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  1. What you guys think? Would look really nice. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201606/16/01-4992539-inquietudes-sur-un-lancer-de-lanternes-au-sommet-du-mont-royal.php Sur papier, l'idée peut sembler séduisante : relâcher simultanément des milliers de lanternes chinoises dans le ciel de Montréal depuis le sommet du mont Royal. En pratique, la Ville de Montréal craint qu'un tel événement prévu lundi soir ne représente un important risque d'incendie.
  2. Voir le lien... C'est le sous-ministre responsable de la région de Montréal au MTQ qui a fait la présentation au sommet immobilier de Mtl le 20 mars dernier. http://www.realestateforums.com/montrealref/docs/2012%20PPTs/JacquesFilion.pdf
  3. Salut Jack ! Il sera décédé au sommet de son histoire. Il peut être fier de ce qu'il aura accompli.
  4. http://www.ecocity2011.com/accueil/default_f.asp Les personnes. L’écologie. L’urbanité. Cap vers les écocités. Le programme du Sommet s'appuiera sur les travaux des Sommets mondiaux Écocité antérieurs, en plus de présenter de nouveaux thèmes de conférences, des méthodes participatives ainsi que des projets qui survivront au-delà de la durée du Sommet. La conception et le contenu détaillé du Sommet mondial Écocité seront élaborés en collaboration avec des partenaires locaux et internationaux. Un effort particulier sera fait pour que l'expertise écologique urbaine particulière de Montréal soit mise de l'avant. THÈMES TRANSVERSAUX PARCOURS DE LA CONFÉRENCE Thèmes transversaux Le programme du Sommet mondial Écocité est organisé autour de six thèmes transversaux qui permettront d’examiner la recherche de pointe et de présenter des solutions concrètes qui contribuent à l'élaboration et à la gestion des écocités. Tous les intervenants présenteront des conférences portant sur leur propre domaine d'expertise et expliqueront la relation entre leur travail et la vaste gamme de problèmes sociaux, économiques et biophysiques qui font partie intégrante de la notion d’écocité. Des panels multidisciplinaires spéciaux, qui se concentreront sur les liens entre les différents thèmes, ont été mis sur pied afin de donner un aperçu holistique des principes à la base des écocités. Ils traiteront notamment de la conception de bâtiments verts pour les collectivités durables; de nouvelles technologies pour élaborer des infrastructures écologiques, comme l’amenée de résidus vers les centrales d'énergie; de l’élaboration de solutions d'écomobilité; de stratégies économiques pour soutenir les écocités; et de l’engagement citoyen ainsi que de la prise en charge par la population. Notre objectif: un programme commun afin de construire des écocités. Les participants à la conférence auront la possibilité d'étendre leurs réseaux, d’apprendre à partir de recherches novatrices et d’expériences faites ailleurs dans le monde, de contribuer à la réflexion sur les écocités et à l’évolution du mouvement des écocités et, finalement, de repartir avec de nouvelles connaissances, des outils et des approches qu’ils pourront adapter à leurs propres villes et pays. CHANGEMENTS CLIMATIQUES ET ÉCOCITÉ Les villes doivent faire partie de la solution aux changements climatiques : jusqu’à 70 % des gaz à effet de serre (GES) sont produits dans les villes qui accueillent plus de 50 % de la population mondiale. Une écocité pourra faire face aux changements climatiques en relevant les défis relatifs à l’étalement urbain, au transport collectif, à la réduction et la valorisation des matières résiduelles ainsi qu’aux normes, aux matériaux et au design des bâtiments. Les écocités deviendront plus flexibles pour s’adapter aux menaces et aux risques accrus encourus par les infrastructures à la suite des changements climatiques. Les sessions prévues dans cette thématique aborderont comment les écocités peuvent faire face aux défis des changements climatiques. Parmi les sous-thèmes : combiner les stratégies d’atténuation et d’adaptation pour faire face aux changements climatiques; logements, aménagement urbain et changements climatiques; l’économie des changements climatiques dans les villes : impacts et opportunités. Les fournisseurs de technologies permettant de réduire les émissions de GES dans les villes seront particulièrement intéressés par ce sujet. ÉCOMOBILITÉ, AMÉNAGEMENT URBAIN ET ESPACE PUBLIC Comment devrions-nous organiser les villes et les banlieues pour permettre l’écomobilité ? Comment pouvons-nous activer l’espace public ? Les villes et les banlieues sont des entités dynamiques, en constante transformation. Sans cesse, comme tout écosystème, elles sont étalonnées et adaptées à leurs populations changeantes. Les qualités de transformation des régions urbaines présentent des défis et des opportunités. De nombreuses régions métropolitaines sont dépendantes de la voiture, car elles ont été construites et reconstruites pour favoriser l’automobile. D’autres modes de transport, comme la marche et la bicyclette, sont non seulement peu favorisés, mais sont souvent dangereux. Nous n’avons toujours pas réussi à éliminer les approchantes prédominantes en aménagement qui ont mené à ce que tant d’espace urbain soit cédé à l’automobile. Un objectif de convivialité devrait être ciblé dans la façon dont on répond aux besoins de base, tels que les logements, la nourriture, le développement personnel, les loisirs et le transport. Le défi est fondamentalement une question d’aménagement. Les sessions couvrant ce thème font explorer les questions-clés suivantes : Pourquoi et comment repenser l’aménagement de nos villes dans une perspective à long terme tout en posant des actions significatives à court terme ? Quelles sont les expériences inspirantes et les conditions de leur émergence ? Quels résultats pouvons-nous anticiper en faisant quels compromis ? Quels rôles peuvent jouer l’aménagement et le design dans le développement de stratégies réalistes pouvoir encourager la marche, la bicyclette et l’utilisation des transports collectifs et dans leur mise en œuvre ? GOUVERNANCE ET DÉMOCRATIE DANS UNE ÉCOCITÉ Transformer nos villes en écocités implique une nouvelle façon de concevoir la ville, mais aussi de la gouverner. D’une part, il faut revoir le fonctionnement des politiques publiques des municipalités et des gouvernements supérieurs pour que celles-ci s’ajustent à une vision intégrée du développement urbain durable. D’autre part, de nouvelles formes de participation citoyenne doivent être implantées afin de faire une plus large place à ceux-ci dans les processus de planification et de gestion des affaires urbaines. Les sessions couvrant ce thème seront orientées par trois sous-thèmes : la participation citoyenne, le changement social et l’innovation, le gouvernement et la gouvernance. De nombreuses questions-clés seront abordées. Quelles sont les conditions politiques et administratives du changement? Quelles sont les expériences inspirantes? L’ÉCONOMIE D’UNE ÉCOCITÉ Quel est la raison d’être du développement économique dans une écocité et comment définir les termes tels que « développement durable », « prospérité », « bien-être » et « qualité de vie » en lien avec cette notion ? Trois sous-thèmes tentent de répondre à cette question de fond. En premier lieu, comment favoriser les économies locales ? Les façons de maintenir la richesse et la prospérité au sein d’une écocité seront examinées à la lumière des modes de consommations de la population en matière de nourriture et de loisirs. Des défis importants doivent être relevés notamment en matière de financement de l’économie, confrontant la tendance vers la mondialisation, cherchant l’équilibre entre investissements publics et privés et gérant les relations entre l’écocité et les régions avoisinantes. La ville de transition et les mouvements sociaux prônant la ville post-carbone peuvent apporter de nouvelles approches instructives. En deuxième lieu, comment encourager le travail responsable dans une écocité ? Seront abordés les métiers verts et les nouveaux modes de travail possibles, tel que le partage du travail et des semaines plus courtes de travail ainsi que les secteurs les mieux adaptés à une écocité. En troisième lieu, comment gérer l’énergie et les besoins matériels d’une écocité ? Seront abordés les enjeux relatifs aux systèmes de production, de consommation et de gestion des matières résiduelles et les détails sur le fonctionnement d’une économie à faible émission de carbone. Par exemple, quelle est l’empreinte écologique d’une écocité ? Quels systèmes de gestion de l’eau et de traitement des eaux usées sont les mieux adaptés aux écocités, en prenant en compte leur situation géographique ? Comment poursuivre des objectifs permanents de croissance économique et de développement durable dans une ville écologique ? SANTÉ ET ENVIRONNEMENT BÂTI L’impact de l’environnement bâti sur la santé des individus et des populations est de plus en plus documenté tout comme l’est l’impact de la distribution inégale des ressources et services sur les inégalités sociales de santé. Il s’agit d’un nouveau champ d’étude en santé publique qui touche entre autres la qualité de l’air, les îlots de chaleur urbains, la sécurité des piétons et des cyclistes, le transport actif, la qualité de l’eau, l’obésité, les maladie cardio-respiratoires et la santé mentale. Ce thème portera plus particulièrement sur les façons de créer des aménagements urbains favorables à la santé (par exemple, agir sur la configuration des bâtiments, des rues et des trottoirs, la qualité des espaces publics, le verdissement, la promotion de l’engagement social, la cohésion sociale etc.). Parmi les sous-thèmes spécifiques : (i) les déterminants et processus sous-jacents à l’impact de l’environnement urbain sur la santé et les inégalités sociales de santé; (ii) les interventions, programmes et politiques publiques pour améliorer les conditions de vie urbaines afin de favoriser la santé et réduire les inégalités sociales de santé; et (iii) la mesure et l’évaluation de l’impact des interventions, programmes et politiques publiques qui visent la création d’environnements favorables sur la santé et les inégalités sociales de santé. BIODIVERSITÉ ET AGRICULTURE URBAINE La biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine sont tous les trois liés et contribuent, en effet, au bien-être de la population, de manière directe et indirecte, tant au niveau de la santé, de l’environnement que de la qualité du milieu de vie et du paysage. Au cours des dernières années, les connaissances scientifiques se sont accumulées quant aux multiples services sociétaux, économiques et écologiques. Mentionnons à cet égard l’ombrage et l’effet rafraîchissant, la captation des eaux de pluie et des polluants atmosphériques, la sécurité alimentaire. Par ailleurs, il est reconnu que le maintien du plus grand nombre d’espèces vivantes possible est nécessaire à la conservation d’écosystèmes en santé. Ces milieux participent aussi au rayonnement de la communauté, à son dynamisme économique, à sa fiscalité et à son développement social. Malgré la reconnaissance des services rendus par la biodiversité, les espaces verts et l’agriculture urbaine, une partie de ce patrimoine exige encore des efforts de développement, de préservation et de mise en valeur. Parcours de la conférence 1. LES VILLES À CLIMAT NORDIQUE : POLITIQUE, AMÉNAGEMENT ET DESIGN DE L’ÉCOCITÉ 2. UNE MEILLEURE RECONSTRUCTION EN HAÏTI ET DANS D’AUTRES ZONES SINISTRÉES 3. L'ÉCOCITÉ DE MONTRÉAL 4. ENGAGEMENT COMMUNAUTAIRE ET DES CITOYENS ET PARTICIPATION DES JEUNES 5. MESURER LES PROGRÈS DANS L’ÉCOCITÉ : INDICATEURS, NORMES ET MEILLEURES PRATIQUES 6. LES TECHNOLOGIES PROPRES AU SERVICE DES ÉCOCITÉS Les technologies propres contribuent activement au développement de villes et régions plus vertes et plus prospères. En accélérant la conception, le développement, l’adoption, la commercialisation et l’exportation des technologies propres, les grappes œuvrant dans ce secteur ont un rôle déterminant à jouer dans l’émergence de véritables écocités. Organisé par Écotech Québec, en partenariat avec la Global Cleantech Cluster Association (GCCA), ce parcours est la première rencontre internationale de cette association. Ouverte à l’ensemble des participants d’Écocité, la rencontre ciblera le partage des meilleurs pratiques et le développement de partenariats stratégiques profitables à l’ensemble des parties prenantes. Programme »»»
  5. Salut ! J'ai une vision qui me trote dans la tête depuis un bout. Avant Après Je m'explique, je trouve que l'ancien incinérateur des carrières est très mal utilisé, il l'est pas !, je le trouve vraiment extra ! il est vraiment futuriste. Je trouve qu'il représente bien le Montréal industriel. Ma vision, un musée sur l'histoire industriel, à l'intérieur, des expositions de photo, des écran qui diffuse des documentaires sur le Montréal industriel. Les tours, je leurs installent des escaliers tournant avec un poste d'observation au sommet, le tout protégé par une tour de verre et une terrasse sur le toit. Le terrain devient un parc urbain. Mon plan n'est pas super, je vais l'améliorer.
  6. La Presse canadienne apprend que le sommet du G20 de juin prochain sera tenu tout près du quartier des affaires de Toronto. Pour en lire plus...
  7. Quartiers huppés de Montréal - Des promoteurs contourneraient le moratoire sur les condominiums Le Devoir Bahador Zabihiyan Édition du mardi 19 mai 2009 Mots clés : Moratoire, Condominums, Comité Logement Centre-Sud, Montréal Certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions, ce qui permet de chasser plus facilement les locataires Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile, contestent leur éviction. Des failles existeraient dans le moratoire sur les condominiums permettant aux propriétaires de se débarrasser des locataires et de mettre leurs logements rénovés sur le marché à des prix beaucoup plus élevés, notamment dans les secteurs huppés du centre-ville, d'après Éric Michaud, du Comité Logement Centre-Sud. Les règles pour construire des condominiums étant trop sévères, certains promoteurs optent pour des copropriétés par actions. Or, les locataires sont moins bien protégés lorsque leur immeuble devient une copropriété de ce type. «Quand on convertit un immeuble en condos, on ne peut plus faire d'agrandissements, on ne peut plus faire de travaux majeurs, il y a des garde-fous. Or, comme ce type de conversion-là [copropriété par actions] n'est pas encadré, les propriétaires peuvent faire tout ce qu'ils veulent», affirme M. Michaud. Ce dernier décrit le procédé comme une conversion en condominium «déguisée». «C'est un danger pour la protection du parc locatif», rajoute-t-il. Selon lui, environ 500 logements, principalement situés au centre-ville, seraient aujourd'hui concernés par des conversions en copropriété par actions. Une trentaine de locataires du complexe du Club Sommet, un immeuble d'environ 300 logements, situé dans le Golden Square Mile au 3475, rue de la Montagne, ont même engagé un avocat afin de porter l'affaire devant la Régie du logement, après avoir contacté sans succès la Ville de Montréal et le ministère des Affaires municipales et du Logement. Les locataires étaient au tribunal de la Régie du logement la semaine dernière. Ils demandaient notamment au propriétaire de mieux les dédommager pour leur éviction. Ils souhaitent aussi que ce dernier leur verse des dommages et intérêts pour les nuisances engendrées par les travaux importants entrepris dans l'immeuble depuis deux ans. En effet, le propriétaire, Casperdiny IFB Realty Inc., a décidé d'y effectuer des travaux majeurs notamment en combinant des petits appartements afin d'en faire des plus grands logements, qui sont par la suite vendus entre 137 000 $ et 575 000 $ environ, ou loués pour des loyers situés entre 1100 $ et 2000 $ par mois, d'après le site Web de la compagnie et les publicités publiées dans plusieurs quotidiens montréalais. Or, le propriétaire n'aurait pas pu entreprendre des travaux, ni se débarrasser des locataires aussi facilement si le projet était un condominium et non une copropriété par actions. Joanne Dolan habite au Club Sommet depuis une vingtaine d'années et refuse de quitter son logement. Elle estime qu'il devrait y avoir un moratoire sur les copropriétés par actions. «Si on avait une conversion en condominium, les locataires et leurs baux seraient protégés par la Régie du logement contre les évictions et les travaux dans l'immeuble, jusqu'à ce qu'ils décident de partir. On devrait avoir le même type de moratoire pour les copropriétés», constate Mme Dolan, avant de retourner dans la salle devant le juge pour défendre sa cause et répondre aux questions de l'avocat du propriétaire. Un procédé bien connu La copropriété par actions est un procédé bien connu de l'Association des courtiers et agents immobiliers du Québec (ACAIQ) qui le présente, sur leur site Internet, comme un bon moyen de contourner le moratoire sur la construction des condominiums mis en place en 2001. «Ce mode d'acquisition immobilière, surtout présent dans les grandes villes, a notamment été développé pour contourner les difficultés liées aux restrictions à la conversion d'immeubles locatifs en propriété divise [condominium]. La détention d'action avec droit d'usage d'un appartement peut, en pratique, présenter des similarités avec la copropriété divise d'un immeuble», peut-on lire sur le site de l'ACAIQ. Les investisseurs n'achètent pas un appartement, mais des actions dans la société qui possèdent l'immeuble. Ces actions leur donnent ensuite droit à un logement. Lors de la conversion d'un immeuble en condominium, les locataires déjà présents peuvent continuer à occuper leur logement et renouveler leurs baux autant de fois qu'ils le veulent. De plus, le propriétaire ne peut y effectuer des travaux majeurs jusqu'à ce que les locataires quittent les lieux. Thomas Robert Reiner, dont la compagnie Asta Corporation Inc. gère le projet au nom de Casperdiny, ne cache pas qu'il aurait «sauté sur l'occasion» si la Ville l'avait laissé construire des condominiums au Club Sommet. Il estime que l'immeuble, «composé aux trois quarts de petites unités de types, logements étudiants», n'est pas financièrement viable. «Dans ce riche quartier du Golden Square Mile, il faut faire des unités de 800, 900, 1000, 1100 pieds carrés pas 400», remarque-t-il. De plus, il affirme qu'il n'a «aucun retour sur investissement» à l'heure actuelle, car les loyers du Club Sommet sont trop faibles. Enfin, d'après M. Reiner, il est plus facile de financer un projet de condominium qu'un projet de copropriété par actions. C'est donc par défaut qu'il a opté pour un projet de copropriété par actions. Mais il estime avoir tout fait pour aider les locataires à trouver un nouveau logement, notamment en leur payant des mois de loyer gratuit et des frais de déménagement. «D'ailleurs, la grande majorité ont accepté de partir», constate-t-il. La Régie devrait rendre sa décision vers la fin de l'année. Mais d'autres projets de conversion en copropriété par actions sont en cours. Ted Pearson était présent à l'audience à la Régie du logement, jeudi dernier. Lui n'habite pas au Club Sommet, mais dans les appartements d'Embassy Row, avenue du Docteur-Penfield. Mais M. Pearson estime qu'il risque fort de se faire chasser de son logement. «Il y a une conversion en copropriété [par actions] là-bas aussi», dit-il, avant que l'audience ne reprenne. http://www.ledevoir.com/2009/05/19/251067.html (19/5/2009 18H14)
  8. ouaouaron

    Club Sommet

    à partir de 130K au centre-ville Pas de rendu, plein de publicités en fin de semaine http://www.clubsommet.ca/
  9. La méthode Labeaume Nathalie Collard Certains le trouvent arrogant, d’autres estiment qu’il est trop bouillant, mais il faut avouer que le maire de la Ville de Québec, Régis Labeaume, fait bouger les choses. J’assistais hier au Sommet de la culture à Québec et je ne pouvais m’empêcher de le comparer avec le maire de Montréal, Gérald Tremblay. Bien sûr, les deux villes sont fort différentes. Québec est tout de même plus facile à gérer que la métropole. En outre, le maire Labeaume est encore au sommet de la vague du 400e, gonflé à bloc. Cela dit…On sent que cet homme a une vision ainsi qu’une détermination à la concrétiser. Quand il dit qu’il veut faire revivre le quartier St-Roch et en faire un quartier de la culture et de la techno reconnu partout à travers le monde et bien, on le croit. Mieux encore, on se dit qu’il va sans doute réussir. Et que ça ne lui prendra pas 10 ans et 25 consultations pour y arriver. La Capitale n’est pas Montréal mais j’avoue qu’hier, l’espace d’une journée, en voyant ce maire si enthousiaste et si déterminé, j’ai ressenti un petit pincement de jalousie…
  10. Sommet culturel - La danse des millions à Québec Le Devoir Guillaume Bourgault-Côté Édition du mardi 17 février 2009 Mots clés : James Moore, Sommet culturel, Culture, Québec (province), Québec (ville) Le ministre du Patrimoine canadien, James Moore, brillait par son absence La capitale a engrangé des promesses totalisant 50 millions au sommet Québec horizon culture, qui se tenait hier. Québec -- Crise économique ou pas, c'est une véritable valse des dollars qui a rythmé hier le sommet Québec horizon culture. Quelque 50 millions d'engagements fermes ont été promis pour remodeler le visage culturel de la capitale, et ce, en présence de tout ce que le milieu compte d'intervenants et de partenaires... à l'exception notée du gouvernement fédéral. Le ministre du Patrimoine canadien, James Moore, s'est ainsi fait remarquer par son absence, soulignée par plusieurs des participants qui ont pris la parole au fil des plénières. Aucun député du gouvernement n'avait été dépêché pour assurer la présence d'Ottawa au forum. Selon le bureau de M. Moore, un «conflit d'horaires» a empêché la visite du ministre. Pour le critique libéral en matière de Patrimoine, Pablo Rodriguez, cela donne plutôt l'impression que les conservateurs «ont peur du milieu culturel». «Il y a une chaise vide, a-t-il dit après une activité. Et pourtant, tous les députés du Québec sont dans la région. C'est étrange.» La ministre de la Culture et des Communications du Québec, Christine St-Pierre, organisatrice de l'événement, n'a pas voulu en faire un plat. Elle transmettra à son homologue -- qui sera à Montréal aujourd'hui -- les résultats du sommet. Résultats qui, à ses yeux, sont entièrement positifs. Positifs parce que la participation a été massive (environ 800 personnes selon les organisateurs) et que l'argent était au rendez-vous pour appuyer les idées et concrétiser l'intention affichée de placer la culture au centre du développement économique de la ville. En matinée, les millions ainsi pleuvaient de partout. Au final, Québec horizon culturel a donc engrangé des promesses totalisant 50 millions. Plusieurs des sommes évoquées par la Ville de Québec et le ministère de la Culture avaient déjà été dévoilées, mais la Ville a annoncé 12,3 millions d'argent frais, alors que le gouvernement ajoutera 32 millions sur trois ans pour répondre aux besoins culturels de la capitale. Plusieurs autres organismes contribuent de leur côté. Par exemple, le premier ministre Jean Charest a annoncé la bonification (de 21 à 30 millions) de l'entente de développement culturel entre la Ville et le ministère de la Culture. Une trentaine de projets ont autrement été adoptés et chiffrés. La Ville et le gouvernement financeront notamment la création et la réalisation d'une télésérie dramatique à Québec (2,5 millions). Un peu moins de un million sera aussi réservé pour créer une mesure d'aide au démarrage des productions cinématographiques et audiovisuelles dans une ville qui en manque cruellement, a-t-on signalé hier. Le ministère accordera par ailleurs 750 000 $ sur trois ans pour permettre aux compagnies culturelles de Québec de «rayonner sur la scène nationale et internationale», un enjeu délicat ces temps-ci. Deux mesures ont été adoptées pour promouvoir le financement privé en culture. Un nouveau poste sera notamment créé à la Chambre de commerce de Québec pour une personne qui devra trouver des moyens de favoriser le mécénat culturel. Trois fonds d'investissement (équipements culturels, bibliothèques et restauration de biens patrimoniaux) sont également créés pour rénover Québec. Le sommet a accordé une bonne place au sort de la relève: le programme Première Ovation sera donc élargi à de nouvelles disciplines. De même, le quartier Saint-Roch -- que l'on désire voir en «haut lieu de la créativité contemporaine» -- bénéficiera de plusieurs enveloppes. On fera en sorte de «miser sur le design et l'art public» pour aménager l'espace urbain dans le quartier. Le maire Régis Labeaume a parlé de projets au design «fou», avec des lampadaires et des bancs de parcs très stylisés. Pour le président d'honneur du sommet, Robert Lepage, la journée d'hier aura été l'occasion de confirmer un «changement d'attitude» fondamental à Québec. Rappelant que les milieux des affaires et de la culture collaborent rarement («ce sont deux solitudes»), M. Lepage a estimé que l'on «avait commencé à se parler, à se connaître». «Aujourd'hui, on a mis en valeur la valeur de la culture», a-t-il indiqué en point de presse après la clôture. Selon le metteur en scène, le sommet permettra aussi à Québec de «sortir de la confrontation» avec Montréal. «On arrête de comparer Québec à Montréal pour parler de ce qu'on peut offrir. C'est nouveau dans le discours, ça.» La ministre St-Pierre a pour sa part fait allusion à un «événement d'ampleur» apte à faire de Québec un «pôle culturel important». «Nous avons fait avancer la cause de l'investissement privé, imaginé des initiatives porteuses pour la relève et mis en branle des projets emballants», a jugé la ministre. C'est selon elle «une véritable bouffée d'oxygène à la vie culturelle de Québec». Un comité de suivi sera mis sur pied pour mesurer l'avancement réel de tout ce qui a été annoncé hier. L'idée de tenir Québec horizon culture est née dans la foulée de Rendez-vous Montréal -- métropole culturelle, événement tenu en novembre 2007 et qui avait notamment précisé le développement du Quartier des spectacles. Avec collaboration d'Alec Castonguay http://www.ledevoir.com/2009/02/17/234303.html (17/2/2009 4H51) Voir aussi le téléjournal de hier aux alentours de 37 min. 15 sev. sur le sujet: http://www.radio-canada.ca/audio-video/#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2009/CBFT/Telejournal200902162200.asx&pos=0
  11. Après avoir connu l'an dernier une année record, le nombre de saisies immobilières enregistrées au Québec pour le seul mois de janvier atteint un sommet, avec 252 saisies. Pour en lire plus...
  12. Le secteur manufacturier du pays a perdu 38 000 emplois le mois dernier et près de 400 000 depuis un sommet de l'embauche en 2002. Pour en lire plus...
  13. Les dirigeants des 21pays qui participaient au 16esommet de Coopération économique Asie-Pacifique à Lima, au Pérou, s'attendent à ce que la crise économique se résorbe d'ici 18mois. Pour en lire plus...
  14. Le premier ministre et son ministre des Affaires étrangères, Lawrence Cannon, comptent promouvoir le libre-échange comme antidote au marasme économique lors du sommet de l'APEC, qui s'ouvre samedi, au Pérou. Pour en lire plus...
  15. Les nouvelles demandes d'indemnisation chômage aux États-Unis ont atteint la semaine dernière leur plus haut niveau depuis 16 ans. Pour en lire plus...
  16. Le premier ministre Stephen Harper a pris acte hier du nouvel ordre mondial engendré par la crise financière internationale et, par le fait même, du sommet que les pays les plus industrialisés ont tenu avec les pays émergents. Pour en lire plus...
  17. Le premier ministre du Canada salue le plan d'action élaboré par les dirigeants réunis à Washington, tout en mettant en garde contre toute tentation de choisir le protectionnisme au détriment du libre marché. Pour en lire plus...
  18. Les chefs d'Etat et de gouvernement du G20 ont convenu samedi d'accroître la représentation des pays en développement au sein du Fonds monétaire international et de la Banque mondiale, selon le communiqué publié à l'issue de leur premier sommet, à Washington. Pour en lire plus...
  19. Pendant que les grands pays industrialisés et émergents du G20 étaient réunis à Washington pour un sommet inédit, de premiers éléments du plan d'action qu'ils ont dit vouloir adopter face à la crise financière et au risque de récession ont commencé à filtrer. Pour en lire plus...
  20. Pas de Carla Bruni pour accompagner le fougueux président français Nicolas Sarkozy à la Maison-Blanche hier soir, pas de somptueux repas ni de grands spectacles pour les leaders des 20 pays les plus riches de la planète: le sommet économique mondial de Washington se fait dans l'austérité. Pour en lire plus...
  21. Le président américain George W. Bush a mis en garde samedi matin contre un regain de protectionnisme dans le monde, à la reprise des travaux du sommet du G20 à Washington sur la crise financière. Pour en lire plus...
  22. Sur fond de récession occidentale et de crise financière mondiale, les chefs des gouvernements du groupe des 20 grandes économies du monde (G20) se réunissent pour la première fois aujourd'hui à Washington. Pour en lire plus...
  23. À Washington, le sommet du G20 s'ouvre par un dîner de travail donné à la Maison-Blanche. Pour en lire plus...
  24. Le sommet des puissances industrialisées et émergentes (G20), destiné à élaborer une stratégie concertée de lutte contre la crise financière mondiale s'est ouvert vendredi soir. Pour en lire plus...
  25. Les dirigeants des principales puissances économiques et des pays émergents réunis ont rendez-vous vendredi et samedi pour un sommet qui doit lancer une réforme en profondeur du système financier. Pour en lire plus...
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