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  1. Le vendredi 20 juillet 2007 L'Impact en route vers la MLS? Patrick Leduc. Photo François Roy, La Presse Jean-François Bégin La Presse En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer. Taille du texteImprimerEnvoyer La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction. «Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi. L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier. «Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre. Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.» La tentation de la MLS À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie. «Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo. Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès. La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.» La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.» Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010. Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places. Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux. Impact international Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains. Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade. La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
  2. BLADES OF GLORY Le STADE COMME DÉCOR. Qui eût cru qu'en 2007 le Stade olympique de Montréal serait en vedette dans un film hollywoodien! C'est le cas dans Blades of Glory, une nouvelle comédie avec Will Ferrell où Montréal est à l'honneur. «On a eu tellement de plaisir à tourner à Montréal qu'on aurait aimé y tourner tout le film», dit le plus sérieusement du monde Will Ferrell, en entrevue à Los Angeles la semaine dernière. Blades of Glory est une satire du milieu du patinage artistique dans laquelle Will Ferrell campe un champion déchu. Ceux qui iront au cinéma à partir du 30 mars n'auront pas qu'un air de déjà-vu, le film est une vraie carte postale touristique de la ville ! Tournées l'hiver dernier pendant deux semaines, les scènes du film ont comme décors le Vieux-Montréal, le canal de Lachine, l'Usine Five Roses, l'intérieur et l'extérieur du Palais des congrès et, bien sûr, le Stade olympique où se déroule la finale de patinage artistique. «C'est assez rare que Montréal fasse partie du scénario. Ça ne s'est fait qu'à deux ou trois reprises, comme dans The Score, avec De Niro (2001), et Taking Lives, avec Angelina Jolie (2003)», précise Adrian Knight, directeur montréalais des lieux de tournage. Mis à part le facteur économique, ce qui a séduit les deux réalisateurs du film est l'architecture des années 70. «On aime Montréal, on est fans de l'architecture de la période olympique avec le Stade et Habitat 67, même s'il y en a plusieurs là-bas qui détestent ça !» ont déclaré Josh Gordon et Will Speck, également en entrevue la semaine dernière à Los Angeles. Ces derniers ont aussi été attirés par les canaux fluviaux de la ville où ils ont pu tourner une course en patins. Ils ont toutefois eu des petits pépins avec le bassin Bonsecours qui n'était pas tout à fait gelé en mars, ce qui a eu pour effet de repousser les délais de tournage de deux semaines. Non seulement ils ont tourné une partie du film dans la métropole, mais les spectateurs seront surpris d'entendre quelques figurants s'exprimer en «québécois». Rémy Girard Il y a même Rémy Girard qui fait une courte apparition en homme d'Église au début du film. «Normalement, les équipes qui tournent dans une ville font semblant que ça se déroule ailleurs. Nous, on a mis Montréal partout: sur les sacs, les chaussures, les manteaux», ajoute un des réalisateurs. De fait, sur les objets promotionnels et affiches du film, le nom de Montréal est bien en évidence. À Montréal, on se réjouit d'une telle visibilité. «Ce film sera vu par des millions de personnes dans une soixantaine de pays. Aucune campagne de pub ne peut acheter ce niveau d'exposure», dit Hans Fraikin, du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec. «Les retombées économiques d'un tel tournage sont importantes», affirme Adrian Knight, directeur des lieux de tournage, précisant que chaque lieu de tournage bénéficie par le fait même d'un cachet. Blades of Glory (Les Rois du patin) sort en salle le 30 mars. Le film 300, qui bat des records au box-office en ce moment, a été entièrement tourné à Montréal dans les studios Mel's, et ce sont trois sociétés montréalaises qui ont produit les effets visuels.
  3. Exclusif - Vide depuis sa construction, le mât du stade aura finalement des locataires. Le Mouvement Desjardins a signé une entente avec la Régie des installations olympiques (RIO) pour y aménager un centre de gestion des opérations de cartes bancaires. Un texte de Davide Gentile Selon nos informations, entre 1300 et 1800 employés pourraient éventuellement occuper les énormes espaces situés dans la tour. L'entente, d'une durée de 15 ans, serait d'une valeur de 37 millions de dollars, renouvelable pour 15 ans de plus. Des sources indiquent à Radio-Canada « qu'entre quatre et six étages » seraient occupés par le Mouvement Desjardins. L'investissement total de Desjardins serait cependant bien supérieur à 37 millions, puisque la coopérative devra assumer tous les coûts d'aménagement. Il semble notamment que les fenêtres de la tour doivent être changées. En ce moment, les étages sont vides. Tout le travail de construction des bureaux reste à faire, et l'installation du matériel pour faire fonctionner le centre se ferait à partir de zéro. Avantages indéniables Le stade présenterait des avantages indéniables pour Desjardins. D'abord, la majorité des employés déplacés travaillent déjà dans l'est de la métropole. Le déménagement ne dévitaliserait donc pas cette partie de Montréal. Et le stade comporte aussi des avantages au niveau de la sécurité, comme un approvisionnement autonome d'énergie, ce qui est une donnée importante pour la stabilité des installations informatiques. Le gouvernement et la RIO négocient depuis des mois avec Desjardins. Des sources indiquent que l'entente devait être annoncée mercredi par Monique Leroux, PDG de Desjardins, lors d'une allocution devant la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. L'entente n'a toutefois pas encore été présentée au conseil des ministres. Des sources gouvernementales indiquent qu'elle sera entérinée par le conseil des ministres fin octobre. Pour la RIO il s'agit d'une première bonne nouvelle depuis longtemps. Les revenus qu'elle rapportera sont non négligeables, mais c'est surtout l'arrivée de centaines de salariés au stade qui va s'avérer positive. L'occupation des énormes stationnements va augmenter, ce qui pourrait aussi engendrer des revenus. Et les commerces du quartier pourront profiter d'une nouvelle clientèle, plus stable que les touristes, plutôt rares entre novembre et avril. Le stade : tout un défi La RIO cherche depuis toujours à louer les grands espaces du mât. En 2001, l'entreprise BUSAC avait lancé un projet de 44 millions en ce sens, dont 20 millions en subventions de Québec. On prévoyait alors convertir le mat en complexe de bureaux. Le projet n'a jamais vu le jour et a finalement été abandonné en 2008. La RIO est toutefois toujours devant un grand défi, celui de convaincre le gouvernement d'investir pour remplacer le toit actuel. Dans le contexte budgétaire actuel, ce dernier ne semble pas pressé de débourser les quelque 200 millions de dollars nécessaires. La ministre du Tourisme, Dominique Viens, mentionnait d'ailleurs en mars qu'elle cherchait à préciser la vocation du stade avant de prendre une décision dans le cas du toit. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2015/10/05/005-desjardins-demenagement-employes-tour-stade-olympique.shtml
  4. ICI Radio-Canada Info Un toit sur le stade Uniprix? Mise à jour le jeudi 13 août 2015 à 17 h 06 Le directeur de la Coupe Rogers, Eugène Lapierre Le directeur de la Coupe Rogers, Eugène Lapierre Toit et stade, deux mots qu'il vaut mieux ne pas associer à Montréal, voire au Québec. Un texte de Manon GilbertTwitterCourriel Près de 40 ans après les Jeux olympiques de Montréal, l'interminable saga du toit du Stade olympique, qui tarde à trouver un dénouement permanent, hante encore les Québécois. Pourtant, un autre projet de toit est dans l'air dans la métropole, mais au stade Uniprix. Le directeur de la Coupe Rogers, Eugène Lapierre, s'est bien gardé de confirmer l'information jeudi. « On commence à regarder. On réfléchit chaque fois qu'il y a de la mauvaise température. On regarde ce qui se passe ailleurs aussi. C'est à peu près là où on en est, affirme-t-il. On regarde la tendance internationale et ça semble s'en aller vers ça pour les grands tournois après les grands chelems. » Justement, les Internationaux des États-Unis ont commencé l'été dernier à construire une structure géante pour soutenir le futur toit du stade Arthur-Ashe, qui devrait être prêt en 2016, après un investissement de 150 millions de dollars. wimbledontoitLe toit rétractable du court central de Wimbledon Photo : AFP/CARL DE SOUZA Après un toit rétractable sur le central de Wimbledon en 2009, l'All England Club recouvrira aussi le court numéro 1 pour 2019. Depuis cette année, les Internationaux d'Australie comptent trois stades couverts. Du jamais vu! Reste les Internationaux de France, dont le projet d'agrandissement de Roland-Garros se bute à des craintes environnementales et locales. Mais selon les organisateurs, le court principal, le Philippe-Chatrier, devrait être doté d'un toit en 2020. Donc, tendance il y a dans les quatre tournois majeurs. En ce qui concerne les Masters, seuls Shanghai et Madrid peuvent narguer la pluie grâce à des installations entièrement financées par les deux villes. Organisme à but non lucratif, Tennis Canada a payé la majeure partie de ses plus récents travaux en 2011 : la rénovation de la passerelle de presse et l'ajout de courts en terre battue... sur le toit du complexe du Centre national d'entraînement. Pas encore la norme dans les Masters Eugène Lapierre estime à quelques centaines de milliers de dollars les pertes en revenus en raison du mauvais temps cette semaine. Et pourtant, aucune séance n'a été annulée. Sauf que les amateurs se sont montrés frileux devant la météo incertaine et ont préféré regarder les matchs bien au sec à la maison. Le stade UniprixLe stade Uniprix Photo : GI/Streeter Lecka En 2010, les demi-finales et la finale féminines avaient dû être reportées au lundi. De 2008 à 2012, la finale masculine des Internationaux des États-Unis a été remise au lundi en raison des pluies trop fréquentes, tellement qu'en 2013 et 2014, les organisateurs ont volontairement placé la finale le lundi. Mais avant d'investir plusieurs millions de dollars, pas autant qu'à New York toutefois, le grand manitou de la Coupe Rogers tient à obtenir des réponses à certaines de ses questions. « Est-ce que c'est bon pour Montréal? Est-ce qu'il y a des retombées intéressantes? Est-ce que le retour sur l'investissement vaut le coup? » M. Lapierre assure qu'à part la recommandation de certaines améliorations, l'ATP (Association of Tennis Professionals) et la WTA (Women's Tennis Association) ne mettent aucune pression sur lui pour que la Coupe Rogers imite les tournois du grand chelem. « Les tournois veulent améliorer leurs installations. À travers le monde, les installations deviennent un peu la clé pour maintenir le tournoi et améliorer sa présentation pour les joueurs et les spectateurs. Ils (ATP et WTA) adorent le stade et la ville. » Pour l'ancien joueur québécois Frédéric Niemeyer, il ne fait aucun doute que la Coupe Rogers devra suivre cette tendance si elle veut garder son statut de tournoi Masters 1000, juste sous les grands chelems. « C'est définitivement l'avenir du tennis. Je pense que tous les tournois vont, d'ici quelques années, se doter de toits. [...] C'est sûr que ça demande un certain financement. Mais il y a beaucoup d'avantages, autant pour les fans, les joueurs et les organisateurs. D'après moi, à part le financement, il y a juste de bons points », estime l'ex-entraîneur de Vasek Pospisil. Évidemment, quand tout le monde est assuré que le match commence à l'heure, ça évite bien des soucis. Un projet pour la collectivité montréalaise Un toit « coulissant », comme l'a mentionné M. Lapierre, permettrait aussi à Tennis Canada de garantir la présentation d'autres événements sportifs ou culturels. Des galas de boxe et des spectacles ont déjà eu lieu dans l'enceinte du stade Uniprix, mais M. Lapierre reconnaît que certains organisateurs reculent devant l'incertitude économique que représente l'absence d'un toit. D'où l'importance du fait que le projet de toit bénéficie à toute la collectivité montréalaise. À plus court terme, dans les cartons de la Coupe Rogers se trouve la diffusion de tous les matchs de la WTA présentés sur les cinq terrains montréalais, contrairement à deux maintenant. Alors, si une Allemande affronte une Argentine, le signal sera vendu aux pays concernés. « Ça va demander certaines améliorations des installations autour des terrains. C'est le genre de truc où le circuit veut s'améliorer pour augmenter la visibilité internationale du sport », soutient le directeur de la Coupe Rogers. Un petit projet avec le grand? sent via Tapatalk
  5. Le jeu s'appelle Megapolis et il y a déjà depuis quelques mois des édifices montréalais -essentiellement des pavillons d'Expo 67 et le Stade Olympique. Le pavillon de l'Ontario pastiché : Habitat 67 presque méconnaissable : Le pavillon de la France/Casino de Montréal pastiché : Le Stade Olympique : Le 1000 qui existe depuis plus de deux ans : Le 2-22 : Et voici toute une collection mise en ligne aujourd'hui : Dans mes environnements : en premier lieu le Château Champlain qui dans le jeu s'appelle "L'hôtel de Montréal" Le 1250 qui prend le nom de Tour Marathon Puis les tours "Bureau de l'entreprise de télécommunications" (Aon), la tour "Bureau du boulevard de Maisonneuve" et finalement la "Tour McGill".
  6. *VIDÉO* La transformation du Stade Saputo (CKAC Sports) – Le début de la saison de la MLS demain à Seattle m'a donné le goût de vous mettre l'eau à la bouche pour 2012. Si l'on se fie aux propos de Don Garber hier en conférence de presse et à ceux de Richard Legendre sur nos ondes la semaine dernière, la MLS et l'Impact confirmeront l'arrivée du club dans le grand circuit d'ici peu. Dans un monde idéal, Joey Saputo aurait aimé entamer la première phase d'agrandissement du Stade Saputo cet hiver, pour ensuite pouvoir compléter avec la deuxième étape l'an prochain. Mais la bureaucratie gouvernementale a fait en sorte que le projet a été décalé d'un an. Sans avoir de confirmation que les paliers de gouvernements ont accepté de se joindre au projet de l'Impact, l'enthousiasme qui se ressent dans le discours de tous et chacun nous permet de croire que ce dossier est réglé. Après les deux phases d'agrandissements, le Stade Saputo deviendra en effet un réel stade de soccer dont le terrain de jeu sera entouré à 100% d'estrades. Ça permettra à l'Impact de pouvoir accueillir plus de 20,000 spectateurs par match, un pré requis pour la MLS. Par ailleurs, vous pouvez voir sur le vidéo que l'équipe a aussi l'intention de faire ajouter un petit abri qui viendrait couvrir les quelques rangées les plus hautes des sections extérieures du stade. http://www.youtube.com/watch?v=UAHIOVOOcCU&feature=player_embedded#
  7. http://journalmetro.com/local/hochelaga-maisonneuve/actualites/960945/lesplanade-du-parc-olympique-attire-un-million-de-personnes/ 09/05/2016 Mise à jour : 9 mai 2016 | 11:06 L’Esplanade du Parc Olympique attire un million de personnes Par Catherine Paquette TC Media Collaboration spéciale/Jean-Francois Hamelin L'esplanade Financière Sun Life Depuis 2012, le Parc olympique anime et fait vivre l’Esplanade Financière Sun Life avec des festivals, des concerts et des rendez-vous citoyens. En quatre ans, un million de visiteurs ont pris part aux activités offertes à l’ombre du mât du stade. L’esplanade, dont la superficie est de 300 000 pieds carrés, a été au cœur des efforts de relance du Parc olympique. Ce dernier a d’ailleurs souligné la semaine dernière son millionième visiteur sur l’Esplanade Financière Sun Life. «On voulait que les gens renouent avec le Stade olympique, que ça démocratise l’endroit et que ça le décloisonne. Les gens ne se sentaient pas bienvenus donc on a choisi d’y mettre des événements pour qu’on se l’approprie», explique Cédric Essiminy, conseiller en relations publiques pour le Parc Olympique. Depuis, les événements se sont multipliés à l’Esplanade Financière Sun Life, un lieu autrefois presque inutilisé. Les Montréalais ont notamment assisté à des concerts de l’Orchestre Symphonique de Montréal (OSM), pris part au festival de sports d’action Jackalope, suivi des sessions de yoga vêtus de blanc et patiné en famille. «Au début ce qu’on avait c’était seulement les vendredis, c’était tout petit, quelques camions avec des DJs. Puis, les promoteurs se sont ajoutés. Ce qu’on voulait faire c’est tout ce qui ne se faisait pas ailleurs en événementiel à Montréal», ajoute M. Essiminy. Pour la suite des choses, le Parc olympique espère faire de l’endroit un lieu encore plus tourné vers sa clientèle du quartier Hochelaga-Maisonneuve. Des designers et urbanistes travaillent actuellement à bonifier le lieu pour le rendre «plus accueillant et plus vivant». De nouvelles animations et des ateliers sur l’écologie et l’agriculture pourraient s’y dérouler dès l’été.
  8. http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201511/04/01-4917485-classique-heritage-la-lnh-reluque-le-parc-jean-drapeau.php Classique Héritage: la LNH reluque le parc Jean-Drapeau Publié le 05 novembre 2015 à 05h00 | Mis à jour à 10h53 Le futur amphithéâtre naturel de l'île Sainte-Hélène (à droite sur l'image) pourrait être l'endroit idéal pour présenter un match en plein air à Montréal. La Ligue nationale de hockey est ouverte à l'idée d'un match présenté en plein air au parc Jean-Drapeau, selon des informations obtenues par La Presse. Une source bien placée du circuit a confirmé à La Presse que la Ligue pourrait «possiblement» choisir de présenter un match en plein air au parc Jean-Drapeau, là où un nouvel amphithéâtre naturel de 65 000 places doit être construit sous peu. La LNH cherche depuis des années déjà à présenter une Classique héritage, le pendant canadien de la Classique hivernale, à Montréal. La direction du Canadien, le propriétaire Geoff Molson en tête, a aussi maintes fois exprimé son désir de présenter un tel match. Mais l'absence d'un stade adéquat, répondant aux critères exigés par les dirigeants du circuit Bettman, n'a jamais permis au projet d'aller plus loin. L'annonce récente concernant le projet d'amphithéâtre naturel au parc Jean-Drapeau vient toutefois changer la donne dans ce dossier. Le projet, au coût de 70,4 millions de dollars, ne prévoit pas l'installation de gradins permanents sur les lieux, mais selon François Cartier, directeur communications-marketing et programmation de la Société du parc Jean-Drapeau, il serait envisageable d'y installer des gradins temporaires pour la tenue d'une partie de hockey en plein air. «Ce serait possible de le faire pour un match», a-t-il répondu. Délai de construction La présentation d'une rencontre du Canadien sous le ciel montréalais n'est toutefois pas pour tout de suite. Au mieux, le Canadien et la LNH pourraient tenter d'y parvenir pour la saison 2018-2019, quand le projet de l'amphithéâtre au parc Jean-Drapeau devrait être achevé. En attendant, Montréal ne compte sur aucun autre stade qui répond aux critères de la LNH quant à la présentation de matchs en plein air. Rappelons que la Ligue exige, entre autres, un stade d'au moins 40 000 places afin de pouvoir couvrir les frais liés à la présentation d'une telle rencontre, ce qui exclut les domiciles respectifs des Alouettes et de l'Impact. Le Stade olympique n'est pas non plus une possibilité pour un tel événement. La Classique héritage a été présentée trois fois au Canada depuis son inauguration, en novembre 2003 à Edmonton. Calgary et Vancouver ont également présenté le match en question, et le Canadien y a pris part à deux reprises. Enthousiasme La possibilité d'un tel match à Montréal emballe déjà certains membres du Canadien, qui vont vivre une expérience similaire le 1er janvier à Boston dans le cadre de la traditionnelle Classique hivernale, qui sera disputée contre les Bruins à Foxboro, dans le stade des Patriots de la Nouvelle-Angleterre. «Ce serait excellent si ça pouvait arriver à Montréal, a lancé l'attaquant du Canadien Dale Weise. Je n'ai pas encore eu la chance de prendre part à un tel match, celui du 1er janvier à Boston sera mon premier. Mais pour moi, l'important, c'est toute la fébrilité qui entoure ce genre de match: le nombre de gens que l'on pourrait y attirer, les retombées économiques, tout ça, c'est excellent pour la Ligue. Et c'est excellent pour les fans, même pour ceux qui ne sont peut-être pas des immenses fans de hockey. Un match comme ça ici, ce serait incroyable. Je suis sûr que ce serait présenté à guichets fermés.»
  9. Source: Le Devoir La Ville octroie 250 000 $ pour du ski sur le mât du Stade olympique 4 juin 2015 |Jeanne Corriveau | Montréal Une piste de ski extrême sur le mât du Stade olympique ? L’idée paraît peut-être saugrenue, mais elle risque bien de se concrétiser en 2017. L’événement baptisé « Skying Montréal Big Air » vient de recevoir un coup de pouce financier de la Ville de Montréal et du gouvernement du Québec. Le projet prévoit l’aménagement d’une piste de ski le long de la tour du Stade sur une longueur d’environ 120 mètres jusqu’à un tremplin d’où 25 skieurs s’élanceront pour effectuer des sauts acrobatiques. La rampe d’atterrissage aura une hauteur de six à huit étages. Mais attention, l’événement est réservé à des skieurs d’élite. Des tests techniques seront effectués en 2016 pour préparer la première édition de l’événement qui se déroulera en 2017, année du 375e anniversaire de Montréal. Le maire Denis Coderre et le ministre responsable de la Métropole, Robert Poëti, ont confirmé mercredi l’octroi d’une aide financière de 250 000 $ à la Corporation Skying Montréal. Cet organisme est chapeauté par l’entreprise de production d’événements Inbox, créée il y a environ un an. Les dirigeants du Parc olympique auraient été séduits par le concept proposé par l’entreprise. Une inclinaison parfaite Tom Czerniecki, associé chez Inbox, explique que l’idée d’aménager une piste de ski acrobatique sur la tour du Stade est venue lorsqu’il a remarqué que la structure penchée avait une inclinaison parfaite pour le ski. « Les vraies rampes de ski extrême ont la courbe du Stade, dit M. Czerniecki. On a fait venir des experts et des designers qui nous ont dit que c’était un heureux hasard, mais que oui, le projet était possible. » Tom Czerniecki précise que certaines ficelles restaient à attacher pour ce projet et que la recherche de commanditaires était toujours en cours. Cet événement contribuera à raffermir l’image de Montréal comme « ville sportive, festive et innovante », croit Denis Coderre.Un village hivernal qui accueillera des activités sportives et culturelles sera aussi aménagé sur l’esplanade du Parc olympique. La subvention de 250 000 $ provient du programme PRAM-EST visant à soutenir les projets de développement dans l’est de Montréal.
  10. Je trouve que l'utilisation actuelle de l'ancien Forum est assez lamentable et aucunement digne de sa renommée. Je sais que le coin est délabré et que tous attendent le développement du quadrilatère d'à coté soit celui ou se trouve le Séville mais je crois qu'un projet différent et d'envergure pourrait donner une plus-value à ce coin de la ville et à Montréal en général. Je suis un peu tanné des ''Mall'' intérieur au Centre-ville donc j'imagine agréablement un ''Musée du sport Québécois'' ou ''Musée du sport du Québec'' en plein dans l'emplacement du Forum au lieu de ce pénible ''mall'' Sur la partie arrière (De Maisonneuve) on pourrait ériger une tour de condo et sur la partie centrale et avant (Ste-Catherine) il pourrait y avoir ce ''musée du sport''. Rien n'empeche de garder la partie cinéma et un Rest-Bar de type sport cadrerait bien avec la formule. Je crois que le Québec ne manque pas d'événement, de lieu, de personnalité sportive ou d'histoire pour créer un certains intéret. Je sais que le Canadien ont crée leur propre petit musée à l'intérieur du centre Bell et cela est bien dommage car j'aurais bien aimé insérer le tout dans un ensemble d'envergure comprenant tout sur le Sport au Québec. Imaginons tous les thèmes que l'on pourrait abordé genre : L'histoire du Forum en lui meme Le club de Hockey Canadien Les nombreux joueurs du club Les non-québécois s'étant illustré au Québec (S. Crosby, P.Lafontaine etc..) Les Maroons Les Nordiques Les grands commentateurs sportifs (Danny Gallivan, René Lecavalier) La ligue junior majeur du Québec avec des joeurs d'ici mais n'ayant jamais joué pour le CH (Marcel Dionne, Mario Lemieux, Martin Brodeur, Michael Bossy etc...) Les Expos Les Royaux Les joueurs de baseball québécois (Éric Gagné) Le stade Delorimier Jackie Robinson Les Olympiques de 1976 Le Stade Olympique Le parc Jarry Les tournois de Tennis annuel (Coupe Rogers) Les Alouettes Le Concorde Le Stade Percival-Molson Les ligues canadienne de Football et universtaire du Québec Les athlètes québécois ayant remporté des médailles tant aux olympiques d'été que d'hiver (Étienne Desmarteau, Gaétan Boucher, Marc Gagnon etc...) La Formule 1 et le circuit Gilles-Villeneuve Gilles Villeneuve lui-meme La Motoneige et la participation de Joseph-Armand Bombardier Les Grands boxeurs québécois ou ayant combattu à Montréal ( Fernand Marcotte, les Hiltons, Yvon Durelle, Arturo Gatti, etc...) Les Grands combats à Montréal (Duran-Léonard) Le monde de la lutte avec Yvon Robert, Jean Ferré, Édouard Carpentier, Les Rougeau etc.... Les hommes forts comme Louis Cyr, Jos Montferrand, Le Grand Antonio Les différents sports d'hiver pratiqué au Québec (La peche, la peche sur la glace, la chasse, le ski etc...) Le Soccer L'impact Le Manic L'histoire des courses de chevaux Blue Bonnets Les clubs de golf du Grand Montréal Les grands parcs de Montréal et du Québec Le Marathon de Montréal Le tour de l'ile en vélo Les jeux du Québec Les émissions de sports à la télé et à la radio Et j'en passe surement plusieurs..... Qu'en pensez vous ?
  11. Je mets ce thread ici par sarcasme, images et graphiques en suivant ce lien: http://m.radio-canada.ca/regions/montreal/2014/12/04/007-stade-olympique-toit-demantelement-scenario-pret-rio.shtml MONTRÉAL Jeudi 4 décembre 2014 17h25 Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Stade olympique : le scénario du démantèlement du toit est prêt Faute d'engagement gouvernemental et compte tenu du vieillissement de la structure, la Régie des installations olympiques (RIO) s'est préparée au démantèlement du toit actuel. L'organisme confirme par écrit avoir « documenté les procédures » pour enlever le toit Birdair et revenir à une structure ouverte. Un texte de Davide Gentile La RIO a refusé de communiquer les détails de ce plan. Après avoir ouvert la porte à une entrevue avec ICI Radio-Canada, l'organisme a finalement refusé de commenter le dossier. Mais une analyse interne faite en 2012 détaille ce scénario de « démantèlement complet de la structure actuelle ». Un processus complexe et coûteux Enlever le toit du stade ramènerait la structure à l'état dans lequel il était entre 1976 et 1987. Selon les informations obtenues par Radio-Canada la perspective d'un stade sans toit serait « réalisable » sur le plan technique. L'analyse faite en 2012 chiffre les coûts du démantèlement du toit à 6,2 millions de dollars. Préparer le stade sans toit à affronter les affres de l'hiver coûterait 13 millions de plus. C'est qu'avec la construction du toit en 1988 des installations de drainage, d'alimentation électrique et de télécommunication ont été ajoutées. On pense aussi au système de gicleurs, tableaux indicateurs et systèmes de son installés depuis. Roger Taillibert, l'architecte du stade, estime qu'on ne peut pas laisser la structure ouverte très longtemps. « Bien sûr, il y a toutes les canalisations électriques, celles d'incendie, etc. Alors, donc, il faut faire un travail d'hivernation », dit-il. Si la RIO décide ou est forcée de démanteler le toit en raison de sa dégradation, il faudra chaque automne répéter cette procédure qui serait qualifiée de « contraignante ». Sans toit, le stade vieillirait rapidement Selon nos informations, l'analyse de la RIO conclut qu'enlever le toit provoquerait un vieillissement prématuré de la structure du stade. Conçue avec un toit, la coquille de béton ne serait pas faite pour faire face à la pluie, la neige et les nombreux cycles de gel et dégel. Cela rapprocherait la date à laquelle « une réfection majeure » de sa structure serait nécessaire pour conserver son intégrité. Roger Taillibert est favorable à un démantèlement, parce qu'il estime le toit Birdair « trop lourd ». Mais, selon lui, il faut éviter la précipitation. « Puisqu'on l'a installé il y a plus de 10 ans, ça peut attendre encore un an, qu'on puisse parallèlement préparer un toit qui serait monté immédiatement ». Roger Taillibert rêve toujours d'un nouveau toit Selon nos informations, la RIO aurait mis une croix sur un toit rétractable et favoriserait un toit fixe en toile, moins cher. Une éventualité qui engendrerait des coûts d'au moins 150 millions. Roger Taillibert parle d'un scénario « inconcevable ». Il rêve toujours d'un toit rétractable et aurait échafaudé de nouveaux plans. Il évoque une proposition « revue, avec des matériaux nouveaux et des mécaniques qui ont beaucoup évolué depuis 40 ans ». Le poids serait moindre et les coûts aussi. L'architecte, toujours passionné par son stade à plus de 80 ans, estime que la facture d'un toit rétractable serait aujourd'hui d'environ 150 millions. Cependant, des sources québécoises proches du dossier parlent plutôt d'une facture de 300 millions pour un toit rétractable. Trop tard pour créer un pôle majeur? Faute d'un toit pleinement fonctionnel, le stade semble avoir perdu de son attrait au fil des ans. « Beaucoup d'événements qui avaient lieu au stade ont migré au Palais des congrès ou au Centre Bell », affirme Romain Roult, professeur au département de culture et de tourisme à l'Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR). Selon lui, le remplacement du toit serait indéniablement un « préambule important » au réaménagement du Parc olympique. Un toit viable augmenterait nécessairement le nombre d'événements, mais il est difficile de prédire l'ampleur de la hausse. Selon M. Roult, une relance sérieuse passerait aussi par le réaménagement des loges, des sièges et des aires de restauration, qui datent des années 80. La saga du stade aurait eu un impact sur la compétitivité de Montréal. Faute de disponibilité d'un très grand espace ouvert, comme le stade pendant les mois d'hiver, « Montréal a perdu du terrain face à des villes comme Toronto ou Chicago » pour l'organisation de grandes foires, ajoute M. Roult. Le secteur privé quitte le navire? En août 2013, des philanthropes de la région de Montréal avaient annoncé leur intention d'investir dans la relance du pôle olympique. Mais en raison de la stagnation du dossier du remplacement du toit, certains auraient abandonné l'aventure. Le gouvernement n'a pas voulu confirmer ou commenter quoi que ce soit dans ce dossier. Seule bonne nouvelle dans cette saga : la RIO a identifié des zones de fragilité sur la toile. Les réparations qui ont suivi ont permis de faire diminuer le nombre de déchirures, pour la première fois. Tous droits réservés © Société Radio-Canada 2014 CBC/Radio-Canada
  12. Le 4 septembre 2014 à 11h43 | Agence QMI / Alexandre Parent Les activités soccer de l’Impact de Montréal se diversifient: le club a annoncé, jeudi, la création du FC Montréal, qui joindra les rangs de l’United Soccer League Pro à compter de 2015. Il s’agit en quelque sorte d’un retour dans l’USL pour l’organisation montréalaise, l’Impact y ayant joué par le passé, avant d’accéder à la Major League Soccer. «Cette équipe sera composée majoritairement de nos jeunes joueurs québécois provenant des équipes U23 et U18. Elle sera la dernière étape de transition avant la MLS, a indiqué le président de l’équipe Joey Saputo. «Étant donné que la Ligue de réserve de la MLS n’existera plus l’an prochain, la création du FC Montréal nous donnera plus de flexibilité en termes de développement et du mouvement des joueurs. «Nous croyons que le fait que nos jeunes joueurs évoluent [dans une ligue] au meilleur niveau possible est le meilleur moyen pour qu’ils soient prêts pour le prochain niveau.» L’identité de l’entraîneur-chef de cette nouvelle équipe n’a toujours pas été déterminée. Les matchs du FC Montréal, qui seront initialement disputés sur le terrain adjacent au Stade Saputo avant un transfert possible vers le Complexe sportif Claude-Robillard ultérieurement, seront ouverts au public. Nouveaux visages, nouvelles responsabilités De plus, l’Impact a ajouté à son équipe de direction trois nouveaux vice-présidents, qui se rapporteront directement à Joey Saputo. Marc Bourassa, Hugues Léger et André Côté occuperont, respectivement, les postes de vice-présidents ventes et partenariats, marketing et développement stratégique. «Je vois énormément de potentiel, non seulement pour les abonnements, mais pour les partenariats également, a souligné Bourassa, qui a également déjà travaillé chez Sun Media et au "Journal de Montréal". […] Mon mandat s’amorcera la semaine prochaine, mais on a un plan qui est clair.» Enfin, Nick De Santis, qui occupait jusqu’à tout récemment le poste de directeur sportif avec l’Impact, s’est vu confier celui de directeur du développement des affaires internationales, alors que Richard Legendre deviendra le nouveau vice-président exécutif, opérations soccer et Stade Saputo. Baisse d’assistance Ces renforts arrivent à point nommé pour l’Impact, qui connaît une saison décevante. L’équipe dans les bas-fonds de l’Association de l’Est et du classement général de la ligue, avec seulement cinq victoires en 25 parties. Toutefois, le club est toujours dans la course pour l’obtention du titre dans la Ligue des champions de la CONCACAF. En raison des performances sur le terrain, l’engouement des partisans, qui affluent de moins en moins au Stade Saputo, est à la baisse. Sans être alarmiste, Saputo s’est dit inquiet de la situation. «Ça m’inquiète, puisque je ne vois pas comment nous ne pouvons pas afficher salle comble chaque match. Je pense que le marché est là, a souligné Saputo. En ce moment, nous sommes 1,8 million $ hors de notre budget pour les assistances.» Nouveau centre d’entraînement L’Impact a également annoncé la création d’un nouveau centre d’entraînement pour l’ensemble de ses équipes et qui verra le jour sur la rue Notre-Dame, près du boulevard Pie-IX, dans l’ancien édifice de la caserne Létourneux, à proximité du Stade Saputo. Les nouvelles installations - un investissement d’environ 10 millions $ - seront composées de quatre terrains de soccer. Deux d’entre eux seront dotés d’une surface de gazon naturel alors que les deux autres seront faits d’une surface synthétique.
  13. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/philippe-cantin/201308/05/01-4677016-trois-influents-philanthropes-se-mobilisent-pour-le-parc-olympique.php
  14. Un complexe de luxe pour financer le retour du baseball à Montréal Pour financer le retour du baseball majeur à Montréal, un groupe secret d'hommes d'affaires envisage de construire un hôtel cinq étoiles, une boîte de nuit et une salle de spectacles. L'immense projet baptisé «le Littoral de Montréal» serait situé dans l'arrondissement du Sud-Ouest entre les ponts Champlain et Victoria. Destinées à «une clientèle ciblée», ses installations de luxe viseraient à financer le sport amateur ainsi que la construction d'un stade de baseball. Le projet est porté par l'avocat de Québec Guy Bertrand. Son désir de doter Montréal d'infrastructures sportives est connu depuis des années. Mais l'aventure est entourée de mystère. On ignore qui sont les bailleurs de fonds, même si l'avocat parle «d'investisseurs orientaux et internationaux». Guy Bertrand vient toutefois de mettre à jour son inscription au registre des lobbyistes, et de nouveaux éléments ont émergé, dont l'idée de financer un stade de baseball par un complexe de luxe. «Avant de se lancer dans la construction d'un stade et d'installations pour le sport amateur, il faut un projet rentable», a expliqué Guy Bertrand en entrevue. Selon l'inscription au registre, le complexe serait érigé en bordure du fleuve en cinq temps. Il comprendrait en plus du complexe de luxe, un stade de baseball, un centre sportif, un anneau de glace et peut-être un vélodrome. Le centre sportif serait doté de plateaux pour «par exemple le taekwondo, le judo, le ping-pong, note Me Bertrand. On a déjà été en contact avec des fédérations sportives et le but n'est pas de dédoubler ce qui se fait au Parc olympique, mais d'offrir des infrastructures qui n'existent pas ou qui doivent être améliorées.» La consultation du registre permet par ailleurs de découvrir l'identité d'au moins un des partenaires de Me Bertrand, la firme Scéno Plus. Cette entreprise de design montréalaise a notamment mené plusieurs projets d'envergure dans des casinos américains, comme la conception de salles de spectacles. Encore bien du travail à faire Mais le Littoral de Montréal est encore loin d'une réalisation. Et le retour du baseball à Montréal n'est pas pour demain la veille. Guy Bertrand précise ne pas avoir contacté le «Projet baseball Montréal» de Warren Cromartie. Le site envisagé est par ailleurs lourdement contaminé. Sa décontamination coûterait 100 millions de dollars. Me Bertrand entend d'ailleurs faire des démarches auprès du gouvernement fédéral pour obtenir des fonds publics, précisant que le reste du projet sera porté par des investisseurs privés. «La décontamination de ce secteur sera un enjeu important», reconnaît le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, qui dit avoir vaguement entendu parler du projet de Guy Bertrand, même si aucune démarche formelle n'a été entreprise, selon lui. «Je suis maire de l'arrondissement depuis 2009 et j'ai vu passer trois projets de stade de baseball sur ce site», note-t-il. Guy Bertrand n'est pas pressé. "Ça fait cinq ans qu'on travaille sur ce projet et c'est du sérieux. On va y aller tranquillement, assure-t-il. Que ceux qui veulent se complaire dans la morosité s'y complaisent. Moi, je pense qu'il faut ramener le baseball à Montréal et peut-être même les Jeux olympiques. C'est possible.» http://www.lapresse.ca/sports/baseball/201308/23/01-4682468-un-complexe-de-luxe-pour-financer-le-retour-du-baseball-a-montreal.php
  15. C'est du 5 au 24 août 2014 que la Coupe du monde U-20 de soccer féminin aura cours dans quatre villes canadiennes, à savoir Edmonton, Toronto, Moncton et… Montréal! En effet, plusieurs matchs, y compris la finale et le match pour la troisième place, seront disputés au Stade olympique dans le cadre de cette rencontre internationale qui, on l'espère, saura créer le même engouement que sa version masculine de 2007. À suivre! http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/coupe-du-monde-u-20-de-soccer-feminin-au-jeu
  16. Le poids des ans commence à se faire sentir sur le sympathique stade Uniprix et Tennis Canada projette des rénovations de l'ordre de 11,8 millions qui le rendront conforme aux normes des grands tournois internationaux, a appris Le Journal de Montréal. Cela fait déjà 13 ans (1996) que les installations avaient été complètement remodelées au coût de 25 millions. Depuis ce temps, la popularité de l'événement a connu une croissance phénoménale et en plus, le site sert maintenant de base au Centre national d'entraînement. Sans compter la pratique récréative du sport au stade, qui compte pour 45% des plages horaires sur les courts, dont l'occupation d'octobre à avril est de 100%. Avec tout cet achalandage, les travaux sont rendus nécessaires afin «d'assurer la pérennité et la croissance des Internationaux de tennis du Canada à Montréal, l'un des neuf tournois majeurs des circuits professionnels de l'ATP et la WTA», a souligné Tennis Canada dans un document présenté récemment à la Ville de Montréal. Fonds publics Tennis Canada investira 1,6 million, le reste provenant des trois paliers de gouvernement : 1,6 million de Montréal, et une somme de 8,6 millions divisée à part égale entre Québec (programme d'infrastructures) et Ottawa (Chantiers Canada) à même les enveloppes budgétaires déjà en place. On prévoit l'ajout de quatre nouveaux courts sur terre battue, de nouveaux salons aériens, des vestiaires remodelés, une galerie de presse moderne et une aire d'accueil améliorée au stade secondaire. Le projet a été très bien reçu par la Ville de Montréal, reste à négocier les modalités de financement avec Québec et Ottawa. Dans le meilleur des scénarios, les travaux débuteraient au printemps 2010. # Les Internationaux de tennis du Canada existent depuis 1881; c'est le 3e plus vieux tournoi du monde après Wimbledon et le US Open. # De 2001 à 2007, selon une étude de la firme CFM Stratégies, les retombées économiques du tournoi sont passées de 15 à 28 millions, une augmentation de 9% par année. # Le tournoi fait l'objet de plus de 2000 heures de diffusion dans 150 pays. # Près de 50% des revenus générés par les deux Coupe Rogers sont réinvestis au Québec pour le développement du tennis. source: http://www.canoe.com/sports/nouvelles/archives/2009/05/20090515-062700.html
  17. Des plans déposés pour un stade de baseball à Montréal Source Après des années de tergiversations dans le choix d’un site, les dirigeants de Baseball Québec ont déposé, vendredi dernier, auprès du ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport, les plans d’un projet de construction d’un stade de baseball jumelé à un centre national d’entraînement. Les terrains ciblés pour l’érection de cette infrastructure sont situés aux angles des rues Bridge et Mill, aux abords du canal Lachine. Les lots sont propriétés de la Société immobilière du Canada et du port de Montréal, un secteur visé par de vastes travaux de rénovations immobilières. Les coûts préliminaires de ce projet admissible au Fonds de développement du sport et de l’activité physique frôlent les 50 millions $. La date limite pour soumettre une demande de subvention dans la phase II du programme était le 30 septembre. Environ le tiers du montant serait dépensé pour l’aménagement d’infrastructures, telles des routes d’accès, égoûts et autres. La Ville de Montréal pourrait être appelée à se présenter dans le rectangle des frappeurs! «Nous en discutons depuis cinq ou six ans, mais c’est la première fois qu’une demande concrète est déposée au gouvernement du Québec», a mentionné Maxime Lamarche, le directeur du marketing et des événements à Baseball-Québec. «Nous ne songeons pas à construire uniquement un stade de baseball mais un complexe multifonctionnel utilisable pendant douze mois par année. «En ventilant les prévisions de coûts, seulement la moitié des subventions nécessaires seraient consacrées à l’érection du stade.» Lamarche souligne que le baseball mineur connaît une croissance dans son membership depuis quelques années. «Nous avons noté une hausse des inscriptions de 7%, la saison dernière, et de 20% depuis quatre ans. «Nos programmes sport-études sont à l’étroit! On manque d’espace, que ce soit l’Académie de baseball du Canada (active au centre Claude-Robillard) ou tous les programmes d’écoles secondaires qui regroupent quelque 500 joueurs dans la province. » Baseball professionnel Selon les plans préparés par la firme d’architectes Tremblay, l’Écuyer et Associés et le groupe SM Ingénierie, le stade compterait entre 5000 et 6000 sièges. Le sport y cohabiterait avec le volet de spectacles en plein air et des aires communautaires seraient aménagées pour les activités de loisirs de ce secteur. Un club de baseball professionnel mineur serait donc le locataire principal du stade. Des intervenants et hommes d'affaires oeuvrent depuis plusieurs années pour implanter un club de la ligue CanAm dans la Métropole. Des sites à Longueuil, dans l’arrondissement de Verdun et deux sur la couronne nord avaient été scrutés. «Aucun stade pour le baseball professionnel n’a été érigé à Montréal depuis DeLorimier en 1928! Le baseball n’était pas la vocation première du parc Jarry ni du Stade olympique. «Selon moi, la CanAm s’avère une meilleure option que le baseball mineur affilié. Du niveau AA à Montréal, je n’y crois pas», tranche Lamarche, un ancien employé et joueur des Capitales de Québec. Les coûts d’acquisition d’une franchise mineure du baseball affilié ne sont plus à la portée de toutes les bourses. La semaine dernière, le club-école des Yankees de New York dans la ligue New York/Penn (ligue de recrues, courte saison), cantonné à Staten Island (banlieue de New York) a été vendu pour la somme de 11 M$ US.
  18. Publié le 01 novembre 2011 à 06h00 | Mis à jour à 06h00 La fin de l'immobilisme François Cardinal La Presse Plombée par l'abandon du projet de casino, ridiculisée pour son incapacité à mettre en chantier le moindre projet, handicapée par une absence de sensibilité montréalaise à Québec et à Ottawa, la métropole a vécu de bien difficiles années depuis le tournant du millénaire. Mais aujourd'hui, à mi-chemin entre deux élections municipales, la page de l'immobilisme se tourne. Le casino n'a plus l'intention de quitter son île. Les travaux du CHUM, de son centre de recherche et du CUSM sont en cours. Le chantier du 2-22, l'édifice phare du Quartier des spectacles, a repris. La Maison symphonique est un succès, de même que la Place des festivals. Tout n'est pas parfait, mais les grands projets auxquels on imputait l'immobilisme de la métropole n'ont plus rien d'immobiles, reconnaissons-le. Mieux, ils donnent une impulsion à Montréal au moment où celui-ci semble prêt à prendre un nouveau départ. En effet, bien des rubans d'inauguration ont été récemment coupés, ou sont sur le point de l'être. Pensons à l'annexe du Musée des beaux-arts, à la Maison du développement durable et bientôt, à la Place des arts, au Planétarium, aux agrandissements d'envergure de l'Hôpital général juif, du Centre hospitalier Ste-Justine, du stade Saputo. Parallèlement, d'imposants projets cheminent dans les officines. Le plus haut gratte-ciel construit depuis 20 ans devrait voir le jour aux côtés du Centre Bell. La première phase de réaménagement de Griffintown est lancée. D'imposants édifices sont prévus pour combler des trous laissés béants depuis trop longtemps. Bref, au moment où la crise économique secoue l'Europe et les États-Unis, Montréal connaît un essor surprenant. On le voit dans l'enthousiasme des promoteurs, mais on le voit aussi sur le terrain?: le taux d'inoccupation des plus importants édifices est en chute libre tandis que les mises en chantier résidentielles fracassent des records historiques, plaçant Montréal au troisième rang en Amérique du Nord?! Attention. On ne parle ici que de la fin de l'immobilisme, non pas de l'atteinte d'une période bénie à Montréal. On n'a qu'à penser aux problèmes éthiques qui ont secoué l'hôtel de ville, à l'état des infrastructures, à la caisse de retraite des employés, à la perte des sièges sociaux ou encore, à la congestion. Cela dit, les deux sont potentiellement liés?; la fin de l'immobilisme peut, éventuellement, servir de tremplin, elle peut permettre à Montréal de plonger dans une nouvelle étape de son développement. Après l'industrialisation du début du siècle et le développement tout-à-l'auto des années 1950, le temps est venu de limiter l'éparpillement et de fortifier l'existant. Mais quel modèle retenir?? La question est posée et la réflexion, entamée, avec les débats entourant Champlain, Turcot et Bonaventure, le Plan métropolitain d'aménagement et la révision de la loi sur l'urbanisme, le retour du péage et l'avenir du Stade, le prolongement du métro et le retour du tramway. Il n'est évidemment plus question d'Expo et de J.O., mais d'un ensemble de projets qui, mis ensemble, ont néanmoins le potentiel de transformer la métropole. Clairement, Montréal est à un moment charnière de son histoire. Demain?: les défis qui attendent Montréal
  19. a la vieille des jeux de vancouver, j'ai pense vous faire part d'une idee qui me trotte dans la tete depuis quelques temps et qui a un lien avec notre propre heritage olympique. en fait, ce n'est pas vraiment la vision d'un element concret que je voudrais proposer ici, mais bien simplement un concept, un 'branding' si vous voulez, que la ville pourrait utiliser pour designer le quadrilatere abritant toutes les installations a caractere sportif & scientifique sur notre site olympique. du jardin botanique au centre de medecine sportive, en passant par le biodome , la piscine olympique, le stade saputo et l'eventuel planetarium, ce branding servirait a la fois de trait d'union entre ces differents lieux, tout en aidant a augmenter la visibilite certaine d'entre elles qui en aurait peut-etre besoin (comme euh euh un stade fucking olympique de 70 000 places?). elle officialiserait aussi l'endroit comme etant designe a ces spheres d'activites, encourageant donc d'y concentrer de futures installations connexes comme un musee d'histoire sportive, d'histoire naturelle, ou de nouveaux centres d'entrainements pour notre equipe de la NBA, mettons .. quand on regarde de terrible etat de certains racoins du site, on a pas vraiment l'impression qu'on se souvient qu'on y a tenu des jeux olympique - la seule indication restante etant quelques drapeaux ici et la et une enorme tour en beton un peu penchee. fournir aux lieux une vocation propre aiderais peut-etre a renverser cette tendance..
  20. Agrandissement du stade Molson: «Ça niaise et ça niaise...» Miguel Bujold La Presse Larry Smith ne sait plus quoi penser. Le président des Alouettes estime que son organisation a tout fait ce qui a été exigé d'elle pour le projet d'agrandissement du stade Percival-Molson. Mais le dossier, bloqué dans les bureaux de la Ville de Montréal, n'avance pas d'un pouce. «On aimerait avoir une rencontre avec le maire Tremblay le plus tôt possible, mais on ne nous répond pas, a expliqué M. Smith lors d'une entrevue téléphonique. Les gouvernements provincial et fédéral ont accepté de s'impliquer et on n'attend que la Ville de Montréal pour officialiser, mais ça niaise et ça niaise et ça niaise...» Jouant à guichets fermés depuis 1997, les Alouettes veulent ajouter 5000 sièges à leur domicile, ambition qu'ils caressent depuis plusieurs années déjà. Coût de l'aventure: entre 28 et 30 millions. Selon Smith, les gouvernements provincial et fédéral auraient accepté d'investir approximativement 10 millions chacun, alors que les Alouettes s'engagent à trouver 4,6 millions du secteur privé. Ne resterait que les 4,4 millions demandés à la Ville. «Nous avons revu nos demandes à la Ville à la baisse parce que nous comprenons la situation dans laquelle elle se trouve. Nous savons qu'elle est très sollicitée et nous sommes conscients que ce n'est pas le dossier le plus important pour elle. Mais en même temps, on parle d'un projet rassembleur qui profitera à plusieurs personnes. Et ça fait plusieurs années qu'on travaille sur ce dossier. «Depuis 1998, nous avons investi 2,5 millions afin de rénover un stade qui ne nous appartient pas, a rappelé Smith. Ça ne fait aucun doute qu'il y a une demande pour un plus grand nombre de places. Nous avons 17 400 détenteurs de billets de saison à l'heure actuelle et notre liste d'attente en compte déjà 2000 autres.» À défaut d'avoir résolu toutes les questions sur le plan financier, l'organisation aurait réglé celles concernant l'environnement. «Nous avons rencontré plusieurs groupes de pression et, sans dire qu'ils sont maintenant heureux, ils sont contentés. Nous avons modifié le projet afin de les satisfaire, a indiqué le président. On devra abattre 68 arbres si le projet se réalise, mais notre organisation s'engage à planter 300 arbres et 500 arbustes.» La Ville en dit peu De son côté, la Ville de Montréal s'est montrée avare de commentaires. «Nous sommes à l'étape de prendre une décision. On analyse présentement le dossier», s'est limité à dire le relationniste Bernard Larin. Smith, lui, croit que la Ville a eu amplement de temps pour étudier la question. «Ça fait plus de deux ans qu'on attend. Et le coût du projet augmente de deux à trois pour cent à chaque année en raison du prix des matériaux et de la main-d'oeuvre», a poursuivi l'ancienne vedette des Alouettes, qui soutient que l'avenir de la concession montréalaise est directement lié aux 5000 nouveaux sièges. «Notre bail actuel se termine en 2010. Si nous annonçons que le projet va de l'avant d'ici l'automne, nous croyons qu'il pourrait être complété à temps pour la saison 2010 ou 2011. N'importe quelle entreprise est en affaires afin de faire des profits et, présentement, ce n'est pas notre cas. Nous ne voulons pas augmenter le prix des billets de façon significative, alors la survie de l'équipe passe par l'agrandissement du stade. C'est également un must afin qu'on puisse continuer à avoir une équipe compétitive sur le terrain. «C'est le temps de bouger! C'est M. Tremblay qui décidera de l'avenir du football à Montréal.» L'essor du football Il ne fait aucun doute que le football a connu un essor fulgurant au Québec depuis une dizaine d'années. Les équipes de football mineur et universitaire ont jailli de partout et les Alouettes y sont pour beaucoup. L'organisation se fait un devoir d'être impliquée dans différentes écoles à travers la province. D'ailleurs, pour une équipe professionnelle avec des moyens limités - rappelons que les joueurs font en moyenne moins de 100 000$ par année - son implication dans la communauté est à peu près irréprochable. Puis, il y a le fait que les Alouettes évoluent devant des salles combles depuis maintenant 10 ans. Vous voulez une paire de billets pour un match au mois d'août? Bonne chance. Malgré tout ça, la Ville, elle, marche sur des oeufs. Compte tenu de toutes les demandes qui lui parviennent, c'est évident qu'il s'en trouvera pour critiquer sa décision si elle devait accepter de venir en aide à une équipe de sport professionnel, même si celle-ci ne ressemble pas vraiment aux équipes professionnelles typiques... Montréal est-elle encore une ville de sport? À ce compte, la décision du maire Tremblay nous en dira plus long.
  21. Haïti et la Syrie face à l'Impact Mardi 02 juin 2009 LA PRESSE CANADIENNE Ajouter Partager Répondez Imprimer La stade Saputo sera l'hôte de trois matchs internationaux au cours des prochaines semaines. (Pépé) MONTRÉAL - L'Impact de Montréal a annoncé la tenue de trois matchs amicaux internationaux au Stade Saputo entre le club montréalais, l'équipe nationale d'Haïti et l'équipe nationale de Syrie. Le premier match opposera Haïti et la Syrie, le samedi 27 juin (15h30). L'Impact affrontera la sélection haïtienne le mercredi 1er juillet (19h30), puis, le mercredi 8 juillet (19h30), la formation montréalaise jouera contre la sélection syrienne. "Ces trois matchs s'inscrivent parfaitement dans la philosophie de notre club de vouloir jouer et promouvoir des matchs internationaux, a déclaré le président de l'Impact et du Stade Saputo, Joey Saputo. Ces rencontres nous permettront de faire la promotion du soccer québécois en collaboration avec les différentes communautés culturelles au Québec. C'est une excellente occasion de montrer notre talent local à la communauté du Moyen-Orient et de renouer avec le soccer haïtien. Nous sommes heureux d'annoncer qu'une partie des fonds recueillis sera remise à la communauté haïtienne." L'équipe nationale d'Haïti, actuellement au 122e rang du classement de la FIFA, participera à la prochaine Gold Cup de la CONCACAF. Il s'agira donc d'une dernière préparation pour la sélection avant son premier match contre le Honduras, le 4 juillet. "Nous voulons remercier l'Impact d'avoir fait les démarches pour organiser ces matchs internationaux, a déclaré le Dr Yves Jean Bart, président de la Fédération haïtienne de football. Nous sommes honorés de cette invitation, qui nous permet de renouer avec une longue tradition d'échanges entre le soccer haïtien et celui de Montréal. Nombreux sont nos compatriotes qui vivent à Montréal. Ils auront l'opportunité d'aller apprécier les talents de notre sélection, fière porte-drapeau d'un pays en souffrance, mais qui veut se réconcilier avec son passé glorieux." L'équipe nationale de Syrie, 99e au classement de la FIFA, prendra part à une tournée en Amérique du Nord. "C'est avec grand plaisir que nous confirmons notre voyage dans la ville excitante qu'est Montréal, a déclaré le Dr. Ahmad Jabban, président de l'Association syrienne de football. Nous avons hâte de jouer pour les supporters de notre héritage arabe et pour tous les amateurs de soccer de Montréal, qui sont de vrais connaisseurs." ============================= Mon billet est déjà réservé pour le match du 8 juillet (section 105).
  22. Bonjour à tous, je me permets de mettre quelque photos de Sydney ou j'ai habité l'année passée pendant 4mois. Bondi Beach Jardin Botanique City Pendant une manifestation contre l'église de Scientologie Tour d'habitation Stade Olympique
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