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  1. ******************** Ce sont tous les commerces jouxtant le Spectrum qui seront rasés dans le projet qui est devant les autorités de la Ville. Archives La Presse Projet immobilier de 70 millions sur l'emplacement du Spectrum Mario Cloutier La Presse Le Spectrum vit ses derniers mois. Il était prévu que cette institution du showbizz montréalais soit détruite tôt ou tard pour faire place à un nouveau complexe qui aurait abrité le nouveau Spectrum. Ce n'est plus le cas. Le nouveau propriétaire des lieux va de l'avant avec un projet de 70 millions, commerces et tour de bureaux, qui exclut la salle de spectacle. «Jusqu'à preuve du contraire, il n'est plus question d'une salle de spectacle. On avait des délais à respecter. On a travaillé avec Spectra depuis mai 2006 pour relocaliser le Spectrum à l'arrière de l'édifice, mais malheureusement, jusqu'à aujourd'hui, rien ne se passe, on est obligés d'aller vers une autre option», a confié à La Presse Sam Benatar, président de la société immobilière SIDEV. Si la Ville l'autorise, le Spectrum et les commerces avoisinants seront rasés l'été prochain après la tenue des FrancoFolies, organisées par Spectra, aussi responsable du Festival international de jazz. La nouvelle construction devrait commencer sans plus tarder. Responsable de la transformation du Gordon Brown Building, 400, de Maisonneuve Ouest, qui a reçu le Prix du patrimoine commercial 2006, le promoteur ajoute que les délais sont dépassés depuis le 30 octobre dans le cas du Spectrum. «On a avisé Spectra qu'on allait travailler tout de suite sur les autres options puisqu'on n'avait pas de réponse. On les a avisés qu'ils devaient quitter les lieux le 15 août prochain. Comme entrepreneur privé, vous comprenez, on ne peut pas attendre indéfiniment», souligne M. Benatar. SIDEV procède déjà à une phase de pré-location pour des locaux commerciaux d'une superficie de 50 000 pieds carrés. Les investissements nécessaires pour les locaux commerciaux seront de plus de 10 millions, tandis que la tour de bureaux aura besoin d'au moins 60 millions pour se réaliser. «Best Buy est en train de négocier avec nous une possibilité de s'incorporer dans notre projet commercial. Il n'y a rien de finalisé. On discute avec toutes sortes de locataires. Je ne vous cache pas qu'on a été approchés par des locataires majeurs qui aimeraient être du projet», indique le président de SIDEV. La vente du quadrilatère abritant le Spectrum a été conclue juste avant Noël avec l'ancien propriétaire, la famille Feldman. Au rôle d'évaluation foncière, la valeur du terrain a augmenté de près d'un million entre 2004 et 2005, alors que celle des immeubles vétustes a chuté, pour une valeur totale de 5,5 millions. Généralement, le prix d'achat est supérieur à celui du rôle d'évaluation, surtout pour un secteur aussi prisé. Spectra Pour l'équipe Spectra et son président, Alain Simard, locataires et non propriétaires du Spectrum, il était clair que la salle allait être rasée avec les commerces avoisinants, même que «c'est une bonne nouvelle pour Montréal», selon lui. Il croit cependant encore aux chances du projet auparavant nommé Complexe Spectrum. «On ne jette pas l'éponge. On a quelques mois pour trouver une solution, soutient M. Simard. D'une manière ou d'une autre, le Spectrum va certainement continuer d'exister. Ce qu'on veut savoir, c'est si la Place des festivals va voir le jour parce qu'en ce moment, on perd des espaces pour les spectacles gratuits.» Interrogé à ce sujet, le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoît Labonté, réitère qu'il «doit y avoir une Place des festivals dans ce secteur», c'est-à-dire dans l'îlot Balmoral. Il en parlera bientôt à la ministre de la Culture, Line Beauchamp, et le plan de développement de l'îlot Balmoral devrait être livré au début février. Il avoue que la disparition du Spectrum ne lui plairait pas. «Si on devait en arriver là, ça ferait une donnée de plus dans l'équation qu'on doit résoudre sur l'îlot Balmoral, dit-il. Est-ce qu'on prévoit, par exemple, la construction d'un nouveau Spectrum ou une autre salle de remplacement ? La vraie question est de savoir s'il y a quelque chose autour qui peut absorber cette perte. Est-ce que ça prive nos chanteurs et musiciens d'un lieu ou s'il y en a d'autres ? Je pense qu'il y en a d'autres.» Financement Là comme ailleurs, l'argent reste au coeur du problème. Spectra n'est pas en mesure de financer entièrement la construction d'une nouvelle salle de 1000 places pas plus qu'elle ne pouvait exercer son option de premier refus et procéder à l'achat du quadrilatère comprenant le Spectrum. Sam Benatar indique, de son côté, qu'il a décidé d'aller de l'avant «après des mois et des mois d'investissements très importants de notre part sur des plans de relocalisation du Spectrum. «Le chantier va commencer au mois d'août», répète-t-il. «La location est tellement bonne pour ce secteur, ajoute le président de SIDEV. C'est un coin stratégique qui va attirer énormément de gros locataires avec ce qui se prépare à l'îlot Balmoral et la salle de l'OSM. C'est un quartier qui va être en pleine expansion dans les années à venir.»
  2. http://www.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php <!-- .excerpt --> Le Métropolis subira une cure de rajeunissement l'an prochain. Son propriétaire, l'Équipe Spectra, cherche actuellement un partenaire-commanditaire pour mener à bien des travaux qui doivent commencer au printemps et se terminer à temps pour la saison des festivals. Il n'est pas question de fermer la salle de spectacle pendant ce réaménagement, qui ne touchera pas à sa structure. «C'est le 20e anniversaire de l'acquisition du Métropolis par Spectra, le 375e de Montréal, et le Quartier des spectacles est vraiment en ébullition. On veut y participer, et c'est un bon moment pour faire ces investissements-là», affirme Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra. À 132 ans bien sonnés, le Métropolis n'a pas subi de baisse de fréquentation récemment et sa réputation est bien établie. Le magazine spécialisé Pollstar le classe bon premier au Canada et 13e au monde dans sa catégorie de salle. «Mais comment fait-on pour passer de la 13e à la 4e place au monde et pour que les artistes et le public qui nous adorent nous adorent encore plus?» demande Jacques-André Dupont. «Il faut garder cet actif-là en parfait état et, tant qu'à investir, on va essayer d'aller plus loin et de créer un lieu qui va nous mener vers les 20 prochaines années.» Agrandir Jacques-André Dupont, président de l'Équipe Spectra, qui est propriétaire du Métropolis. Photo Ivanoh Demers, Archives La Presse S'ouvrir sur la rue L'Équipe Spectra veut surtout investir dans l'aspect technologique du Métropolis pour être à la fine pointe de ce qui se fait ailleurs dans le monde. Son président tient également à ce qu'il soit plus accueillant pour les spectateurs et qu'il prenne un peu plus de place au coeur du Quartier des spectacles. «On pourrait ouvrir davantage sur la rue Sainte-Catherine, dit M. Dupont. Notre façade pourrait être plus large que présentement. C'est un petit sas pour entrer dans le Métropolis, et j'aimerais que ce soit plus accueillant. Il y aurait même la possibilité d'ouvrir une terrasse sur la [rue] Sainte-Catherine si on voulait. J'aimerais bien également avoir un accès direct au Savoy. Présentement, pour accéder à cette boîte, il faut entrer par le Métropolis.» Il est également question de changer les systèmes de son de la salle, de rénover les loges des artistes, les toilettes, les guichets, les bars ainsi que, peut-être, les loges au balcon et les corbeilles de chaque côté de la scène. «On a trois objectifs: on veut que le public voie la différence et que son expérience soit améliorée, que les artistes soient mieux accueillis et que les techniciens trouvent ça encore plus facile de travailler chez nous.» Changement de nom? M. Dupont parle d'un investissement «dans les sept chiffres» dont la hauteur dépendra de l'implication du partenaire à dénicher. Ce commanditaire éventuel pourrait provenir du monde médiatique ou encore du milieu technologique, plus présent que jamais dans les arts de la scène. Des pourparlers ont déjà été entrepris, et M. Dupont espère que le partenariat sera scellé d'ici la fin de l'année. Le Métropolis pourrait-il changer de nom et devenir la vitrine d'un commanditaire, comme son grand cousin du Groupe CH, le Centre Bell? «Il est tôt pour parler de cela, mais nous serions ouverts à explorer cette option avec le bon partenaire - un partenaire qui, au-delà d'une contribution financière, partagera nos valeurs et notre attachement au Métropolis et à la métropole», répond Jacques-André Dupont. Le Métropolis au fil des ans 1884: Ouverture du Théâtre français. 1923: Après un incendie qui le détruit complètement à la fin du XIXe siècle, il est reconstruit et sera converti en salle de cinéma. 1930: Au début de la décennie, il est encore la proie des flammes. Il sera rénové et décoré par Emmanuel Briffa, qui a également décoré le Théâtre Outremont. 1960: Le théâtre devient une salle de cinéma érotique. 1987: Le Métropolis rouvre ses portes après une fermeture qui aura duré sept ans. Il a une double vocation de discothèque et de salle de spectacle. 1997: L'Équipe Spectra achète le Métropolis et le réaménage quelques années plus tard pour qu'il soit consacré uniquement au spectacle. w.lapresse.ca/arts/musique/201610/13/01-5029959-le-metropolis-va-se-refaire-une-beaute.php
  3. Le Devoir 14 juin Tour de 30 étages sur l'îlot Balmoral Le projet de Rogers permettrait le financement d'une place des festivals et d'une nouvelle salle de spectacles L'entreprise canadienne-anglaise de communications Rogers veut s'ancrer au Québec en construisant une tour de bureaux de 30 étages sur le quadrilatère situé à l'ouest de la Place des Arts, à Montréal. Ce projet permettrait le financement et le développement culturel de l'îlot Balmoral avec une immense place des festivals et une nouvelle salle de spectacles, a appris Le Devoir. Des discussions sont en cours entre Rogers et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), le bras immobilier de la Ville de Montréal, pour la réalisation de ce projet d'envergure. La Société immobilière du Québec (SIQ) est également partie prenante dans ce dossier puisque la partie sud de l'îlot Balmoral lui appartient, alors que la SHDM est propriétaire de la partie nord. Selon les informations recueillies, la tour Rogers s'élèverait à l'angle des rues de Bleury et de Maisonneuve et pourrait permettre de regrouper les divers bureaux de l'entreprise actuellement disséminés à travers Montréal. Au sud, l'édifice Wilder, mal en point faute d'entretien par la SIQ, sera démoli afin de permettre la construction d'une salle de spectacles de 1000 places. Cela comblerait le vide laissé par la disparition du Spectrum, prévue à la fin de l'été. Sur la partie est du site qui longe la Place des Arts, entre les rues Sainte-Catherine et de Maisonneuve, une place publique destinée à accueillir les grands festivals verrait le jour et favoriserait leur pérennité. Ce projet nécessiterait des investissements considérables. Déjà, la Ville de Montréal a prévu 55 millions de dollars en infrastructures municipales dans son plan triennal d'immobilisations. Mais cela ne peut pas suffire. «Notre objectif est de limiter les investissements publics dans le dossier», a expliqué la porte-parole de la SHDM, Stéphanie Gareau. De fait, le projet de Rogers, dont le coût s'élèverait à des dizaines de millions de dollars, est intimement lié au développement culturel de l'îlot Balmoral. Le milieu culturel souhaite depuis longtemps que soit consacrée la vocation du site. De son côté, Rogers voit vraisemblablement tout l'intérêt de créer des liens et de soutenir la culture québécoise, question d'améliorer son image et de s'immiscer dans les plates-bandes de ses concurrents commerciaux. «C'est important pour Rogers d'être associée au milieu culturel, notamment le secteur francophone», s'est borné à commenter Sébastien Bouchard, de Rogers, après avoir insisté pour dire que, pour l'instant, «il n'y a rien à annoncer». Rogers est une entreprise tentaculaire. Elle est présente en téléphonie cellulaire (Fido) et en câblodistribution; elle est également propriétaire de 50 stations de radio, de chaînes de télévision spécialisées, de magazines comme L'Actualité et Châtelaine et même de l'équipe des Blue Jays de Toronto et du stade de baseball Rogers Centre (l'ancien SkyDome). En 2000, Rogers avait tenté une percée au Québec en voulant mettre la main sur Vidéotron et TVA. L'intervention du gouvernement du Québec par le truchement de la Caisse de dépôt et placement avait toutefois bloqué cette transaction et permis à Quebecor d'élargir son empire. Le développement de l'îlot Balmoral est sous la coordination de la SHDM, a précisé la porte-parole de la SHDM, Stéphanie Gareau, ajoutant que les démarches de l'arrondissement de Ville-Marie se font de façon parallèle. Ville-Marie a récemment confié un mandat au consultant Clément Demers pour élaborer un plan particulier d'urbanisme (PPU) qui doit proposer dans le détail une vision d'avenir pour l'îlot Balmoral. Le PPU doit déterminer qui pourra faire quoi, où et comment. «Plusieurs regardent l'îlot comme un terrain extrêmement intéressant pour des projets. Rien n'a été officiellement déposé pour l'instant et rien ne sera étudié avant la remise du plan de développement, le 31 octobre», a récemment soutenu le maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, dans un entretien avec Le Devoir. Le projet de Rogers est néanmoins analysé «en fonction des besoins du milieu culturel», a souligné Mme Gareau. Ces «besoins» sont définis dans le cadre d'un protocole d'entente liant la SHDM et l'Équipe Spectra, l'entreprise privée qui orchestre entre autres le Festival international de jazz et les FrancoFolies. Les orientations du protocole sont claires: tout projet sur l'îlot Balmoral doit comprendre la construction d'une salle de spectacles en remplacement du Spectrum et délimiter une place des festivals. Spectra utilise abondamment les terrains vacants de l'îlot Balmoral pendant la période des festivals. De plus, le Spectrum, dont Spectra est locataire depuis 25 ans, doit fermer ses portes en août. L'érection d'un magasin à grande surface Best Buy y est prévue. Après avoir tenté en vain de développer en partenariat un projet d'un complexe comprenant un nouveau Spectrum, Spectra a changé son fusil d'épaule et jeté son dévolu sur l'îlot Balmoral. La SHDM ne cache pas avoir trois projets entre les mains, dont celui de Rogers. Ces projets s'ajouteraient à ceux d'autres promoteurs qui auraient plutôt choisi de solliciter l'arrondissement de Ville-Marie. Depuis 2000, différents projets ont été dessinés, puis abandonnés. Il y a deux ans, la firme Busac, promoteur du controversé îlot Voyageur de l'UQAM, avait des ambitions avec Cadim, la filiale investissement de la Caisse de dépôt et placement, pour le site. La Caisse de dépôt reconnaît avoir travaillé sur le financement du dossier mais soutient l'avoir fermé depuis lors. Busac est aujourd'hui partenaire d'un des trois consortiums qui présenteront un partenariat public-privé pour la construction de la salle de concert de l'OSM. Du côté de la SIQ, aucune position officielle n'a été adoptée. On a même affirmé hier ignorer certains détails du dossier de l'îlot Balmoral, notamment les critères de sélection des projets dont ont convenu Spectra et la SHDM. «La SIQ a acquis ce terrain pour loger la salle de l'OSM et le conservatoire de musique. Les projets du gouvernement ayant changé, le terrain est devenu excédentaire pour nous. On veut en disposer en tenant compte des orientations gouvernementales», s'est limité à dire Martin Roy, de la SIQ. L'îlot Balmoral constitue un des deux pôles de développement prévus pour le Quartier des spectacles. Le projet d'une vitrine culturelle au croisement des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent est sur la planche à dessin de la Ville de Montréal.
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