my table. Liverpool House is ostensibly Italian, though the restaurant’s cuisine owes more to Mr. Morin’s imagination and whatever is in season. One night, the bar plates were undeniably Italian: perfect sausage-stuffed arancini, a ball of buffalo milk burrata cheese (mozzarella’s creamy cousin) and a plate of salumi cured in the restaurant’s basement. But when I returned two nights later, the menu had been hijacked. I ate poached skate with black trumpet mushrooms in a buttery sauce, the mild ropes of fish an unobtrusive stage to show off those tender, earthy mushrooms. Hard-boiled eggs topped with crab meat sounded like a dreary canapé from the 1950s; instead it was a showcase for a snowdrift of sweet crab meat, piled on a pedestal of egg white anointed with house-made mayonnaise. The rest of the meal continued in the same manner: technically assured cooking that typifies the simplicity of the Italian kitchen (like the vitello tonnato), or lets the hand of the nearby market push it toward riskier directions (like a grilled veal chop served with roasted root vegetables and a sauce fortified with foie gras and sweetbreads). Is Liverpool House Italian? French? Or Québécois? Whatever it is, it’s an excellent place to eat. Dinner, with drinks and tip, about 100 Canadian dollars each. GARDE MANGER Another spot that trades the sanctimonious trappings of fine dining for a looser atmosphere is Garde Manger (408 Rue St.-François-Xavier; 514-678-5044). It is one of the few restaurants with real charm in Vieux Montreal, the oldest part of the city. Tucked into a small building on a side street, the restaurant has dark brick walls and a wildly oversized chandelier that looks as if it could have been pilfered from a merry-go-round at Versailles. The roaring fireplace offers a warm refuge from the blustering winds off the nearby St. Lawrence River. Early in the evening, the loud soundtrack leans toward Neil Young and the Grateful Dead, and the crowd is older, the men in dapper suits and ties. After 9 p.m., the soundtrack shifts to clubbier music and a younger crowd sets in and doesn’t mind standing two deep at the bar. One Montrealer commented to me that Garde Manger is a “bar that happens to serve some food early in the evening.” But at 10 p.m. on the night I was there, every table in the restaurant was full. The restaurant is rightly regarded for its seafood platters, which take a place of prominence on many tables. The largest is 120 Canadian dollars and comes in a giant wooden trough that contains enough raw shellfish to feed a romp of otters. A less expensive option, at 70 dollars, is still impressive: a dozen each of oysters and clams, plus Alaskan crab legs and a half-dozen poached shrimp. And though the kitchen, overseen by the chef Chuck Hughes, offers an appealing and ever-changing blackboard menu with its own signature poutine (with lobster and lobster gravy), I would not pass on the opportunity to order the steak frites again. It’s rare to find a restaurant that takes as much care with such a simple dish: the steak (bavette, or what we call flank steak south of the border) is seasoned with an assured hand and charred to a textbook medium rare; the fries were crisp and fresh and tasted like potatoes. Though we had to shout over the gunshots ringing out in the chorus of M.I.A.’s “Paper Planes,” my dining companions and I were impressed that a place as rollicking as Garde Manger chooses to pay attention to what’s coming out of the kitchen.
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