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  1. http://affaires.lapresse.ca/economie/immobilier/201502/06/01-4841760-condos-sassurer-coute-une-fortune.php Publié le 06 février 2015 à 06h37 | Mis à jour à 09h36 Condos: s'assurer coûte une fortune André DubucANDRÉ DUBUC La Presse Les dégâts d'eau à répétition dans les immeubles de condos font grimper en flèche les primes d'assurance des syndicats de copropriété. Les compagnies d'assurances ne s'en cachent pas et jettent le blâme sur le manque d'entretien chronique des copropriétés. Mario Daquino est administrateur bénévole du 700-800, Lucille-Teasdale, à Terrebonne, une copropriété de 48 logements. La prime d'assurance du syndicat de copropriété a bondi de 6880$ en 2013 à 31 455$ en 2014. Les charges de condo de M. Daquino ont augmenté de quelque 600$ par année juste pour payer l'assurance. Pourquoi une telle hausse? Deux réclamations totalisant 120 000$ ont été placées auprès de son assureur Promutuel en 2013 à la suite de deux dommages causés par l'eau. Celui-ci n'a plus voulu poursuivre la relation d'affaires. Le nouvel assureur Totten a imposé son prix et ses conditions. La franchise, par exemple, est passée de 2500$ à 50 000$ dans les cas de dégâts d'eau. L'hyperinflation dans les primes d'assurance inquiète un regroupement d'administrateurs de copropriétés qui craignent bientôt d'être incapables d'assurer leur immeuble à un coût raisonnable. Ils appréhendent une baisse de valeur de leur copropriété, si jamais l'immeuble ne peut plus être assuré. Le regroupement a dévoilé hier les résultats d'un sondage donnant un aperçu des difficultés auxquelles font face les syndicats quand vient le temps d'assurer un immeuble de copropriétés. «Il y a effectivement des cas où les primes et le montant des franchises ont augmenté, convient Pierre Babinsky, directeur du Bureau d'assurance du Canada (BAC). Une des raisons est l'historique des sinistres d'une copropriété. On voit de plus en plus de réclamations et, pour un même édifice, plusieurs réclamations d'assurance.» Les administrateurs des syndicats blâmés Les assureurs jettent le blâme sur les administrateurs des syndicats de copropriété, souvent bénévoles, qui négligent leurs responsabilités. «Une des causes principales de la situation que vivent présentement les syndicats est due à un manque d'entretien, qui occasionne de plus en plus de réclamations», dit Alexandre Royer, porte-parole d'Intact. Dans le segment des copropriétés, environ 95% des réclamations résultent de dommages causés par l'eau, d'après le BAC. «On intervient souvent dans les copropriétés, dit Ronald Racicot, vice-président des services après-sinistre du Groupe SMR [pour Services Ménagers Roy]. Dans 9 cas sur 10, c'est pour nettoyer après un dégât d'eau.» SMR est franchisé Groupe Urgence Sinistre (GUS), avec 6 succursales traitant au total 2000 dossiers par année. L'assureur Intact conseille aux administrateurs de copropriétés de faire refaire le toit avant la fin de sa vie utile et de remplacer tous les chauffe-eau tous les 10 ans afin de prévenir les dégâts d'eau les plus courants. «L'assurance sert à se protéger contre des risques. Ce n'est pas un contrat d'entretien», insiste Alexandre Royer. Contrairement à d'autres qui ont délaissé le marché de la copropriété, le premier assureur de dommages en importance au Québec y persévère. «On est toujours dans le marché. On va de l'avant avec une souscription qui est disciplinée, une tarification qui est juste et qui reflète le niveau de risque auquel on est exposé.» Pour le BAC, la solution contre les hausses de primes passe par la constitution par le syndicat de copropriété d'un fonds de prévoyance adéquat et l'établissement d'un carnet d'entretien préventif rigoureux. «Il y a certaines provinces où l'encadrement au niveau de l'entretien et de la constitution du fonds de prévoyance est plus réglementé, indique Pierre Babinsky. On voit dans ces situations que les réclamations ne sont pas au même niveau qu'au Québec.» Un parc de condos qui prend de l'âge Le parc de condos vieillit mal. Quand l'entretien est négligé, les ennuis s'aggravent à mesure que les années passent. Des cas d'horreur (Jardins de l'Archipel, à l'Île-des-Soeurs, ou le Trafalgar, chemin de la Côte-des-Neiges) ont déjà fait les manchettes avec leurs cotisations spéciales astronomiques exigées aux copropriétaires. La Presse a obtenu de la firme JLR recherche immobilière la liste des quartiers de l'île de Montréal où se concentrent les copropriétés construites il y a plus de 25 ans. > Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce: 3304 > Plateau Mont-Royal: 6137 > Rosemont-Petite-Patrie: 2743 > Sud-Ouest: 2501 > Verdun-Île-des-Soeurs: 3435 > Ville-Marie: 7230 > TOTAL Ville de Montréal: 41 810 > TOTAL Île de Montréal: 46 982 Source: JLR Des dégâts d'eau qui font mal Assurances et condo ne font pas bon ménage. L'augmentation des réclamations, surtout en raison des dégâts d'eau, a fait bondir les primes d'assurance ainsi que les montants de franchise depuis cinq ans, selon un sondage réalisé par le Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec (RGCQ) auprès de 700 syndicats de copropriétés. Voici les faits saillants. Vous a-t-on déjà refusé des couvertures d'assurance? > Oui: 10% > Non: 90% Couvertures refusées par les compagnies d'assurances > Inondations: 46% > Refoulements d'égouts: 36% > Responsabilité des administrateurs: 18% Motif pour refus de couverture > Trop de réclamations: 66% > Conjoncture du marché: 25% > Zone inondable: 6% > Refus de faire les correctifs appropriés: 3% Sinistres le plus souvent rencontrés (cinq dernières années) > Dégât d'eau: 58% > Refoulements d'égoûts: 11% > Vol/vandalisme: 7% > Autres: 24% Augmentation des primes d'assurance (cinq dernières années) > Moins de 20%: 37% > Entre 20 et 50%: 42% > Entre 50 et 100%: 10% > Plus de 100%: 3% Augmentation des franchises (cinq dernières années) > Moins de 20%: 38% > Entre 20 et 50%: 38% > Entre 50 et 100%: 8% > Plus de 100%: 3% Source: Regroupement des gestionnaires et copropriétaires du Québec
  2. Un autre bon article qui met les choses en perspective en pesant sagement le pour et le contre du mouvement syndicaliste. D'ailleurs trop de gens sautent aux conclusions en méprisant les syndicats, comme si la société irait mieux sans leur précieuse contribution. C'est indéniablement faire preuve d'aveuglement volontaire et d'ignorance que de porter un jugement aussi sévère, sur une institution encore aussi indispensable aujourd'hui, qu'au début de la lutte des travailleurs. Rien n'est parfait dans ce bas-monde, et sans contre-poids, tous les pouvoirs finissent par abuser, sous une forme ou une autre d'injustice. Ainsi tout comme en physique: pour trouver et conserver l'équilibre, tout mouvement a besoin d'une force contraire et équivalente qui s'applique de manière aussi constante. Publié le 07 janvier 2014 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 L'année du syndicalisme? Ma Presse Brigitte Breton Le Soleil (Québec) C'est le temps des résolutions, et le mouvement syndical québécois a de l'ambition. La Centrale des syndicats du Québec (CSQ) veut faire de 2014 l'année du syndicalisme. La Fédération des travailleurs du Québec souhaite pour sa part que le monde syndical se mobilise pour défendre ses valeurs face au régime conservateur et aux attaques de la droite. Elles ne manqueront pas de boulot. Les organisations syndicales ont en effet une pente à remonter, et leur perte de popularité a débuté bien avant que la commission Charbonneau étale les comportements douteux et mafieux d'un Jocelyn Dupuis à la direction de la FTQ-Construction et l'apathie du président de la FTQ, Michel Arsenault, pour y mettre fin. Les belles années des syndicats sont derrière eux. Les citoyens, y compris ceux qui sont syndiqués, sont plus individualistes et croient moins en la force de l'action regroupée. Dans la tête de certains, les syndicats sont des empêcheurs de tourner en rond, des créatures qui n'agissent que par intérêts corporatistes. Ils sont un frein à leurs ambitions et à leur rémunération personnelles, un fardeau pour les gouvernements, les municipalités et les employeurs, et une cotisation syndicale ne représente qu'une inutile ponction sur leur chèque de paye. Pour eux, si les syndicats n'existaient pas, tout irait tellement mieux dans la société. Les taxes et les impôts seraient forcément plus bas, la dispensation des services plus efficace et moins onéreuse. Le travail de chacun, du simple manoeuvre au professionnel, serait évidemment payé à sa juste valeur, sans arbitraire, et pas un employeur ne rognerait sur les conditions de travail de ses employés pour verser plus de dividendes aux actionnaires ou pour hausser davantage sa propre rémunération. Jamais, jamais. Que les 100 patrons les mieux payés au Canada gagnent 171 fois le salaire moyen de leurs employés serait chose du passé. Tout le monde serait content comme au Walmart. Et quelle est cette prétention que le rôle des organisations syndicales va au-delà de la négociation d'un contrat de travail? Les gouvernements et les employeurs n'avaient pas besoin de l'avis des syndicats pour fixer un salaire minimum, des normes minimales de travail ou des règles strictes en matière de santé et de sécurité au travail. Pas plus que leur intervention n'était nécessaire pour faire adopter une loi sur l'équité salariale, prévoir des congés parentaux ou pour bâtir un réseau de services de garde de qualité. Ils auraient accordé tout ça aux Québécoises et aux Québécois, syndiqués ou non, sans la pression des porte-parole syndicaux. Il faut une méconnaissance des gains sociaux acquis grâce à la contribution et à la détermination des syndicalistes, ou vouloir surfer sur le sentiment antisyndical ambiant, pour croire que tout ira mieux pour M. et Mme Tout-le-Monde si les méchants syndicats étaient condamnés au mutisme et à l'inaction. Bien sûr, il faut viser un équilibre. Trop de pouvoir aux syndicats n'est pas plus sain que trop de pouvoir au patronat. Il faut tenter de concilier les intérêts de chacune des parties, s'ajuster de part et d'autre aux besoins changeants, aux préoccupations de la main-d'oeuvre d'aujourd'hui, aux transformations du marché du travail et aux effets de la mondialisation. Les organisations syndicales ont raison de s'inquiéter et de se mobiliser contre certaines mesures préconisées par le gouvernement Harper. Accusant les syndicats de défendre des intérêts corporatistes, celui-ci réplique qu'il continuera «à maintenir les taxes et les impôts bas pour les contribuables, ainsi qu'à prioriser l'économie et la création d'emplois». Comme si l'objectif des syndicats était de nuire à l'économie, de perdre des jobs et d'alourdir le fardeau fiscal de leurs membres. Les conservateurs veulent plutôt réduire au silence les voix critiques et discordantes.
  3. MONTRÉAL - L'affrontement entre les syndicats de la construction et Québec concernant le placement syndical s'est poursuivi à Montréal vendredi. Le projet de copropriétés Le Liguori, qui se trouve dans le quartier Villeray, a été paralysé dès 10 h. Des délégués syndicaux de la FTQ-Construction se sont présentés sur les lieux et ont demandé à une trentaine de travailleurs de quitter le chantier. Seuls quelques ouvriers, dont le travail ne peut être interrompu, sont restés sur place. Les syndicats ont manifesté leur mécontentement relativement au projet de loi 33 du gouvernement Charest qui vise à abolir le placement syndical dans le milieu de la construction. Le Liguori est un projet de 211 unités en copropriété du Groupe immobilier Van Houtte qui se trouve boulevard Crémazie, près de Lajeunesse. Sur l'heure du midi, un autre chantier de construction a été paralysé dans la métropole. Le projet de résidence pour aînés du Groupe Maurice dans le quartier Ahuntsic, Les jardins Millen, a été déserté par les employés. Ailleurs en province Ce n'est pas que Montréal qui a été touchée par ces manifestations des syndicats de la construction vendredi. À Châteauguay, le chantier du prolongement de l'autoroute 30 a lui aussi arrêté. Il semble que tout se soit fait très rapidement, puisque jusqu'à ce midi, tout se déroulait rondement sur le terrain. Il s'agit d'une action éclatante et symbolique, puisque le prolongement de la 30 a été un enjeu électoral important. Le plus important chantier du Saguenay-Lac-Saint-Jean a lui aussi été paralysé. Le projet AP60 de Rio Tinto Alcan, à Saguenay, où travaille un millier d'employés a cessé toute activité dès 8 h le matin. Le syndicat a affirmé que cet arrêt de travail avait lieu pour protester contre le gouvernement, mais la compagnie a dit de son côté que c'est elle qui a fait cesser les opérations, car des travailleurs auraient commis des gestes « non sécuritaires ». Grande démonstration lundi? Le chargé de projet du Liguori a confié à TVA Nouvelles qu'il pourrait y avoir une grande perturbation sur les chantiers de construction de la province, lundi prochain. Il semble que certains grands chantiers, comme celui des hôpitaux du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) et du Centre universitaire de santé McGill (CUSM), pourraient aussi être touchés. De son côté, la ministre du Travail, Lise Thériault, a appelé les entrepreneurs à porter plainte contre les syndicats auprès du gouvernement ou encore à la Commission de la construction du Québec (CCQ).
  4. La gauche déconnectée La présidente de la CSN, Claudette Carbonneau, veut partir l’année du bon pied. En s’attaquant à « la droite », qu’elle juge « de plus en plus provocante ». Cette droite, incarnée par le Réseau Liberté Québec (RLQ), veut, entre autres, moins de fonctionnaires, plus d’argent dans nos poches de contribuables, et désengorger les urgences avec l’aide d’entrepreneurs québécois – le « privé ». Beaucoup de Québécois appuient ces idées. Et ça fait paniquer les syndicats de la fonction publique. On les comprend. Leur employeur, c’est l’État. Si celui-ci décide de se serrer la ceinture, ça veut dire moins d’emplois et moins de privilèges pour les syndiqués. Quelle privatisation? Le discours des centrales syndicales est toujours le même : nous vivons dans un monde « néolibéral » de droite, où l’État coupe et privatise sans cesse les programmes sociaux. Mais quel monde néolibéral? Quelle privatisation? C’est l’inverse. Au Québec on étatise et syndique les programmes sociaux sitôt qu’on a la chance. Dernier exemple : les garderies. La CSN et la CSQ ont récemment syndiqué 15 000 gardiennes en milieu familial (des grèves ont suivi aussitôt). Contrairement à ce que claironne la propagande syndicale, l’État ne rapetisse pas. Il grossit. Le nombre de fonctionnaires aussi. On comptait 94 employés du secteur public pour 1000 habitants au Québec en 2000, selon Statistique Canada. Aujourd’hui : 112. Le poids du gouvernement dans l’économie était de 27 % à l’arrivée de Jean Charest comme premier ministre en 2003. Aujourd’hui : 31 %. Si vous payez 1 % plus de TVQ à partir d’aujourd’hui, ce n’est pas un hasard. La supposée « privatisation des services publics » est un mensonge. Un épouvantail ridicule qui n’effraie aucunement quiconque se donne la peine de vérifier les chiffres. Programmes sociaux en danger C’est vrai, nos programmes sociaux sont en danger. Mais pas à cause de la droite. Ironie ultime, ce sont les syndicats eux-mêmes, par leur gourmandise et leur intransigeance, qui menacent la survie des programmes sociaux au Québec. Revenons aux garderies à 7 $. Le coût de ce programme est passé de 290 millions en 1997, à plus de deux milliards aujourd’hui. Sept fois plus. Pourtant, le nombre de places pour les enfants a à peine plus que doublé. Le programme est dans le rouge – le gouvernement a emprunté plus de 200 millions l’an dernier pour se le payer. Et pour satisfaire les exigences salariales des 15 000 nouveaux syndiqués, il faudra ajouter un autre 300 ou 400 millions à la facture. Bientôt, la survie du programme sera menacée. Pas à cause de « la droite ». En grande partie à cause des syndicats et de la bureaucratie, qui font exploser les coûts. On pourrait aussi parler des hôpitaux, où les syndicats et corporations agissent comme obstacles à une livraison plus efficace des services. De nos écoles, où les syndicats et génies du ministère de l’Éducation nivèlent par le bas autant la qualité des professeurs que des élèves. Illusions solidaires Les citoyens qui souhaitent garder des programmes sociaux de qualité au Québec doivent réaliser une chose : ceux qui se déguisent en défenseurs de vos intérêts – les centrales syndicales, comme celle de Mme Carbonneau – sont les mêmes qui vont dépouiller ces programmes pour leur profit, jusqu’à ce qu’on n’ait plus le choix de les privatiser… parce qu’on n’aura plus un sou. Selon Mme Carbonneau, « les libertés dont le RLQ se réclame sont des “illusions tranquilles” pour l’immense majorité de la population, qui n’aura jamais les moyens de s’en prévaloir ». Erreur. Ce que les Québécois ne sont plus capables de s’offrir, ce sont les « illusions solidaires » de la CSN, FTQ et autres syndicats. Et les fantasmes ruineux d’une gauche déconnectée de leur réalité. http://descoteaux.argent.canoe.ca/general/la-gauche-deconnectee/
  5. Voici quelques articles que j'ai trouvé bon sur toute la merde qui se passe avec la FTQ. JE n'en reviens pas que le gouvernement charest ne fait rien dans ce dossier. Je commence vraiment à croire que les Libéraux de Charest commencent à ce croire invincible et qu'ils commencent à croire qu,ils seront au pouvoir éternellement! Ça fait 7 ans qu,ils sont au pouvoir...il serait temps d'un petit changement! Pour revenir au sujet original, comme j,ai souvent dis, les syndicats s'en viennent de plus en plus puissant et corrompus. Vous n,avez qu'à lire ces article sur toute la crosse qu'il se passe dans le monde de la construction au Québec pour réaliser qu,on se fait avoir. On se demande pourquoi tout coûte 30% de plus au Québec...et bien vous avez votre réponse. Les osties de syndicats croches et remplis de criminels! Si Charest avait des couilles, il ferait quelque chose pôur nettoyer cette merde qu'est les syndicats! Vraiment dégoutant!! http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/201003/12/01-4259902-la-ftq-est-intouchable.php «La FTQ est intouchable» Denis Lessard La Presse (Québec) Paul Sauvé, l'entrepreneur qui avait alerté la police sur les dérapages du monde de la construction, l'intimidation, le blanchiment d'argent et les liens avec le crime organisé, est furieux. Après avoir craint pour sa vie et pour celle de sa fille et failli perdre son entreprise, celui qui avait mis le feu aux poudres est outré «de l'hypocrisie du gouvernement Charest, qui refuse de faire le ménage dans une industrie corrompue». «La FTQ est carrément intouchable», lance celui qui était allé voir la SQ il y a trois ans pour dénoncer le motard Marvin Ouimet ainsi que le patron des Grues Guay, Louis-Pierre Lafortune, et un de leurs amis, Jocelyn Dupuis, directeur général de la FTQ-Construction pendant 11 ans. Avec les accusations portées mercredi contre Jocelyn Dupuis pour fraude et fabrication de fausses factures, les trois individus visés à l'époque font finalement l'objet d'un mandat d'arrêt. Seul Lafortune a été épinglé jusqu'ici, à l'aéroport Montréal-Trudeau, en décembre 2009. On reproche à Dupuis, essentiellement, d'avoir demandé le remboursement de dépenses indues à l'époque où il était à la direction de la FTQ-Construction. «On a un gars qui va payer pour des dépenses injustifiées, mais le problème est bien plus profond», déplore Sauvé. M. Sauvé est amer. Le gouvernement aurait dû aller beaucoup plus loin. «Quand je regarde avec un peu de recul tout ce qui ne s'est pas fait et qui aurait pu être fait pour mettre en lumière une industrie qui trébuche depuis si longtemps, je suis fâché! Le gouvernement Charest avait la chance de faire le ménage important qu'il avait promis. On promettait de casser le cartel... Or, ce qu'on voit, c'est que la FTQ et le gouvernement Charest parlent d'une seule voix. On prouve qu'il y a des Hells Angels dans la cabane, qu'il y en a qui font de l'extorsion, des menaces, du blanchiment... on devrait faire plus qu'arrêter un gars pour des remboursements de dépenses!» dit M. Sauvé, dont l'entreprise de maçonnerie, LM Sauvé, avait été infiltrée par le crime organisé. À la suite de sa dénonciation à la police et d'accrochages avec la FTQ-Construction et le Fonds de solidarité, Paul Sauvé avait vu son entreprise péricliter. Il a toutefois évité la faillite et travaille désormais dans des chantiers plus modestes. «Les choses se replacent, mais la pilule a été dure à avaler», résume Paul Sauvé.
  6. Saviez-vous cela que les prestations que les employés retirent de leur syndicats ne sont imposables !!?? Moi ça me met en tabarnak entendre des choses de même! Et aussi je me demande pourquoi La Presse titre que Pierre-Karl Péladeau s'attire des critiques, plutôt qu'elle aurait tout simplement affirmé que PKP a publié une lettre anti-syndicale... en tk! (Lévis) Pierre Karl Péladeau s'est attiré bien des critiques ce matin à la Rencontre économique de Lévis après avoir publié un texte dénonçant les «privilèges» des syndicats qui nuisent selon lui au développement économique. Les entrepreneurs québécois doivent dédier «trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs relations de travail», dit le patron de Quebecor, propriétaire du Journal de Montréal dont les employés sont en lock-out depuis près d'un an. Pierre Karl Péladeau n'a pas été invité à la Rencontre économique du gouvernement Charest, mais il a tout de même fait jaser à Lévis avec sa lettre publiée dans le Journal de Québec. Le banquier Jacques Ménard se demande quelle mouche a piqué M. Péladeau. «Il a un confit de travail. Il est aux prises avec un problème d'affaires spécifique qui est le sien. C'est possible qu'à cause de ça il extrapole... Je ne sais pas si dans son cas ses dires ont excédé sa pensée. Ça fait peut-être partie d'une stratégie qui m'échappe. Je ne suis pas psychologue, je ne peux en dire plus que ça», a affirmé le patron de BMO. Selon lui, les syndicats contribuent au développement du Québec, et «on ne peut parler de projet de société économique et social si les dirigeants syndicaux ne sont pas à la table». En 1989, alors qu'il était à la tête de la chambre de commerce, M. Ménard avait même demandé à un représentant syndical de siéger au conseil d'administration. «Parfois, on a des divergences d'opinion, mais ça ne nous empêche pas de travailler ensemble», a-t-il noté. Aucun décideur économique et financier présent à Lévis ne s'est manifesté cet avant-midi pour appuyer publiquement la sortie du patron de Quebecor. À son entrée à la Rencontre économique, le premier ministre Jean Charest a fait valoir que «les relations de travail au Québec somme toute sont bonnes». «Il y a des consensus sur plusieurs lois» syndicales, a-t-il ajouté. Le ministre des Finances, Raymond Bachand, estime que «les syndicats sont des grands partenaires du développement économique» et mettent l'épaule à la roue en vue, par exemple, d'augmenter la productivité. «M. Péladeau exprime son opinion. Il a le droit», a-t-il ajouté. Claudette Carbonneau, présidente de la CSN, qui représente les employés en lock-out du Journal de Montréal, trouve que M. Péladeau «est bien mal placé pour donner des leçons sur les relations de travail». «Je pense que M. Péladeau est préoccupé par le cash, et non les relations humaines, a affirmé de son côté Michel Arseneault, président de la FTQ. Vous savez, diriger une entreprise, c'est des relations humaines à tous les jours. Mais lui, ça le fatigue.» «L'attitude antisyndicale» de M. Péladeau n'est pas nouvelle, a-t-il fait valoir. «Un des beaux exemples, c'est qu'il a même refusé la publicité du Fonds de solidarité qu'on voulait à TVA et dans l'ensemble de Quebecor. Nous, on voulait annoncer partout, sauf dans le Journal de Montréal en lock-out. Et à ce moment-là, il a refusé la publicité.» Le président de la CSQ, Réjean Parent, a qualifié M. Péladeau d'«antisyndicaliste notoire». Dans une lettre publiée ce matin dans le Journal de Québec, Pierre Karl Péladeau dénonce les «privilèges aussi nombreux et de moins en moins justifiables» dont bénéficient selon lui les syndicats. Des lois adoptées au fil des ans ont provoqué un «déséquilibre des forces» entre employeurs et syndicats qui a eu pour conséquence «de défavoriser les entreprises québécoises dans le contexte économique mondialisé dorénavant largement répandu, de rendre plus difficile l'émergence de jeunes entrepreneurs, ainsi que de pénaliser notre désir collectif, voire notre obligation, d'accroître notre productivité». M. Péladeau s'en prend par exemple à la formule Rand. «N'est-il pas légitime de nous permettre, comme citoyens bénéficiant d'une maturité politique et démocratique, de décider si nous voulons ou non faire partie d'une organisation syndicale et d'en payer les cotisations ?» Il dénonce «la création d'une unité d'accréditation par la simple signature de cartes d'adhésion». Il condamne aussi le «privilège qui permet aux employés en conflit de travail de ne pas payer d'impôt sur les prestations monétaires qu'ils reçoivent de leurs syndicats, mesure exceptionnelle parce qu'elle fait financer les positions des organisations syndicales par l'ensemble des contribuables déjà assujettis à un fardeau fiscal que tous reconnaissent parmi les plus lourds du continent». «Il se trouvera certainement plusieurs membres de l'intelligentsia pour justifier l'action positive des syndicats au Québec», a-t-il ajouté, soulignant qu'il reconnaît le «rôle nécessaire» de ces organisations. Mais «tous ces beaux penseurs ont-ils déjà été confrontés à la réalité de dirigeants d'entreprises et d'entrepreneurs comme celle à laquelle mes collègues et moi faisons face de façon quotidienne, tant au Canada qu'à l'étranger, dans un contexte de concurrence mondiale?», se demande-t-il. «Au Québec, les dirigeants d'entreprise doivent dédier trop de temps, d'énergie et d'argent à gérer leurs « relations de travail » alors qu'ailleurs, les divers intervenants au sein des entreprises participent ensemble à assurer la poursuite du développement de leurs activités et l'accroissement de leur productivité afin de gagner sur les marchés mondiaux, tant dans les secteurs manufacturiers que dans les secteurs de l'économie du savoir et des technologies», ajoute M. Péladeau. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201001/21/01-941535-pierre-karl-peladeau-sattire-des-critiques.php
  7. Les syndicats divisés sur l'idée d'une hausse des tarifs au Québec La Presse canadienne Édition du mardi 11 août 2009 Les syndicats ont réagi différemment, hier, aux propositions des jeunes libéraux d'augmenter les tarifs des services publics. La CSN veut que le gouvernement détermine les besoins sociaux de la population en santé, en éducation et en développement économique avant d'envisager l'augmentation des tarifs des services publics, le gouvernement du Québec devrait d'abord déterminer les besoins sociaux de la population en santé, en éducation et en développement économique. De son côté, le Secrétariat intersyndical des services publics (SISP) refuse de suivre les jeunes libéraux. Le trésorier de la CSN, Pierre Patry, a affirmé, hier, que le financement des places en centre d'hébergement ou de l'éducation postsecondaire, notamment, n'était pas suffisant en ce moment. M. Patry a en outre déploré que les jeunes libéraux ne proposent d'augmenter les revenus du Québec qu'en haussant les tarifs des services publics. Selon lui, d'autres possibilités, telles que la fiscalité, doivent aussi être étudiées. Au dire du syndicaliste, la CSN n'est pas opposée à l'augmentation des tarifs, mais à condition d'avoir l'assurance qu'il y aura, en retour, des services publics de qualité. M. Patry a aussi dit que la CSN n'était pas opposée à l'augmentation de la TVQ d'un autre point de pourcentage, pour occuper totalement le champ fiscal abandonné par Ottawa, après la baisse de la TPS de 7 % à 5 %. Selon M. Patry, Québec pourrait accroître ses revenus annuels de plus d'un milliard de dollars pour chaque augmentation d'un point de pourcentage de la TVQ. Le SISP a mis en garde le premier ministre Jean Charest de se laisser séduire «par la pensée magique des jeunes libéraux», notamment à propos de l'installation de postes de péage sur toutes les autoroutes afin de financer les dépenses publiques. Deux vitesses «Il faut s'attendre à ce que ceux qui ont un revenu modeste utilisent des routes alternatives alors que les plus nantis continuent de rouler sur les autoroutes, créant ainsi, sans jeu de mots, un système routier à deux vitesses, soutient la porte-parole du SISP Lucie Martineau. Ce concept d'utilisateur-payeur contribue aussi à accentuer la concentration du développement économique dans les grands centres au détriment des régions, en accroissant les voies de communication.» Pour le SISP, la tarification ne peut servir de moyen pour renflouer les revenus de l'État, car trop de programmes gouvernementaux ont des composantes à caractère social pour en faire de simples biens à facturer à l'utilisateur. Afin de pallier les difficultés de financement des services publics, le SISP suggère plutôt de mettre en oeuvre des mesures «vigoureuses» pour contrer l'évasion fiscale, ce problème majeur qui prive l'État de revenus très importants. Le SISP demande au gouvernement libéral de suivre l'exemple des leaders mondiaux afin de récupérer les sommes astronomiques qui échappent au fisc, de l'argent qui devrait plutôt être réinvesti dans le maintien et l'amélioration des services à la population.
  8. Le New York Times va-t-il fermer le Boston Globe ? Publié le 04 mai 2009 à 12h36 | Mis à jour à 12h43 Agence France-Presse Le groupe de presse américain New York Times (NYT) va notifier aux autorités fédérales son plan de fermer le quotidien Boston Globe, devant le refus des syndicats du journal d'accepter un plan d'économies, selon le Washington Post de lundi. Le New York Times a menacé de fermer le quotidien historique de la ville de Boston, qui risque de perdre 85 millions de dollars cette année, si les syndicats du Boston Globe n'acceptent pas des baisses de salaires et autres mesures d'économies d'un total de 20 millions de dollars. Le dépôt officiel de ce préavis légal de 60 jours avant fermeture renforce la possibilité que le Globe disparaisse dans les semaines à venir. En 1993, le groupe New York Times avait racheté le Boston Globe, créé il y a 137 ans, pour 1,1 milliard de dollars. Mais il pourrait s'agir d'une tactique pour forcer les syndicats à accepter des concessions, puisque cette notification n'oblige pas le New York Times à mettre à exécution son projet de fermeture au bout des 60 jours, fait valoir le Washington Post. Le Boston Globe rapporte lundi que les négociations ont été interrompues, après que le plus important syndicat du quotidien, le Boston Newspaper Guild, qui représente quelque 600 travailleurs, et la direction du groupe de presse ont échoué dans leurs négociations marathon. La direction du New York Times a rejeté la dernière proposition du syndicat, qui proposait une réduction de coûts de quelque 10 millions de dollars, indique le quotidien. Selon le Boston Newspaper Guild, cette proposition comportait notamment des réductions salariales de 3,5% pour la plupart des employés, des congés sans solde, une augmentation de l'âge requis pour pouvoir bénéficier d'une retraite anticipée et une diminution des contributions aux retraites. «Ils ont rejeté notre proposition», a affirmé le président du syndicat, Daniel Totten au Globe. «Il s'agit des mêmes tactiques d'intimidation et de pression», a-t-il ajouté, précisant que les négociateurs étaient épuisés et allaient effectuer une pause. «Les négociations sont terminées pour aujourd'hui (...) nous allons nous réunir à nouveau sous peu», a-t-il indiqué. D'autres syndicats, plus petits, ont conclu au cours de la nuit passée un accord provisoire avec la direction, précise par ailleurs le quotidien de Boston.
  9. Des représentants de syndicats sont convoqués à une réunion avec le premier ministre Shawn Graham pendant qu'une source gouvernementale signale que le budget comprendra un déficit et d'importantes compressions dans la fonction publique. Pour en lire plus...
  10. Ce ne sont pas tant les erreurs des Trois Grands que la politique commerciale nord-américaine qu'il faut blâmer pour les problèmes de l'industrie, disent les leaders syndicaux. Pour en lire plus...
  11. La Centrale des syndicats du Québec appelle Ottawa et Québec à soutenir les citoyens les plus pauvres en cette période d'incertitude. Pour en lire plus...
  12. Les deux derniers syndicats encore réticents face au plan de sauvetage de la compagnie aérienne italienne ont annoncé à la presse lundi avoir finalement donné leur accord. Pour en lire plus...
  13. Les syndicats et de possibles investisseurs reprennent les négociations sur le sauvetage d'Alitalia, tandis que le gouvernement tente d'éviter que l'aviation civile cloue les avions au sol. Pour en lire plus...
  14. L'obsession syndicale André Pratte La Presse Réunis en fin de semaine pour leur congrès annuel, les jeunes du Parti libéral du Québec ont adopté des propositions qui visent à éviter certains abus commis, selon eux, par les syndicats. En particulier, ils suggèrent que les votes sur l'accréditation et la grève soient obligatoirement secrets et qu'un travailleur mécontent puisse plus facilement contester les décisions de son syndicat. C'est une vieille obsession des jeunes libéraux comme des milieux patronaux: le taux de syndicalisation élevé au Québec - 40% contre 28% en Ontario - est perçu comme une tare, un obstacle à la croissance. Les syndicats sont vus comme des empêcheurs de tourner en rond qui manipulent les travailleurs à des fins idéologiques. Il est indéniable que les centrales syndicales ont une vision de la société fort différente de celle des patrons, et probablement fort différente de celle de beaucoup de leurs membres. Il est certain aussi que, dans certains conflits, les syndicats devraient se montrer plus raisonnables. Toutefois, l'excès de rigidité n'est pas l'apanage des syndicats. De plus, on a vu dans la récente entente conclue entre Bombardier et ses employés que des représentants des travailleurs sont capables de clairvoyance. On peut déplorer les tactiques employées ces jours-ci par les représentants des employés de l'hôtellerie, en particulier à Québec en plein 400e, mais on ne peut que se réjouir du fait que les femmes de chambre aient un syndicat pour les défendre. La thèse qui sous-tend l'obsession syndicale est erronée. Rien n'indique que le taux de syndicalisation élevé est un empêchement au développement économique. Le fait est que le Québec a connu une forte croissance au cours des dernières années tandis que le taux de pénétration syndicale est resté le même. L'Ontario, elle, a connu une période plus difficile malgré une baisse du taux de syndicalisation. Il est vrai que le travailleur québécois moyen travaille moins d'heures que le travailleur ontarien, mais une étude faite par Statistique Canada a démontré que cela avait peu à voir avec la puissance des syndicats au Québec: les Québécois non syndiqués travaillent eux aussi moins que leurs homologues ontariens. Ce taux de syndicalisation de 40%, constamment évoqué, est de toute façon trompeur. Il est en effet gonflé par la forte présence syndicale dans le secteur public. Dans le privé, au Québec, un quart des employés seulement sont syndiqués. Former un syndicat n'est donc pas aussi simple qu'on le dit, bien qu'il suffise de faire signer des cartes à une majorité d'employés. Enfin, les dirigeants syndicaux n'abusent pas du droit de grève, si l'on en croit les statistiques compilées par le ministère du Travail. En fait, 2006 et 2007 ont été, des 10 dernières années, les plus pacifiques au chapitre des relations de travail, avec moitié moins de conflits de travail (grèves et lockouts) que les années précédentes. Cela étant, on voit mal la nécessité de remettre en question les fondements du régime syndical québécois. Le premier ministre Jean Charest a tout de suite mis de côté cette proposition des jeunes militants de son parti. Il faut dire que M. Charest, au début de son premier mandat, s'était fait convaincre par le lobby patronal de modifier l'article du Code du travail sur la sous-traitance. Cela a provoqué un affrontement en règle avec les syndicats, affrontement parfaitement inutile qui amorça la descente aux enfers de son parti. Partisans (avec raison) du bilinguisme, les jeunes libéraux n'auront pas de mal à comprendre cette sage maxime américaine: «If it ain't broke, don't fix it.»
  15. La compagnie a mis en garde ses cadres sur les conséquences d'une élection du candidat démocrate à la Maison-Blanche, craignant un renforcement des syndicats. Pour en lire plus...
  16. Les syndicats négocient les conditions de travail de milliers de salariés de l'industrie hôtelière québécoise. Ils brandissent la menace de grèves sans préavis si les discussions n'avancent pas plus vite dans certains établissements. Pour en lire plus...
  17. Les syndicats perçus comme les gardiens des paresseux Cinquante-neuf pourcent de la population croit que les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux, selon un sondage mené par Pierre Côté, fondateur de l'Indice relatif de bonheur (IRB). Les syndiqués eux-mêmes sont loin d'être en désaccord avec cette affirmation : 52% d'entre eux répondent oui lorsqu'on leur demande si, dans la société d'aujourd'hui, les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux. Le camp du non rallie un maigre 9 % de l'ensemble des sondés et 11 % de la population syndiquée. Le sondage dans son ensemble ne révèle ni amour ni haine envers les syndicats. Bien qu'on ne les érige pas en leaders de la société, on reconnaît leur utilité : 40 % des sondés les jugent essentiels dans la démocratie et l'équilibre social. Toutefois, 55 % croient que les syndicats incarnent des instruments politiques au service de leurs intérêts. Au-delà du sondage, la question de la paresse et de l'incompétence au travail soulevée par Pierre Côté illustre une réalité des organisations. Selon un sondage CROP commandé en 2007 par l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHI), 69 % de la population affirme côtoyer au travail des employés dont le rendement est médiocre et qui sont maintenus en poste. Mais, dans les faits, quel rôle les syndicats jouent-ils lorsqu'un patron est confronté à une situation d'incompétence ou de paresse flagrante d'un employé? «En bout de ligne, le résultat est le même, syndicat ou non», affirme Laurent Francoeur, président et directeur général de l'ORHI. «Gérer l'incompétence relève de la responsabilité de l'employeur puisque celui-ci détient un droit de gérance. Le syndicat va encadrer le processus menant au congédiement, et il contestera la décision si les procédures n'ont pas été suivies correctement», ajoute-t-il. Cependant, cette opinion de l'expert est loin d'être partagée par les sondés de l'IRB. Alors que Laurent Francoeur positionne les syndicats comme les gardiens de procédures établies, l'opinion publique estime que les syndicats encouragent la paresse et l'incompétence, entravant la productivité des organisations. Crise de perception ou signal d'alarme lancé aux syndicats? «Les syndicats doivent faire une introspection et redéfinir leurs objectifs, déclare Pierre Côté. Ils ne se battent plus pour une cause, mais pour conserver leurs acquis et renforcer leur pouvoir.» Observatoire social L'Indice relatif de bonheur s'affiche comme un observatoire social indépendant. Pierre Côté, l'homme derrière l'indice, est consultant en communication marketing. Depuis qu'il a fondé l'IRB en novembre 2006, il a posé plus de 350 questions aux internautes naviguant sur indicedebonheur.com. Quelque 1257 personnes ont répondu en ligne au sondage de l'IRB portant sur la perception des syndicats, la marge d'erreur étant de 2,8%. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170546/5891/LAINFORMER01
  18. Les syndicats perçus comme les gardiens des paresseux 17 juin 2008 - 07h27 Le Soleil Anne-Sophie Pratte Cinquante-neuf pourcent de la population croit que les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux, selon un sondage mené par Pierre Côté, fondateur de l'Indice relatif de bonheur (IRB). Les syndiqués eux-mêmes sont loin d'être en désaccord avec cette affirmation : 52% d'entre eux répondent oui lorsqu'on leur demande si, dans la société d'aujourd'hui, les syndicats protègent trop les incompétents et les paresseux. Le camp du non rallie un maigre 9 % de l'ensemble des sondés et 11 % de la population syndiquée. Le sondage dans son ensemble ne révèle ni amour ni haine envers les syndicats. Bien qu'on ne les érige pas en leaders de la société, on reconnaît leur utilité : 40 % des sondés les jugent essentiels dans la démocratie et l'équilibre social. Toutefois, 55 % croient que les syndicats incarnent des instruments politiques au service de leurs intérêts. Au-delà du sondage, la question de la paresse et de l'incompétence au travail soulevée par Pierre Côté illustre une réalité des organisations. Click here to find out more! Selon un sondage CROP commandé en 2007 par l'Ordre des conseillers en ressources humaines et en relations industrielles (ORHI), 69 % de la population affirme côtoyer au travail des employés dont le rendement est médiocre et qui sont maintenus en poste. Mais, dans les faits, quel rôle les syndicats jouent-ils lorsqu'un patron est confronté à une situation d'incompétence ou de paresse flagrante d'un employé? «En bout de ligne, le résultat est le même, syndicat ou non», affirme Laurent Francoeur, président et directeur général de l'ORHI. «Gérer l'incompétence relève de la responsabilité de l'employeur puisque celui-ci détient un droit de gérance. Le syndicat va encadrer le processus menant au congédiement, et il contestera la décision si les procédures n'ont pas été suivies correctement», ajoute-t-il. Cependant, cette opinion de l'expert est loin d'être partagée par les sondés de l'IRB. Alors que Laurent Francoeur positionne les syndicats comme les gardiens de procédures établies, l'opinion publique estime que les syndicats encouragent la paresse et l'incompétence, entravant la productivité des organisations. Crise de perception ou signal d'alarme lancé aux syndicats? «Les syndicats doivent faire une introspection et redéfinir leurs objectifs, déclare Pierre Côté. Ils ne se battent plus pour une cause, mais pour conserver leurs acquis et renforcer leur pouvoir.» Observatoire social L'Indice relatif de bonheur s'affiche comme un observatoire social indépendant. Pierre Côté, l'homme derrière l'indice, est consultant en communication marketing. Depuis qu'il a fondé l'IRB en novembre 2006, il a posé plus de 350 questions aux internautes naviguant sur indicedebonheur.com. Quelque 1257 personnes ont répondu en ligne au sondage de l'IRB portant sur la perception des syndicats, la marge d'erreur étant de 2,8%. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080617/LAINFORMER/806170546/5891/LAINFORMER01/?utm_source=Fils&utm_medium=RSS&utm_campaign=LPA_S_INFORMER
  19. La Cour supérieure du Québec a tranché: l'assemblée des créanciers de TQS ne sera pas reportée et elle aura lieu le 22 mai comme prévu. Pour en lire plus...
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