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  1. J'utilise souvent le site d'Altus pour consulter les espaces à bureau disponibles. Depuis un certain temps, on peut visualiser les espaces sur les principales villes canadiennes en 3D! Très cool! Le data pour les tours en construction n'est malheureusement pas disponible (ex. tour Manuvie). Légende: Montréal: Notre grande dame en arrache comparée aux cinq grands... L'ancien édifice de Manuvie sur Sherbrooke est pas mal vide!! Toronto: Vancouver: Calgary: Find | Altus InSite - Canada's Leading Real Estate Information Provider
  2. Des fois, je RdQ me fait tellement chier!! Remarquez bien, ironiquement, l'endroit où une Torontoise affirme que l'indépendance du Québec serait mieux pour Mtl! Food for thought..... http://www.ledevoir.com/politique/quebec/358919/montreal-un-probleme-qu-on-ne-veut-pas-voir
  3. On entend souvent parler des ''head offices'' qui quittent Montréal pour d'autre villes. On entend aussi souvent parler des Montréalais qui quittent pour aller vivre ailleurs, et ce pour toutes sortes de raisons. D'ailleurs la diaspora montréalaise est assez importante et il serait intéressant que Montréal travaille à les inciter à revenir. Mais ce que j'aimerais discuter dans ce fil c'est le contraire. C'est à dire des montréalais qui ont décidé de revenir vivre à Montréal après plusieurs années à l'extérieur. Donc si vous avez des exemples, des articles qui en parlent ou des connaissances personnelles qui ont faites le trajet inversent alors faites nous en part, cela fera changement.
  4. 2,7M$ pour le patrimoine religieux à Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé mardi un investissement de 2,7M$ pour la restauration du patrimoine religieux montréalais. Cette aide financière servira entre autres à effectuer des réparations et des réfections sur huit bâtiments à caractère religieux de la métropole. Le choix des projets retenus a émané de la table de concertation de Montréal du conseil du patrimoine religieux du Québec. Les sommes les plus importantes de l’enveloppe sont allouées à la cathédrale Christ Church, au centre-ville et à la Maison mère d’Youville, dans le Vieux-Montréal. Québec consacrera respectivement 1M$ et 552 500$ à ces projets de restauration. «On a un devoir de mémoire à l’égard de notre patrimoine, ça fait partie de notre histoire, de notre identité, et on veut prendre soin de ce patrimoine-là pour le léguer aux générations futures», a déclaré le ministre de la Culture et des Communications, Luc Fortin, au moment de l’annonce. Le ministre a cherché à faire valoir l’importance du patrimoine religieux dans le paysage montréalais. «Dans les pays européens, il y a beaucoup de châteaux, et les gens sont intéressés à aller les visiter. Ici, au Québec, on a moins de châteaux, mais on a beaucoup d’églises, et on souhaite les préserver et les mettre en valeur», a-t-il illustré. Le directeur des politiques d’Héritage Montréal, Dinu Bumbaru, salue ces sommes «très bienvenues», mais fait remarquer qu’elles ne représentent qu’une partie des investissements nécessaires à la réfection de ce patrimoine bâti. Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires. M. Bumbaru confirme que les quelque 600 lieux de culte de la métropole occupent une place importante au sein de son patrimoine bâti. Il fait aussi remarquer que les bâtiments proviennent de diverses communautés montréalaises de l’époque, et non pas seulement de la communauté catholique. «Le patrimoine religieux, c’est souvent la somme de tous les arts qu’on a réunis dans ces constructions», explique-t-il, en ajoutant qu’on peut voir dans les églises plusieurs formes d’expression, dont la sculpture, la peinture, le plâtre et le vitrail, entre autres. «Même si aujourd’hui on a un regard beaucoup plus critique sur les grandes confessions, il faut reconnaître ceux qui nous ont précédé ont mis beaucoup d’efforts dans la réalisation de ce patrimoine-là», juge-t-il. C'est une bonne chose mais c'est trop peu -et j'espère qu'il n'est pas trop tard pour beaucoup d'édifices religieux !! Je sais pertinemment que les Anglicans à eux seuls ont besoin d'un minimum de $2M pour remplacer la flèche dans les plus brefs délais -soit dans un peu moins de deux ans !! Comme le fait remarque Mr Bumbaru : "Il ajoute que ces projets de restauration sont souvent le fruit de mobilisations et de campagnes de financement communautaires." Je sais que les anglicans prévoient en effet d'organiser une campagne de financement afin de trouver le reste de l'argent nécessaire pour ces travaux !! 2,7M$ pour le patrimoine religieux a Montreal | Metro
  5. http://www.ledevoir.com/societe/consommation/449987/l-architecture-a-la-conquete-des-oceans-pour-batir-les-villes-de-demain L’architecture à la conquête des océans, pour bâtir les villes de demain 14 septembre 2015 |Olivier Dessibourg - Le Temps | Consommation À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Photo: Margriet Faber Agence France-Presse À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg construit sur des îles artificielles s’enrichit de maisons flottantes. Les océans constituent le prochain espace de conquête architecturale et urbanistique de l’homme. Que ce soit pour y ériger les villes du futur pensées comme des refuges techno-modernes et autonomes en énergie, voire des lieux de vacances hyperexclusifs promus par les images de synthèse de cabinets d’architectes, ou plus simplement parce que les villes et régions déjà les plus peuplées, et souvent situées sur les côtes, devront faire face à une montée des eaux certaine due au réchauffement. Partout, dans les milieux technologiques, économiques, du design, on se demande comment s’installer dans ce Far West aquatique. « Jusqu’à aujourd’hui, les villes en bordure des océans ont été érigées de manière statique, fixe, souvent désordonnée », dit Koen Olthuis. Cet architecte hollandais de 44 ans, nommé en 2007 parmi les personnes les plus influentes par Time Magazine, est l’un des fers de lance de ce mouvement en plein essor. « Dans les cités côtières des pays en développement, les bidonvilles sont souvent proches de ou sur l’eau, et sont ainsi très fragiles face aux inondations. De plus, aux environs de plusieurs mégapoles, il existe parfois d’énormes no man’s land situés entre terre et mer, pour l’heure inoccupés, détaille celui qui a été l’une des stars d’une récente conférence mondiale sur le sujet, à Bangkok. Ce sont ces zones qu’il s’agit de viser en priorité, à l’heure où la population urbaine mondiale va exploser. » Et d’indiquer que des agglomérations comme Londres, Miami, Tokyo ou Djakarta vont étendre leur superficie de 5 à 10 % sur les eaux d’ici à 2030. Bâtiments flottants Avec d’autres, le cofondateur de l’agence d’architectes néerlandaise Waterstudio a dessiné des systèmes permettant de rendre moins vulnérables les habitations côtières, qui se trouvent 90 % du temps sur la terre ferme. « Lorsque l’eau monte, nos constructions y font face sans être submergées. Parmi les solutions d’architecture amphibie envisagées pour les fondations de ces maisons “résilientes” : des “flotteurs” en béton renforcé et remplis d’air, mais tout de même liés au sol. Au final, l’édifice flotte sans se déplacer. De même que, si vous devez porter une charge dans les vagues, vous le pouvez grâce à la force d’Archimède, vos jambes jouant alors le rôle de support fixe. » Selon l’expert, le défi principal consiste à stabiliser l’ensemble en cas de répartition inégale du poids en surface. « C’est possible, grâce à des systèmes de remplissage de compartiments stabilisateurs avec de l’eau. » Des expériences réelles sont déjà menées, avant tout aux Pays-Bas, plate région concernée au plus haut point par la montée des eaux. À Amsterdam, depuis 2013, le quartier expérimental IJburg, construit sur des îles artificielles, s’enrichit de maisons flottantes. L’agence Waterstudio développe aussi des projets de constructions entièrement flottantes, comme ce café Internet qui devrait être installé sur une barge dans un bidonville émergé au Bangladesh. « La technologie des habitations flottantes n’est qu’un pan de l’architecture amphibie, mais le plus emblématique », admet Koen Olthuis. Pour preuve, la pléthore de projets futuristes, voire utopistes, récemment divulgués. La dernière salve en date est celle du Seasteading Institute. Fondée en 2008 en Californie par Patri Friedman, petit-fils du Nobel d’économie Milton Friedman, cette institution rêvait d’ériger une ville entière au large, sur les eaux territoriales, et d’y fonder une nouvelle société autogérée politiquement. Puis ses instigateurs ont reconnu qu’il serait plus aisé de rapprocher leur projet des côtes, pour des raisons évidentes de logistique et d’approvisionnement, mais avec alors la nécessité d’obtenir l’autorisation d’un État hôte qui leur reste à trouver. Des îles-villes, une utopie ? Les visionnaires tiennent à leur idée de base, et viennent de révéler les résultats d’un concours d’architecture visant à façonner leur île-ville pour 167 millions de dollars. Le concept proposé : des plateformes carrées ou pentagonales, de 50 m de côté, supportant des édifices de trois étages ou des parcs (voire les éléments herbeux d’un golf !) que l’on relie à souhait pour former une agglomération. Selon une étude de faisabilité de la société d’ingénierie DeltaSync, chaque plateforme coûterait 15 millions de dollars, soit un prix par mètre carré équivalent à ce qu’on trouve à New York ou Londres. Observateur du monde de l’architecture puisqu’il dirige la revue Tracés, Christophe Catsaros juge « sensée l’idée de gagner du terrain sur les terres immergées près des côtes, comme cela se fait depuis longtemps sur les polders dans le nord de l’Europe. » Par contre, les projets futuristes, « s’ils évoquent l’avenir, n’en ont en fait pas, tant leur coût énorme implique qu’ils ne s’inscrivent pas dans notre logique économique immobilière. » Koen Olthuis admet aussi que, « au regard des besoins dans les pays en développement, ces visions ne constituent pas une priorité, tant elles servent uniquement les riches ». Même si elles demeurent relativement abordables : dans une récente présentation TEDx, l’architecte explique que si une personne fortunée doit sortir 30 millions de dollars pour acquérir un yacht de luxe, une île artificielle ne coûterait qu’une douzaine de millions. Un nouveau marché de luxe Son entreprise a d’ailleurs imaginé de petits îlots équipés d’une résidence de luxe, qui peuvent être installés n’importe où. Depuis cet été, la société Christie’s International Real Estate les commercialise. « Cet hiver, nous construirons aux Pays-Bas les premières îles d’un lot de 33 qui sera acheminé vers Dubaï », dit Koen Olthuis. Selon lui, viser ce segment du luxe n’est pas en contradiction avec sa vision première, car « dans ce cas, les riches paient pour développer des technologies d’architecture amphibie qui pourront être démocratisées partout dans le monde ». Un argument qui ne convainc pas Christophe Catsaros : « L’architecture spectacle peut parfois faire apparaître des avancées intéressantes, mais le plus souvent, elle génère des concepts kitsch qui vieillissent mal. » Le débat naît donc sur ce que d’aucuns qualifient de « révolution bleue ». Et que l’agence DeltaSync, dans son étude de faisabilité servant aussi de manifeste, résume : si les terres viennent à manquer, « où irons-nous ? Dans le désert ? Les ressources en eau manquent. Dans l’espace ? Toujours trop cher. Reste l’océan. […] Ce siècle verra l’émergence sur l’océan de nouvelles cités durables […]. Elles contribueront à offrir un haut standard de vie à la population, tout en protégeant les écosystèmes. Un rêve ? Non, la réponse au principal défi du XXIe siècle. »
  6. Cela faisait 37 ans que la magnifique église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End avait perdu deux de ses statues extérieures, dû à leur dégradation avancée. Ces deux œuvres sont maintenant restaurées! J'ai pris quelques photos aujourd'hui (18 juin 2015): En espérant que la prochaine restauration ne prenne pas 4 décennies! Montréal souffre souvent d'un déficit d'entretien de son beau patrimoine. Pour plus de renseignement sur cette restauration, voici un lien vers un article du Journal Métro: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/794384/patrimoine-religieux-redonner-vie-aux-anges-du-mile-end/
  7. Le bâtiment est souvent cité lorsqu'on parle de patrimoine menacé. Par Mu Architecture :
  8. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/414969/citoyennete-active <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16.260000228881836px;">Voyage au coeur de la citoyenneté active </header>2 août 2014 |Florence Sara G. Ferraris | Actualités en société <figure class="photo_paysage" style="box-sizing: border-box; margin: 0px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; font-size: 13px; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo: Jean-Michael SeminaroDe l'esplanade bétonnée du Village éphémère (sur la photo) à la friche verdoyante du Champ des possibles, des citoyens envahissent des lieux délaissés et les transforment en espaces de vie collectifs.</figcaption></figure>Imaginer et vivre nos espaces collectifs autrement, voilà le défi que se lancent des centaines de Québécois chaque jour. En marge des structures établies, ces «supercitoyens» bousculent leur milieu respectif pour tenter de changer le monde tous ensemble. Au bout de la rue Saint-Joseph à Québec, des bancs de bois usés semblent un peu perdus au milieu de l’espace bétonné, comme s’ils avaient été oubliés. Un peu en retrait, à l’ombre de l’église adjacente aujourd’hui occupée par une coopérative, un jeune homme observe les passants curieux s’arrêter. Là, un père et sa fille s’assoient pour déguster une glace. À quelques jets de pierre, un groupe d’amis rigolent, à califourchon sur un des sièges rustiques. Plus tard, une petite foule s’attroupe autour d’un jam improvisé. Sourire aux lèvres, l’observateur range son carnet de notes et reprend sa route. Premier essai du Collectif Le Banc, ces « bancs d’église » déployés en septembre dernier au coeur du quartier Saint-Roch se voulaient une manière de redonner, voire de révéler, aux résidants du secteur « les possibles » des lieux. Depuis, les membres du collectif originaire de Québec s’amusent à occuper le territoire de la ville de façon ponctuelle et éphémère. Un peu comme des « laboratoires urbains », de nombreuses initiatives du même genre voient le jour de plus en plus, prenant d’assaut les milieux de vie pour les ramener à l’échelle humaine. Urbanisme tactique, agriculture urbaine et projets d’économie alternative sont autant d’exemples de cette nouvelle façon d’aborder le vivre-ensemble. Dans cette lignée, le Centre d’écologie urbaine de Montréal a lancé un appel aux citoyens ce printemps dans le but de « transformer la ville ». Pour le chargé de projet Cédric Jamet, l’idée était surtout d’« offrir un espace d’échange aux véritables praticiens de la ville, soit ceux qui l’habitent et qui y sont attachés ». Persuadé que ces rêves collectifs se seraient réalisés sans le soutien du Centre, il précise toutefois que travailler de concert avec ces amoureux de la cité lui permet de créer des réseaux, de mettre des gens qui ne se seraient peut-être jamais parlé en relation. Car si ces initiatives citoyennes ont un impact direct et quasi immédiat sur le milieu dans lequel elles s’inscrivent, c’est la force du nombre — et on en compte des centaines à la grandeur du Québec — qui leur donne un véritable pouvoir de changement. « Tout le monde a son idée de ce qui ne suffit pas à la ville, et le faire chacun chez soi est déjà incroyable, insiste-t-il avec un sourire. Mais imaginez si nous décidions de réfléchir à ce dont nous avons besoin ensemble. » Citoyenneté plurielle De plus en plus bruyantes, ces démonstrations citoyennes piquent la curiosité du milieu universitaire qui, habitué d’étudier les va-et-vient du communautaire, a bien de la difficulté à en cerner les contours. C’est qu’on peut difficilement en brosser un portrait précis puisqu’il semble exister autant de manières de faire que d’individus qui s’impliquent. « On a longtemps voulu nommer les choses de manière idéologique,avance la professeure à l’École des affaires publiques et communautaires de l’Université Concordia Anna Kruzynski, qui étudie cette mouvance depuis quelques mois. Aujourd’hui, ce sont davantage les affinités qui unissent les gens. Si on habite le même lieu, qu’on partage des intérêts, des rêves, il y a une confiance qui s’établit. Quand on interroge les gens sur le sujet, ils disent souvent qu’ils se sont retrouvés. » Sans être en complète rupture avec ce qui se faisait au lendemain de la Révolution tranquille ou lors de l’émergence du communautaire, cette « nouvelle vague » d’implication citoyenne possède sa propre signature qui la rend fondamentalement unique. Très portée sur le « faire soi-même » [le fameux DIY] et le « vivre maintenant », cette génération de tous âges rejette les conventions établies, que celles-ci soient politiques ou issues du milieu militant lui-même. « Ce sont des gens, des groupes, portés par l’action directe, soutient Anna Kruzynski. Ils fonctionnent sans intermédiaire, sans demander la permission. C’est du “bottom-up” à l’état pur[l’intégration des structures officielles se faisant souvent après le passage à l’action]. » Ainsi, ce n’est qu’une fois les légumes bien enracinés dans le Jardinet des mal-aimées, cette saillie de trottoir réinvestie par les résidants de Rosemont, que l’arrondissement montréalais a manifesté son intérêt. Même son de cloche du côté des Incroyables Comestibles. Nés en Angleterre, ces pionniers en agriculture urbaine contemporaine ont vu leur idée se répandre comme une traînée de poudre, faisant des petits jusque de ce côté-ci de l’océan. Aujourd’hui, on en dénombre plus d’une dizaine « déclarés » au Québec. Encore une fois, c’est de manière spontanée que l’opération s’est amorcée dans des bacs à fleurs appartenant à la Ville à l’angle des rues Roy Est et Saint-Hubert en 2012. Deux ans plus tard, juste sur le Plateau, l’administration a prévu une trentaine de bacs pour cette « nourriture à partager ». « Les modes de participation changent avec les générations, ajoute la professeure au Département de communication sociale et publique de l’Université du Québec à Montréal Mireille P. Tremblay. Ce n’est pas surprenant de voir qu’aujourd’hui l’implication ne se fait plus de manière “traditionnelle” via les lobbys, les partis politiques ou les organisations en place. » Moins organisé et plus spontané, donc ? Pas nécessairement, selon Anna Kruzynski. « Ça fait longtemps qu’il y a quelque chose qui se trame. Comme un rhizome endormi sous la terre. » Issues de la lignée des protestations en marge des sommets du millénaire, d’Occupy et, plus récemment, de la grève étudiante de 2012, ces initiatives s’inscrivent dans un mouvement de citoyenneté active. « L’idée est d’aller au-delà du geste électoral », explique Juan Carlos Londono, l’un des instigateurs de 100 en 1 jour à Montréal, un projet qui consiste à générer une centaine d’interventions dans la ville en une journée afin de la rendre meilleure. Afin « d’exercer sa citoyenneté au quotidien, d’activer cette prise de conscience que nous sommes capables de créer la ville que nous voulons ». D’où l’intérêt de s’émanciper des structures, souvent trop lourdes pour vivre l’instant présent. Car tout est là aussi, dans cette idée qu’il faut agir vite et maintenant, dans cette mouvance du « lighter, quicker, cheaper » empruntée à l’urbanisme tactique. « On se rend de plus en plus compte que, collectivement, on n’a plus les moyens [de faire gros] et qu’on n’a plus le temps d’attendre », lance Martin Paré, vice-président de l’Association des designers urbains du Québec, qui est à l’origine, entre autres, duVillage éphémère qui s’enracine depuis peu sur la friche au pied du pont Jacques-Cartier. Ancrés dans l’instantané, fondamentalement positifs et un brin trop lucides par moments face aux instances officielles, ces révélateurs des possibles s’approprient la « politique de l’agir » et foncent, quitte à bousculer un peu sur leur passage. « Ça va bien au-delà du devoir ou du vouloir, insiste Juan Carlos Londono. C’est l’idée que, chaque jour, je me dis que je peux changer les choses. Après, le pari, c’est de souffler sur nos étincelles et souhaiter que le feu s’étende. »
  9. Je ne visite pas souvent ce coin de la ville donc je ne sais pas si ce peojet s'intègre bien dans le coin ou si il respecte l'ambiance du secteur mais il semble avoir une signature classique, brique. http://www.ndgcondosgrandboulevard.com/sotramont/index.html
  10. Voilà un quartier tranquille dont on entend rarement parler et dont je ne visite vraiment pas souvent. Il ne semble pas s'y passer grand chose. Par contre il y a un petit projet signé Mondev. http://www.mondev.ca/le-laurendeau-nouveau-projet-condo-neuf-au-sud-ouest-1-et-2-chambres_fr.html?ProjetID=106
  11. Coolopolis est un blogue tenu par un anglophone qui donne trop souvent son point de vue politique, mais un blogue, ça sert à ça donc, ce n'est pas la raison de mon intervention. J'ai bien ce blogue car il nous tire souvent des photos anciennes qui mérite d'être vues. Cette fois ci, il montre un Square Phillips avec deux escaliers et je me demandais, les dates de ces photos et la raison d'être de ces deux "décentes aux enfers" comme il aime bien le préciser.
  12. Source: Weburbanist http://weburbanist.com/2012/01/08/high-anxiety-rooftop-excavators-tear-down-from-up-top/ Cet articles assez visuel et intéressant montre comment ils peuvent démolir des gratte-ciel sans dynamite en commencant par le toit et en descendant au fur et à mesure. L'article parle aussi que souvent ces bâtiments chinois sont démolis que quelques mois après leur construction. <img src="http://weburbanist.com/wp-content/uploads/2012/01/rooftop_main.jpg">
  13. BiloMtl

    Compteur IEDM

    Malek ôte nous le calice de compteur de la dette publique québécoise, tu vas rendre les gens comme moi qui sont sur ce site trop souvent dépressif
  14. Bonjour ! J'ai décidé hier de créer une série de photo sur l'architecture des écoles. J'adore l'architecture et j'étudie en photo, donc un des mes sujets favori en photo est l'architecture et l'urbanisme. L'architecture des écoles n'est pas ce qu'il y a de plus extraordinaires, surtout celles construites après les années 60. Dans cette série j'espère pouvoir vous faire découvrir et partager des angles de vues qui feront sortir la beauté de ces immeubles souvent en mauvaise état. Voici la première photo de cette série. Construit en 1967 par le Collège Français, ce bâtiment était un annexe pour la division primaire du collège Français jusqu'en 2000. Depuis 2000, elle abrite "L'École des Premières Lettres", une OSBL dirigé par les parents des enfants.
  15. En matière d'habitation, le "duplex", dans le sens montréalais du terme, est une formule très répandue dans cette ville mais curieusement, à peu près absente ailleurs au Québec, au Canada, en Amérique et même en Occident en général (à ma connaissance). Sa particularité ne tient pas à son architechture, mais à son mode d'occupation, ie un bâtiment comportant deux logements superposés, appartenant à un propriétaire occupant (généralement) le rez-de-chaussée, tandis que le logement à l'étage est occupé par un locataire. Le duplex est souvent jumelé (à un semblable), mais il peut aussi être construit en rangée, et plus rarement, isolé. Il peut être de facture moyenne, modeste, ou même luxueuse. Une variante de ce duplex est le triplex, qui peut être constitué de trois niveaux (un par logement), mais plus souvent à deux niveaux, l'étage étant divisé en deux logements tandis que le propriétaire occupe le logement deux fois plus spacieux du rez-de-chaussée. On retrouve ce mode d'habitation dans de nombreux quartiers de Montréal et de sa proche banlieue. CEPENDANT, depuis approximativement quarante ans, il me semble que la construction de nouveaux bâtiments sous cette formule a considérablement diminué, au point de devenir rarisisme. Pourtant, le marché de la revente de duplex existants semble tout aussi florissant que pour les autres types d'habitation. COMMENT expliquer cela? Je crois pouvoir fournir quelques explications, mais j'aimerais d'abord lire vos opinions, chers collègues du forum!
  16. est-ce que qqun sait ou trouver les donnees relatives a la densite de population "effective", c'est a dire sans tenir simplement compte des residents d'un secteur mais aussi de tout ceux qui peuvent venir y travailler, visiter, magasiner, etc. .. cette population qui fluctue generalement selon le moment de la journee. je sais que de telle donnees existent parfois (meme si elle sont souvent des approximations), mais je suis incapable de les trouver pour montreal. je ne sais pas non plus comme s'apelle exactement ce type de statistique, si qqun le sait, ca m'aiderais surement a faire ma recherche ... je suis surtout curieux de connaitre la densite de population reelle de certains arrondissements dont ville-marie, en particulier.
  17. je sais pas pour vous, mais j'ai souvent des pages non existantes dans la liste de pages des thread; souvent une de trop, mais desfois deux... aussi, l'heure des posts ne correspond pas. je sais pas ou est le serveur, mais tk c'est bizarre...
  18. Je ne sais pas s'il existe déjà ce genre de fil ici mais après quelques vérifications je n'ai rien trouvé donc je lançe le sujet de discussion que j'avais abordé dans un autre fil. Je donne mon avis sur ce que je crois etre le top 10 des ''landmark'' de Montréal, c'est à dire les emblèmes qui sont bien reconnus par les montréalais en premier lieu mais aussi par les étrangers/touristes. Des emblèmes qui se retrouvent souvent sur des photos, des cartes postales ou des croquis. 1- Le Stade Olympique / Tour Olympique 2- Le Mont-Royal / La croix 3- La Place Ville-Marie 4- L'Oratoire St-Joseph 5- Le Pont Jacques-Cartier 6- Le 1000 de la Gauchetière 7- L'Horloge du Vieux-Port 8- L'Hotel de ville 9- La Basilique Notre-Dame 10- La Biosphère
  19. Bon... vraiment j'ai pas de chance avec les ordinateurs ce mois ci. J'ai pété mon ordinateur de table en déménagement.. en fait en le rebranchant, il a fait de la fumée et il n'a pas voulu démarrer. Je crois que c'est le mother board mais comme il était vieux, je n'ai pas envie de mettre d'argent dessus. Par contre, ce matin, j'essaie de démarrer mon portable... et puis... rien. J'aimerais savoir si quelqu'un a un truc miracle ... Je n'ai pas bougé l'ordi entre hier soir et ce matin, donc il n'a pas eu de choc. Le fil d'alimentation est bien branché puisque que la petite lumière autour de la plug est allumée. Mais quand j'appuie sur le bouton, il n'y a rien qui se passe. J'ai une question stupide... comme le transformateur électrique est dans le fil plutôt que dans l'ordinateur contrairement à un ordinateur de table, est-ce qu'il y a un équivalent dans un portable à l'intérieur qui a tendance à lâcher souvent et qui est facile à changer ? Ou est-ce que des pannes de bouton ça arrive souvent sur les portables ? Sinon avez-vous des suggestions. C'est un HP Pavillion TX2???.
  20. Hôtels: beaucoup de projets reportés 29 décembre 2008 - 08h27 La Presse Laurier Cloutier La vague de constructions d'hôtels qui a déferlé sur Montréal pendant des années vient de heurter tout un mur: celui de la crise financière. Place maintenant aux rachats d'hôtels au rabais. Tant à Montréal qu'ailleurs au Canada, l'industrie voit ainsi se multiplier les reports de projets hôteliers, affirme à La Presse Affaires Gilles Larivière, président de Horwath Horizon Consultants, de Montréal. «Quand les travaux ne sont pas amorcés, le projet est souvent reporté, sinon annulé», dit le patron de la société canadienne spécialisée en hôtellerie et tourisme. «Le chantier de l'hôtel Marriott de l'aéroport Trudeau et celui du Westin, près de l'ex-immeuble de The Gazette, en face du Palais des congrès, doivent être achevés d'ici au mois d'avril mais, pour les autres projets, il faudra attendre», renchérit William Brown, vice-président principal de l'Association des hôtels du Grand Montréal. Rien ne bouge Bill Brown note qu'il n'y a toujours rien qui bouge sur le boulevard René-Lévesque entre les rues Guy et Mackay, où doivent un jour lever quatre tours qui abriteraient trois hôtels et des appartements, pour des investissements de 400 millions. Report aussi du Waldorf Astoria, à l'angle des rues Sherbrooke et Guy, et de l'hôtel projeté à la place du défunt restaurant Ben's, boulevard De Maisonneuve, ajoute Bill Brown. «Il y a souvent du retard dans le financement, mais les promoteurs attendent aussi de voir un peu plus clair. C'est normal dans la crise actuelle. Il n'y a pas d'urgence majeure, avec le marché en baisse», explique Gilles Larivière. Dans le cas du Marriott de la rue Cathcart, à l'ombre de la Place Ville-Marie, des travaux sont commencés, mais l'hôtel n'ouvrira pas avant 2010, semble-t-il. La réouverture du Ritz-Carlton ne viendra aussi qu'en 2010. «Avec les mises à pied et les dépenses moindres, il y a un peu moins de pression», constate Bill Brown. Le taux d'occupation des hôtels du Grand Montréal a encore reculé sur un an de 63,9% à 61,6% en novembre 2008, précise Tourisme Montréal. Bill Brown ne fait pas de prévisions pour 2009, mais «ce ne sera pas une année record ni facile», reconnaît-il. «La performance de l'hôtellerie est moins bonne. Les chantiers en cours vont être achevés, mais les projets vont être décalés, estime Gilles Larivière. Ce n'est pas toujours faute de mise de fonds. Plusieurs pensent qu'il vaut mieux attendre quelques mois ou un an et faire entre-temps des acquisitions d'hôtels existants.» «Ce n'est pas tant l'hôtellerie qui a des problèmes que le banquier de l'hôtel, ajoute le président de Horwath. C'est alors préférable de garder ses capitaux pour racheter au rabais des hôtels dont le banquier a rappelé le prêt. En outre, les projets d'hôtels comprennent souvent des appartements qui doivent être vendus à prix élevés» dans ce marché en mutation. Des rachats «Non, on entre dans un cycle de rachats d'hôtels, ce sont des occasions d'affaires, enchaîne Gilles Larivière. Ailleurs au Canada, la plupart des projets sont reportés aussi. Même si le financement a été autorisé, le promoteur demande une confirmation au banquier» avant de lancer ses travaux. «Le taux d'occupation des chambres d'hôtel va baisser, tant à Montréal qu'ailleurs au Canada. Tous sont donc un peu sur le qui-vive», note Gilles Larivière. «Les gens ne laisseront tomber leur semaine de vacances dans le Sud qu'en dernier ressort», assure le président de Horwath, mais ils pourront réduire un peu leurs escapades de fins de semaine. Les centres de villégiature devront surveiller leurs prix. «Pas de panique toutefois au Québec, moins frappé. Par contre, les touristes américains ne savent pas encore que nos tarifs sont tombés de 20%, avec la baisse du huard. On pourra en convaincre quelques-uns de plus de nous visiter», conclut Gilles Larivière.
  21. Économie sociale: 2 G$ chaque année à Montréal 21 octobre 2008 - 06h31 La Presse Philippe Mercure Une économie qui ne carbure pas à la recherche de profits? Ça existe. Et ça brasse 2 milliards de dollars par année à Montréal seulement, selon le tout premier portrait de l'économie sociale dévoilé hier. Cette économie souvent qualifiée de «marginale» fait aussi travailler 60 000 Montréalais dans 3590 établissements, selon les chiffres de la chaire de recherche du Canada en économie sociale de l'UQAM et présentés hier conjointement avec la Conférence régionale des élus de Montréal. Notons qu'en 2005, Montréal affichait un produit intérieur brut (PIB) de 92,2 milliards de dollars. «L'économie sociale, vous l'utilisez probablement tous les jours sans vous en rendre compte», a lancé Édith Cyr, présidente du comité d'économie sociale de la Conférence des élus de Montréal, qui se réjouit d'avoir finalement un portrait quantitatif de la situation. Qu'est-ce que l'économie sociale? En clair, les entreprises qui y participent combinent deux missions: l'une économique, l'autre sociale. La définition englobe autant le Mouvement Desjardins que le cinéma Beaubien, en passant par le réseau de CPE, les YMCA et les entreprises de réinsertion sociale. Les statistiques dévoilées hier excluent cependant les contributions importantes du Mouvement Desjardins et de la Coop fédérée. Pour entrer dans la catégorie, l'entreprise doit être gérée de façon autonome et démocratique. Elle doit aussi limiter ou interdire les distributions de profits, les réinvestissant plutôt dans ses activités ou dans la collectivité. Quant aux champs d'activités, ils vont de la santé à la culture en passant par le commerce, l'habitation et le loisir. «Un gros avantage» Mal comprise, l'économie sociale? Quand on lui demande comment il vit le fait de s'inscrire dans ce mouvement, le directeur général de la radio CIBL, Éric Lefebvre, répond que «ça fait une différence au niveau des leviers financiers». Le journaliste concède que sans actionnaires prêts à injecter de l'argent, la recherche de fonds doit effectivement être difficile; M. Lefebvre s'esclaffe. «Ça donne accès à des leviers financiers, autant des prêts que des subventions. C'est un gros avantage! Vous vous attendiez à ce que ce soit un inconvénient?» Oups! C'est qu'il existe tout un réseau qui vient en aide à l'économie sociale. Et il a son propre vocabulaire. «Capital patient», «capital amical», «capital de connivence»: les prêts qu'on accorde aux entreprises d'économie sociale le sont souvent à des bien meilleures conditions que ce qu'offrent les firmes de capital-risque. La Fiducie du Chantier de l'économie sociale, par exemple, offre des prêts sans remboursement de capital avant 15 ans à des taux de 8,5%. Le fonds initial de 52,8 millions de dollars provient de Développement économique du Canada, mais aussi du Fonds de solidarité de la FTQ, du Fondaction de la CSN et du gouvernement du Québec. À quel point les entreprises d'économie sociale dépendent-elles des subventions? Impossible à dire, répondent les chercheurs. Leurs revenus proviennent à 49% du secteur public, mais ce chiffre englobe aussi tous les contrats de service auprès du gouvernement. La radio de CIBL affirme que sur un budget annuel de 600 000$, seulement 60 000$ proviennent des subventions. Et en ces jours où la crise financière est sur toutes les lèvres et où l'on parle de «moraliser» le capitalisme, l'économie sociale pourrait être appelée à connaître un essor, croient ses défenseurs. «Les phases d'émergence de l'économie sociale sont souvent liées aux périodes de crise économique», a expliqué hier Marie J. Bouchard, de l'UQAM, donnant comme exemple les coopératives agricoles qui ont poussé au Québec en temps difficiles.
  22. Le numéro un de la recherche sur Internet envisage d'investir dans de jeunes sociétés, comme le font souvent les géants du secteur technologique. Pour en lire plus...
  23. C'est une des plus importantes voies de sortie de l'épargne enregistrée et le coût réel des montants laissés en souffrance est souvent mal compris. Pour en lire plus...
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