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  1. --------------> http://www.lactualite.com/societe/gratte-ciels-pour-petits-proprios?page=0,0 Ça vient de sortir sur la page facebook de l'actualité : https://www.facebook.com/lactualite Par contre l'article date du 16 novembre 2012, donc je ne sais pas si quelqu'un l'a déjà posté..
  2. Bonjour ! J'ai décidé hier de créer une série de photo sur l'architecture des écoles. J'adore l'architecture et j'étudie en photo, donc un des mes sujets favori en photo est l'architecture et l'urbanisme. L'architecture des écoles n'est pas ce qu'il y a de plus extraordinaires, surtout celles construites après les années 60. Dans cette série j'espère pouvoir vous faire découvrir et partager des angles de vues qui feront sortir la beauté de ces immeubles souvent en mauvaise état. Voici la première photo de cette série. Construit en 1967 par le Collège Français, ce bâtiment était un annexe pour la division primaire du collège Français jusqu'en 2000. Depuis 2000, elle abrite "L'École des Premières Lettres", une OSBL dirigé par les parents des enfants.
  3. Trois sites intéressants sur MTL... qui révèlent et vous feront apprécier Montréal. http://www.madeinmtl.com/main.php?langval=2 http://montrealstateofmind.com/ http://montrealstartup.com/blog/2009/10/28/are-we-doing-a-good-job/ Je vis à Vancouver depuis quelques mois et je peux vous dire que Montréal est edgy, en ébulition (artistiquement, culturellement ) et que votre ville adorée va se sortir de sa petite déprime récessionniste, j'en suis sûr.
  4. Le délai pour déposer un recours contre le plan de restructuration du constructeur ayant expiré, GM pourrait émerger de la faillite et repartir sur de nouvelles bases dès vendredi. Pour en lire plus...
  5. L'entrevue - Se mettre au vert pour sortir du rouge Le Devoir Fabien Deglise Édition du lundi 01 juin 2009 Mots clés : Saska Sassen, Ville, Sociologie, Crise économique, Québec (province) La crise est peut-être une bonne chose pour les villes, dit la sociologue américaine Saska Sassen La sociologue américaine Saska Sassen Sortir du marasme par l'architecture verte, l'achat local et les placements responsables. Les grandes métropoles du monde, frappées de plein fouet par la crise économique, doivent désormais faire face à leur destin. Et c'est en se convertissant au développement durable, mais aussi en tirant profit de leur caractère cosmopolite qu'elles pourraient bien trouver la source d'un renouveau, croit la sociologue américaine Saska Sassen, spécialiste des «villes globalisées». Grande théoricienne de l'urbanité, habituée des rencontres internationales sur la ville et auteure de La Globalisation, une sociologie (Gallimard), Saska Sassen n'a guère d'angoisse devant les indicateurs économiques qui dépriment. Au contraire. «Cette crise est peut-être une bonne chose, et il ne faudrait pas la gaspiller», lance-t-elle au téléphone. Le Devoir l'a jointe il y a quelques jours à son bureau de l'Université Columbia, à New York, où elle enseigne depuis plusieurs années. Pour les grands centres urbains de la planète, le coup a pourtant été très dur. En 2008, la ville de New York a dû composer avec une chute considérable de son produit municipal brut de dix milliards de dollars, en raison des soubresauts des marchés financiers et des conséquences délétères sur les économies urbaines. La même logique a coûté huit milliards de dollars à Los Angeles et n'a pas épargné non plus les grands centres financiers du globe, comme Londres, Paris, Dubaï et consorts, qui, en tant qu'«infrastructures vivantes de l'économie globale», se sont retrouvés au premier rang pour vivre la débâcle. À l'heure de la reconstruction, les espaces urbains doivent donc être soumis à une autre musique, estime l'universitaire, qui enseigne également à la London School of Economics. «Cette crise place désormais les villes devant des défis importants de reconstruction et de redynamisation, dit Mme Sassen. C'est aussi une chance pour elles de repenser leur cadre de développement pour l'inscrire désormais dans un processus de développement durable, tout en étant globalisées.» Repenser le cadre Se mettre au vert pour sortir du rouge, l'offre est audacieuse, mais impossible à refuser, selon elle. «Actuellement, il y a un risque, une tentation de ne pas construire, de freiner le développement des villes et surtout de mettre de côté les questions environnementales en raison de la crise, dit-elle. Mais c'est finalement le chemin inverse qu'il faut emprunter: les villes doivent continuer à construire et à réorganiser leur tissu urbain avec des programmes verts qui sont le meilleur moyen de leur redonner une vitalité.» Le projet est clair et son économie, redoutable. En réduisant en effet les distances parcourues pour le transport des matériaux de construction de nouveaux immeubles, en mobilisant les entreprises locales pour faire du neuf avec du vieux dans le respect des écosystèmes, en intégrant des innovations vertes -- solaire, géothermie et compagnie -- dans les nouveaux développements, par exemple, «cela va créer une énorme quantité de travail», dit Mme Sassen, qui croit aussi beaucoup aux partenariats entre le public et le privé pour tracer les nouvelles lignes du développement des villes. «Les entreprises, les communautés ont un besoin vital de la ville et de ses infrastructures» et c'est ce qui devrait motiver leur engagement dans cette conversion des territoires urbains. Ces territoires, tout en cherchant à inscrire durablement leur économie dans le local, doivent par contre continuer à conjuguer leur avenir au temps de la globalisation pour s'en sortir, croit la sociologue. «Ces deux conditions semblent contradictoires, souligne-t-elle, mais elles ne le sont pas. C'est une autre façon de penser la globalisation en appréhendant ce phénomène dans ses localisations multiples.» Localisations multiples qui prennent forme dans les villes, ces lieux cosmopolites et vivants où les grandes orientations d'une société peuvent se matérialiser. «Les gouvernements parlent, dit Mme Sassen, mais la ville peut agir.» Toutes couleurs unies Le vert, c'est bien. Mais ce n'est toutefois pas assez pour permettre aux métropoles de dessiner les contours d'une nouvelle urbanité. Contours qui devraient, selon la sociologue, s'enrichir des diversités culturelles et ethniques qui animent la ville. Et qui vont l'animer davantage à l'avenir en raison de l'exode rural induit par la crise économique. «L'immigration et l'ethnicité sont trop souvent représentées sous la forme de l'altérité», écrit d'ailleurs Saska Sassen dans son dernier livre. Or, il faut plutôt les voir comme «des processus à travers lesquels les éléments globaux se localisent et où les cultures du monde entier se déterritorialisent». Et, «au même titre que l'internationalisation des capitaux», toutes ces couleurs unies doivent du coup être considérées comme «un aspect fondamental de la globalisation aujourd'hui». Cette globalisation des villes est bien sûr imparfaite: «La ville globalisée idéale n'existe pas», dit-elle. Mais le phénomène semble toutefois mieux profiter à des métropoles de taille moyenne qui ont répondu aux sirènes de la haute finance mondialisante, sans toutefois négliger leur tissu social et le cadre de vie agréable que ce tissu peut envelopper lorsqu'il est bien entretenu. En la matière, au Canada, des villes comme Toronto, Montréal et Vancouver peuvent certainement être citées en exemple. Elles sont dans le Top 10 des villes qui réussiraient le mieux à vivre au temps de la globalisation, selon une étude que vient de terminer Mme Sassen et qu'elle se prépare à publier. Soixante-dix métropoles et 63 critères d'évaluation «objectifs» (économiques, sociaux et culturels), souligne-t-elle, étaient dans son viseur. «Alors que les villes américaines sont en crise profonde, on constate que plusieurs villes moyennes européennes ou canadiennes, elles, se portent un peu mieux. Édimbourg, Zurich, Madrid, Toronto, Montréal, Copenhague ont toutes la particularité d'avoir innové pour le bien collectif par le passé. Elles inspirent confiance et elles prouvent aussi qu'en matière de milieu urbain, il faut aller au-delà du profit.» http://www.ledevoir.com/2009/06/01/253031.html (1/6/2009 10H04)
  6. L'équipe économique de Barack Obama a annoncé samedi que le plan de relance du président élu se fixait désormais pour objectif de créer 3,5 millions d'emplois sur deux ans pour contribuer à sortir l'économie américaine de l'ornière. Pour en lire plus...
  7. Le pays est en meilleure position que d'autres pays industrialisés pour faire face à la récession actuelle et devrait en sortir plus vite, a estimé le premier ministre. Pour en lire plus...
  8. Le sauvetage temporaire des grands constructeurs automobiles américains est nécessaire, mais déjà, les 17,4 G$ US promis ne suffiront pas à les sortir de la misère. Pour en lire plus...
  9. Publié le 06 décembre 2008 à 07h32 | Mis à jour à 07h33 L'Ouest souverain ? Forget it! Patrick Lagacé La Presse (EDMONTON) Depuis que je suis devenu correspondant de La Presse en Alberta (he-hem), je suis inondé de courriels inquiets. J'aimerais vous dire que ces courriels réclament mon retour immédiat à Montréal, mais ce n'est pas le cas. On s'inquiète plutôt de la séparation de l'Ouest. Car, si vous l'ignoriez, il existe bel et bien un fond «séparatissse» dans l'Ouest canadien. Et avec cette coalition qui menace de faire tomber un gouvernement conservateur largement soutenu par l'Ouest, ça grogne. On me demande, donc: «L'Ouest va-t-il demander son indépendance?» Eh bien! J'ai fait ma petite enquête et je suis heureux de vous dire que vous pouvez ranger vos cartes de crédit. Pas besoin d'acheter des billets d'avion pour venir dire aux Albertains WE LOVE YOU, au centre-ville de Calgary, comme certains Canadiens l'ont fait à Montréal un jour d'octobre 1995. Roger Gibbins, président du Canada West Foundation, un groupe de réflexion de Calgary, est catégorique: «Depuis 30 ans, l'appui à l'idée de séparer l'Ouest du Canada n'a jamais dépassé les 4 ou 5%. Ce qui est à peu près le pourcentage de gens qui affirment qu'Elvis est encore vivant.» Je souligne ici, pour les besoins de la clarté contextuelle, que M. Gibbins parlait, bien sûr, d'Elvis Presley, le chanteur. Pas d'Elvis Gratton, fédéraliste québécois. Personnellement, je crois que les gens de l'Ouest ne veulent pas se séparer pour des raisons pragmatiques: ils sont trop heureux de pouvoir venir faire la fête à Montréal, où les bars d'effeuilleuses sont plus olé-olé, sans avoir à sortir de passeport, je crois. Ils ne veulent pas se séparer, donc. Mais ils se sentent aliénés politiquement. On appelle ça la Western alienation depuis des siècles. «L'aliénation de l'Ouest est la base de ce sentiment séparatiste, me dit Tamara Palmer Seiler, prof d'études canadiennes à l'Université de Calgary. On parlait davantage de séparation dans les années 80, après le Programme national énergétique imposé par Trudeau. Mais, politiquement, ça demeure très, très marginal.» Marginal? Le mot est peut-être encore trop généreux pour décrire l'appui réel que récolte le Western Block Party, le plus connu de ces partis, qui n'a présenté qu'une candidate en octobre dernier. Son score (dans une circonscription de Colombie-Britannique): 195 voix. «L'Ouest n'a jamais voulu sortir du Canada. L'idée n'a pas de sens: le sentiment canadien est tellement fort», résume Roger Gibbins. Fort? Il faut sortir un peu du Québec pour comprendre à quel point le sentiment canadien est absent, chez nous. (Chaque fois que j'écris un truc comme ça, des lecteurs m'écrivent pour me dire: «Vous vous trompez, monsieur, je suis très canadien, moi!») Je parle plutôt d'un sentiment collectif. D'une canadianité, si je puis dire, très visible. Je parle d'un attachement ostentatoire. Je parle de drapeaux canadiens immenses qui flottent au vent, dans les parkings de stations-service ou de centres commerciaux. Dans l'Ouest, l'aliénation s'est historiquement traduite par un désir de faire souffler un vent d'ouest sur Ottawa. Quand le Reform Party a été fondé, Preston Manning a bien symbolisé l'état d'esprit de ses troupes: «The West wants in.» L'Ouest veut jouer. Et non pas The West veut sacrer son camp. L'aliénation de l'Ouest, note la professeure Palmer Seiler, n'est pas un phénomène canadien. «L'Ouest américain aussi s'est longtemps senti laissé pour compte par Washington. Ça vient, je crois, avec le fait d'être une terre nouvelle.» Robert Gibbins, comme bien des gens de l'Ouest, a accueilli la prorogation du Parlement avec satisfaction. Il voit la manoeuvre coalisée comme «une tentative de changer les règles du jeu politique», au détriment de l'Ouest. «Mais si la coalition devait réussir à prendre le pouvoir, les quatre provinces de l'Ouest pourraient adopter une stratégie inspirée du Bloc québécois. Personnellement, j'en serais peiné. Mais des gens pourraient se dire que, si le Bloc a du succès avec une stratégie «Québec d'abord», une stratégie «l'Ouest d'abord» pourrait aussi fonctionner, puisque c'est ce que la politique commande.» Y a-t-il une réaction anti-Québec dans l'Ouest, à cause de cet appui du Bloc à une coalition honnie dans ce coin du pays? Hier, à la radio de Radio-Canada, l'Association canadienne-française de l'Alberta assurait ne pas avoir encore eu connaissance d'un ressac contre les francophones. «Depuis 10, 12 ans, le Québec était à peu près disparu du radar politique, dans l'Ouest, selon Roger Gibbins. Il y avait de l'indifférence, pas de l'hostilité. Quand Harper a fait des gestes pro-Québec, comme la reconnaissance de la nation, personne ici n'a rechigné. Là, avec l'appui du Bloc à la coalition, oui, il y a une réaction. Mais elle est contre le Bloc québécois, pas contre les Québécois.»
  10. La décision de Quebecor World d'acheter une nouvelle presse pour l'impression d'encarts publicitaires a fait sortir de leurs gonds les dirigeants de Quebecor. Pour en lire plus...
  11. mtlurb

    Vancouver écope

    Si Montréal semble bien se sortir de la crise pour l'instant, la situation est différente à Vancouver. En milieu d'année, le Port de Vancouver avait déjà vu le volume total des marchandises manutentionnées reculer de 5% par rapport à un an auparavant. Pour en lire plus...
  12. La majorité démocrate du Sénat américain sortant a proposé lundi soir un plan de relance de 100 milliards $ pour aider l'économie américaine à sortir de la crise. Pour en lire plus...
  13. Les dirigeants du G20, réunis en sommet extraordinaire dans la capitale américaine, se sont mis d'accord hier sur un vaste plan d'action destiné à réformer la finance mondiale et à sortir le monde de la crise actuelle. Pour en lire plus...
  14. Les pays du G20 s'entendent sur un plan d'action pour sortir de la crise économique qui sévit présentement à la grandeur du globe. Pour en lire plus...
  15. Celui-ci a également affirmé qu'il est «certain» que l'économie du pays finirait par sortir «renforcée» de la crise. Pour en lire plus...
  16. Réunis d'urgence à Washington, les ministres des Finances des sept pays les plus industrialisés élaborent un plan commun pour sortir le secteur financier de la tourmente. Pour en lire plus...
  17. La banque Suisse pourrait encore sortir le couperet dans leurs services de banque d’investissement, revenus fixes et marchés financiers lors de leur assemblée des actionnaires qui se tiendra demain. Pour en lire plus...
  18. Vous est-il déjà arrivé de sortir d'une réunion avec la vague impression d'avoir perdu votre temps? Si c'est le cas, c'est que la réunion était mal préparée. Pour en lire plus...
  19. Les États-Unis vont sortir 250 000 barils de pétrole de leurs réserves stratégiques pour faire face aux perturbations dans l'approvisionnement causées par le passage de l'ouragan. Pour en lire plus...
  20. Par sa décision de sortir de la location, à compter de vendredi, GM Canada provoque toute une commotion dans le marché de l'automobile. Pour en lire plus...
  21. La compagnie irlandaise a prévenu que le pétrole cher risquait de la conduire à une perte cette année, tout en assurant que sa maîtrise des coûts lui permettrait d'en s'en sortir mieux. Pour en lire plus...
  22. Le PDG Richard Fuld souhaiterait ainsi protéger Lehman Brothers contre d'éventuels prédateurs, attirés par la chute de la valeur de l'établissement. Pour en lire plus...
  23. J'en rajouterai d'autres prochainement... La ville en hiver avec les décorations de Noël c'est une occasion que je ne peux pas rater! Je dois me dépêcher avant qu'ils les enlèvent ou que la neige fonde... Il n'y en a pas beaucoup comme il faisait très froid et que c'est laborieux de sortir le trépied à chaque fois (ou presque)
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