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  1. - On peu voir le Queen's Hotel sur la rue Peel, coin Saint-Jacques, et l'annexe à coté. Démolition de l'annexe:
  2. - 48 unités de 950 pi 2 à 1500 pi 2 - À partir de 199 000$ - Réservez tôt (soyez les premiers acheteurs) - Livraison Septembre 2012 - Luxueux, spacieux, prix abordable. - Site de choix; proximité de tout, centre-d’achat, train de banlieue, piste cyclable. - Ascenseur, garage intérieur et place de stationnement extérieur. - Unité de coin et de centre - Grand balcon -Revêtement pierres et briques - Structure de béton - Planchers lattes d’ingénierie http://legroupeplatinum.com/construction/projets/les-belvederes-de-blainville
  3. Une firme de design new-yorkaise propose de doter l’Île Sainte-Hélène d’un deuxième dôme conçu comme l’ancien pavillon des États-Unis au cours de l’Expo 67. Selon le magazine de design et d'architecture Dezeen, la firme new-yorkaise Studio Dror aimerait construire une autre sphère géodésique à côté de la Biosphère actuelle, l’ancien pavillon des États-Unis. Ce pavillon avait été conçu à l’époque par l’architecte Richard Buckminster Fuller. Depuis 1990, le dôme est devenu un musée consacré à l’environnement. Le fondateur de Studio Dror, Dror Bensherit, a expliqué son projet au magazine Dezeen: «Comme le ferait le soleil et la lune, notre concept se présente comme une danse poétique avec le design de Fuller. Pour exploiter le potentiel du Parc dans un contexte contemporain.» Cette nouvelle structure, jumelle à celle de l’ancienne Biosphère, en adopterait les mêmes dimensions: 76 mètres de diamètre pour une hauteur de 62 mètres. Toutefois, la nouvelle version des Studio Dror serait construite avec un auvent aménagé à partir du haut de la structure. Ce qui permettrait de créer une zone partiellement abritée autour de sa base. Ses treillis en aluminium seraient aussi conçus pour permettre à la végétation d’y pousser afin de mieux intégrer la structure au décor environnant et d’insonoriser partiellement les lieux. Si le projet des Studio Dror se concrétise, la construction de ce deuxième dôme coïnciderait avec le 50e anniversaire d’Expo 67 l’an prochain. http://www.journaldemontreal.com/2016/04/26/un-nouveau-dome-sur-lile-sainte-helene
  4. Pelletier de Fontenay ADM élément signalétique, Dorval, QC Perché sur le côté de la route d’entrée de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, l’élément signalétique ADM marque la transition entre ville et voyage, entre ciel et terre. De loin, le volume, à la fois opaque et lumineux, flotte légèrement au-dessus du paysage aéroportuaire. En arrivant à partir de la ville, le logo rétroéclairé de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, qui contraste fortement avec la peau foncée de l’objet, annonce notre arrivée. En s’approchant de la structure, une seconde face se révèle lentement; on comprend maintenant bien la tridimensionnalité de l’objet. Une peau métallique, à la fois précise et légère, recouvre un monolithe lumineux formé d’une enveloppe de polycarbonate. À sa base, une forte lumière blanche filtre à travers une centaine d’ailettes d’aluminium. Une torsion verticale dans le déploiement des ailettes est conçue pour créer un effet cinétique qui prend vie avec le mouvement de la voiture. À l’approche, la zone lumineuse se déplace du bas vers le haut de la structure. La lumière s’élève, anticipant ainsi notre départ vers le ciel et faisant écho au sentiment de décollage. Dans la direction opposée, en quittant l’aéroport pour aller vers la ville, l’expérience est inversée et la lumière descend du haut vers le bas, évoquant un mouvement d’atterrissage. À ce moment précis, on voit clairement le nom « MONTRÉAL » apparaitre et disparaitre, tel un hologramme, annonçant subtilement aux passagers qu’ils quittent l’aéroport et les accueillant dans la ville. - Date : 2013 - 2015 Client : Aéroport de Montréal Architecte : Pelletier de Fontenay Ingénieur en structure : NCK Ingénieur mécanique : SNC Lavalin Budget : 550 000$ CAN Phase : competition - lauréat - en cours Images : Pelletier de Fontenay https://m.facebook.com/Pelletier-de-Fontenay-158005064393555/ sent via Tapatalk
  5. Je mets ce thread ici par sarcasme, images et graphiques en suivant ce lien: http://m.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/04/007-stade-olympique-toit-demantelement-scenario-pret-rio.shtml MONTRÉAL Jeudi 4 décembre 2014 17h25 Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Stade olympique : le scénario du démantèlement du toit est prêt Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Un texte de Davide Gentile La RIO a refusé de communiquer les détails de ce plan. Après avoir ouvert la porte à une entrevue avec ICI Radio-Canada, l'organisme a finalement refusé de commenter le dossier. Mais une analyse interne faite en 2012 détaille ce scénario de « démantèlement complet de la structure actuelle ». Un processus complexe et coûteux Enlever le toit du stade ramènerait la structure à l'état dans lequel il était entre 1976 et 1987. Selon les informations obtenues par Radio-Canada la perspective d'un stade sans toit serait « réalisable » sur le plan technique. L'analyse faite en 2012 chiffre les coûts du démantèlement du toit à 6,2 millions de dollars. Préparer le stade sans toit à affronter les affres de l'hiver coûterait 13 millions de plus. C'est qu'avec la construction du toit en 1988 des installations de drainage, d'alimentation électrique et de télécommunication ont été ajoutées. On pense aussi au système de gicleurs, tableaux indicateurs et systèmes de son installés depuis. Roger Taillibert, l'architecte du stade, estime qu'on ne peut pas laisser la structure ouverte très longtemps. « Bien sûr, il y a toutes les canalisations électriques, celles d'incendie, etc. Alors, donc, il faut faire un travail d'hivernation », dit-il. Si la RIO décide ou est forcée de démanteler le toit en raison de sa dégradation, il faudra chaque automne répéter cette procédure qui serait qualifiée de « contraignante ». Sans toit, le stade vieillirait rapidement Selon nos informations, l'analyse de la RIO conclut qu'enlever le toit provoquerait un vieillissement prématuré de la structure du stade. Conçue avec un toit, la coquille de béton ne serait pas faite pour faire face à la pluie, la neige et les nombreux cycles de gel et dégel. Cela rapprocherait la date à laquelle « une réfection majeure » de sa structure serait nécessaire pour conserver son intégrité. Roger Taillibert est favorable à un démantèlement, parce qu'il estime le toit Birdair « trop lourd ». Mais, selon lui, il faut éviter la précipitation. « Puisqu'on l'a installé il y a plus de 10 ans, ça peut attendre encore un an, qu'on puisse parallèlement préparer un toit qui serait monté immédiatement ». Roger Taillibert rêve toujours d'un nouveau toit Selon nos informations, la RIO aurait mis une croix sur un toit rétractable et favoriserait un toit fixe en toile, moins cher. Une éventualité qui engendrerait des coûts d'au moins 150 millions. Roger Taillibert parle d'un scénario « inconcevable ». Il rêve toujours d'un toit rétractable et aurait échafaudé de nouveaux plans. Il évoque une proposition « revue, avec des matériaux nouveaux et des mécaniques qui ont beaucoup évolué depuis 40 ans ». Le poids serait moindre et les coûts aussi. L'architecte, toujours passionné par son stade à plus de 80 ans, estime que la facture d'un toit rétractable serait aujourd'hui d'environ 150 millions. Cependant, des sources québécoises proches du dossier parlent plutôt d'une facture de 300 millions pour un toit rétractable. Trop tard pour créer un pôle majeur? Faute d'un toit pleinement fonctionnel, le stade semble avoir perdu de son attrait au fil des ans. « Beaucoup d'événements qui avaient lieu au stade ont migré au Palais des congrès ou au Centre Bell », affirme Romain Roult, professeur au département de culture et de tourisme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Selon lui, le remplacement du toit serait indéniablement un « préambule important » au réaménagement du Parc olympique. Un toit viable augmenterait nécessairement le nombre d'événements, mais il est difficile de prédire l'ampleur de la hausse. Selon M. Roult, une relance sérieuse passerait aussi par le réaménagement des loges, des sièges et des aires de restauration, qui datent des années 80. La saga du stade aurait eu un impact sur la compétitivité de Montréal. Faute de disponibilité d'un très grand espace ouvert, comme le stade pendant les mois d'hiver, « Montréal a perdu du terrain face à des villes comme Toronto ou Chicago » pour l'organisation de grandes foires, ajoute M. Roult. Le secteur privé quitte le navire? En août 2013, des philanthropes de la région de Montréal avaient annoncé leur intention d'investir dans la relance du pôle olympique. Mais en raison de la stagnation du dossier du remplacement du toit, certains auraient abandonné l'aventure. Le gouvernement n'a pas voulu confirmer ou commenter quoi que ce soit dans ce dossier. Seule bonne nouvelle dans cette saga : la RIO a identifié des zones de fragilité sur la toile. Les réparations qui ont suivi ont permis de faire diminuer le nombre de déchirures, pour la première fois. Tous droits réservés © Société Radio-Canada 2014 CBC/Radio-Canada
  6. Could the era of glass skyscrapers be over? One of the architects behind London's famous Gherkin skyscraper has now turned against glass buildings. Is it time tall towers were made out of something else, asks Hannah Sander. It is one of the UK's most recognisable buildings. A Stirling Prize winner. A backdrop to Hollywood films. Named the most admired tower in the world. But 10 years after it was opened, one of the designers behind the "Gherkin" has turned against it. Architect Ken Shuttleworth, one of the team at Foster and Partners who designed the tower, now thinks the gigantic glass structure was a mistake. "The Gherkin is a fantastic building," he says. "But we can't have that anymore. We can't have those all-glass buildings. We need to be much more responsible." The building at 30 St Mary Axe - nicknamed after a gherkin because of its bulbous silhouette - kick-started a decade of strangely shaped glass towers. The Cheesegrater, the Walkie-Talkie and the Shard loomed up from the pavements of London. The skylines of both Birmingham and Manchester were drastically altered by the addition of towers by property firm Beetham. One of the best-known glass building mishaps took place last summer, when the Walkie-Talkie at 20 Fenchurch Street in London was accused of melting cars. The 37-storey building reflected light in its glass facade and shone powerful rays at its surroundings. Cars parked underneath were damaged, and passers-by even managed to fry eggs using only sunlight. In the end the developers, Land Securities, had to apply for planning permission to obscure architect Rafael Vinoly's £200m design with a permanent "brise soleil" or sunshade. And yet despite this, Land Securities recently revealed that the widely reported calamity "did nothing to deter lettings". Glass buildings are popular - not just because of their striking appearance but for the views they boast, and the increased light they let in. When German architect Ludwig Mies Van Der Rohe designed what is said to be the world's first glass skyscraper in 1921, he associated the glass facade with purity and renewal. Later in the century, British architect Richard Rogers praised glass buildings because of their social worth. Glass walls enabled even employees working in the basement to benefit from reflected natural light and dissolved barriers between a cramped indoor office space and the greenery outside. Companies like to give the impression of a democratic working environment - open-plan and with floor-to-ceiling windows, so that all employees, not just the boss, benefit from the view. However, as concerns over global warming have become more widespread, so the glass structure has come under scrutiny. Since leaving Foster and Partners in 2006, Shuttleworth has become a key voice in the fight against glass. Despite his background working on giant glazed buildings, he has founded an architectural practice in which floor-to-ceiling windows are considered an archaic luxury. "Everything I've done for the last 40 years I'm rethinking now," he says. "If you were designing [the Gherkin] today... it wouldn't be the same product all the way around the building. "We need to be much more responsible in terms of the way we shade our buildings and the way we thermally think about our buildings." Glass lets out and lets in a lot of heat. A vast amount of energy is required for an office full of people to remain cool in the UAE and to stay warm in the snowstorms of Toronto. Governments are now so concerned by the long-term impact of "solar gain" - the extent to which a building absorbs sunlight and heats up - that they have introduced strict regulations around shape and structure. Architects are being encouraged to change where they place windows, so that a sunny south-facing wall has less chance to absorb heat than a chilly north-face. Walkie-Talkie developers Land Securities are currently at work on a building called the ZigZag, that is designed so that alternate walls cast shadows on their neighbours. The building is deliberately shaped so it can keep itself cool. In the US there is a campaign in favour of wooden skyscrapers, promoting wood as a "green" building material in place of glass. However, the trade association Glass for Europe has dismissed what they consider "a preconceived idea" that glass is bad. Instead they point to sustainable buildings in which glass has been fashioned into corridors that don't require central heating and solar panels that have been slotted seamlessly into a design. The association also points out that glass is fully recyclable. "A whole palette of glass products is available for the glazing to meet different functions in the building envelope," the association said. "Glass is fit for all climates." In the past decades, the glass industry has worked hard to adapt technology in the context of climate change. Engineer Andrea Charlson is part of a team at firm Arup that seeks new ways to increase material sustainability. She is not convinced that the glass in glass buildings is the cause of their problems. "There have been a lot of advancements in glass technology in the last few years and it's amazing what we can do now in terms of putting coatings on glass. Some of them can be a heavy colour tint that will provide some shading. Others will be almost invisible but will still keep a lot of the heat and solar gain outside a building," she says. Charlson is currently investigating problems in the materials that hold the glazed panels on buildings in place. "As the glass technology improves, one of the biggest causes of heat loss is through the framing. The heat energy will always try to find the path of least resistance." Even with the improvements to glass technology, Shuttleworth is not convinced that these sheer skyscrapers can be justified in today's society. He is not only concerned by their environmental impact, but also with the other effects a glass tower has on its surroundings. Architecture and design critic Tom Dyckhoff is equally keen to see the glass skyscraper put to bed. "As someone who spends their entire life staring at buildings, I am a bit bored by the glass box. They were radical in the 1920s and now they are just cliches, expensive ones at that. "But now that we are having to be more thoughtful about how and where we use glass, maybe architects will become more inventive in how they use windows, instead of plastering them across whole facades," he says. Shuttleworth's most recent project began life as a solid steel object and he says it has glass only where it is needed. "It is a privilege to have a window. I think it should be seen as a privilege," he says. http://www.bbc.com/news/magazine-27501938
  7. http://journalmetro.com/actualites/montreal/474566/un-quai-evenementiel-permanent-sur-le-canal-de-lachine/ Un quai événementiel permanent sur le canal de Lachine Par Laurence Houde-RoyMétro Le QuaiPrevious photoNext photo Un quai flottant pouvant accueillir des événements culturels sera installé sur le canal de Lachine tout l’été. Le ponton, d’une longueur de 24 mètres et d’une largeur de 11 mètres, sera principalement utilisé et entreposé au Bassin Peel. Amarré aux berges, il y sera relié par une passerelle. Les promoteurs ou artistes intéressés à louer la structure pour leurs événements pourront aussi demander à le déplacer le long du canal, entre le Vieux-Port de Montréal et le lac Saint-Louis. La structure pourra notamment recevoir des spectacles de musique, un cinéma en plein air et des réceptions de près de 200 personnes. Le promoteur Simon Lebrun, également à la tête du Défi canot à glace Botabota, fera la présentation de ce projet vendredi au congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec. «On s’est rendu compte qu’à Montréal, c’était difficile d’organiser des événements près des berges ou sur l’eau. Il n’y avait pas de lieux saisonniers à la disposition des promoteurs et offerts à la location» -Simon Lebrun qui lancera officiellement la structure à la fin du mois de mai. Si certains artistes espéraient pouvoir présenter leur travail sur l’eau, les coûts d’assemblage d’une telle structure les rebutaient bien souvent. «Oui, nous voulons attirer les événements du milieu corporatif, mais nous voulons aussi rendre ce quai accessible», ajoute M. Lebrun qui, avec un ponton en permanence sur l’eau, compte offrir des prix plus modiques aux artistes. Ce genre d’emplacement permanent est déjà disponible dans plusieurs grandes villes internationales, indique le promoteur. «Le pouvoir attractif d’un événement sur l’eau est incroyable. Un écran de cinéma devient soudainement beaucoup plus intéressant s’il est sur l’eau», ajoute-t-il. Les discutions avec Parcs Canada, qui gère le Canal-de-Lachine, se font depuis l’automne dernier. L’institution fédérale devait notamment s’assurer que la plateforme n’affecte pas le passage des plaisanciers et que sa taille respecte les normes. Le quai événementiel sera à la disposition des promoteurs de la fin mai jusqu’au mois d’octobre. Si la réponse est positive, son promoteur pourrait agrandir sa superficie pour les années suivantes. Parc Jean-Drapeau Le congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec accueillera également une conférence de Daniel Blier, directeur général de la Société du parc Jean-Drapeau. Il présentera les avancements de la revitalisation du secteur dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. Le projet, dont les plans ont été présentés aux partenaires en décembre dernier, compte offrir aux visiteurs un meilleur accès au fleuve ainsi qu’une entrée plus fournie, avec notamment des points de restauration et un comptoir d’accueil. «Nous sommes assez emballés par rapport à la direction que prend ce projet. Il respecte autant les besoins contemporains, tout en conservant la mémoire des lieux», affirme Luc Beauchemin de la Fondation Expo 67 qui a pris connaissance des esquisses. La restauration de la Place des Nations, l’une des legs majeurs du 375e anniversaire, est particulièrement intéressante pour M. Beauchemin. «La restauration se fera avec les matériaux d’origine», se réjouit celui qui espère retrouver l’esprit d’Expo 67 après les travaux. Selon les plans qu’il a consultés, un arrêt d’autobus devrait également s’ajouter près de la Place des Nations, un attrait supplémentaire pour les visiteurs, estime-t-il. La Société du parc Jean-Drapeau songe également à offrir l’endroit pour la diffusion de spectacles ou de concerts à ciel ouvert, selon M. Blier. M. Beauchemin espère toutefois que les principaux acteurs d’Expo 67 seront reconnus à travers ces travaux en renommant les axes de circulation du parc en leur nom.
  8. Un appel d'offres a été lancé dernièrement par la Société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain Inc. pour le remplacement du Viaduc Principal. Celui-ci se trouve a enjamber deux voies de circulation, soit celle de la sortie Wellington, en provenance de l'autoroute 15 direction nord, et celle de la sortie pour l'autoroute Bonaventure en provenance de l'autoroute 15 en direction sud. Le remplacement de cette structure est prévue pour 2014 et 2015, et entrainera certainement plusieurs entraves majeures dans l'axe du Pont Champlain. [streetview]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.472158,-73.559089&spn=0.000008,0.004823&t=h&z=18&layer=c&cbll=45.472073,-73.559278&panoid=9e4UcI__cX8TKd44w6rmgA&cbp=12,198.81,,1,-9.01[/streetview] Lien pour consulter l'appel d'offres
  9. Description du projet L'étendue des travaux décrits par ce devis et les dessins l'accompagnant couvrent la construction d’un bâtiment neuf totalisant 22 logements, dont 4 adaptables et des espaces communs dont une salle communautaire et des terrasses aux toits. Le bâtiment, de type incombustible et Novoclimat, sera traversant (de la rue Berger jusqu’à la rue de Bullion) et aura une hauteur de 5 étages (avec constructions hors-toits et un niveau en sous-sol). La structure sera en béton (dalle, poutre et colonne), les revêtements extérieurs seront en maçonnerie, en parement métallique et en parement de bois. Le tout situé sur le lot 2 160 697 dans le quadrilatère des rues Berger, de Bullion, Ste-Catherine E et Charlotte dans l’arrondissement Ville-Marie, Montréal. https://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=8b66e6c7-d6ef-4e03-aaa7-5d7efa75efde&SubCategoryCode=C01&callingPage=4&ColumnAction=1
  10. Un grosse structure est en train d'être assemblée au coin nord-ouest du rond-point Acadie. Quelqu'un sait de quoi il s'agit ? C'est assez gros, ma photo ne le rend pas.
  11. Réfection d'un parc dans la Petite-Bourgogne. Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. https://maps.google.com/maps?q=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.489502,-73.573573&spn=0.003941,0.010568&sll=45.48559,-73.556471&sspn=0.01718,0.042272&oq=petite-&hq=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&t=h&z=17
  12. Je trouve ça assez épatant !! The project by the young architectural studio Urbanplunger has been recently awarded the third prize in the Night Club Hotel in Hong Kong international competition. The main idea is to create a suspended building structure to comply with the extremely compact planning in Hong Kong. The whole structure is elevated above the ground by leaning on the nearby buildings. The nature of the design allows for a green square underneath the building and increases the area of the existing recreation zone. [...] Source : www.arthitectural.com/
  13. The Grand Trunk Railway's Bonaventure Station in the 1870s. The station structure roughly corresponded with Chaboillez Square in Downtown Montreal. This building was destroyed by a fire in 1916. Source et texte entier : http://en.wikipedia.org/wiki/Bonaventure_Station
  14. Cette construction remplace un plex abandonné dont la structure était défaillante.
  15. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201108/05/01-4423871-infrastructures-montreal-bat-il-tous-les-records.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Publié le 06 août 2011 à 00h00 | Mis à jour à 08h26 Marie-Claude Malboeuf La Presse Les Montréalais ont-ils raison de croire que leur réseau routier est le plus délabré du continent? «C'est difficile à vérifier, mais parmi les villes nord-américaines, Montréal se classe probablement parmi les plus problématiques», répond Douglas Hooton, professeur de génie civil à l'Université de Toronto. «Il y a environ cinq ans, illustre-t-il, des experts des quatre coins du monde sont venus participer à un colloque majeur à Montréal. En roulant entre Dorval et le centre-ville, chacun d'entre eux n'en revenait pas du piètre état du béton! Ils n'en revenaient pas de tous les problèmes qu'ils constataient!» Le gel et la corrosion font leurs dégâts, détaille-t-il, et les agrégats du béton disponibles à proximité de Montréal ne sont pas aussi bons que ceux utilisés à Toronto, ce qui cause aussi des fissures. Chose certaine, la ville de Toronto n'a jamais dû fermer un pont d'urgence en raison d'un problème de structure, assure le directeur des services techniques, Peter Crockett, convaincu que la Ville Reine n'est pas dans la même situation que Montréal (tout en convenant que même le revêtement de béton qui se détache de l'autoroute Gardiner représente un danger). «J'ai l'impression qu'à Montréal, on a été encore plus lents qu'ailleurs à investir dans l'entretien et la réparation, qu'on est encore plus en retard», commente le vice-président de la Fédération canadienne des municipalités et maire de Lachine, Claude Dauphin. À l'image des experts américains joints par La Presse, M. Dauphin n'a jamais entendu parler d'une ville frappée aussi souvent, dans un aussi court laps de temps. «Cela me semble assez fréquent pour inquiéter les gens, avance de son côté le professeur Joseph L. Schofer, directeur de l'Infrastructure Technology Institute à l'université Northwestern de Chicago. Le plus important, c'est de comprendre les différentes causes afin de voir s'il y a un lien entre elles, pour pouvoir corriger la situation.» À sa grande surprise, une simple visite sur le site Google Street View (qui montre en photo chaque rue Montréal) lui a permis de repérer des dégâts. «J'ai été étonné devant les dommages que j'ai constatés, dit-il. Aux États-Unis, nous avons désinvesti, mais j'avais des attentes plus élevées quant à l'état des infrastructures au Canada.» «L'âge n'est pas une excuse, tranche cet ingénieur. Si on surveille, entretient et utilise une structure adéquatement, elle devrait tenir longtemps. Et on ne peut pas se surprendre du climat. C'est une condition fondamentale. Il faut concevoir en fonction de cela pour ne pas mettre des vies en danger, comme on le fait ici pour faire face aux tremblements de terre et aux inondations.» «Aux États-Unis, les incidents semblent plus éparpillés, même si la corrosion cachée est aussi un grand problème pour nous», ajoute l'ingénieur Jerome S. O'Connor, responsable du programme des ponts à l'Université de Buffalo. Cela dit, aucune étude ne permet d'établir un véritable palmarès de la décrépitude. «C'est difficile de vérifier nos impressions. Des choses qui tombent des ponts, il y en a souvent, mais c'est rarement très publicisé», observe par ailleurs Benoît Robert, professeur de génie à l'École polytechnique de l'Université de Montréal. «D'après ce que j'entends au ministère des Transports, on n'a pas à avoir honte si on se compare au reste de l'Amérique du Nord», poursuit ce spécialiste de l'analyse et de la gestion des risques. «En Europe, les autoroutes sont de meilleures qualités, dit-il. Mais elles sont payantes, donc elles sont très chères.» Et d'après nos recherches, cela n'empêche pas certains ponts de tomber. *** Sucession de malheurs (voir la galerie photos) À Montréal Été 2008 > À la sortie du pont Champlain, la bretelle d'accès de l'autoroute Décarie (15) est fermée d'urgence lorsqu'un morceau d'une cinquantaine de centimètres de diamètre se détache de la chaussée pour creuser un trou plusieurs mètres plus bas, rue Notre-Dame. Peu après, un morceau de béton de plusieurs centaines de kilos se détache pour tomber dans un stationnement. Mi-avril 2011 > Plusieurs voies de l'échangeur Turcot, qui relie l'autoroute Ville-Marie (720) à l'autoroute 20Ouest, sont fermées d'urgence pour quelques mois, des ingénieurs ayant découvert que les armatures d'acier avaient été mal disposées au moment de la construction de l'échangeur, dans les années 60. 30 Mai 2011 > Un morceau de béton d'une vingtaine de kilogrammes se détache de l'autoroute Métropolitaine (40) pour s'affaisser sur le trottoir du boulevard Crémazie, en pleine heure de pointe. 14 Juin 2011 > Des voies du pont Mercier sont fermées d'urgence parce qu'on réalise soudain que des éléments de structure sont gravement endommagés. Des travaux majeurs étaient pourtant en cours depuis deux ans. 7 Juillet 2011 > Deux joints de dilatation cèdent sur le pont Champlain, créant des trous béants dans la chaussée, en pleine heure de pointe. Ils faisaient partie de la liste des travaux à réaliser d'ici à 2019. Plusieurs rapports, longtemps gardés secrets, affirment que le pont n'est plus sécuritaire. 31 Juillet 2011 > L'autoroute 720 est partiellement fermée en direction est après qu'un paralume de 25tonnes se fut effondré dans le tunnel Ville-Marie. À Laval Juin 2000 > Une poutre de 60 tonnes se détache du viaduc du Souvenir, tuant un homme et en blessant deux autres, alors qu'ils roulaient sur l'autoroute 15. Personne n'a été tenu responsable de la catastrophe. 30 Septembre 2006 > Le viaduc de la Concorde s'effondre sur l'autoroute 19, tuant cinq personnes et en blessant six grièvement.
  16. Un petit édifice aux airs d'Expo '67. Coin nord-est Saint-Denis_DeMaisonneuve. Construit en 1968 par l'architecte Jean-Paul Pothier. La structure de l'édifice n'a pas été démolie mais des travaux majeurs de réaménagement en 1991-1992 en ont complètement modifié l'aspect.
  17. Le vieux théâtre sera démoli Le Théâtre de Quat'Sous, un des lieux mythiques du théâtre montréalais, sera démoli mardi prochain. L'ancienne synagogue de la rue des Pins qui abritait le Théâtre de Quat'Sous depuis 40 ans, sera remplacée par un nouveau théâtre plus moderne et plus grand. Après avoir retiré l'amiante et certains éléments de la structure interne, les ouvriers procéderont mardi à la démolition de la structure afin de procéder à l'excavation du site. Le nouveau Quat'Sous sera deux fois plus grand que l'ancien. Le projet de 4 millions de dollars, financé en grande partie par Québec, comprend aussi une salle de répétition, des espaces publics plus vastes et des loges plus spacieuses. L'équipe du Quat'Sous espère être en mesure d'utiliser ses nouveaux espaces au cours de la saison 2008-2009. Le petit théâtre fondé par l'acteur Paul Buissonneau a fêté ses 50 ans en 2005.
  18. MONTREAL — U2 is putting up $3 million to expand Montreal's former horse racing stadium so it can accommodate 60,000 to 80,000 people for a show this summer. The fact that the band is fronting the costs of building the venue for the July 16 event is a testament to its love of Montreal, according to Jacques Aube, vice-president and general manager of promoter Gillett Entertainment Group. Gillett and tour promoter Live Nation have been working on the possibility of a Montreal date for months. The biggest problem was finding a venue big enough to host the show (including the 150-foot-wide (45-metres) stage, featuring a massive, steel spider-like structure) and comply with U2's request for an open-air stadium. The Olympic Stadium's roof is not retractable, so that 60,000-seat venue wasn't viable; Jean Drapeau Park is too small and even the Hippodrome, the former racetrack, wasn't big enough originally, which led to talks of constructing a venue specifically for the concert. http://www.canada.com/entertainment/expand+stadium+play+Montreal/2229285/story.html © Copyright © Canwest News Service
  19. 1992–present || 1000 de La Gauchetière || 205 / 673 || 51 1964–1992 || Tour de la Bourse || 190 / 623 || 47 1962–1964 || Place Ville Marie || 188 / 617 || 47 1931–1962 || Sun Life Building || 122 / 400 || 26 1928–1931 || Royal Bank Building || 121m / 397ft || 22 floors What were the tallest buildings in Montreal prior to 1928 (and the Royal Bank building?) A church perhaps? Or another structure entirely? I believe that the New York Life Insurance Building was the first tall building in Montreal. Am I correct?
  20. I have to agree. Having visited Toronto during the past summer, I strongly feel that they butchered what was a nice building before. If I was a Torontonian, I would be fuming.
  21. Ce sujet à été démarrer seulement pour les crisses d'épais qui pollue trop souvent ce forum et qui pense qu'il y a juste à Montréal que des choses comme ça arrive. Il n'y a pas juste ici qu'ils trouvent des défauts dans des constructions. Source: CNN Construction crews working on the San Francisco-Oakland Bay Bridge in California discovered a crack that could keep the heavily traveled bridge closed beyond the planned Labor Day weekend shutdown. During inspection of the east span of the bridge, workers found a crack in one of the eyebars on the side of the structure, said Bart Ney, spokesman for the California Department of Transportation. "It's a significant crack -- significant enough to have closed the bridge on its own," he said in a news conference aired on the agency's Web site Saturday night. Ney said the crack has to be repaired immediately and acknowledged that the work may stretch past Tuesday when the bridge was scheduled to reopen. "I want to assure everyone that this repair will be made and we will return the Bay Bridge safer than when we took it out," he said.
  22. A new super skyscraper has just been announced for South Korea and will tower over all other buildings in Asia when it is complete in 2014. From a global perspective, Lotte Super Tower 123, designed by Kohn Pederson Fox, falls just short of taking the title, and will be not the tallest but the second tallest skyscraper in the world. The structure will serve as the new corporate headquarters for the Lotte Group, whose subsidairy, Lotte Construction, will build it. Zoning has been approved and excavation is nearly complete. With aims towards LEED silver certification, the tower will have a strong environmental component and will offer Seoulians mixed-use areas such as shops, apartments, offices and a hotel. To be built in the southern Jamsil section of the city near the Han River, the Super Lotte Tower will sit next to a key transportation hub, efficiently bringing in commuters as well as tourists eager to see the new attraction. Mixed-use development was a key element in the design, and the vertical city will include public transport connectors, retail and residential space, offices, a hotel, an observation deck, and other public areas. Exact details on the sustainable design elements of the structure have not been released, but the firm is aiming for LEED certification, which will hopefully by that time include building performance monitoring to ensure energy savings. Kohn Pederson Fox, who is also responsible for the new eco-district Songdo IBD, is well known for designing super structures – especially in Asia. US architecture firms like KPF have been looking abroad for design work and have managed to stay afloat with contracts developing regions in Asia as well as the Middle East. + Kohn Pederson Fox Architects http://www.inhabitat.com/2009/10/21/tallest-building-in-asia-revealed-for-seoul-south-korea/
  23. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5i6Fva0ns1hS4JeI-yGHAxzwkXwew De Bernard Barbeau (CP) MONTREAL — Le consortium qui a réalisé l'étude d'impact du projet de construction d'un pont suspendu enjambant la rivière Saguenay à la hauteur de la route 138 privilégie le mode de financement en partenariats public-privé (PPP), même si son coût serait de 143 millions $ plus élevé. Le projet pourrait ainsi coûter jusqu'à 903 millions $. Cette différence pourrait être comblée par la combinaison du "facteur d'efficience du secteur privé" et de la "quantification des risques transférés", estime cependant le consortium composé des firmes SNC-Lavalin et Génivar dans son rapport rendu public mercredi. Or, depuis que la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget a quitté ses fonctions, le gouvernement de Jean Charest semble avoir passablement refroidi ses ardeurs à l'égard des PPP. Le pont relierait les municipalités de Baie-Sainte-Catherine, dans la région de la Capitale-Nationale, et Tadoussac, sur la Côte-Nord. Il s'agirait d'une structure de quatre voies d'une longueur totale de deux kilomètres, ce qui en ferait le plus long pont suspendu en Amérique du Nord, et le cinquième au monde. Le projet comprend aussi l'aménagement de routes d'approche à deux voies. Les travaux dureraient sept ans. Actuellement, le lien entre Baie-Sainte-Catherine et Tadoussac se fait par traversier, ce qui occasionne de longs moments d'attente à la fois en période d'affluence et hors des périodes de pointe. Le "syndrome de la traverse", selon lequel des conducteurs normalement prudents adoptent des comportements dangereux d'abord pour se réserver une place sur le traversier et ensuite pour reprendre le temps perdu, serait aussi en partie responsable de nombreux accidents. "L'aménagement d'un pont en remplacement de la traverse de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine se révèle l'intervention la plus appropriée à long terme pour répondre à la demande de déplacements entre la Côte-Nord et le reste du Québec", souligne au passage le rapport. Il note également qu'une telle structure aurait un impact positif sur la situation économique de la région, qui "est intimement liée à l'industrie touristique". Toutefois, dans les deux municipalités directement concernées, Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, on s'inquiète de la disparition d'emplois liés au service de traversier. Le maire de Baie-Comeau, Ivo Di Piazza, ne s'en fait aucunement. "Il y a un certain nombre d'emplois, aussi, qui vont se créer ne serait-ce que par le fait qu'il y ait un pont", fait valoir celui qui est aussi préfet de la MRC de Manicouagan, vice-président de la Conférence régionale des élus de la Côte-Nord, et porte-parole du groupe Nord-Côtiers unis pour l'avenir. "L'effet des emplois qui seront perdus sera compensé par une activité économique plus importante." Au point de vue environnemental, le consortium est d'avis que, puisque "le projet ne touche pas significativement le milieu marin, les principaux impacts négatifs du projet affectent le paysage". "Les piliers du pont seraient en rives de part et d'autre du Saguenay, donc on ne parle pas de piliers dans la rivière", précise Marc Larin, de la Direction de la Côte-Nord de Transports Québec. Des mesures d'atténuation et de suivi sont néanmoins proposées. "Actuellement, ce n'est pas très agréable, au plan environnemental, d'avoir assez souvent des kilomètres de voitures dont le moteur tourne, fait d'autre part valoir M. Di Piazza. Et si on pensait ajouter d'autres traversiers sur la rivière Saguenay, ce serait un trafic supplémentaire et les écosystèmes en seraient d'autant fragilisés à la longue. Le pont m'apparaît la solution environnementale la plus efficace." De plus, "en période d'exploitation, l'arrêt du service de traversier occasionnera un impact positif, en réduisant le niveau de bruit ambiant à l'embouchure du fjord", indique-t-on dans le rapport. La réalisation de cette étude d'impact avait été confiée au consortium SNC-Lavalin-Génivar à l'automne 2002 pour un montant de 2 millions $. Le ministère des Transports attend maintenant de voir quelles réactions suivront la publication du rapport. "L'objectif est vraiment de permettre aux gens de prendre connaissance de l'étude, qui est quand même assez volumineuse, et à la suite des discussions qu'il y aura avec les différents groupes concernés, il y aura une position qui sera prise", indique M. Larin.
  24. le 15 novembre 2007 De plus en plus sollicité par le train de banlieue Saint-Jérôme–Montréal, le pont quasi centenaire qui enjambe la rivière des Prairies et relie Laval et Montréal à l'île Perry, au sud du quartier Laval-des-Rapides sera remplacé par un neuf, d'ici la fin novembre. L'intervention, prévue depuis près de deux ans, est nécessaire en raison de l'augmentation de la fréquence des trains de banlieue qui y circulent. «On veut augmenter la capacité du pont. Le train de banlieue est un succès et est toujours en croissance», fait valoir le porte-parole du CP, Michel Spénard. Avant de procéder au remplacement de la vieille structure, le CP procédera au démantèlement de la passerelle piétonnière, où est également aménagée une piste cyclable. Cette opération sera amorcée le lundi 19 novembre et s'échelonnera sur une semaine, précise le porte-parole de la compagnie ferroviaire. La firme de construction Euler, en collaboration avec la firme d'ingénierie MLC Associés, se chargera de cette portion des travaux. «C'est ce qui aura le plus d'impact sur le public», dit-il. Le reste des travaux, soit le remplacement du pont par une nouvelle structure préfabriquée, peut se faire en un week-end, assure-t-il. Si tout se déroule comme prévu, l'horaire du train de banlieue, qui n'est pas en service la fin de semaine, ne sera pas touché. La ligne Saint-Jérôme–Montréal effectue trois arrêts sur le territoire lavallois: à Sainte-Rose, Vimont et à la station intermodale Concorde. L'ensemble des travaux, y compris la réinstallation de la passerelle, devrait être achevé au plus tard le lundi 17 décembre. Le remplacement du pont devrait se faire en un week-end, estime le Canadien Pacifique.
  25. Un immeuble de trois étages menace actuellement de s’effondrer en plein centre-ville de Montréal. Ce sont les pompiers qui ont fait la découverte du danger représenté par cette stucture située au 1029 du Boul. St-Laurent, à l’entrée du quartier Chinois. Ils ont été appelés à se rendre sur place à 9h20 ce matin après avoir reçu un appel d’un citoyen signalant le fait que des briques s’étaient détachées de la cheminée de l’édifice. Une fois sur place, les sapeurs ont procédé à une inspection plus poussée du bâtiment et ont fait la découverte que la façade de l’édifice se détachait progressivement de sa structure. Un ordre d’évacuation a donc été donné. Entre temps, le propriétaire de l’édifice ainsi que les responsables de l’arrondissement ont été appelés à se rendre sur place afin de décider du type d’intervention. L’immeuble en question abrite au premier étage l’entreprise Dragon Siu Enr, un magasin de variété et des appartements aux étages supérieurs.
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