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  1. Une série financée par Rogers Media sur le crime organisé à Montréal. Bad Blood raconte la montée et la chute de Vito Rizzuto comme chef de la mafia sicilienne à Montréal. Alain Desrochers produit la série mais il s'agit essentiellement d'une production Torontoise, filmée à Montréal et Sudbury exclusivement en anglais et dont la promotion se fait principalement dans le Canada anglais. La série de six épisodes débute sur CityTV le 21 septembre à 20hrs. "Bad Blood is a story of family, loyalty, deceit, power, greed and ultimately revenge. Montreal Mafia boss Vito Rizzuto is a criminal anomaly – the only man to bring peace among the disparate wings of the Montreal crime world who would serve as a de facto CEO while ensuring a lucrative payday for all. When Rizzuto is suddenly arrested and extradited to Colorado’s Supermax Prison for the 1981 murders of three Bonanno crime family members, the powerful empire he built begins to crumble. Rizzuto watches helplessly as his family and friends are killed one by one. Upon his release from prison in October 2012, a Shakespearean-level revenge tale unfolds, leading to the brutal murders of his closest companions, and ultimately, to the death of Rizzuto himself." https://www.rogersmedia.com/shows/bad-blood/ Globe and Mail, "Montreal mafia series Bad Blood is bloody good" https://beta.theglobeandmail.com/arts/television/john-doyle-montreal-mafia-series-bad-blood-is-bloody-good/article36311360/?ref=http://www.theglobeandmail.com& JdM, "Montréal, cité du vice" http://www.journaldemontreal.com/2017/09/20/montreal-cite-du-vice
  2. http://www.ledevoir.com/culture/television/438093/un-fleuve-une-ile-une-ville?utm_source=feedburner&utm_medium=feed&utm_campaign=Feed%3A+fluxdudevoir+(Le+fil+de+presse+du+Devoir Un fleuve, une île, une ville 25 avril 2015 |Paul Cauchon | Télévision Photo: Le fleuve et son île Télévision Le fleuve et son île (dans le cadre de 1001 vies) Radio-Canada, samedi, 21 h Voilà, en accéléré, un excellent cours sur l’histoire de Montréal qui montre comment la ville s’est structurée autour du fleuve Saint-Laurent. Quand les premiers colons sont arrivés sur ce territoire occupé par les Amérindiens, il n’y avait pas de route : la route, c’était le fleuve. Et cette grande route était bloquée par les rapides de Lachine. La bourgade qui allait devenir Montréal était alors un lieu de transbordement pour les marchands, qui ne pouvaient franchir les rapides. Le documentaire s’attarde à quelques figures historiques, dont celle de Jeanne Mance dont on ne se rappelle jamais assez l’importance, figure de proue des premiers temps de la colonie. On survole quelques moments-clés : la Grande Paix de Montréal, la conquête britannique, la construction du pont Victoria, premier pont à franchir le fleuve, considéré à l’époque comme la 8e merveille du monde, le rôle joué par John Molson et ses bateaux, la construction du canal de Lachine, et un arrêt fort éclairant aux studios de Norman Notman, dont les clichés représentent aujourd’hui un témoignage fabuleux sur l’histoire de la métropole sent via Tapatalk
  3. L'Argentine veut la plus haute tour d'Amérique latine Le gratte-ciel le plus haut d'Amérique Latine sera construit à Buenos Aires, a annoncé mardi la présidente argentine Cristina Kirchner. La tour, haute de 335 mètres, devrait supplanter la Gran Torre de Santiago du Chili qui culmine à 300 mètres. Elle abritera notamment un pôle audiovisuel destiné à la production de programmes télévisés, a affirmé Mme Kirchner lors d'un discours diffusé sur la radio et la télévision publiques argentines. Le bâtiment doit être construit d'ici à cinq ans dans le quartier de Puerto Madero, en bordure du fleuve Rio de la Plata. Le coût du projet est estimé à 300 millions de dollars.
  4. via Radio-Canada Frédéric Metz, figure marquante du design au Québec, est décédé Mise à jour le lundi 11 août 2014 à 8 h 35 HAE Frédéric Metz, le « pape du design », est mort d'un cancer samedi soir, à l'Hôpital Notre-Dame de Montréal, le jour de son 70e anniversaire. Membre fondateur de l'École de mode et du Centre de design et ancien professeur associé à l'UQAM, Frédéric Metz était également reconnu comme un pédagogue et un communicateur hors pair. Né en Suisse, Frédéric Metz est arrivé à Montréal en 1967, pendant l'Exposition universelle. Le livre « Design? » de Frédéric Metz Son livre, Design?, s'était vendu à plus de 6000 exemplaires. À la télévision, il avait aussi lancé en 2013 l'émission Design, une série d'entretiens visant à faire découvrir les esprits créateurs qui ont marqué le design au Québec. Il laissera en héritage plusieurs concepts graphiques connus, dont celui de l'aéroport Mirabel, de l'hôtel Méridien et des chaussures Browns, de même que l'accent grave sur le logo de l'UQAM. Bien connu pour ses nombreuses participations à des émissions de radio et à la télévision, il a aussi signé durant trois ans une chronique pamphlétaire dans le magazine Grafika. Le designer a aussi remporté en 2008 le Prix excellence en enseignement, volet carrière de l'Université du Québec. « Je peux enseigner la même matière, mais jamais de la même façon », avait-il lancé. Il avait pris sa retraite en 2009, après 32 années passées à enseigner. L'an dernier, il s'est vu attribuer l'Icograda Achievement Award pour l'ensemble de sa carrière.
  5. Le segment montréalais est a 11:10 Nos opérations de déneigement fascinent les gens un peu partout sur la planète. Plus tôt cette semaine, la télévision publique allemande Das Erste a tourné un reportage sur le sujet en compagnie de notre équipe. Voici le résultat dans la langue de Goethe! <span class="userContent">https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=dYf_cNf2kAw
  6. Google Pairs With Sony, Best Buy, DISH On TV Aaron Baar, May 20, 2010 01:58 PM First, the Web. Then the phones. Now Google wants to change the way people watch television. At a developer's conference on Thursday, Google announced it would develop an open platform to bring the World Wide Web to the television, and it has enlisted partners such as Intel, Sony, Logitech, Best Buy, DISH Network and Adobe to help. The new product, Google TV, is based on the company's Android mobile platform and runs the company's Chrome browser. IT will allow users to access traditional TV channels as well as Internet content, including Adobe Flash video. Both Logitech and Sony have committed to creating products using Intel's Atom processor and the Google TV platform later this year, to be sold through Best Buy locations. Though the product can be used with any TV operator, Google said the experience will be "fully optimized when paired with DISH Network" at the product's launch. "We are very proud to be working with this distinguished set of partners, all of whom have decades of experience in hardware, design and retail," Eric Schmidt, Google Chairman and CEO, said in a statement. http://www.mediapost.com/publications/?fa=Articles.printFriendly&art_aid=128632
  7. Launch of a love affair Ratings for Lévesque’s TV program sometimes hit an amazing 100 per cent by Daniel Poliquin on Thursday, September 24, 2009 10:20am - 0 Comments macleans.ca By the mid-1950s, Quebecers, like most other Canadians, had fallen in love with television. So overwhelming was the coup de foudre that although in some regions near the U.S. border only American broadcasts would come in, unilingual French Quebecers lapped it up anyway. Kids could be seen in the streets of small towns re-enacting their favourite show, The Adventures of Kit Carson, speaking in a made-up mumbo-jumbo language they believed was English. That was how it sounded to them anyway. Four out of five households in the province had a television set. And when the French-speaking people of Canada were all able to view locally made, francophone productions, they became a tight-knit virtual family, discussing at length the ending of the last sitcom or drama millions of others had watched, adopting as their own actors and actresses they had grown fond of, or, conversely, expressing unanimous hate for TV villains like Séraphin, the miser in the seemingly endless Les Belles Histoires des Pays d’En-Haut, which everybody watched. For good reason, too: there was only one French-language TV station; Radio-Canada’s monopoly ensured that all, and I mean all, francophones growing up in Quebec in the 1950s and 1960s shared a single TV culture. Lévesque was a regular commentator on current events programs, but he was mainly heard on the radio—until someone at Radio-Canada had the good sense to give him his own television show in October 1957. Here begins the legend of René Lévesque. The show was called Point de mire (Focal Point) and it was a 30-minute live broadcast first airing on Sundays at 11:15 p.m., and later, due to the show’s growing popularity, on Tuesdays at 10:30 p.m. For many, it was another coup de foudre. Here was this little man with the funny voice, equipped with a blackboard, a pointer, and maps, explaining the outside world to French-speaking Canadians, talking very fast but using only intelligible words. Let me paraphrase him: “Good evening. Thank you for joining me. Tonight, we are off to the Suez. It’s in Egypt, the land of the pharaohs that became mummies, you know, the land of the pyramids and the Sphinx. Here on the map is a canal, called Suez, built by French and British engineers in the last century. You can see here that it links up the Mediterranean and the Red Sea. So a very important route for international trade, because, thanks to the canal, ships stopped having to go all around the African continent to take their goods to the Orient, or the other way around. See?” (He would circle Africa with his pointer.) “Without Suez, the cup of tea from India you just had would cost you more because it would have to travel much farther. You follow me? Now, the Egyptians no longer have pharaohs. Egypt is now a republic, led by a man they call the Raïs—which means ‘president’ in Arabic—a man by the name of Nasser. So . . .” And on he would go. For many Quebecers with little schooling, Point de mire became their first window on the world. Not everybody watched, but those who did were enthralled, especially news junkies and all those hungry for knowledge. And in Duplessis’ Quebec, there were a lot of them. Thanks to the Radio-Canada monopoly, Lévesque’s ratings sometimes reached 100 per cent: a dream for any broadcaster and now an impossible feat, even on a day such as Sept. 11, 2001. To take the helm of Point de mire, Lévesque had had to give up his comfortable job as a broadcaster, with the guaranteed income, pension, and other benefits. But he was now earning $20,000 a year—more than any cabinet minister, provincial or federal. The real payoff, however, was instant celebrity. René Lévesque was now the star journalist who could explain the school desegregation in Little Rock, Ark.; the violent decolonization of Algeria; or the partition of Berlin and Cyprus. He could not walk the streets of Quebec without being accosted by adoring fans who would stop him to shake his hand and thank him. And he was more than loved; he was respected. In the words of novelist and social commentator Jacques Godbout, Lévesque was Quebec’s “first lay teacher.” Of course, the viewers did not see the man who never read his fan mail and never returned phone calls. Undisciplined but hard-working, incessantly feasting on magazines and newspapers in his smoke-filled office or at McGill’s nearby library to prepare for his weekly rendezvous with live television. Stressed out, as we would say today, but always focused. The badly dressed and unsuspected Lothario with doubtful hygiene who ate, talked, and smoked all at once, leaving a mess behind him all the time, driving like a madman in the streets in Montreal. Famous for his all-night poker playing, his chain-smoking; fond of sleeping late and seldom on time for appointments. Never at home, never where he was supposed to be. It was as though he was living three lives at the same time. During those years that he met Pierre Trudeau. The meeting took place in the Radio-Canada cafeteria, where artists and journalists congregated between assignments to talk and reshape the world in keeping with the fantasies and ideals in vogue. Trudeau was then a law professor and sometime TV commentator known for his scathing wit and erudition. He was well travelled, one of the few men in Canada who had visited China and reported on it. His Cité Libre was one of the very rare publications that dared to criticize Duplessis and public policy. Its circulation was of confidential proportions, but it was influential within the small, thinking elite of the era. The person who introduced them was journalist Gérard Pelletier, who was a friend of both Trudeau and Lévesque. For once, as Pelletier said later, Lévesque was not running, slowed down by the overflowing cup of coffee in his one hand and the stack of newspapers under his other arm. Pelletier motioned to him to come and sit down with him and the slightly balding man with the piercing blue eyes. He had wanted the two to meet for a long time. For the occasion, Trudeau put on his best snotty-nosed behaviour, complete with the French mid-Atlantic accent he had acquired at Montreal’s Jesuit-run Brébeuf College. Lévesque played the nonchalant TV star. This is how Pelletier remembers their conversation. I’ve added what I imagine must have been their internal dialogue in square brackets. Trudeau: Ah, the famous René Lévesque! How do you do? [Your Point de mire celebrity does not impress me at all, you should know that.] You speak well, sir, very well, but tell me something: can you write, too? Lévesque: Yes, but you know, writing takes time . . . [Don’t even think for a minute I would waste a second reading your Cité Libre . . .] Trudeau: Yes, you are right. You need time, and you also need to have ideas of your own, things to say, you know . . . [Watch out, buddy, I bite too.] The two were chalk and cheese from the get-go. They would meet again. From Extraordinary Canadians: René Lévesque by Daniel Poliquin. Copyright © Daniel Poliquin, 2009. Reprinted with permission of Penguin Group (Canada).
  8. Entrepôt de mazout dévoré par les flammes Radio-Canada Mise à jour le jeudi 16 juillet 2009 à 13 h 31 Un incendie a éclaté mercredi matin à Montréal-Est dans un dépôt de mazout. Les pompiers font état d'un blessé. Selon la police, une fuite dans un tuyau de gaz naturel serait la source du feu. Les pompiers ont maintenant la situation bien en main, rapporte la télévision de Radio-Canada. La rue Notre-Dame est fermée sur un tronçon qui étend à l'est de la rue Georges-V. Les autorités recommandent aux automobilistes d'emprunter la rue Sherbrooke. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2009/07/16/003-incendie-montreal-est.shtml
  9. Internet pourra-t-il remplacer les journaux? Mario Boulianne, Le Droit (Ottawa) 08 juin 2009 | 13 h 37 La majorité des gens disent que le changement est une bonne chose. Mais, en réalité, c'est une façon d'accepter qu'une chose que l'on ne désirait pas, est finalement arrivée. C'est exactement ce que je me dis lorsque je constate la poussée vertigineuse d'internet. J'ai toujours trouvé déplorable que de plus en plus de gens se fient à la toile pour s'informer, délaissant du même coup les sources d'informations traditionnelles comme les journaux. LeDroit, comme la majorité des salles de nouvelles, peut compter sur des journalistes professionnels qui offrent aux lecteurs une source fiable d'information, basée sur des recherches et des entrevues, ainsi que sur une relative objectivité. Sur le net, il est hasardeux de se fier à ces "sources" plus ou moins bien informées. Les blogueurs sérieux ne sont pas légion. À moins qu'ils soient liés à un média reconnu, les blogueurs n'ont que peu de crédibilité, à mon avis. Les rumeurs et les légendes urbaines sont au coeur de leurs articles. Et pourtant, on n'hésite pas à répandre ce qu'on peut lire sur le Web. Vendredi, un sondage Nanos réalisé pour le compte de la revue Options politiques était publié. On pouvait y lire que la télévision demeure la principale source d'information des Canadiens, malgré la popularité croissante d'internet - et dire que Radio-Canada mettra fin à son bulletin du midi dans la région. Ce sondage, réalisé auprès de 1001 Canadiens du 26 mai au 1er juin, révèle que 48,2% des Canadiens s'informent en regardant les nouvelles télévisées. Les journaux constituent la deuxième source d'information avec une popularité de 20,6%. La radio arrive au troisième rang comme source d'information avec 14,9%. Et en cette ère d'Internet, seulement 13,8% des Canadiens disent s'informer en lisant les nouvelles sur le Web. Et vlan pour les "Twitter" de ce monde. La télévision est donc la source d'information la plus populaire, selon ce sondage. Les recherches de Nanos démontrent aussi que la télévision a davantage la cote dans toutes les régions du pays et auprès des Canadiens de tous les âges. Même pour ceux âgés de 18 à 39 ans, la télévision est deux fois plus populaire qu'Internet. On constate aussi le même phénomène chez les Canadiens de 18 à 29 ans, qui choisissent la télévision à 46%, Internet à 22,6% et les journaux à 15,3%. Pour le chroniqueur que je suis, je ne peux nier la force d'Internet et surtout, son utilité dans mon métier. Mais je m'inquiéterai toujours de ce médium qui ne fait que peu de place à la crédibilité de ses sources. Mais ce sondage me donne des raisons de croire que les journaux ont encore la cote quant à la qualité de son information. D'ailleurs, il n'est pas rare que les émissions de télé et de radio du matin se basent presqu'exclusivement sur ce qui est écrit dans les journaux pour vous informer dès votre réveil. Un autre résultat qui me donne de l'espoir, les deux tiers des personnes sondées disent s'informer en lisant les journaux et ils le font en lisant la version papier. Les autres le font en lisant la version Web... qui est gratuite. Alors, à ceux et celles qui lisez cette chronique dans sa version papier, n'oubliez pas de recycler votre journal préféré. Quant aux autres qui utilisent la souris, vous pourrez toujours vous dire que le site cyberpresse.ca est une source très fiable d'information. Oups... la pile de mon portable est vide. Je dois vous quitter. J'aurais dû prendre une feuille et un crayon! Vous avez une nouvelle à nous communiquer ou encore une idée pour un reportage? Écrivez-nous à technaute@cyberpresse.ca.
  10. Quebecor se retire de La Presse canadienne La Presse canadienne Édition du jeudi 12 mars 2009 Toronto -- Le groupe Quebecor affirme qu'il se retirera l'année prochaine de la coopérative Presse Canadienne, en misant sur le développement de sa propre agence de presse créée plus tôt cette année. L'entreprise possède notamment Le Journal de Montréal, Le Journal de Québec, les journaux Sun ainsi que plusieurs autres publications de langues française et anglaise au Canada. Quebecor est aussi propriétaire du plus important réseau de télévision privé au Québec, TVA, en plus d'une chaîne de télévision à Toronto, de plusieurs sites Internet, du câblodistributeur Vidéotron et d'un service de téléphonie au Québec. Une porte-parole de Quebecor Média a confirmé hier que le chef de la direction, Pierre Karl Péladeau, a fait parvenir une note de service à des employés afin de les aviser que la compagnie entend quitter la coopérative pour développer sa propre agence de presse. Dans cette note, M. Péladeau affirme que Quebecor doit s'adapter aux changements dans l'industrie des médias. «Comme vous le savez, la presse écrite traverse une période de bouleversements au Canada et à l'étranger, écrit-il. Plus que jamais, nous devons profiter de nos forces, et elles sont nombreuses: nous devons tout simplement tirer le maximum de celles-ci. C'est pourquoi nous devons continuer de construire et accélérer le développement de notre propre réseau -- en l'occurrence notre propre agence de presse, QMI -- afin de fournir et de partager le contenu entre tous nos médias partout au pays.»
  11. Faire de Montréal LA ville de la création Fabien Deglise Édition du samedi 14 et du dimanche 15 février 2009 Le rêve d'une immigration plus diversifiée et polyglotte caressé par le président du groupe Juste pour rire, Gilbert Rozon, pour stimuler le côté créatif de Montréal, pourrait bien devenir un cauchemar pour la métropole, estime Impératif français, organisme qui se porte à la défense de la langue de Nelligan au Québec. Le regroupement craint d'ailleurs que des «aménagements» dans les lois afin d'attirer plus d'immigrants de souche non francophone ne finissent par «hâter le processus d'assimilation et de défrancisation de la ville», si on n'y prend pas garde. «Malgré la Charte de la langue française, ce processus est déjà en marche, a commenté hier Jean-Paul Perreault, président de l'organisme. Les chiffres le démontrent. Un grand nombre d'immigrants allophones choisissent l'anglais lorsque vient le temps de parler une autre langue que la leur. Et ce, même s'il y a une volonté collective très forte pour faire du français la langue commune de la diversité.» Un portrait qui incite d'ailleurs, selon lui, à considérer les propos de M. Rozon avec circonspection. Cette semaine, devant le Conseil des relations internationales de Montréal (CORIM), le célèbre homme d'affaires a en effet plaidé pour une plus grande ouverture et diversité de l'immigration à Montréal. Sans remettre en question les lois actuelles, a-t-il indiqué, M. Rozon constate toutefois qu'en forçant les immigrants à «apprendre le français, cela encourage surtout l'immigration de souche francophone», a-t-il indiqué. Le hic c'est que, pour doper le côté créatif de la métropole -- le fondateur du festival Juste pour rire souhaite en effet que Montréal devienne LA ville de la création au monde --, «il faudrait s'ouvrir plus que ça et trouver des aménagements pour attirer des immigrants qui, en plus de leur langue maternelle, vont apprendre le français et l'anglais», a-t-il ajouté. Un trilinguisme que Montréal pourrait alors facilement «transformer en avantage», selon lui. Pour le sociologue Rachad Antonius du Centre de recherche sur l'immigration, l'éthnicité et la citoyenneté (CRIEC) de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), les craintes des francophones par rapport à des allégements législatifs qui pourraient affaiblir la position du français au Québec «sont fondées» étant donné le contexte minoritaire de la société francophone dans le Canada. «Mais cela dit, il y a toujours moyen de répondre à ces craintes par des politiques et une clarté linguistiques pour inciter les immigrants à se rallier à la culture du Québec». Toutefois, M. Antonius ne voit pas en quoi l'idée d'ouverture à une plus grande immigration non francophone avancée par M. Rozon viendrait changer la donne culturelle de Montréal où, selon lui, la diversité est déjà bien ancrée. «Le problème majeur, c'est le manque d'ouverture à cette diversité», lance l'universitaire qui invite à allumer sa télévision pour prendre la mesure de ses propos sur les ondes de Radio-Canada ou de TVA. «De toute évidence, les responsables de la programmation gagneraient à descendre dans le métro de Montréal pour comprendre ce qu'est Montréal, dit-il. Ils devraient aussi se comparer aux réseaux de télévision publics et privés anglophones pour voir que la diversité est déjà devenue un atout ailleurs dans la ville.» Au début de cette année, un portrait livré par Statistique Canada a confirmé cette polychromie culturelle et linguistique de Montréal où désormais quatre personnes sur dix parlent une autre langue que le français à la maison. Au rayon de la différence linguistique, l'anglais domine (48,4 %) mais il est aussi suivi de l'espagnol (6,9 %), de l'italien (6,8 %), de l'arabe (6,1 %) et des langues asiatiques (6 %), constatent les spécialistes fédéraux du chiffre.
  12. Dans une décision rendue sans motifs, jeudi, le plus haut tribunal du pays a donné la permission aux réseaux de télévision et aux télédistributeurs de contester un jugement de la Cour d'appel fédérale qui leur est défavorable. Pour en lire plus...
  13. Les actifs comprennent une licence de radiodiffusion, un portefeuille d'environ 30 000 abonnés à ses services de télévision numérique et ses services Internet, de même qu'un spectre d'environ 1000 MHz. Pour en lire plus...
  14. As the Economy Worsens, Is There Money for Play? The economy was a factor in a recent merger involving Dale Earnhardt’s team, left. General Motors often runs Super Bowl commercials, center, and sponsors events like the baseball All-Star Game. By KATIE THOMAS Published: November 15, 2008 From the “Buick” emblazoned on Tiger Woods’s golf bag to the Chevrolet Camaro that Cole Hamels drove home last month for being named the most valuable player of the World Series, it is hard to be a sports fan without stumbling across some type of advertisement for General Motors. The company consistently ranks first among advertisers of televised sporting events, outspending other automakers by more than two to one. Billy Casper, left, received a car for winning the inaugural Buick Open in 1958. The tournament has been a PGA Tour staple. But as G.M. faces a financial crisis that has executives pleading with Congress for a federal bailout, many are wondering how far the company’s troubles will extend into the sports industry, which is already struggling to attract advertisers and sponsors in a weakened economy. “It’s one of those trickle-down effects that people don’t look at,” said David E. Cole, the chairman of the Center for Automotive Research, a nonprofit research organization. “It has already hit hard.” G.M. has been scaling back its sports presence for at least a year. Cadillac, a G.M. brand, withdrew its sponsorship of the Masters golf tournament in January, and this summer, G.M. ended its relationships with two Nascar racetracks: Bristol Motor Speedway in Tennessee and New Hampshire Motor Speedway. The company is not renewing its longstanding partnership with the United States Olympic Committee when their contract expires at the end of this year. In one of the most dramatic examples of the company’s diminishing sports profile, G.M. said recently that it would not buy television commercials in this season’s Super Bowl broadcast. As G.M. argues its case before Congress, some firms whose contracts with the company are up for renewal are anxiously monitoring developments. “We’re actually in negotiations as we speak,” said Mitch Huberman, the senior vice president of Fox Sports Enterprises, which owns Pac-10 Properties and handles marketing for the Pacific-10 conference. Its contract with Pontiac, also produced by G.M., ends this year. “There are a lot of question marks in terms of where budgets are going,” Huberman said. “It’s kind of wait and see.” G.M., hit hard by plummeting consumer spending and tight credit markets, has reported that it is running out of cash and faces bankruptcy if it does not receive emergency federal assistance. In its third-quarter report, released earlier this month, the company said it planned to trim advertising by 20 percent and promotional spending by 25 percent. “We’re looking at literally everything,” said Peter Ternes, G.M.’s director of communications for sales, service and marketing. He said the cuts would be applied evenly but did not provide details about proposed changes to the company’s sports budget. Still, he said G.M. would not withdraw from sports entirely. “I think we’ll still be there,” he said. “It may not be at the volume that people have seen before, but we’ll still be a presence.” G.M.’s troubles come at a time when sports organizations are struggling to attract sponsors in a weak economy. The Nascar teams Chip Ganassi Racing and Dale Earnhardt Inc., citing a difficult economic climate, announced a merger last week. On Friday, the Tour de Georgia, one of the nation’s premier cycling events, said it was canceling its 2009 race because it could not find a sponsor. Also on Friday, Nascar said it was suspending all testing at its tracks next season as a cost-cutting measure. Like beer and razors, automobiles have long been a staple of commercials during major sporting events, and for good reason, marketing experts said. At a time when digital video recorders and an array of cable channels have splintered television audiences, sporting events attract a large and passionate audience who often watch events as they happen. G.M. has historically taken advantage of this audience by investing heavily in television advertising. The company has been the top TV sports advertiser for at least the last five years, vastly outspending its nearest competitors. For example, in 2007, G.M. spent close to $578 million on TV sports advertising. The No. 2 advertiser, Toyota, spent less than half that, or nearly $287 million, according to Nielsen Media Research. Earlier this year, General Motors aired 11 advertisements during the Super Bowl, according to TNS Media Intelligence, a research firm. The decision not to buy a Super Bowl ad in 2009 may have more to do with public perception than with the company’s cash-strapped predicament. This year’s spots are each selling for $3 million, a fraction of G.M.’s total sports spending. However, if the company were to receive a federal bailout, airing a Super Bowl commercial could anger taxpayers who see the purchase as extravagant, said Kenneth L. Shropshire, the director of the Wharton Sports Business Initiative at the University of Pennsylvania. “Then people are saying, was that the right use of money for a one-day sporting event?” he said. Although executives for several television outlets would not speak publicly, several said their sales representatives had detected a shift in G.M.’s ad purchases — what some called a “flight to quality” — toward programs that have proved successful in the past. And although G.M. recently scaled back its presence on networks in prime time, one network television executive said sports remained a “stable destination.” There are signs that G.M. is continuing to invest in some sports. About a year ago, Chevrolet extended its sponsorship of Major League Baseball through the 2010 season. Ternes, the G.M. spokesman, pointed to plans by the company to invest heavily in next year’s N.C.A.A. men’s Final Four in Detroit, the nation’s automobile capital. On the surface, organizations with existing agreements with G.M. may consider a bailout a preferable outcome, because under a bankruptcy, the company could ask a court to void contracts. But because a federal bailout would also very likely lead to significant restructuring, some said G.M. could be compelled to try to renegotiate active contracts anyway. “With the bailout probably comes strings attached, and what those strings are, who knows?” said Greg Brown, the president of Learfield Sports, which handles marketing for 50 university athletic programs. Rather than seek to cancel existing contracts, several sports executives said G.M. and other companies were more likely to scale back promotions and focus on initiatives that led directly to a sale. “If you’re on the verge of bankruptcy, then you want to find out how to get the money now, rather than how do I get the 15-year-old to start thinking about the car they want to buy in the future?” Shropshire said. Sponsors may focus on promotions that draw fans to dealerships, like T-shirt giveaways or ticket sweepstakes, said Jim Andrews, the editorial director of IEG Sponsorship Report, a trade publication. Sponsorships, he added, can also create a “warm, fuzzy” perception that a company is supporting a customer’s favorite team. “That’s why you’re not seeing any of the automakers, even though they are in dire straits, saying we’ve got to pull out wholesale,” Andrews said. “Because I think they know there is a return on investment.” In some cases, foreign automakers have stepped in when American companies have pulled out. Chevrolet, for example, decided not to renew its sponsorship of the United States Ski Team last year, but Audi took its place. Honda recently replaced Dodge as the official automobile of the N.H.L. Although the troubles in Detroit played a role in that outcome, Honda fit better within the N.H.L.’s goal of becoming a more international brand, according to Keith Wachtel, the league’s senior vice president for corporate sales and marketing. But for now, marketers at a variety of sports organizations say they are in for some tough times. “In this environment, autos are going to be off across the board,” said Tim Finchem, the commissioner of the PGA Tour. Two of its tournaments are sponsored by Buick through 2010, and others are sponsored by Chrysler, BMW, Honda and Mercedes. “They’re doing, in varying degrees, terrible,” he said. “The U.S. automakers are really struggling. Now, who knows?” Finchem, however, said he was confident the companies would remain in business, which meant “they’re still going to be selling cars and, again, we have a good platform from which they can promote.”
  15. Il s'est produit beaucoup plus d'émissions de télévision au Québec l'an dernier. Toutefois, leur budget moyen a encore baissé. Pour en lire plus...
  16. Les raffineries de pétrole de la région de Houston (Texas, sud) devraient rester fermées pendant huit à neuf jours à la suite du passage de l'ouragan Ike, a déclaré dimanche à la télévision la sénatrice du Texas Kay Bailey Hutchison. Pour en lire plus...
  17. Astral ferme son service d'annonces classées 19 août 2008 - 15h21 Presse Canadienne Astral Media Radio, division d'Astral Media (ACM.A), a annoncé mardi la fermeture de TATV, son service d'annonces classées offert en ligne et à la télévision, auparavant appelé Télé-Annonces. Cette décision entraînera l'abolition de 28 emplois à temps plein et de 10 emplois à temps partiel au Québec. TATV remboursera tous ses clients actuels qui ont un compte d'annonces classées actif, en ligne ou à la télévision, au prorata de la période de diffusion n'ayant pas été réalisée. Le vice-président aux ventes et au marketing d'Astral Media Radio, Pierre Rodrigue, a affirmé par voie de communiqué que la décision de mettre fin aux activités de TATV avait été «très difficile à prendre». Il a ajouté que l'entreprise avait évalué plusieurs stratégies possibles avant d'en venir à cette décision. «Cependant, le déplacement progressif du marché des annonces classées vers un modèle d'affaires gratuit sur Internet - combiné au fait que les annonces classées ne cadrent pas dans les activités principales de notre entreprise - nous a contraints de fermer la division TATV». L'action d'Astral Media a retraité mardi de 79 cents pour clôturer à 31,31 $ à la Bourse de Toronto.
  18. J'ai passé 5 jours à Beijing au début de juillet. Voici quelques photos que j'ai prises pour vous. Beaucoup ont été prise à la hâte. C'est incroyable, partout il y a de la construction, et pas seulement les JO. Et beaucoup d'immeubles très intéressants. J'ai aussi pris des photos des quartiers plus résidentiels que je peux poster si vous êtes intéressé. Deux choses marquantes pour moi, à Beijing voici la façon de penser des automobilistes: un piéton = un espace libre où je peux passer = je pèse sur le gaz, peut importe que vous soyez sur le trottoir ou dans un groupe de 50 personnes qui essaient de traverser la rue avec vous. Deuxième chose, la pollution, à couper au couteau en quasi-permanence durant mon séjour. Malgré tout cela, c'est vraiment une très belle ville, la bouffe est très intéressante, la grande muraille est vraiment très impressionnante. siège social de CNOOC (pétrole): Public Television: Je n'ai pas réussi à toutes les prendres en photo... mais il y avait 12 grues sur ce terrain: Je n'ai pas réussi à prendre de photos des installations olympiques à cause de la pluie, ni du terminal 3 de l'aéroport qui est à couper le souffle.
  19. La Cour supérieure du Québec ordonne la fermeture du volet téléchargement du populaire site Internet QuebecTorrent, utilisé par des milliers d'Internautes pour s'échanger illégalement de la musique, des émissions de télévision et des films. Pour en lire plus...
  20. Les dernières données de Statistique Canada illustrent ce dont on se doutait, que la télévision traditionnelle ne cesse de perdre du terrain au profit des chaînes payantes et spécialisées. Pour en lire plus...
  21. Le futur acquéreur du réseau Télévision Quatre-Saisons s'est engagé, jeudi matin, à affecter des journalistes à la cueillette et à la livraison d'information locale dans les cinq stations du réseau. Mais en formule réduite. Pour en lire plus...
  22. En réponse aux critiques formulées à l'égard du Fonds canadien de télévision par des câblodistributeurs privés, le CRTC estime que son financement devrait être divisé en deux volets, un public et un privé. Pour en lire plus...
  23. Le CRTC exhorte Remstar à intégrer l'information locale dans son plan de relance du réseau de télévision et à montrer ses états financiers. Pour en lire plus...
  24. MTLskyline

    Tvhd - Hdtv

    Combien d'entre vous ont la Télévision haute définition (TVHD)? Quel est votre service (Vidéotron Illico, Bell Expressvu, StarChoice)? Quel type de télé (marque, taille, LCD/Plasma, etc)? HD-DVD ou Blu-Ray? J'ai un Sharp Aquos LC-26D43U. C'est un télé LCD de 26 pouces de très haute qualité, avec une belle image. Mon service est Illico qui a un bon prix, mais a des problèmes de fiabilité, et le service à la clientèle inférieure . Je suis indécis concernant HD-DVD contre Blu-Ray. ------------------------------------------------ Who here has High-Definition Television (HDTV)?What service are you using (Vidéotron Illico, Bell Expressvu, StarChoice)?What kind of TV do you have (brand, size, LCD/Plasma, etc)?HD-DVD or Blu-Ray? I have a Sharp Aquos LC-26D43U. It is a high-quality 26-inch LCD television with a very nice picture. My service is Illico which has a good price, but has reliability problems and bad customer service. I am undecided about HD-DVD vs. Blu-Ray.
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