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  1. L'Étoile Architectes: Panzini Archiectes Fin de la construction:2007 Utilisation: Hôtel Emplacement: Quartier International, Montréal ? mètres - 22 étages http://letoile.ca/ Description: - C'est sous la banière Embassy Suites Hotels que l'hôtel ouvrira.
  2. ** Note aux modérateurs: je ne souhaite en aucun cas enfreindre les règles du forum, je partage un évènement que j'organise ici ** Bonjour à tous, Je participe depuis quelques années au forum, que je lis à tous les jours avec beaucoup de plaisir! Je fais partie du comité organisateur du concours d'idées Morphopolis, et nous organisons une édition en 2017 sous le thème du transport en commun à Montréal. Le thème explore toutes les facettes des lieux du transport, de l'échelle de l'objet à la planification générale des modèles de transport à Montréal. La fin des inscription est le vendredi 17 mars @ 23h00, et les prohets doivent être remis le 22 mars. Nous demandons 1 panneau format A2 (orientation portrait, 420mm x 594mm), sous la forme d'image et de croquis. Nous souhaitons surtout dégager des idées, des tendances en aménagement, ou encore des projets audacieux pour redorer l'image du transport en commun. *Tous les détails sont sur notre site morphopolis et sur notre Facebook (Morph.o.polis Montréal).* Nous avons cette année un jury très dynamque, composé de: - François Cardinal, rédacteur en chef de La Presse - Catherine Demers, Architecte Associée, Jodoin Lamarre Pratte Architectes Inc. (chargée de projet pour les projets à l'Aéroport Montréal-Trudeau) - Josée Bérubé, architecte, Provencher_Roy, présidente du CA de l'ARTM - Jonathan Cha, architecte paysagiste, urbanologue, phD en aménagement - Valérie Mahaut, professeure titulaire à l'Université de Montréal. Nous présentons également des conférences la semaine prochaines à la Faculté de l'Aménagement (2940 chemin de la Côte-Sainte-Catherine), amphithéâtre 3110: - Mardi 14 mars @ 18h00 : Zvi Leve, Rue Publique, "Les rues comme lieux de transit" - Jeudi 16 mars @ 18h00 : Maxime Frappier, ACDF* Architecture, "Architecture et Mouvement" Je sais que certains d'entre-vous avez participé l'année dernière et que certains projets ont été relayés ici. Je me permets de faire la promotion de mon évènement avec vous parce que je sais qu'il saura vous rejoindre en tant que passionnés de Montréal. Je serais très content de voir une équipe MTLURB, ou d'autres contributions à titre personnel! Il y a 2000$ à gagner en prix, dont 1 grand prix de 1000$. Vous pouvez me contacter en message privé, ou encore nous envoyer un courriel pour toute question ou inscription. Merci, et bonne chance aux futurs participants!! Simon Tremblay Responsable du jury Morphopolis 2017
  3. Ceci peut paraitre anodin pour certain, mais j'ai travaillé en gestion de portefeuille pour l'industrielle alliance en tant qu'étudiant (stage d'été) en 2002. À ce moment la compagnie avait +/- $8 milliards en actif sous gestion. Avec cette transaction, elle passe maintenant à $75 milliard, donc presque 10 fois plus en 14 ans. Excellente croissance. L'Industrielle Alliance rachete HollisWealth a la Banque Scotia | Services financiers Publié le 05 décembre 2016 à 17h59 | Mis à jour le 05 décembre 2016 à 17h59 L'Industrielle Alliance rachète HollisWealth à la Banque Scotia Le groupe financier Industrielle Alliance a annoncé lundi avoir conclu une entente qui lui permettra de racheter la firme de conseil HollisWealth des mains de la Banque Scotia. Selon le chef de la direction de l'Industrielle Alliance, Yvon Charest, l'acquisition fera l'assureur de Québec «une des plus grandes firmes-conseils non bancaires en gestion de patrimoine au Canada», avec des actifs sous gestion totalisant 75 milliards $. HollisWealth compte des actifs sous gestion atteignant 34 milliards $, en plus de 800 conseillers autorisés, 400 000 comptes actifs de clients et plus de 300 bureaux au Canada. La firme était passée sous le giron de la Banque Scotia en 2011, lorsque cette dernière avait acquis DundeeWealth, qui comprenait en outre la firme de gestion d'actifs Dynamic Funds. Dynamic ne fait pas partie de la transaction annoncée lundi et restera chez la Scotia. Le prix de l'acquisition dépendra de la valeur de l'actif sous gestion au moment de la clôture de la transaction, laquelle est prévue pour le troisième trimestre de l'an prochain. L'opération sera financée à même les liquidités de l'Industrielle Alliance, ainsi qu'à l'aide d'une émission d'actions ordinaires. À ce sujet, l'Industrielle Alliance s'est entendue avec un syndicat de preneurs fermes dirigé par Valeurs mobilières TD sur l'achat de 2,5 millions d'actions au prix de 55,65 $ chacune, pour un produit brut de 139 millions $. Une option de surallocation pourrait augmenter ce produit brut de 13,9 millions $. La clôture du placement devrait avoir lieu vers le 14 décembre. L'action de l'Industrielle Alliance a clôturé la séance de lundi en baisse de 21 cents à la Bourse de Toronto, à 56,78 $.
  4. Ce projet est passé sous le radar de mtlurb! Le lancement a lieu demain. Je suis très très très excité par cette "2e phase" du projet Héritage. On l'attendait depuis bien longtemps! Les architectes sont Sid Lee. Je m'attends à quelque chose d'incroyable! http://5quai.com/fr/
  5. Anatomie d'un double crime or Marshland La isla minima c'est le titre en espagnol Tres bon film qui a sorti la semaine passée a Montréal. Je l'ai vue l'an passé en Espagne. Film policier qui se situe dans les année 80 juste après les années Franco. L'action se déroule sur une ile dans une region marécageuse du sud de l'Espagne en andalousie dans le parc naturel de la Doñana. Ce qui caracterise ce film surtout c'est sa photographie avec des images incroyables. Ce film a gagner 10 prix Goya en 2015 (Les oscars espagnol) A voir si vous aimer le cinéma en général. En version original espagnol avec sous titres français Anatomie d'un double crime Cinema Beaubien, Cinema quartier Latina , Cinema Pont Viau En version original espagnol avec sous titres anglais. Marshland Cinema du Parc et Cinema Forum http://www.cinemamontreal.com/films/marshland-2014/videos/201694
  6. L'hôtel Hilton Montréal Bonaventure changera bientôt de propriétaire et de nom. Mis en vente à l'été 2013 par SilverBirch Hotels & Resorts, l'hôtel a enfin trouvé un acheteur, l'hôtelier Claude Chan, président du groupe Kejja, déjà actionnaire de l'hôtel Le Concorde à Québec, qu'il a acquis l'été dernier. L'annonce officielle sera faite aujourd'hui et le changement de main devrait survenir au printemps. L'hôtel sera ensuite exploité sous le nom Hôtel Bonaventure. Est-ce que quelqu'un a entendu parler de ce changement ? Si cette nouvelle est officielle, cela sous-entend que Hilton pourrait prévoir de construire un nouvel édifice ? [url=]http://www.montrealinfo.com/fr/nouvelles/2015-02-04/passage-de-relais[/url]
  7. Secteur Bellechasse: un vaste terrain à s'approprier Danielle Bonneau La Presse Selon une des équipes qui ont participé à l'atelier de design urbain, le viaduc Rosemont-Van Horne pourrait être entouré d'un parc, au même niveau. Il deviendrait une rue surélevée, avec deux larges traverses piétonnes. Sous le parc et sous la rue surélevée pourraient notamment être aménagés une piscine, des gymnases et un centre communautaire. Illustration fournie par NIP Paysage et ACDF Adieu site industriel gris et rébarbatif. Les environs du viaduc Rosemont-Van Horne devraient être verdis et être accessibles aux piétons et aux cyclistes, suggèrent à l'unanimité les quatre équipes qui ont participé à l'atelier de design urbain consacré au secteur Bellechasse. Elles seront présentes au Théâtre Plaza, le 26 novembre prochain, pour présenter leurs propositions. Pendant quatre jours, les participants se sont creusés les méninges pour revitaliser le vaste quadrilatère bordé au nord par la rue de Bellechasse, au sud par des voies ferrées, à l'ouest par le boulevard Saint-Laurent et à l'est par la rue Saint-Denis. Le but? Créer un milieu diversifié avec au moins 1500 nouveaux logements, des commerces et entreprises générant des emplois dans un environnement vert. Installés au 5800, rue Saint-Denis, dans un immense local situé au 12e étage, ils avaient une vue superbe sur le territoire à métamorphoser. Loin de se laisser rebuter par la présence des voies ferrées et du viaduc Rosemont-Van Horne, tous ont cherché à en tirer profit. L'équipe formée de l'Atelier In Situ, Vlan Paysages, Nik Luka et Kim Letendre, par exemple, se sert des voies ferrées pour réactiver le quartier et enrichir le transport en commun. Elle propose d'intégrer une gare intermodale liant le train de banlieue, le métro et les autobus. Le viaduc? Il n'est plus uniquement réservé aux automobilistes. Cyclistes et piétons peuvent circuler sur deux des quatre voies. Le viaduc étant surélevé, il devient un belvédère. «C'est un atout», souligne Micheline Clouard, architecte paysagiste associée chez Vlan Paysages. Un parc glisse par ailleurs en dessous, de même que sous la voie ferrée. Des «bâtisserelles» Le viaduc est verdi et démoli en partie dans la proposition de l'équipe composée des firmes Catalyse urbaine, Affleck + de la Riva et Blouin Tardif. Couvert d'un tapis de verdure, il s'arrête net en sa partie la plus élevée pour offrir une vue superbe sur le mont Royal et la nouvelle forêt urbaine plantée le long de la voie ferrée. Les autobus de la Société de transport de Montréal (STM), actuellement en biais avec la station de métro Rosemont, déménagent à côté du 5800 Saint-Denis dans un immense bâtiment recouvert de verdure, sur lequel les passants pourront se promener. C'est une des deux «bâtisserelles» aménagées pour faciliter la circulation à travers le site. Les firmes NIP Paysage et ACDF, qui forment la troisième équipe, misent aussi beaucoup sur la verdure pour tisser des liens entre les arrondissements de Rosemont-La Petite-Patrie, du Plateau-Mont-Royal et d'Outremont. Un nouveau parc est implanté tout autour du viaduc, au même niveau. «Il devient une rue surélevée, qui inclue deux larges traverses piétonnes», précise Michel Langevin, architecte paysagiste chez NIP Paysage. Sous le parc et sous la rue surélevée sont notamment aménagés une piscine, des gymnases et un centre communautaire, au bénéfice commun des résidants des arrondissements de Rosemont-La Petite-Patrie et du Plateau-Mont-Royal. Quant à la quatrième équipe, formée des firmes Bosses Design et Orange Tango, elle tire profit de l'espace sous le viaduc pour y aménager un vaste parc. Deux traverses piétonnes, sous la voie ferrée et au même niveau qu'elle, facilitent l'accès aux quartiers voisins. Rue Saint-Denis, les autobus de la STM demeurent au même endroit. Garés dans un vaste garage en pente, en partie souterrain, les véhicules sont visibles et animent l'artère. L'atelier de design urbain s'inscrivait à l'intérieur du processus, amorcé en septembre, pour revitaliser le secteur Bellechasse. «La réflexion effectuée par chacune des équipes nous permettra de sortir des sentiers battus», indique André Lavallée, maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie. Les équipes présenteront leurs propositions le 26 novembre prochain, à 19h30, au Théâtre Plaza, situé au 6505, rue Saint- Hubert. Le programme particulier d'urbanisme (PPU) du site sera élaboré au cours de l'hiver prochain. Il devrait être soumis à une consultation publique au printemps. Différentes propositions http://galeriedephotos.montoit.ca/index.php?t=&a=150&m=mt
  8. http://maison.lapresse.ca/habitation/immobilier/201406/02/01-4772070-coproprietes-a-lere-des-stationnements-superposes.php En copropriété, les stationnements souterrains se multiplient. Et pour garer davantage de voitures dans le même espace, de plus en plus de stationnements automatisés sont installés. Cette pratique est courante ailleurs dans le monde. Ici, on commence à avoir recours à ces plateformes métalliques superposées, qui descendent et montent, ce qui permet de doubler ou de tripler le nombre d'automobiles. Au St-Dominique, dans le Quartier des spectacles, les copropriétaires utilisent depuis peu un pareil système. Sous l'ancienne Brasserie Ekers, construite en 1894 sur le boulevard Saint-Laurent, il était en effet délicat de creuser à outrance. «Il n'y avait pas de place pour tourner et installer une rampe d'accès, explique Thomas Robert Reiner, président du Groupe TRRIA, associé avec DevMcGill pour transformer l'immeuble centenaire. Architecte et urbaniste, M. Reiner s'est intéressé aux stationnements automatisés, devenant le distributeur exclusif au Québec des produits de l'entreprise allemande Klaus, présente dans plus de 65 pays. Le premier système de l'entreprise en sol québécois a ainsi été installé au St-Dominique. Trente voitures peuvent y être garées, dont 24 sur des plateformes métalliques superposées. Douze voitures trouvent donc place sur chacun des deux niveaux. «Cela a sauvé le projet, estime M. Reiner. Quand des gens paient plus de 300 000 $ pour un condo, ils veulent une place de stationnement!» Sans compter les normes minimales imposées par les arrondissements et les municipalités, qui doivent être respectées. Sinon, une somme déterminée doit être versée à un fonds de compensation pour l'achat ou l'aménagement d'immeubles servant au stationnement, ailleurs sur le territoire. «On en verra de plus en plus, estime Sylvain Villeneuve, chef de la division de l'urbanisme de l'arrondissement de Ville-Marie. Il faut des espaces de stationnement pour les résidants. Cela ne veut pas dire qu'ils utilisent leur voiture tous les jours. De tels systèmes occupent moins d'espace et fournissent une solution à un problème. Ils donnent une plus grande flexibilité, surtout aux promoteurs qui transforment des bâtiments existants.» Trente pieds sous terre Rue Sherbrooke Ouest, de biais avec le Musée des beaux-arts, la métamorphose d'un édifice de 11 étages datant des années 60 en un chic immeuble en copropriété soulève plusieurs défis, dont l'aménagement du stationnement souterrain. Comportant 39 luxueux condos, L'Oro se doit d'offrir le plus de places possible à sa clientèle fortunée, qui débourse en moyenne 780 $ le pied carré (taxes en sus), révèle John Palumbo, de l'Atelier d'architecture Saroli-Palumbo, qui réalise la transformation avec le Groupe MaxEra et Les Immeubles Zamora. Trois niveaux de stationnement ont été excavés à une trentaine de pieds de profondeur. Les deux niveaux supérieurs du stationnement souterrain seront classiques, tandis qu'en dessous, un autre système entièrement automatique de la firme Klaus permettra de doubler le nombre d'automobiles. Résultat: 64 voitures pourront être garées. «Dans le stationnement automatisé, les autos se déplaceront verticalement et horizontalement, l'une par-dessus l'autre, comme dans une machine distributrice, explique M. Palumbo. Chaque voiture aura son emplacement et sera déposée à son endroit à elle.» Ce type de stationnement est accueilli avec un peu d'hésitation, constate-t-il. Aussi coûte-t-il 10 000 $ de moins (75 000 $) que les places traditionnelles (85 000 $). Coût astronomique À Westmount, le promoteur Roland Hakim installera un système de la société Kawasaki Trading, afin d'offrir 110 places de stationnement aux copropriétaires du Selby. Il s'agit, pour l'immeuble presque centenaire, d'un second changement de vocation. «Le coût pour creuser dans le roc et faire les rampes afin de faciliter la circulation aurait atteint 100 000 $ par place, précise l'ingénieur. C'était impensable. Nous vendons les places 40 000 $ chacune et nous ne faisons pas d'argent. «Les copropriétaires aiment l'idée, poursuit-il. Les frais reliés au stationnement seront moindres, puisque moins d'énergie sera requise pour la ventilation, le chauffage et l'éclairage. Ce sera aussi moins polluant que plusieurs étages sous terre!» Des promoteurs qui construisent des immeubles en copropriété entièrement neufs envisagent aussi d'avoir recours au stationnement automatisé. C'est le cas de Développement MAP, pour la deuxième phase du complexe MÙV Condos, dans Rosemont. «Nous aurons deux étages de stationnement souterrain, mais nous craignons d'être un peu serré, explique Mario Roy, vice-président planification et construction. Un tel système nous permettrait d'ajouter une trentaine de places et de satisfaire tout le monde.» Il faut les caser quelque part, ces voitures!
  9. Voici un projet qui nous est passé sous le nez. C'est un beau petit projet, très bien situé sur le bord du canal et près du Centre Gadbois. Il est d'ailleurs sur le meme terrain qu'un autre projet de Mondev qui est terminé: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/18812-St-Henri-Zone-C-4-4?p=134046#post134046 Celui-ci a 6 étages et est en location. Je ne croyais pas qu'il était si avançé dans sa construction, c'est très rapide, probablement parce que c'est de la location. http://www.mondev.ca/condo-montreal-les-berges-du-canal-en-location-face-au-canal-lachine.html?ProjetID=117
  10. Selon une nouvelle émise par le Journal La Presse, la Raffinerie Shell de Montréal-Est serait sur le point d'être sous les piques des démolisseurs. Cette raffinerie, fondée en 1932, constitue un patrimoine culturel important pour le Québec puisqu'il s'agit de la seule unité de raffinage du pétrole ayant une aussi grande profondeur historique. Dans le paysage de Montréal depuis 80 ans, la raffinerie pourrait disparaitre dans les prochains mois. Cette mauvaise nouvelle reste encore floue sur la quantité de démolition. Est-ce qu'il y aura des efforts de conservation des bâtiments de briques rouges sis sur la rue Sherbrooke-Est ?! Est-ce que nous pourrons conserver au moins une unité de la raffinerie afin de rendre hommage à cette époque industrielle pétrolière dans l'Est de Montréal ? Bref, que des questions à se poser sur le sujet ! (1932-2012) Shell: la démolition de la raffinerie va commencer Les travaux de démantèlement et de démolition de l'ancienne raffinerie de Shell à Montréal-Est débuteront sous peu, a annoncé mardi la multinationale. Dans un communiqué, Shell a indiqué avoir choisi l'entreprise de services environnementaux Delsan-AIM, de Montréal, pour effectuer les travaux, dont les coûts n'ont pas été divulgués. Dans le cadre de l'entente, Delsan-AIM achètera puis revendra les réservoirs, la tuyauterie et les autres équipements de raffinage ayant une valeur marchande en vue de leur réutilisation ailleurs dans le monde. Les éléments qui ne trouveront pas preneur seront recyclés. Shell et Delan-AIM prévoient que les travaux s'échelonneront jusqu'à la fin de 2014. Quant à la restauration du terrain de la raffinerie, elle doit avoir lieu au printemps 2013. Québec a autorisé le démantèlement de la raffinerie en juin 2011. Le gouvernement avait conclu que la fermeture des installations n'allait pas entraîner de pénurie puisque les deux autres raffineries de la province ont une capacité totale de 400 000 barils par jour, soit 40 000 barils de plus que la consommation québécoise quotidienne. La raffinerie de Shell, qui a cessé ses activités en novembre 2010, donnait du travail à environ 800 personnes. Le syndicat des employés a multiplié les efforts pour bloquer sa fermeture, mais en vain.
  11. (13/04/2007) Les Montréalais pourraient bientôt aller magasiner sous le viaduc du boulevard Notre-Dame. Le maire de Montréal a laissé échapper cette information hier, lors de sa conférence de presse sur la démolition de l'autoroute Bonaventure. Gérald Tremblay commentait alors le projet de transformer le viaduc du CN en galerie marchande et s'est permis un parallèle avec celui de Notre-Dame. Le viaduc Notre-Dame a été conçu pour accueillir des commerces sous sa structure. Mis à part les trois arches de métal qui délimitent les rues qui se rendront au fleuve, le reste de l'ouvrage est en béton et peut facilement s'adapter à une vocation commerciale. La construction de nombreuses unités d'habitation tout autour du viaduc amène la Ville à soutenir l'implantation de commerces de quartier à cet endroit. «Il y a un promoteur qui s'appelle Télémédia qui a acheté la gare Viger pour neuf millions de dollars. Il y a un financement international très important et, dans les plus brefs délais, on va annoncer un projet. Et vous allez voir, ce qui était prévu il y a un certain nombre d'années va se réaliser», a laissé entendre le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Développement Télémédia s'est refusé à tout commentaire, prétextant que l'annonce était prématurée et qu'une conférence de presse sera convoquée en mai sur cette question. La compagnie qui souhaite développer ce quartier s'est associée à deux autres investisseurs européens. Déjà, on sait qu'elle veut transformer l'ex-gare Viger en hôtel de luxe et construire des tours d'habitation dans le stationnement de l'ex-gare. Dans les années 90, l'ex-maire Jean Doré avait proposé un projet semblable, mais rien n'avait été fait.
  12. Réfections bienvenues au Boulevard St-Laurent sous le Viaduc Van Horne. [video=youtube_share;loXUmB9c1dQ]
  13. Réfection d'un parc dans la Petite-Bourgogne. Des images de plus grandes tailles sont disponibles sur le site. https://maps.google.com/maps?q=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.489502,-73.573573&spn=0.003941,0.010568&sll=45.48559,-73.556471&sspn=0.01718,0.042272&oq=petite-&hq=Petite-Bourgogne,+Montr%C3%A9al,+QC,+Canada&t=h&z=17
  14. LED

    Métro du Saguenay

    Aujourd'hui sur le site de Radio-Canada, pour souligner la semaine du transport collectif, on demande aux gens ce qu'ils voient devenir le prochain métro du Saguenay: «Et si Montréal n'était pas la seule ville au Québec à posséder un métro? Pour souligner la Semaine des transports collectifs et actifs, nous nous sommes demandé à quoi pourrait ressembler le réseau du métro de la ville de Saguenay s'il voyait le jour. Selon les nombreuses personnes consultées, le métro de Saguenay pourrait ressembler à deux boucles qui se rejoignent sur le boulevard Talbot à la hauteur des centres commerciaux. Ainsi, les usagers circuleraient aisément de Jonquière à Chicoutimi et à La Baie, en passant par les alumineries, l'université, les cégeps, l'hôpital et la zone portuaire. Cette illustration est une autre façon de visiter Saguenay en insistant sur les lieux où vivent les citoyens. À vous maintenant... Dites-nous à quoi devrait ressembler votre métro. Faites-nous part de vos commentaires et vos suggestions.» Avez-vous des idées? Pour ma part, je ne vois pas ce métro comme étant sous terre mais bien hors terre. Ce serait trop couteux et inutile sous terre. http://www.radio-canada.ca/sujet/visuel/2012/09/13/004-metro-virtuel-saguenay.shtml
  15. Sous le thème « Startups essentielles » - La deuxième édition du Festival international du Startup se tiendra à Montréal du 11 au 13 juillet 2012 MONTRÉAL, le 20 juin 2012 /CNW Telbec/ - Reconnue pour la vitalité de ses festivals et la créativité de ses jeunes entreprises, Montréal est un endroit de choix pour la tenue du Festival international du Startup (Startupfest). Axé sur l'entrepreneuriat dans le domaine des nouvelles technologies, l'événement attire les créateurs, les entreprises en démarrage (startups), les investisseurs et les clients de cette nouvelle économie qui affluent des quatre coins du monde. Lancé l'an dernier, le festival tiendra sa deuxième édition du 11 au 13 juillet prochain et réunira des grands noms du domaine, tels que Dan Bricklin, Paul Mockapetris, John Wood, Stowe Boyd, Dave McClure, Howard Lindzon et Craig Walker. Ce festival offre aux participants une occasion en or de rencontrer de brillants joueurs de la scène internationale du démarrage d'entreprises technologiques. Centré sur les secteurs chauds, comme la mobilité, les jeux électroniques et les réseaux sociaux, le festival aborde aussi les technologies propres, l'éducation, les soins de santé et bien d'autres domaines. Sous le thème « Startups essentielles », l'édition 2012 rassemble les investisseurs visionnaires d'aujourd'hui et les entrepreneurs anticonformistes de demain au cours d'un événement qui est en passe de s'imposer comme un creuset de nouvelles idées et de maillage. Ces trois jours seront remplis de conférences inspirantes, d'exposés éclair, d'expositions, d'ateliers, de débats sur des questions d'avenir, mais aussi d'activités divertissantes et de prix en argent. Bref, le festival offre aux participants de multiples possibilités de réseautage professionnel, tout permettant de s'amuser en bonne compagnie. La liste des conférenciers se trouve au http://www.startupfestival.com. « Notre objectif est toujours d'informer, d'inspirer et de divertir », explique Philippe Telio, fondateur du Festival international du Startup. « L'an dernier, l'événement a attiré plus de 1 100 personnes du monde entier. Puisque cette année nous attendons des autobus nolisés de New York et de Québec, des trains de Waterloo et de Toronto, ainsi que des vols d'un peu partout dans le monde, l'édition à venir promet de remporter un succès retentissant sur la scène montréalaise et bien au-delà. » De plus, le Festival international du Startup a fait équipe avec le Festival Juste pour rire pour présenter des activités festives, comme ces exposés éclair (qu'on appelle aussi en anglais elevator pitches) et qui seront justement présentés dans un ascenseur, des jurys formés de grands-mères et toute une panoplie d'autres activités amusantes - une rareté dans la plupart des événements d'affaires. « Microsoft s'est engagée à accélérer le succès de jeunes entreprises innovatrices », a déclaré Christian Beauclair, gestionnaire supérieur, Groupe développement et plateforme, chez Microsoft Canada. « Il n'existe pas de meilleurs endroits que le Festival international du Startup pour découvrir une foule d'entrepreneurs et d'acteurs de l'industrie réunis sous un même toit au même moment. Ce festival est une formidable occasion pour nous d'entrer en contact avec des gens aux idées originales et de leur offrir l'accès aux outils de développement de Microsoft et à un écosystème qui les aident à démarrer leur entreprise. » Métropole multiculturelle, Montréal entretient une affinité naturelle pour la créativité et les nouvelles technologies et représente un environnement idéal pour les échanges entre les investisseurs, les créateurs, les développeurs et les entrepreneurs de la planète. Le fait que le Festival international du Startup se tienne encore une fois à Montréal est certainement gage de succès. L'édition 2012 du Festival international du Startup est parrainée par Microsoft, un commanditaire de niveau platine. L'événement s'échelonne sur trois jours, soit du 11 au 13 juillet 2012, à la gare maritime Iberville du quai Alexandra dans le secteur historique du Vieux-Port de Montréal. Renseignements : Philippe Telio Festival international du Startup (514) 303-7546 phil@startupfestival.com Twitter: @ptelio and @startupfest http://www.newswire.ca/fr/story/996177/sous-le-theme-startups-essentielles-la-deuxieme-edition-du-festival-international-du-startup-se-tiendra-a-montreal-du-11-au-13-juillet-2012
  16. Investissement Luc Poirier développe actuellement un important complexe résidentiel sur le territoire de Laval. Le projet vise la construction de plus de 2,000 unités de condos intégrées à une tour de 60 étages et à des immeubles adjacents. Le projet est élaboré avec des partenaires majeurs sous la responsabilité desquels est placée l’intégration harmonieuse de différentes composantes commerciales et récréotouristiques d’envergure. http://www.investissementlucpoirier.com/
  17. Le Centre sur la biodiversité s'installera dans un nouvel immeuble, au coeur même du Jardin botanique La construction du nouvel édifice qui logera le Centre sur la biodiversité est le fruit d'un partenariat entre la Ville de Montréal et l'Université de Montréal. Il tiendra lieu de plateforme internationale pour le domaine de la biodiversité. Le bâtiment sera conçu selon les normes environnementales LEED (Leadership in Energy and Environmental Design), adaptées par le Conseil du bâtiment durable du Canada. Sur quatre niveaux, il logera des laboratoires de réception des échantillons, d'enseignement et de recherche de haute technologie, des bureaux et des salles d'exposition. L'Université donnera sous peu le coup d'envoi aux soumissions publiques pour la construction du bâtiment. Inauguration prévue en 2010 Gestionnaire du projet, Direction des immeubles: M. Louis Mathieu, directeur des grands projets http://www.di.umontreal.ca/centrebiodiversite.html
  18. Mise à jour le vendredi 15 juillet 2011 à 7 h 47 HAE C'est par un vote unanime, jeudi, lors d'une séance extraordinaire, que le projet modifié de train léger a été adopté par le conseil municipal d'Ottawa. Le projet du maire Jim Watson, qui ne devrait pas dépasser les 2,1 milliards de dollars, comporte quelques modifications par rapport au projet initial. D'abord, le tunnel sera construit sous la rue Queen plutôt que sous la rue Albert, au centre-ville d'Ottawa, ce qui permettra de réaliser des économies, notamment en frais d'expropriation. Le tunnel sera également moins creux que ce que prévoyaient les plans d'origine. Il aura une profondeur de 4 étages, plutôt que 12. En vertu du nouveau projet d'implantation, l'entrepreneur devra assumer tous les coûts excédentaires. Il devra aussi fournir jusqu'à 400 millions de dollars pour financer une partie de la construction. Selon le maire Jim Watson, après des années d'indécision, la Ville d'Ottawa joindra finalement les autres grandes villes du monde en se dotant d'un train léger. Le système de transport devrait atténuer la congestion routière au centre-ville d'Ottawa durant les heures de pointe. Un appel d'offres devrait être lancé cet automne et le maire Jim Watson espère que le train léger sera en service en 2018. Radio-Canada.ca ------------- Pendant ce temps à Montréal au regarde nos routes qui pourrissent et qui risque de tomber à tout moment, et aucun projet de TEC voit le jour....
  19. Géothermie: Hydro-Québec vise une centrale-pilote Jean-François Cliche Le Soleil (Sherbrooke) Il n'y a pas que l'industrie des gaz de schiste qui a un oeil sur le sous-sol du sud de la province. Hydro-Québec aussi lorgne de ce côté, mais pour des raisons autrement plus «vertes» : c'est là, en effet, que la géothermie offre les potentiels les plus intéressants pour d'éventuelles centrales électriques. La société d'État vise même la construction d'une centrale-pilote pour 2015. C'est ce qu'il a été possible d'apprendre lors d'une conférence prononcée mardi au 79e congrès de l'Acfas, à Sherbrooke, par Vasile Minea, chercheur et ingénieur pour la société d'État. M. Minea y a principalement présenté l'évaluation qu'il a faite du potentiel géothermique québécois pour la production d'électricité. Intuitivement, on est porté à croire que la température est plus faible sous terre qu'à la surface, mais ce n'est vrai que jusqu'à une certaine profondeur - relativement faible, d'ailleurs - , sous laquelle la chaleur augmente. Après tout, on estime que la température du noyau de la Terre atteint 4000 °C, et celle de son «manteau» (couche d'environ 3000 km d'épaisseur située entre le noyau et la «croûte», la couche externe de 30 km), environ 1000 °C. À partir de données provenant de 980 forages pétroliers et gaziers creusés principalement entre Québec et Montréal, mais qui incluent un certain nombre de «trous» en Ontario et dans les Maritimes, Vasile Minea a colligé pas moins de 25 000 lectures de température à des profondeurs allant jusqu'à 4,4 km. Il a ainsi pu calculer qu'à 6 km, la température moyenne est de 120 °C dans le sud du Québec et d'environ 113 °C en Gaspésie et dans le golfe du Saint-Laurent. Mais il s'agit là d'une moyenne, la chaleur remontant mieux en certains endroits. Sans gaz à effet de serre Si l'on pouvait «récolter» seulement 2 % de cette énergie thermique, puis amener seulement 10 % de cette «récolte» jusqu'à la surface, puis transformer 13 % de la chaleur remontée en électricité, il y aurait moyen de produire ainsi 40 000 mégawatts (MW) de courant - soit l'équivalent de la capacité actuelle totale de production d'Hydro-Québec. Le tout, évidemment, sans gaz à effet de serre ni grandes étendues inondées. Il y a déjà quelques centrales électriques dans le monde qui génèrent de l'électricité de cette manière. Le principe, explique M. Minea, consiste à injecter de l'eau sous haute pression à grande profondeur. La pression du liquide crée ou agrandit alors des crevasses qui permettent à l'eau de circuler, et donc de recueillir la chaleur de la roche. Un second forage est percé à quelques centaines de mètres pour permettre à l'eau chaude de remonter - ce qu'elle fait à cause de la pression - , puis on en tire de la vapeur qui fait tourner une turbine. Si tout se passe bien, dit M. Minea, c'est-à-dire si d'autres études confirment l'intérêt de l'entreprise, Hydro-Québec pourrait construire une centrale géothermique dès 2015 pour tester la technologie. Mais dans tous les cas, on ne verra pas de sitôt d'exploitation à grande échelle, nuance-t-il. Projet stratégique «À Hydro-Québec, c'est vu comme un projet stratégique, projet à long terme. On vise une application pour l'horizon 2030 à 2050», dit M. Minea. Et pour cause : les coûts de pareilles centrales sont encore très loin d'être compétitifs. Construire une centrale moyenne, a calculé l'ingénieur, coûterait environ 26 millions $ sans compter les imprévus, ce qui donnerait environ 10 400 $ par kilowatt installé; par comparaison, le projet de La Romaine, sur la Basse-Côte-Nord, coûtera environ 5000 $/kW. Mais comme la technologie des forages de grandes profondeurs coûte de moins en moins cher, on peut imaginer que cette source d'énergie pourrait devenir rentable dans, disons, un «avenir envisageable». lien: http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201105/12/01-4398731-geothermie-hydro-quebec-vise-une-centrale-pilote.php
  20. Bonjour à tous... Comme annoncé précédemment, la Drink Culture TV, première web TV québécoise consacrée au vin et à la culture du vin à Montréal, organise un jeux-concours avec le festival POP MONTREAL. A gagner : des invitations pour le show de KARKWA ainsi que des rencontres d'artistes avec RADIO RADIO... Comment jouer ? Rien de plus simple. Rendez vous sur le site de la Drink Culture TV sous la rubrique ''Jeu Pop'' (http://drinkculture.tv/jeu-pop/), et inscrivez uniquement votre mail. Celui-ci sera utilisé pour un tirage au sort le 24 septembre. Je vous souhaite déjà bonne chance et vous dis à bientôt au Festival POP MONTREAL. Drink Culture TV http://www.drinkculture.tv
  21. Bombardier Produits Récréatifs (BRP) entamera sous peu la construction d’un tout nouveau centre de design et d’innovation de 15 M$ à Valcourt. D’une superficie de 54 000 pieds carrés, le nouvel édifice regroupera toutes les ressources de BRP en design sous un même toit. Ces employés travaillent actuellement à Valcourt et à Sherbrooke. BRP commencera les travaux dès ce printemps en démolissant un bâtiment pour faire place à la nouvelle construction. Cette dernière devrait être prête à acceuillir plus de 50 employés en 2008. «BRP est aux premiers rangs d'une industrie en constante évolution et où la compétition est de plus en plus forte en raison de la mondialisation, explique dans un communiqué le pdg de BRP, José Boisjoli. Dans ce contexte, il devenait primordial de regrouper nos équipes de design afin d'augmenter la synergie entre elles et ainsi accroître notre capacité de créer des produits plus innovateurs et compétitifs.» Le fabricant des Ski-Doo, Can-Am, et autres Spyder veut faire de ce nouveau centre sa vitrine technologique. La société espère d’ailleurs attirer des designers de partout au monde grâce à la convivialité accrue du nouvel édifice. En plus des équipes de design, le bâtiment abritera aussi le service des achats. En outre, l’équipe de compétition déménagera dans un autre immeuble des environs.
  22. La dette per capita sous la barre des 1200 $ par Stéphane St-Amour La dette per capita sous la barre des 1200 $ Gaétan Vandal, adjoint au directeur général, administration, de Ville Laval. Elle accapare 17 % du budget de la Ville La dette per capita sous la barre des 1200 $ Fidèle à sa tradition, la Ville empruntera en 2009 moins que ce qu'elle remboursera sur sa dette à long terme, ce qui permettra de réduire la dette per capita sous la barre des 1200 $. Quand la Ville planche sur son programme triennal d'investissement, c'est le «premier critère» qui guide son action, mentionne l'adjoint au directeur général, Gaétan Vandal. Pour réaliser ses projets de développement, la Ville financera des travaux à hauteur de 67,7 M$, alors qu'elle remboursera 70,1 M$ sur le capital d'une dette qui se chiffrerait au 31 décembre 2009 à 467,3 M$. Au chapitre des frais de financement de cette dette, il en coûtera à l'administration 38,4 M$, soit 3,5 M$ de moins qu'en 2008. Capital et intérêts confondus, le service de la dette nécessitera en 2009 un déboursé de 108,5 M$, équivalant à 17 % du budget annuel de la Ville. En dix ans, Laval a diminué la dette de 636 $ par personne, ce qui représente une réduction de 160 M$. Pour la même période, dans l'ensemble des autres villes de 100 000 habitants et plus au Québec, la dette per capita a augmenté, précise le maire Gilles Vaillancourt. «Nos efforts de réduction de la dette sont reconnus par Standard & Poor's, qui vient de renouveler la cote de la municipalité, soit AA -, avec perspective stable, la meilleure évaluation attribuée à un organisme municipal au Québec», n'a pas manqué se souligner M. Vaillancourt, ajoutant même qu'il s'agissait d'une cote supérieure à celle décernée au gouvernement du Québec.
  23. Une très bonne nouvelle en perspective. Les transactions immobilières pourraient bientôt coûter moins cher au Canada. Selon le quotidien Toronto Star, le Bureau de la concurrence du Canada a passé les deux dernières années à réviser les pratiques des professionnels de l'industrie. À la suite de cette étude, le Bureau conclut que le comportement de l'Association canadienne de l'immeuble nuit aux saines pratiques concurrentielles, et que les façons de faire doivent changer. Le Bureau de la concurrence ouvre ainsi la voie à une chute des frais de courtage immobilier au pays. La possibilité d'inscrire soi-même sa propriété sur le site des Services interagences, mieux connu sous le nom de MLS, serait aussi souhaitée. Aucun règlement ne serait encore intervenu entre le Bureau de la concurrence et l'Association canadienne de l'immeuble. L'Association canadienne de l'immeuble regroupe plus de 96 000 agents immobiliers au pays, soit la majorité des gens de la profession. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2009/11/02/002-frais-courtage-immobilier.shtml
  24. EXPOSITION UNIVERSELLE DE SHANGHAI 2010 - MONTRÉAL DÉVOILE LA MAQUETTE DE SON LIEU D'EXPOSITION En prévision de l'Exposition universelle de Shanghai 2010, Montréal a dévoilé les principaux aspects de son lieu d'exposition intitulé Espace Montréal, un lieu unique qui offrira aux visiteurs une expérience des plus spectaculaires. L'Espace Montréal sera situé dans le secteur réservé aux meilleures pratiques urbaines, une zone rassemblant une cinquantaine de villes du monde. D'une superficie de près de 500 mètres carrés, l'Espace Montréal proposera aux visiteurs de découvrir le Complexe environnemental de Saint-Michel et ses innovations technologiques par l'entremise d'une projection multimédia sur une maquette évolutive qui les fera vivre virtuellement les grandes métamorphoses de ce quartier de Montréal. L'Exposition universelle de Shanghai se déroulera du 1er mai au 31 octobre 2010 sous le thème Meilleure ville, Meilleure vie. Plus de 200 pays et organisations internationales participeront à cet événement d'envergure. Pour la première fois dans l'histoire des Expositions universelles, les villes sont invitées à y participer.
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