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  1. - On peu voir le Queen's Hotel sur la rue Peel, coin Saint-Jacques, et l'annexe à coté. Démolition de l'annexe:
  2. - 48 unités de 950 pi 2 à 1500 pi 2 - À partir de 199 000$ - Réservez tôt (soyez les premiers acheteurs) - Livraison Septembre 2012 - Luxueux, spacieux, prix abordable. - Site de choix; proximité de tout, centre-d’achat, train de banlieue, piste cyclable. - Ascenseur, garage intérieur et place de stationnement extérieur. - Unité de coin et de centre - Grand balcon -Revêtement pierres et briques - Structure de béton - Planchers lattes d’ingénierie http://legroupeplatinum.com/construction/projets/les-belvederes-de-blainville
  3. Une firme de design new-yorkaise propose de doter l’Île Sainte-Hélène d’un deuxième dôme conçu comme l’ancien pavillon des États-Unis au cours de l’Expo 67. Selon le magazine de design et d'architecture Dezeen, la firme new-yorkaise Studio Dror aimerait construire une autre sphère géodésique à côté de la Biosphère actuelle, l’ancien pavillon des États-Unis. Ce pavillon avait été conçu à l’époque par l’architecte Richard Buckminster Fuller. Depuis 1990, le dôme est devenu un musée consacré à l’environnement. Le fondateur de Studio Dror, Dror Bensherit, a expliqué son projet au magazine Dezeen: «Comme le ferait le soleil et la lune, notre concept se présente comme une danse poétique avec le design de Fuller. Pour exploiter le potentiel du Parc dans un contexte contemporain.» Cette nouvelle structure, jumelle à celle de l’ancienne Biosphère, en adopterait les mêmes dimensions: 76 mètres de diamètre pour une hauteur de 62 mètres. Toutefois, la nouvelle version des Studio Dror serait construite avec un auvent aménagé à partir du haut de la structure. Ce qui permettrait de créer une zone partiellement abritée autour de sa base. Ses treillis en aluminium seraient aussi conçus pour permettre à la végétation d’y pousser afin de mieux intégrer la structure au décor environnant et d’insonoriser partiellement les lieux. Si le projet des Studio Dror se concrétise, la construction de ce deuxième dôme coïnciderait avec le 50e anniversaire d’Expo 67 l’an prochain. http://www.journaldemontreal.com/2016/04/26/un-nouveau-dome-sur-lile-sainte-helene
  4. Je mets ce thread ici par sarcasme, images et graphiques en suivant ce lien: http://m.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/04/007-stade-olympique-toit-demantelement-scenario-pret-rio.shtml MONTRÉAL Jeudi 4 décembre 2014 17h25 Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Stade olympique : le scénario du démantèlement du toit est prêt Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Un texte de Davide Gentile La RIO a refusé de communiquer les détails de ce plan. Après avoir ouvert la porte à une entrevue avec ICI Radio-Canada, l'organisme a finalement refusé de commenter le dossier. Mais une analyse interne faite en 2012 détaille ce scénario de « démantèlement complet de la structure actuelle ». Un processus complexe et coûteux Enlever le toit du stade ramènerait la structure à l'état dans lequel il était entre 1976 et 1987. Selon les informations obtenues par Radio-Canada la perspective d'un stade sans toit serait « réalisable » sur le plan technique. L'analyse faite en 2012 chiffre les coûts du démantèlement du toit à 6,2 millions de dollars. Préparer le stade sans toit à affronter les affres de l'hiver coûterait 13 millions de plus. C'est qu'avec la construction du toit en 1988 des installations de drainage, d'alimentation électrique et de télécommunication ont été ajoutées. On pense aussi au système de gicleurs, tableaux indicateurs et systèmes de son installés depuis. Roger Taillibert, l'architecte du stade, estime qu'on ne peut pas laisser la structure ouverte très longtemps. « Bien sûr, il y a toutes les canalisations électriques, celles d'incendie, etc. Alors, donc, il faut faire un travail d'hivernation », dit-il. Si la RIO décide ou est forcée de démanteler le toit en raison de sa dégradation, il faudra chaque automne répéter cette procédure qui serait qualifiée de « contraignante ». Sans toit, le stade vieillirait rapidement Selon nos informations, l'analyse de la RIO conclut qu'enlever le toit provoquerait un vieillissement prématuré de la structure du stade. Conçue avec un toit, la coquille de béton ne serait pas faite pour faire face à la pluie, la neige et les nombreux cycles de gel et dégel. Cela rapprocherait la date à laquelle « une réfection majeure » de sa structure serait nécessaire pour conserver son intégrité. Roger Taillibert est favorable à un démantèlement, parce qu'il estime le toit Birdair « trop lourd ». Mais, selon lui, il faut éviter la précipitation. « Puisqu'on l'a installé il y a plus de 10 ans, ça peut attendre encore un an, qu'on puisse parallèlement préparer un toit qui serait monté immédiatement ». Roger Taillibert rêve toujours d'un nouveau toit Selon nos informations, la RIO aurait mis une croix sur un toit rétractable et favoriserait un toit fixe en toile, moins cher. Une éventualité qui engendrerait des coûts d'au moins 150 millions. Roger Taillibert parle d'un scénario « inconcevable ». Il rêve toujours d'un toit rétractable et aurait échafaudé de nouveaux plans. Il évoque une proposition « revue, avec des matériaux nouveaux et des mécaniques qui ont beaucoup évolué depuis 40 ans ». Le poids serait moindre et les coûts aussi. L'architecte, toujours passionné par son stade à plus de 80 ans, estime que la facture d'un toit rétractable serait aujourd'hui d'environ 150 millions. Cependant, des sources québécoises proches du dossier parlent plutôt d'une facture de 300 millions pour un toit rétractable. Trop tard pour créer un pôle majeur? Faute d'un toit pleinement fonctionnel, le stade semble avoir perdu de son attrait au fil des ans. « Beaucoup d'événements qui avaient lieu au stade ont migré au Palais des congrès ou au Centre Bell », affirme Romain Roult, professeur au département de culture et de tourisme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Selon lui, le remplacement du toit serait indéniablement un « préambule important » au réaménagement du Parc olympique. Un toit viable augmenterait nécessairement le nombre d'événements, mais il est difficile de prédire l'ampleur de la hausse. Selon M. Roult, une relance sérieuse passerait aussi par le réaménagement des loges, des sièges et des aires de restauration, qui datent des années 80. La saga du stade aurait eu un impact sur la compétitivité de Montréal. Faute de disponibilité d'un très grand espace ouvert, comme le stade pendant les mois d'hiver, « Montréal a perdu du terrain face à des villes comme Toronto ou Chicago » pour l'organisation de grandes foires, ajoute M. Roult. Le secteur privé quitte le navire? En août 2013, des philanthropes de la région de Montréal avaient annoncé leur intention d'investir dans la relance du pôle olympique. Mais en raison de la stagnation du dossier du remplacement du toit, certains auraient abandonné l'aventure. Le gouvernement n'a pas voulu confirmer ou commenter quoi que ce soit dans ce dossier. Seule bonne nouvelle dans cette saga : la RIO a identifié des zones de fragilité sur la toile. Les réparations qui ont suivi ont permis de faire diminuer le nombre de déchirures, pour la première fois. Tous droits réservés © Société Radio-Canada 2014 CBC/Radio-Canada
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/474566/un-quai-evenementiel-permanent-sur-le-canal-de-lachine/ Un quai événementiel permanent sur le canal de Lachine Par Laurence Houde-RoyMétro Le QuaiPrevious photoNext photo Un quai flottant pouvant accueillir des événements culturels sera installé sur le canal de Lachine tout l’été. Le ponton, d’une longueur de 24 mètres et d’une largeur de 11 mètres, sera principalement utilisé et entreposé au Bassin Peel. Amarré aux berges, il y sera relié par une passerelle. Les promoteurs ou artistes intéressés à louer la structure pour leurs événements pourront aussi demander à le déplacer le long du canal, entre le Vieux-Port de Montréal et le lac Saint-Louis. La structure pourra notamment recevoir des spectacles de musique, un cinéma en plein air et des réceptions de près de 200 personnes. Le promoteur Simon Lebrun, également à la tête du Défi canot à glace Botabota, fera la présentation de ce projet vendredi au congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec. «On s’est rendu compte qu’à Montréal, c’était difficile d’organiser des événements près des berges ou sur l’eau. Il n’y avait pas de lieux saisonniers à la disposition des promoteurs et offerts à la location» -Simon Lebrun qui lancera officiellement la structure à la fin du mois de mai. Si certains artistes espéraient pouvoir présenter leur travail sur l’eau, les coûts d’assemblage d’une telle structure les rebutaient bien souvent. «Oui, nous voulons attirer les événements du milieu corporatif, mais nous voulons aussi rendre ce quai accessible», ajoute M. Lebrun qui, avec un ponton en permanence sur l’eau, compte offrir des prix plus modiques aux artistes. Ce genre d’emplacement permanent est déjà disponible dans plusieurs grandes villes internationales, indique le promoteur. «Le pouvoir attractif d’un événement sur l’eau est incroyable. Un écran de cinéma devient soudainement beaucoup plus intéressant s’il est sur l’eau», ajoute-t-il. Les discutions avec Parcs Canada, qui gère le Canal-de-Lachine, se font depuis l’automne dernier. L’institution fédérale devait notamment s’assurer que la plateforme n’affecte pas le passage des plaisanciers et que sa taille respecte les normes. Le quai événementiel sera à la disposition des promoteurs de la fin mai jusqu’au mois d’octobre. Si la réponse est positive, son promoteur pourrait agrandir sa superficie pour les années suivantes. Parc Jean-Drapeau Le congrès de l’Association des architectes paysagistes du Québec accueillera également une conférence de Daniel Blier, directeur général de la Société du parc Jean-Drapeau. Il présentera les avancements de la revitalisation du secteur dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. Le projet, dont les plans ont été présentés aux partenaires en décembre dernier, compte offrir aux visiteurs un meilleur accès au fleuve ainsi qu’une entrée plus fournie, avec notamment des points de restauration et un comptoir d’accueil. «Nous sommes assez emballés par rapport à la direction que prend ce projet. Il respecte autant les besoins contemporains, tout en conservant la mémoire des lieux», affirme Luc Beauchemin de la Fondation Expo 67 qui a pris connaissance des esquisses. La restauration de la Place des Nations, l’une des legs majeurs du 375e anniversaire, est particulièrement intéressante pour M. Beauchemin. «La restauration se fera avec les matériaux d’origine», se réjouit celui qui espère retrouver l’esprit d’Expo 67 après les travaux. Selon les plans qu’il a consultés, un arrêt d’autobus devrait également s’ajouter près de la Place des Nations, un attrait supplémentaire pour les visiteurs, estime-t-il. La Société du parc Jean-Drapeau songe également à offrir l’endroit pour la diffusion de spectacles ou de concerts à ciel ouvert, selon M. Blier. M. Beauchemin espère toutefois que les principaux acteurs d’Expo 67 seront reconnus à travers ces travaux en renommant les axes de circulation du parc en leur nom.
  6. Un appel d'offres a été lancé dernièrement par la Société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain Inc. pour le remplacement du Viaduc Principal. Celui-ci se trouve a enjamber deux voies de circulation, soit celle de la sortie Wellington, en provenance de l'autoroute 15 direction nord, et celle de la sortie pour l'autoroute Bonaventure en provenance de l'autoroute 15 en direction sud. Le remplacement de cette structure est prévue pour 2014 et 2015, et entrainera certainement plusieurs entraves majeures dans l'axe du Pont Champlain. [streetview]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.472158,-73.559089&spn=0.000008,0.004823&t=h&z=18&layer=c&cbll=45.472073,-73.559278&panoid=9e4UcI__cX8TKd44w6rmgA&cbp=12,198.81,,1,-9.01[/streetview] Lien pour consulter l'appel d'offres
  7. Description du projet L'étendue des travaux décrits par ce devis et les dessins l'accompagnant couvrent la construction d’un bâtiment neuf totalisant 22 logements, dont 4 adaptables et des espaces communs dont une salle communautaire et des terrasses aux toits. Le bâtiment, de type incombustible et Novoclimat, sera traversant (de la rue Berger jusqu’à la rue de Bullion) et aura une hauteur de 5 étages (avec constructions hors-toits et un niveau en sous-sol). La structure sera en béton (dalle, poutre et colonne), les revêtements extérieurs seront en maçonnerie, en parement métallique et en parement de bois. Le tout situé sur le lot 2 160 697 dans le quadrilatère des rues Berger, de Bullion, Ste-Catherine E et Charlotte dans l’arrondissement Ville-Marie, Montréal. https://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=8b66e6c7-d6ef-4e03-aaa7-5d7efa75efde&SubCategoryCode=C01&callingPage=4&ColumnAction=1
  8. Un grosse structure est en train d'être assemblée au coin nord-ouest du rond-point Acadie. Quelqu'un sait de quoi il s'agit ? C'est assez gros, ma photo ne le rend pas.
  9. Réfection d'un parc dans la Petite-Bourgogne. Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. https://maps.google.com/maps?q=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.489502,-73.573573&spn=0.003941,0.010568&sll=45.48559,-73.556471&sspn=0.01718,0.042272&oq=petite-&hq=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&t=h&z=17
  10. The Grand Trunk Railway's Bonaventure Station in the 1870s. The station structure roughly corresponded with Chaboillez Square in Downtown Montreal. This building was destroyed by a fire in 1916. Source et texte entier : http://en.wikipedia.org/wiki/Bonaventure_Station
  11. Cette construction remplace un plex abandonné dont la structure était défaillante.
  12. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201108/05/01-4423871-infrastructures-montreal-bat-il-tous-les-records.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1 Publié le 06 août 2011 à 00h00 | Mis à jour à 08h26 Marie-Claude Malboeuf La Presse Les Montréalais ont-ils raison de croire que leur réseau routier est le plus délabré du continent? «C'est difficile à vérifier, mais parmi les villes nord-américaines, Montréal se classe probablement parmi les plus problématiques», répond Douglas Hooton, professeur de génie civil à l'Université de Toronto. «Il y a environ cinq ans, illustre-t-il, des experts des quatre coins du monde sont venus participer à un colloque majeur à Montréal. En roulant entre Dorval et le centre-ville, chacun d'entre eux n'en revenait pas du piètre état du béton! Ils n'en revenaient pas de tous les problèmes qu'ils constataient!» Le gel et la corrosion font leurs dégâts, détaille-t-il, et les agrégats du béton disponibles à proximité de Montréal ne sont pas aussi bons que ceux utilisés à Toronto, ce qui cause aussi des fissures. Chose certaine, la ville de Toronto n'a jamais dû fermer un pont d'urgence en raison d'un problème de structure, assure le directeur des services techniques, Peter Crockett, convaincu que la Ville Reine n'est pas dans la même situation que Montréal (tout en convenant que même le revêtement de béton qui se détache de l'autoroute Gardiner représente un danger). «J'ai l'impression qu'à Montréal, on a été encore plus lents qu'ailleurs à investir dans l'entretien et la réparation, qu'on est encore plus en retard», commente le vice-président de la Fédération canadienne des municipalités et maire de Lachine, Claude Dauphin. À l'image des experts américains joints par La Presse, M. Dauphin n'a jamais entendu parler d'une ville frappée aussi souvent, dans un aussi court laps de temps. «Cela me semble assez fréquent pour inquiéter les gens, avance de son côté le professeur Joseph L. Schofer, directeur de l'Infrastructure Technology Institute à l'université Northwestern de Chicago. Le plus important, c'est de comprendre les différentes causes afin de voir s'il y a un lien entre elles, pour pouvoir corriger la situation.» À sa grande surprise, une simple visite sur le site Google Street View (qui montre en photo chaque rue Montréal) lui a permis de repérer des dégâts. «J'ai été étonné devant les dommages que j'ai constatés, dit-il. Aux États-Unis, nous avons désinvesti, mais j'avais des attentes plus élevées quant à l'état des infrastructures au Canada.» «L'âge n'est pas une excuse, tranche cet ingénieur. Si on surveille, entretient et utilise une structure adéquatement, elle devrait tenir longtemps. Et on ne peut pas se surprendre du climat. C'est une condition fondamentale. Il faut concevoir en fonction de cela pour ne pas mettre des vies en danger, comme on le fait ici pour faire face aux tremblements de terre et aux inondations.» «Aux États-Unis, les incidents semblent plus éparpillés, même si la corrosion cachée est aussi un grand problème pour nous», ajoute l'ingénieur Jerome S. O'Connor, responsable du programme des ponts à l'Université de Buffalo. Cela dit, aucune étude ne permet d'établir un véritable palmarès de la décrépitude. «C'est difficile de vérifier nos impressions. Des choses qui tombent des ponts, il y en a souvent, mais c'est rarement très publicisé», observe par ailleurs Benoît Robert, professeur de génie à l'École polytechnique de l'Université de Montréal. «D'après ce que j'entends au ministère des Transports, on n'a pas à avoir honte si on se compare au reste de l'Amérique du Nord», poursuit ce spécialiste de l'analyse et de la gestion des risques. «En Europe, les autoroutes sont de meilleures qualités, dit-il. Mais elles sont payantes, donc elles sont très chères.» Et d'après nos recherches, cela n'empêche pas certains ponts de tomber. *** Sucession de malheurs (voir la galerie photos) À Montréal Été 2008 > À la sortie du pont Champlain, la bretelle d'accès de l'autoroute Décarie (15) est fermée d'urgence lorsqu'un morceau d'une cinquantaine de centimètres de diamètre se détache de la chaussée pour creuser un trou plusieurs mètres plus bas, rue Notre-Dame. Peu après, un morceau de béton de plusieurs centaines de kilos se détache pour tomber dans un stationnement. Mi-avril 2011 > Plusieurs voies de l'échangeur Turcot, qui relie l'autoroute Ville-Marie (720) à l'autoroute 20Ouest, sont fermées d'urgence pour quelques mois, des ingénieurs ayant découvert que les armatures d'acier avaient été mal disposées au moment de la construction de l'échangeur, dans les années 60. 30 Mai 2011 > Un morceau de béton d'une vingtaine de kilogrammes se détache de l'autoroute Métropolitaine (40) pour s'affaisser sur le trottoir du boulevard Crémazie, en pleine heure de pointe. 14 Juin 2011 > Des voies du pont Mercier sont fermées d'urgence parce qu'on réalise soudain que des éléments de structure sont gravement endommagés. Des travaux majeurs étaient pourtant en cours depuis deux ans. 7 Juillet 2011 > Deux joints de dilatation cèdent sur le pont Champlain, créant des trous béants dans la chaussée, en pleine heure de pointe. Ils faisaient partie de la liste des travaux à réaliser d'ici à 2019. Plusieurs rapports, longtemps gardés secrets, affirment que le pont n'est plus sécuritaire. 31 Juillet 2011 > L'autoroute 720 est partiellement fermée en direction est après qu'un paralume de 25tonnes se fut effondré dans le tunnel Ville-Marie. À Laval Juin 2000 > Une poutre de 60 tonnes se détache du viaduc du Souvenir, tuant un homme et en blessant deux autres, alors qu'ils roulaient sur l'autoroute 15. Personne n'a été tenu responsable de la catastrophe. 30 Septembre 2006 > Le viaduc de la Concorde s'effondre sur l'autoroute 19, tuant cinq personnes et en blessant six grièvement.
  13. Un petit édifice aux airs d'Expo '67. Coin nord-est Saint-Denis_DeMaisonneuve. Construit en 1968 par l'architecte Jean-Paul Pothier. La structure de l'édifice n'a pas été démolie mais des travaux majeurs de réaménagement en 1991-1992 en ont complètement modifié l'aspect.
  14. Le vieux théâtre sera démoli Le Théâtre de Quat'Sous, un des lieux mythiques du théâtre montréalais, sera démoli mardi prochain. L'ancienne synagogue de la rue des Pins qui abritait le Théâtre de Quat'Sous depuis 40 ans, sera remplacée par un nouveau théâtre plus moderne et plus grand. Après avoir retiré l'amiante et certains éléments de la structure interne, les ouvriers procéderont mardi à la démolition de la structure afin de procéder à l'excavation du site. Le nouveau Quat'Sous sera deux fois plus grand que l'ancien. Le projet de 4 millions de dollars, financé en grande partie par Québec, comprend aussi une salle de répétition, des espaces publics plus vastes et des loges plus spacieuses. L'équipe du Quat'Sous espère être en mesure d'utiliser ses nouveaux espaces au cours de la saison 2008-2009. Le petit théâtre fondé par l'acteur Paul Buissonneau a fêté ses 50 ans en 2005.
  15. MONTREAL — U2 is putting up $3 million to expand Montreal's former horse racing stadium so it can accommodate 60,000 to 80,000 people for a show this summer. The fact that the band is fronting the costs of building the venue for the July 16 event is a testament to its love of Montreal, according to Jacques Aube, vice-president and general manager of promoter Gillett Entertainment Group. Gillett and tour promoter Live Nation have been working on the possibility of a Montreal date for months. The biggest problem was finding a venue big enough to host the show (including the 150-foot-wide (45-metres) stage, featuring a massive, steel spider-like structure) and comply with U2's request for an open-air stadium. The Olympic Stadium's roof is not retractable, so that 60,000-seat venue wasn't viable; Jean Drapeau Park is too small and even the Hippodrome, the former racetrack, wasn't big enough originally, which led to talks of constructing a venue specifically for the concert. http://www.canada.com/entertainment/expand+stadium+play+Montreal/2229285/story.html © Copyright © Canwest News Service
  16. http://www.google.com/hostednews/canadianpress/article/ALeqM5i6Fva0ns1hS4JeI-yGHAxzwkXwew De Bernard Barbeau (CP) MONTREAL — Le consortium qui a réalisé l'étude d'impact du projet de construction d'un pont suspendu enjambant la rivière Saguenay à la hauteur de la route 138 privilégie le mode de financement en partenariats public-privé (PPP), même si son coût serait de 143 millions $ plus élevé. Le projet pourrait ainsi coûter jusqu'à 903 millions $. Cette différence pourrait être comblée par la combinaison du "facteur d'efficience du secteur privé" et de la "quantification des risques transférés", estime cependant le consortium composé des firmes SNC-Lavalin et Génivar dans son rapport rendu public mercredi. Or, depuis que la ministre des Finances Monique Jérôme-Forget a quitté ses fonctions, le gouvernement de Jean Charest semble avoir passablement refroidi ses ardeurs à l'égard des PPP. Le pont relierait les municipalités de Baie-Sainte-Catherine, dans la région de la Capitale-Nationale, et Tadoussac, sur la Côte-Nord. Il s'agirait d'une structure de quatre voies d'une longueur totale de deux kilomètres, ce qui en ferait le plus long pont suspendu en Amérique du Nord, et le cinquième au monde. Le projet comprend aussi l'aménagement de routes d'approche à deux voies. Les travaux dureraient sept ans. Actuellement, le lien entre Baie-Sainte-Catherine et Tadoussac se fait par traversier, ce qui occasionne de longs moments d'attente à la fois en période d'affluence et hors des périodes de pointe. Le "syndrome de la traverse", selon lequel des conducteurs normalement prudents adoptent des comportements dangereux d'abord pour se réserver une place sur le traversier et ensuite pour reprendre le temps perdu, serait aussi en partie responsable de nombreux accidents. "L'aménagement d'un pont en remplacement de la traverse de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine se révèle l'intervention la plus appropriée à long terme pour répondre à la demande de déplacements entre la Côte-Nord et le reste du Québec", souligne au passage le rapport. Il note également qu'une telle structure aurait un impact positif sur la situation économique de la région, qui "est intimement liée à l'industrie touristique". Toutefois, dans les deux municipalités directement concernées, Tadoussac et Baie-Sainte-Catherine, on s'inquiète de la disparition d'emplois liés au service de traversier. Le maire de Baie-Comeau, Ivo Di Piazza, ne s'en fait aucunement. "Il y a un certain nombre d'emplois, aussi, qui vont se créer ne serait-ce que par le fait qu'il y ait un pont", fait valoir celui qui est aussi préfet de la MRC de Manicouagan, vice-président de la Conférence régionale des élus de la Côte-Nord, et porte-parole du groupe Nord-Côtiers unis pour l'avenir. "L'effet des emplois qui seront perdus sera compensé par une activité économique plus importante." Au point de vue environnemental, le consortium est d'avis que, puisque "le projet ne touche pas significativement le milieu marin, les principaux impacts négatifs du projet affectent le paysage". "Les piliers du pont seraient en rives de part et d'autre du Saguenay, donc on ne parle pas de piliers dans la rivière", précise Marc Larin, de la Direction de la Côte-Nord de Transports Québec. Des mesures d'atténuation et de suivi sont néanmoins proposées. "Actuellement, ce n'est pas très agréable, au plan environnemental, d'avoir assez souvent des kilomètres de voitures dont le moteur tourne, fait d'autre part valoir M. Di Piazza. Et si on pensait ajouter d'autres traversiers sur la rivière Saguenay, ce serait un trafic supplémentaire et les écosystèmes en seraient d'autant fragilisés à la longue. Le pont m'apparaît la solution environnementale la plus efficace." De plus, "en période d'exploitation, l'arrêt du service de traversier occasionnera un impact positif, en réduisant le niveau de bruit ambiant à l'embouchure du fjord", indique-t-on dans le rapport. La réalisation de cette étude d'impact avait été confiée au consortium SNC-Lavalin-Génivar à l'automne 2002 pour un montant de 2 millions $. Le ministère des Transports attend maintenant de voir quelles réactions suivront la publication du rapport. "L'objectif est vraiment de permettre aux gens de prendre connaissance de l'étude, qui est quand même assez volumineuse, et à la suite des discussions qu'il y aura avec les différents groupes concernés, il y aura une position qui sera prise", indique M. Larin.
  17. le 15 novembre 2007 De plus en plus sollicité par le train de banlieue Saint-Jérôme–Montréal, le pont quasi centenaire qui enjambe la rivière des Prairies et relie Laval et Montréal à l'île Perry, au sud du quartier Laval-des-Rapides sera remplacé par un neuf, d'ici la fin novembre. L'intervention, prévue depuis près de deux ans, est nécessaire en raison de l'augmentation de la fréquence des trains de banlieue qui y circulent. «On veut augmenter la capacité du pont. Le train de banlieue est un succès et est toujours en croissance», fait valoir le porte-parole du CP, Michel Spénard. Avant de procéder au remplacement de la vieille structure, le CP procédera au démantèlement de la passerelle piétonnière, où est également aménagée une piste cyclable. Cette opération sera amorcée le lundi 19 novembre et s'échelonnera sur une semaine, précise le porte-parole de la compagnie ferroviaire. La firme de construction Euler, en collaboration avec la firme d'ingénierie MLC Associés, se chargera de cette portion des travaux. «C'est ce qui aura le plus d'impact sur le public», dit-il. Le reste des travaux, soit le remplacement du pont par une nouvelle structure préfabriquée, peut se faire en un week-end, assure-t-il. Si tout se déroule comme prévu, l'horaire du train de banlieue, qui n'est pas en service la fin de semaine, ne sera pas touché. La ligne Saint-Jérôme–Montréal effectue trois arrêts sur le territoire lavallois: à Sainte-Rose, Vimont et à la station intermodale Concorde. L'ensemble des travaux, y compris la réinstallation de la passerelle, devrait être achevé au plus tard le lundi 17 décembre. Le remplacement du pont devrait se faire en un week-end, estime le Canadien Pacifique.
  18. Un immeuble de trois étages menace actuellement de s’effondrer en plein centre-ville de Montréal. Ce sont les pompiers qui ont fait la découverte du danger représenté par cette stucture située au 1029 du Boul. St-Laurent, à l’entrée du quartier Chinois. Ils ont été appelés à se rendre sur place à 9h20 ce matin après avoir reçu un appel d’un citoyen signalant le fait que des briques s’étaient détachées de la cheminée de l’édifice. Une fois sur place, les sapeurs ont procédé à une inspection plus poussée du bâtiment et ont fait la découverte que la façade de l’édifice se détachait progressivement de sa structure. Un ordre d’évacuation a donc été donné. Entre temps, le propriétaire de l’édifice ainsi que les responsables de l’arrondissement ont été appelés à se rendre sur place afin de décider du type d’intervention. L’immeuble en question abrite au premier étage l’entreprise Dragon Siu Enr, un magasin de variété et des appartements aux étages supérieurs.
  19. Compressions à Montréal: Maciocia propose un traitement de choc Éric Clément La Presse Le maire de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, Cosmo Maciocia, ne cache pas son impuissance face aux compressions de 20 millions que le maire demande aux arrondissements. Les compressions annoncées par Gérald Tremblay la semaine dernière suscitent une étonnante proposition de la part de Cosmo Maciocia, conseiller municipal, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal et maire de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles. Selon lui, par souci d'économie et d'efficacité, il faut revoir la structure actuelle de la Ville en réduisant de moitié le nombre d'arrondissements et d'élus municipaux. Cette idée surprend quand on sait qu'elle provient d'un fidèle partenaire du maire Tremblay. Cosmo Maciocia n'est pas né de la dernière pluie. Il fait de la politique municipale depuis 30 ans. Et depuis l'arrivée de Gérald Tremblay à la mairie, en 2001, il est son meilleur allié. Mais en entrevue avec La Presse, M. Maciocia ne s'est pas gêné pour exprimer son impuissance face aux compressions de 20 millions que le maire impose aux arrondissements. Selon lui, elles sont douloureuses pour les 19 administrations montréalaises. Surtout après trois années de RASOP (Révision des activités, services, opérations et programmes) qui ont obligé les arrondissements à abolir des postes. «Dans mon arrondissement, on a un déficit à cause de la neige, on n'a pas d'argent et, en plus, la Ville nous a prêté 2,5 millions en 2008, à rembourser en trois ans. Et je prévois encore un déficit en 2009. J'ai déjà aboli 32 postes avec la RASOP. On a un gros problème. Je crois qu'il faut revoir la structure de Montréal au complet. Des arrondissements de moins de 20 000 personnes et d'autres six fois plus peuplés avec le même nombre de cadres et de directeurs, sérieusement, peut-on continuer à laisser les choses comme ça?» M. Maciocia suggère donc de faire passer le nombre d'arrondissements de 19 à 10 et le nombre d'élus montréalais de 105 à 51. Cette proposition aurait pour conséquence de réduire sensiblement la masse salariale totale des arrondissements. Il y aurait moins de cols blancs et de cols bleus. M. Maciocia dit que, en fin de compte, les citoyens seront gagnants. «Non seulement on aura des gains de productivité, mais en plus les gens auront de meilleurs services de proximité.» Cosmo Maciocia croit que de diminuer le nombre d'arrondissements n'annulera pas la décentralisation et les avantages qu'elle a apportés. «C'est la délimitation qu'il faut refaire, car 19 directeurs des sports et loisirs, 19 directeurs des travaux publics, 19 directeurs administratifs, 19 directeurs des ressources humaines, etc., ça n'a pas de sens.» Mais comment fera-t-on les regroupements pour former les 10 nouveaux arrondissements? Il y aura assurément des tiraillements, mais M. Maciocia dit que ce n'est pas une mission impossible. «Regardez mon arrondissement, la fusion de Rivière-des-Prairies avec Pointe-aux-Trembles n'a rien de logique, tant du point de vue démographique que du point de vue géographique. Pointe-aux-Trembles pourrait très bien être rattaché à Mercier-Hochelaga-Maisonneuve.» Rivière-des-Prairies pourrait être rattaché à Montréal-Nord-Saint-Léonard-Anjou pour former un seul arrondissement. Dans le même ordre d'idée, L'Île-Bizard-Sainte-Geneviève pourrait se joindre à Pierrefonds-Roxboro et à Saint-Laurent, ce qui constituerait une structure de 170 000 habitants. Et Verdun pourrait former une seule entité avec le Sud-Ouest. La proposition Maciocia vise à créer 10 regroupements de 150 000 habitants en moyenne, afin de ne plus avoir un arrondissement de 17 500 résidants comme L'Île-Bizard-Sainte-Geneviève et un autre de 130 000 comme Rosemont-La Petite-Patrie. Réduire le nombre d'élus M. Maciocia croit qu'on devrait également en profiter pour réduire le nombre de conseillers. On ferait disparaître la notion de conseiller d'arrondissement pour ne conserver que les conseillers municipaux. Cela permettrait à la métropole de se retrouver avec 50 élus (10 par arrondissement, en comptant le maire), plus le maire de Montréal, soit 51 au lieu des 105 conseillers et maires actuels. La restructuration entraînerait des coûts, mais le maire de RDP-PAT estime que son idée mérite d'être étudiée par Gérald Tremblay, son équipe et le parti Union Montréal. Mais c'est le gouvernement du Québec qui a le pouvoir de changer la structure actuelle, née des fusions municipales. «Je pense que Québec a tout intérêt à partager ce point de vue car, avec moins d'arrondissements, il est évident que ça coûtera moins cher», dit M. Maciocia.
  20. La Ville de Montréal autorise le lancement de l'appel d'offres pour la restauration de la croix du mont Royal Montréal, le 16 mai 2007 - Dans le cadre de « Mai 2007 : Mois du Mont-Royal», Madame Helen Fotopulos, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal responsable de l'environnement, des parcs, des espaces verts et bleus, du mont Royal et de la condition féminine, est heureuse d'annoncer que le comité exécutif autorise le lancement d'un appel d'offres public pour l' exécution des travaux de restauration et de l'aménagement des abords de la croix du mont Royal. Le budget prévu pour ces travaux est estimé à environ 1 365 000 $, taxes incluses. « Ces travaux ainsi que d'autres démarches entreprises comme celle visant l'adoption du Plan de protection et de mise en valeur du mont Royal, la restauration du monument à Sir George-Étienne Cartier ainsi que le réaménagement du nouvel échangeur Parc-Pins pour ne nommer que ceux-là, témoignent de la volonté de l'administration municipale de reconnaître le caractère unique du mont Royal et de poursuivre la mise en valeur de ses richesses historiques et naturelles. La croix, symbole marquant de Montréal, fait l'objet d'une forte appartenance collective reposant à la fois sur sa valeur historique et emblématique. Après 80 ans d'existence, ce monument qui domine la métropole doit être restauré avec grand soin. Le mont Royal et sa croix sont des composantes majeures du caractère identitaire du paysage montréalais », a affirmé madame Fotopulos. Située sur l'un des trois sommets de la montagne, la croix, d'une hauteur de 33 mètres, avec ses bras d'une envergure de 10 mètres, se dresse directement vers le Nord-Est, elle est visible, lorsqu'illuminée, à plusieurs kilomètres. Structure métallique, assemblée à l'aide de 1 830 pièces reliées par 6 376 rivets, elle a un poids de 26 tonnes qui reposent sur 8 pilastres de béton., l'état général de la structure de la croix et de ses abords requièrent une importante restauration pour en assurer la pérennité. L'exécution de ces travaux sera répartie en 2 phases de réalisation Les travaux de la première phase devraient être complétés pour le 23 décembre 2007, ils sont estimés à 975 000 $. Ces travaux, visent la restauration de la structure métallique de la croix et des éléments stabilisateurs. Ils comprennent aussi le démantèlement du système d'éclairage et son remplacement par un nouveau système facilitant la gestion des couleurs et l'entretien. Les travaux de la deuxième phase estimés à 390 000 $, seront réalisés au printemps 2008. Ces travaux porteront essentiellement sur l'aménagement des abords incluant le traitement de la base de la croix pour empêcher son ascension, la mise à nu du roc pour mettre en valeur la nature géologique du paysage, la fourniture de mobilier, de même que la fabrication et l'installation d'un élément d'interprétation intégré à l'aménagement. Ils comprendront aussi le réaménagement du réseau des sentiers d'accès, l'exécution de travaux sylvicoles, des plantations et le gazonnement.
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