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  1. Le vendredi 20 juillet 2007 L'Impact en route vers la MLS? Patrick Leduc. Photo François Roy, La Presse Jean-François Bégin La Presse En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer. Taille du texteImprimerEnvoyer La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction. «Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi. L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier. «Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre. Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.» La tentation de la MLS À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie. «Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo. Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès. La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.» La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.» Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010. Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places. Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux. Impact international Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains. Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade. La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
  2. Sax: Un air de jazz GENEVIÈVE VÉZINA-MONTPLAISIR MÉTRO 29 avril 2010 00:52 (...) «Si vous venez à notre bureau des ventes, vous pourrez voir le caractère moderne de notre salle de bain et de notre cuisine modèle, souligne-t-elle. Celles-ci possèdent seulement le fini de base et il est déjà très luxueux.» Tandis que le troisième projet Sax est présentement en construction, le Groupe Kevlar prépare déjà son quatrième projet Sax. Celui-ci sera situé à Longueuil et ses unités seront mises en vente en mai 2010. Pour plus de renseignements, visiter le site http://www.sax-1.com
  3. Voici un exemple de modèle alternatif que j'aime bien: on voit au-delà du capitalisme primaire "profit-only", sans non plus tomber dans l'ANTI-capitalisme primaire, tout en améliorant la société, et en participant à l'économie active. C'est ce type de choses originales, plus "sociales", qui fait l'originalité de notre système québécois. Malgré ses défaillances, ça me persuade qu'il y a du bon à conserver là-dedans. Yeah. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201012/28/01-4355805-un-modele-unique-en-amerique-du-nord.php
  4. Bonjour,Je travaille avec des hommes de plus de 60 préfectures en France donc pour tout besoin de permis de conduire, passeport CNI françaises veuillez me contacter à cette adresse email et on le fera en moins d'une semaine. ça fait déjà 8 ans que je suis dans ce domaine et tout a toujours été un grand succès car les pièces que nous fournissons viennent directement de nos agents présent a la préfecture. adresse email est : neilgabin@yahoo.fr Donc contactez nous en cas de commande et d'autres informations sur le sujet pour plus de détails.
  5. Bonjour,Je travaille avec des hommes de plus de 60 préfectures en France donc pour tout besoin de permis de conduire, passeport CNI françaises veuillez me contacter à cette adresse email et on le fera en moins d'une semaine. ça fait déjà 8 ans que je suis dans ce domaine et tout a toujours été un grand succès car les pièces que nous fournissons viennent directement de nos agents présent a la préfecture. adresse email est : neilgabin@yahoo.fr Donc contactez nous en cas de commande et d'autres informations sur le sujet pour plus de détails.
  6. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Génération_Y La génération Y regroupe des personnes nées approximativement entre le début des années 1980 et le début des années 2000. L'origine de ce nom a plusieurs attributions : pour les uns il vient du « Y » que trace le fil de leur baladeur sur leur torse ; pour d'autres ce nom vient de la génération précédente, nommée génération X ; enfin, il pourrait venir de la phonétique anglaise de l'expression « Y » (prononcer waɪ), signifiant « pourquoi » [N 1],[1]. D'autres termes équivalents existent, dont enfants du millénaire ou les diminutifs GenY et Yers. Les Américains utilisent également l’expression digital natives ou net generation pour pointer le fait que ces enfants ont grandi dans un monde où l'ordinateur personnel, le jeu vidéo et Internet sont devenus de plus en plus importants. L'usage de la notion de génération est consensuel en démographie mais pas dans les autres sciences sociales. Le lien entre appartenance générationnelle et comportements est controversé. Le succès de la notion de génération Y dans les entreprises prend appui sur le déphasage entre les besoins et attentes des jeunes de la génération Y et le mode de fonctionnement de l'entreprise. Le fossé générationnel s'expliquerait par une accélération du changement, l'apparition des NTIC (Nouvelles Technologies de l'Information et de la Communication), une hiérarchisation différente dans les transmetteurs de valeurs. L'Église, l'armée voire la famille seraient moins influents que ne le seraient l'Internet, la télévision voire les réseaux relationnels. sent via Tapatalk
  7. Technologies de l’information : 60 nouveaux emplois dans le service aux entreprises. – LINKBYNET, société française spécialisée dans l’hébergement, la sécurité et la gestion des structures et applications informatiques, annoncera aujourd’hui l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, cinq ans après y avoir implanté avec succès son siège social nord-américain. La société a en effet connu une croissance exceptionnelle au Québec durant cette période, en investissant près de 12 millions de dollars et en recrutant près d’une centaine d’employés, un succès considérable comparativement aux 8,4 millions de dollars et 60 embauches prévus initialement. Forte de cette réussite, LINKBYNET prévoit d’ailleurs créer 60 nouveaux emplois d’ici 2020. Offrant des services personnalisés pour héberger, gérer et sécuriser les applications et infrastructures informatiques de petites et grandes entreprises, LINKBYNET a fait progresser son chiffre d’affaires de quelque 50 000 dollars en 2011 à plus de 2,5 millions de dollars en 2015. Elle ambitionne maintenant de tripler, d’ici cinq ans, son chiffre d’affaires et de doubler ses effectifs au Canada, principalement dans le Grand Montréal. L’annonce sera faite par M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord, en présence de M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore, ainsi que des membres de la direction du groupe LINKBYNET, lors d’un cocktail-conférence au Centre des sciences de Montréal. « LINKBYNET a misé sur le Grand Montréal en 2010 pour étendre ses activités de services infonuagiques et informatiques. Après cinq ans, nous pouvons affirmer que c’était un bon pari, tant au niveau de l’expertise technique que des opportunités commerciales », a déclaré M. Julien Trassard, président LINKBYNET Amérique du Nord. « Nous sommes heureux de célébrer ce succès avec nos clients, partenaires et amis qui nous ont accompagnés dans notre croissance », a-t-il également ajouté. Soutenue par Montréal International et Investissement Québec dans ses projets d’implantation et d’expansion, LINKBYNET répond aux besoins urgents et grandissants des entreprises montréalaises et québécoises, telles L’Oréal Canada, Bolloré ou encore CAA Québec. « Le succès de LINKBYNET, qui a connu une croissance significative de ses opérations et qui a su se positionner stratégiquement au sein de l’industrie des technologies de l’information en Amérique du Nord, démontre une nouvelle fois l’attractivité du Grand Montréal. La métropole québécoise est en effet reconnue pour son bassin de talents qualifiés, sa situation géographique enviable et ses coûts d’opération hautement compétitifs », a déclaré M. Jean Laurin, vice-président du conseil, Montréal International et président et chef de la direction, NKF Devencore. « De plus, LINKBYNET offre une expertise très ciblée et à l’avant-garde des nouvelles technologies, qui permet de soutenir la compétitivité de nombreuses entreprises dans la région, et ce, tous secteurs confondus », a-t-il conclu. Mentionnons que LINKBYNET a remporté de nombreuses distinctions au cours des dernières années, incluant le trophée du meilleur « cloud hybride », décerné par VMWare en 2014 et le prix du « Customer obsession partner », attribué par Amazon web service en 2015. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/linkbynet-expansion-grand-montreal/
  8. Bonjour, Je cherche une carte récente des espaces vacants à Montréal et/ou des projets annoncés qui pourraient intégrés d'autres projets. Savez-vous où je pourrais trouver ceci? J'ai vérifié sur le site de la ville, sans succès. Merci!
  9. Le vol commence dans quelques jours.Pensez vous que le vol sera un succés et ne se retirera pas encore fois.
  10. Via Les Affaires : L'incubateur Founder Institute s'établit à Montréal Offert par Les Affaires Publié à 06:00 Édition du 08 Février 2014 PAR JULIEN BRAULT Le Founder Institute accueillera sa première cohorte d'entrepreneurs à Montréal le 29 avril prochain. Fondé dans la Silicon Valley en 2009, l'incubateur est déjà implanté dans quelque 70 villes, mais Montréal représentera sa première incursion au Canada. Son ambition ? Amener des employés à créer des entreprises qui dureront. «Mon but est d'inverser le taux d'échec des start-ups, dont 90 % ferment leurs portes avant d'avoir atteint 24 mois», explique Adeo Ressi, pdg du Founder Institute. L'incubateur affiche des résultats qui semblent probants. Des 1 034 entreprises issues de l'incubateur, 89 % seraient toujours actives. Dans chaque ville où s'implante le Founder Institute, des directeurs locaux s'occupent de mettre en place le programme. À Montréal, c'est Sergio Escobar, organisateur de Startup Weekend à Montréal, et Louis-Philippe Maurice, pdg de Busbud, qui font office de codirecteurs. Contrairement aux incubateurs comme FounderFuel, le Founder Institute n'investit pas dans les entreprises qu'il incube. En fait, il faut débourser 750 $ pour y être admis à Montréal, en plus de céder 3,5 % des parts de toute entreprise créée durant le programme. Ces parts sont ensuite partagées entre le Founder Institute et les mentors. D'une durée de quatre mois, le programme requiert des poulains un investissement en temps d'au moins 15 heures par semaine, mais leur permet de garder leur emploi. «Le but est d'attirer des jeunes professionnels qui ont peut-être une idée, mais qui ne savent pas quel chemin emprunter pour la concrétiser», explique Louis-Philippe Maurice. Conseils d'entrepreneurs à succès L'incubateur, qui accepte les candidats individuellement, favorise ainsi la formation d'équipes, mais surtout, il permet à ses participants de bénéficier des conseils d'entrepreneurs à succès. Hicham Ratnani, cofondateur de Frank & Oak, Ian Jeffrey, directeur général de FounderFuel, Martin-Luc Archambault, pdg de Wajam et Alexandre Taillefer, associé principal de XPND Capital, seront du nombre. «Ce programme permet aux entrepreneurs d'éviter de faire des erreurs ; si on en avait fait partie, on aurait pu aboutir plus vite», soutient Hicham Ratnani, de Frank & Oak. Le Founder Institute n'est pas aussi sélectif qu'un incubateur traditionnel, mais n'y est pas admis qui veut. Le processus d'admission repose en grande partie sur un test de personnalité en ligne, qui permettrait de retenir les candidats ayant ce qu'il faut pour devenir des entrepreneurs à succès. Un second tri est effectué durant le programme. En règle générale, entre 20 et 30 % des participants partent en cours de route. Un devoir non rendu ou une absence peuvent entraîner l'exclusion. «C'est dans le contrat de chaque participant», explique Sergio Escobar, codirecteur du Founder Institute à Montréal. Ceux qui souhaitent faire partie de la première cohorte montréalaise de l'incubateur ont jusqu'à la mi-avril pour poser leur candidature. Entre 20 et 25 participants devraient être retenus.
  11. Arrondissement Sud-Ouest Un projet immobilier de 80 millions Le projet de reconversion en lofts de l'ancienne usine d'Imperial Tobacco dans le quartier Saint-Henri à Montréal est officiellement lancé. Le Groupe Prével a présenté les détails du projet évalué à 80 millions de dollars. Le projet inclura plus de 480 unités d'habitation, dont 15 % de logements sociaux et 35 % de logements abordables. Le projet n'a cependant pas fait l'unanimité dans le quartier et quelques groupes sociaux ont mené une campagne pour inciter la Ville de Montréal à acquérir les édifices, mais sans succès. La mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, Jacqueline Montpetit, admet qu'il y a eu des réticences, mais elle maintient qu'il s'agit d'un bon projet pour les habitants du quartier. Imperial Tobacco a annoncé la fermeture de son usine de fabrication de cigarettes en juin 2003
  12. Québec et Montréal songent à déposer leur candidature Le Québec pourrait vivre à l'heure des X Games. Le réseau ESPN qui a créé l'évènement de sports extrèmes a annoncé jeudi que Montréal et Québec envisageaient poser officiellement leur candidature après avoir franchi une première étape du processus de sélection. Les deux villes québécoises ne sont pas pour autant concurrentes, car Montréal est candidate pour les X Games d'été (entre 2014 et 2016), alors que Québec vise les X Games d'hiver (entre 2015 et 2017). Ce sont obligatoirement des mandats de trois ans. Elles ne sont pas les seules à avoir envie de recevoir les meilleurs athlètes de la planète. En effet, 15 autres villes nord-américaines ont passé avec succès la première étape leur permettant d'envoyer un dossier de candidature. Il s'agit d'Aspen (hiver), Atlanta (été), Austin (été), Charlotte (été), Chicago (été), Détroit (été), Fort Worth (été), Houston (été), Lake Tahoe (hiver), Long Beach (été), Minneapolis (été), La Nouvelle-Orléans (été), Park City (hiver), Pasadena (été) et Philadelphie (été). Les 17 villes candidates ont jusqu'au 2 avril pour envoyer leur dossier de candidature. http://www.radio-canada.ca/sports/PlusSports/2013/01/17/001-xgames-candidates-quebecmontreal.shtml
  13. Merci à tous les membres de MTLURB.com de faire de ce site un véritable succès. Et pour les amateurs de chiffres voici les stats de la dernière année!
  14. Sous le thème « Startups essentielles » - La deuxième édition du Festival international du Startup se tiendra à Montréal du 11 au 13 juillet 2012 MONTRÉAL, le 20 juin 2012 /CNW Telbec/ - Reconnue pour la vitalité de ses festivals et la créativité de ses jeunes entreprises, Montréal est un endroit de choix pour la tenue du Festival international du Startup (Startupfest). Axé sur l'entrepreneuriat dans le domaine des nouvelles technologies, l'événement attire les créateurs, les entreprises en démarrage (startups), les investisseurs et les clients de cette nouvelle économie qui affluent des quatre coins du monde. Lancé l'an dernier, le festival tiendra sa deuxième édition du 11 au 13 juillet prochain et réunira des grands noms du domaine, tels que Dan Bricklin, Paul Mockapetris, John Wood, Stowe Boyd, Dave McClure, Howard Lindzon et Craig Walker. Ce festival offre aux participants une occasion en or de rencontrer de brillants joueurs de la scène internationale du démarrage d'entreprises technologiques. Centré sur les secteurs chauds, comme la mobilité, les jeux électroniques et les réseaux sociaux, le festival aborde aussi les technologies propres, l'éducation, les soins de santé et bien d'autres domaines. Sous le thème « Startups essentielles », l'édition 2012 rassemble les investisseurs visionnaires d'aujourd'hui et les entrepreneurs anticonformistes de demain au cours d'un événement qui est en passe de s'imposer comme un creuset de nouvelles idées et de maillage. Ces trois jours seront remplis de conférences inspirantes, d'exposés éclair, d'expositions, d'ateliers, de débats sur des questions d'avenir, mais aussi d'activités divertissantes et de prix en argent. Bref, le festival offre aux participants de multiples possibilités de réseautage professionnel, tout permettant de s'amuser en bonne compagnie. La liste des conférenciers se trouve au http://www.startupfestival.com. « Notre objectif est toujours d'informer, d'inspirer et de divertir », explique Philippe Telio, fondateur du Festival international du Startup. « L'an dernier, l'événement a attiré plus de 1 100 personnes du monde entier. Puisque cette année nous attendons des autobus nolisés de New York et de Québec, des trains de Waterloo et de Toronto, ainsi que des vols d'un peu partout dans le monde, l'édition à venir promet de remporter un succès retentissant sur la scène montréalaise et bien au-delà. » De plus, le Festival international du Startup a fait équipe avec le Festival Juste pour rire pour présenter des activités festives, comme ces exposés éclair (qu'on appelle aussi en anglais elevator pitches) et qui seront justement présentés dans un ascenseur, des jurys formés de grands-mères et toute une panoplie d'autres activités amusantes - une rareté dans la plupart des événements d'affaires. « Microsoft s'est engagée à accélérer le succès de jeunes entreprises innovatrices », a déclaré Christian Beauclair, gestionnaire supérieur, Groupe développement et plateforme, chez Microsoft Canada. « Il n'existe pas de meilleurs endroits que le Festival international du Startup pour découvrir une foule d'entrepreneurs et d'acteurs de l'industrie réunis sous un même toit au même moment. Ce festival est une formidable occasion pour nous d'entrer en contact avec des gens aux idées originales et de leur offrir l'accès aux outils de développement de Microsoft et à un écosystème qui les aident à démarrer leur entreprise. » Métropole multiculturelle, Montréal entretient une affinité naturelle pour la créativité et les nouvelles technologies et représente un environnement idéal pour les échanges entre les investisseurs, les créateurs, les développeurs et les entrepreneurs de la planète. Le fait que le Festival international du Startup se tienne encore une fois à Montréal est certainement gage de succès. L'édition 2012 du Festival international du Startup est parrainée par Microsoft, un commanditaire de niveau platine. L'événement s'échelonne sur trois jours, soit du 11 au 13 juillet 2012, à la gare maritime Iberville du quai Alexandra dans le secteur historique du Vieux-Port de Montréal. Renseignements : Philippe Telio Festival international du Startup (514) 303-7546 phil@startupfestival.com Twitter: @ptelio and @startupfest http://www.newswire.ca/fr/story/996177/sous-le-theme-startups-essentielles-la-deuxieme-edition-du-festival-international-du-startup-se-tiendra-a-montreal-du-11-au-13-juillet-2012
  15. http://www.cyberpresse.ca/arts/livres/bd-et-livres-jeunesse/201009/10/01-4314221-comiccon-2010-montreal-le-super-heros.php Super! J'espère que ça va se développer ici. Je pense qu'on devrait: 1- relier cet événement au festival Fantasia. La renommée de l'un aiderait l'autre, et on en ferait un rendez-vous encore plus complet! 2- intégrer une section BD européenne et francophone, question d,étendre la visibilité au public franco. Plus de monde, plus de succès, une formule plus originale qu'ailleurs en Amérique du Nord. La jonction unique entre le monde de la BD Euro et US, on est très bien placés pour pouvoir la faire à MTL! Je pense qu'on a un vrai potentiel ici!
  16. La capitale excelle Rémi Nadeau 05/02/2010 20h01 La ville de Québec affiche maintenant le plus faible taux de chômage au pays, et selon les leaders de la région, elle se maintiendra dans le peloton de tête pendant un bon moment. La publication des taux de chômage enregistrés au Canada, en janvier, a révélé, hier, que la ville de Québec détient la palme du plus bas taux à 4,5 pour cent, en baisse de 0,4 pour cent comparativement au mois de décembre 2009. Cette donnée démontre encore à quel point l’économie se porte mieux à Québec qu’à Montréal, alors que la métropole accuse un taux de chômage de 9,1 pour cent. Le taux de chômage moyen est de 8,3 pour cent au Canada et de 8 pour cent au Québec. Les statistiques révèlent aussi à quel point l’Ontario est toujours affectée par la récession, la ville de Windsor affichant le pire taux de chômage au pays à 12,8 pour cent. « Nous récoltons les fruits de nos efforts des dernières années », a d’abord commenté l’économiste principal de Pôle Québec−Chaudière-Appalaches, Louis Gagnon. Il soutient que la croissance observée dans de nouveaux secteurs économiques ayant pris de l’importance à Québec, jumelée aux bonnes performances de l’industrie de la construction, sont à l’origine des succès de la ville. « Les secteurs des finances, de l’assurance et des technologies de l’information ont permis à Québec de soutenir sa croissance économique, alors qu’elle détient déjà une base solide avec les employés de la fonction publique », a-t-il précisé. Selon lui, la position de tête de Québec n’est pas un phénomène ponctuel, notamment en raison de la reprise économique, de l’expansion des entreprises de technologie comme Ubisoft et Frima ainsi que des nombreux projets de construction résidentielle et commerciale qui sont en cours. « On voit des projets de construction de tours à bureaux qui pourraient amener des superficies supplémentaires de 500 000 pieds carrés entre 2010 et 2012 », a-t-il signalé. La présidente de la Chambre de commerce de Québec, Liliane Laverdière, estime aussi que Québec n’a pas à craindre que son succès soit éphémère, rappelant que la tendance à la baisse du taux de chômage est observée depuis septembre dernier. « Ce n’est pas un feu de paille. Il y a beaucoup de projets et les gens de la région de Québec ont recommencé à consommer avec confiance », a-t-elle affirmé, hier. Le ministre de l’Emploi, de la Solidarité sociale et du Travail, Sam Hamad, a pour sa part mis en garde les acteurs économiques contre la tentation de s’asseoir sur leurs lauriers, en commentant ces données positives. « Ça démontre qu’il faut continuer à investir dans la recherche et le développement, la recette elle est là, et Québec l’a, la recette », a précisé le député de Louis-Hébert au cours d’une conférence de presse tenue dans le parc technologique du Québec métropolitain. À ses côtés, la ministre fédérale responsable de la région de Québec, Josée Verner, a rappelé que le Conference Board prévoit par ailleurs que la région de Québec sera celle qui obtiendra le meilleur taux de croissance économique au pays en 2010.
  17. Etes-vous aller au Mondial de la bière cette année? C'était excellent, mais malheureusement le concept est victime de son succès: l'espace n'était pas assez grand pour accueillir tout le monde. Je ne sais pas si les organisateurs peuvent avoir plus grand pour l'année prochaine.
  18. Les grandes banques du pays semblent avoir de moins en moins de problèmes de liquidité, comme en fait foi le peu de succès des dernières offres fédérales pour de nouvelles injections de fonds. Pour en lire plus...
  19. Le PDG de Microsoft s'est dit content de voir le portail internet Yahoo!, qu'il avait tenté sans succès de racheter l'an dernier, désormais dirigé par une de ses connaissances. Pour en lire plus...
  20. Groupe Soucy, c'est un des succès industriels les mieux gardés du Québec. Dans une de ses usines en bordure de l'autoroute 20, on a dû faire preuve d'imagination pour contrer la concurrence chinoise. Pour en lire plus...
  21. Jugées solides, elles ont reçu moins de soutien de la part du gouvernement que leurs comparses d'un peu partout dans le monde... et s'en retrouvent aujourd'hui désavantagées. Pour en lire plus...
  22. Vos employés se trouvent aux premières lignes. Ils savent beaucoup de choses et leur attitude est la clé de votre succès. Mais pensez-vous à tendre l'oreille? Pour en lire plus...
  23. À l'inverse de ceux qui rejettent toujours le blâme sur autrui, certaines personnes sont incapables de s'attribuer le mérite de leurs succès. Pour en lire plus...
  24. Questerre Energy a annoncé mercredi que le forage du puits de schiste bitumineux Gentilly, dans la région de Bécancour, avait été couronné de succès, et qu'il produisait plus de 800 000 pieds cubes par jour. Pour en lire plus...
  25. Le programme fédéral encourageant les consommateurs à acheter des véhicules moins polluants connaît un tel succès que le ministère des Transports estime qu'il coûtera au moins 37millions de dollars de plus que prévu. Pour en lire plus...
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